lesbohommes

Dimanche 6 juillet 7 06 /07 /Juil 07:39
hommage a mes amis lecteurs qui ont une petite bite  ,  super mignon et n'ayez pas honte montrez  vous   c'est
       























                                                                                       


             un fidèle lecteur que je remercie de m'avoir envoyé une vue sur ça belle bite  que voici 



             
     






    la suivante c'est celle de mon AMI Paulo , son blog à voir http://petitetoumignon.allmyblog.com 










et celle là c'est la mienne au repos  

ou de mon ami  MAX




















ou comme Romain


ou Firmin qui trouve la sienne petite moi je suis pas de cet avis









petite , moyenne , grosse  ,peut importe

tres bonne a sucer et surtout bien juteuse 


   
Par simon
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Samedi 5 juillet 6 05 /07 /Juil 08:48
dans le monde entier



















dans toute les langues














l'Amour homme ou femme confondu , il n'y pas un jour
















ou l'Amour est merveilleux














et que se lie la paix
















si tous se passais comme ça le monde en paix serait plus beau






bonnes vacances a tous  , sortez couvert et regallez vous

c trop bon





moi je passe mes vacances chez papy pour l'aider a nettoyer la pelouse


 vu ce que je vois


HUMMMMM!!!


je vais lui faire gonfler son bijou  et l'avaler par tous les bouts
Par simon - Publié dans : histoire racontée
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Vendredi 13 juin 5 13 /06 /Juin 20:40

mon neveu Julien , il y a deja un an
Au lycée, en classe de terminale. En travaux pratiques de chimie, je formais un "binôme" avec un pote de la classe ,Richard  , né le même jour que moi , avec qui je faisais scolarité commune depuis 8ans.
Les comptes-rendus d'expérience devaient se faire le soir, chez soi. Nous avions pris l'habitude de rédiger ces putains de comptes-rendus chez Richard , car moi je résidais une quinzaine de km plus loin  et cela m ‘évitais de faire le trajet deux fois . Ce dernier était de parents portugais, assez costaud, imberbe (comme moi ) timide avec les filles et avait une soeur ( Josette ) de 2a son aînée. Elle était à moitié foldingue, très grosse, m'appelant "mon chéri", me mettant la main au paquet, lorsque je venait chez eux (ce qui faisit marrer tout le monde) et qui n'avait dû avoir qu'une seule relation sexuelle jusqu'alors. (pas pucelle, mais qui "recherchait" beaucoup)..
Deus fois par mois, je mangeais chez ses parents et nous attaquions le TP après le repas. . Il était convenu avec mes parents ,qui etaient absent ce jour là  , que je couche chez lui.

 Sa mère (la "mama" typique) avait la main lourde sur la goutte portugaise dans nos verre en fin de repas. Ca nous tournait un peu la tête et nous mettait en forme pour la soirée. Lorsque ses parents étaient couchés, mon pote sortait une bouteille de porto et nous nous la sifflerons après avoir travaillé . Et ce  là , (je couchais dans son lit 2 places), j'ai attendu qu'il dorme(me semblais-je) et le porto aidant, j'ai commencer à me branler discrètement en prenant le soin de ne pas faire bouger le matelas.
En réalité, un peu ivre, je ne me rendais pas compte que je remuais le lit quand même
Soudain, j'ai sentis une main qui caressait ma cuisse: il s'était rendu compte que je me masturbais. Je m'arrête brusquement et je l'entends chuchoter:" continue! Je bandes aussi! ".
 J'ai posé ma main sur la sienne pour la guider de ma cuisse vers ma queue. J'ai entouré sa main autour de mon sexe et il a commencé ses va-et-viens. Maintenant que j'étais en "pilotage automatique", j'aventurais ma main vers son sexe. Il avait déjà baissé son caleçon! Et sa queue était dure, un peu courbé (le mienne très droite), assez grosse et il n'avait qu'un duvet de petits poils sur la queue et les couilles! Le toucher doux de cette queue chaude m'excita terriblement!
Puis j'ai tenté le tout pour le tout: "Au point où nous en sommes, je t'avoue, j'aimerais bien sucer...".
Il a allumé la lumière pour réorganiser nos positions: nous avons formés une sorte de 69 face à face, tout les deux sur le coté. Lui continuait à me branler d'une main et me massait les couilles de l'autre. Moi, j'attaquais ma première fellation sur une queue qui ne débandait pas ! Je commençais par sucer son gland, qui avait un gout que je reconnaissais bien: le liquide "pré-seminal" (que je goûtes toujours en me branlant c'est génial) !
Ma main droite caressant ses couilles posées sur sa cuisse droite, je plongeais ma main dans son entrejambe pour la placer à plat sur le haut de ses fesses. Je caressais cette paire de fesses douces en me décidant à en avaler un peu plus. Mes lèvres arrivaient à mi-hauteur de son sexe, son gland commençait à me titiller la glotte.
Et nous nous sommes mis à rentrer dans un synchronisme extraordinaire: A chaque aller retour de ma bouche sur sa queue, il faisait un mouvement de bassin pour que je l'avale en entier et, lui me branlant, me déposait un bisou sur le bout de mon gland. J'ai senti les premiers spasmes de son bas-ventre, il m'a dis " attends! " (certainement pour me prevenir) en voulant retirer ma bouche de sa queue.
Excité comme je l'étais et ayant réalisé mon rêve de suçer, je me décidais à allez jusqu'au bout: je goutterais le sperme d'un autre! Surtout lui: un de mes meilleurs pote à l'époque et qui m'avait avoué qu'il était puceau à plusieurs reprises (donc pas de risques).
Ma bouche autour de son gland, je lui fais le signe du " non " de l'index, et pointe mon index vers ma bouche en insistant. Je motive mes mouvements avec de petites claques rapides d'encouragement sur ses fesses (nous sommes face-à-face allongés sur le coté). Le premier jet de sperme dans ma bouche est puissant et les suivants se font moins forts mais plus longs. J'ai la bouche un peu anesthésiée par le porto et l'odeur qui remonte dans mes narines me plaît. Pas d'écœurement: j'avale le tout, tout doucement, je sens la semence couler au fond de ma gorge. J'ai alors un retour de goût salé/iodé qui emplit mes narines et qui m'aurait bien fait avaler une deuxième série de giclées! Un peu catho, il ne doit pas se branler que rarement, ce qui explique tout ce sperme éjaculé.
Richard est anéanti: il est sur le dos, la queue propre (je n'ai pas perdu une goutte!) en phase "demi-molle". Sa queue qui se dégonfle le gland découvert est magnifique.
Dans cet état, je lui propose de se retourner à plat ventre. Je me place au dessus de lui, et je balade ma queue le long de la fente de ses fesses (sans introduire). A partir du bas de son dos, j'éjacules jusqu'à ses omoplates en plusieurs jets puissants.
Je lèche alors son dos pour que rien ne vienne couler sur les draps. Il me chuchote " comment tu fais pour avaler? ".
 Je m'allonges alors sur le ventre à coté de lui et lui fis comprendre , en retenant mon sperme dans ma bouche, " goûtes... " et nous nous roulons une pelle si longue que le sperme se dilue dans la salive et disparaît dans nos bouches respectives.

Nous nous sommes endormi profondément ,dans les bras de l’un et de l’autre , tous les deux a poils.
Au matin , nous fumes réveillé par une voie qui nous disait « pas mal les petits bijoux de famille de ton copain petit frère ». c’était sœur……
« Tu pourrais frapper avant de rentrer »  lui lança Richard rouge écarlate
« bonjour chéri  , oui très mignon ce que tu as entre les jambes » me lança –t-elle.
« merci » répliquais-je mais ne pu ajouter un mot Richard l ‘ayant prié de sortir en gueulant « grosse cone vas te faire foutre »
elle quitta la chambre en roulant les hanches et disait « matcho petit frère et encore puceau ».
Nous primes la douche ensemble et un bon petit déjeuné préparé par sa maman.

Par la suite, nous avons développés cette espèce de sexualité "entre potes" sympa, sans prise de tête. C'était plutôt des parties de plaisirs sans conséquences sur nos vies respectives. Là-dessus, nous nous sommes bien rencontrés!
Puis le mois suivant , nous avons essayé la sodomie lorsque personne n'étais chez lui: j'adorais le prendre, lui allongé sur le ventre, les jambes écartées. J'enduisais mon index et mon majeur de vaseline et j'introduisais un doigt puis deux entre ses fesses et, après ce travail, j'introduisais ma queue dans son doux postérieur en lui léchant la nuque.






Pour moi ,

La position que je préférais pour me faire prendre les fesses était assez élaborée: Il m'enduisait les fesses de vaseline et je me mettais debout face à une vielle armoire équipée d'un grand miroir. Je mettais mes mains au dessus de l'armoire, les jambes légèrement écartées, et le dos cambré. Il posa un autre miroir au sol . Il introduisait alors sa queue entre mes fesses. Le miroir posé au sol me permettait de voir dans le reflet du miroir de l'armoire sa queue et ses couilles presque imberbes s'activer entre mes fesses. Ses bises dans mon coup et ma nuque me faisaient éjaculer sur le miroir de l'armoire et lui se retirait et éjaculait aussi sur le miroir. Nous passions nos langues sur la surface du miroir pour rejoindre nos bouches pour une pelle enduite de nos spermes mélangés.

Cela a duré un an... et aussi en raison d'un "incident"...

Je me pointe un jour chez mon pote, et, comme d'hab, Josette etait seule et m'appelle " mon chéri" . Personne n'était à la maison et elle me propose de rentrer pour attendre le retour de son frère. La voilà qui lance une cassette porno sur le magnétoscope, me passe la main entre les jambes en me disant " Alors! Rougis pas! ".
Je suis un peu gêné et elle dégrafe son chemisier et me présente deux seins énormes, ouvre ma braguette, se lève, soulève sa jupe, enlève sa culotte et se rallonge en long, les jambes écartées sur le canapé. Et me lance "  Alors? viens me baisé cheri"
 ...Et là: je bandes: elle est grosse ,pas très belle, a de gros seins, des grosses cuisses...
Mais sa chatte m'attire... je ne peus resiter......
Vu que le film tournait, nous étions dans l'ambiance, et je me décide à y aller. Au moment où je me déshabilles, elle me dis " personne ne viendra cet après-midi: les parents sont en famille et Richard est parti donner un coup de main à son grand frère pour son déménagement  ".

Nous baisons ainsi dans cette position (moi sur elle) pendant bien 20mn.
 Elle était en sueur et ça dégoulinait entre ses seins. je léchais cette sueur entre, et sous les seins. Elle agrippait ses mains sur mes fesses comme pour que je la pénètre plus loin encore. Je lui roulais des pelles où j'avais bien l'impression qu'elle allait m'étouffer avec sa langue tellement elle l'enfonçais loin dans ma bouche. Nous baisions en jetant un coup d'oeil de temps en tempss au film (une fille qui lèche une autre fille après que la deuxième ai pissé...).
Elle avait ce que l'on appelle une "motte grasse"...ça rentrait comme dans du beurre. Et elle me susurrait des " vas-y", "encore " d'une telle voix suave que j'ai éjaculé sur son ventre. Elle, l'air de rien, a goûté le sperme en passant un doigt sur son ventre en disant "  pas mauvais  " puis essuya son ventre avec sa culotte.
Elle me proposa un café devant le film porno qui tournait toujours...
« bouffe moi la chatte comme la fille » dit elle

je me mis la tête entre les jambes et je me mis a lêcher la chatte , mordillait le clitoris ,

 je me remis a bander dur comme fer , mon excitation était telle que je remontais progressivement vers ses gros seins que je mordillais au passage avant de retrouver sa bouche ,







ma queue raide au contacte de sa chatte y entra a nouveau ,


 elle me claquait ses mains sur mes fesses pour assurer les mouvement de pénétration et ces doigts me dilataient ma rondelle.
Notre excitations était à l’extrême , nous étions tellement pris que nous n’entendions même plus le film , ni aucun bruit.


