lesbohommes

Mardi 2 décembre 2 02 /12 /Déc 16:07

Bien profonde please

C’est l’histoire de cousinage que l’on ne parle pas souvent ,mais qui est en réalité plus fréquent que l’on ne pense.

il y a une quinzaine d'années

Un jeune garçon , Claude âgé de 16 ans , beau brun ,part en vacances chez sa tante, celle –ci a une jeune fille du même age , Sabine grande brune , bien moulé , une vrais poupée.

Tous les après midi ils sortent ensemble faire une ballade dans la foret voisine , et un jour Sabine lui dit en rigolant

  • c'est vrais que tu es un peu poilu?
  • oui pas trop mais c 'est bien 
  • tu me montreras ?
  • peut être si tu m’embrasses

la jeune fille ne dis mot ,mais son sourire en dis long , mais part en courrant entre les arbres , Claude parti a sa poursuite , et au détour d’un gros chêne il se retrouvèrent les bras dans les bras , Claude ne perdit pas de temps et l’embrassa sur la bouche , Sabine se laissa faire , Claude se mis a la caresser …

tous les jours suivant le même scénario , et Sabine sans s’en rendre compte excite Claude qui devient très très chaud et là lui dit

  • Allez , s’il te plait montre moi tes seins ?
  • Si je te les montre tu enlèves ton polo
  • Oui oui juré

Elle dégrafa son corsage et ne portait pas de soutient gorges Claude vit ces deux superbe mamelons et voulu les toucher

  • non pas touche enlève déjà ton polo

il s’empressa de lui montrer son torse ou quelques poils faisaient leurs apparition au milieu de deux petits tétons
        maintenant tu peus embrasse mes seins

Claude mordillait les tétons , baladait ses mains le long de ces beaux seins doux et très ferme, très excité il pris une main de la jeune fille et la posa sur son pantalon ou son sexe était bandé a mort

  • stop pour aujourd’hui faut renter
  • S'il Te Plais laisse moi allez plus loin
  • NON Claude peut être demain

Le lendemain Claude parti se promener ,comme les jours suivants sans résultat. Alors il lui tendit un piège , il fit tout pour que Sabine devienne un peut jalouse en embrassent la petite voisine de Sabine qui ne manqua pas d’aller le chanter a celle ci. Et depuis Sandrine semble céder du terrain.

Ce matin ,il pleut , ma tante est parti pour la journée , je flâne dans la chambre à poils , soudain on frappe a la porte

  • C’est moi Sandrine ..tu es réveillé Claude puis-je entrée ?
  • une minute je passe mon shorti ……. c’est bon tu peus entréé…
  • bonjour cousin whaaa tu es super comme ça
  • merci
  • eh ! ben je ne pensais pas que tu etait si beau ,c’est marrant de voir ce petit filet de poils roux qui part de ton nombril vers bas , je peus toucher
  • oui bien sure avec plaisir

sa main douce sur mon ventre caressait poils et s’arrêtait a l’élastique.

  • tu sais il descende plus bas ,tu peus toucher ma touffe.
  • J’ose pas
  • Allez fait un effort ça me ferait plaisir , tu as jamais vu ou toucher un sexe de mec ?
  • Non jamais moi j’ai pas de frère ou garçon a la maison.
  • Ben si tu veus voir fait vite le temps que je suis pas encore excité.

Elle plongea sa main dans le shorti

  • Ouéééé quelle douceur , elle est petite et ça c’est quoi ces boules.
  • Mes couilles tu déjà vu dans les livres ou sur des statut
  • Si si mais j’avais jamais touche du rééel

Tout en me parlant elle me masturbais sans s’en rendre compte , je lui avais enlevais sa robe , elle s’était laissé faire , elle était là en slip devant moi ma bite a la main qui devenait de plus en plus raide.

Après avoir mordillé ses tétons je lui glisse a l’oreille

  • Allez , s’il te plait, laisse moi aller plus loin , juste un peu. Laisse moi te caresser ton sexe ?
  • NON , pas question , je suis encore vierge et je veus le rester j’usquau mariage
  • T’es pas sympa moi je te laisse toucher , s’il te plait laisse moi toucher
  • Bon d’accord mais tu touches juste.

Alors Claude glisse la main dans la petite culotte

  • hummmm ! ! c’est doux , ah ! ouiiii c’est humide ça doit être bon lui glisse –t-il a l’oreille et elle répond par des gémissements
  • Allez , s’il te plait , laisse toi faire encore
  • NON , je t’en prie , Non
  • Allez , s’il te plait
  • Non n’insiste pas

Mais Claude à de la suite dans les idées , super excité par Sandrine qui n’arrête pas de le branlé inconsciemment

Je te promets , je ne mettrais que le bout dans l’entée . C’est juré ! .

  • laisse moi te lêcher le sexe au moins .. lui dit il , tout en lui retirant sa petite culotte

elle ne répondit pas , mais écarta les jambes pour me laisser passer ma langue dans sa fente de plus en plus mouillée.

Elle se tortillait , elle aimait , Claude en voulais plus.

  • Je te promets , je ne mettrais que le bout dans l’entée . C’est juré !
  • Non pas question je veus rester vierge jusqu’au mariage.
  • Mais tu sera encore vierge , Je te promets , je ne mettrais que le bout dans l’entée . C’est juré !

A force d’insister , elle fin par céder

  • Bon c’est daccord , tu mets juste le bout , pas plus , et puis tu arrêtes
  • Promis , juste un peu rentré et je fais semblent de faire l’amour

Bon mets toi sur le dos, écartes bien les jambes ,quand mon sexe sera a la hauteur du tien passe tes jambes autour de mes reins et laisse toi aller je t’ai promis " juste le bout "..

Il rente à peine son extrémité turgescente et là le gland au contact des lêvres brulante d’une chatte en chaleur Claude ne parvient pas à ce contrôler , la jouissance précosse monte et HOP ! suivi d’un coup de reins inévitable rentre son engin complétement jusqu’aux couilles et démarre aussitôt le ça-va-ça vient…..

 Sabine gémit , son corps vibre et elle crie

  • Allez continue , c’est d’accord , vas-y , rentre la entièrement maintenant je la veus a fond vas y
  • AH ! NON , pas question , un marché est un marché et puis j’avais pas mis le préservatif
  • Mais je la veus
  • NON T’en pis le marché était " juste le bout " ça sera pour la prochaine fois
  • Alors demain à fond je la veus compris !
  • Je te prend au mots, mais faut que tu me la suce tout de suite
  • Donne …donne ……mais elle est toute molle ?
  • Normal après avoir passé au four ça rétréci        ( hihi )

Elle le suça avec vigueur , il joui de nouveau et les jours suivants, les vacances se terminent.

les cousins n’etait plus vierge et aujourd’hui 10ans plus tard vive ensemble et ont un joli bambin.

Par simon - Publié dans : histoire racontée
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Dimanche 30 novembre 7 30 /11 /Nov 09:00

cette fiction est une histoire qui aurai pu existée. les photos sont du net pour agrémenter  .

j'ai ecri en mémoire de mon ami Claude disparu cette année là.

 

 

Dans les années 60  , moi Simon j'avais 15 ans et mon meilleur ami  , Claude , un superbe rouquin de 16 ans avec qui je passais beaucoup de temps a  découvrir notre penchant pour les garçons.

Nous habitions dans un petit village du nord Meusien (50 habitants) proche de la fontière Belgo-Luxembourgeoise et a cette époque nous n'avions pas grand chose pour nous distraire a la campagne.

un jour , me promenant seul , dans le haut du village , je fus interpellé.

-- ptit vien voir

voyant une grand mère agité les bras par la fenêtre , pensant qu'lle avait besoin d'un service , je courru vers elle.

--vous avais besoins de quelque chose , madame?

--oui ptit , tu pourais aller me chercher quelques courses?

-- bien sur madame ( moi qui été toujours pret a rendre service )

--tien voici 10f et ce que je veus est sur le papier ,

je courru vers la minuscule épicerie chercher les courses.

-- voila madame

--rentre ptit je vais te donner une surprise

Je n'avais jamais rentré chez cette personne , Whaaa !! que c'est confortable et bien entrenu.

-- mets toi sur le canapé je range ça  et je suis a toi

je m'installa donc confortablement et j'attendais la grand mère

--ça vas j'ai pas eté trop longue ? moi c'est Margurite et toi?

-- moi c'est Simon

--c beau comme prénom me dit elle en me posant une main sur la cuisse ( a cette époque on ne portait pas de pantalon mais que culotte genre shorte) un frisson traversa mon corps.

