Episode précédente :
Quand je lui demandais (pour la forme) si il était prêt à remettre ça , il me dit oui
J’ai donc demandé a Véronique et Claude s’ils pouvaient venir chez moi le mercredi 20 janvier 2010 et pu organiser et planifier ce nouveau Gang Bang en si peu de temps.
Comme ça cela me laissera le WE libre même si je vais avoir un peu de mal à assurer avec mon amant Max le lendemain matin.
Véronique et Claude sont arrivés vers 18h à la maison, nous sommes allé chez le traiteur prendre la commande de l’apéritif dînatoire pour nos amis Gégé (26 ans) , Fernand (23 ans) et Louis (21
ans) qui ont répondu présent pour cette soirée.
Pendant un bonne heure j’ai préparé Claude. J’ai pas fait d’épilation ,ni rasage’( son beau corps imberbe et roux me plait trop) , lavement et massage de son corps avec une huile pour adoucir
encore plus sa peau, préparation de son anus à un pilonnage intense.
Véronique m’a aidé à tout mettre en place pendant que j‘ expliquais à Claude en quelques mots ce qui allait se passer, le type de mec qui allait venir, et le comportement qu’il devrait avoir
(soumis, obéissant, muet à par quelques gémissements autorisés…).
Il était déjà tout excité et sa belle bite fine bandait raide.
Une fois le décorum prêt, je l’envoyais à la salle de bain se mettre nu et je suis allé le retrouver pour finaliser la préparation de son trou.
Nouveau lavement (un seul suffit, c’était juste une précaution), graissage et reprise de la dilatation commencée plus tôt puis les 21h approchant, je lui mis un bon demi tube de gel directement
au fond de ses boyaux. Des " invités ", pas un ne fait moins de 19cm x6 !!
Je venais juste de l’installer à 4 pattes sur la table basse centrée dans la pièce principale que les premières voitures sont arrivées. En 5mn tous étaient là.
Je n’avais pas fini de servir les apéritifs que les plus impatients s’attaquaient à la proie du jour.
Ausculté sous tous les angles, Claude a été tâté, palpé, pincé et pour les plus vicieux doigté. Le mieux monté de la soirée, s’est préoccupé de ses capacités et j’ai vu qu’il enfonçait trois doigts de sa mains droite dans la bouche de Claude, poussant pour atteindre le fond de gorge et voir si il allait vomir. Comme Claude subissait sans se plaindre et sans haut le cœur, il a fait de même à l’autre extrémité de son tube digestif. Ce fut encore plus facile vu la préparation que j’avais faite.
¾ heure après leurs arrivés, tous les mecs étaient à poil et la présence de Véronique les excité encore plus , c’est elle qui en nuisette faisait le service cocktails et la première distribution
de Kpote.
- moi je commence par la meuf dis fernand
- aaaaaaaaaaaahh oui , elle est trop courte pour moi , je la sens pas au
fond du vagin
- putain c 'est vachement bon ,une chatte
- ouiiiiii .....ouvre moi le cul maintenant tu vera la
différence
apres lui avoir buriné la chatte et ensuite son cul , Fernanr resta hébaii devant le spectacle de ce cul qui restait ouvert. Pendant 2h, ça a été sa " fête " j’ai compté, il n’y a pas eu 5mn ou un de ses deux trou n’ait
été bouché.
Mes " invités " se sont succédés un après l’autre dans la bouche (plutôt la gorge), et en suite au fond de son cul.
Véronique participait eu suçant son fils et profitait pour mordiller les couilles des l’enculeurs
Je surveillais que tout se fasse sans violence et les sodos sous Kpote.
De sa position à 4 pattes, Claude s’est retrouvé sur le dos, puis plié sur un dossier de fauteuil, assis sur la bite de Louis , suçant ma bite , branlant avec chaque main Gégé et Fernand…
J’ai juste stoppé Gégé le plus excité de la bande qui voulait lui faire subir des doubles sodo. Avec des tailles de bite pareilles, ils me l’auraient définitivement cassé !!
La surprise venu de Véronique
Véronique mis une kpote sur la queue de Louis et sur celle de Gégé , elle les lubrifia ainsi que son cul , chevaucha Louis ,la bite de celui ci entra en douceur , sous le regard très curieux de son fils Claude , elle se pencha sur le corps de Louis en donnant l’ordre à Gégé .
Gégé approcha , colla sa bite contre celle de Louis , et força , lentement elle prenait place dans les entrailles de Véronique qui me proposa de mettre la mienne dans sa bouche
Claude en fut estomaqué et dit
lâchant ma bite quelques secondes pour lui répondre
Je me suis aperçu aussi que Fernand le plus membré de la bande était plus sensible que les autres aux charmes de la finesse du corps de Claude. Il en profita de suite étant donné que lui participas et que Claude avait laissé sa place a sa mère ,
A son tour, une certaine sensualité / douceur prenait la place de l’assouvissement bestial des autres participants. Ce n’est pas pour autant qu’il enfilait Claude jusqu’aux couilles assez grosse et bien proportionnées à sa bite courte 17 x 7,5 !.
Claude , comme sa mère appréciait les gros calibres.
Cette soirée , m’apporta une autre surprise
Véronique , le cul encore très ouvert se glissa sous son fils et enfourna la queue en bouche , l’effet immédiat , Claude se mis a onduler des reins au grand plaisir de Fernand qui enfonçait de
plus en plus fort et rapide. Véronique se retrouva la chatte écartée , lécher par son fils.
D’ailleurs les autres s’en étaient inconsciemment aperçu car à ces moments là, ils se contentaient de se branler en cercle autour d’eux.
Ils lâchèrent leurs sperme sur le cul toujours bien ouvert de Véronique , le surplus coulant vers la chatte au grand bonheur de Claude
Alors que Gégé et Louis étaient déjà partis, (sans même remercier) Fernand est revenu me voir. J’envoyais Claude se laver avec sa mère pour rester seul avec lui.
Il voulait savoir combien lui coûterait une exclusivité sur Claude.
Sa question m’a surpris, je ne m’attendais pas à cela.
Je lui ai expliqué que c’était son premier Gang Bang et qu’à part cela, j’ avais quelques " amis " aussi bien montés que lui qui avaient besoin de ses services.
Je l’ai vu un peu déçu. Il a réfléchi quelques instant avant de me demander
surpris moi même ,dans un premier temps, avant d’en savoir plus sur ce que veut Claude, je lui ai proposé de l’inclure dans la liste du mois prochain , certain invités ayant décliné (comme les deux frères jumeaux Luc et Phil, le père de Richard avait de quoi s’occuper avec son fils et de Pierre faisait moins appel à nous depuis qu’il avait retrouvé une sexualité avec sa femme).
Il me dit
- Ok pour le moment et qu’il allait réfléchir à une meilleur solution voir condition…..
Enfin parti, je me suis occupé de mon neveu Claude. Il avait pris une douche pour éliminer le sperme collé fait des lavements a sa mère pour éliminer le sperme entré dans sa chatte et son cul lors de la final (du jeu).
Je lui ai fait prendre un bain. A genoux à ses coté, armé qu’un gant de toilette je le massais doucement. Je lui demandais comment il avait trouvé cela lui qui était si impatient.
Il me dit qu’il avait pris un super pied et qu’il avait jouit plus de trois fois sans se toucher.
Quand je lui demandais (pour la forme) si il était prêt à remettre ça dans un mois, il me dit
Je lui demandais ce qu’il avait pensé de la plus grosse bite de la soirée. Il me dit
Je lui dis alors que la prochaine fois ce serait de nouveaux amis et Fernand en fera parti car il est mordu de ton corps. Ça l’a fait sourire.
Je le séchais puis avant qu’il ne se rhabille je lui enfilais un plug de travail pour qu’il resserre son anneau dessus. Il doit être capable de prendre large mais je veux qu’il garde une capacité à pouvoir serrer des bites normales.
