lesbohommes

Dimanche 10 février 7 10 /02 /Fév 09:20

A 62 ans ,J’avais depuis longtemps envie de me faire un plan avec un jeune rebeu... le fantasme 'un jeune arabe qui n’a pas froid aux yeux, la peau mâte et la bite circoncise toujours au garde à vous. Bien sûr comme je suis porté sur les minets plutôt minces et imberbes, j’orientais ma recherche en ce sens

Sur un chat, je tombais sur un certain Medhi qui semblait correspondre exactement à mon fantasme, photos à l’appui. 22 ans, 1m75 pour 60 Kg, musclé sec, torse et cul imberbe, cheveux courts un petit serpent tatoué dans le bas du dos…A en croire notre discussion, Medhi était une chienne passive qui adorerait se faire péter son petit cul, avec homme mur ,mais qui quand même préférait les relations suivies aux plans uniques.

Je donnais mon numéro de portable à Medhi qui bien chaud m’appela même pas 30 secondes après l’avoir reçu. Sa voix correspondait exactement à son physique et son accent à craquer.j’avais envie de répondre présent a l’invitation de Mehdi " qlq jours de vacances ça te dit "

 

Je le pris au mots et quelques semaines plus tard.:

le samedi 2 février vers 23 h, arrivée à l’aéroport , je me dirigeais vers la sortie des bagages pour récupérer le mien.

A cette heure tardive , dans un brouhaha total , j’entendis " Simon , Simon ".

Dans le foule je vis comme un ange voler au dessus de la foule , ses yeux brillaient comme des étoiles , et m’envoyaient des éclaires de bonheurs à voir le sourire illuminer son visage , c’etait lui Mehdi .

Il arriva et se jeta dans mes bras en disant " bienvenue Simon " et dans l’euphorie m ‘embrassa sur la bouche sans se soucier du monde qui passait autour de nous.

Ayant récupéré mon bagage , me tenant par la main comme deux amoureux , il m’emmena vers sa voiture ou avant de démarrer sa main sur mon entrejambe me roula une pelle majestueuse .

--L’hôtel n’est pas loin de chez moi , je reste a deux pâtés de là.

Nous sommes arrivés à hôtel club très chic c’est Mehdi qui avait réservé pour moi (ne connaissant pas son pays), du moment que j’avais une chambre seul pour moi......

à l’accueil , l’homme , la trentaine dit " bonsoir Mehdi , ah ! c’est pour la chambre de monsieur " je suppose…

--" Oui , chambre 69 avec salle de bain, wc , c’est bien ça ? "

--exacte je vous appel Karim il va vous y conduire..tout en donant la clé a Mehdi
--je vous régle manintenant si vous le voulez
--
vous réglerez tous en même temps , je vous fait confiance
--Merci , entendu

Le mec de l’accueil, appela Karim un jeune algérien et lui dit :

-- tu conduis cet homme dans votre bâtiment et tu lui donnes la chambre 69 qui est vide à côté de la lingerie.

Le jeune avait l’air étonné et nous dit "  suivez moi "

.

Je saluais et remerciais le mec de l’accueil , puis je suivions , Karim, sur le chemin nous dit " c’est étonnant car jamais on ne donne de chambre dans ce bâtiment " ,

 

On arriva au bâtiment qui se trouvait à l’écart de l’hôtel et on se dirigea vers ma chambre dans un dédale de couloir ou l’on croisa plusieurs jeunes beurs. Puis il entra dans une chambre, oh pour être simple c’était simple, un lit très bas, une armoire et une mini salle de bain avec douche et WC.

-- Installez vous, je repasserais te voir quand j’aurais fini avec les autres clients arrivés ce soir

-- Ok !

Mehdi me bascula sur le lit , sur le dos les bras en croix , ses mains rejoignants les miennes , allongé au dessus de moi , il m’embrassait , dandinait des reins pour que je sente son sexe gonfler de plaisirs contre le mien , alors je leva les jambes autour de sa taille pour qu’il reste mon prisonnier

--je viendrais demain vers 14h car j’ai cours de bonheur je ne peu rester plus longtemps.

--bien sur , mais je suis tellement crevé du voyage je vais faire une bonne nuit pour etre en super forme pour toi.

Mehdi repartit chez lui le cœur lourd , j’avais bien compris qu’il aurait aimé rester avec moi pour la nuit.

Puis je pose mon sac sur le lit , et me mis à torse nu et enlève mon pantalon pour me retrouver en boxer (j’aime être a l’aise ) .

Je rangeais mes affaires dans l’armoire quand soudain la porte s’ouvrit, c’était Karim qui revenait me voir.

- Alors ça va ? ton copain n’est pas resté ?

- Non

- Tu as l’air cool toi !

- Oui, je suis là et Mehdi mon copain m’avait dit " si tu viens en vacances on vas s’éclater " .

Puis on discuta un peu et Karim me souhaita bonne nuit et me quitta.

J’ai voulu fermer la porte après lui, mais il n’y avait pas de clé, Mehdi dans l'ephorie a du la garder dans sa poche ,tant pis.

Puis le lendemain matin je rejoins le salon pour le petit déj .

A 14h pile , portant un pantalon gris et un sweet capuche blanc très sexy ,

Mehdi était là , IL me dit: " j’ai juste une heure devant moi , mais je viendrais dîner avec toi ce soir"

je le prenais par la taille et lui roulais une bonne pelle bien baveuse. Il embrassait super bien et avait une haleine mentholée très agréable.

 

Je lui retirais son sweet capuche, il ne portait rien en dessous. Il avait des abdos parfait avec des tablettes de chocolats. Seulement quelques poils sur le ventre qui m’excitait et me donnaient envie d’en découvrir davantage.

Je mordillais ses tétons durcis par l’excitation. Medhi se laissait faire, apparemment il aimait que l’on prenne les choses en main, ce qui faisait très bien mes affaires. Je m’agenouillais devant lui pour lui embrasser le ventre et lui caresser la bosse qui s’était formée sous la ceinture. Je sentais sa bite bandée à travers le tissu. Je lui baissais son pantalon et son boxer noir pour découvrir sa queue. Environ 17/18 cm, plutôt fine comme j’aime, avec un joli gland bien dessiné. Je la pris en main tout en le regardant fermer les yeux pour mieux apprécier la caresse.

Je le branlais doucement pendant que je commençais à lui lécher ses couilles rasées. J’adorais son odeur de petit mâle.

Je remontais des couilles en lui léchant la base de la bite. J’adore lécher cet endroit et frotter la queue sur mon visage. Je remontais encore jusqu’au gland que je léchais délicatement, jusqu’à ne plus en pouvoir et le prendre complètement en bouche. Je le suçais alors en faisant pénétrer sa queue jusqu’au fond de ma gorge. Il me caressait la tête. Je sentais ses mains chaudes glisser sur ma nuque.

Je m’interrompis enfin pour qu’il termine de se déshabiller. . Je me relevais pour le serrer contre moi toujours habillés, son corps nu plaqué contre le mien, sa bite contre la mienne. Je libérais mon étreinte l’entraînant sur le lit où il s’allongea sur le dos pour me regarder me déshabiller.

Une fois complètement nu, je viens me coucher sur lui. Sa queue rendu humide par la fellation glissait contre la mienne et contre mon ventre. Je l’embrassais goulûment alors que nos deux corps se frottaient l’un à l’autre .

J’aurais presque pu jouir en me frottant à lui si j’avais continué ainsi, mais cela eut été un peu frustrant.

Aussi, je m’agenouillais à ses côtés et lui donnais ma queue à sucer. Sans se faire prier, il la prit en pleine bouche et me l’aspira jusqu’à la base tout en titillant mes couilles avec ses petits doigts fins. Pendant qu’il me pompait, je prenais sa queue dans ma main pour le branler. J’en profitais également pour caresser son entrejambe et ses fesses. Je commençais à avoir super envie de l’enculer.

Ecoutant mes désirs, je sortis ma queue de sa bouche. Je le gratifiais d’un baisé très humide et je lui fis signe de se mettre sur le côté, les jambes écartées. Il avait de petites fesses très jolies et une raie sans un poil. Je le caressais en faisant glisser de temps à autre un doigt humide le long de sa rondelle. Finalement je goûtais son cul avec ma langue, d’abord en la faisant courir sur ses fesses, puis en lui léchant son trou du cul et en pénétrant dans son intimité. Il poussait de petits gémissements complètement absorbés par le traitement que je lui infligeais. Ma main libre lui caressait les couilles et le branlait.

Je pris une capote sur le chevet et me la déroulait sur la queue. Je viens entre ses jambes frotter ma queue contre sa raie humide de salive. Mon gland glissait dans son cul chaud et je le pénétrais complètement sans effort. Je restais un moment sans trop bouger pour qu’il s’habitue à avoir ma bite en lui. Puis je commençais à la ramoner avec douceur. Je lui caressais la queue et les fesses pendant que j’augmentais progressivement la cadence.

Sans quitter la chaleur de son cul, je me couchais tout contre lui pour le prendre sur le côté. Je le pénétrais profondément, mes couilles contre les siennes. Il tourna la tête pour m’embrasser. Je pouvais ainsi faire glisser ma main sur son corps et le sentir vibrer sous mes assauts. Il bandait très dure et plusieurs fois retira ma main pour éviter de jouir.

Je changeais finalement de position pour le prendre de face. Ses jambes relevées reposant sur mes épaules. J’adore cette position qui me permet de regarder le mec les yeux dans les yeux. J’étais absorbé par le beau regard de Medhi.

Je le branlais énergiquement pour le faire jouir. Quelques secondes suffirent pour que je sente les contractions de son bassin et sa queue crachée un sperme abondant sur les doigts, son torse et son ventre. Je me penchais pour attraper sa bouche et l’embrasser tendrement.

Je sortais délicatement ma bite de son cul, retirait le préservatif et lui donnais ma queue à sucer. Sans tarder je déchargeais dans sa bouche en poussant des cris de plaisirs. Il en avalait une bonne partie avant de m’en faire profiter en me roulant une pelle bien juteuse.

J’attrapais une serviette pour essuyer son sperme puis je m’allongeais contre lui pour le prendre dans mes bras et pour le caresser avec douceur. J’aime bien ces moments de tendresses après l’amour.

mais voila l'heure de reprendre les cours etait déja arrivé.

il repartit en disant " a ce soir au diner "

 

Mehdi_2008_a.jpg

Dans l’après midi je revu Karim on discuta .

Karim m’a demandé ce que j’allais faire pendant ce temps, je lui ai dit :

-- profité et faire ce que je veux.

dans la rue voisine il y a une boite , ou un cinéma dit-il

--je verais bien je vais y aller faire un tour pour repairer

 

Le soir je me retrouvais seul à dîner à table, Mehdi avait un empêchement , viendra plus tard dans la soirée., le jeune serveur qui me servait me demanda :

- C’est toi Simon le mec qui est dans notre bâtiment ?

- Oui !

- Je suis juste à côté de moi.

Puis plus tard suis allé en boîte, mais je m’emmerdais , je décidais de rentrer dans ma chambre d’hôtel prendre une bonne douche et me coucher . Il etait pas plus de 22h En rentrant à ma piaule je rencontre Karim et le serveur du midi. On se salue et je rentre dans ma chambre.

La encore je me met à l’aise entièrement a poil soudain

Mehdi arriva essouflé s'excusant que ces vieux ne voulait le laisser ressortir

s'allongea pres de moi , me remercia de lui avoir fait l’amour,

Medhi m’ouvrit son cœur et me raconta sa vie :dans sa cité sa solitude de jeune gay dans ce monde hostile aux différences. Dans la cité, il était impossible d’avouer son homosexualité et il devait rester très discret. Ceux dont on découvrait les penchants étaient irrémédiablement cloués au pilori, bannis, chassés.

Medhi me raconta l’histoire d’un jeune garçon de 16 ans qui avait été aperçu par un grand frère de la cité en train d’embrasser un autre garçon dans les toilettes de son lycée. Il avait été pris à partie dès son retour dans l’enceinte de la cité, conduit dans une cave pour être déshabillé et fouetté à coups de ceinture. Non content de lui infliger une telle punition, il s’était fait enculer sans ménagement pas une dizaine de mecs, histoire de lui passer l’envie de se servir de son cul.

Les rares homos qui arrivaient à subsister en tant que tels dans la cité, se mettaient au service de grands frères qui les protégeaient en contrepartie de faveurs sexuel. En gros ils devaient servir de vide-couilles dès que le besoin s’en faisait sentir.

Medhi m’avoua qu’il craignait que l’on découvre ses tendances. Il se sentait surveillé. Il se demandait quand il pourrait quitter la cité avant d’y être obligé avec l’impossibilité pour lui d’y retourner pour voir sa famille. Bien sûr eux non plus n’étaient pas au courant de son homosexualité.