-- merci madame

-- Simon laisse tomber madame appelle moi Margo

--bien m'dam........heu !! Margo

--tu as quelle age ? et peut etre déja une copine...

--15 ans et pas de copine

--ben ça alors tu devrais

--boff j'aime pas les filles

Sa main avait sous l'entre-jambe de ma culotte et elle pelottait mes couilles et ma bite qui ne perdit pas de temps pour bander.

--Avec un jouet comme ça a ton age , je te comprend pas.

--oui mais moi je prefère mon copain Claude

--humm faudra que tu me le présente , tu permets je la sucerai bien

un peu perturbé et sans refléchir je repondit

-- oui Margo avec plaisir

En moins de deux je me retrouva à poils la bite dans la bouche de Margo , elle me sucait avec délice  ,elle se redressa et enleva son corsage ,je ne savis plus ou regarder , gener , ses seins pendouillait jusque sur son ventre , c'etait loins de la beauté de ceux de ma mère que j'épillait parfoit par la serure de la porte quand elle etait dans la salle de bain.

elle vit que j'etait troublé.

--je ne suis plus jeune , tu sais mais.........

prenant ma main elle me fit caresser un sein en me disant

--mordille moi le téton

ce que je fis , et là j'ai senti ma bite bander plus fort , elle tenait toujours ma main et la promenait sur son ventre  pour me faire decouvris une partie bien poilue , chaude et humide

ma respiration s"accelera et soudain j'éjacula dans sa bouche qui n'avait pas quitter un instant ma bite.

--ben Simon tu perd pas de temps

--excusez moi Margo

--c 'est normal la prochaine fois tu faira mieux car faudra que tu revienne faire les courses la semaine prochaine

--OUI Margo si vous avez besoin je suis a votre service

-- j'y compte bien et tu peu venir avec ton copain Claude

 

  le lendemain je raconte a mon copain Claude ce que Margo m'avait fait apres lui avoir fait ses courses.

--Quoi la vielle pute à osé te faire ça !

--pourquoi tu dis ça , elle est gentille Margo

--c'est clair mais c'est une vrais salope

--tu dis n'importe quoi

--demande a ton père , tous les mecs du bled lui sont passé dessus

--tu dis ça mais les gens sont con et jaloux

--mais non , elle est en manque elle veus se faire baiser c tout

--et si elle te le demandait?

--la vielle je lui bourre le cul comme a toi

--elle  ne voudra surement pas

--ça sera son cul d'abord et apres sa chatte brulante

--ben en attendant aujourd'hui c'est moi qui t'encule

 

les semaines suivantes je rencontrais Margo , ma bite l'interessait de plus en plus , ça chatte brulante lorsque j'y mettais un doigt  , magrés les demandes répetées de Margo je ne ôuvais la baiser , elle m'excitait tellement que mon éjaculation precosse gachait tous. alors je pris le courrage de lui dire ce que Claude m'avait confier.

--la semaine prochaine c'est Claude qui passera faire vos courses car je part avec mes parents une quinzaine de jour.

--s'il veut mon cul faudra qu'il me baise avant , il aura pas le choix

--Margo c'est votre probleme sans compte qu'il a une bonne bite et je vous fait une confidence mon cul adore

--sa bite est comment par apport a la tienne.

--hummm Margo elle est plus longue et plus fine.

--dans ce cas ma chatte en premier et t'inquiète Simon tu l'aura a ton retour.

--bien Margo je vous embrasse a bientôt

Apres m'avoir sucer , et que je lui ai rempli le bouche de mon jus elle m'embrassa sur la bouche pour me faire gouter ma semence et ajouta

-- a bientôt mon cheri

 

La quinzaine fut interompu pas une mauvais nouvelle , que c'est-il passé??

Margo est en prison , Claude est parti .

 

 

6 mois plus tard

je veus savoir ce qui c'est passé alors je me rend au tribunal pour suivre le jugement de Margo

 

novembre 1960 9H30 au tribunal

  -- Accusée levez vous

la vielle dame se le lève et vient a la barre

--identifiez vous ?

d'une voie sur mais assez faible on entend

-- Marguerite , veuve , 86 ans

L'avocat de la défance:

--Quel âge avez vous? parlez plus fort svp

-- j'ai 86 ans

--pouvezvous nous raconter avec vos propres mots ce qui voue est arrivé se jour d'avril 1960?

-- J'étais là , je prenais le soleil d'avril sous mon porche lorsque le jeune homme rouquin beau comme un ange est arrivé

--vous le connaissiez?

--non je ne l'avais jamais vu , il semblait bien gentil et ressemblait beaucoup au description faite par le jeune Simon qui fait mes courses habituellement

  --vous nous en aviez jamais parlé de ce jeune Simon

--non je n'ai rien a lui reprocher a lui , quand au bel angerouquin il est venu s'assoir pres de moi

--Qu'est-ce qui est arrivé après qu'il se soit assis a côté de vous?

--il a commencé à me petrir les seins en me disant "vieille salope, tu aimes la bite, je vais t'en donner"

--Et à ce moment là, avez vous tenté de l'arrêter?

--Non je n'ai pas essayé

--Et pourquoi donc?

--Parce que j'aimais ça, qu'on me parle cru comme il le faisait ,personne ne s"etait occupé de moi comme ça depuis que mon Georges est mort , il y a trente ans.

--Qu'est-ce qui est arrivé ensuite?

--on est rentré a l'interieur il m'a mis a poil et jouai avec mon cul en disant donne moi ton cul apres je te prend

--Et Alors?

--je lui ai dit baise moi et je te donne mon cul il a refusé et de force ma enfoncé un bite en plastique dans le cul , il me limais le cul , c'était bon mon Georges il ne m'avais fait ça lui ,il devait pas savoir....

--hummm !! continuez?

--eh bien , au bout d'un moment , j'étais devenue tellement excitée que je me suis mise sur la table basse sur le dos , le machin dans le cul, les jambes écartées je lui ai dit "prends moi maintenant , prends moi"

--Et est-ce qu'il vous a "prise" ?

--BON DIEU NON ! . C'est à ce moment là que ce salaud a crié "Vieille Pute ma bite n'est pas pour ta gueule" "va te faire foutre"  et ajoute  "POISSON d"AVRIL"

comme un ressort je me suis relevé , j'ai saisi la carabine , j'ai tiré dessus  et j'ai bien tiré en plus j'ai fait exploser ses couilles et sa bite qu'il a pas voulu me donner , j'y suis pour rien s'il en est mort je n'ai jamais voulu le tuer.

 Dans la salle certain applaudissait ,d'autre l'insultait

--Silence ou je fait evacuer la salle continuez ?

 

--j'ai appelais les secours aussitot , quand les pompiers sont arrivé , j'étais toujours a poils et  la bite en plastique dans le cul , un pompier m'a dit " trop tard pour le ptit et ben  votre chatte c'est pire que les dents de la mer il fait pas bon venir pour vous baiser"

quelque heures plus tard

 

verdic = ACQUITE en raison de votre age

 

 

OUI LA VIE est parfois INJUSTE

 

moi j'avais perdu mon meilleur ami.

 

je n'ai jamais baisé Margo elle est morte le lendemain du verdic

 

Par simon
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Mardi 25 novembre 2 25 /11 /Nov 19:50

clein d'oeil a l'actualité un dessin de DELIZE

 

 

désolé Segolène les éléphants ton viré mais tu es la meilleur

Par simon
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Mardi 4 novembre 2 04 /11 /Nov 19:08

HOMME a tous faire

Voisins de quelques maisons , un couple soit disant hétéro , qui après une dizaine années de mariage semble a le dérive Hervé m’avait démontrer depuis le début qu’il aimait les mec mur comme moi.

Pendant les vacances d’été Monique etait parti seul en vacances et Hervé m’avait demander si je pouvais passer de temps en temps chez lui pour passer de bon moments.

C'était un vendredi soir , fin Aout , lorsque je décide de retourner voir mon ami Herve ,.
Je rentre avec les clefs qu'il m'avait prêtées pour faire son ménage, arrivé dans son salon, OH ! surprise ,je retrouve sa femme qui lisait un livre à poils sur son canapé ,je n’en suis pas surpris de la trouver ainsi ,l’ayant déjà vu lors de soirée bien arrosée chez eux..
Salut Martine
- Ah ! Salut Simon comment vas tu ?
- Bien et toi, déjà fini tes vacances ?
- Oui, il y a déjà une semaine, c'était génial, soleil, chaleur et surtout je n'étais pas avec mon con de mari.
Je me rends compte que les choses ne se sont pas arrangées.
- Tu ne vas pas me dire qu'il ne t'a pas manque un peu ?
- Alors là pas du tout, lorsque je suis rentrée, il était avec 2 potes devant un match de rugby, tous les 3 affales sur le canapé, avec une bière à la main et des chips plein le sol.
- Il a du s'ennuyer et donc il a appelé ses potes !
- C'est ce que j'ai cru, mais lorsque je suis rentré dans la maison, je lui ai souri et j'ai voulu l'embrasser, il m'a regardé et a juste dit " Ah tu rentres déjà ? "
- Ah mince ! Dans mon fort intérieur, je rigolai.
- Il paraît Simon que tu es venu lui donner un coup de main ?
- Oui oui !
- Pour faire quoi déjà ?
Sa question me parut un peu bizarre.