Ils repartirent tous les 2 vers les Ardennes en me promettant que dans un mois ils me feront vivre une soirée inoubliable
A SUIVRE
Une histoire écrite par Julien Petit du Loiret fidèle lecteur de mon blog qui me rappelle et tres proche d'un souvenir du mien alors j’ai envie de vous la faire partager
Après un mercredi classique de vœux , chez Ludo un de mes grand frère, le jeudi m’a réservé une belle surprise ou plutôt Veronique , dont je n'avais plus de nouvelle depuis de longues années. je l'ai retouver sur le net , elle n'était pas si loins de moi en fin de compte , elle réside à Givay dans le 08 à peine 100 borne de chez moi , et m' a invité chez elle.
J’arrive vers 16h30. Elle m’attend.
J’entre dans sa cour. Il fait très froid (-14°),.
Je suis frigorifié, replace ma bite qui transi a bien raccourci et la rejoint vite,
Dès la porte passée ,au bout d’un long couloir ,la grande surprise ,
elle m’attend nue de l’autre coté de la porte vitrée le froid n’est plus qu’un souvenir, le chauffage doit tourner à fond, il fait au moins 25°, tant pis pour la planète !
Je quitte rapidement mes fringues glacé et en shorty, me colle à son corps chaud
Je ne sais pas ce qu’elle faisait avant le jeudi après midi mais là , ce Jeudi 07/01/2010 c’est avec moi qu’elle le passe
.
Quand je passe une cuisse entre les siennes, c’est même brûlant que je devrais dire. Elle est toute mouillée d’excitation. Elle me roule un pelle formidable.
Je lui pelote ces seins ( mes mains son pas assez grosse) ,je glisse à genoux lentement en baisant son corps sous la pression de ses mains sur ma tête pour coller mes lèvres aux siennes de sa chatte poilu
De la langue je les écarte à la recherche du clitoris, ce petit truc qui agit aussi bien comme starter que comme accélérateur.
Elle prend appui contre le mur, ma langue lêche avant lui pénétrer le vagin.
En apnée, je ne tiens pas longtemps et reprend le suçage du clito.
Elle jouit une première fois debout. Ses cuisses se serrent et ma tête se trouve prise comme dans un étau ! je dois m’aider de mes mains pour m’en sortir.
Quand je me relève, je me retrouve avec une sangsue. Elle me ventouse la bouche et nous nous roulons une pelle. Collée à moi elle ne peut que sentir ma bite
gonflée.
Accrochée à mon cou, elle passe une puis les deux jambes autour de la taille.
Elle n’est pas lourde et j’écarte juste les pieds pour assurer notre stabilité.
En appui sur mes hanches et mes épaules, elle se soulève pour faire glisser ma queue sous elle. Dans l’opération mon gland glisse sur son sexe vers son anus.
Je choisi son sexe et m’enfonce avec délice entre ses lèvres gonflées. Je sens son vagin mouler ma tige et comme elle appui de tout son poids en fin de course mon gland bute sur ce que je pense
être le col de l’utérus. Son clito se trouve écrasé contre mon pubis.
Je réalise soudain que je suis tout nu, sans kpote !!
Nous nous embrassons, point fixe alors que mon bassin s’agite en cadence.
Je glisse mes lèvres vers ses seins et lui mange les tétons. Surtout le gauche qui est un petit peu plus petit que l’autre. Elle monte vite. Je sens son vagin se
contracter sur ma bite. Ce massage m’excite au plus
haut point et je le lui défonce sans retenue. Elle commence à jouir. Ses contraction sont encore plus fortes, je ne tiens plus et j’éclate Comme nous sommes seuls dans cette grande maison, nos
cris n’ont alarmé personne. Nous restons 5mn accrochés l’un à l’autre.
Avant de débander complètement, je me retire. Nous allons à la cuisine. Véronique me propose un remontant avant de continuer nos ébats.
Nous discutons de chose et d’autre, c’est surtout moi qui parle !
Elle m’ébouriffe les quelques cheveux (je suis presque chauve). J’aime et j’aime pas ça. C’est très sensuel et en même temps ça ……. !
Je l’ai prise dans mes bras et l’ai embrassé comme je ne l’avais encore jamais fait. Ça nous a excité.
Comme je bandais de nouveau, j’ai senti monter en elle une vague de plaisir. Deux doigts dans sa chatte me donnèrent plus de précision. Elle était de nouveau
brûlante et ruisselante d’excitation.
Je la plaquais contre la table, d’un genou je lui écartais les cuisses et en pliant la jambe je plaçais sa chatte à cheval sur ma cuisse. Je sentais ses lèvres s’écraser dessus.
J’étais peau contre peau.
A genoux , j’ai écarté ses cuisses et lui ai bouffer la chatte. Entre ma salive et sa lubrification, un bon filet s’est insinué vers son anus.
Pour éviter de salir la table, j’ai été obligé de le rattraper avant qu’il n’atteigne la nappe brodée. Du coup bien placé devant son petit trou, je me suis attelé à un bon anulingus.
De la langue puis des doigts, je me suis évertué à ce que tout ce qui coulait de son vagin entre dans son anus. Ça l’a rendu bien glissant.
Du coup, quand je me sui relevé je l’ai pénétrée directement par la rondelle.
Elle aime bien se faire enculer aussi, la stimulation est différente et elle tient plus longtemps.
Chacun de mes coups de rein la faisait glisser sur la nappe
Quand j’ai commencé à sentir des crampes aux mollets, je l’ai achevé debout, elle les seins écrasés sur le table
Le cuisine étant super bien chauffé, nous avons sans problème baisés sans compter. Quand j’ai rempli ses entrailles, elle avait déjà jouit deux fois.
Nous sommes retourner à sa chambre et allongé sur le lit ou nous nous somme endormi
soudain un bruit de portière.
J’ai juste eu le temps de remettre mes fringues et Véronique de passer un peignoir que son fils Claude le petit dernier etait juste derrière la porte vitré….
il devint rouge écarlate , regarda sa mère et balbutia
Véronique nous servit du whisky tous en écoutant les conseils prodigués à Claude.
Sous l’influence de l’alcool ,Claude m’embrassa sur la bouche , et commença a me déshabiller ,il prit ma bite en bouche et commença a me faire une belle fellation sous le regard de sa mère , qui le déshabilla a son tour et se mis a sucer son fils. Elle pris même le plaisir de jouer avec sa rondelle , Claude semblait aimé a voir son corps onduler .Claude avait une bite fine et longue (19/3 environ) , sous les massages que lui prodiguait sa mère , Claude en pleine excitation me fit basculer sur la table du salon et se plaça pour me défoncer , mais arrêta net
Sans aucune préparation Claude entra sa bite sans forcer dans mon cul bien ouvert., il se déchaîna sans retenu , je sentais en moi la longueur de son sexe taper ma
prostate , sa mère lui lêchait son petit cul ,effet immédiat des coups de reins de plus en plus fort , je gémissais lui aussi , Véronique créa la surprise , ayant pris un gode électronique , une
bonne dose de gel sur la rondelle de son fils , et d’un coup enfonça le gode Claude hurla de douleurs
le vibro-masseur en marche Claude entra en trans. Et me dévida des flots de spermes dans mes entrailles.
Avant de repartir, je me suis occupé de mon neveu Claude. Je lui ai fait prendre un bain. A genoux à ses coté, armé qu’un gant de toilette je le massais doucement.
Je lui demandais comment il avait trouvé cela lui qui n’osé pas.
Il me dit qu’il avait pris un super pied et qu’il avait jouit avec bonheur.
Quand je lui demandais (pour la forme)
dit
A SUIVRE
J’ai 64 ans et en ce début d'année 2010 j'ai été sollicité par mon gendre, Benoît 38 ans, très proche pour aider à déménager sa sœur qui quittait la Lorraine pour la Vendée. Il avait loué un petit camion et après la journée de chargement, on est parti tard du nord meusien vers le sud ouest. On a décidé de faire deux haltes, deux nuits dans des motels sur l'autoroute, en partageant une chambre.
La première nuit, un peu crevé par cette étape très chargée en camion, on s'est arrêtés à l'hôtel et vite chacun a pris sa douche. Je me suis baladé à poils dans la
chambre, sans aucune gène , mon gendre est habitué de me voir ainsi depuis quelques années et après le dîner, vite au lit..
dans la chambre. il faisait chaud...on s'est couché en boxer (exceptionnellement pour moi). Il portait un boxer blanc transparent qui cachait pas grand chose.