Richard rentré plus tôt que prévu , nous observait , sans doute , quand soudain je senti entré dans mon cul une bite et une voie qui disait « salop , salop  tu baises ma sœur et bien prend ça pour la dernière fois »
Josette gardait le rytme sans être perturbé par l’arrivée de son frère qui lui me défonçait le cul sans ménagement.
Un coup de rein brusque et je senti couler dans mes entrailles sa semence tièdes et onctueuse.
Ce bienfait fit déclancher en moi la jouissance qui remplie le ventre de sa sœur de nombreux jets .
« Oui oui encore ,  j’en veut encore ». Dit elle
Richard lui enfonça sa queue demi molle dans la bouche en disant « tient prend ça et nettoie  ton puceau de frère »

Sa sœur s’appliquais et Richard se remis a bander , aidé par mon indexe dans son cul , il se mit a gemir , son corps ondulait je lui murmura a l’oreille « baise ta sœur comme ça elle ne pourra plus te dire que tu es puceau »
« bonne idée , elle vas déguster » lança –t-il
« mets toi a quatre pattes , salope de sœur »
elle s’éxcécuta et Richard entra dans sa chatte brullante ,il pénétrait avec puissance , elle hurlait de plaisir , il sortait , puis rentrait encore plus fort les couilles y aurai presque rentrées aussi tellement il etait en furie  , il ressortit a nouveau pris sa bite en main et d’un coup sec pénètra son cul sans préparation
elle hurla si fort que tout le quartier a du entendre .je lui enfourna ma queue dans la bouche pour réduire ces hurlements
Richard gardais la cadence un coup dans le cul , un coup dans la chatte , son corps couvert de transpiration s’écroule  sur le dos de Josette en lâchant sa semence dans sa chatte. pui ressorti et lui enfourna dans la bouche " salope de soeur leche ma queue et quelle soit bien propre "
Josette se mis a l'oeuvre et moi j'en profita pour enculer Richard

Elle remit sa culotte (!!!) cachant sa chatte baveuse de surplus de sperme et se rhabillât en disant « enfin le puceau ma baisé ».

Frôlant l'incident diplomatique, je quittais les lieux et nos changements d'orientations d'études tombaient pile !

 Dans les mois qui suivirent ,il se disait dans le quartier qu'elle se faisait la chien de la famille tellement elle était chaude et que personne n’ arrivait a la contenter!!!
Je suis parti et j'ai su, par la suite, que Richard et sa soeur, avait regretté de m’avoir perdu de vu  car c ‘était grâce a moi qu’il  l'avais sautée. .et  lui avait été dépucelé.
Il y a quelques jours , j'ai été convié au mariage (hétéro) de Richard , qui depuis avait mis en pelote sa copine .
 Lors de ce mariage, nous nous sommes retrouvés à 7H du matin seuls dans la cuisine à tout ranger...Nos regards ce sont dis "  tu te rappelles?  ". ET, pour enterrer ce passé, nous nous sommes branlés mutuellement et rapidement sucés...pour éjaculer dans une tasse dans laquelle nous avons versé un mélange de café-porto-goutte en trinquant à la future vie de chacun !
La jeune marié entra dans la cuisine , accompagné de la sœur de Richard , toute deux a poils aussi , la sœur de Richard se mis a genoux devant sa nouvelle belle sœur  ' Martine "et se mis a lui lécher la chatte en lui disant « pourquoi eux et pas nous »
Martine bien exciter par sa belle soeur Josette si a son mari " Richard nous nous somme marié pour le meilleur et pour le pire , comme tu aimes aussi ton copain Julien alors ce minet vas me baisé "

" Ma cherie , tu oserai me faire ça ? "

" OUi Richard comme ça quand Julien viendra a la maison il viendra pas pour rien.......  "

" alors Julien allez baise là vas y  elle est a toi , elle est a Nous"
 


je m'enfonça dans la chatte bouillante de Martine
,

sous le regard de Richard que sa soeur branlait doucement tout en le sucant









Martie se retourna en me disant " maintenant par dérrière "







dans la chambre  un brouhaha de " HAAAAAAAA....!!  "    "encore oui suce c bon ptite seour "              " OUUUIII "         " plus fort "  

  " continue " " ça viens oh! oui oui oui "
Richard se dressa devant moi et se vida sur mon visage

moi je vida mes couilles dans la bouche de Josette  , elle avala tous et cria 

                  Elle est pas belle la vie ! ! ! ! !

Par simon - Publié dans : histoire racontée
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Samedi 7 juin 6 07 /06 /Juin 20:30

Un soir de grève
Il est 18h00 ce soir là . Pour la 1ere fois  a Paris pour me rendre chez mon neveu , pas de chance grève dans le RER parisien. Après avoir attendu 20 minutes, je peux enfin atteindre le bord du quai et monter dans la prochaine rame. Les portes s’ouvrent, les voyageurs comprimés et compressés tentent de s’extirper vaille que vaille pendant que ceux qui veulent monter poussent pour être certains d’avoir leur 20 cm² dans cet enfer urbain.
Je me trouve propulser dans la rame, puis plaquer contre le poteau central, bloqué par ceux déjà dans le wagon et ceux qui continuent de monter en écrasant un peu plus ceux qui ont eu l’outrecuidance de monter avant eux.
Après 5 bonnes minutes de luttes, de râlements et de jurons en tout genre, les portes se ferment enfin. J’essaie tant bien que mal de me décoller de ce poteau métallique qui me comprime la hanche. Contre mon corps, je sens d’autres bassins qui eux aussi essaient de se libérer de la pression humaine.
J’ai 62 ans, je m’appelle Simon. Sans être un dieu vivant, je suis encore plutôt pas mal. Je fais attention à ma ligne et à mon corps, ni plus ni moins.
 Comme vous le savais déjà je suis  très attiré par les hommes.
La rame prend doucement son élan, comme si le train souffrait d’avoir à transporter plus de personnes qu’il ne devrait normalement avoir dans son sein.
40 mètres de fait et la rame s’arrête brusquement. Je sens contre mon ventre une main qui se plaque, pour se retenir de ne pas basculer. Une main ferme, virile, une main comme je les aime.
Je lève mon regard vers le propriétaire de cette main, et je croise le regard gris acier d’un homme d’environ 25ans, racé sans excès, avec une élégance et un sourire naturel et rassurant.
--« Désolé », me dit il en plongeant son regard dans le mien.

« Pas de problème », répondis-je en rougissant, « au contraire » dit ma bouche avant même que mon esprit n’ait eu le temps de filtrer ces mots ! »
Qu’est ce qui m’a pris de dire çà ! Il va me prendre pour qui ? Je détourne le regard, gêné de ma spontanéité.
Pourtant c’est vrai que j’ai aimé sentir ses doigts sur mon ventre. En un instant, j’ai même imaginé un million de choses.
 Mais bon, regarde le, il a la tête du parfait hétéro, et tu viens clairement de lui dire « j’adorerais que vous me caressiez » ! Quel idiot je fais…
Toujours à l’arrêt, la chaleur aidant, en plus de ma bêtise, je trouve le temps interminable. Mais quand va-t-il redémarrer ce train de malheur, quand vais-je pouvoir sortir pour me sauver ?
Pourtant, je sens comme un léger frottement contre ma chemise. Voilà que maintenant, je fantasme tellement fort que j’ai l’impression qu’on me caresse. Pour en avoir le cœur net, je tends mes abdos et là je me dis que je ne rêve pas. Quelqu’un est en train de me caresser le ventre. Je regarde en biais cette main qui, avec deux doigts, monte et descends lentement, sensuellement le long de ma chemise entre le nombril et la ceinture de mon pantalon.
Je remonte mon regard  Je l’ai déjà vue , Mon Dieu, c’est celle de mon voisin le beau minet.
Une fois encore, nos regards se croisent , à la fois de la gêne et du désir dans le mien, alors que le sien, les yeux légèrement plissés semblent délivrer ce message « laisse toi faire ».
Alors d’accord, de toute façon je ne peux pas bouger, me retourner. Même mes mains sont coincées par les autres voyageurs. Du regard, sans un mot , par un signe positive de la tête je lui fais comprendre que j’accepte sa caresse.
Je sens alors le contact plus insistant, plus ferme, plus viril. En un instant c’est sa main qui me caresse la chemise, le long de mes abdos loin d’être des plaques de chocolats. Je ferme les yeux, laisse échapper un soupir d’aise, puis regarde ce jeune homme qui m’inspire un désir grandissant. Il me sourit, avec une complicité dans les yeux qui m’indique que lui aussi aime cet instant.
Je n’entends plus les voix, le brouhaha autour de moi, je ne vois plus que lui et son sourire, je ne sens plus que sa main et sa caresse. Il me dit doucement
--« moi c’est Matthieu, et toi ? »
-- « Simon », dis-je dans un filet de voix étranglé par l’émotion et le désir .
D’un coup, violent, saccadé, le train redémarre. Le départ brutal projette Matthieu contre moi. Nos corps se touchent tout entier, son visage est a quelques centimètres du mien, et son corps, des épaules aux genoux, vient se plaquer contre le mien.
Je sens son parfum, sa chaleur a travers sa chemise, cette légère odeur de transpiration d’un homme qui manifestement s’entretient.
Mais je sens aussi son torse, ferme solide, dont la chemise moulante , laisse supposer qu’il est dessiné, sans graisse, lisse.
Et surtout je sens son bas ventre contre le mien et surprise, un sexe tendu contre le mien à travers nos pantalons respectifs.
Le contact de sa barre de chair, même indirect, m’électrise et je ne peux réprimer l’envie de me frotter à lui, un peu bestial
Il ne recule pas. Nos corps se frottent l’un contre l’autre lentement au rythme de tortillard de ce RER. Je sens son sexe qui grossit encore, qui tente de se dresser prisonnier dans son pantalon et son sous-vêtement. Le mien est déjà bandé au maximum, tentant vainement de déchirer mon boxer par la tension extrême que m’inflige l’excitation de cet instant.
Pendant que le train fait un stop and go qui d’ordinaire m’aurait exaspéré, je sens la main de Matthieu qui peu à peu glisse de mon ventre vers mon pantalon. Il passe doucement sur mon aine et je sens alors ses doigts se rapprocher de la bosse formé par mon sexe en émoi.
Du bout du majeur, il effleure cette bosse et je tressaille, stupéfait de son audace et ravi à la fois. Il me caresse doucement le gland à travers le tissu. Ma respiration s’accélère, mon excitation monte encore d’un cran.
 Mon Dieu, il est en train de me peloter dans le train avec 1 million de personnes autour de nous. Et si la vieille à côté s’en rendait compte ? Quelle honte, non tu ne peux pas le laisser faire…
Au moment où j’essaie de dégager une main pour retenir la sienne, je le sens descendre encore ses doigts et les glisser entre mes cuisses, me malaxant doucement les testicules à travers mon pantalon. Je ne peux retenir un « aaahh » de surprise.
A ce moment là, nous arrivons à la station. Je ne dois descendre qu’au terminus de la ligne mais lui, jusqu’ou va-t-il ?
 Pendant que le sempiternel ballet des entrants et sortants se fait, Matthieu en profite pour me pousser vers la porte et me plaque dos a celle-ci. Déjà je vais encore avoir au moins un trajet inter stations pour profiter de ses caresses. Profitant du flot entrant, il se colle à moi. Je sens un pieu massif se plaquer contre mon ventre et sa main se plaquer sur mon sexe. Mon excitation est à son comble quand il commence une lente sensuelle et insupportable masturbation a travers le tissu.
Le train redémarre, et reprends ses stop and go chaotiques. Il nous a déjà fallu 5 mm pour faire une station là ou il en faut 1 seule d’habitude, mais là je ne suis pas pressé d’arriver, je voudrais que ce voyage n’en finisse plus.
La lente caresse de Matthieu sur mon sexe me plonge comme dans un état second. J’oublie le monde, seul compte Matthieu.
Je sens d’un coup ses doigts qui quittent mon sexe, et doucement s’emparent de ma braguette et tire lentement mais inexorablement la languette vers le bas.
 Mais il est fou ! Là dans le RER.
D’un regard sans doute affolé je regarde précipitamment autour de moi ! Non ce n’est pas bien, il y a du monde. Je murmure un « non » timide à son oreille.
« Laisse toi faire » me répond-il dans un souffle. J’essaie vainement de retenir ses doigts mais déjà je les sens écarter mon pantalon et se glisser sur mon boxer. Sa main dans mon pantalon glisse doucement et me caresse le pubis puis rejoint mon sexe tendu à l’ extrême. Il reprend sa lente masturbation. Elle est encore plus intense, car avec une couche de tissu en moins.
De mon côté, je remonte ma main sur son pantalon et la glisse entre ses cuisses. Mes doigts trouvent son entrejambe et lentement je lui caresse. Il gémit d’aise lui aussi.
Tout à coup je vois apparaître les lumières de la station.
Un instant de panique, et si la porte contre laquelle je suis plaqué et en train de me faire masturber était celle qui s’ouvrait sur le quai.
 Non heureusement.
Matthieu profite du mouvement de foule pour se replacer face a moi et me dissimuler au regard des autres. Je le regarde avec tendresse, avec passion. Je ne le connais pas mais j’ai une folle envie de passer plus qu’un trajet de RER avec lui.
Enfin le train repart et Matthieu reprend ma lente masturbation. Je sens ses doigts chauds contre le tissu humide d’excitation de mon boxer. Soudain j’ai envie de plus que cette caresse, j’ai envie qu’il me fasse l’amour, j’ai envie qu’il me mette nu et me possède.
Comme s’il avait lu dans mes pensées, je sens Matthieu qui glisse ses doigts sous la ceinture de mon boxer, qui s’immisce dans ma toison intime et qui plonge sur mon sexe. D’un coup je sens sa main en direct sur ma verge tendue. Ses doigts se resserrent et il entame une masturbation plus franche.
Je ne sais plus où j’habite, qui je suis.
Je suis entrain de me faire masturber en plein RER un soir de grève et j’aime ca…qui n’aimerai pas ?
L’excitation est a son comble je sens que s’il continue ainsi je vais jouir…
« Arrête Matthieu, je vais jouir, arrête pas la, sil te plait » lui dis je sans grande conviction, trop excité par sa main experte qui m’astique avec force mon sexe soumis.
« Non, je veux sentir ton sperme jaillir dans mes doigts » me dit il en plongeant son regard gris dans mes yeux.
Et au même moment, je sens monter les spasmes incontrôlables de l’orgasme. Mon sexe se contracte entre ses doigts et j’éjacule 3 longs jets dans sa main et dans mon boxer, en laissant échapper un petit cri de jouissance.
Matthieu a les doigts maculés de ma semence. Il caresse encore un peu mon sexe, me presse le gland pour en faire sortir les dernières gouttes puis doucement, m’enduit le sexe, les testicules et mes poils de mon sperme, l’étalant lentement partout, comme un vernis protecteur. Il se sèche un peu les doigts dans le tissu de mon boxer.
Délicatement il retire sa main de mon pantalon, me laissant tout pantelant de plaisir. Il sort un kleenex de sa poche et s’essuie les doigts sauf le majeur qu’il lèche devant moi avec délectation. Tout a mon plaisir, j’en ai oublié de m’occuper de lui. !!! Aurais je simplement osé faire le quart de ce qu’il m’avait fait…je n’en suis même pas sûr
La station suivante arrive, il me remonte ma braguette et me dit, avec une nuance de regret dans la voix : « c’est la que je descends ». Je le regarde affolé. Non pas déjà ! Comme le dit Piaf, je maudis d’un coup la foule qui m’arrache à lui et qui m’avait jeté dans ses bras.
Il se retourne et quitte le wagon. Je ressens un vide immense, inconnu jusqu’alors, une profonde tristesse alors que deux minutes avant j’étais au Paradis !
Il se retourne une fois sur le quai, et pendant que la porte se ferme, me fait un signe, et approche ses doigts de la bouche et de l’oreille, me signifiant « on s’appelle ».
Mais comment ? Je ne sais que son prénom, je ne sais même pas d’où il vient et ou il va…Pourquoi cette cruauté alors que justement avant il m’avait apporté tant de bonheur et de plaisir.
D’un denier geste, il me montre la poche de ma veste, comme s’il y glissait quelque chose. Le train démarre, prend de la vitesse, et je perds Matthieu de vue.
Je sens des larmes qui me montent aux yeux et je ne peux pas les empêcher de couler, rempli d’un chagrin soudain. Je plonge ma main dans la poche de ma veste pour en sortir un mouchoir.
Mais il y a autre chose, un carton, mieux que cela, une carte de visite, avec un nom que je ne connais pas mais un prénom qui me ramène deux minutes en arrière « MATTHIEU ».
Tout y est, son adresse, son portable, son email, son nom ! Je comprends mieux le geste final. Mais comment a-t-il fait ? Je n’ai rien senti ! Enfin je m’en moque, parce que maintenant, je sais que je vais le revoir.
Enfin le terminus. Il faut dire que je n’ai rien vu du voyage, tout à mon souvenir de ce que je venais de vivre avec Matthieu. J’ai trouvé une place assise, et mes yeux sont restés rivés sur sa carte de visite. Comment ai-je fait pour qu’un homme, en si peu de temps, me laisse sa carte comme ça, dans ma poche. Il m’a fait un effet bœuf (et mon boxer tout humide de ma semence me le rappelle à chaque mouvement), mais qu’ai-je fait pour qu’il me laisse toutes ses coordonnées en cadeau ?
C’est l’esprit agité de cette question que je chemine vers le domicile de mon neveu Norbert.
--salut tonton , t’as fait bon voyage ?
--salut Norbert ,extra malgrès les grèves ….
--désolé j’ai pas pu me libérer au boulot
--pas grave ça m’a permis d ‘avoir une  aventure INOUIIIIII
--vas y raconte tonton
--si ça te dérange pas avant je voudrai prendre une douche.
--ok je te prépare l’apéro en attendant.