-Il paraît que tu l'as aidé à la maison mais je n'ai pas vu de changement.
- J'étais juste venu faire un peu de ménage la première semaine.
- Et tu as lâché l'affaire, je te comprends, moi j'en ai eu marre lorsque j'ai vu l'état de la baraque.
- Non mais j'avais des autres choses à faire, alors je ne suis pas revenu, et il est ou là ?
- Il est parti a la pèche dans une cabane qu'un pote lui a prêté.
- Et tu n'es pas allé avec lui ?

-ben non et j’ai eu raison vu que tu es venu

-ah ! bon tu attend quoi de moi ?
-que tu me baises a sa place , tu te souviens a mon anniversaire.
-Heu ! ! ! oui mais j’avais un peu bu ce jour là
-eh ! bien , pas grave si tu as pas bu , moi j’ai envie d’une bonne bite et ça sera mieux qu’avec mon CON de mari.

En un retour de main je me retrouvais a poils , ma bite dans ça bouche , elle eu vite fait de me mettre en condition , me bascula sur le canapé et s ‘empala sur ma bite me branlant dans sa chatte bien chaude ,avec ma main je me mis a jouer avec sa rondelle , elle semblait aimer.

--tu le voudrais bien mon cul… hein hein Simon

--heuuu , peut etre mais si Herve apprend ça

--fait pas chier Simon , fait pas le difficile encule moi

-oui mais si Hervé…
- ce CON ne sait rien faire, je le vois comme un CON devant la porte sa canne a pêche, avec une clope au bec, nous admirer ,le rendre jaloux à crever allez encule moi Simon montre moi que tu n’est pas comme lui " un CON ".
je lui bourra le cul , la chatte , la bouche , elle me vida les couilles comme jamais

épuisé tous les deux , elle me servit une vodka tonic

Apres un café ou elle repartait à déblatérer sur lui... je partis en disant

- Et elle est où cette cabane ?
- Pourquoi tu veux aussi pêcher ?
- Non mais je vais passer lui dire bonjour.
- J'en sais rien, mais il a son portable, peut être qu'a toi il va répondre.
.

Il était déjà 20 heures.
- Allo !
- Salut c'est Simon !
- Ahh salut comment tu vas, alors tu m'as lâché la dernière fois.
- Oui je sais, excuses moi mais j'avais des trucs à faire, tu es où là ?
- A la pêche.
- Et tu pêches où ?
- Près d'un étang.
- Non mais où exactement que je vienne te voir.
- Ahhh...
Il m'indiqua la route et au bout d'une heure environ je débarquai dans un bois privatise et je vis au loin une petite lumière brillai.
Toc Toc
- Rentres nouinouille, ça caille dehors.
Il était là assis sur un fauteuil près d'une cheminée, avec une clope presque terminée.
- Coucou
- Tu vas bien ?
Il s'approcha d'un pas lourd. Il était encore plus beau que la dernière fois. Mal rasé, mal coiffé, un pantalon vert proche du corps marquant des cuisses puissantes, un pull noir en laine moulant son torse et délimitant à merveille ses pectoraux, des grosses chaussures noires. Ses yeux brillaient par la fumée de la cheminée, ce qui ravivait le vert de ses yeux.
L'hésitation dans notre poignet de main, le fit rire et il m'entoura de ses bras muscle et me mit une petite tape dans le dos.
- Tu sais tu vas te les cailler habille comme tu es !
J'avais juste un jean bleu clair moulant mes fesses à merveille, un petit pull marron en laine fine sans rien de dessous.
- Je sais, j'ai déjà froid, j'avais pas prévu la pluie qui tombe ce soir.
- Attends j'ai peut être un autre pull ou une veste !
Il se baissa vers son sac et me présenta son cul.
Ce cul, super beau,  une bombe, a tomber par terre.
Il se retourna et sorti un pull super grand, vert chasseur, horrible.
- Tiens, mets ça !
- Merci, en plus c'est trop beau !
Il passa ses bras dans le bas du pull et me dit :
- Viens là !
Il passa le pull sur ma tête, je glissai mes bras.
Il baissa le pull jusqu'en bas, passant ses mains sur mes hanches.
- Fais voir un peu l'allure que tu as avec ce pull ?
Alors avec une main sur la hanche, je pose comme pour un photographe.
- Retournes toi  voir?
Sans réfléchir de suite, je me retourne et lui fais voir de dos.
- T'es canon comme ça !
- J'imagine oui !
- En tout cas le jean il te va bien !
- Ah, vas-y mattes mon cul ! pendant qu tu y es !
- Chacun son tour !
Il me dit cette phrase en me faisant un clin d'œil.
On se met à rire fort.

- Tu veux boire quelque chose, j'ai des bières, évidemment, du coca, de l'eau, en tout cas je n'ai rien à t'offrir à manger, je pensai pêcher un poisson mais bon je ne suis pas très doué !
- Non mais figures toi mon p'tit pêcheur du dimanche, j'ai pris du café chaud dans un thermos et des trucs à manger !
- Alors là tu es trop fort, je crève la dalle t'imagines même pas.
- Je m'en doutai que tu partirais sans rien, petit assisté !
- C'est trop trop bien !
Tout en disant cela, il me met une main dans le dos pour accompagner mon pas pour me diriger vers la table, arriver a la table, il retire sa main vers le bas et frôle mes fesses.
- Alors le thermos, tu as des tasses ?
- Euh, ouais !
- Des pates à la carbonara, un camembert et des yaourts.
- Trop trop bien, un festin de roi, tu es génial, en fait c'est toi que j'aurai du épouser il y a quelques années.
- J'étais trop vieux, tu t'es marié quand ?
- Alors j'ai 32 ans, donc ça fait 8 ans.
- J'avais 55 ans, super.
- T'es con.
- En plus tu sais j'ai toujours été un bon mâle !
- Je sais bien ça, n'empêche, tu es super cool, tu penses a moi pour des petits trucs qui font super plaisir, tu sais que j'aime les pates...
- Et le café !
- Ouais.
- Mais bon, on n'aurait jamais niqué.
- Alors là, si tu crois que je t'aurai épousé sans te baiser après.
Nous pouffons de rires.
En plaisantant, il me pelote une fesse et me dit :
- Ce petit cul qui aurait été mon petit cul, tous les soirs dans mon petit lit, hummmmm.
A pleine main, je lui mis une main au paquet et dit :
- Et cette queue qui aurai été mienne.
Lorsque ma main était sur sa queue, je cru rêver, j'avais l'impression qu'il avait mis une andouillette directement dans le caleçon. Une masse de chair, un paquet de vrai mec.