Après avoir regardé un peu la télé, on a éteint. Mon gendre, Benoît me dit :
-" ta fille me manque "
et sans hésiter ajoute :
- "le gros câlin quotidien me manque"
Un peu surpris par la confidence je lui dit:
-"tous les soirs?"
et il répond :
-"Souvent le matin aussi, sinon je suis obligé de me branlé. Tu n'es pas en manque toi ?.. "
je réponds
-"bof, oui ,mais tu verras quand tu auras 40 ans de mariage… mais arrête de parler de ça car je commence à bander" et il ajoute :
-"moi aussi".
En effet son boxer était déformé et cela a déclenché chez moi une plus forte érection.
Je lui ai dit : "Allons on va dormir ça nous calmera".
Et je me suis tourné et il s'est endormi rapidement, il s'est vite mis à ronflé. Je me suis endormi aussi. Mais j'ai été réveillé par un contact, celui d'une main posée sur mon dos. Sa main. je me suis retourné et la main est restée posée sur mon ventre et la pression des doigts a augmenté.
J'ai dit dans une demie conscience :
-" tu fais quoi?"
Il a répondu :
-"Chutttt!!" et sa main est descendue sur mon ventre pour atteindre mon boxer de suite déformé.
Je bandais et j'avais envie d'aller plus loin , j'étais excité par mon gendre avec qui je passais une première nuit. Il a baissé mon boxer et saisi ma queue. Elle était très dure. Mes mains on cherché son boxer et dégagé sa bite dure et plus grosse que la mienne. Il m'a dit :
-"suce-moi!"
je l'ai fait avec appréhension puis goulûment. je l'ai fait en pensant à mon jeune amant Max. Cela a duré quelques minutes et j'ai découvert que cela lui plaisait et lui donner du plaisir. Il râlait de plus en plus et j'ai senti sa main écarter mes fesse pour atteindre mon anus qu'il a ouvert avec ses doigts, un puis deux, puis trois. a mon tour je gémissais. Il me dit :
-"Mets-toi à quatre pattes"
j'ai obéi.
Il m'a léché l'anus longuement en insistant sur mon trou et me pénétrant avec sa langue très dure.
C'était une première ,mon gendre me léchant le cul , tout comme le moment où j'ai senti son gland contre ma rondelle dilaté par la plaisir.
-"N'ai pas peur, je sais être doux " .
Moi, j’étais aussi très excité et je le voulais en moi…je l’ai laissé faire quand son gland m’a dilaté l’anus en forçant. Je me suis entendu gémir de douleur et dire " NON " puis dire " Ah ! ! OUIIII "
Mais il accentué la pression et il est entré en moi. Je me faisais baiser mon gendres et je l’entendais gémir aussi mais de plaisir et vite il a poussé de plus en plus fort. Une de ses mains a saisi mon sexe et il m’a branlé vigoureusement. J’ai senti monter le plaisir et je suis parti dans une jouissance accentuée par sa pénétration et lui il a joui longuement en se couchant sur moi et en m’écrasant sur le lit..
Il m’avait à lui, ce salaud , au fond de mes entrailles !il m’avait sailli comme il aime saillir ma fille
Il ne me quittait pas. Mon ventre était collant de sperme, et j’étais rempli du sien. On est resté comme cela pendant quelques minutes. On s’est endormis sans un mot.
Au réveil nous n’avons rien dit, pas une parole sur ce qui était arrivé mais il m’a couvert de son corps et m’a encore baisé et cela a recommencé, chaque nuit et chaque matin pendant l’aller et le retour , j’ai été sa femelle, sa maîtresse, et toujours sans commentaires.
On se reverra en février et je ne sais comment vont se dérouler ces retrouvailles .
A SUIVRE
J’ai envie qu’il me possède encore. , comment vais-je dire a mon jeunes amant Max que quand il est absent pour son travail lui que j’aime très fort ,que je me fait baiser par Benoît qui est en autre son père..? ? ? sachant que Benoît ne sais pas encore que son fils est gay et mon amant.
voici encore une année qui s'envole , pour remercier tous les fideles lecteurs , j'ai decidé de vous offrir ce montage photos de
moi.
Has
all the friends readers or the visitors of this Blog
All my wishes for 2010
Tiene todos los amigos lectores o visitadores de este Blog
Mi más cordial enhorabuena para 2010
Hat alle Freunde Leser oder Besucher dieses Blog
Alle meine Wünsche für 2010
ha tutti gli amici lettori o visitatori di questo Blog tutti i miei voti per 2010
a tous les amis lecteurs ou visiteurs de ce Blog
tous mes voeux pour 2010
et merci a ceux qui ont mis des coms et les fidèles lescteurs je vous embrasse
tous et que cette nouvelle année vous apporte joie, bonheur et santé
Il sortit de sa voiture , tous deux a poils nous rentrions a la maison........
Tout en buvant le verre de l'amitié , la discution battait grand train
- hummmm...t'est excitant ainsi tu dois te faire sauté très souvent, ta le cul bien ouvert
- oui j'adore me faire sauter et branler par des mecs
- tu fait des touzes ?
- oui ,parfois j'adore
- t'est une bonne salope toi
- oui
- soumis aussi ?
- un peu sa dépends du mec ?
- tu va pas être déçu putain je vais te troncher comme t'aime ok ?
- oh ouiiiiiiiiiiiiiiiii
- t'aime te faire remplir le fion salope ?
- oui j'adore
- eh bien tu sait ce qu'il te reste a faire, met toi a genou et suce moi
- oui tout ce que tu veux !!!!!!!!!!!!!
je me suis mis a genou et à sucer ce qui fit gémir Pierrot.
- vas y tire le jus et avale
- ouiiii
- continue lops après je m'occupe de ton cul de PD
- ouiiiiiiiiiiiiiii
- t'est une bonne suceuse toi , putain ma femme ne m’a jamais sucé comme ça avant qu’elle me plaque…
- merci
- tourne toi je vais s'occuper de ton cul maintenant
- ont va dans le salon ce sera mieux ?
– Non je veux te branler tu reste debout
- ok
- alors appui toi contre le meuble et penche toi
je me suis penché et pris appuie sur le meuble, Pierrot me pénétra sans ménagement, estimant que je suis une pute il me pris en faisant exprès de me la mettre entière jusqu'au couilles que je sentais sur mon cul
. j'ai lâcher un " HUM... C'est bon cette grosse bite" "ramone moi bien le fion et baise moi comme une pute"
- t'inquiete je vais t'enculer a fond Simon
- oh ouiiiiiiiiiiii vas y
- putain de salope tu veux la bite , tu va la sentir
- ouiiiiiiiii
me suis fait enculer à bloc une main me caressant ma queue et visiblement il avait envie de me sucer après .
depuis le début je sent qu'il est comme moi et qu'il ne veut pas le montré
il était déjà deux heures du matin.
Une heure après Pierrot dormait comme un Loire .
MOI ; inutile de vous dire que mon cerveau a été très actif cette nuit-là. Toute la nuit,
Je suis dans une grande surface près de Epinal.
Mon cadie est presque plein. Je marche en direction des vidéos pour voir ce qu'il y a de nouveau
je croise un mec il resemble a Pierrot.
Il est en short et en débardeur.
il a la taille fine et il a une bellee gueule …hummmm . Putain j'ai le coeur qui bat et mes couilles qui fourmillent. Son short est vraiment très court. On voit
bien la bosse de sa pine qui descend vers sa cuisse droite. Je me retourne et je vois qu'il a un petit cul serré et bien musclé comme je les aime.
Il s'arrête vers les bouquins. J'y vais. Je me mets en face de lui. Je vois que son gland dépasse légèrement de son short. Il ne me regarde pas. Je le dévore des yeux, j'ai envie de lui. Je voudrai qu'il me viole devant tout le monde dans ce super marché. Sa queue grossit. Il est conscient que je le mâte et ça l'excite. J'ai une chance de l'avoir dans mes bras dans un moment. Il prend un livre et se dirige vers une caisse. Je me mets derrière lui.