Une fois dans la salle de bain, je me glisse sous la douche, histoire de remettre un peu d’ordre dans mes idées et effacer (a regret) les traces de notre rencontre.
Pourtant, en sortant de ma douche, une seule idée m’obsède : revoir Matthieu, et vite.
 Je me précipite sur mon portable, saisit la carte et commence à composer son numéro. Mais juste avant le 10ème chiffre, ma main s’arrête net !!!
« réfléchis avec ta tête imbécile !!! Pas qu’avec ta queue !!! Il est chez lui, en famille, tu vas le déranger, le gêner ».
Je termine quand même le numéro pour l’enregistrer dans mon répertoire. Voilà, maintenant, je pourrai l’appeler quand je le souhaite.
--alors tonton ça fait du bien
--super tu aurai pu venir me frotter le dos (hihi)
--fallait demander tonton…….
--je pensais que tu serai venu de toi même pour mâter ce que tu voudrai goûter !
--j’ai pas osé , tonton , mais regarde l’effet que tu me donnes !
--hummm ! ! je vois , j’espère que je passe les nuits avec toi ?
--oui tonton et tu vas pas beaucoup dormir !
--c’est ce que j’avais compris lors de ton invitation.
Après un diner frugal, je pars dans la chambre, et je me suis encore endormi comme une masse.
 La nuit est agitée de rêves tous plus érotiques les uns que les autres, et je me réveille pleins des mille et unes caresses que Matthieu m’a fait dans mon sommeil.
 Norbert m’avais laissé récupérer ma longue journée d’hier sachant que j’etais là pour une semaine. Il m’attendait nu dans la cuisine pour prendre le petit déjeuner.
-- bonjour tonton , ben dis donc ta nuit a bien été agité ?
-- bonjour , je sais pas si c’est toi mais putain je n’ai pas arrivée a débander.
-- oui j’avais remarqué et j’ai même léché ton gland
--quoi tu as voulu me sucer ? pendant mon sommeil
--je faisais ce que tu me demandais dans ton rêve et tu as même joui sur ton ventre
--pas vrais ?
-- si tonton et j’ai tous léché …. Que c’etait bon ! !
-- bon on verra ce soir si tu es prêt  a consommer plus ?
-- Oui tonton ce soir , depuis le temps que je t’attend….dit tonton tu fais quoi ce matin ?…….. tu peus te servir de l’ordinateur si tu sors pas.
--ok a tout a l’heure.
Après une douche rapide et un petit déjeuner expédié, Norbert  cours vers le RER , ce matin , il n’est plus en grève.


Tournant en rond dans la pièce , je me mis a penser a Matthieu , mis en marche l’ordinateur