-Bon ce n'est pas tout ça, mais j'ai trop faim, de parler de cul m'a ouvert l'appétit.
- Moi  aussi d'avoir senti et touché m'ai ouvert l'appetit.
- Arrêtes papy ! Viens on mange.
On s'installe a la table, il me servi un coca et moi je lui donnai des pates.
- Encore un peu. Merci !
- Tu es vraiment un glouton, tu manges trop vite.
- C'est juste parce que c'est trop bon et que ça fait plus de 12 heures que j'ai rien mangé.
Le repas termine, je lui demande de me faire visiter cette cabane.
- Tu sais on va vite faire le tour. Alors là c'est la pièce principale, là c'est une petite salle de bain avec lavabo et toilette, et là...
Il descendit une échelle du plafond.
- Grimpes, c'est la chambre.
Je monte l'echelle doucement en me cambrant un peu pour faire ressortir mon petit cul car je sais qu'il me suit de près.
- Il doit y avoir un bouton sur le sol pour allumer la lumière.
Arrive en haut je me baisse en avant pour essayer de trouver l'interrupteur.
Il est derrière moi.
- Je ne trouve pas !
- Attends.
Il monte un peu plus si bien qu'il se retrouve juste derriere moi, c'est alors qu'il me tient les hanches alors que je suis toujours pencher en avant et se baisse également pour trouver le bouton. Je sens sa queue sur mes fesses.
- Tu trouves ?
- Non.
- Attends.
Je bouge un peu mes fesses pour qu'il ait plus de place pour étendre ses bras et trouver cette lumière. Il me tient toujours par une hanche et tâtonne le sol.
- Je ne trouve pas cette lumière de merde !
- Tu veux que je bouge un peu plus.
- Attends.
Il déplaça sa main sur ma fesse gauche pour m'écarter un peu plus les fesses en passant sa main a l'intérieur de ma cuisse, mais le jean qui est quelque peu serré empêche une grande ouverture, alors il prit les passes ceinture et remonta mon jean au maximum, si bien que mon jean rentra dans ma raie. Et il m'écarta au maximum les jambes.
La masse de son torse et sa main sur ma hanche gauche me fit me cambrai le dos et il passa son bras droit au dessus de ma tête et trouva enfin ce bouton.
Lorsque la lumière s'illumina, je découvris une chambre avec un matelas au raz de sol avec sur plein de couvertures, d'oreillers.
- C'est chouette !
- Quelle aventure pour cette putain de lumière, regardes nous un peu !
- C'est vrai que c'est position fait un peu levrette et si tes potes nous avaient surpris ainsi ils rigoleraient bien.
- C'est clair, ça fait un peu levrette !
Il passa sa main sur mes fesses avec insistance.
- Tu as quand même un joli petit cul !
- Merci, je suis content qu'il te plaise.
- Ouais, c'est très excitant tout ça.
- Ah ouais ?
- Ouais.
Je le fixai du regard, lui aussi, je passai ma langue sur ma lèvre supérieure. Je me retournai si bien que je me retrouvai sur le dos avec lui au dessus de moi.
- Je rêve de t'embrasse là papy !
- Te gènes pas.
Il se baissa complètement sur moi. Moi les jambes écartées avec une main sur ses fesses musclées, lui au creux de mes jambes, passant une main dans mes cheveux pour me tenir la tête et l'autre passant sur ma fesse.
Il me déposa un baiser endiablé.

Je vibrais de plaisirs pour l’exiter

- Putain !!! T’es une sacré chienne toi… tu vas m’sucer la bite maintenant.

Je lui dégrafais donc son pantalon et sortis sa bite déjà raide que j’engloutis dans la bouche.
- Ouai…hummmm… vas-y papy… pompe moi bien comme ça… ouai… t’es une sacré salope c ‘est pas la Martine qui fairait ça……

Je sortis la bite de ma bouche pour laisser échapper " pourtant elle fait ça bien "

Il répliqua :

-le jour de son anniversaire ah ! oui mais elle avait trop bu…

-peut être mais elle fait sa bien

- allez vas-y continue ouéé… hummmm… c’est bon… ouéé… t’aime la bite hein salope… ouééé… comme ça vas-y… allez… avale bien ma teub vieille pute… allez…


Puis âpres ½ heure de suce il m’ordonna.

-Vas-y tourne toi… fais moi voir ton trou de chienne… hummmm… j’adore… j’vais t’enculer salope…

-tu n’osera pas

-tu vas voir ; allez viens t’asseoir sur ma queue… ouééé… comme ça vas-y… enfonce toi bien sur ma bite… hummmm putain… ouéé… allez vas-y… prend tout dans ta chatte salope… bouge bien ton cul salope… allez !!! Bouge… défonce toi le trou comme une bonne putain… ouééé comme ça… hummmm… c’est bon chienne…ho putain !!!... ouééé … allez vas-y…comme ça… ah !…ah ! la Martine jamais elle veut que je touche a son cul…..

-ah ! si tu savais mon Hervé murmurais-je dans ma tête

Comme une putain que j’étais devenu, je montais et descendais sur sa pine me défonçant le trou, puis il me baisa dans toutes les positions qu’il imaginait. Debout, a 4 pattes, couché sur le ventre, sur le dos etc...
il me baisa ainsi pendant une bonne heure alternant ma bouche et mon fion, il aimait bien sortir de mon cul pour se refaire sucer et re-rentrée dans mon cul ensuite.
Mon trou était tellement bien ouvert qu’il pouvait y rentré son chibre à fond, sans difficulté.

Puis enfin, il me largua tout son foutre au fond de mon cul, tien prend ça papy la Martine n’en a pas besoin et il y resta un moment planté dedans.

-et dire que la Martine ne veut pas que je lui baise le cul
-vaudra que je lui demande
-tu me le dira quand tu voudras je lui foutrais une bonne cuite avant
-pas la peine elle m'as toujours dit depuis son anniversaire " a toi je te donnerai tous"
-ben tu a de la chance toi
-comme toi aujourd'hui en lui faisant un gros clein d'oeil
Je le laissa dans sa cabane et repartis chez moi .

Le soir je m’endormi en me disant la Martine et Hervé    un bon petit couple ou j’ai ma place d’homme a tous faire

A SUIVRE

Par simon - Publié dans : ma vie
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Dimanche 26 octobre 7 26 /10 /Oct 08:18

a tous mes fideles lectueurs , je vous remercie de votre fidelité
et vous offre quelques bisous  et une serie de beaux mecs que j'imagine etre vous



POILU

ou ROUQUIN












 IMBERBE naturel














ou comme  LUI pas trop mais souriant



MON amour
J'adore me blottir dans tes bras
Doucement, tendrement
Me coller contre ton corps
Qui me réchauffe à chaque fois
Et passionnément sur ta peau
J'y dépose un doux baiser
A cet instant, une sensation magique me traverse
Qui change complètement l'air de la pièce
Transformant nos moments de tendresse
En une fine pluie de caresses
J'ai envie de crier sur tous les toits
L'amour que j'éprouve pour toi
Te faire comprendre que tu comptes beaucoup pour moi
Et simplement pour te dire
Que je t'aime très fort



ou comme ce miroir qui donne vous donne de droit d'Aimer son corps





























pour certain qui Aime attendre leur maitre























ou  qui Aime le vévo



le ballon















boire a la source





















voila c'etait un petit appercu de comment j'imagine tous les lecteur de mon blog
bientot de nouvelles aventures
Par simon
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Dimanche 31 août 7 31 /08 /Août 08:30

??

report d'abus sur le blog : lesbohommes
Bonjour,
un visiteur de votre blog lesbohommes vient de reporter un contenu abusif sur les pages dont vous avez la responsabilité.
Voici son message et ses coordonnées.

email : 3333@33.com
desciption : http://lesbohommes.over-blog.com/70-index.html
raisons : je croie que c'est un blog interdit pouviez vous verifier desoler j ai pas de mail



Réponse :   ce visiteur annonyme qui  n'as pas le courrage de dire ce qui lui plais pas et veus punir trous les fideles lecteurs de ce blog .
quand on veut critiquer on le dit ouvertement.
que vient-il faire sur un site aduldes ou il sait tres bien qu'il y a des choses qui peuvent choquer.

voila je n'en dirais pas plus , amis lecteurs je suis désolé pour vous , vous ne connaitrez peut etre pas la suite........

Par simon
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Lundi 4 août 1 04 /08 /Août 08:03

voila bien longtemps que je n'ai plus eu d'aventure pour des raisons de santé , apres un long sejour en hospital ,je decide d'aller prendre quelques jours de repos dans le Loiret ou depuis un moment j'ai découvert un AMI ,  que dis-je plus que ça un AMANT .  Nous irons nous promener dans le bois pas trés loin de son village , voici en image le reci de cette ballade....
Apres un bon moment , marchant main dans la main comme de jeunes amoureux .
Laurent ('c son prénom) profita de mon envie de pisser pour se prendre dans les bras , quelque bisous et mes mains se mirent a le deshabiller















découvrant son torse inberbe ,  Laurent dit :
___ ah! tu veus jouer a c petit jeu et bien Ok

ouiiii depuis le temps que je te veux

alors Laurent commença  a enlever  mon polo ,  je me mis a lui mordiller les tétons et tout en lui faisant des bisous sur son torse je descedais vers son nombril et avec mes dents fis sauter la boucles de la ceinture













le pantallon tomba a ces pieds , il portait slip noir


   

que je fit sauter rapidement  , je ne perdit pas de temps pour gober sa belle bite déja bien bandée 













___ Ouuuéé  hummmm

il semblait apprécier et ma défoncer la bouche et ajouta

___ AH ! AH !
tu l'as veus Cheri

_ OUi mon Lapin je le veus oh! OUIIIIII

___mais moi aussi je veus te sentir en moi couler ta sève

_ OK mais moi dabord....