Comme il s'est étiré, sa queue dépasse plus de son short, j'en vois au moins 5 cm qui sort. La caissière doit être gouine, elle ne le regarde même pas. Il paye et se tire. Je ne le quitte pas des yeux. La caissière n'est pas rapide, salle pute de gonze, je vais perdre ce mec sublime à cause de cette conne. Je fini par payer et je pars dans la direction où est allé ce monsieur. Je ne le vois pas. Je suis triste, la queue tendue dans mon fute. Je vais au parking et je vide mon cadi dans mon coffre. . Je démarre. Je ne fait pas vingt mètres que je le vois à la station essence. Je vais attendre qu'il se soit servit et je vais le suivre. Il démarre. Je roule derrière lui. Je ne sais pas si il m'a vu ou pas. On roule comme ça une demis heure.
On arrive dans une petite ville , tourne a droite , prend un tous petit chemin. Il gare sa bagnole. Je gare la mienne. Il sort et se dirige vers moi, ouvre la porte
et Il me dit:
-que puis-je faire pour Toi ?
Je risque le tout pour le tout.
-j'ai envie de toi jeune homme
-Tu veus dire que Tu as envie d'avoir une relation sexuelle avec moi
?
–euuuuuuuuuhhhhhhhhhh !
- suis moi…
je le suivais et je matais son cul, bien mis en valeur par son short serré.,
environ 35ans ,1h75, 70 kilos, yeux bleus, imberbe , belle gueule … On est entrés dans une petite maison et il m’a proposé d’aller dans le salon.
N’y tenant plus, j’ai dégrafé son short ,il ne portait rien dessous. J’ai sucé sa teub à travers le tissus avant de la libérer : 18 par 5, droite et très dure … une très belle queue ! Je l’ai sucé dans trois ou quatre positions et il m’a juté dans la bouche. On a repris nos esprits et discuté un moment lui fumant une clope.
Quelques heeures se sont passés. Nous avons parlé, de tout, de rien mais surtout de sexe. Il m’a avoué qu’il avait un fantasme (en fait, je le lui avais demandé !) : il aimerait bien violer un mec.
J’ai ressenti des picotements au niveau de mes couilles et de ma rondelle … Etant très passif…………….
Le temps passa alors très vite ,il était affalé à poil sur le canapé ; … Il venait de cracher tout son jus dans ma bouche …
moi j’étais en boxer à genoux devant lui à contempler sa queue encore raide et maculée de son jus … Il me dit
et me propose d’aller nous allonger sur le lit non loin de là … Il se couche sur le côté et me demande de me placer sur le ventre à côté de lui. Il pose ensuite sa main droite sur mon cul et me caresse à travers mon boxer. De temps en temps, il glisse sa main sous le tissus et en ressort assez rapidement. Sa main s’immobilise à présent sur ma fesse gauche, il a le bout des doigt dans ma raie. Seul reste encore le tissus de mon boxer entre nous. Il ne bouge plus et nous savourons ce moment d’extrême détente.
Au bout de 10 minutes environ, il retire sa main ce qui me sort de cet état de plénitude et de somnolence.
-" J’arrive tout de suite, je vais vite pisser " me dit-il.
J’ouvre un œil, je le contemple dans toute sa nudité avec sa bite à moitié raide.
Il revient après quelques instants et se couche sur moi. Il me caresse tendrement et ondule son corps en se frottant à moi. Je sens les quelques poils de son torse dans mon dos et surtout sa queue qui se frotte contre mon cul.
" Ca va ? J’ai pas été trop long ? " me chuchote-t-il à l’oreille.
" Si, j’ai trouvé ça interminable " répondis-je avec un petit sourire.
" Je vais me rattraper alors. Je vais bien m’occuper de toi " me dit-il en me léchant la nuque et l’oreille.
Ce beau mec était sur moi, ondulait son corps contre le mien avec beaucoup de sensualité et me chuchotait des mots tendres. J’étais aux anges.
" Tu veux que je continue à m’occuper de toi ? ".
" Oui, vas-y … je suis à toi ".
" Oh super … rassure-toi, je vais bien m’occuper de toi, c’est demandé si gentiment ".
Il continue ses gestes tendres, ses caresses et petites " léchouilles " un peu partout. Je m’abandonne à ses attentions. Soudain, en moins de temps qu’il n’en faut pour l’écrire, il me chope par un poignet, y place une menotte, puis chope l’autre poignet, passe l’autre menotte derrière le radiateur et l’attache au poignet libre. Quand j’ai compris ce qui m’arrivait, c’était déjà trop tard.
" Qu’est ce que tu fais ? ".
" Comme tu vois, je m’occupe de toi. Tu crois quand même pas que j’allais me contenter d’une pipe. C’est rien d’autre que des préliminaires. Pour être rassasié, il me faut un cul. Et le tien ne demande qu’à être bourré ".
Il m’écrase de tout son poids et fait glisser sa queue à nouveau très raide dans ma raie.
" Je vais te baiser, que tu le veuille ou non. Je vais t’enculer salope, et bourrer ton petit cul de chienne. Tu voulais de la bite, tu vas en avoir ".
Pendant que je le supplie de me relâcher, il s’active sur mon boxer qui ne résistera pas longtemps à ses assauts.
Je sens sa main qui malaxe mes fesses, ma raie et ma rondelle. Apparemment plus aucun morceau de tissus ne recouvre mon cul. Il s’en approche et crache à trois reprises sur ma rondelle. Il y introduit deux doigts.
" Mmmm, t’es bien ouverte, ma salope ! "
Il recrache deux fois dessus puis se place derrière moi. Son gland chatouille mon trou deux ou trois fois puis s’enfonce d’un coup. J’en pousse un cri immédiatement étouffé par sa main qu’il place sur ma bouche. Sa queue a entièrement disparu en une fraction de seconde. Ses grosses couilles pleines viennent buter contre mon cul. Il reste immobile.
" Ta gueule salope, vas pas rameuter les voisins … Sinon, ils risqueraient d’avoir aussi envie de t’enfiler … c’est sûrement ce que tu veux, grosse pute ! ".
Son bassin s’est remis en mouvement. Il me donnait de longs et puissant coups de queue. Sa main est restée sur ma bouche pour m’empêcher de manifester quoi que ce soit. Il me bourrait comme un fou, en ne faisant pas attention à moi. Il m’a pris pour son plaisir, rien que son plaisir. Il me traitait comme un poupée gonflable, c’est-à-dire sans égard … J’étais juste bon pour lui tirer le jus …
" Alors, ça te plaît ? Tu la sens ma grosse queue ? Tu sens comme elle bourre ta chatte de petite pute ? Tu voulais de la queue, bein là t’en as … Profites-en … ".
Il s’active à me bourrer à fond, sans aucun ménagement. Sa queue entre, sort de mon cul, s’y enfonce de manière violente et saccadée. Il me lime comme un ouf. Au bout de cinq minutes, je l’entends gémir et il décharge son jus dans mon cul. Il s’affale sur moi, essoufflé … sa queue profondément enfoncée dans mon cul.
Au bout d’une minute, il enlève sa main de ma bouche et commence à s’excuser.
" Oh putain, qu’est ce que j’ai fait ? Je suis désolé mec, je sais pas ce qui m’a pris … J’aime bien ton petit cul, on dirait un cul de meuf … J’en avais grave envie … Putain, qu’est ce qui m’a pris ? Excuse moi ".
A ce moment, je sens une larme couler dans ma nuque. Il avait l’air sincère. Son comportement m’a attendri. Il est redevenu doux et tendre comme un petit garçon qu’on vient de choper en train de faire une connerie. Il était couché sur moi, se lamentait sur ce qu’il venait de me faire. Ses gestes tendres, ses larmes et sa queue qui ne débandait pas m’ont littéralement ému. D’accord, il m’a violé mais il est tellement mignon.
" T’inquiètes pas, c’est pas grave " lui répondis-je pour le rassurer. " C’était un peu douloureux au début, mais après, j’ai trouvé ça bien. T’inquiètes mais tu aurai pu me baiser sans avoir a m’attacher ".
On se parle enfin. Il argumente son acte en le ponctuant d’excuses. J’essaie vraiment de dédramatiser tout ça en le rassurant.
" C’est vrai ? Tu m’en veux pas ? C’est vraiment nul ce que j’ai fait … Et toutes ces insultes, en plus ! ".