Medhi s’endormit dans mes bras soulagé d’avoir pu se confier, même à un presque inconnu.

vers une heure du mate Medhi reparti en disant "ah! le con je me suis endormis pourvu que les vieux m'entendent pas renter , m'embassa et ajoute " a demain chéri "

 

je me rallongea sur le lit pensant a ce que Mehdi m"avait dit.....et qui me perturbait......

Karim me parle, il était rentré dans ma chambre sans prévenir.

--whaaaaa ! beau cul mec

- hé que fais tu là ?

- Je m’emmerde à cette heures ci ,alors je suis venu discuter avec toi si t’es ok.

- Ouais cinq minutes  , pas plus , ok

il est en marcel échancré qui fait ressortir sa musculation et en pantalon survet, pied nu.

Je m’assois sur le lit face à lui et lui demande " pourquoi tu vas pas en boîte pour t’éclater "

il me réponds " pas le droit , en service , comme tous les employés d’ailleurs.

- Putain ça doit être mortel, que faite vous alors pour vous amuser ?

- Ho on a plusieurs trucs mais faut encore trouver un qui veux.

- Un quoi qui veux quoi ?

puis la il s’approche de moi se met devant moi et sors sa bite !

- un qui me la suce dit il

il me prends la tête et me la plaque à sa bite !

- Allez fait le moi j’ai très envie que tu me suces, et surtout je sais que si tu viens voir Mehdî , c’est que tu aime ça .

Je fait semblant de résister mais quand je veux dire quelque chose il en profite pour me la mettre en gueule bien a fond . J’ai failli dégueuler, mais il commence des va et vient. Elle est très brune et grosse.

- allez suce moi bien, tu va aimer tu vas voir.

Puis il continue à me limer la gueule et il va profond me toucher le fond de ma gorge.

- Tu sais j’aimes me faire sucer par des vieux blancs comme toi , allez suce mieux que ça.

Il me fit allonger sur le dos et m’enjamba ,me re-fourra sa bite en bouche , d’une main il me masturbait les couilles et ma bite

Je me mis a le sucer, et recevoir des ordres forcés j’aime ça. Il gémissais et me dit :

-- hoa t’est une bonne suceuse va y encore.

J’étais loin d’imaginer ce qui allait m’arriver. Il allait et venait, puis soudain il me pris la tête, la tenant bien et il allait et venait.

- Tu vas aimer tu vas voir t’auras une surprise

Puis d’un coup il a gémit et j’ai senti de longs jets chaud dans ma gueule.

J’ai voulu le repousser mais il me tenait si fort et il a poussé profond, j’ai du tout avaler pour ne pas dégueuler

- Hoa mec t es bonne pute alors c’était bon hein le bon jus chaud, putain moi j ai aimé. suce moi encore pour me nettoyer la teub.

Dans la chambre , alors que je ne l ‘avais pas vu entrer

Mehdi de retour (ayant changé d'avis) cria :

- pourquoi tu as fait ça, sale PD !

ton pd il ne demande que ça ! répliqua Karim

dans un éxé de colère Mehdi pris ses vêtements et les balances par la fenêtre.

Puis sortant nu comme un ver karim lança

- tu le dis a personne, sinon je dirais que c’est toi qui m’a proposé. allez bonne nuit.

Il est sorti traversant le couloir et la cour a poil pour aller récupérer ses fringues .

Mehdi dit " désolé c’est de ma faute , d"abors je viens pas dîner avec toi et je ne restaits pas en ta compagnie , viens je vais te laver  ".

Il me poussa sous la douche , et là j’en crois pas mes yeux , il entre nu comme un ver ,quelle beauté un corps de rêve , pas trop musclé comme j’aime et un tatouage sur le bas du dos.

On se lave mutuellement je me laisserai tomber a genoux pour lui sucer sa tige et m’invite a venir sur le lit

on sa coucha ,blotti l'un contre l'autre ,apres avoir mis son portable en fonction reveil a 6h du mat.

 

 

La nuit paisible ,mais courte , au petit matin, je fus réveillé par les mains de Medhi qui me caressait tendrement le dos et les fesses. Allongé sur le ventre j’écartais légèrement les jambes et je me laissais faire les yeux fermés. Ses mains chaudes glissaient à l’intérieur de mes cuisses, mes couilles et la raie de mes fesses. Il cracha dans sa main pour humidifier mon trou du cul et y enfonça un doigt m’arrachant un soupir de plaisir. Il joua un moment à m’exciter de la sorte avant de s’allonger sur moi.

Son corps plaqué sur le mien, je sentais maintenant son érection sur mes fesses. Il m’embrassa la nuque, attrapa mes mains comme pour m’empêcher de bouger tandis qu’il se frottait contre moi. C’est moi qui lui demandais "vas y fais toi plaisir mon cul est a toi".

Il se redressa, à cheval sur mon postérieur le temps d’enfiler un préservatif et de mettre un peu de gel sur sa queue. Il se glissa alors très doucement en moi. Complètement rentré il resta un instant sans bouger puis commença à faire glisser sa queue dans mon intimité. J’adore cette position où je me sens complètement soumis.

Il accéléra le rythme à mesure que je gémissais pour l’encourager. Ma queue bandée à fond écrasée contre les draps commençait à me faire mal. Je lui fis comprendre que je souhaitais changer de position. Je me mis aussitôt à quatre pattes, les jambes légèrement écartées pour qu’il puisse me prendre en levrette. Il ne tarda pas à me pénétrer dans cette position qui me permettait de sentir encore mieux sa bite dans mon cul serré. Ses mains libres jouaient avec mon corps, me caressant les hanches, le dos, le torse allant jusqu’à me pincer les tétons. Par moment il attrapait ma queue bien dure pour la branler mais j’étais obligé de l’arrêter pour ne pas jouir trop vite.

Il finir par jouir dans mon cul en poussant des cris de plaisir (comme tarzan dans la forêt). Je sentis tout son corps se contracter pendant l’éjaculation alors que je serrais les fesses au maximum pour le faire jouir encore plus fort. Il se retira de mon cul. Je me retournais pour lui retirer la capote pleine de sperme et prendre son gland en bouche pour nettoyer les dernières goûtes qui y perlaient.

Il me prit finalement en bouche pour m’arracher une jouissance bien méritée. Je jouis à grand traits jusqu’au fond de sa gorge lui remplissant la bouche.

Il me serra dans ses bras un moment sans rien dire. Après ce doux moment de torpeur il me dit " je dois partir ".

Comme inquiet il me demanda " je veus te revoir."

Je lui dis " bien sûr, c’ést évident ! reviens des que tu peus
Je le sentis rassuré. Il se rhabilla rapidement. Sur le pas de la porte, il me dit " je te rappellerai dans la soirée ".

 

 

2008_mehdi.jpg

. Puis je suis resté couché en suite je suis allé prendre mon petit déjeuner

Quand j’ai demandé un café au serveur, il m’a demandé avec un sourire, "  vous voulez un peu de crème chaude dedans..."

 

Putain Karim à du lui raconter...

Dans l’après midi je suis allé en bord de mer espérant que Mehdi vienne me rejoindre après ses cours car il habite a proximité.

je reçu plusieurs textos de Medhi me disant qu’il avait adoré faire l’amour avec moi et qu’il aimerait bien le refaire encore et encore et voir plus. Je lui proposais de repasser le soir même s’il le pouvait.

Hélas il ne viendra pas. Je rentre a l’hôtel.

Je ne m’étais pas trompé , tous les jeunes employés que je croisais me souriaient et me disaient bonjour par mon prénom alors que je ne les connaissais pas.

Puis a la fin de l’après midi, j’ai croisé Karim qui est venu me demandé " tu vas bien ",

je lui ai dit " tu es un salop d’avoir fait ce que tu as fait et  plus d' en avoir parlé ".

Il m’a dit qu’il avait dit à tous ses potes que j’étais une bonne gueule à bites et qu’il reviendrait ce soir,
 je lui ai dit NON, mais il a souri et a continué son boulot.

Comme la veille , je rentrais tôt , sans faire trop de bruit car ne voulais pas que Karim sache que j’étais rentré.

Mais quand suis rentré dans ma chambre il était allongé sur mon lit torse nu en pantalon de survêt...

- putain je t’attendais !

La je lui ai dit " Casse toi je veus pas refaire ce que tu as fais l’autre soir, alors casse toi "

Il a souri, s’est levé et en passant à coté de moi il m’a touché la bite en me disant " on se reverra ". Puis il est parti, j’ai poussé la porte sans la fermer à clé car pas de clé.

J’ai pris une douche et me suis pieuté tranquille.

Une demi-heure plus tard je suis réveillé... Quelqu’un enlevait mon drap ! J’ai voulu me lever, mais un mec me saisi la tête et ma flanqua une bite dans la gueule. C’était Karim qui était revenu, mais la il était venu avec le serveur de midi.

J’ai du le sucer, puis il a dit a Farid de prendre sa place, je l’ai sucer aussi puis comme j’étais nu, Karim m’a touché le trou du cul et a dit putain il est serré comme je les aime. J’ai lâché la bite de Farid et lui ai dit :

- non pas ça c reservé !

- pas pour nous mec !

Farid m’a remis sa bite en gueule. Karim m’a forcé à me foutre à 4 pattes sur mon lit et Karim a mouillé ses doigts de salive et m’a mouillé le trou du cul en disant " putain ça va être bon ".

 

Karim me tenait par les hanches , sa bite contre rondelle en disant à Farid " vas y lime lui bien la gueule ".

 

Soudain Karim poussa une gueulante " NONNNNN pas ça " sans avoir entrer dans mon trou

Farid retira sa bite en urgence et sans s’habiller quitta la chambre comme un éclaire.

Karim gueuler encore plus fort " NONNNNN pas ça pitier"

Je compris que Mehdi mon ange et sauveur venait d’arriver .

Tu as pas entendu tout a l’heure il t’a dit " c réservé "

--oui oui mais ….

--si tu touches encore une fois je te coupe les couilles.

Mehdi pris une ceinture lui infligea une bonne raclé , puis lui attachant les mains et les pieds le mis sous la douche faisant couler l’eau glacé ayant pris soin de le baillonner avant.

La colère de Mehdi fut de courte duré revenant vers moi dit

--on peu pas te laisser cinq minutes seul t’es une pute pas possible

--non Mehdi une salope OUI mais seulement que pour toi

.

Il enfonça d’un coup sec sa bite dans mon cul et commença son va et vient, j’avais le cul en feu

Il souriait et me disait :

- tu vas devenir ma bonne salope, comme j’ aime.

Mehdi me limait à grand coup.

Mehdi me lâcha son jus dans le fion

- Waou ! Je l’engrosse la salope putain qu’elle est bonne

je sentais son jus tiède remplir mon cul .

Apres avoir déculé Mehdi me suça , me bouffant les couilles jusqu’à je jouisse .

Je m’endormi et ne m’aperçu même pas que Mehdi était reparti et que Karim avait passé la nuit dans la douche .

 

J’aurais bien changé de chambre, mais il me reste qu’une nuit... Je ne dirais rien.

Le lendemain , Mehdi est arrivé, nous sommes allez sur la plage ensemble.

Il me fit un grand sourire charmeur et me dit qu'il n'avait pas trouvé d'autre moyen pour m'attirer jusqu'à la sue le sable fin . Il me prit par la taille et m'enlaça. Il était torse nu et en boxer.
Je sentais son membre au repos contre le mien. Je commençai direct à bander.
Avant de m'embrasser, il me dit " je veus encore essayer avec toi ".
Sa queue devenait de plus en plus raide au fur à mesure qu'on s'embrassait.
Nos lèvres humidifiées s'échangeaient de long baisers fougueux. Ses mains glissaient sur mon dos pour arriver à mon cul.

Il le caressa et le massa. Je sentis un doigt s'enfoncer puis deux. Mon cul s'ouvrait vite à lui.
Mes baisers étaient de plus en plus profonds qu'il me doigtait.
Je me suis détaché de lui. Ses yeux ne me quittaient plus.
 Il me dévisageait comme si je n'allais pas lui résister très longtemps. Il s'approcha de moi et me plaqua sur le sable ou venait mourir la mer. L'effet froid de l’eau et l'effet chaud de son corps contre moi me faisaient triquer entre plus. Il se mit à genoux et me pompa.
Je lui caressais sa tête, sa nuque et ses épaules. Avant d'éjaculer, je me suis retiré. Il me regarda droit dans les yeux d'un air déçu mais je lui ai expliquer que je voulais me finir dans son cul.