Et me voila devant mon écran.
« Et si je lui envoyais un mail, comme ça, il aurait mon adresse ».
Ni une ni deux je retrouve la carte de visite, et je saisis l’adresse avant de lui envoyer ce message
« Bonjour, suite à notre rendez vous d’hier, je vous confirme tout l’intérêt que nous portons à l’avant projet que vous m’avez présenté, projet visant à rapprocher les hommes de façon significative dans la jungle urbaine des transports en communs. Signé Simon… »
Je clique sur Envoyer, et soupire d’aise et de crainte à la fois, espérant qu’il lira et comprendra mon message.
 Dans la seconde qui suit , retentit la sonnerie qui m’annonce un nouveau mail. Je clique sur Ouvrir et découvre un message de Matthieu !!!
« Monsieur,
Je suis ravi que ma prestation d’hier vous ait convaincue d’aller plus avant dans notre collaboration. Afin de pouvoir approfondir le sujet, je vous propose de me contacter au 06…… afin que nous convenions d’un rendez vous dans les meilleurs délais et dans des conditions plus confidentielles.
Dans cette attente, Matthieu T
. »
Là, le doute n’est pas permis, il me donne rendez vous, et seul à seul. Mon cœur bat la chamade, je sens des bouffées de chaleur qui montent, et cela doit se voir ,heureusement personne pour le voir.
Je prends ma veste et sors rapidement de l’immeuble. Je saisis mon téléphone, et le cœur battant, j’entends la sonnerie sur le téléphone de Matthieu.
« Matthieu T., bonjour !!! »
« Bonjour, je suis Simon., nous nous sommes rencontrés hier dans le… »
« Oui, je me souviens particulièrement bien de vous. Alors ce rendez vous, quand pouvons nous le fixer ? »
« Dès que tu veux » Le tutoiement est venu spontanément, aussi fort que le désir qui déforme mon boxer au son de sa voix.
« Disons ce soir vers 20h00. Je vous fais suivre l’adresse exacte par mail. Merci de m’avoir rappelé Mr J, et à ce soir. »
Il raccroche aussi vite qu’il a répondu. Mon Dieu, ce soir, mais je ne suis pas…enfin qu’est ce que j’avais de prévu…c’est rapide pour le coup….. Je m’assieds sur le trottoir tout chamboulé par ce rendez vous si rapide, histoire
de regrouper un peu mes esprits.
« Tu n’as rien de prévu ce soir, ah ! si Norbert, rappelle toi, et ce soir, tu as un homme de rêve qui te donne un rendez vous pour sans doute l’un des meilleurs moments de ta petite vie, alors, arrête de te prendre la tête et vas y….Et ramène une bouteille de vin, il aime peut être çà ». Ma voix intérieure est parfois très dure avec moi, mais je l’écoute souvent, parce qu’elle est de bon conseil en général.
Après cette mise au point interne, je remonte à l’appartement, trouvant sur le PC le mail de Matthieu avec une adresse et un code de porte. Je vérifie illico sur Mappy où cela se trouve et comment y aller. C’est sur ma ligne RER d’hier, et c’est une adresse privée !!! Il m’invite chez lui on dirait. Allez, calme toi, respire, voilà, maintenant tu verras bien ce soir.
La journée ne semble pas en finir. Je file chez un caviste que je connais et lui demande une bonne bouteille de blanc pour une soirée intime. Puis je vais prendre mon RER préféré, descend à la station indiquée dans le mail et me rends à l’adresse de Matthieu.
Je suis un peu en avance, et je vois sur le trottoir un monospace chargé de bagages, avec 2 bambins a l’arrière, et Matthieu et une ravissante jeune femme qui lui dépose un baiser sur la bouche. Je me cache derrière un arbre. Elle monte, démarre puis s’éloigne en faisant un signe de la main. Elle disparaît au coin de la rue.
Matthieu pousse la porte cochère et j’en profite pour le rejoindre.
«  Bonsoir »
Il se retourne, me gratifie d’un sourire ravageur « Bonsoir Simon, je t’attendais ».
« Ta famille est partie pour les vacances ? »
« Oui, mon épouse souhaite se mettre au vert dans la maison de mes parents en Sologne, elle part une semaine avec les enfants
« Ah si peu…oh excuse moi, je suis désolé »
« Allez, monte » me dit il « je crois que nous avons un dossier en cours que je dois reprendre en main ».
Dans l’ascenseur, Matthieu se tient sagement à mes côtés. Mais déjà son parfum m’entoure, et je sens mes sens s’animer sérieusement. Il me précède sur le pallier, ouvre la porte et me laisse entrer.
C’est un appartement cossu, moderne, typique du jeune couple qui a tout de suite bien démarré dans la vie.
La porte se referme. « C’est pour nous la bouteille ? »
« Ah oui c’est pour toi et moi, maintenant ou quand tu voudras » dis je en lui remettant
Il se place face a moi et doucement mais surement se rapproche et me pousse contre le mur. Ne pouvant plus reculer, je le sens se plaquer contre moi et poser ses lèvres sur ma bouche. Ah mon Dieu qu’elles sont douces. Un baiser posé délicatement pendant que de ses mains, il enserre mon visage.
Je sens sa langue qui se glisse entre mes lèvres et j’ouvre les miennes pour l’accueillir. Le baiser se fait alors plus profond, plus intense, plus viril et dominateur. Il me fouille de sa langue, et je m’abandonne à son baiser plein de fougue.
Ses mains glissent de mon visage et me caressent de partout. Je pose les miennes sur ses hanches et le plaque contre moi, sentant sa virilité se dresser dans son pantalon, fière et puissante.
Tout en m’embrassant Matthieu commence à m’effeuiller. Ma veste tombe très vite et je sens que les boutons de ma chemise sautent les uns après les autres , les mains de Matthieu viennent me pétrir les pectoraux. Je gémis de plaisir, de désir quand il me pince les têtons dressés.
Ma chemise rejoint très vite ma veste sur le sol de l’entrée. Nous n’avons toujours pas fait un mètre depuis que je suis entré chez lui.
Je suis torse nu, le pantalon déformé par la plus grosse érection que je n’ai jamais eu jusqu’à présent. Il sait m’exciter, me stimuler. Sa main se plaque sur mon sexe raide et une lente caresse sensuelle, torride s’applique à me masser la verge a travers le pantalon.
Je sens contre moi son corps chaud à travers ses vêtements. Lui aussi a une érection magnifique dans son pantalon. J’ose ma main sur sa bosse et sens un sexe qui me semble énorme et tellement dur.
Pendant que je soupèse son sexe il défait ma ceinture dégrafe mon pantalon et baisse ma braguette. Il l’écarte et dévoile mon boxer complètement distendu. Mon pantalon glisse sur mes mollets, je vire mes chaussures, je suis presque nu, là, dans l’entrée. Matthieu glisse alors sa main dans mon boxer et s’empare de mon sexe, d’une poigne virile qui me fait comprendre qui sera le maitre dans nos ébats.
Il entame une lente masturbation, comme hier dans le train. Je ferme les yeux de plaisir tout en malaxant sa bosse. Sa main coulisse sans heurt sur ma verge. J’aime cette force mêlée de douceur sur mon sexe.
Je sens que mon boxer glisse sur mes hanches puis mes fesses et finit par choir sur le sol. Me voila nu, offert à son désir et son regard qui me transperce.
Il me prend par la main et m’emmène dans le séjour. Il s’installe sur le canapé, me laissant debout face à lui. Il se redresse, m’attire a lui en me prenant par les hanches. Je sens sa main qui doucement me caresse les fesses pendant que l’autre reprend la masturbation entamée dans le couloir.
Je me laisse totalement guider. Je suis un jouet entre ses mains. Il se penche alors vers mon sexe et le lape avec une sensualité jamais connue à ce jour. J’ai des frissons de plaisir partout dans le corps. Je gémis, caresse sa nuque et je sens mon gland disparaître dans sa bouche. Il commence à coulisser le long de ma verge, entamant une fellation de rêve.
Je plane complètement pendant que Matthieu s’active sur ma queue. Je sens monter la jouissance, je le ralentis. Il faut que cela dure toute la nuit.
Pendant qu’il me suce, Matthieu part explorer ma raie. Il immisce ses doigts dans ma raie et glisse vers ma rondelle. Je sens son majeur qui la caresse, la travaille un peu, puis me pénètre. Je pousse un râle de plaisir sous la caresse buccale et anale.
Sentant que je vais jouir s’il continue ainsi, Matthieu libère ma verge, et m’invite à m’agenouiller. Je m’exécute.
« Vas y, dessape moi » me dit t’il dans un souffle.
Alors sans retenue, je me jette sur ce corps tant désiré. Sa chemise vole en un instant, découvrant un torse dessiné, sans un poil, avec deux magnifiques petits tâtons bruns, gros comme une pièce de 2 centimes, mais avec une pointe ferme que mes doigts malaxent d’envie.
Ma bouche s’attarde sur ses pectoraux, ma langue ne se lasse pas de jouer avec ses deux pointes d’ébène au bout des têtons. Je respire à plein nez son parfum frais, citronné. Je glisse sur ses aisselles qui fleurent bon le déo de qualité mais également une légère pointe de transpiration, le rendant encore plus viril, excitant, désirable.
Mes mains glissent alors sur son pantalon et rapidement celui vole au milieu du salon avec ses chaussures.
Il est face à moi, juste en slip, un slip blanc a poche CK, le mettant magnifiquement en valeur avec son sexe bandé. Je glisse ma main dans la poche, cherchant la fente qui me fera accéder à son sexe. Je vais enfin pouvoir le toucher, le caresser.
Je rencontre sa touffe, drue, épaisse. J’ai toujours aimé les toisons pubiennes, puis rapidement je sens son sexe le long de mes doigts. Alors n’y résistant plus, je lui arrache le slip pour l’avoir nu devant moi.
Sa bite se dévoile d’un coup, claque sur ses abdos fermes et dessinés. Une bite superbe, de 19 cm, droite comme un I, un vrai pieu surmontant une paire de couilles lourdes, bien viriles, poilues, des vraies couilles de mec.
Je me penche alors sur ce sexe tant désiré et le prend en bouche pour l’honorer comme il se doit. Je suis agenouillé, entre ses cuisses et je pompe cette bite avec application et délectation. Je la fais coulisser dans ma bouche jusqu’à l’avaler toute entière. J’aime son gout légèrement salé, le parfum d’homme excité qui se dégage de sa toison. Je m’applique à lui donner tout le plaisir qu’il m’a déjà offert hier et ce soir.
Sa main se fait plus pressente sur ma nuque, il a la tête rejetée en arrière les yeux mi clos. Ma pipe lui plait dirait on. Il accompagne mon hochement de tête de sa main ferme tout en me caressant les cheveux. Je le suce à fond pendant 10 bonnes minutes, en alternant les gorges profondes, la pompe du gland, le léchage ou le gobage de ses deux grosses couilles. Il se détend de plus en plus gémissant de plus en plus fort, murmurant mon prénom avec une intensité grandissante.
« Arrête toi, je vais jouir sinon… » Me dit il le souffle court, luisant de sueur
Je lâche à regret cette verge luisante de salive. Il me relève et me retourne, empoignant mes fesses a deux mains et les écarte sans ménagement.
« Penche toi et montre moi ta rondelle ».
Aussitôt je m’exécute, offrant mon cul à sa langue experte. Elle pointe et commence un léchage de 1er choix. Je sens peu à peu mon petit trou se détendre et sa langue s’introduire plus avant dans mon intimité. Une fois encore, il sait me mettre en extase et je m’abandonne à lui.
Il se relève, la bite toujours raide, enfile une capote et vient se coller contre moi. Je sens son pieu le long de ma raie, il le fait monter et descendre, frottant parfois son gland sur ma rondelle sensibilisée par sa langue.
Ce frottement dure quelques instants quand sans me prévenir, il me transperce d’un coup de queue et me déchire le cul.
Une brulure insupportable m’envahit le ventre en même temps qu’un plaisir intense. Je crie de douleur et de surprise sous cet assaut anal brutal.
Il vient de m’enculer comme un mâle en rut, et me prend sans ménagement. J’ai mal mais j’adore sa bestialité.
Il me saisit les hanches et entame un limage profond et rapide, histoire de bien me chauffer le fourreau. Je cherche un point d’appui pour résister à ses coups de butoir dans mon cul et la seule possibilité, c’est la baie vitrée.
Je plaque mes mains sur la vitre et courbé en deux, pendant que je fais face à Paris, je me fais enculer par Matthieu comme un sauvage.
Lentement il ralentit la cadence de ses assauts, comme s’il avait voulu me montrer qui était le maitre du jeu et me soumettre a son bon vouloir. La douleur a fait rapidement place à un plaisir sans nom et sa queue me ramone divinement bien, tout en profondeur, en longueur et en volupté. Je le sens m’envahir au fond de mon ventre et son gland me frotte sur toute la longueur.
Il me lime lentement maintenant, profitant pleinement de ma croupe offerte et dédiée au plaisir. Dans le reflet de la vitre, je le vois prendre son pied à me caresser la nuque, le dos, à saisir ma queue pour la branler et la faire rebander.
Le temps est suspendu, et seul compte le mouvement de son corps contre et dans le mien.
« Tu aimes ? » me demande t’il en se couchant sur mes reins, « ca te plait de te faire prendre comme ca ? »
« J’adore ca Matthieu, j’aime qu’un homme me prenne virilement, comme tu l’as fait. »
« Alors viens sur le canapé, je vais te prendre par devant ».
Il m’entraine et me retourne, me jetant dos sur le canapé. Il me relève les jambes et sans ménagement, me pénètre directement. Mais là je suis prêt et son gland entre sans me faire souffrir.
Il reprend ses va et vient dans mon cul, joue avec son gland et ma rondelle. Je sens monter lentement mais surement un orgasme de folie en moi. Je n’ose pas me caresser de peur d’exploser de suite.
C’est lui qui prend mes « choses » en main et tout en me limant, il me branle avec une langueur insupportable presque sadique, sachant s’arrêter juste avant que je ne lâche tout !!!
Mais je sens bien que lui aussi est au bord de l’extase, les mouvements de son sexe en moi sont plus saccadés et d’un coup, je sens sa main se crisper sur ma queue et lui qui m’enfonce son pieu de chair au fond de mon cul. Aussitôt après, un flot de sperme jaillit et emplit sa capote, pendant que de ma queue jaillit un flot saccadé de semence chaude qui gicle sur son torse et le mien, aspergeant nos visages. Il se vide complètement dans un cri de jouissance intense et un dernier coup de butoir qui me transperce le ventre, avant de s’effondrer sur moi et de reprendre nos esprits.
Le temps semble suspendu, il n’y aucun bruit autour de nous hormis nos respirations qui retrouvent un rythme peu à peu normal.
Quand soudain ! !….mon portable sonne et brise ce silence
Il se retire lentement, me laissant comme un grand vide en moi. Il me sourit, tendrement, dégage une mèche de cheveux collés sur mon front par la sueur de nos ébats et me dépose un doux baiser sur les lèvres.
« Je vais remettre la bouteille au frais, histoire qu’elle se rafraichisse pendant que nous prendrons une douche ensemble » me dit il à l’oreille. « nous la boirons ensuite à nos amours … »
--tonton
--oui Norbert
--tu as vu l’heure je t’attendais , tu es ou ?
--chez Matthieu  , tu sais le mec qui ma branlé dans le RER
--oui je sais , c’étais pas prévu … une seconde Matthieu  me dit quelque chose
---Simon c’est qui ce Norbert ?
---Mon neveu chez qui je suis en vacances
---Ok ben demande lui de nous rejoindre ?
--Allo Norbert , tu veus bien nous rejoindre chez Matthieu  au 20 rue de la rose bleu ?
--Tu crois que je peu
--Bien sure , en plus demain c’est dimanche tu auras le temps de récupérer
--OK j’arrive
20 minutes plus tard , Norbert nous avait rejoint et que fut sa surprise de nous trouver a poils et tout autour de nous, le sol est jonché de nos vêtements jetés en vrac, témoins immobiles de la passion qui s’est emparée de nous.
--Bienvenue Norbert ,moi c’est Matthieu  tu as trouvé facilement
--enchanté , merci de votre invitation
--de rien ton oncle Simon devais te faire ta fête ce soir alors comme je l’ai retenu un vas la faire tous les trois.
--merci
--mets toi a poils et vient nous retrouver sous la douche
Norbert ne se fit pas prier et arriva sous la douche ,le regard de Matthieu voyant je jeune Norbert un mat de 20cm bien épais arrivé droit comme un pic cria « Putain ce que j’attend depuis des années  , je vais m’éclater le cul ce soir »
--Simon et ton neveu vous êtes bien monté
--Oui Matthieu et ce soir 2 pour 1
--Qui vas commencer ?
--Honneur au plus jeune
--Mais tonton tu as commencé continue le 1er
--Non ça sera toi et moi je m’occuperai de toi en même temps
--Dans ce cas…….