" Non, tu n’étais pas maître de toi à ce moment-là. C’est une pulsion qui a pris le dessus. Tu pouvais pas lutter contre . Je t’en veux pas. Et comme je t’ai dit avant, je l’ai senti passer au début, mais par la suite, ç’a m’a plutôt plu ".
" Ah bon ? Ca t’a plu de te faire prendre comme un pute ? "
" Bein … … oui , je t’avais suivi depuis la grande surface , c’est que j’avais envie de ta queue qui chercher de l’air au rayon des livres"
J’étais toujours allongé sur le ventre, les jambes écartées et les poignets menottés au radiateur. Il s’est relevé et était à genoux derrière moi. Je ne voyais rien, je n’entendais rien. Après quelques secondes, j’ai senti sa grosse teub entrer dans mon cul et s’y enfoncer jusqu'à la garde. Tout ceci s’est passé très rapidement, son jus faisant office de lubrifiant …
" Tu m’as bien chauffé en me disant que ça t’a plu salope ! Alors puisque t’as aimé ça, on recommence … on aurait tort de s’en priver, tu trouves pas ? "
Je ne pouvais pas lui répondre puisqu’il a remis sa main sur ma bouche. Et sans attendre, son bassin a repris un mouvement fort, saccadé et violent. Sa queue fouillait mon fondement avec frénésie. Il était reparti dans le même délire qu’auparavant. Seul son plaisir comptait. Il me limait violemment en enfonçant sa queue au fond de mon cul. A chaque fois que ses couilles venaient taper contre mon cul, il m’arrachait un cri, mélange de douleur et de plaisir … Ce cri était étouffé par sa main qu’il maintenait fermement sur ma bouche … Quelques minutes plus tard, ses coups de butoir étaient toujours aussi puissants.
" Ahhhh, elle est bonne ta chatte … t’es une bonne salope, tu vas encore me faire jouir … mmmm ! "
Sa queue a ensuite ralenti la cadence pour s’immobiliser au fond de mon cul. Il a relevé son torse, s’est cambré en arrière et a crié son plaisir. Il gémissait en ondulant un peu, déversant tout son foutre au fond de mes entrailles.
Il s’est ensuite retiré. Son jus en fit de même et se déversa lentement vers mon entrejambes et mes couilles …
" Waow, c’était excellent … t’as vraiment un bon cul ! "
De mon côté, j’avais la sensation que ma rondelle était totalement explosée. J’avais l’impression d’être très ouvert, d’avoir le cul en chou fleur.
Il s’est couché sur moi, s’est excusé encore une fois pour son comportement, il m’embrasse dans le cou, se relève et me détache. J’étais en extase devant sa queue qui se dressait encore fièrement entre ses cuisses.
-" Euh … Tu veux peut-être aller prendre une douche ? " me dit-il avec un large sourire.
On se dirige vers la salle de bain. je m’engouffre dans la douche. Il me rejoint et commence à me savonner doucement et tendrement le côté face. J’en fais de même. C’est vrai que c’était un moment très agréable : parcourir son corps superbe, le savonner et sentir ses mains me faire la même chose …
-" Retourne-toi, s’il te plaît, que je puisse te laver de l’autre côté " me dit-il.
Je sens qu’il déverse un peu de gel douche dans mon dos puis il commence à le savonner. Doucement, il descend vers mon cul qui a droit au même traitement. Mais très vite, je sens quelque chose de bizarre, comme si un onzième doigt venait se mêler à tout ça. Je passe une main vers mon cul et je sens sa queue de nouveau raide. Ses caresses sous la douche m’ont bien chauffé. Je prends sa queue en main et je la dirige vers mon cul. Quand je sens son gland contre ma rondelle, je donne de petites poussées vers l’arrière dans sa direction. Sa tige s’enfonce à nouveau dans mon cul mais cette fois-ci lentement.
C’est moi qui donne à présent le rythme : j’ai sa queue dans mon cul et je me baise … il me caresse, me tient par les hanches, caresse mon cul … Au bout d’un moment, je le laisse prendre les rennes. L’eau chaude continue de couler entre nous. Il me pénètre à un rythme lent tout d’abord, puis accélère la cadence après quelques minutes. A présent, il ne me viole plus, il me baise simplement … et c’est très très très agréable …
Au bout d’une dizaine de minutes à me faire prendre de la sorte, je le prévient qu’il va me faire jouir. Ravi de l’entendre et sans arrêter de me baiser, il passe sa main devant moi et me branle. Je ne tarde pas à juter. Mon foutre va s’écraser contre le mur de la douche. Il me tend ensuite sa main pour que je lèche le jus qu’elle renfermait. Une fois propre, sa main rejoint l’autre sur mes hanches. Il me tient fermement et me baise sans arrêt. Il accélère la cadence pendant quelques secondes puis immobilise sa teub au fond de mon cul, comme la fois précédente. Il remonte ses mains le long de mon torse et joue avec mes tétons. Il commence à gémir de plus en plus fort. Sa queue reste blottie au fond de mon cul et son bassin ondule lentement. Il décharge son jus au fond de mon cul pour la troisième fois. Quand il a retrouvé ses esprits, il parcours mon corps de ses mains en me caressant tendrement. Sa queue reste encore un long moment au fond de mon cul.
Après quelques minutes, il se retire et finit de me toiletter. J’en fais de même et nous sortons nous sécher. Je m’apprête à sortir de la salle de bains à poil quand il me donne une petite tape sur les fesses …
Cette petite fessée amicale me fait bondir … Je me rends compte que je suis seul, dans ce grand lit, il n’y a personne euuh si il y avait quelqu'un qui dormait a
poings fermés…
Oh putain, ce n’était vraiment qu’un rêve …
A SUIVRE
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Le lendemain matin, Simon avait décidé d’aller aux champignons. Nous buvions le café tranquillement à poil dans la cuisine, quand le téléphone sonna. J’entendais Simon parler au téléphone dans la salon, puis il revint vers moi.
Ca ne me dérangeait pas bien sur, après tout, je n’étais pas chez moi. Je demandais à Simon s’il fallait que je mette un slip ou une serviette autour de ma taille. Il rigola et me dit que son petit-fils était cool. Ils allaient souvent se balader a poil dans la nature. J’étais rassuré.
Une heure plus tard, j’entendis une mobylette entrer dans la cour. Simon ouvrit la porte. Le jeune homme fit la bise à son grand-père et Simon me fit signe d’approcher.
- Je te présente Pierrot, il est là quelque jours pour m’aider à faire le bois. Je serrais la main au jeune garçon.
- Lui, c’est Mathieu, tu veux du café, il y en a encore tout chaud.
Simon servit un bol dans la cuisine, je m’installais sur le banc. Quelques instants plus tard, Mathieu entra dans la cuisine entièrement à poil. Il s’était déshabillé dans l’entrée. Je me sentais à l’aise.
- Ca y est, nous sommes entre hommes maintenant, dit Simon.
Mathieu était très grand, il avait la peau très blanche, beaucoup de poils autour du sexe et les cheveux coupé court.
- On va où aux champignons, Papy, demanda le jeune garçon qui buvait son café.
- Dans le bois derrière, c’est la bonne saison.
Simon se tenait debout derrière moi. Je sentais son sexe sur mon épaule. Je n’osais pas bouger. Mathieu leva les yeux sur nous. Simon me caressait l’épaule. Je me sentais bien, naturel, Simon était rassurant.
- On y va, demanda Simon, voyant que Mathieu avait fini son bol ?
On se leva et nous dirigions vers la porte. Simon prit un panier en osier au passage et nous sortions tous les trois a poil tranquillement.
- Il fait bon ce matin, dit Simon.
- C’est vrai, répondit Mathieu, on est mieux là qu’en ville.
Nous nous engouffrions dans le sous-bois. Il y avait de jolies clairières. Simon marchait devant. Après une demi-heure de marche, Simon proposa de s’arrêter quelques minutes dans une petite clairière ou l’herbe était verte pour se reposer. On s’allongeait tranquillement sur l’herbe. Simon en profita pour pisser debout devant nous. Je repensais à la veille quand nous avions pissé ensemble. Je commençais à bander.