Il m'a dit qu'il n'avait jamais été pénétré sur une plage et qu'il voulait que ce soit bien fait. Pour le rassurer et lui donner un avant goût, je l'ai retourné, plaqué à mon tour contre le sable. J'ai caressé son cul et entrepris un anulingus.
Je léchais sa rondelle tendre. Je sentais qu'il se détendait car il écartait ses jambes afin que ma langue rentre plus.

Je lui ai écarté ses cuisses et j'ai commencé à le doigter.
Il pinçait ses lèvres de plaisir. Je sentais qu'il n'allait pas tarder à y passer. J'ai mis ses jambes sur mes épaules et j'ai guidé mon pénis vers son cul.
Il me dit d'y aller doucement. Je confirmais d'un sourire. Mon gland est rentré sans problème et je faisais de petits va-et-vient pour qu'il se détende encore plus.
Ma queue glissait de mieux en mieux. Je l'ai pénétré entièrement et une fois à l'intérieur de lui, je le regardais dans les yeux en commençant le bourrage. Il me fixait aussi et il avait l'air d'apprécier ma tendresse à son égard. Il me demanda d'y aller franco peu de temps après et je lui ai obéi. 0.gif

Ma bite s'enfonçait bien et mes couilles venaient percuter son cul. Il se masturbait en même temps, je me suis mis sur son coté pour le défoncer. Il avait une petite douleur de temps à autre mais il en redemandait encore. Je l'embrassais dans le cou pendant qu'il massait mon cul. Il n'avait pourtant pas l'air d'être novice en ce qui concerne la sodomie tellement il avait du plaisir.
Il m'a répondu " je me doigte régulièrement "et  me fit un clin d'oeil.
 J'allais bientôt venir.
Je me suis retiré, j'ai enlevé la capote et j'ai approché ma bite de sa bouche. Il l'a tout de suite attrapé et m'a sucé et pompé jusqu'à la dernière goutte. Il m'a dit que je lui avais fait du bien. Pour me remercier, il m'a expédié sa queue là où il faut et m'a défoncé avec force. Son excitation était telle qu'il a éjaculé peu après en moi.
On s'est emballé pendant plusieurs minutes comme si on était au début de la coït.
Après s'être remis de nos émotions, il m'a avoué que sa copine ne lui plaisait pas et qu'il était en fait attiré par les mecs.
Il m'a dit qu'il avait un copain depuis plusieurs mois et que sa dite copine lui servait d' " alibi ".
J'étais très étonné par ses propos et je ne trouvais pas ça déprimant de se trouver une copine pour " sauver "son image de mec viril moi je suis bien marié…...
nous rentrions a l'hôtel pour diner ensemble.

Puis à la fin du repas Kamel le serveur me dit:

- Soit ce soir a 23h dans ta chambre sinon tu sais ce qui t’arrive.

--Mehdi sourit et me dit " à demain je sais que tu es en bonne mains , mais voici la clé pour ta sécurité " , m’embrassa et partit car il avait encore son entrainement de hand ball..

Kamel arriva a l’heure dite

Désolé lui dis-je ce soir je dors.

Kamel m’embrassa et ajouta " excuses moi , je ne voulais pas te faire de mal , j’espérai juste me trouver l’homme avec qui j’aimerai vivre en France prochainement "

--je comprend Kamel mais hélas ça sera pas toi

--merci de ta franchise et bon retour chez toi

Apres une nuit longue et très calme je passa ma journée a préparer mes bagages tout en revivant comme un rêve " mes vacances "

dans la soirée Mehdi me raccompagne a l’aéroport

m’embrassa longuement ,dans ses yeux se lisait la tristesse ,

je le réconfortais en lui disant " mon amour ces moments que nous venons de vivre ne seront pas les derniers "

Quand ? ? tu vas vite m ‘oublier quand tu sera chez toi

NON Mehdi ne dit pas ça mon corps sera a toi chaque fois que l’on se rencontrera lui dis-je sans pouvoir cacher les larmes qui s’échappaient de mes yeux

A suivre……..

Par simon - Publié dans : ma vie
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Dimanche 3 février 7 03 /02 /Fév 17:46

 

2008 19411615_p.jpg     rebeu 19412664_p.jpg  loubar 19432162_p.jpg  peut importe de beaux mecs 19510270_p.jpg  des belles bites 19513642_p.jpg    bien juteuses         19517165_p.jpg    de beaux culs 19545231_p.jpg    à prendre ou pour ce faire prendre 19669121_p.jpg  le PARADIS
Par simon - Publié dans : mes copains
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Dimanche 27 janvier 7 27 /01 /Jan 17:06
cette histoire dessiné par Josmon est en anglais et ça m'a donné de la traduire a ma facon ne connaissant pas cette langue . cette histoire me rappelle mes douzes ans et mon petit fils kevin ma demander de la raconter en se mettant a la place des acteurs 
donc voici UNE NUIT dessin de Josman  2003, écrit par Simon , texte de Kévin.

nuit_11.JPG En vacances chez mon pépère
 Chaque nuit c'est toujours  le même scénario , quand le reste de la famille dort à poings fermés pépère vient dans ma chambre
Ma bite est raide avec l'excitation quand il approche mon lit et repart sans dire mot.
Une nuit vers 1h du matin la porte s’ouvrit en grand et contre le mur se dressait une ombre comme un géant qui me dit « tu dors Kévin »
Je ne sais pour quelle raison ,je me suis mis a bander., ayant reconnu sa voie je répondit « NON pépère »
« Kévin je t’avais promis une gâterie alors me voici »
Là devant moi se trouvais un corps de rêve quand pépère laissa tomber le peignoir.
Je m’écria « Wahaaaaa!!!! Quelle bite pépère whaaaa!! »
ma queue durcit comme la pierre Sous les draps
Dans ses yeux je vois le total désire
La chimie entre nous est incroyable . Aucun pouvoir puissant , ne pourrait arrêter l'attraction de l'un pour l'autre




Il a un corps à  mourir de jalousie
 Je n' ai pas l’habitude de voir un être velu , moi j’y suis juste en bas
La mise au point est presque une religion pour exiber  ses muscles .. il est au fitness  tous les jous
Sans rien lui demander je me jette sur sa bite .
 il me dit combien il aime mon bisou soyeux, J‘en rougis mais  je suis le plus  fière du monde!
Sa bite  non circoncie est stupéfiant ,cela se sent encore mieux dans ma bouche!
Je suppose que vous pourriez dire «  ce gamin  a le bonheur  d’avoir le plus beau  des jouets! » undefined






















. Son odeur est tout simplement incroyable. 
Il a une vraie odeur de mâle dans laquelle je baigne depuis que je suis né. Depuis que je suis jeune, j’associe cette odeur avec un sentiment de sécurité, de protection et de chaleur, comme quand il me prend fort entre ses bras. Maintenant que j’ai grandi, cette odeur a un différent effet sur moi. Son odeur me rend chaud et très excité, et me fait tout simplement bandé

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. En moins de deux, je me retrouve sur le dos et pépère est juste au-dessus de moi, enfonçant son beau morceau dans mon cul serré. 
Il commence à être de plus en plus agressif, me disant des mots cochons.
Il m’appelle sa salope de service. J’adore être son jouet sexuel. sans lui je ne serai pas de ce monde, alors je lui donne le droit de m’utiliser et d’abuser de moi comme il le souhaite. 
Je sens mon bon pépère sur le bord d’exploser.
Je le supplie de venir en dedans de moi. Je peux sentir mon cul se faire remplir par ce jus chaud de mâle. undefined

Des couleurs explosent dans ma tête au moment où je vis mon plus intense orgasme. Je me réveille… Je suis tout recouvert de ma propre semence. Un autre rêve humide en pensant à mon pépère. Mon dieu, j’espère plus que n’importe quoi d’autre qu’un jour mon rêve devienne réalité.

nuit_15.JPG FIN
 ps, dessins extrai  du site jenveuxplus .com

dossier  : photo/galerie membre/Josman-Handjob

Par simon - Publié dans : histoire racontée
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Samedi 26 janvier 6 26 /01 /Jan 14:09

Mon ange
Dimanche 13 janvier 2008 .
Il était près de minuit, et je jetais mon regard sur la froide plaine qui entoure ma petite maison isolée hors de la ville.
Au-delà de la baie vitrée s'étendaient devant moi les lumières allumées d’une ville moitié endormi.

Entièrement nu , ,comme j’adore l'être  , écoutant une musique douce tout en sirotant  un verre, la buée s’accrochant aux vitres à chaque expiration, dans la pré-ombre dont seul l’illumination du sapin de Noêl éclaire le salon ,  j’étais  calme lorsque soudain…….
 j’entendis résonner la sonnette  de la porte d’entrée.
"Mais qui est  celui-là, qui vient me faire chier ? ".
Je me précipitais à la porte et je l’entrouvrais pour voir ce qui été si urgent au point que l’on vienne sonner à ma porte à minuit par un soir d’hiver.
Devant moi se trouvait un type, un jeune homme, tout juste vingt ans, brun et des yeux d’un bleu magnifique. Il se précipite à l’intérieur avec pour seule justification un " ne dites rien! " et  part se cacher dans l’ombre du salon à côté de la baie vitrée.
Deux secondes après on re-sonne  à ma porte, , j’entrouve sans enlever la chaine de sécurité , un policier en uniforme se présente et me demande:
-- Police municipal -vous n’avez pas vu un jeune homme d’une vingtaine d’année, brun?
-non monsieur, pourquoi que se passe-t-il ?"
J’ai du mal à cacher mon appréhension et je sens mon cœur qui frappe comme un malade contre ma poitrine, il fait beaucoup plus chaud tout à coup.
-- nous avons tenté d’appréhender un suspect dans une affaire de vol, mais il s’est échappé et on nous a dit qu’il était rentré dans votre cour . Puis-je entrer pour vérifier s'il n’est pas là ?
-écoutez monsieur, qui aurai pu vous dire ça , il y a personne au alentour a moins de 500m et je suis pas habillé voire carrément pas, de plus s'il était vraiment entré chez moi, croyez-vous l’espace d’une seconde que je vous aurais ouvert ?
--alors vous ne verrez aucun inconvénient à aller vous rhabiller et à me laisser entrer
.
- me rhabiller ,ca vas pas la tête , mais pour rentrer il vous faudra un mandat. Bonsoir."
Lui claquant la porte au nez.
 Je sentais mon anxiété qui commençait à me donner des sueurs froides, je m’en retourne vers mon jeune homme planqué dans un coin.
Et là quelle ne fut pas ma surprise, de le voir en train de tenir à la main un de mes magazines gay, il m’entend arriver et jette le livre. Je fais comme si de rien n’étais.
-- bon alors il va d' abord falloir que l’on soigne la balafre que tu as sur la joue puis que l’on change tes fringues (son t-shirt noir était totalement déchiré dans le dos) ensuite tu me raconteras." lange.jpg
Je m’approchais de lui pour examiner ses blessures  ( ça vas c’est presque rien ) et j’en profitais pour le regarder de plus près, un visage juvénile, des yeux d’un bleu qui avec l’obscurité se teintaient de nuit, des mèches brunes lui tombaient sur le front. Et c’est en le détaillant un peu plus à chaque fois que je me rendis compte que j’étais toujours entièrement nu et que mon érection n’allait pas tarder a venir.
-" Donne moi tes vêtements, je vais t’en donner des miens."
Je l’aidais à enlever son t-shirt découvrant peu à peu un corps svelte légèrement sculpté des pectoraux bien formés et des abdos dessinés par un peu de sport.
Je m' extirpais a cette vision de rêve lorsqu' il planta  comme un éclaire son regard outremer dans mes yeux, une seconde passa qui semblait durer plusieurs minutes, alors il se décida a m' embrasser.
je sentis sa bouche effleurer mes lèvres, puis refermer tendrement leurs prises, je sentais la chaleur monter en moi pour mieux rendre l' instant unique, et je lui rendis ce baiser tout et touchant de mes mains les courbes de son corps, caressant le collier ou pendait un médaillon en forme d' ange  ailé que j' avais vu lorsqu' il avait enlevé son haut.
Mon ange à moi (ce minet) me caressait comme un dieu, il caressa ma poitrine et mon torse pour tourner vers mon dos et descendre le long de mes reins doucement cambrés.
Il cessa de m'embrasser pour me pencher en arrière, il commença a embrasser mon corps passant sur mes seins descendant lentement vers mon ventre, les vitres devenaient de plus en plus embuées, la ville s'effaçait peu a peu et l' on ne discernait que les contours de ce qui semblait être que la cité voisine. Seule restait la lumière du sapin éclairant nos corps enlacés embrassant tendrement mon bas ventre déjà dans une atmosphère très tendue, il ne dit pas un mot et moi je ne faisais que soupirer devant le plaisir qu'il me donnait.
Je me relevais, pour lui rendre de tout mon talent tout ce qu’il m’avait donné jusque-là.
Je pris en main l'objet de ce désir qui montait en moi, je caressais son corps pendant que ses mains se baladaient près de mes fesses rebondies.
Je sentais ce corps et cette chaleur vive au passage de chacune de mes mains, les soupirs qu’il lâchait de temps a autres ne cachaient rien de son plaisir, mon ange transpirait de désir et gémissait de plaisir.
Puis le désir monta en puissance je voulais ne faire qu' un, le sentir en moi, je me retournais face a la ville posant ma tête contre la vitre froide, le contacte me provoqua une onde de satisfaction et de calme tandis qu' une vague de plaisir me submergeait lorsque je sentis son corps transpirant se coller au mien.
Je sentais sa chaleur, j'entendais sa respiration et ses soupirs, ils approchait son sexe près de moi puis il força l'entrée d' un coup, c 'était ce que j' attendais, je sentis la douleur se répandre a travers moi, puis il commença des va et viens la douleur redoubla, la chaleur était intense, mes jambes allaient se dérober sous moi mon corps ne me supportait plus.
Je m'appuyais à la vitre froide, j'y collais mon visage mes mains puis mon corps (ceux qui ont vu Titanic savent ce que cela fait, et ceux qui l'on fait avant moi savent à quel point c'est bon).
La douleur se mua en plaisir, je le sentais en moi, son corps enlaçant mon corps, et la chaleur mêlée de nos âmes.
Soudain je le sentis se contracter, puis je sentis la chaleur se déverser en moi, au même moment le plaisir me renversa tout entier, mon corps se contracta pour annoncer la fin du rêve.
Nos corps s’entrelacèrent l' un l' autre, nous respirions à l’unisson ses yeux bleus plantés dans les miens pour mieux signifier à mon corps que le désir était partagé et bientôt consumé.