 

 


Pendant qu’il fait couler l’eau dans la cabine de douche Norbert et moi prenons le temps de l’observer.
Il est, sous ses traits fins et lisses, particulièrement bien proportionné. Rien n’est en trop, rien ne manque. Un grain de peau soyeux, une pilosité masculine, juste ce qu’il faut pour souligner son physique d’homme, mais qui laisse des larges espaces imberbes et lisses.
Il a aussi un fessier de rêve. Deux belles fesses fermes, avec cette fossette sur chacune d’entre elles qui me font craquer. Norbert ne peux résister à les toucher. Sa main se dirige vers ces deux bosses si excitantes et lentement en apprécie les formes, le toucher, la fermeté.
Matthieu semble aimer cette caresse, car j’entends un soupir d’aise. Il se laisse faire, et Norbert en profite pour m’approcher et se coller à lui. Il dépose sur ses épaules un doux baiser, pendant que ses mains enserrent ses hanches. Son dos se frotte à son torse imberbe, ses fesses frottent son sexe. Il ondule lentement, réveillant ses ardeurs au contact de sa peau et en respirant ses effluves de mâle après l’amour.
Norbert sent  son sexe qui se dresse entre ses fesses, et Matthieu de plus en plus insistant contre son pubis.
Soudain il bascule son torse en avant et lui présente son postérieur.
« Prends-moi Norbert, là maintenant » lui dit-il avec une force et un désir dans la voix qui me surprent.
Je vais pour lui préparer sa rondelle quand il me dit « Non Simon pas comme ça !!! A sec !!! Je veux sentir  Norbert m’enculer, me déchirer !!! »
« IL vais te faire mal » dis-je presque inquiet de sa demande
« Vas-y bon sang !! Encule-moi !!! Norbert »
Je dépose et étale un peu de salive sur son gland de nouveau gonflé de désir et le dirige sur sa rondelle poilue.
Il commence à le pénétrer quand il recule pour s’empaler sur mon sexe raide. Sa queue rentre toute seule dans son trou, presque trop vite, comme happée !!!
Il pousse alors un grand cri animal, primaire, de jouissance.
En deux secondes sa queue s’est enfoncée jusqu’au pubis dans son anus déjà frémissant, ne demandant qu’à être limé.
Alors il lui saisis les hanches et commence un limage en règle. Au début  pas trop vite, mais il en veut encore plus.

Je vois son regard dans le miroir et c’est celui d’un homme qui aime ce qu’il est en train de vivre. J’y vois toute sa jouissance, tout son plaisir à sentir une bite de mec dans son cul. A chaque fois qu’il s’enfonce dans ses entrailles, il pousse un « Aaaahhh » rauque de plaisir.
Il accélère le mouvement pour le satisfaire encore plus. Son sexe coulisse maintenant a merveille dans son ventre, et enchaine coup de bite sur coup de rein.
Ses fesses tremblent à chaque fois que son ventre les touches  .Je ma suis glissé dessous son ventre pour saisir sa queue Il s’agrippe a mes poigneés d’amour pour résister à ses assauts.
Je découvre un membre raide, dur comme la pierre !!! Il bande comme un fou pendant que Norbet l’encule.
Il aime se faire défoncer !!! Il m’a pris comme un dieu et il a un cul divin !!!
Je l’astique au rythme de son pilonnage et j’accélère encore mes va et vient. Les cris rauques sont remplacés par des « ouiii » saccadés et je sens d’un coup sa verge qui dans un dernier spasme se contracte et crache une purée chaude et épaisse dans ma bouche. Il avait encore de la réserve après m’avoir rempli le ventre sur le canapé !!!!
Un immense cri de jouissance jaillit de sa gorge, ce qui provoque l’ éjaculation  de Norbert dans son cul de rêve. IL lui féconde les entrailles en mêlant sa voix à la sienne.
Après ce second orgasme de folie, Norbert décule lentement, relevant Matthieu. Il sle retourne et le plaque au mur, lui roulant une pelle monumentale, pleine de fougue d’ardeur, de virilité, tout en le prenant les couilles et en les malaxant presque à lui en faire mal !!! Je le plaque contre moi et lui rend la pareille sur ses fesses encore chaudes de sa sodomie.
Il nous pousse alors sous la douche où nous sommes accueillis par un jet d’eau chaude.
Il continue malgré l’eau qui ruisselle sur nos visages et sur nos corps unis à nous embrasser à pleine bouche, couvrant nos corps, nos fesses et s sexes de caresses passionnées, comme s’il voulait profiter de chaque instant pour user et abuser de nous.
 Je me laisse entraîner par son désir, lui rendant caresse pour caresse, me frottant à lui avec la même passion dévorante. Il semble insatiable, comme s’il voulait rattraper un temps perdu ou profiter de cet instant pour faire provision d’amours masculines.
Malgré nos deux séances d’amour rapprochées, je sens que mon sexe entre ses doigts de Norbert ne demande qua repartir dans des entrailles. Mais auparavant, je vais l’honorer de ma bouche.
Je me dégage de son étreinte et glisse lentement le long de son corps, me retrouvant à genoux devant son sexe encore mou mais toujours gonflé de plaisir et de désir. Passant de Norbert à Matthieu
Je décalotte son gland lentement et le lape avec délice. Il sent l’homme, le mâle, la bête sexuelle. Je l’avale puis le suce avec attention, lentement, couvrant chaque parcelle de ce gland qui grossit encore dans ma bouche de baiser et coup de langue. Son sexe, pourtant épuisé par deux orgasmes successifs, se redresse peu à peu, m’obligeant à me redresser un peu pour suivre son ascension vers le nombril de Matthieu.
Et je pompe à fond son chibre énorme et dur une fois encore. Je pompe a fond cet organe qui m’a tellement donné tout à l’heure sur le canapé. Matthieu semble au bord de la crise cardiaque. Je sens toutes ses terminaisons nerveuses sur le point d’exploser, comme à vif sur son gland rouge et sa grosse queue qui me remplit la gorge.
Je suce sa bite avec délice, encore et encore. Je lui gobe ses deux couilles poilues pendant que mon majeur lui caresse et fouille l’anus de Norbert. Il essaie de me retenir. Je sens qu’il n’en peut plus de plaisir, mais je continue encore et encore à le sucer, jusqu’à l’extase.
Pendant 20 minutes au moins je le pompe à fond, et je sens là encore qu’il va jouir.
Mais dans un suprême effort, il réussit malgré tout à se dégager de mes caresses buccales. Je le regarde, presque déçu de ne pas l’avoir emmené jusqu’où bout, quand, sans ménagement, il me relève, oblige Norbert a ce courber pour que je l’encule a sec lui qui n’a jamais été sodomisé ,Norbert hurle  de douleur , Matthieu se positionne derrière moi, courber sur mon  dos , baillone  de ces mains Norbert et m’encule d’un coup, sans retenue, pour se livrer à une défonce comme rarement j’en ai connu.
Il me lime avec une telle vigueur et une telle violence que j’ai presque l’impression de me faire violer. Mais cette bestialité dans la sodomie me procure des vagues de plaisir anal sans précédent et je me soumets à son désir sans résistance.
Il m’encule comme un fou, me rentrant toute sa bite par grand coup dans le cul,et répercutant les mêmes mouvements dans le cul de Norbert  , défonçant littéralement 2 culs en une seul fois.
Cette sodomie sauvage ne dure que très peu de temps quand je le sens deculer d’un coup sec et venir gicler sur mes reins. Je fis de même dans la seconde . Aussitôt après, nous nous effondrons  de plaisir dans la cabine assis à terre la bite toute pantelante entre ses cuisses, le regard loin, le souffle court.
Norbert me tourne vers  nous et déverse après une courte masturbation ce qu’il me reste de foutre dans ses couilles, avant de glisser et de le rejoindre au sol de la cabine.
Je ne sais pas combien de temps nous sommes restés ainsi, l’eau coulant sur nos corps épuisés de tant de sexe, de jouissance et d’orgasme.
Au bout d’un moment, il me regarde enfin et me dit avec un grand sourire plein de tendresse et de complicité : « alors, on va la boire cette bouteille… »

Par simon - Publié dans : ma vie
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Lundi 2 juin 1 02 /06 /Juin 09:13
pour sa fête  le 3 juin Kevin a invité Serge son nouveau copain a la maison

















il est tres fière de lui montrer quelques photos et histoires qu'il possède sur son ordi , lui posant la main sur le cuisse     







lui propose
--Serge ça te dirai de faire avec moi?

--biensur il y a longtemps que j'en rêve

-- c'est vrais tu me l'avais bien caché

--je n'osais pas trop mais maintenant je sais que ça va etre possible

-- ok on commence par s'embrasser

--allez  ok et je te previens je veus plus qu'un baisé sur le bouche



--ah! bon tu veus quoi de plus?

--tu sucer

--uniquement me sucer?

--te faire cracher ta semence das ma bouche

--tu avalerai?



--OUI si tu me donne le droit de te bzer




---OK mais avec preservatif


--je ne le conçois pas autrement


--OK j'ai tous ce qu'il faut , de nos jour faut toujours sortir couvert

-- QUE

C'est

Beau.

L'AMOUR




















MERCI Kévin ET BONNE FÊTE
Par simon - Publié dans : mes copains
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Dimanche 18 mai 7 18 /05 /Mai 22:35

LE GENDARME
Voilà une histoire qui m'est arrivé voilà maintenant 2 mois.
Je me présente, Mickaêl, un jeune de 22 ans, grand, mince, yeux marrons, bruns, mais bon ça va, au fait j'oubliais  tendance gay;
Beaucoup de monde rêve de se faire mettre par un flic et bien si d'autres ont vu leur rêves se réaliser, et d'autres non, moi je fais partie de ses gens qui ont vu leur rêve se réaliser et du plus incroyable du monde.
Ce jour là, il était 19H00 je revenais des cours et dans ma caisse , musique techno a fond  , jetant un œil   sur un mag porno gay, tout en me branlant la bite, tellement excité j'augmentais la vitesse au rytme du  plaisir.

Arrivé à un carrefour, avec aucune voiture à l'horizon je brulais le feu orange bien  mure ,( bon je sais, c’est pas bien mais dans mon cas j'en suis heureux maintenant de l'avoir fait), alors en brulant le feu je me disais que il y' avait personne, mais, erreur de ma part car à quelques mètres une voiture de gendarmes me suivait avec sa sirène.

"Merde", j'avais le choix essayé de le semer ou m'arrêter !
Bon... je m'arrête et sors de la voiture, bien sur j’ai remit mon outillage en place.
Le mec s'approche et là je tombe des nu devant  moi un flic , un vrais apollon, j'en ai vu des comme ça mais lui il avait quelque chose d'autres, il était là debout dans son uniforme bleue qui soulignait ses pectoraux, mais ce sont ses yeux qui m'ont frappés, de beaux yeux bleu-gris avec une chevelure noir mais on distinguait quelques mèches grises qui faisait tout son charme.

Là il se met à me poser des questions de routine quoi:
- savez-vous que vous avez grillez un feu
- oui
-vos papiers et ceux du véhicule
-oui m’sieur
-en plus jeune chauffeur depuis 6 mois ça vas vous coûter un max…
-Ah ! NON m’sieur SVP
- et pourquoi ça
- je m'excuse mais j'ai vu personne alors je préféré continuer pour gagner quelques minutes.
- personne, et bien j'étais là moi et si il y'avait eu accident ?
- en tout cas avec vous je suis prêt à mourir.