Laurent inversa les roles , enlevant mon pantallon me laissant que le slip ,
se
releva
 pour me rouler une superbe pelle














puis comme des enfants qui ne savent pas ou commencer
, acroupi nous masturbant reciproquement                               quelques embrassades














comme pour se donner un peu de courage

_ Allez Laurent .......lui dis en lui montrant mon cul  ......il est a toi
comme un peu timide Laurent hesitais un peu , je le sentais

_ allez Laurent  , c bien continue

Arqueboute sur mon baton , je sentais sa bite enter en moi 


___ ah! tu a voulu jouer la salope

_OUIIIII

___ Prend ça vieux con

_AH! continue j'aime Laurent quand tu me dis ça








me tenant par les hanches Lauent me pillonait avec force

___ putain t'as un bon cul

_ oui cheri remplie moi

__fout toi a quatr pattes salope


_ vas y  OUIiii j'en veus

___ T'es vraiment un pute moi qui croyais que c'etait moi la salope

_ t'inquiete tu y passera apres

___tu me remplira aussi , j'adore et en plus ta bite est plus grosse tu vas m'exploser le cul

_ j'y compte bien

Laurent repris sonlimage de plus en plus vite et avec force
me tenant par les épaules le sentais la bite au plus profond de moi
quand soudain s'éleva un grand   cri
OUIIIII AH! PUTAIN  C , c BON AAAAAHHHHHHH!!!!! OUII OUIII

 Laurent venait de sécrouler sur mon dos en sueur

apres quelques instant il s'écria

__ trop bon..... oh ! oui .... tu viens pour me baiser et c moi qui t'ai baisé vielle salope....

_whaaaaa ça ete super e ton tour maintenant


' a suivre....

Par simon - Publié dans : ma vie
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Jeudi 31 juillet 4 31 /07 /Juil 08:15
voila plusieurs mois que pour raison de santé je n'ai pas ecris de nouvelles histoires , mon cousin Romain , 36 ans est venu me rendre visite a l'hospital et ma raconter cette histoire , lui qui se dit Hétéro a 100% , je n'aurai jamis cru qu'il aurait franchi le pas car il a été longtemps a critiquer mes envies d'aimer les hommes , alors je vais vous la raconter.

Ma femme est heureuse, moi, beaucoup moins. Marié depuis dix ans maintenant cela fait bien cinq que je la côtoie, la supporte plus que je ne vis avec, en tant qu'homme je veux dire !

Ceci me pose comme chacun peut le comprendre des problèmes intimes difficiles à gérer. Je pourrais aller aux putes, elles me répugnent. Je pourrais prendre une maîtresse mais cette perspective ne m’ attire pas. Je pourrais aussi demander le divorce mais je ne me sens pas assez fort pour vivre la confrontation, la situation qui s'en suivrait. Et puis, il faut le dire, je ne me sens plus le goût pour chercher une autre femme

Un terrain de camping, un mobil-home, la plage : les vacances enfin ! Depuis huit jours ma femme et moi sommes sur ce petit terrain à ……………. La mer est à côté mais il y a un monde fou. Pour avoir une place pour mettre sa serviette il faut faire un vrai parcours du combattant et encore ! Pour aller de cette place si difficilement acquise à l’ eau, c’est une nouvelle course d’obstacles !. Donc, j’évite les vagues et voilà pourquoi aujourd’hui seul sur cette plage, perdu parmi la foule des estivants, je regarde la mienne se baigner. Elle est heureuse, elle me fout la paix !

Sur le terrain, près de notre mobil-home, il y a un monsieur seul, d’un certain âge, charmant dans ses manières et ses propos dont nous avons fait connaissance. Il n’est pas très grand, un peu bedonnant, le teint clair, un peu dégarni, toujours jovial et souriant. Il plaît énormément à ma femme avec laquelle il a de longues conversations. Moi, bien que je n’aie rien à lui reprocher objectivement, il me met mal à l’aise. Envers lui j’ ai des sentiments très partagés. Si d’un côté il m’ exaspère, d’un autre je suis malgré moi, incompréhensiblement, attiré vers lui. Quelque chose qui ressemble à de l’affectif. Un peu comme s'il était un père encombrant.

Chaque fois qu’il me regarde, il me sourit et ce sourire me déplaît. Et puis Comment dirai-je ? Trop beau pour un homme, très âgé , en petite tenue, négligé, décontracté.

Mais il plaît à ma femme ! Alors il passe beaucoup de temps en notre compagnie, ne rate pas une occasion de venir nous voir. Il faut dire que du matin au soir, il est alongé sur son fauteuil de toile à regarder les gens aller et venir. A croire qu’il ne fait rien d’autre durant ses vacances. Cela fait plus d’un mois qu’il est là ! Il connaît tout le monde, tous les petits cancans qui circulent. Il ne se prive pas de les diffuser !

Le camp est endormi maintenant et moi j’ai envie d’aller pisser. Je me lève sans bruit, enfile un short tout simple et sort pour aller aux toilettes. J’aurai pu pisser dans le mobil-home ; il y a un cabinet. Mais j’ai envie de sortir, de respirer l'air frais, de regarder les étoiles. Je sais d'autre part que je ne me rendormirai pas rapidement. Surprise ! Il est là, sur son fauteuil, vêtu d’une belle robe de chambre bleu ciel avec un parement blanc qu'on croirait de soie tellement elle brille et est légère.

Quelle aubaine pour lui, quelle catastrophe pour moi ! Je ne peux l’esquiver. Il me souhaite le bonsoir, me demande où je vais à une heure si tardive et ajoute, taquin, que c’est gentil de lui rendre visite, qu'il ne va pas me laisser aller seul à une heure pareille. D’ailleurs ça tombe très bien lui aussi a envie de pisser. HORREUR !!!.... Comment refuser sans être le dernier des grossiers personnages !

Nous voici donc déambulant de concert dans ce terrain où tout le monde est endormi. Arrivés aux urinoirs, il se met à côté de moi et ouvre en grand sa robe de chambre. Il ne porte qu'elle !

Mon short est un simple short à élastique. Je n'ai pas mis de slip. Je dois donc passer l'élastique de mon short sous mon sexe pour pouvoir pisser. Il me mate sans aucune gêne. Moi je suis tellement gêné que je ne peux pas pisser et lui pisse me montrant ostensiblement son engin. Il me regarde et me demande pourquoi je ne pisse pas aussi. J’ai envie de lui foutre mon poing sur la gueule et en même temps cette situation imprévue ne me déplaît pas autant que je le prévoyais! Après quelques efforts je pisse enfin et lui me dit sa satisfaction de me voir me débloquer. Il ajoute - pour m'être agréable ?

* bel engin, quelle chance , avec ça vous devez rendre votre femme bien heureuse. ! !

* "Regardez le mien, voyez comme il est petit ! C'est pas drôle, croyez-moi ! "

Comme si rien ne s'était passé, il referme sa robe de chambre et me convie à faire le tour du camp au lieu de rentrer directement me coucher.
Je devrais lui refuser. Mais comment le lui dire ?
Quel prétexte inventer pour ne pas être blessant ? Car je ne veux pas le blesser, alors que je devrais lui mettre ma main sur la figure à ce vieux vicelard !

Nous faisons donc le tour du camp. Nous parlons de choses et d'autres, du ciel surtout, chapitre sur lequel il est à l'aise et dont il a une bonne connaissance. Il est gentil, disert, blagueur. Le temps passe avec lui, comme toujours, agréablement.

Arrivés à nos mobil-homes, je lui souhaite le bonsoir. Il s'offusque et me dit "  nous n'allons pas nous quitter ainsi et vous prendrez bien un petit quelque chose avec moi ? " .

Je ne sais pas dire NON et donc entre dans son mobil-home. Il me fait asseoir et me prépare un tilleul qui va m'aider à me rendormir. Il a bien vu que j'étais nerveux.

Moi je vois un exemplaire du journal "Tétu" sur son buffet. Que dois-je en conclure ?

* Ah ! C'est un journal que j’ai acheté dernièrement , je ne connaissais pas et j ‘ y ai lu des articles intéressants sur les rapports entre hommes.

Il me sert ma tisane et me déclare, ce qui n'est pas faux, "  fait bien chaud dans ce mobil-home ". Comme j'acquiesce, il ôte sa robe de chambre et se retrouve donc en tenue d'Adam. Voyant mon air surpris, il me dit :

  • Je ne vous choque pas au moins
  • Non !
  • Ah, j'ai eu peur ! Mettez-vous aussi à l'aise !
  • Non, ça va, je suis bien.
  • Je ne vous crois pas ! Vous êtes en sueur, je le vois bien !"