Alors la sonnette de la porte retentie,

-putain c’est pas vrais , balance tes fringues sous le lit et couche toi
d’un pas chancelant je me levais pour avancer, et ouvrir.
-encore vous , faite chier ! !
-.police ,je vous somme d’ouvrir !
-oh, allez au diable !"

Deuxième claquage de porte.

La sonnette de la porte retentie de nouveau

--je suis désolé, je ne voudrais pas vous forcer la main mais pour le bien de l’enquête il faudrait vraiment que je rentre
-faite chier je ne suis qu’avec mon frère qui dort et moi je voudrais bien y aller aussi.

--je regarde vite fait si vous n’avez rien a cacher et je vous laisse tranquille..
-bon allez vite entrez.
--vous pourriez cacher votre queue semi-bandante.

-si ma tenue vous plait pas faite comme moi foutez vous a poil comme ça on sera deux.
Le flic fit le tour de la maison et arriva a la chambre .
-vous voyez bien que  mon frère dort.
-je dois contrôler , il souleva le drap et vit je jeune homme a poil (faisant semblant de dormir) et ajoute « beau petit cul le frangin ». bopetitcul.jpg
-comme vous lui dis-je en passant mes main sur ses fesses.
-ah ! bon c’est la première fois que l’on me le dit.
-déshabillez vous et regardez dans le grand miroir.
-vous croyez que je peu ?  lepolicier_22.jpg

En moins de deux notre flic etait a poil , admirant son corps dans le miroir sous mon regard et du jeune mec qui ne manquait rien du spectacle



ah! oui je n'avait jamais regardé que j'etais si sexi !!!! 
-bien sur de toute manière vous avez bien vue que l’intrus  n’est pas chez moi.
--vous avez raison après tout.
.
-whaaa ! un beau paquet là devant lui dis-je
-vous aussi
-je peus toucher ?
--oui mais moi je suis pas PD
-les hétéros adorent se faire sucer

--ah ! bon ben allez pour une fois je vairais la différence
je m’approcha  de lui , un bisous dans le cou , me laissa glisser et mordilla les tétons au passage , puis un coup de langue au nombril et enfin la bite qui s’etait  dressée bien dur , très fine que j’entrepris d’engloutir dans ma bouche.
--aaaahh ! que c’est bon  , oh ! ouiii    disait le flic
me tournant légèrement sur le coté afin de voir le jeune dans la chambre , je lui fis signe de venir participer.
Tout en suçant sa queue je lui massais les fesses et l’effet escompté arriva , le flic se pencha au dessus de moi pour caresser mon cul.
-si vous voulez me sucer ? vous genez pas
-- j’ai jamais fait
- ben c l’occasion on se fait un 69 je vous suce et vous faite de même et vous pourrez caresser mon cul…...

je m’allonge sur le dos et l’invite a venir au dessus de moi  ,il prit ma queue en bouche et moi avec mes jambes j’encercla son torse pour le faire prisonnier.
Je jeune homme sortit de la chambre et arriva en douceur derrière lui, et sans prévenir enfonça son pieu dans le cul du flic.
Un cris de douleur retentit , mais n’arriva pas a se dégager étant  bloquer par ma position.
Le jeune homme se défoulais et l’enculait en profondeur , je ressentait dans la bouche les vibrations de l’excitation du bon flic qui commençait a y trouver du plaisir.
--ouiii ouiiii c bon encore les mecs c’est délicieux
le jeune mec se cabra et envoya sa semence dans les entrailles du flic alors que celui-ci remplissait ma bouche.
Sous l’emprise de sa joissance le flic ne vit pas que le jeune homme avait disparue dans les secondes suivantes.
quand il se rhabilla le flic dit «  putain c’est vachement bon »
-tu vois ,tu as pas le voleur mais lui t’as eu….
--QUOI ? QUOI c’est lui qui ma enculer ?
- OUI  le voleur
--ou il est que je l’embarque ?
-eh t’es pas sympas avec lui , il t’a quand même permis de passer un bon moment
-oui  oui , mais en plus je vais lui coller un viol a ce petit con
-désolé mais il c’est envolé et en plus avec mon camescope ,que j’avais mis en fonction , donc en plus il a la preuve que tu etait consentant.
--a merde merde et merde que je suis con......
-t’inquiète si tu repasses viens me voir pour un extra.
--bon  , mais que ça reste entre nous …..ben au revoir
-au revoir

La première chose que je ressentis en revenant dans le salon ce fut le froid, un froid intense qui me mordait la chair, la fenêtre était ouverte et les rideaux blanc flottaient lentement dans la pièce.
je me précipitais au balcon et regardais dans le vide, rien, absolument rien, la neige avait commencé de tomber, couvrant la plaine d' une ombre pâle, je rentrais en ferment la fenêtre, il ne restait rien, aucun vêtement, a part un éclat d' argent sur le sol, le collier du jeune homme, deux ailes d’ ange graver JM.
mon ange, qui s'était envolé un 13 janvier, reviendra-t-il ? ?.

Deux jours plus tard , je retrouva mon camescope  dans la boite a lettre avec un petit mot
 «  MERCI MONSIEUR ? JE NE SUIS PAS UN VOLEUR ? J’AI JUSTE FAIT UNE COPIE DE LA CASSETTE , SECURITE OBLIGE CAR CE FLIC MINICIPAL ME POURCHASSE CAR JE BAISE SA FEMME »


j’aurai pourtant aimé le revoir pour lui redonner son collier…………..

Par simon - Publié dans : ma vie
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Vendredi 25 janvier 5 25 /01 /Jan 13:46
attaché au radiateur , seul dans la chambre , je me remettais lentement de ce que je venais de subir (voir épisode précèdente) , attendant que le co-locataire rentre de son travail.
mon cul encore ouvert  sans doute voulait-il se rappeler de Mehdi et Alexi.
soudain la porte claqua. c'etait Mohamed .
-- salut Franck alors il est ou le gigolo?
--dans la chambre attaché au radiateur.
--pourquoi attaché tu sais j'aime pas ça.
--oui mais il voulais se barrer.
la porte de la chambre s'ouvri et apparu Mohamed quand nos regard se sont croisé ce mec je le connaissais , il passe tous les jours devant chez moi pour faire son joggin.
-- salut mec me lança -t-il
--salut
-- j'étais loin de penser que tu étais PD
--pas PD juste amateur de bonne bite.
--tu vas te régaler alors , mais comme tu es sympas je vais te faire un cadeau.
--j'y crois pas vus ce que m'a fait endurer ton co-locataire Franck et ses 2 amis.
--Franck vient ici de suite hurla-t-il
Mohamed avait sorti d'un tiroir un collier et des chaines  , que vais -je encore subir?
-- détache moi ce mec et viens a mes pieds.
Franck me libéra et executa l'ordre.
Mohamed pris les menotes et attacha les poignées de Franck dans le dos , lui passa le collier autour du cou et menota ses pieds tout en relieant le collier et les menote des pieds avec la chaine un peu courte qui obligait Franck à avoir la tete maintenu en arrière.
Franck hurlait " NON NON pas ças "
-- ferme ta gueule conard , tu sais bien que j'aime pas que tu ramènes des lascards quand je suis pas là!!!
--mais c'était pour toi qu'ils etaient venu , et entre temps sur le net j'ai trouvé le vieux qui se disait pute , salope ,alors on l'a chauffé avant ton retour.
-- c'est vrais ça mec?
--OUI
Mohamed me fit mettre debout , me couvra de bisous ,s'agenouilla et me suça la bite pour mieu la raidir.
--voila tu es pret alors bourre lui la gueule , défonce lui la bouche a ce conard..
pendant que je limais la bouche de Franck , Mohamed se désappait et se mis sur un fauteuil et donnait les ordes. 2008_mohamed.jpg
-- Putain plus vite , plus fort 
il sorti du meuble voisin un fouet et se mis a me taper comme un taré
mais le fouettage me donnait encore plus de plaisirs.
voyant ça il se plaça devant moi  et hurla " suce  moi ça , et aprés je t"encule "
Quand le morceau se présenta devant ma bouche le gland ne rentrait pas tellemment il était gros.
Il me l'enfonça de force dans le bouche , gueulant "  quand je dis suce on suce compris? " je ne pouvais plus respirer et n'y lui répondre.
Les coups de fouets rytmaient la cadance dans la bouche de Franck ,alors que Mohamed lui faisait de même dans la miene.
Dans un moment de relache , ma bite sortie de sa bouche et celui-ci me mordit les couilles , sous la douleur je lacha la bite de Mohamed  et lui claqua un direct dans la tronche en gueulant  ' ça vas pas espèce de con "
Mohamed pris un autre jeu de menotes et m'acrocha  les mains au dos de Franck , a mon tour j'étais son prisonnier.
Il pris du gel et m'enduit le cul
--NON  , NON ,pas toi elle est trop grosse
--ta gueule tu sera ma pute du jour
--Pitier Non pas ça , pas toi
--Pourquoi je te plais pas?
--Si mais.....
--mais quoi? tu a peur de ma bite ?
--ta queue est superbe mais mon cul vas pas aimer
--vas pas aimer , tu rigoles , tu as pas dis sur le net que tu était une pute?
--Si Si  ,mais c'etait juste de la frime
--tampis pour toi fallait pas
--NON ,NON STP
Mohamed s'excitait en frottant son gland contre mon trou et d'un coup de rein sec sa queue entra dans mon fion.
mon cris de douleurs fut si fort que l'on a du m'entendre   3 étages plus haut
j'en avais perdu mon errection , Franck en profitait pour me re- mordre les couilles.
pris entre mes deux boureaux je ne pouvais plus rien faire que de subir , les couilles de Mohamed tapaient contre mes fesses alors que dans mon ventre je sentais ça matraque allait me ressortir par la bouche tellement ces  coups de beliers étaient puissant.
entre plaoisirs , jouissance ,douleurs je senti monter en moi une chaleur énorme et puis plus rien je me suis évanoui.
Que c'est-il passé apres ....................je ne sais pas ................je reprendrai mes esprits , devant chez moi , dans ma voiture , entièrement nu , mes habilles à coté de mon corps couvert de sperme.
mon cul lui se souvient  et s'en souviendra longtemps d'avoir avalé une bite de cheval 

Mohamed passe  toujours tous les jours devant chez moi pour faire son joggin mais fait semblant de ne pas me connaitre......
mais moi je lui en veus pas dommage pour lui. 2008_suce.jpg



Par simon - Publié dans : ma vie
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Jeudi 24 janvier 4 24 /01 /Jan 17:30

SERGIO Le p'tit con de mon locataire.
Une nouvelle famille a emménagé dans la maison voisine que je loue pour la1ère fois après quelques année de travaux de rénovations. Seul un long couloir sépare les logements ,la porte d’entrée et celle des servitudes et la même pour moi et pour eux.
.