- T’as vu, dit Simon a son petit-fils, il en a une grosse.
J’ en étais un peu géné.
- T en as pas une si grosse, dit-il a Mathieu.
Le jeune garçon se rebella et écarta les jambes.
- OH ! Papy, elle est pas si petite que ça.
Simon s’approcha et prit sa bite dans la main.
- Tu t’entraines bien à la branler j’espère…
Simon approcha sa bouche et engloutit entièrement le sexe de Mathieu.
- Elle grossit bien quand on la suce, dit Simon après quelques minutes. Moi je bandais a fond en regardant le grand-père et son petit-fils ensemble. Je commençais à me toucher.
- C’est vrai qu’elle est grosse, me dit Mathieu en regardant ma bite.
- Ben vas-y, suce- lui dit Simon.
Mathieu s’approchait de ma bite et commença a sucer mon gland. Sa langue était chaude et très experte pour un jeune homme de son age.
Simon pelotait mes couilles. Puis il me dit :
- Tu devrais goûter la bite du petit.
Je me redressais et commençais à lécher la bite de Mathieu qui bandait bien dur.
Simon s’allongea dans l’herbe et dit à Mathieu.
- Viens me montrer comment tu te branles bien dans une bouche maintenant.
Mathieu s’assit sur le torse de son grand-père et se mit à se branler. Son gland touchait les lèvres de son grand-père.
- Ca va venir, Papy.
Ils étaient d’une beauté incroyable.
Mathieu se masturbait de plus en plus vite en regardant son grand-père. Simon attendait la bouche grande ouverte et la langue tendue. Tout à coup, un douce rivière de sperme se déversa sur la langue de Simon. Toute blanche, laiteuse, en abondance. Simon attendit la dernière goutte et avala entièrement la délicieuse substance. Il me regarda en souriant.
- C’est divin, dit-il.
Mathieu, posa quelques bisous sur les lèvres encore humides de son grand-père. Je sentais que j’allais jouir à mon tour. Je ne pus me retenir. Simon ouvra à nouveau la bouche et mes jets puissants rentrèrent au fond de sa gorge encore tapissée du sperme de Mathieu.
Mes couilles frémissaient de bonheur. Pour faire plaisir à son grand-père, Mathieu se mit a le sucer.
- Ca vient petit, dit soudain Simon.
Mathieu continuait jusqu’à ce que tout a coup il immobilise sa bouche et toute le sperme de la bite de Simon se déchargeait dans la bouche du petit. Ca dégoulinait le long du sexe de Simon. Je ne pus m’empêcher d’intervenir et de lécher les guelques gouttes restantes. En retirant sa bouche, Mathieu laissa s’échapper le sperme qu’il n’avait pas pu avaler entièrement. J’avais envie de l’embrasser. Nos bouches étaient si près l’une de l’autre. Mais Mathieu dirigea sa tête vers son grand-père et l’embrassa tendrement , j’étais un peu déçu mais c’est normal.
Nous nous reposions un peu avant de reprendre notre marche dans la forêt. Chaque fois que Simon se penchait pour ramasser un champignon, Mathieu et moi nous nous regardions d’un air complice. Mathieu devinait mes envies. Il me souriait.
- Il est temps de rentrer, nous dit Simon, on a assez de girolles pour une bonne poêlée à midi.
Nous regagnions la maison.
Simon faisait très bien la cuisine. Nous nous étions régalé.
Après déjeuner, il suggéra d’aller dans son atelier afin de finir la réparation du vieux tracteur. En effet, celui-ci était tombé en panne et il avait du refaire lui même quelques pièces cassées.
Le nez sous le capot, Simon raccordait des vieux câbles. Mathieu rabotait des pièces de bois dans l’étau de l’établi. Moi je passais les outils à Simon. J’en profitais pour lui toucher le cul de temps en temps. il en bandait comme un cerf.
Mathieu avait besoin d’un coup de main pour tenir une planche.
- Il est beau ton grand-père, dis-je a Mathieu, ça c’est un homme, un vrai.
- Tu l’as déjà enculé, me demanda Mathieu.
- Oui, hier soir.
- Tu dois avoir un bon cul aussi, me dit Mathieu.
- Je suis serré, répondis-je , mais j’aimerais bien.
- Tu veux que je te le travaille un peu avec Papy?
J’acceptais volontiers. Je me mis sur le dos sur l’établi. Simon vit ma rondelle les jambes écartées.
- Il faudrait un peu de salive, dit-il a Mathieu.
Simon se mit à genoux parterre et me lécha le cul. Mathieu commençait a bander et entra deux doigts dans mon trou.
- Enfonce bien , lui dit Simon
- Oui vas-y Mathieu, écarte moi bien le trou, suggérais- je.
Mathieu mit ses doigts dans sa bouche pour les mouiller et enfila 4 doigts. Simon m’embrassa comme pour m’encourager.
- Met lui un manche d’outil, dit-il à Mathieu.
Le petit saisit un manche de marteau, le fit lécher à Simon et commença à me l’introduire. Il bandait bien. Je sentais le manche rentrer a fond dans mon ventre.
- C’est bien, s’exclama Simon. Tu devrais essayer de l’enculer maintenant.
Mathieu retira le manche et pointa sa bite devant mon trou. Il entra facilement. Simon approcha sa bite de mon visage. J’ouvris la bouche et commençait à le sucer. Mathieu limait doucement.
- Ca fait du bien.
- Vas-y petit, jute lui dans le trou.
Mathieu accélérait le rythme et tout a coup, lacha sa délicieuse purée dans mon trou. Au même moment, Simon déchargea dans ma bouche.
- Remplis le bien, dit Simon à son petit fils.
J’avais la bouche pleine de sperme. Simon avait envie de pisser. Il profita que j’avais la bouche ouverte pour envoyer quelques jets de pisse. Tout en étant au fond de mes entrailles , Mathieu approcha sa bouche de la mienne. Nous buvions ensemble la pisse du grand-père lorsque je sentis que Mathieu commençait à pisser dans mon cul.
Je me sentais rempli. La pisse mélangée au sperme dégoulinait parterre. Mathieu se retira de mon cul. Simon le rejoignit et lui dit
-tu as été génial et l’embrassa goulûment .
J’étais vidé. Mon corps enfin s’apaisait. Mais je n’avais pas joui. Simon se mit a quatre pattes.
- Viens, c’est mon tour maintenant.
Je me relevais de l’établi et pointais ma bite vers le trou grand ouvert de Simon.
Mathieu s’était glissé sous lui et lui léchait les couilles. Je rentrais facilement. Nos couilles s’entrechoquaient. Je sentais la langue de Mathieu nous lécher les couilles et la rondelle de son grand-père.
- Je vais cracher.
- Vas-y Pierrot, met tout dedans.
J’inondais de jus le cul de Simon. Mathieu continuait à lécher le trou et nos couilles. Apres quelques minutes, je me retirais doucement. Le jus commençait à sortir du cul de Simon.
Mathieu saisit ma bite en bouche. Il ne perdait rien. Mathieu continua à me lécher le gland. . J’étais vidé
Simon se releva. Du sperme coulait encore sur ses couilles. Il en ramassait le plus possible et se léchait les doigts. Il les introduisait dans son cul et les ressortait plein de sperme. Délicatement, il rentra un doigt dans le cul de son petit fils en faisant bien rentrer le sperme. Mathieu me nettoyait toujours le gland avec sa langue. Simon renouvela l’opération. Le sperme qui sortait de son cul lubrifiait ses doigts qu’il enfonçait dans le cul de Mathieu puis à la fin, écarta les fesses du petit et enfila sa langue. Mathieu semblait aux anges. Il poussait au maximum. Sa rondelle se dilatait, Simon passait sa langue tout autour et dans le trou du petit.
- C’est un délice, dit Simon.
- J’ai hâte de me faire enculer un jour, nous dit Mathieu.
Nous le ferons, répondit Simon. Tu seras un homme ce jour-là.
Nous achevions la réparation du tracteur. Je bandais à chaque fois que je repensais au cul ouvert de Mathieu. Il me branlait un peu de temps en temps et retournait à son étau.
La fin de l’après midi approchait. Mathieu devait repartir.