Il est vrai que, mal à l'aise comme je suis, je sue par tous mes pores de ma peau. Il s'approche de moi, me passe la main dans le dos et me la présente trempée. Je ne peux que satisfaire à sa demande. Nous voilà nus l'un en face de l'autre, lui toujours à l'aise ; moi toujours coincé. Contrairement à ce que l'on pourrait penser, cette situation ne me déplaît pas vraiment. Je suis intrigué, me demande comment agir, pourquoi j'accepte tout ceci, où cela va me conduire. C'est la première fois que je la vis. Je l'aurais jugée des plus dégradante si j'avais pu la concevoir auparavant. Au lieu de cela, je bois ma tisane me sentant de moins en moins gauche face à cet individu. Il me parle toujours de tout et de rien, me commente les derniers potins, se déplace dans la pièce très naturellement, fait notre petite vaisselle. Puis il vient se placer près de moi :

  • Tu sais que tu es très beau ?
  • Vous exagérez !
  • Non je t'assure. Et puis bien monté !

Joignant le geste à la parole il me prend la bite. Je me contracte immédiatement, me lève spontanément, le regarde d'un air furibard, ai un geste comme si j'allais le gifler, mais n'ose continuer mon geste.

  • Allez rassieds-toi, nous sommes entre hommes ! On peut parler franchement, librement. Nous sommes seuls. Que crains-tu ? Que je te viole ? Tu es bien plus jeune et plus fort que moi ! Ne sois pas bête, je ne te veux aucun mal, simplement parler
  • Oui, mais c'est la première fois que quelqu'un me fait ça !
  • Parce que ta femme ne te branle jamais ? Ca m'étonnerait !
  • Mais ma femme, c'est pas pareil ! C'est une femme !
  • Tu t'entends bien avec ta femme ?
  • Oui bien sûr !
  • Je pensais qu'il y avait comme un problème entre vous. Oh, tu sais, tu ne serais pas le premier ! Vous êtes mariés depuis combien de temps ?
  • Dix ans.
  • Et vous vous aimez comme au premier jour ?
  • Non bien sûr, mais...
  • C'est pour ça que tu va pisser dehors la nuit.
  • …"

Alors une petite discussion argumentée commence au cours de laquelle il reprend les choses en mains, ma bite surtout. Et comme je me mets à bander sérieusement sous ses caresses, il commence une gentille branlette, comme ma femme en effet ne m'en a pas fait depuis bien longtemps.

  • C'est bon, hein !
  • Oui.
  • Je ne vais pas trop vite ?
  • Non !
  • Tu dis si tu veux que j'aille plus vite.
  • Oui.
  • Tu veux ?
  • Oui.

C'est la première fois qu'un homme me caresse et si j'étais rétif au début, je comprends mon trouble en sa présence maintenant que le premier pas est franchi. J'avais envie de faire l'amour et si les femmes ne m'attirent plus (pourquoi en changer ?) les hommes par contre deviennent des partenaires possibles. Où celui-ci va-t-il m'entraîner ?

Je suis bien avec cet homme qui me branle. C'est nouveau pour moi, c'est agréable. Je me laisse faire de plus en plus à l'aise, de plus en plus décontracté. Quelque chose en moi s'écroule. Toute une bande de vieux préjugés vole en éclats. Une autre vision des rapports entre hommes se fait jour dans mon esprit. Une autre forme des plaisirs corporels se dévoile à moi. La morale que l'on m'a enseignée jusqu'alors vacille.

  • Comment t'appelles-tu ?
  • Hein ?
  • Tu dors ?
  • Non !

En fait, je flotte entre deux mondes. L'ancien qui disparaît, le nouveau que j'entrevois. Pour la première fois je vis quelque chose d'inattendu, que je ne pouvais encore envisager sereinement il y a quelques instants et que j'accepte et apprécie maintenant. Je découvre des sensations nouvelles et même ce type qui me branle me fait connaître des sensations que ma femme n'a jamais su réellement me faire ressentir. Il y a branlette et branlette ! Celle-ci est vraiment bonne, faite par un connaisseur, mais les hommes ne sont-ils pas tous des spécialistes de cet art purement masculin ? Je rêve…

  • Comment t'appelles-tu ?
  • Ah oui ! Romain !
  • Tu ne me demande pas mon nom ?
  • Euh, oui ! Comment t'appelles-tu ?
  • Oscar.
  • Comme le petit canard ?
  • Si tu veux.
  • Oh ! excuses–moi, je ne voulais pas te vexer.
  • Alors branle-moi aussi au lieu de dire des bêtises.

Comment le branler ? Comment ne pas être maladroit ? Oh, et puis merde ! Tu veux que je te branle ? Eh bien, je te branle, salopard !

A partir de là, tous mes interdits tombent définitivement. Je lui prends la bite, cette bite déjà à demi érigée et l'emprisonne de ma main la branlant comme je me branle usuellement et le miracle se produit. Je le sens, je le ressens comme si je me branlais moi-même. C'est le pied ! Sans avoir appris, je sais branler un mec.

Tandis que je suis dans ces pensées, je sens une langue s'introduire dans ma bouche. Il me roule un patin. Il s'est approché de moi, tout près. De ses bras m'a enlacé. Ainsi étreint, ainsi baiser, j'entre enfin dans le jeu et lui rends son palot comme aux plus beaux jours où je les roulais, affamé, à mes conquêtes d'un jour. Je lui rends son palot et mes bras malgré moi l'enserrent rendant notre contact plus complet, plus fort, plus intime. C'est lui le meneur, le professeur, le maître et c'est en élève appliqué que je suis et essaie de faire de mon mieux pour apprendre cette leçon qui m'est donnée, que d'emblée j'apprécie, qu'inconsciemment j'attendais.

Nous sommes étroitement enlacés, nous branlant réciproquement, bouche à bouche. J'ai fermé les yeux pour mieux ressentir toutes les sensations que me procure cette union nouvelle. C'est alors qu'il lève son cul de sa chaise et sans me lâcher, quitte ma bouche et commence à me lécher sur les joues, derrière les oreilles, puis me tête leur lobe, avidement les noyant dans un flot de salive. C'est bon, très bon de se sentir aimer, caressé, cajolé. Toujours les yeux fermés je fais réserve de toutes ces caresses nouvelles.

Oui, avec ma femme, j'ai fait l'amour souvent, surtout dans les premiers temps mais jamais elle ne m'a procuré ces sensations voluptueuses, cette sensation d'aimer mon corps comme lui le fait. Elle aimait se satisfaire dans mes bras, mais comment expliquer cela ? Elle prenait son plaisir en utilisant mon corps sans réellement s'occuper de mon plaisir comme lui le fait en ce moment. N'en faisais-je pas autant ?

Lui s'occupe de moi, est attentif à mes réactions, m'écoute réagir, gémir, haleter sous ses caresses, insiste juste ce qu'il faut sur les points sensibles, puis se déplace pour explorer d'autres zones érogènes. Maintenant il est à genou, à mes pieds et explore de sa langue mon abdomen. Sa langue fouille mon nombril. Sa langue y pénètre, en ressort, y revient. Elle tourne autour de ce point central pour y revenir tandis que ses mains descendent le long de mon dos, me caressent les reins et effleurent le haut de mes fesses où elles s'attardent de plus en plus longtemps et activement. Mon bassin comme doué d'une vie indépendante de ma volonté de contracte, ondule. J'ai toujours les yeux fermés goûtant cette série de caresses, de baisers, de coups de langues qui mieux qu'une main sait me faire réagir. Toujours en me léchant, il atteint mon pubis où sa langue s'attarde dans mes poils, déborde sur mes cuisses, effleure mes bourses. La base de ma bite se contracte avec violence, par saccades, de manière totalement incontrôlable. Ma bite est bandée à mort. J'ai la sensation que je vais jouir à tout moment mais rien de tel n'arrive alors que cette envie de jouir devient intenable. C'est alors que je m'entends, dans un souffle, le supplier " sucez moi ".

Oh, que j'ai envie qu'il me suce avec cette bouche experte, qui sait me rendre fou, me faire perdre toute pudeur, toute notion du bien ou du mal ! Doucement il s'en approche, la taquine à petits coups, à la base d'abord puis de plus en plus près de mon gland totalement dénudé, sensible à l'excès.

C'est à ce moment, où plus rien n'existe pour moi autre cette attente du plaisir qu'il se relève et m'invite à venir dans la chambre où nous serons mieux pour continuer à nous aimer. Comme un somnambule je me lève, le suis et m'allonge sur le dos comme il me l'indique du geste et de la voix. Lui s'allonge sur moi, tête bêche et commence à me piper en m'avalant, me lâchant, me léchant, m'aspirant le gland. Tous ceci sans hâte, sans violence. Moi sans qu'il ne m'y invite expressément, j'ai pris sa bite en bouche et à son instar essaie de lui procurer les plaisirs qu'il me donne le suivant dans ses pratiques. Nous n'en sommes pas au même point et bientôt je lâche mon foutre en jets violents.