Le fils de la famille locataire un ptit con , jamais de bonjour , pas un mot envers les personne plus âgés  et pourtant  c’ est un super minet, un regard sympas, un petit cul  bien rebondi qu'on voudrait bien comme garage à bite, des lèvres  sensuelles,  rouges qu'on a envie de voir  un collier autour d’un gland qui entre dans une bouche. sergio-02_009l.jpg
 Mais voilà, je lui donne pas plus de 16 ou 17 ans et moi qui en ai 62, je ne veux pas de problème avec un mineur.
Pourtant, ce p'tit con, il est toujours sur mon passage, je le trouve dans mes pattes partout : dans la rue, sur le parking , dans les magasins etc... . .
À chaque fois, il me mate d'un air provocateur qui semble dire : " Si tu veux, tu m'as". 
De mon côté, je fais tout pour l'ignorer, je ne veux pas d'histoire.
 En plus, s'il me disait un mot, un sourire, un bonjour ! Mais non ! rien
----Un vrai p'tit con.
Seulement voilà ! Je me suis rendu compte depuis deux ou trois jours , il conduit  la voiture de papa avec un A sur la vitre arrière.
La barrière de la minorité est tombée.
 Maintenant quand il me mate de son oeil salingue, je lui renvoie un regard qui veut dire " c'est quand tu veux".
 Mais toujours rien, pas un mot, pas un sourire, pas un bonjour.
 ---Quel p'tit con !
Un samedi après midi, je descends à la cave .
 la porte qui donne sur les caves est déjà ouverte et je le vois, là, assis dans l'escalier.
Échange de regards, toujours pas un mot.
Je passe dans le couloir sombre où sont alignées les 2 caves, la mienne est  au fond.
 Je prends ce que j'ai besoin, je referme la porte et je reprends le couloir en sens inverse.
Tiens !!!   la cave du locataire est ouverte et il y a de la lumière.
 En passant devant, je risque un oeil et je vois le p'tit con , en train de se masturber.

Le temps de réagir, j'ai déjà dépassé la porte de quelques mètres , je m'arrête et me retourne.

Il est là, debout, au milieu du couloir, exhibant sa bite sergio-02_116la.jpg et me faisant signe d'entrer dans sa cave.
Y'a pas à hésiter, j'y vais.
A peine entré, il ferme la porte à clé et éteint la lumière. La seul clarté  est de la bouche d’aération .
On est là dans l‘ombre, adossé au mur du fond , j'attends ce qu'il va faire.
 IL avance , il est face à moi, met sa bite dans la main,(tout comme je l'imaginais)   grosse,  chaude et ferme . Je le branle doucement pendant qu'il s'acharne de faire sauter les boutons de mon jeans , il me caresse le sexe à travers mon calbute, je suis déjà en pleine érection.
Le calbute et le jeans atterrissent sur mes mollets, je le défringue à mon tour.
 Après quelques minutes de caresses sur nos zobs, j'attrape sa tête et la penche pour qu'il me suce. Il ne se fait pas prier Il suce bien ce p'tit con  Sergio.
Il y met du coeur, sa langue est une vraie vipère, je la crois à un endroit, elle est ailleurs, il me bouffe les couilles avec ardeur, remonte sa langue le long de ma bite, un vrai plaisir.
Je lui relève la tête, ne voulant pas jouir trop tôt, je le retourne, lui plaque ma bite bien dure contre le bas du dos, je m'occupe de son sexe, le malaxe, le pétrit, je lui claque les fesses, il rugit « oouuuuiiiiiii encore hummm!!! » de contentement, écartant les jambes je risque un doigt dans sa raie ,l’enfonce dans le cul , je le remue, il apprécie, « mets en deuxième » dit-il , il se cambre en disant «  mets en un troisième » , je lui donne satisfaction.
C'est alors qu'il me dit «Mosieur  fout moi ta bite dans le cul! »
« J'en rêve depuis que je t'ai vu, je me branle en pensant à toi » « . Vas-y, défonce moi! Mon cul est à toi, prends moi comme une chienne! J'ai le cul en feu! J'en veux! J'en veux! ».
Moi aussi je voudrais bien l'explorer ce petit cul rebondi . sergio-02_096l.jpg
 « je ne m'attendais pas à ça aujourd'hui   je n'ai pas de capote sur moi »  lui dis-je.
« T’inquiète j‘en ai » , il farfouille dans son jeans et me donne de quoi satisfaire mes envies.
C'est couvert que je présente ma bite à l'entrée de son cul, je n'ai pas beaucoup d'efforts à faire pour l'enfoncer toute entière (c‘est surement pas sa 1ère fois).
 Au début, je lui fais des va et vient assez doux, mais il ne l'entend pas de cette oreille, il veut vraiment se faire défoncer, alors je lui fout de sacrés coups de bite à répétition. Je le branle en même temps et je la sens frétiller dans mes mains, il en demande toujours plus et toujours plus fort
---(il va me crever ce p'tit con!)
Un coup de bite sans doute mieux placé , sur un cri de bête sauvage il crache son sperme, j'en ai plein les mains, je lui enduit la bite avec, ça l'électrise, il serre les fesses, les relâche, les resserre et c'est moi qui gicle à mon tour, remplissant la capote dans ses entrailles.
On reste là sans bouger, savourant le pied qu'on a pris ensemble.
Il récupéra la capote en faisant bien attention de ne pas la vider.
en suite mit la capote remplie de nectar dans une petite éprouvette fermée hermétiquement étiquetée (dates: 23/01/2008 , nom : le vieux Simon)
 pour ma collection dit-il
Plus tard, chacun s'est rhabillé, ouvre la porte, me pousse dans le couloir et se renferme dans sa cave.

Depuis, quand j'ai envie de me vider les couilles, je vais voir à la cave s'il ne rode par là et c'est souvent , presque tous les dimanches qu'il m'attend, assis dans l'escalier.

Je continue à le rencontrer partout, mais jamais un mot, jamais un sourire, jamais un bonjour. 
Je n'entends sa voix que quand il me crie « Bourre moi  le vieux ,bien a fond , plus fort oui encore» .

---Quel p'tit con!
--Mais un BON p’tit con ce Sergio

Par simon - Publié dans : ma vie
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Mercredi 23 janvier 3 23 /01 /Jan 11:51

simon_2008.jpg , j’ai les yeux bleus, je suis  encore assez mignon, corps enrobé  qui fait saliver quelques  mecs.
 Cette fois, 20 janvier 2008 une autre expérience m‘attend..

Minuit passée, je suis sur un chat gay tendance reubeu, lascars. Mon pseudo, situenveu , ma description est accompagnée de la mention, très salope(.
Alors que je parle avec plusieurs mecs sans grand intérêt, un mec de 37 ans ouvre un dialogue avec moi. Son pseudo est bellaiguille37 . Il m’aborde ainsi :
 « Alors tu offres ton cul de lope ? ».
 Excité, je lui réponds direct « oui ».
 Echange d’ adresse MSN et il me rejoint dessus.  Après l’échange de photos/visio par caméra, il me propose un plan chez lui. Il est français, brun, les cheveux très courts, les yeux noisettes/noirs. Il est pas trop musclé du torse et poilu sans exagération. Sa queue mesure 18/5.
Il n’habite pas très loin de chez moi, a ma grande surprise à peine 2km , le plan est tentant surtout qu’il est bandant.
 Je lui demande  «  quel genre de plan, tu  souhaite »  .
Il me dit « viens chez moi et suce  moi direct en entrant puis je te défoncerai ensuite ».
J’accepte pour le lendemain après-midi vers 16 heures. On échange nos numéros de téléphone et il me donne son adresse. Avant de quitter, il me demande « ne porte surtout aucun sous-vêtement quand tu te présenteras chez moi ».
J’acquiesce.
Le lendemain, je me rends au rendez-vous. Je l’appelle lorsque je suis dans sa rue, il m’ouvre et m’indique l’appart. En montant les escaliers, je me rappelle sa directive concernant l’absence de sous-vêtement.
 MERDE…, j’ai mis mon string noir ! Tant pis.
Il ouvre la porte lorsque j’arrive sur son palier , me fait rentrer , referme derrière moi.
Il porte un tee shirt moulant noir et un jean noir.
-salut heuuuu.... je suis Simon
-ok moi c Franck franck_2008.jpg  sa bonne gueule etait loin de se qui m'attend..
Sur un ton décontracté, je lui dit : « J’ai eu du mal à trouver ton… »
- Tais-toi !
Il me caresse les fesses et la bite.
Pas mal tout ça… Tu es excité petite lope ? »
- Oui.
- Tu as bien obéi, j’espère… Sinon.
Il m’ouvre le jean et découvre mon string.
Pourquoi tu as mis un string, je t’avais dit sans sous-vêtement !
- Je…
- La ferme !
Il m’attrape par la barbe et me met à genoux. Là, il me colle une baffe.
Quand je te dis un truc, j’entends être obéi ! Compris ?
- Oui.
- Tu es une lope. Compris ?
- Oui.
- Reste comme ça.
Il me laisse à genoux et pars dans une autre pièce. Il revient avec des ciseaux, me baisse le pantalon et découpe mon string pour me le retirer en lambeau.
Voilà, ça définit mieux ta condition ».
Il me remet le jean et me saisi par la barbe.
Je veux plus de ça, compris salope ?
- Oui.
Bien vielle salope, je voulais un plan cul à la base, mais ta gueule de salope me donne d’autres idées. Tu vas devenir ma lope personnelle. Ok ? ».
- Oui.
- Bien. Mets-toi à poil, salope !
Je me déshabille, commençant par la veste. Je retire ensuite le débardeur et mes pompes. J’ôte mon jean et mes chaussettes, me retrouvant entièrement à poil. Il me matte comme une marchandise, l’air satisfait.
- Te voilà prêt à servir vielle pute !
- Oui
Il me tâte le corps en insistant sur ma raie serrée.
Son portable se met à sonner.
« Oui ? Medhi ? *** ! Comment tu vas ? *** Trankil !*** Vous êtes où ? … *** Bah je suis un peu occupé ***… C’est vrai tu l’as ? ***Ouais venez en profiter !*** Dans cinq  minutes ? ***Ok ! ».
Il raccroche et repose son portable.
- Désolé salope, mais j’ai deux potes qui débarquent avec la nouvelle PS3 ! Donc je te loperai plus tard !
- Ok.
Je me relève, il me matte. Je prends mon jean mais il m’arrête.
- non  , non  , attend ! Reste à poil !
- Mais faut que je me casse si tu as des potes qui arrivent.- Non, j’ai pas envie. Tu vas rester là dans la chambre. Nous on va jouer au rez-de-chaussée. J’ai envie de te dresser plus tard. Donc tu vas m’attendre là.
- Quoi ! Mais combien de…
- La ferme ! deux heures tout au plus !
- Non, c’est mort !
Là, il m’a collé une baffe magistrale !
- Je t’ai demandé de fermer ta gueule, sale chienne. Tu obéis comme une bonne salope et c’est tout.
J’étais soufflé. 
Il a ouvert son placard et en a sorti une paire de menotte et m’a attaché  au radiateur.
- Hé non, tu peux pas me laisser comme ça, si je veux pisser.
- Tu te retiendras, salope. Je monterais te voir qu’une fois.
La sonnette de la porte a retentit et il est parti en me disant «  si tu gueule, tu prendras une raclée dont tu te rappelleras »..
 En bas, j’ai entendu la voix de deux autres types puis ils sont allés dans le salon. J’imagine qu’ils ont branché la console et qu’ils ont commencé à jouer. Au bout d’un demi heure de cri de victoire et de défaite, il y a eu du bruit dans l’escalier.
  Franck  surgit dans la chambre suivi des deux keums. Un rebeu d’environ 25 ans que j’ai tout de suite trouvé beau et un métis qui devait être plus âgé ,  la gueule sympatique  .
- Voilà le  bâtard sur lequel je m’amuse ! Je l’ai contacté en lui faisant croire à un plan cul et ça va me servir de vide-couille et de défouloir.
- wa j’délire ! A commenté le rebeu Medhi.
- Putain, Il me file la trique ce pédé à poil attaché à ton radiateur. Ouah, pourtant je ne suis pas une fiote,  a gueulé Alexi, le metis.
- Moi non plus, mais ça me fait marrer de le traiter comme une merde, répond Franck.
- Hé, on pourrait s’en servir pour se branler ? Avance le beau Medhi et ajoute
-C’est mieux qu’avec une meuf car là tout est open !
- Ouais
Franck m’a détaché et m’a ordonné « ouvre la bouche »  .
 C’est ce que j’ai fait.
 Medhi s’est approché et à ouvert son jean puis baisser son caleçon. Il a sorti une bite déjà raide qu’il m’a mise dans la bouche. J’ai commencé à le sucer en appréciant le fait de sucer un aussi beau mec.
Derrière moi Alexi a demandé un préservatif à franck. Il a retiré son jean et son pull. Il s’est approché de moi en exigeant que je le branle. J’ai baissé son caleçon et je me suis exécuté, même si sa gueule de faut cul me dégoûtait. Il avait une queue énorme. Elle devait faire entre 19 et 21 cm pour une largeur de 5 à 6 cm. La veste de Medhi le gênait pour que je le suce plus loin, il l’a donc retirée avec son tee-shirt. Ce geste m’a permis d’admirer ces  mini tablettes. medhi_2008.jpg
Alexi est devenu bien raide. Il a enfilé le préservatif et a pris mon tube de gel pour m’en déverser une grosse quantité dans le cul. Il s’est mis derrière moi et s’est enfilé d’un coup sec sa queue énorme.
 J’ai gueulé malgrés la queue de Medhi en bouche.
- Tu aimes ça vielle  salope, disait Alexi.
- Il adore,c une pute ! , répondait Franck qui s’était mis à poil et que je branlais. - ---  -