Oups qu'est ce qui m'a prit de dire une chose pareille, je m'excuse mais il ne dit rien du tout et s'approche de la voiture et veut fouiller , oh la vache, la peur me prend , j'avais le magazine porno alors je me mets devant la voiture en disant :
- il y'a rien, je ne fume pas, ni me drogue pas, et je n’ai pas bu
- alors laissez-moi vérifier
- non je ne peux pas
- écoutez, je peux vous arrêter ou vous donner une amende, alors laissez moi verifier !
Là il me pousse sèchemant , ouvre la portière et se met à fouiller.
Je peux vous dire que là j'avais la honte de ma vie, j' avais même envie de m'enfuir et laissez la caisse.
Il ressort de la voiture avec le magazine,2 dvd porno avec des minets et ma boite de préservatif, qu'il met sur le capot et me demande de me retourner pour la fouille habituelle, je lui fais comprendre que je n’ai rien sur moi mais il ne veut rien comprendre.
Là il me retourne brusquement ,m’oblige a poser mes mains sur le capot de la voiture et écarte mes jambes .
Il pose ses mains sur mes épaules, tâte mon torse et les poches de ma chemise, redescend sur ceux du pantalon, j'en avais des frissons merde, je me remets à bander, oh merde qu'il fasse vite, il tâte mes fesses, mes cuisses, mes mollets et remonte sur mes fesses.
Là je sens poser ses mains sur mes hanches et là quelque chose contre mon derrière.
C'est quoi, ça je me suis posé la question, une arme, non par sur un cul quand même et là à ma grande surprise merde se mec se frotte contre moi.
Je n’arrivais pas à y croire, et mais si c'était vrai, oh mon dieu incroyable non.
Là dans se genre de moment vous êtes quand même à dire vraie dérouté, il me  fit retourner , il était là et il me regardait et souriait.
Je souriais mais sans comprendre réellement ce qui se passait.
Je pris mon courage balbutiant
-vous êtes gay?
- non je suis bi
- c’n’est pas vraie mon jour de chance
- si, incroyable, mon premier pd
IL garde mes papiers et me dit
-suis moi jusqu’au parking a 300m pour dégager la route.
-OK chef
On s'est mit à rire et je suis repartit à ma voiture et je l’ai suivi
La voiture de gendarmerie se gara et je fis de même derrière , il descendit du véhicule et vient s ‘ installer près de moi à me parler de sa vie, de son homosexualité.
On a ainsi discuté pendant un moment et j'en pouvais plus, là je saute sur lui et me met à l'embrasser, il n'en fut pas choqué comme je l'aurais pensé.
Au contraire il a répondu à mon baiser et on s'est mis à s'échanger nos langues.
Oh mon dieu se mec embrasse tellement bien, le gout des ses lèvres de sa salive quel bonheur.
J’en étais aux anges.
 En même temps moi sur le lui il me caressait le dos, et les fesses, il savait tellement le faire.
Je m'assois sur ses cuisses et lui déboutonne sa chemise que j'enlève, son t-shirt.
Là je découvre  , putain quel … torse.
Comme je l'aime, ce mec était une réponse à mes fantasmes, un beau torse musclé avec des pectoraux, mais le mieux était ses jolis poils frises sur tout son torse et ses deux bouts de tétons roses qui pointaient, qu'elle bonheur.
Je caressais le torse j'adore cette sensation de la toison, lui pendant ses temps avait ses mains posé sur mes hanches et me regardait calmement.
Je l'embrassais un moment et fit tomber le siège en arrière pour qu'il se couche ; Il se déboutonne pendant que je fais autant, je ne mis pas de temps à me retrouver nu et lui aussi.
Là le coup de grâce ce mec était la perfection en tout cas il possédait des gènes en or, des beaux pecs, de grosses cuisses bien velus, un vraie male, une vraie bête, il dégageait une telle virilité, avec une telle douceur.
Je posais mes mains sur son torse et pris sa queue entre mes mains, que j'admirais un moment, une belle bite d'au moins 19/20 cm, grosse avec des veines, elle était un peu violacée et se gland luisant, un appétit que j'avais envie de combler, ainsi je pris cette belle queue dans ma bouche.
Jamais de ma vie, j'avais ressentie un tel plaisir de faire la pipe à un mec, ce n’était pas une pipe banale, mais j'y ai mit tout mon amour, je voulais lui faire plaisir.
J’engouffrais cette bite entière dans ma bouche, jusqu'à la glotte , ma langue s’ enroulant autour de son gland, je redescendais sur la longueur de la bite, j'englobais les boules que je léchais et remontais pour engloutir une fois de plus le gland, hum quel bonheur et il aimait ça, je l'entendais jouir et crier et ç me faisait plaisir.
Pendant que je lui faisais sa pipe, je sentis son doigt s'insinuer entre ma raie, il me demande
- je peux ?
(Quoi ce mec me demande s’il peut, quel homme!)
- bien sur que tu peux je suis à toi
Il introduit son majeur dans ma rondelle qui s'écartait pour laisser le passage; hum quel sensation il avait l'air de chercher quelque chose, se doigt tournoyait autour de ma queue, son majeur allait plus loin et remontait, rien que ces mouvements de va et vient me faisait rougir et mouiller le cul, j'en haletais.
J'en pouvais plus et je le lui dit, alors il s'arrêtait et me demanda de me coucher sur le siege.
Nous sortimes  de la voiture  a poils les mats dressés , laissant les 2 portières ouverte pour cacher un peu celui qui serai dehors. Lui en l’occurence

Je me couchai  sur le dos et soulevai mes jambes à mon cou pour qu'il se place devant moi.
Je le vis se placer devant moi sa queue à sa main, qu'il posa contre ma rondelle, et introduisit doucement.
Centimètre par centimètre , c’etait douleur mais je ne voulais pas le lui dire, c'était ma douleur mais aussi mon plaisir.
Il me pénétra en douceur jusqu'au bout, je sentis sa toison pubienne contre mes fesses, ouf quel plaisir, je le sentais doucement et tendrement le temps que ma rondelle fasse connaissance, on se regardait et souriait il y avait une tel douceur sur son visage.
Mais au bout de 3 minutes mon cul s'ouvrait facilement et là il se mit à me baiser comme il le savait.
Sa queue entrait et sortait, elle glissa de plus en plus loin, j'en vais chaud au cul, mon derrière brulait, mon cœur bâtait la chamade, tous mes sens était troublés, j'e n'avais jamais ressentit un tel plaisir.
Il savait tellement se servir de nos corps, il ondulait docilement ses reins et moi pareil.
je le voulais plus loin, plus fort, je criais, je pris ses fesses entre mes mains je le poussais vers moi pour le faire comprendre d'aller plus loin , plus fort et il comprenait.
Ses coups devinrent de plus en plus dures mais toujours avec un brin d douceurs, sa queue me remplissait, sentir cette bite en moi c'était le comble.
Je relevai plus encore mes jambes, il était ainsi couché sur moi, son torse contre le mien, chaque partit de son corps me procurait du plaisir. Sa bouche qui me mordait le cou, les oreilles, sa langue qui se mélangeait à la mienne, ses poils qui me donnait de tel frisson sur mon corps imberbe, ses tétons, tout , tout me faisait chavirer.
On changea de position, je me mis à quatre pattes, il se retira un moment et il me regardait, mon cul et là il dit
- " t'es bien ouvert là".
Il revint vers moi et me pénétrai d'un coup que je m'écroulais sur le siège arrière, le cul toujours en l'air.
J'avais cette pose de chienne en chaleur et j'aimais ça, lui a genoux entrain de me pilonner, sa queue qui me frappait brutalement ses mains qui me caressait, me pinçait les tétons.
Il m'insultait
-T’es une vrais pute , une salope
- OUIIIIII encore insulte moi encore plus fort.
Parfois il ressortait et frottait son gland contre mon cul.
Il me baisait ainsi pendant un moment , un fantasme me revint en tête : «  être baiser en plein rue ».
On sortit et me mit contre la voiture, le dos contre le montant central des portes, mes mains agrippé a la barre du toit il vint et souleva mes jambes et me pénétrait ainsi le corps relevé vers le haut.
Dans cette position, je sentais tout son corps, nos transpirations me rendait encore plus en extase, je m'accrochais pour ne pas tomber mais aussi pour le sentir plus en moi.
Et là au moment où on ne se rendit pas compte, une voiture passa et le mec s'arrêta un moment et descendit sa vitre , criant « elle est belle la maréchaussée » et repartis.
Il en fut tout rouge de honte.
J'en avais eu tellement plaisir et honte mais lui il me fit comprendre qu'il avait aime et se remit à me baiser de la sorte.
Nous rentrions dans la voiture ou je me couchai et il vint sur moi et me pénétra une fois de plus.
Il me baisait un moment et là d'un coup je l'entendis gémir plus fort et sa queue se contracter ainsi que tout son corps.
Je sentis glisses sa semence en moi à long jet.
Il resta ainsi un moment et se remit à m'enculer, avec le sperme, un bruit de fluxion se faisait entendre et on en riait.
Il ressort sa queue et se couche sur le siège auto et on se regarde un moment et on sourit, il me déposa un baiser sur ma bouche et se revêtit, moi pareil.
IL me regarda calmement, j'avais peine à partir mais je ne le montrai pas, mais bon c’étais qu'un coup quoi ? Rien d'autres.
Je le suivis jusqu’ a la voiture de gendarmerie , me redonna mes papiers en disant
-bon ça va pour cette fois ci
-merci .c’est mieux que l’amende et le retrait de poins
- tu veux bien me donner ton numéro de tel?
Quel choc ! Je ne pouvais réagir...
- ok laisse tomber si tu ne veux pas
- non ce n’est pas ça, c’est juste que je n’imaginais pas que tu me le demanderais
- et pourquoi ça ?
- ben un coup d'un soir j'en connais , et je ne grillerai plus les feux a l’avenir
- alors donne !
Je lui donnais mon N° et me dirigeais vers ma voiture pour rentrer chez moi, sur la route il était derrière moi, il me suivait.
L’autre nuit, on a parlé pendant près de 2 heurs au téléphone, pour se revoir le lendemain.
Depuis ?
Je le voie toutes les semaines
Mickaël

CONCLUSION : respectez le code de la route des gendarmes comme lui ça courent pas les rues , sinon vous serez bzé mais moins agréablement

Par simon - Publié dans : histoire racontée
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Mardi 13 mai 2 13 /05 /Mai 08:49
Quand 3 papy se donne a fond a la lisière du bois











ou au bord du lac










retrouver son pote en classe ça mérite bien une récompense













si vous avez arrivé a faire en sport la position du poirier











MOI il y a longtemps que je n'y arrive plus.......

avec ces beaux jours de retour ça donne envie de sucer un bon baton juteux


et VOUS........vous preférez peut etre

Par simon - Publié dans : mes copains
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Dimanche 11 mai 7 11 /05 /Mai 18:51

mon oncle Simon , soixante deux mais encore bien foutu pour son age
Je vous raconte cette histoire vraie
Tout d'abord  je suis Pascal , j'ai 26 ans
.




Il y a un mois de cela a quelque chose près, je devais aller aider mon oncle pour son bois (le couper et ranger).




J'arrive chez eux, mais ma tante est pas là, elle est très malade et elle est à l'hosto.
On fait le bois toute la journée, ça avance bien, à 19 h il me dit :
" ben c'est l'heure de l'apéro !"
 