- J’aimerais tellement rester avec vous deux, avoua Mathieu, l’air triste en remettant son jogging. Je reviendrais bientôt Papy, dès que je le peux.
La maison est toujours ouverte, mon petit, répondit Simon.
Mathieu monta sur son mobylette et rentra chez sa mère.
Nous avions passé une superbe journée.
Je devais repartir le lendemain. J’avais promis à la voisine que je récupèrerais mon fils avant le week-end.
Simon me ramena en voiture chez moi au village. Nous étions tristes tous les deux. Durant tout le trajet, nous nous caressions les cuisses, les couilles, la bite. Je lui promettais de revenir bientôt. Il avait encore beaucoup de travail pour moi. Je lui répondais que je pourrais sans doute venir pendant les vacances de Pacques.
En rentrant à la maison, je repensais à tous les merveilleux moments que nous avions passé ensemble.
Jérémy frappa à la porte ; il avait vu que j’étais rentré. Comme d’habitude, il se déshabilla et garda son T-shirt et ses chaussettes ; il avait toujours froid. Il me demanda comment s’était passé mon travail chez Simon. Je lui dit que c’était un Monsieur super, et que je m’étais très bien entendu avec lui. Jérémy à l ‘age de Mathieu ,pas besoin d’expliquer notre amour mais il voyait bien que j’avais une érection dès que j’en parlais. Ca ne le gênait pas, mais il ne me posa pas de questions, même si nous étions très libres l’un envers l’autre. Je lui dis seulement qu’il y avait eu aussi le petit-fils de Simon et qu’il était très sympa.
Le soir, avant de me coucher, je me branlais encore en pensant à Simon.
A SUIVRE
une histoire fiction , avec mon ami Pierrot , dit le vosgien , on avait fait le paris d'écrire chacun un fantasme sur le même thèmes
"rencontre en forêt" sans se concerter avant:
voici ma version dans l'article précédent "rencontre en forêt" ( si avez vous lu ) ce que Pierrot a écrit .. les 2 articles ayant été écrite parallèlement en même
temps
C’était un après midi d’été, j’avais envie de me balader NU, je me suis donc rendu dans la forêt où je me rend de temps en temps qui est en fait un endroit où de drague a la nuit tombante : j’arrive sur les lieux, et vais donc me garer plus loin qui est une impasse et tout près du bois. Il n’y a personne, je coupe le moteur.
Je me suis déssapé dans la voiture, pris mon petit sac a dos (que je prends toujours avec moi où il y a un Plug, un god, du gel, du poppers, un bandeau, une serviette de bain… enfin tout un attirail qui peu servir pour des bon plans…) je sort de la voiture complètement a poil ne gardant que mes baskets en laissant mes affaires a l’intérieur.
Il fait très beau et le fait de sortir de la voiture a poil m’excite, je commence à bander, je m’enfonce lentement dans le bois et me ballade ainsi sur des petits chemins qui part vers toute sorte de direction.
Je ne rencontre personne pendant une bonne 40ene de mn , j ‘avais traversé le bois et arrivais en bordure de la grande nationale il fallait faire demi tour lorsque j’aperçois une silhouette quittant sa voiture et s’avancer vers moi sur le même petit chemin, je m’arrête et me met a pisser contre un arbre, il arrive a ma hauteur, me regarde et ne m’arrête pas .Je fini de pisser et me retourne, le mec avait fait demi-tour et reviens vers moi.
- T’as envie de quoi ? me dit-il
- N’importe… suce et autre…et toi ?
- Ok suce moi alors…
Ni une ni deux je me mets à genoux, le mec sort sa teub, il ne bande pas mais je la fait grossir dans ma bouche, il n’est pas très expressif mais je l’entends quand même gémir, pendant que je le suce je m’amuse avec mon index en le faisant sortir et rentrée dans mon cul en me disant que peut-être il aurais envie de ma baiser mais non le mec se retire de ma bouche, se branle et éjacule sur mon torse, il remballe sa bite et s’en va sans même dire merci.
Je me relève et continu mon chemin laissant le sperm dégouliner le long de mon ventre.
Je quitte le petit chemin et me retrouve face a un endroit plus vaste avec une table de pique nique en bois, avant de sortir du chemin je scrute les alentours ,une voiture immatriculée en Vosges stationne ,il n’y a personne, je m’avance vers cette table et m’imagine que je me fait baiser dessus comme une salope , cette idée me fait tellement tripé que j’en oublie l’espace qu’il y a autour, je sort alors ma serviette et me couche dessus, pour pimenter encore plus mon trip je prend mon god et me bande les yeux, me graisse le cul, relèves mes cuisses et m’enfile le gode, excité a mort, j’en oublie que quelqu’un pouvais me voir ainsi, en train de me faire défoncé le fion couinant comme une salope,
(ce qui arriva car lors d’une petite pose),
je repose mes pieds sur la table en gardant mes cuisses bien écarter tout en continuant a faire aller et venir mon god dans le cul lorsque j’entends du
bruit,
je fait mine de ne pas avoir entendu et continu mon godage, une main me stoppa prenant la situation, je me laisse faire, je relève mes cuisses en les bloquants avec mes bras afin de bien
m’ouvrir. Putain !!! C’est bon…
Je me fais goder en couinant comme une petite femelle afin de faire comprendre a cet inconnu que j’aime ça.
- Humm… t’aime ça salope ?...
- Ouiii…humm…c’est bon…
Il me gode pendant un petit moment puis me demande de m’asseoir dessus, je me redresse et m’assois sur la table mes pieds reposant sur le ban, le mec monte sur le
banc, je n'entendis pas le bruit de sa braguette , était-il déja à poils?.
- Ouvre la bouche…
J’ouvre et il me fourre sa bite bien raide dedans,une bite de cheval tellement elle était grosse , je le suce comme une chienne en chaleur.
- Humm… ouééééi vas-y… suce salope…ouééé… c’est bon…humm putain c’est bon…t’es une bonne salope toi !...arrête… j’ai envie de t’enculer…rallonge toi…
Je me rallonge, il enlève le god et y introduit sa bite à la place, il me défonce comme un taureau en rut.
- Han…han…putain
de salope… t’as un bon cul…je vois que t’aime la bite toi…humm ouai… c’est bon…
Il m’encule à fond, accélères ses mouvements puis d’un seul coup s’arrête au fond de mon cul et dans un grand gémissement il se vide dedans.
- Harggggg !!!…. Ouiiiiiii….
Il reste un moment en moi reprenant son souffle et se retire.
Je l’entends repartir......., je reste là dans la même position les cuisses écarté et me caresse l’anus, je sens son sperm sortir de mon cul, j’y rentre un doigt, je suis tellement dilaté que
j’en rentre 2 autres d’un coup, je me doigte et mon cul est encore en chaleur, je soulève mon bandeau, cherche mon god et me l’enfonce, je m’accroupis et m’empale dessus comme si c’était une bite
en me branlant, je me lime le fion à fond et ne tarde pas a jouir sur la table. Je remballe mes petites affaire dans mon sac pour rejoins ma voiture au départ de bois.
la voiture est toujours garée , mais je ne vois pas si il y a quelqu’un a l’intérieure, peut-être mon inconnu…
Je rejoignis ma voiture , ne pris même pas le temps de le rhabiller et repartis vers chez moi plutôt contents et soulager.
Je remarqua que la voiture du parking ma suivait à distance…. Pour m’en assurer , je tourna à droite…la voiture suivait….je tourna une nouvelle fois a gauche pour contourner le lotissement…la voiture suivait…..
C’est bien ce que je pensais c’était mon inconnu.
Arrivé devant chez moi , je resta quelques instant dans la voiture , regardant dans le rétro ce qu’il allait faire.
Il se gara derrière ma voiture et ne bougea pas.
Bon j’étais à poils certes , si c’est mon inconnu il m’y a déjà vu…. alors je sortis de la voiture et me dirigea vers la sienne.
J’ouvris sa portière ..surprise ….. , lui aussi était a poils
Il sortit de sa voiture , tous deux a poils nous rentrions a la maison.