-Grave, répondit Medhi. Il suce comme une salope !
Alexi me défonçait le cul sans ménagement en m’assénant de grosses claques sur les fesses qu’il ponctuait d’insultes. Il me traitait de chienne en chaleur, de tire-jus, de lope et de pute. Mon cul me faisait mal mais je ne pouvais pas gueuler car Medhi me tenait la tête et m’enculait sauvagement la bouche.
Frank les encourageait à se défouler.
 Il rejoignit Medhi et m’ordonna «  prendre également ma queue dans ta bouche » .
Je me retrouvai à sucer ses deux queues en même temps puis à tour de rôle, le nez dans la touffe de poils de Frank où contre ceux coupés courts de Medhi.
- Je vais jouir, dit Medhi
- Te retiens pas, lui conseilla Frank, lui abandonnant ma bouche.
Medhi fit encore deux va-et-vient dans ma bouche puis déchargea son sperme chaud sur ma gueule.
- Tu aurais pu lui donner à boire à cette salope, je suis sûr qu’il attendait que ça, balança Alexi qui me défonçait le cul toujours plus vite.
- C’est clair, approuva Frank pendant qu’il reprenait sa place dans ma bouche.
Alors que Medhi s’essuyait la bite dans mon débardeur,
alexi_2008.jpg Alexi se retira de mon cul bien ouvert, ôta le préservatif et éjacula sur mes fesses blanches avec un long râle ponctué d’un « sale pute » retentissant.
Devant ce spectacle, Frank se vida dans ma bouche m’obligeant à tout avaler.
- Tu es ma salope perso et c’est ma signature ! Compris sale chienne !
- Oui, déglutis-je, en avalant son foutre chaud.
- C’est une bonne salope, approuva Alexi.
-Tu vas avoir un bon vide-couille à dispo ! releva Medhi
- Il est également à votre disposition les mecs, vous avez la priorité quand vous voulez.
-Pour ce soir, je vais le laisser à Mohamed. Ça va le détendre en rentrant du boulot. D’ailleurs il arrive dans une demi-heure !
Mohamed,je le connaissais il passe tous ls jours devant chez moi et me mate grave , et je venais de  comprendre qu’il  était le colocataire de Frank. 
C’était un black de 26 ans plutôt violent, ce qui lui avait valu plusieurs séjours en garde à vu et des vacances de trois mois à  la Centrale de St Mihiel.
Après s’être essuyés la queue dans mes fringues (mon débardeur ), et s’être rhabillés, les trois mecs descendirent. 
J’entendis Medhi et Alexi partir.
 Frank monta alors que je m’essuyais le foutre que j’avais sur le visage. Il me balança une claque.
- Qui t’a demandé de retirer ce sperme avec mes mouchoirs en papier. Prend tes fringues !
Je pris mon débardeur mais il était déjà complètement souillé de sperme. Je trouvai un coin propre sur ma veste pour retirer le foutre sur mon cul et mon visage.
- Tu vas attendre bien sagement Mohamed ! Il va arriver. Je l’ai prévenu qu’un tire-jus allait être à son service. Tâche d’être docile, il a l’air vénère !
- Mais…
- Ta gueule.

-
A SUIVRE…

Par simon - Publié dans : ma vie
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Mardi 22 janvier 2 22 /01 /Jan 16:05
actions-boys10.jpg c'est la fête des rois hen-dennis_067.jpg kim-ariel_035.jpg                 ces minets s'echauffent sefaireplaisir.jpg       et roucoulent                                                                                                        le fils prépare le copain a son père lepereetlesfils.jpg un-bon-point.jpg AH!!que c bon
Par simon - Publié dans : mes copains
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Vendredi 4 janvier 5 04 /01 /Jan 10:56

Il A presque 18 ANS !!!

Moi Simon j'ai 62 ans (déjà !)
Depuis plusieurs mois , je suis un homme marié et déprimé.

.
Un jour Hervé passe chez moi avec un de ses copains.
-Bonjour tonton on peut aller sur le net faire une recherche , papa ma interdit l‘ordi pendant 8jours?

-Bien sur Hervé

-je te présente Fabien un pote qui a le même prob avec ces vieux pour l’ordi.

-enchanté Fabien si tu as besoin de l’ordi tu pourras venir ici

-merci monsieur c’est gentil de votre part.

Je ne sais pas pourquoi, la poignée de main de son copain Fabien est insistante et sensuelle.

Je suis troublé. Sait-il que je suis BI-homo ?
Je détaillais ce petit mec d'un mètre soixante dix, mince, les cheveux noirs bouclés en bataille et une belle gueule de gosse. Il était vêtu d'un survêtement blanc et d'un pull blanc, les deux trop larges pour lui. Son pantalon de survêt descendait sur ses fesses, laissant apparaître le haut de son boxer moulant.
Après avoir était sur le net, plusieurs heures , ils repartent.
On se dit au revoir, et là, pareil, Fabien me serre la main de façon insistante et caressante.
Deux jours plus tard, la sonnette sonne, sans connaître le visiteur, je dit

-entrez c‘est ouvert.

Et là, qu'elle surprise : Fabien venait me rendre visite.

Il me dit «  Hervé m'a donné rendez-vous  chez vous » .

- Ah !
Il s'assoit sur le canapé, proche de moi. Nos jambes se touchent alors qu'il y a largement de place. Nous discutons de choses et d'autres ,. Toujours pas de visite de Hervé. Les heures passent, et l’invite a prendre un petit apéro .

Et là je ne sais pas comment, je me retrouve avec mon bras droit autour de sa taille, et ma main gauche sur son sexe qui durci. Mes mains parcourent son corps, et je le découvre musclé malgré sa minceur. Des bons abdos, des bons mollets.

Je le détaille et le sculpte de mes mains (envahissantes) : ses mollets bien musclés n'ont presque pas de poils, mais des bons petits poils noirs qui se parsèment tout le long de ses jambes. Son visage fin et poupon n'a aucune barbe, qu'un petit duvet parsemés le long de ses joues et un tout petit peu sur son menton.

je me disais dans ma tête : Craquant le gamin. ce gamin ! 
il est beau comme un ange ! 
Mais il ne faut pas ! Même s'il accepte !
Qu'est ce que je fais : il a 17 ans ! il est beau comme un ange, mais bon, je n'ai pas le droit !
 

Le silence était là depuis un grand moment. Mais mon envie et la sienne remplaçaient nos mots. Je ne sais pas comment je me suis retrouvé avec son sexe en bouche . je commence à le sucer et son sexe devient de plus en plus long. Il est de bonne taille, gros et non circoncis (ce que j'adore !).

Je relève la tête le dévisage, et vois mon petit mec qui était aux anges. 
Il tient son survêt et son boxer au bas de ses belles testicules, et remonte son pull. J'embrasse et caresse son torse imberbe, puis replonge ma bouche sur son sexe. Je le suce de plus en plus énergiquement, je sens sa jouissance arriver.

Mais là, pris de remords j'arrête tout. Je remonte ma tête sur son ventre. Lui fait un bisou, et lui dit " faut pas "

Je remonte son survêt pour cacher son sexe et lui applique un dernier bisou sur sa joue.
Le silence se réinstalle de nouveau. 
Tandis que je le garde serré quelques instants dans mes bras.
On regarde la télé comme deux cons, on commence à reparler de choses et d'autres puis après encore une heure, Fabien décide de partir retrouver Hervé.
Je le raccompagne à la porte , je ne peux m'empêcher de le prendre dans mes bras. Il passe aussi ses mains autour de moi et me caresse tendrement le dos.

Il se doute qu'en ce moment je suis malheureux. On reste enlacé plusieurs minutes, je lui refais un bisou dans le cou et lui dit " suis désolé. " Il s'en va.

Je suis seul et très perturbé par ce qui vient de se passer.

Les jours passent, Hervé et Fabien me rendent visite . Tous est normal comme si rien ne s'était passé mais à chaque fois sa poignée de main est toujours insistante et caressante.

3 semaines plus tard, coup de sonnettes, j'ouvre et voilà mon Fabien qui vient tout seul me voir. Il s'installe sur le canapé. Et de nouveau nos jambes se touchent. On discute, on rigole et je ne peux m'empêcher de poser ma main sur sa cuisse. Je le caressais comme si tout cela était naturel. Je vis alors son survêtement tendu au niveau de son sexe.

Je pose ma main dessus. Il passe son bras gauche autour de mes épaules. De sa main droite il baisse son pantalon pour me mettre devant les yeux sa belle queue bien bandée, avec une petite couronne de poils noirs. Je ne peux pas résister et le prend dans ma bouche. Je commence une bonne fellation tout en le branlant de temps en temps. C'est bon, je fais durer le plaisir le plus longtemps possible mélangeant ma sucions et ma main qui le branle doucement. Je relève ma tête, le regarde et lui demande " ça va ".

Il me répond «  oui, oui  vas-y continue ! ».
Je retourne donc à ma besogne, et là j'accélère le mouvement. Je le sens qu'il va jouir, sa respiration s'accélère tout en laissant sortir des petits gémissements. Et sa main se crispe sur mon pull au niveau de mon épaule. Avec un râle retenu, il décharge un flot de son merveilleux sperme que je m'empresse de déglutir.
Je fini de le sucer pour bien nettoyer sa bite, pose ma tête sur ventre pour finir par des baisers, tandis qu'il me tient toujours par les épaules.

Il m'avoua " c'était la première fois et que son « dépucelage » était un beau cadeau a quelques jours de Noël ! "

Et hier (21/12/2007) : mon Fabien arrive tout seul. Il est toujours aussi beau, il s'est rasé les cheveux, il n'a plus ses belles boucles noires.
Mais il à toujours sa belle petite figure d'ange.
Comme d'habitude, il s'assoie à mes côtés. très à mes côtés. Il est gelé, je lui prends les mains pour les réchauffer. Comme d'habitude, on regarde la télé, on parle, on rigole. Et une fois de plus je pose ma main sur sa jambe. Machinalement je la glisse sous son pantalon pour prendre sa bite en main.

Elle est toute petite et toute froide. Je lui dit

- même ta quéquette est gelé.

- « Ben oui » me répond-il, «  fait froid dehors ».
Je m'empresse alors de bien la tenir et la réchauffer. Je l'embrasse sur sa joue, son cou, et lui dit « tu es adorable » . 
Il me répond « tu sais pas ! mais je t’aime ».

-moi aussi murmurais-je car j'ai peur de l'aimer !

Il m'avoue « suis puceau et j’ai jamais eu de relation avec mes copines, tu es le premier à me donner du plaisir ».
Son sexe commence à se réchauffer et à bien grandir !

Je lui demande «  je peux lui faire un bisou » ,
 il me dit «  oui ».

Je lève donc sont pull et embrasse son petit ventre. Il descend son pantalon et me laisse faire des bisous sur son sexe qui gonfle de plus en plus.
 Là elle n'est plus gelée ! Que faire ………….

je la regarde, je l'embrasse . puis enfin je la prend dans ma bouche, doucement, calmement pour continuer a la réchauffer avec ma bouche chaude et humide.

Elle grandit de plus en plus. 18 cm il me dit.