On mange un morceau et on mate la tv ,comme dab il y a rien ,mon oncle me propose de regarder un dvd érotique trés cool.
Bonne douche et au lit.
Mon oncle me dit
- ben tu ne vas pas dormir dans le canapé tu viens avec moi
(à vrai dire j'étais heureux car le canapé est pourri)
Je le suis, il quitte son peignoir de douche et moi j'étais en bas de survêt avec que dale en dessous.
Discrètement je le mate car sous mes aire de matcho grave, je kiffe les mecs, mais personne n'est au courant.
Dans le lit mon oncle tombe direct et moi je tombe de sommeil aussi mais en bandant grave.
La nuit passa d’une vitesse impensable .
Le matin réveil cool.
Mon oncle bouge et ça me réveille, comme chaque matin je trique grave.
Lui d'une voix endormie :
-Ça va t'as bien dormi
-Ouai
Il se retourne de coté et je sens un truc chaud sur ma cuisse
(Putain il bande aussi , car c'est dur)
Je ne bouge pas je suis toujours sur le dos
Il me regarde et me dit
-pas trop courbaturé
-non ça va
-tu te lèves ?
-heu...(avec ma trique je préférerai que ce soit lui) ben j'aime rester au pieu le matin

-heu ……  (il est un peu gène)....
-moi en riant je lui dis : tu triques et t'as honte
-oui et je pense que toi aussi
-oui c'est naturel chez tous les mecs c’est comme ça
Et la il me scotche
-ta déjà eu une relation avec une fille
-moi ben oui quand même j'ai 25 tonton
- et c'est comment
Là je rougis et je suis mal car j'ai juste niqué avec des mecs
-ben cool...
Je trouve que ça à répondre, lui me répond :
- et avec un mec?
- j'suis pas pd tonton
- moi non plus mais j'ai pourtant essayé
- ben t marié
- oui je sais et n'en parle pas à ta tante, elle ne comprendrait pas
Je sentais sa queue frottée sur ma cuisse. Tt la il me caresse très sensuellement et j'en peux plus je pensais pas que ca arriverait j'y pensais même pas !
sa main arrive a ma bite et commence à me branler doucement
moi, je lui dis :
- Tonton tu sais, je suis attiré que par les mecs et personne le sais non plus
- tu veux faire quelque chose avec moi
– oui
-Tu veus baiser ton oncle ?
--oui euhh ! ! mais baise moi avant.
et la il m'embrasse d'abord tendrement et ensuite il prend les chose en main.
il a lâché ma bite et se frotte la tige sur la mienne délicatement il me retourne sur le ventre et commence à se frotter dans ma raie puis passe une main sous mon ventre et me relève un peu
-je vais te baiser
Putain mon oncle je l'imaginais pas comme ça!
Il crache sur mon cul et sur sa tige puis plaque son gland sur mon cul et commence à rentrer mais sa coince.
Il recrache et là me met un putain coup de rein !
– doucement tonton
- avec les mecs il faut être viril
les premiers va et vient me niquent le trou puis je commence à jouir du cul et mon oncle commence à prendre grave son pied. il me prend les hanches rentre a fond puis se met à me branler.
Très rapidement je me mets à jouir en gueulant mon plaisir
Il se met à me relimer en me disant:
-- je vais te faire jouir comme personne
et là j'avais l'impression que j'étais vierge du cul, je prenais un plaisir grave et ça a duré un bon moment.
Un tel plaisir que je ne m'étais même pas rendu compte que je n'avais pas débandé.
Il finit par me jouir dans le cul ,
Mon oncle me reprit la queue et commença à me branler
après qu'il fut sorti de mon trou bien chaud a toi l’honneur dit-il
je fis comme tonton , je crache sur son cul et sur ma tige puis plaque mon gland sur son cul et commence à rentrer.

Je met un putain coup de rein ! c’est rentré comme dans du beurre.

les premiers va et vient en douceur niquent son trou  , mon oncle commence à prendre son pied. je le prend  par les  hanches rentre a fond 

 moi je commence à vider dans son cul ma jouissance très chaude.


On retomba dans le lit après que je  fus sorti de son trou bien chaud.


On parla un peu puis il se leva prit une douche et fit un p'tit dej.


La matinée passa avec le bois

depuis j'ai pourtant revu mon oncle, mais rien ne parait et par moment je pourrais croire que j'ai fantasmé mais pendant certains repas il  me fait des clins d'œil.









Voilà mon histoire en y repensant, je bande et jouis souvent alors je voulais vous en faire profiter bonne branle.
Pascal
Par simon - Publié dans : histoire racontée
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Vendredi 11 avril 5 11 /04 /Avr 18:51
 


ce jour 11 avril ,averti par l'équipe over-blog
j'ai du suprimé ou sensuré quelques articles suite à une réclamation de la personne qui se cache derrière cet  émail suivant:


pasde@mail.eu

desciption :un contenu litigieux 
raisons : il y a des phrase avec des mineur et sais interdit par la loi 



j'ai voulu rentrer en contact avec cette personne pour parlé des passages douteux , mais cet adress est inconnue ?????, pour ces raisons  le blog est suspendu le temps que je modifie et remettre certains articles acriminés dans la légalité

mille excuses chers lecteurs que je sais trés nombreux
à attendre la suite
simon
Par simon
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Dimanche 6 avril 7 06 /04 /Avr 17:12

Une affaire de famille raconté par mon petit fils Karim

Un jour d’août 2007

 

--

 

A poil devant l’ ordi de mon pépère (oui j’ai le droit quand je passe le voir) , la queue congestionnée en regardant une vidéo préféré de mon papy. .

Alors je fais ce que je n'ai encore jamais osé faire. Je m'inscris. Un pseudo un peut aguicheur , un pswd et en quelques secondes j’ apparais dans la liste des new inscrits.

Mon premier message est simplet, anodin, lisse comme il n'est pas permis : "Bonjour à tous"

Mon" bonjour à tous" à peine affiché à l'écran, mon beau jeune homme me contacte

Comment sais-je qu'il est beau ? …..Elucubrations !…. Simples élucubrations dopées par des fantasmes d'un jeune qui vit encore dans le monde de Disney et des princes charmants !

 

 

j'ai une folle envie de répondre à ce mec qui dit avoir 21 ans ? ? ?, semble sympa et a une façon de se présenter qui me séduit. Pourquoi ? Je ne saurais le dire mais les mots qu'il emploie, sa manière de faire ses demandes trouvent en moi un écho favorable, émoustillant. Il m'excite avec des mots simples, apparemment innocents.

Soudain il me dit " " Je me caresse sans oser aller plus loin dans la réalisation de mes désirs. Dans le bois de Tilly on de trouve que des vieux, certains même très vieux.

--ah ! bon tu connais c bois ?

--bien sur ,mais toi aussi alors tu habiterai la même ville que moi ?

--non je suis en vacances chez mon papy

--T avec un vieux ,,, Physiquement ils ne m'attirent pas ! Beaucoup me dégoûtent et j'ai bien du mal à comprendre que de vieux machins comme ça courent encore après d'autres mecs ! " "

 

--Ah ! bon tu crois ça . ( je ne suis pas du tout de sont avis malgrés mon jeune age )

 

-- " " Pourquoi faire ? Moi je croyais qu'à cet âge on n'avait plus de besoins, plus d'envies, qu'on était impuissant, les couilles vidées pour toujours, que la bandaison n'était plus qu'un souvenir. A les voir ainsi, je les pense tous, vicieux, pervers.

 " ".

 

--Moi, ce dont je rêve, ce sont des relations amoureuses avec des jeunes de mon âge ou guère plus âgés.

 

 

Sa réponse inattendue, est comme un coup de poing en pleine figure ! "  ça de dis de baizer ".

La bouche subitement sèche, fébrile, tremblant, la sueur coulant le long de ma colonne vertébrale, j'engage la conversation. Bien vite il me pose des questions me demande de me présenter, de lui dire mes goûts, ce que je cherche. Tout ému, je rate les touches du clavier alors qu'il tape tel une mitrailleuse.

J'arrive même à bafouiller sur l’ ordi ! Fortiche non !

Dire si je suis dans un état second ! J'ai l'impression d'être godiche. Cela ne m'empêche pas de dire ce que je n'ai encore jamais dit à personne.

Il me devine, me dévoile, me confesse. Il me trouve sympa, me demande un rendez-vous

Paniqué, la situation m'échappant, je refuse.

Il insiste, me demande de justifier mon refus. Il l'emportera haut la main : j'accepte !

--OK Je t’attend demain à 14 heures au coin de deux routes ,au parking à l’entrée du bois , tu connais ? j’y serai avec mon scouter rouge ,soit a l’heure j’aime pas attendre.

--OUI ,OUI promis ( je m’y promène souvent avec mon pépère).

 

Inutile de dire que ma nuit n'a pas été réparatrice. Masturbations, rêves érotiques l'ont accompagnée.
Au réveil, j'ai la tête dans le cul !
Je fais une toilette approfondie de mon corps. Je ne me lave pas, je me récure. Je choisis les vêtements qui me mettent, à mon avis, en valeur, me laissent à l'aise et me permettront de me déshabiller sans difficulté si…. Mon émoi est tel que ma queue ne débande pratiquement pas de la matinée. Ma liqueur d'amour inonde le bout de ma tige en permanence. Si je ne me calme pas, je vais avoir les burnes asséchées à 14 heures. Il est midi, je n'ai pas faim. Le réveil aussi montre des faiblesse, il n'avance pas !

  Il n'est que 13h30 lorsque j'arrive sur le lieu du rendez-vous.
J'ai l'impression que tous ces gens qui passent sont au parfum de la raison pour laquelle je suis ici. J'ai la bouche sèche, ai du mal à déglutir. Ma tête est en feu. Pourtant ce lieu est bien anodin. Pas un homo en vue ! Des gens tout à fait ordinaires qui vont et viennent. Mais pour moi, ce n'est pas un jour ordinaire ! Enfin un scouter ralentit va se garer sur le parking qui est à environ cent mètres d'ici. Un jeune homme en descend, regarde avec insistance dans ma direction. Le look sportif, plutôt massif, 1,80 mètres environ, il enlève le casque cheveux courts, peignés en brosse, il ressemble assez bien à la description qu'il m'a faite de lui. Il tourne autour, ouvre le coffre, semble y chercher quelque chose , sort un autre casque , puis discrètement fait un signe en ma direction. J'hésite.
 J'hésite car je vais faire le geste qui va me faire pénétrer dans un monde nouveau, un monde que j'ai envie de connaître depuis longtemps, qui va me délivrer une réalité espérée et appréhendée ! Mes peurs m'assaillent, mes doutes me submergent. J'avance comme un automate. C'est dans un brouillard complet, avec l'impression de faire la plus grosse bêtise de ma vie et l'envie irrépressible de la faire que je m'approche

--Mais je te connais toi

--Oui moi aussi je crois

--tu es pas le petit fils de Simon

--si pour quoi tu connais mon pépère

--bien sur je le connais c’est mon tonton

--ton prénom c’est quoi ?

--Robert  21 ans et toi ?

--moi c ‘est Karim 18 ans

--super Karim on vas faire ça en famille

--heuuuu….. oui

--aller met le casque et monte derrière moi

j’ai juste le temps de faire le tour de sa taille qu’il démarre presque aussitôt.

Nous roulons depuis un moment lorsque je sors enfin de mon mutisme pour lui poser la question qui traduit toute mon angoisse du moment.

--Où allons-nous ?

--Dans un coin tranquille où nous ne risquons pas d'être dérangés.
Tu connais le lieu dit "Les Communs" près de la rivière ?

--Non

--C'est un endroit charmant, isolé où seuls les oiseaux viennent troubler la quiétude du lieu. J'y vais souvent m'y faire bronzer quand il fait beau.

--Et t'y amènes tes conquêtes !

--Comme tu y vas ! Tu me sembles bien fébrile. T'as un problème ? T'as peur ?

--Non. Oui. C'est à dire...

--Tu sors souvent avec des mecs ?

--C'est à dire…

--C'est la première fois, pas vrai ?

--Oui !

--Je m'en doutais. Ne crains rien. Je ne te ferai aucun mal. C'est un honneur de dépuceler un jeunot. On ne fera que ce que tu veux. Mais t'as raison d'avoir peur. T'aurais pu tomber sur un vicieux, un salaud. Il y a des malades partout, tu sais !

Tout en conduisant, il avance sa main et la pose sur ma cuisse. Comme je fais un geste de recul, il reprend :

 

--Calme-toi ! Laisse –toi aller ! Tu verras. On va bien s'amuser tous les deux. Je suis certain que tu vas aimer. T'es beau, tu sais ? T'aimes pas les filles ?

--Je sais pas. J'en ai jamais connu. Je veux dire comme meuf.

--Et les mecs ?

--T'es le premier.

--Alors c'est la grande première ! Tu sais ce que tu veux ?

-- .!.!.!.!.!

--Je veux dire qu'est-ce que tu préfères qu'on fasse ?

--Ch'ai pas ! A part m'branler devant des vidéos, je n'ai encore rien fait.

--Même pas avec les copains ?

--Même pas ! J'ai jamais osé ! Et puis il y a tous ceux qui se moquent, cherchent des noises, vous emmerdent…

Pendant tout ce dialogue sa main est restée sur ma cuisse. Je bande comme un fou.