A suivre
une histoire fiction , avec mon ami Pierrot , dit le vosgien , on avait fait le paris d'écrire chacun un fantasme sur le même thèmes
"rencontre en forêt" sans se concerter avant:
voici ce que Pierrot à écris et vous aurai ma version dans l'article suivant , les 2 articles ayant été écrite parallèlement en même temps
Voilà son histoire.
Un jour, j’étais sur un sentier près du village ou je me promenais juste avec mes baskets, et je vois arriver une voiture en face moi. Je m’écarte et me cache un peu pour ne pas gêner le conducteur. Je ne veux pas choquer les gens qui ne sont pas adeptes de mon style de vie.
La voiture s’arrête, un homme descend la vitre de sa portière et m’appelle.
Il me fait signe d’approcher, je m’approche sans pudeur mais un peu étonné et je vois que l’homme qui avait un peu plus d’une cinquantaine d’année était entièrement nu dans sa voiture.
- Je m’appelle Simon, me dit-il, et tu vois que moi aussi je suis à poil.
Il avait une barbe blanche comme le père Noël et était assis très décontracté les jambes écartées dans sa voiture.
Il regarde mon sexe au niveau de sa vitre. Je bande facilement et c’est vrai que de voir Simon aussi à l’aise sur le siège de sa voiture commençait à me faire avoir une érection.
- Bienvenu au club des vrais hommes, me dit-il. Appelle-moi Simon, y a pas de gène entre nous. Tu veux t asseoir dans la voiture qu’on discute un peu…
Je m’installais a coté de Simon. Je voyais qu’il bandait bien.
- Tu fais quoi dans la vie, mon garçon, me demanda-il ?
- Je suis horticulteur, je bosse dans les jardins, les parcs et les espaces verts. J’ai un C A P.
- Je vois que tu es un homme de la nature.
Il mit sa main sur ma cuisse. J’avais une super envie de l’embrasser mais je n’osais pas.
Je commençais à toucher sa bite aussi. Il avait de superbes couilles qui lui donnaient l’air viril d’un homme sans complexe et fier de les montrer.
- J’ai du boulot pour toi dans ma grange, me dit Simon, plusieurs stères de bois a rentrer. Si tu veux, je t héberge quelques jours et tu pourras faire le travail. 30 euros de la journée, ça te va ?
J’étais super content. Mais je lui dis qu il fallait que je m’organise, que je laisse mon fils à la voisine qui habitait une maison à 800 mètres de chez nous. Pour 2 ou 3 jours, elle était d’accord.,
Le lendemain matin, à 8 heures, j’arrivais sur le chemin a poil avec mon sac à dos. J’avais peur que Simon ne vienne pas, on sait jamais, un beau parleur qui m’avait promis du boulot.
Sa voiture m’attendait. Simon était bien sur a poil dans la voiture. J’étais rassuré et super content.
Pendant tout le trajet, il me racontait sa vie et moi la mienne. Il avait 55 ans et était déjà grand-père ; il vivait dans un chalet perdu dans la campagne, seul et a poil. Il était venu dans ma région pour chercher du bois à acheter.
Dans la voiture, on se regardait souvent nos bites et se les caressaient quand on avait envie, naturellement. J’avais envie de le sucer, mais je trouvais ça dangereux en voiture. Il me branlait un peu de temps en temps tout en regardant la route. Pour la première fois, je me sentais totalement à l’aise avec un homme même plus âgé que moi, il n’y avait pas de barrière.
On arrive dans son chalet. Un beau terrain avec pas mal de boulot. On descend de voiture et me fait visiter chez lui. On boit un café dans la cuisine. On était bien.
Je bandais un peu. Tu peux te branler, me dit Simon. J’avais en effet très envie.
Il se mit a genoux parterre et commença à me lécher le gland. Elle est bonne ta queue, me dit-il. Je bandais comme un âne. Je me laissais faire. Il bandait bien. Je peux goûter, je lui demande ? Bien sur. Il se lève, j’avale sa bite. Elle avait un bon goût de naturel, pas de savon, ni d’eau de toilette.
Ca faisait tellement longtemps que je n’avais pas sucé. Je me branlais.
Il me tendit son bol de café et je me mis a me branler plus fort. Apres quelques minutes, 3 bonnes giclées atterrissaient dans le café. Il reprit le bol et avalait son café jusqu’à la dernière goutte.
J’avais aussi envie qu’il éjacule, mais j’étais là pour travailler. Je me levais avec lui et nous allions dans la grange.
Il y avait beaucoup de bois en tas à ranger. D’autres bûches à couper.
Nous étions bien tous les deux dans le hangar a poil, comme si nous nous connaissions depuis des années.
Je commençais a fendre les plus grosses bûches. Simon ramassait et empilait du bois. Quand il se baissait, je voyais son cul devant moi. J’essayais de ne pas être troublé et je redoublais d’effort à fendre les bûches. Une heure après, je suais.
Je lâchais ma hache et commençais à pisser debout dans les sciures.
- Je vais en faire autant, me dit Simon.
Il s’approcha de moi et commença a pisser parterre, puis sur ma queue. Nous commencions à rire. On s’arrosait de nos jets de pisse. Elle était bien chaude. Simon en recueillit dans sa main et lécha. Elle est bonne. Je goûtais dans sa main et je re-pissais dans le creux de sa main que nous partagions dans nos bouches.
L’après midi passa très vite. Je l’avais aidé a réparer un vieux moteur de tondeuse a gazon. On s’était sucé, branlé, joui, on rigolait, parfois on s’embrassait, on s’était roulé une superbe pelle avec son sperme dans la bouche. De temps en temps, je lui mettais un doigt dans le cul, ça lui faisait plaisir, moi, je bandais sans arrêt. Il avait vu que j’étais serré du cul mais lui avais demandé d’essayer quand même de rentrer des doigts s’il avait envie. Le bonheur.
Le soir, on avait mangé tranquillement dans la cuisine. Simon avait préparé une délicieuse omelette. En le voyant nu devant les fourneaux, je me disais que c’était les plus beaux moments de ma vie. Je me caressais les couilles, je mouillais un ou deux doigts que j’entrais profondément dans le cul de Simon. Il continuait a surveiller la poêle. Son trou était un délice, ça glissait tout seul. Son omelette était divine.
Apres dîner, il avait fait un feu de cheminée. On s’installait sur le canapé et profitait de la chaleur du feu. Simon nous avait servi deux digestifs. En voyant que ça me chauffait le gosier, Simon se leva et me pissa un peu dans la gorge. J’allais mieux. Je rebus une rasade de digestif.
Nous étions cote a cote allongés sur le canapé a regarder les flammes. Simon s’enfilait des doigts dans le cul, j’avais la bite toute raide. Puis il se leva et approcha son cul de mon gland. Je mouillais. Son trou devenait luisant. Lentement la moitié de ma bite rentra.
J’aurai pu rester des heures dans son cul. En faisant des petits mouvements de va et vient et en me caressant les couilles, je sentais mon sperme monter. Mes deux mains enlaçaient Simon ; Je lui pinçais un peu les seins. Ma sève montait et tout a coup, sans pouvoir me contrôler, mon sperme sortit comme un geyser dans le ventre de Simon. Il ne bougeait plus. Il savourait les giclées qu’il sentait envahir ses intestins. Nous sommes restés longtemps comme ça. Je débandais un peu mais nous étions l’un dans l’autre, en osmose. Je me mis à branler Simon. Il bandait dur. Puis il mit sa main devant son gland et de magnifiques jets de sperme rem plissèrent le creux de sa main. Il goûta d’abord, puis m’en offrit. Son nectar était délicieux. Il en reprit un peu, puis m’en redonna. J’achevais de lécher le reste de sperme. Je lui mis mes doigts dans sa bouche. Il se retourna légèrement et nous nous embrassions goulûment en entremêlant nos langues.
Puis Simon sortit de ma bite qui était encore dans son cul. De son trou bien dilaté, coulait mon jus en abondance. Je ne pus m’empêcher de lui lécher la rondelle et de récupérer un maximum de liqueur dans ma bouche. A nouveau, nous nous embrassions.
Nous sommes allés nous coucher. Serrés l’un contre l’autre dans son lit, je m’endormais très vite, heureux.
le lendemain matin
A suivre
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