Je vais chercher une règle, je mesure : Et oui ! il a 17 ans, et elle fait 18 cm ! j'y crois pas ! Et elle n'a jamais servie !
Il passe son bras gauche autour de mes épaules.
Je reprends son beau sexe en bouche, tout en caressant son corps, ses couilles. Je le suce doucement et comme la dernière fois ma main le masturbe tout doucement pour lui faire durer son plaisir. Je le suce doucement. Il met sa main sur la mienne pour accompagner le mouvement doux et délicieux. Et là, je le laisse. Je garde son prépuce en bouche, et lui continu les mouvements de sa main faisant sortir son gland, le recouvrant, encore et encore, mais toujours doucement.

Sa jambe gauche est passée entre les miennes. 
Il doit sentir mon érection. Tant pis même si j'ai honte !
Je le suce de plus en plus vite, sa main gauche sert mon épaule. Et d'un coup sa main droite vient se poser sur ma tête, et me guide ! c'est la première fois que sa main se met sur ma tête, j'en suis troublé et heureux. Je le laisse faire, il me dirige, fais aller et venir mes mouvements au rythmes qu'il veut.

Je le suce, j'enfonce ma bouche jusque sa garde, le laissant me tenir la tête, et le laissant caresser mon épaule. Ça dur un long moment.
Je reprends son sexe en main pour accélérer le mouvement tout en le gardant dans ma bouche. J'accélère et lui appuis de plus en plus sur ma tête.
Ça y est il arrive, son sexe se gonfle encore plus, je sens son corps se crisper, frissonner, se cambrer. Il m'empoigne la tête, me sert fort l'épaule et il gicle. Il me fait tout avaler et j'adore sa substance sublime, délicieuse.

Je termine avec plein de tendresse de nettoyer son prépuce, son gland et de ne rien perdre de sa fabuleuse liqueur.
On termine par des bisous. Je lui redis " je l'aime mais que j'ai peur de notre relation ". 
Il me réponds " oui ", mais reste tendre avec moi et me fais comprendre que tout cela lui fait plaisir.

Je ne sais pas comment tout ça va se terminer, mais de plus en plus. Je pense qu'il a des sentiments pour moi.

Je fantasme (( aller plus loin : qu'il me fasse l'amour ! Qu'il me mette son engin entre mes fesses.)) 
Je ne sais pas s'il est prêt à passer à cette étape. Mais moi je ne ferais rien à sa rosette, je ne veux pas abîmer son petit trou du cul. Et de toute façon je ne pourrais pas.

22/12/2007 Il est passé avec Hervé, et je l'ai trouvé un peu distant. Je suis déçu, mais la présence d" Hervé n'arrange pas les choses.

Aujourd'hui samedi, il doit fêter son anniversaire avec ses ami(e)s chez Hervé. Je n'y vais pas, je suis trop vieux !
La date officielle est demain dimanche 23.

Lundi 24 : je n'ai pas le moral. Je suis levé depuis 4h00 du mat' .
..
Et je fatigue. Je m'allonge vers midi, en me disant qu'une petite sieste me fera du bien.
Mais vers 12h30 coup de sonnettes .. (putain, qui viens me faire chier !)
Je réponds et j'ouvre Et là.. Surprise. MON Fabien tout seul !!! (je suis content !).

Sur le canapé, on parle, et lui se met bien à l'aise. Je vois tout de suite que son pantalon (toujours trop large) est descendu jusqu'au niveau de son pubis et que la braguette de son jean est descendue ! Mais bien sur il y a le caleçon qui recouvre toute la beauté que j'ai envie de voir. Ma main a envie de le frôler, de le toucher, mais j’essaye de résister.

Il se lève, se serre un verre et m'en sert un (il est gentil !) et se réinstalle sur le canapé.
Il prends de plus en plus son aise, et soulève le haut de son pull pour me laisser voir son petit ventre. Là je ne peux m'empêcher de lui faire un bisou juste au niveau du nombril. Lui tout de suite me tient la tête ! Je me redresse!
Nous buvons doucement nos verres, et la paume de ma main ne peut s'empêcher de se pauser sur son ventre.

Je descend pour toucher ses petits poils pubiens qui sont lissent et doux, et touche son sexe .. Qui ne demandait que ça ! Il était recourbé sur ses petites testicules, mais déjà ferme. Je le mets en place le long de son ventre pour le laisser suivre son évolution !
Je me penche sur lui, le respire, le sens à pleins poumons. Il remet sa main sur ma tête et me guide comme  pour me dire qu'il faut que je lui fasse plaisir.

Il enlève le bouton qui retenait son jean, Doucement et tendrement je baisse un peu son caleçon et laisse dépasser le bout de son prépuce.

Que c'est beau de découvrir juste un petit bout de ce qui va être un paradis !
Ma main droite caresse le creux de ses reins, effleure le sillon de son dos, je m'arrête sur chaque muscle.

Après plusieurs minutes de tendres baisers, et de caresses, 
Fabien baisse son caleçon pour libérer son sexe bien tendu. Je lui fais des bisous tout le long, sur ses petites testicules, sur son pubis. je le mets dans ma bouche et commence doucement a remuer ma langue. Il aime et s'allonge encore plus sur le canapé.
Cette fois-ci, je veux tout voir ! Tout caresser et pas au travers du tissus. Je prends mes deux mains et descend son pantalon jusqu'au niveau de ses chevilles. (il m'aide en soulevant son bassin). Là enfin je vois son ventre, son sexe très tendu, ses jambes musclées et imberbes, et ses mollets un p'tit peu poilu.

Je contemple et caresse le tout, doucement, tranquillement, tendrement. Je ne veux pas précipiter les choses car je l'aime et lui aussi (un petit peu !). Je pose un baiser sur son prépuce qui laisse découvrir le bout de son gland. J'y pose la langue et la fait tourner tout doucement. Il frétille. Il me prends la tête et « m'oblige » à gober sa longue bite. Je ne me fais pas prier et commence à faire des allées et venues tout le long de cette tige magnifique.
Je le laisse me guider. Avec sa main il me fait aller et venir doucement. Je caresse en même temps ses jambes, son entre cuisses, ses coucougnettes. J'entends des petits gémissements et je sens ses muscles et son corps vibrer.

Par moment j'arrête (10 secondes) et lève la tête : je vois qu'il regarde mon méticuleux travail. 
Mais lorsque mon regard croise le sien, il détourne la tête.
 C'est sûr, il à honte, il aime, il adore même, mais il à honte. Il est comme tout adolescent qui se cherche.
Ses mains m'ordonnent de continuer. Donc je continue .... Il laisse une main sur ma tête et l'autre me caresse la nuque. J'adore !

Et là le mouvement s'accélère, il me prend la main et me guide dans la masturbation qu'il veut que je lui fasse, tout en me faisant garder le bout de son sexe dans la bouche. 
Il me fait accélérer, accélérer ... Je sens sa bite se gonfler encore plus, ses muscles se contracter, son souffle prendre un rythme infernale ... Et il explose et me fait avaler son doux jus de fruit. Je déguste, je savoure jusqu'à la dernière goutte.
Il est content, heureux ( moi aussi !). il se relève pour remettre son pantalon. Je découvre alors pour la première fois son merveilleux fessier . Ce sont deux merveilleux ballons jumelés, très fermes, sans aucun poil ce qui lui confère une douceur extrême qu'il m'autorise à caresser voluptueusement. J'approche mon visage, et il me laisse y déposer un tendre baiser.

Il doit partir rejoindre mon neveu Hervé. Je le raccompagne et là j'ai le droit aussi à lui faire un bisou juste au coin de sa lèvre.

J'attends la suite. Et j'espère que la prochaine fois on s'allongera sur mon lit et que je puisse sentir son sexe à l'entrée de mon petit trou qui n'attend que ça ! Mais bon, il ne faut pas précipiter les choses. Je pense que ça viendra tout seul, car je crois qu'avec moi il essaye de faire son éducation ou sa maturation sexuelle.

 

27/12/2007 13h00, ça sonne, j’ouvre.
Mon Fabuen tout seul ! Comme à l'habitude on se met sur le canapé. Il se met « très » à mes côtés. Aujourd'hui, il n’est pas comme les jours d'avant !
Je pose avec appréhension ma main sur son ventre, ayant peur de sa réaction.

Il me dit " j'ai pas fait ses abdominaux " : 
j'en profite vite pour soulever sa chemise et vérifier son petit ventre, et redécouvrir un fin duvet qui dessine une ligne du nombril au pubis. J'y dépose un bisou. Je lui demande «  je peux faire un bisou à ta queue .… ». Il me répondit « oui » , et baissa son pantalon.

Elle était toute molle, mais adorable ! Je commençais à l'embrasser puis à la mettre en bouche. Elle commençait a grossir pour prendre une dimension impressionnable !
Je la ressorti de ma bouche pour contempler ce merveilleux objet (qui devient mon obsession).

En même temps il avait passait son bras autour de moi et il me caressait un téton. Puis sa main droite , prit ma tête pour la guider sur son sexe qui était devenu énorme. Il me faisait faire des vas et viens tout le long de sa hampe, tandis que sa main gauche me pinçait les tetons. C'est lui qui rythmait la cadence ...

Ma main était descendue en dessous de ses testicules et caressait le petit espace qui sépare ses coucougnettes jusqu'au bord de son anus.

Il accélère la cadence, toujours en me serrant les tétons. Mon Dieu, que c'est bon.
Je veux faire durer le plaisir : j'arrête donc, refais des bisous, l'embrasse sur la joue, puis replonge sur son engin, fais tourner ma langue tout autour de son gland énorme, puis le suce doucement pour lui faire venir son jus du plus loin possible. Je sentais sa jouissance monter le long de sa moelle épinière, le prendre du bout des pieds au sommet du crâne.

Il adorait. J'allais continuer et accélérer pour lui procurer le plaisir qu'il attendait ...quand la sonnette retentie !

ET MERDE, nous sommes restés comme deux cons : lui, remettant son survêt laissant apparaître une bosse terrible, et moi désolé de ne pas avoir pu avaler son jus précieux !

Ce sera peut être pour demain après midi !
28/12/2007 13h00, Mon Fabien vient. De suite il file sur l'ordinateur, graver des musiques et je suis comme un idiot dans le salon tout seul. Au bout d'1/4 heure il vient enfin se mettre à mes côtés. J'admire sa beauté et bien sur ma main va se poser sur son ventre. Il enlève sa chemise et me laisse le caresser et l'embrasser de ses pectoraux à son nombril. Nombril où juste en dessous se présentent des petits poils qui sont semés jusqu'au niveau du pantalon.
Je me relève et passe ma main sous son « jean » pour attraper sa bite au repos. Je la caresse doucement, la pince entre mes doigts. et bien sûr elle réagit ! Elle durcit vite et je suis obligé de la diriger vers son nombril pour ne pas lui faire mal. Nous restons un moment comme ça, ma main tenant son sexe de plus en plus raide. Je sais qu'il a envie et moi aussi !

Je lui demande si je peux faire un bisou sur son bout. Politesse oblige !!!!
 Bien sûr il me réponds que « oui !».

Je déboutonne un à un les boutons de son jean, pour découvrir son sexe bandé à fond, toujours couvert par le tissus de son boxer. Je le caresse au travers mais déjà son prépuce fait une apparition.

Il baisse son caleçon pour enfin libérer cette partie de son corps. Sa main gauche s'est posée sur ma nuque et me dirige pour que je m'empresse d'engloutir. Il me guide, c'est lui qui me fait aller et venir. Et cette fois si, il pousse des gémissements de plus en plus fort. Puis j'entends « continue » mais très bas. 
Je retire sa bite de ma bouche pour lui demander ce qu'il a dit, mais il me répond « rien ». Mais j'ai très bien entendu son « continue » et je vois qu'il apprécie de plus en plus ma fellation.

Ça s'accélère, il me caresse tendrement la nuque tout en me faisant gober, sucer son sexe du haut en bas. Puis je sens sa main se crisper sur ma nuque et sentir jaillir ce délicieux liquide que j'avale avec plaisir, tandis que je l'entends gémir comme il ne l'à jamais fait jusque maintenant. il exprime son plaisir de plus en plus.
Je reste un moment pour nettoyer jusqu'à la dernière goutte, puis remonte son boxer. Il se reboutonne et me dit : « merde elle sort encore ! » Je lui répond « elle a peut être encore envie !».

il réponds « peut être. alors Je reviens demain ! »
Cette fois-ci, la sonnette ne nous a pas dérangés. Et Vivement demain !

29/12/2007 Fabien arrive à 14h30, il a mal au dos. Bien sûr je m'empresse de lui faire un massage tout le long de son dos jusqu'à la raie de ses fesses.

On boit un verre, et comme d'hab', ma main va se poser sur son ventre ! Puis il s'allonge un peu plus sur le canapé, me permettant de mieux caresser son thorax et d'y parsemer des bisous tendres et amoureux.