Ai-je un jour joui aussi violemment, aussi intensément, aussi abondamment ?

Je n'en suis pas convaincu ! Cet homme est un expert à mes yeux, un maître auquel je suis en ce moment plein de reconnaissance. Je suis épuisé, heureux, le monde pourrait s'écrouler en ce moment que cela ne me ferait rien tellement j'ai cette sensation de plénitude que l'on ressent lorsque notre corps est ainsi satisfait. Je suis si bien que plus rien n'existe autre que mon plaisir. Je réalise pourtant que je viens de lâcher sa bite et que lui est loin d'être satisfait.

Petit remord, mais coquette est comme un limaçon et à moins d'un miracle elle n'est pas prête à relever la tête. Sans que j'en sois conscient, il s'est retourné, et couché sur moi, il me couvre de bisous en me demandant comment je vais. Je lui dis que je suis heureux et ajoute :

* "Mais toi ?"

  •  

  • "Rien ne presse." me répond-il. "Attendons que pierrot reprenne vie."
  •  

Moi je doute qu'il reprenne vie de sitôt et suis un peu inquiet de la suite des événements. La suite se passe en discutions sur le lit où côte à côte nous buvons un Coca qu'il est allé chercher au réfrigérateur. Je lui dis ma surprise de l'avoir suivi si facilement, de mes problèmes avec ma femme, du plaisir que j'ai d'être avec lui, de son intensité, de mon étonnement. A tout, il me fait des réponses apaisantes, me déculpabilise, me dit que je ne suis pas seul dans mon cas et que si l'homme n'était pas si contraint, si bloqué par un tas de préjugés, une morale castratrice, il pourrait comme nous satisfaire son corps et vivre pleinement sa sexualité avec des personnes de sexe opposé et du sien.

Tous en discutant, il s'est rapproché de moi, me caresse, me bécote. Peu à peu je lui rends caresses et bécots et en moins d'une demi-heure j'ai le plaisir de voir coquette reprendre vie. Maintenant ma bite est belle, bien dressée, déjà palpitante sous les caresses de mon amant qui la flatte et me dit :

* "Tu vois, dans la vie il ne faut jamais désespérer et ne pas avoir peur de laisser au temps le temps."

Sur ce, je me tourne franchement vers lui, lui offre ma bouche et nous nous roulons un magnifique et long palot qui finit de nous faire revenir toutes nos ardeurs. Nous nous lâchons enfin, nous regardons dans les yeux, nous lançons un regard souriant et complice tandis qu'il prend ma bite et commence à la branler doucement.

Quand je veux lui rendre la pareille il me dit " attend ", se retourne, prend sur la petite étagère au-dessus du lit un petit tube qu'il ouvre et en sort une pommade presque liquide dont il se tartine la raie et l'anus. Puis il se couche en chien de fusil, me présente son dos après m'avoir demandé si l'introduire ne me gêne pas. Cela ne me cause aucun problème car sodomiser une femme est une chose que j'ai pratiqué assez souvent, alors avec un homme cela ne devrait pas être un problème. Effectivement je rentre sans difficulté dans ce trou graissé et qui doit être habitué à ce genre de pénétration vues la grandeur et l'élasticité de sa rondelle. J'avoue que pour moi, le plaisir n'est pas des plus importants. Dès que je me trouve en lui et que je commence à le limer, il manifeste des réactions de plaisir intense. Il vient à ma rencontre pour amplifier mes aller-retour, pousse des gémissements, même des cris de plaisir tandis que la cadence, sous sa demande, augmente. Mes mains l'ont agrippé fermement aux hanche et c'est avec toute ma force, avec une cadence qui devient infernale que je le défonce. Il est relativement vieux, du genre "peine à jouir". Je suis en nage, je m'épuise mais en même temps alors qu'il est maintenant déchaîné, qu'il crie" N'arrête pas, ça vient ! Oh oui ! Je vais jouir" et je sens en moi, qui me croyais vidé un besoin de plus en plus impérieux de jouir. Je dois maintenant me crisper pour ne pas partir alors que lui prétend toujours qu'il va inonder le lit d'un instant à l'autre. Je suis en sueur, j'ai mal dans tous mes muscles à tant me contracter et me déchaîner dans cette enculade qui n'en finit pas. J'ai mal à la tête, je suis comme inconscient, je perds la notion du temps, de ce que je fais. Je vais m'évanouir si cela continue encore longtemps !

Enfin un cri : "Haaaaaa…." Suivi d'un autre 'Ho ! Que c'est bonnnn…" Il jouit enfin ! Moi, sortant de ma demi-inconscience, je me relâche totalemnt et mon foutre retenu à grand peine et si longtemps explose jusqu'à la dernière goutte dans son fion, tout au fond de ses boyaux. La quantité m'en semble extraordinaire et jamais je ne me serais cru capable de jouir si abondamment et intensément en si peu de temps deux fois de suite. Je me relâche et ce n'est qu'au bout d'un certain temps que des baisers et des mots d'amour me réveillent. Je me suis endormi sitôt avoir joui. Jamais je n'avais atteins ce niveau de jouissance, jamais je ne m'étais donné autant avec une partenaire, jamais non plus je ne m'étais senti aussi jeune, aussi fort, aussi puissant. Je suis très fier de moi, je prends comme des marques de reconnaissances toutes les caresses, toutes les manifestations de plaisir que m'offre mon partenaire d'un moment. Je suis heureux, sans complexe, prêt à affronter le monde entier. Je suis un homme nouveau. Avant de nous quitter, il m'offre sa petite salle de bain où nous prenons une douche, puis un café fort avant de nous quitter sur un dernier baiser.

Les jours suivants, il sera très discret, évitera ma femme qui s'en étonnera. A elle, je ferai l'amour comme jamais pour lui montrer ma puissance. Elle criera grâce, mais je ne la lâcherai pas tout en me promettant d'aller voir du côté des garçons pour des plaisirs que seuls eux peuvent donner à un autre garçon. La vie et belle ! Ce vieux  OSCAR 74 ans m'a affranchi !!!…

Par simon - Publié dans : histoire racontée
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Mardi 22 juillet 2 22 /07 /Juil 11:38

Histoire fiction ,imaginé pour mon fidel lecteur Theracles.

Il a 38 ans et j’en ai 62, il est blond cheveux courts avec de beaux yeux bleus et des muscles bien dessinés. Il est hétéro.

en vacances une semaine pendant le mois de Juin sur la Côte d’Azur.

Je recherchais une petite crique tranquille pour passer la journée entièrement nu (comme j’adore).

Au loin je remarquais quelques rochers et il semblais y avoir personne car il y avait pas mal de galets et de moins en moins de sable fin.

Arrivé sur place je me mis a poil , et je décidais de m’installer derrière une roche ou la mer venais mourir lentement.

Que fut ma surprise ,il y avait la devant moi déjà un mec allonger T-shirt et panta-court descendu sur les jambes, se masturbant ,surpris par ma présence il se recouvrit de sa serviette.

Salut ,excuse moi de te déranger , mais tu peus continuer ça me dérange pas.

--- bonjour msieur , non pas du tous.

Il s’etait mis a plat ventre et montrait son petit cul bien blanc.

il a besoin de soleil , mais si tu le protège pas il vas cramer.

---je sais c’est la première fois que j’essaye de faire du naturisme , par contre vous. ….votre corps est bien bronzé

oui je suis toujours a poil même en dehors de vacances.

Je n’aime pas trop se mettre de l’huile sur son corps devant tout le monde à la plage, il préfère le faire isolé mais sur le dos c’est pas évident.

---vous pourriez m’en mettre SVP ?

Aucun problème pour moi, bien au contraire…mais dis moi TU j’aime pas que l’on me parle avec des Vous…

--- Tiens, t’as qu’à le faire comme ça tu verras mieux que moi où il faut en mettre.
 Evidemment, je n’ai pas refusé une telle opportunité.

Il attrape l’huile solaire dans sac et me donne le tube.

Il commence alors à basculer le siège en position allongée. Il retira délicatement son T-shirt blanc un peu moulant pour laisser place à son corps qui me procurait tant de plaisir à regarder. Il était entièrement rasé (ça plaît aux filles, parait-il) et même si je préfère quelques poils, cette silhouette n’était pas pour me déplaire.

Doucement, pour profiter au maximum, je commence à verser l’huile sur son corps, en l’étalant délicatement avec ma main en dessinant chaque muscle pour le rendre plus saillant. Bizarrement, je le sentais détendu, il ne disait rien et à même fini par fermer les yeux. Rajoutant peu à peu de l’huile sur ses pectoraux, quelques glissements de mes doigts avaient tendance à caresser ses tétons qui commençaient à durcir. Alors que je m’attendais à une réaction de sa part, il restait les yeux fermés et son visage laissait paraître un léger sourire.