Je glisse ma main délicatement sous son jean pour toucher ce magnifique objet. Il répond vite à mes caresses, il se durcit et se raidit de plus en plus. Il faut le libérer !
Excité je n’y arrive pas, donc c'est Fabien qui dégrafe son jean, et se met intégralement a poil . 
Ça y est,  « la bête » est libre et se dresse comme un poteau venu de nulle part avec un peu de pelouse a son pied.

Je le caresse, je commence des petits bisous ... Puis avale ce gros calibre. Je fais des vas et viens doucement, par moment j'accélère, puis je ralenti .il faut que ça dure !

Il prend sa main pour la poser sur ma bite (une première) et me masturbe lentement, tandis que ma langue continue à titiller son gland, à l'avaler. De l’autre il se branle doucement, il est heureux et commence à pousser des petits gémissements.

Ma main droite était passée sous ses fesses, et je pouvais sentir son petit cul, et j'arrivais à remonter jusqu'à ses petites testicules . Je le suce à fond, j'accélère le mouvement , et lui gémit de plus en plus. Son sexe se durci encore plus, je sais qu'il va arriver au plaisir suprême. J'arrête un moment, mais il me dit 
«  continue ». . Je reprends donc pompage expert, tout en gardant son gland dans ma bouche. Ça s'accélère, j'ai l'impression que son pénis prends encore du volume, il m'appuie sur la tête, j'accélère mon mouvement et là .... Le jus suprême sort ! 

J’en ai plein la bouche, j'avale. Puis il me tient toujours la tête tout en faisant sortir le restant de son nectar. Je termine le nettoyage, refais des bisous partout. Nous restons un moment comme ça, moi contemplant cet objet qui vient de me procurer une grande joie. Puis il se lève pour se rhabiller me permettant de faire un gros baiser sur ses fesses.
Je voulais l'emmener dans ma chambre, pour sentir son corps sur le mien, et essayer de me faire pénétrer par cet étalon. Mais il est encore trop tôt je crois !

30/12/2007 : vers 13h30 Fabien arrive à la maison . Il fonce sur l'ordinateur ! Au bout d'un petit moment, je me met derrière lui, lui caresse le ventre, passe ma main sous son jean pour caresser son sexe. Je le malaxe, mais il ne réagit pas.

Je lui dit « quéquette est fatiguée ? »

il me répond «  oui ».

Je lui demande «  qui ? »,

il me dit « moi tout seul ! »

Je le laisse donc et retourne dans le salon, déçu !

31/12/2007 :
Comme hier, il fonce sur l'ordinateur pour graver un CD. Comme hier, au bout d'un moment, je me mets derrière lui et commence à lui caresser le ventre pour sentir ses beaux petits abdos. Puis, comme hier, je glisse ma main sous son jean, pour prendre son sexe au repos entre mes doigts.

Ah ! Il réagit, il commence à grossir sous mon tripotage. Fabien ne dit rien, il se laisse faire, et laisse son pénis prendre toute sa tension.

Je lui demande si « je peux faire un bisou quéquette »,

il me répond que « oui ».

Je suis heureux, je vais chercher le pouf du salon pour m'asseoir à ses côtés. Je commence à déboucler sa ceinture, puis à déboutonner son jean.

Il tourne la chaise vers moi, se lève et se met a poil pour me laisser découvrir son corps ,son sexe, qui aujourd'hui est en pleine forme !

Je commence à lui faire des bisous, puis le prends en bouche pour commencer une pipe en douceur. J'y vais doucement, je le suce a fond tendrement puis le branle en même temps, mais lentement, pour faire durer le plaisir.

De ses deux mains, il agrippe ma tête et la fait aller et venir à son rythme. Alors j'accélère le mouvement. J'augmente la cadence de ma branlette bucal , tout en gardant son prépuce dans ma bouche. Il me tiens la tête de plus en plus fort, il oscille du bassin et commence à pousser des petits gémissements. La cadence s'accélère encore, puis il m'empoigne la tête encore plus fort pour me décharger son jus dans la bouche. J'avale avec délectation mais il n’y a pas grand chose aujourd'hui, on voit qu'il s'est branlé hier ou ce matin !

Je déguste jusque la dernière goutte, puis le garde en bouche, le temps qu'il se remette au repos. Je l'embrasse, lui dit des mots tendres. Puis il se rhabille. Je suis heureux et lui aussi !

02/01/2008 : mercredi, midi … ça frappe à la porte … c’est Fabien ! et semble énervé !

L’année commence mal!!!!…

Je ne sais plus pour quelle raison, on commence à s’engueuler… Je le laisse dans la chambre à l’ordinateur et moi sur le canapé ! On s’engueule encore, . Et toujours en gueulant, il me dit « j’ai veillé sa mère toute la nuit, et elle est à l’hôpital … »

Je ne dis plus rien, et je laisse retomber la pression. Je le laisse faire ce qu’il veut.
Ça fait un petit bout de temps que je ne l’entends plus… Je vais quand même voir dans la chambre, et je le vois endormi sur mon lit.

Mon pauvre Doudou… tant de soucis à son âgeet le jour de l’An ! Il dort, il est beau !

Une heure plus tard, moi aussi fatigué

je décide de m’allonger à ses côtés. Je pose ma main sur ses cotes et regarde la télé (allumé doucement pour ne pas le réveiller).
Je suis désolé que l’on ce soit disputé, et me demande comment le réconforter : le mieux est de le laisser dormir !

Mais il se réveille, se retourne sur le dos. Comme s’il m’attendait ! Je m’approche de lui, passe ma main sous sa chemise pour lui caresser le ventre, je lui fais un bisou sur sa joue, et lui dis " je suis désolé pour sa mère, que je ne pouvais pas deviner !  ".

Il est calme ….......

il me laisse l’embrasser, caresser son torse et je veus passer ma main sous son jean …il dit « déssappe moi chéri » et là à ma grande surprise j’enlève tous ses vêtements . Il bande ! Je met son sexe droit, raide comme un poteau électrique. undefined

Il guide ma tête et je ne peux pas faire autrement que d’embrasser son sexe. Il me force avec ses main à le gober en entier. Mais je ne veux pas le brusquer. Je me relève, lui refais des bisous sur sa joue, tandis que ma main caresse doucement son sexe si magnifique. Mais il repousse ma tête vers son membre et me permettre de mieux observer, embrasser et caresser ses jambes, son sexe.

Je suis allongé entre ses jambes, ma tête à hauteur de sa bite qu’il me force à sucer (enfin …. Il ne me force pas !). Je prends le temps de bien sucer son gland. L’odeur de son sexe m’enivre ! Je descend vers ses couilles, rondes, un peu poilues.
Et puis je ne sais pas pourquoi, je lui demande «  veus-tu me faire l’amour ? ».

Et contre toute attente, il me répond «  OUI !  oh! OUI !»

Tu es sûr ? 

Il me répond «  OUI ! » Je retire donc mon pantalon de survêtement, mais garde mon caleçon (je ne veux pas le choquer). Car je suis le premier à l’avoir sucé, et je suis le premier avec qui il va faire l’amour !
Je me mets donc sur lui, baisse le derrière de mon caleçon et guide sa bite après lui avoir mis un préservative , vers mon anus qui n’attend que ça depuis longtemps ! 
Elle commence à rentrer, mais il n’a pas l’habitude (c’est sa première fois). 
J’y vais doucement, son gland commence à me pénétrer et il commence à remuer son bassin.

Malheureusement il est 16h30 et il doit partir ! Il doit passer chez sa tante …
Nous arrêtons donc là …
 Mais je garde en mémoire la présence de son gland dans mon anus ! 
Malheureusement seul son gland est rentré… j’aurais voulu tout avoir !
Avant qu’il parte, bien sûr, je le prends dans mes bras, l’embrasse et lui demande " on réessayera ? maintenant que tu as 18 ans

Il me dit «OUI promis et BONNE ANNEE Simon excuse j’avais oublié »

Je crois qu’il veut vraiment et qu’il a des sentiments pour moi.

Moi je l’aime, il me fait oublier mes problèmes. Et même s’il y a du sexe entre nous, je crois qu’il y a aussi beaucoup de tendresse qu’il n’a pas ailleurs, et qu’il aime que je prenne soin de lui.

 

 

A SUIVRE ..............











2008  une année qui commance a merveille

Par simon - Publié dans : ma vie
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Dimanche 30 décembre 7 30 /12 /Déc 19:02
profitant de ce dernier dimanche 2007 ,je laisse le soin a mon petit fils Kévin l'honneur de cloturer cette année.je suis de tous coeur avec vous et à 62 ans j'espère que la prochaine année m'apportera un grand flot d'aventures.
Gay,BI, hétero  continuez a profiter du sexe mais n'oubliez pas "protégez vous " libert---2007.jpg chez mon grand père , tous comme lui je vis entièrement nu et j'ai une chance ce matin au reveil je trouve son amant Sébastien a la cuisine et hop je le prend en photo 2007-Sebastien-1.jpg  -ben dit Seb la nuit a été dure on dirait
-
Ouééé petit j'arrive pas a débander
-pépère est encore au lit?
-NON il est sous la douche
-je me doute que tu lui en as mis plein partout
-ça risque pas avec toi , tes pas sec derrière les oreilles minus
-pépère m'as dit que j'aurai bientôt du bon jus.
-ça m'etonne pas il est trop gourmand
je ne repndis quand prenant une nouvelle photo 2007-Sebastien-2.jpg
il me fit un grand sourir et apres m"avoir dit "que mon grand père l'exitait" m'attrappa le bras et me dit
-c'est moi qui te fait bander ptit con
-
OUI
-mais putain elle est bien dur pour ton age
-
si tu veus je t'encule?
-hummm!! je ne dirai pas non si tu étais plus agé
-toujours la meme chanson nia nia nia
grand père arriva , embrassa Seb sur son mat toujours aussi raide ,se servit un grand café et ma prépara un grand chocolat et m"invita sur ces genoux et me caressa ma bite , voyant que Seb le regardait jalousement li lui dit
-Seb je vais chercher le pain et a mon retour je te vide les couilles en guise d'apéro
-et moi pépère?
-prend une bonne douche et recois nos invité une surprise t'attend
-
j'aurai le droit de vous voir tous le 2 au lit?
-
oui bien sur si tu en as le temps.......
Une heure plus tard


les invités arrivaient 2007-pascal.jpg mon grand père ne m"avais rien dit  OH! surprise total quand arrivasuivi decomme si tout etait bien programmé , l'un apres l'autre ils arrivaient 2007-serge.jpg  accompagné de 2007-gyslain.jpg un quart d'heure plus tard ce fut le tour de suivi de
dans le fond su salon Seb trouvait le temps long et regardait pa la fenetre si grand père revenait
-ça vas chauffé Seb 
-c'est pas encore fini tous le monde n'est pas encore arrivé 
-
ah! coquin tu es dans la confidence
-
Ouéééé , c'et pour toi tous c beau monde
-
mais non sois pas jaloux toi tu as le meilleur 2007-Sebastien-3.jpg
-
au fait ton oncle il doit avoir peur il n'est pas encore descendu
-
oui c vrais , je vais aller voir , tu recois s'il arrive encore quelqu'un
-
bien sur mon cheri
-
Oh! que c'est gentil , tu permet que j'embrasse ta queue pour te dire merci

je monta a l'etage, la porte de la chambre ouverte je d"couvris mon oncle a poil pour la 1ère fois 2007-georges.jpg  je resta de marbre devant sa beauté , entre temps etait arrivée et ensuiteet là je n'en crois pas mes yeuxet ma soeur n'est pourtant pas de la fête , puis arriva un groupe que je n'attendais surement pas 2007-clubfleche.jpg mon grand père est de retour avec Joel voila dit-il "c'est le dernier  tous le monde est pret que la fête commance"
les verres se remplissent , se vident pour se remplirent a nouveaux , 
-servez vous les jeunes , les amuses gueules sont au frigo et n'ayez pas peur il y a de la reserve
2007-Sebastien-4.jpg

heureux j'étais , je rejoignis les invités , me dirigeant vers Joel je lui demanda 
"je voudrais que l'on s'aime"



toute la journée sexe et boissons transforma la fête en orgie pour vous souhaiter a tous mes chéris , lecteurs compris tout-feu-tout-flamme.jpg J'ai suprimé ou sensuré l'article suite a une réclamation de la personne adress email suivante : pasde@mail.eu
desciption :un contenu litigieux  raisons : il y a des phrase avec des mineur et sais interdit par la loi 



et chacun en coeur remis l'agrandissement d'une photo montage concernant mon grand père et en exclusivité la voici 1963-2007.jpg  pour nous remercier il sucera sans exeption tous les invités et a bientôt 000-0001a.jpg
Par simon - Publié dans : mes copains
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