Au fil des passages de mes doigts, l’étalage d’huile à vite laisser place à des caresses sensuelles avec une insistance certaine sur ses pectoraux et ses abdos. J’étais aux anges, mais également inquiet car cette situation m’excite terriblement et la peur d’être arrêté en plein élan me gagnait. Cela faisait maintenant plusieurs minutes qu’il était là, sans un bruit, à se laisser caresser le corps jusqu’au bas du ventre.

Inutile de dire que ma queue bandait a mort.

Je me suis alors décider à lui dire qu’il serait probablement utile de protéger également ses jambes, ce à quoi il ne répondit rien du tout, si ce n’est une esquisse de sourire approbateur. Délicatement, je commence à défaire la corde de son pantacourt blanc tout en continuant à lui caresser le haut du corps. Il réagit en soulevant légèrement ses belles fesses, me permettant ainsi de dégager le pantacourt et de laisser apparaître sa bite et de belles grosses couilles.

Je repris alors un peu d’huile et commença à l’étaler sur ses cuisses avec une attention particulière à l’entrejambe.

Lors d’un mouvement de me toucha à l'endroit exact où j'étais en pleine ébullition.

Cette fois, il ne pouvait pas dire qu’il ne savait pas !

Je remis un peu d’huile sur son bas ventre et ses jambes, tout en faisant tomber quelques gouttes sur le sexe pour l’humidifier. Je finis par enfin poser la main sur la partie convoitée, toujours sans aucune réaction de sa part.

Mes mouvements étaient de plus en plus axés sur le jouet et je rajoutai sans cesse de l’huile pour qu’il soit un peu plus bandant.
Ca y est, mon rêve devenait réalité et son corps commençait à m’appartenir de plus en plus et lui ne disait rien. J’ai alors approché le visage et commencé délicatement à lécher malgré le goût désagréable de l’huile dans ma bouche. Les coups de langues se sont rapidement transformés en gobage de sexe

Je commençais à sentir de légères réactions de son corps montrant qu’il appréciait le travail réalisé.

Après quelques minutes, je lui ai proposé de faire l’autre coté " s’il ne voulait pas risquer un coup de soleil au niveau de ses fesses ". Evidemment, il n’a rien dit…

Je remis un peu d’huile sur le bas de son ventre tout en faisant glisser la main vers son sexe , sous les couilles puis glissait vers sa rondelle que je touchais pour la première fois et il écarta une jambe sans même dire un mot.

Les va-et-vient de ma main n’étaient maintenant limités qu’à son sexe qui n’en finissait plus de durcir pour dépasser la vingtaine de centimètres, mais également à se dresser devant moi, comme s’il venait chercher ma bouche. Je finis par donner de légers coups de langue sur le bout, avant de l’avaler d’un trait.

C’était si bon ! Il eut une légère réaction, probablement liée à l’excitation, mais n’a toujours pas parlé. Après quelques allers-retours dans ma bouche, je me suis décidé à relever la tête , au cas où je sois un peu trop ambitieux pour lui.

On aurait pu croire qu’il était mort si sa queue ne montrait pas autant de vigueur. J’ai enfourné son sexe tout en donnant des coups de langues autour. J’entendais quelques soupirs de plaisir, mais je n’arrivais pas à savoir s’il avait les yeux ouverts ou pas. De toute façon, j’étais bien trop occupée à lui astiquer la queue pour me préoccuper de son visage.

Apres je le huila sur le dos , sa chute de rein , ses fesses ou après avoir fait couler quelques goutes dans la raie mes doigts massaient cette douceur et se dirigeaient par moments en direction de sa rondelle.

En m’approchant à 2 ou 3 centimètres de l'entrée, je sentis sa main se poser sur ma jambe et il me dit, " je veux bien faire un effort, mais il ne faut pas trop m’en demander non plus, je ne prendrai pas un coup de soleil là dedans ! ".
J’évitais donc la zone sensible et me concentrait sur sa queue.

Au fil des minutes, je sentais sa main suivre le rythme de mes hochements de tête sur ma jambe, remontant petit à petit sur ma bite. J’ai donc commencé à lécher uniquement son gland, ce qu’il a récompensé par une remontée jusqu’à mon paquet prêt à exploser. Sa main a alors habilement descendu sur mes genoux, laissant mes 18cm tomber directement dans son autre main.

Je commençais alors à onduler mon corps sur sa main immobile, ce qui faisait encore gonfler sa queue, toujours dans ma bouche.
Petit à petit, je reculais mon corps pour diriger ma queue vers son visage. Arrivé au niveau de son menton, sa main fit place à sa langue qui touchait délicatement mon gland. Continuant mes va et vient autant dans ma bouche que dans les reins, ma queue finie par arriver au fond de sa gorge. Pour un débutant, il était plutôt performant, mais de toute façon j’étais déjà prêt à exploser avant même qu’il n’ait posé la main sur moi...

J’ai senti qu’il n’allait pas tarder à exploser et continuait donc de plus belle jusqu’à ce qu’une délicieuse substance envahisse ma bouche. Etant particulièrement habitué à avaler, j’ai quand même fait un effort pour le remercier.

Alors que je ralentissais mes mouvements sous ses spasmes de plaisir, il s’en donnait à cœur-joie avec sa langue et je finis rapidement par approcher de l’éjaculation. Comme il est débutant (et hétéro), j’ai retiré ma queue au cas où il ne soit pas prêt à me laisser exploser. Je suis alors allé un peu plus en direction de ses pectoraux et j’ai commencé à me frotter contre eux, pour finir par étendre une mare de sperme sur son corps. Je me suis alors retourné pour avoir la tête face à lui et j’ai commencé à ramasser mon sperme avec ma langue, en insistant sur ses tétons encore durs, tandis qu'il me regardait d'un air satisfait.

Nous prîmes un bain de mer , de retour sur la plage je n’u pas eu le temps de m’allonger que je senti sa main se poser sur mon cul , un doigt dans la raie il touchait ma rondelle et je repondais pas de leger coups de rein de plaisir et des hummm ! ! ! oui continue… encore.

Il pris le tube d’huile , y versa une grosse dose sur ma rondelle et y frotta le tube , ma rondelle s’ouvrait et lui prenait un malin plaisir de forcer l’entrée.

Je sentais sous la pression mon cul s'ouvrir et je gémissais de bonheur .
...OUI OUI continue....
--- tu aimerai bien salope que je te défonce?
...OUI OH! OUIIIII
---j'ai jamais fait , j'ose pas
... vas y force ouééé ce bon
le tube d'huile entra en moi , je sentais son desir monter alors je lacha
... allez a toi maintenant prend une capote dans la poche de mon shorte
---j'ose pas
je lui mis la capote et lui dit
...vas y bordel tu trouvera pas un cul a prendre tous les jours

je n'avais pas fini ma phrase que en moi je sentais son chibre chaud , me tenant par les hanches il se branlait en moi.
...OUIIIII encore , plus vite  , plus fort , vas y lache toi...

dans un soubre saut violent je sentis son jus remplire la capote.

Je me suis  épuisé et en même temps toujours excité de ce qu’il venait de m’arriver. Il me regarda alors avec un sourire et me dit, 
--- je savais que t’en avais envie, j’ai eu envie d’essayer, je suis en vacances pour m’éclater et j’avoue que j’ai bien aimé. Mais rien à faire, je préfère les filles. Toutefois, si tu veux, j’ai un peu de crème après-soleil pour tout à l’heure… "

Inutile de préciser que cette semaine a été inoubliable, même si je n’ai pas pu aller beaucoup plus loin que ça avec lui.

 

Par simon
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Lundi 21 juillet 1 21 /07 /Juil 08:38
Jai trouve c petit roman  sur un blog ( le-gay-voyeur.allmyblog.com ) qui me rappelle beaucoup mes debuts alor je voulais le montrer






apres une bonne apres midi nous somme rentré ver 19h30









profitons en le parent sont pas de retour avant 1 heure



           


















T'as une super petite bite













j'aurai jamais cru ça cousin















HUMMMM!!!!! Un delice
















WHAAA!!!!! mais la tienne est bonne aussi






           je croyais que tu te disais hétero 

















oui exacte mais on peut se faire plaisir


mais a vrais dire tu fais ça

mieux qu'Arlette






  ouuu ouiii ah!!!







 continue ouiiiii ah! cousin je la veus je la veus........


A suivre......
Par simon
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