Je garde les yeux fixés sur la route devant moi. Nous roulons encore un moment avant qu'il ne prenne un chemin forestier juste assez large pour le scouter. Nous roulons ainsi un moment jusqu'à ce que le chemin s'arrête .

Il coupe le contact se tourne vers moi me sourit. Sa main reprend possession de ma cuisse qu'il commence à caresser, tandis que sa bouche s'approche dangereusement de la mienne. On avait même pas encore enlevé les casques.

Toutes mes craintes me reprennent. J'ai une folle envie de retourner chez moi en courant.
Mais il est bien tard et d'un autre côté j'ai espéré ce moment depuis si longtemps qu'il serait stupide de partir maintenant ! Je reste là, scotché contre ke scouter. Sa main remonte sur la bosse que fait ma bite le long de ma cuisse et commence à la caresser doucement

tandis que ses lèvres se plaquent sur les miennes. Il a passé un bras  derrière ma tête et c'est avec une grande douceur, une grande fermeté qu'il force mon entrée. C'est la première fois qu'on me roule une pelle !

Je suis surpris, me laisse faire, ne pense même pas à y répondre. Je suis immobile, tétanisé. J'ai depuis un moment fermé les yeux. Passif, je me laisse faire, découvrant par mon corps toutes ces sensations nouvelles qui font courir les hommes les uns vers les autres. C'est bon, je me décontracte un peu sentant que Robert,  ne me brusque pas, qu'il est tendre, doux, sensuel. Sa bouche se fait plus gourmande. Je commence à réagir à cette caresse inconnue que je trouve agréable. Il se recule, me regarde dans les yeux tandis que sa main enserre fermement ma tige.

--Tu aimes ?

--Oui !

--C'est comment ?

--C'est bon !

--Alors laisse toi aller, ce sera encore meilleur !

Là dessus il s'écarte suffisamment de moi pour passer ses mains dans l'élastique de mon pantalon. Devant sa demande non formulée oralement, je frétille mon bassin. Il baisse mon froc jusque sur mes genoux.

Comme dirait ma mère, toute ma marchandise est exposée à l'étalage ! De la belle marchandise je vous jure ! Une queue bien raide, bien droite, émergeant d'une belle touffe triangulaire de poils noirs, bien fournis.

Il prend appui sur le scouter tandis que de sa bouche il gobe mon gland, l'embrasse, le lèche. Je frissonne sous ces attouchements inconnus. Mon bassin répond immédiatement à cette première approche, j'entre, incrédule, dans un nouveau monde. De sa bouche il me pipe, de sa main il me caresse les couilles.

 

--Oh, oui ! J'aime ! Oh, c'est bon ! C'est bon ! J'aurai jamais cru que ce soit si bon ! Parole !

Ces mots sortent de ma bouche sans préméditation, indépendamment de ma volonté. Arc-bouté sur le bord du siège mon bassin se soulève, va au devant de sa bouche, se tortille de droite à gauche. Je ne contrôle plus rien !

Il se relève, se tourne vers moi et avec un sourire d'une grande amabilité, plein de douceur, de gentillesse, me dit me fixant de ses beaux yeux bleus : "Tu es beau tu sais !".

Où suis-je ? Que fais-je ?

Bêtement je réponds : "Oui"

Il sourit un peu plus intensément, devient presque paternel et reprend sa sucette. Moi, je lui prends la tête et commence à la lui caresser. Instinctivement je lui donne un rythme pour que sa succion soit la plus agréable possible. Il se laisse guider. Reprenant lentement mes esprits, devenant plus confiant, je passe une main sous sa chemise grande ouverte et la glisse sur son dos. Je sens alors la douce chaleur de ce corps qui dégage une impression de force lorsqu'il est debout et une impression de douceur infinie lorsque comme en ce moment il s'occupe de moi. Je pourrais jouir s'il me suçait avec plus d'ardeur mais il est à mon écoute et limite la puissance de ses succions, leurs vitesses pour que je puisse me contrôler. Je prends de l'assurance.

Maintenant mes craintes, mes peurs sont en grande partie inhibées. Ma main quitte le haut de son dos pour dégager sa chemise de son pantalon pour que je puisse lui caresser largement le dos.

Qu'il pompe bien ! C'est vraiment meilleur qu'une branlette solitaire ! Ma main cherche maintenant à se glisser sous sa ceinture pour aller lui caresser les fesses, je m'enhardis ! Mais le passage est trop étroit !

C'est le moment qu'il choisit pour se relever et me dire : 

--Viens ! Je vais te montrer mon coin secret.

--Si tu me le dis, il ne sera plus secret.

--Tu es beau, tu es pur, tu es innocent, j'ai confiance en toi. Viens ! On va s'aimer pour de vrai ! Je vais t'apprendre !

*****


Il pris un sac dans le coffre du scouter , mis les casques a la place , mis l’anti-vol et je le suivais.

Je me croyais arrivé mais le chemin dans les fourrés, les fougères, entre le scouter et son petit coin secret est long et compliqué. Au moins dix minutes de marche dans un dédale de sentes dont certaines à peine foulées du pied. Enfin nous arrivons près d'un petit ruisseau. Un lieu solitaire, clame, perdu dans la verdure où il semble qu'aucun homme ne soit encore venu. Il y a là juste assez se place pour nous deux. Il ouvre son sac et en sort une grande couverture qu'il étale sur l'herbe. Il retire ses chaussures, je l'imite.

Depuis que nous avions quitté le scouter , nous n'avions pas échangé un mot. Maintenant il me sourit s'approche, me prend dans ses bras.

--Je suis heureux de t'avoir rencontré, tu sais !

--Ah !

--Oui, parce que des hommes, il est facile d'en rencontrer, mais des mecs biens qui ne soient pas des obsédés, pressés de retrouver bobonne ou qui profitent d'une courte pause pour venir décharger en vitesse, c'est assez rare.

--Ah !

--Que t'es naïf ! C'est un plaisir d'être avec toi ! Tu sembles si pur ! C'est rare d'avoir l'occasion d'initier un puceau. C'est un honneur, une responsabilité.

--Ah, bon !

--Bien sûr ! Si je m'y prends mal, je peux te dégoûter à tout jamais de l'amour, du plaisir de faire l'amour. Tu es si tendre ! On parle de ces choses chez toi ?

--Non… jamais. Jamais , mais avec mon pépère on en a parlé

--Tu le regrettes ?

--…, Je crois. Je ne sais pas. J'aimerais savoir plus.

--Je vais t'apprendre. Laisse toi aller, sans crainte, sans pudeur, oublie tout ce que l'on t'a dit ou vu dans des films porno. Soit toi-même !

Disant ceci il pose sa tête à côté de la mienne, la cale sur mon épaule et commence à me caresser le dos. Il attaque aussi une série de baisers dans mon cou, sur ma nuque. Je suis comme un bébé dans ses bras. Il est d'une douceur, d'une tendresse, d'une prévenance infinies.

Je me sens faible, très faible. J'ai confiance en lui, m'abandonne totalement à ce garçon guère plus âgé que moi mais combien plus expérimenté, plus mature !

Je réalise alors que je suis passé à côté d'une catastrophe ! Si j'avais rencontrer un salopard, un baiseur inculte, une brute épaisse ! Je chasse vite cette idée, m'abandonne encore un peu plus dans les bras de mon initiateur.

Il me caresse le dos relève mon polo. Sa main s'insinue dans mon pantalon tenu par une ceinture élastique qui lui laisse le passage libre. Sa tête se plaque un peu plus à la mienne, son bras s'allonge et c'est à pleines mains maintenant qu'il me pelote les fesses. Il se détache de moi, me contourne, me laissant debout tandis que dans son mouvement tournant il ne quitte pas mon cul qu'il met complètement à l'air. Il est maintenant à genoux derrière moi. J'ai le pantalon sur les chevilles. Il m'a pris la taille. Ses mains me caressent les flans, les cuisses, les mollets, descendent, remontent. Sa langue me lèche les fesses, se glisse dans ma raie. , un doigt semble vouloir entrer mon intimité . Je me penche en avant pour lui permettre une intromission plus profonde.

Ma main se saisit de ma bite qu'il semble ignorée et qui demande qu'on s'occupe d'elle ! Je commence une série de va-et-vient le long de ce manche que j'adore branler.

Voyant ceci, avec sa main, il éloigne la mienne. Toujours sur les genoux, il me retourne. C'est alors sa bouche qui prend la place de ma main et commence une fellation qui me met en transe. Dès qu'il prend ma bite je ressens des sensations jamais connues ! Comme mon polo lui tombe sur le visage je l'enlève et me voilà nu le corps exposé à un petit vent qui ajoute aux sensations très agréables qu'il me procure ! Bien que me pipant, il n'a pas lâché mes fesses auxquelles il s'accroche et pétrit de belle manière. Je suis maintenant excité à mort, ! J'ai terriblement envie, envie de lui.

Alors je me penche, commence à lui caresser le dos mais sa chemise me gêne. Je tente de la lui ôter mais placé comme je le suis, ne le peux. Robert se redresse la défait, l'ôte rapidement, ôte aussi son pantalon, son slip puis reprend ma queue. J'ai son dos à disposition. De la nuque au bas de ses reins je le caresse comme je le sens, comme je le peux. Je suis gauche, je sens que je manque d'expérience. Je me penche de plus en plus et finis par me mettre à genoux, face à lui. Nous nous enlaçons. Nos bouches se plaquent, nous nous embrassons avec passion. Nous restons ainsi un long moment collés l'un à l'autre nous aspirant, nous suçant. Robert a pris nos deux queues et les branle de concert. Puis, me serrant plus fort dans ses bras, il se penche sur le côté, m'entraîne dans sa chute et nous voilà allongés face à face.

Plus à l'aise nous nous caressons mutuellement sur tout le corps. Ma main rencontre sa queue. La saisit. Je suis maintenant en pleine confiance, heureux d'avoir osé, d'avoir franchi le pas et surtout d'avoir rencontrer ce type extraordinaire. Il pourrait me demander n'importe quoi en ce moment je crois que je le ferais sans réfléchir !

Je suis fou comme tous les jeunes chiens, comme tous les amoureux ! C'est la première fois que je prends une queue qui n'est pas la mienne. Je suis surpris par sa chaleur sa dureté et sa douceur. Instinctivement je me déplace sur cette tige et découvre le plaisir de branler un mec. Sensation délicieuse. Plaisir de sentir que mon partenaire apprécie cette caresse. Ses couilles qui battent sur mes mains comme pour me rappeler qu'elles aussi ont besoin d'attentions. C'est une nouvelle découverte des plus agréables. Mais la peur de lui faire mal m'arrête. Je suspends mon geste. Je sais d'expérience qu'on ne peut faire n'importe quoi avec ces bijoux.
Alors Robert comprenant mon hésitation, prend les miennes, me montre comment m'y prendre, me conseille de la voix. Nous voici chacun avec les balloches de l'autre en main. Nos bouches se sont de nouveau réunies et nos langues tiennent un discours sans paroles très agréable.

Nous sommes bien ainsi. Je resterai là des heures il me semble à tripoter ces deux petites boules, en sentir leur volume, les faire glisser l'une contre l'autre, glisser ma main dans son entrecuisse, remonter sur sa toison. Je ne suis qu'un débutant, sans expérience, sans trop d'imagination. Il est beau, costaud, imberbe. Il me cajole, me considère, m'éduque, me respecte. Je voudrais rester ainsi avec lui pour toujours, que le temps s'arrête ! C'est trop bon, trop beau !

C'est pourquoi je suis surpris lorsqu'il se détache de moi, me place sur le dos et se met à quatre pattes au-dessus de moi. Bien vite je comprends. J'ai vu assez de vidéo pour connaître le nom de cette figure et son mode d'emploi ! Je suis naïf mais pas inculte !

Sans attendre, Robert s'empare de ma queue, la pompe. La sienne est placée où il faut. Après une très courte hésitation, je la prends. Je ne sais si vous vous rappeler la première fois que vous avez happé une bite, mais moi je ne sais trop comment faire. Alors de sa bite, à ses burnes, à sa toison, à son entrecuisse, jusqu'à sa raie, je suis Robert dans son parcours, je l'imite.

J'apprends à le pomper, à le lécher, à le sucer et découvre ses zones érogènes comme je lui livre les miennes par mes petits gémissements, mes petites contorsions mes petites contractions. Nous nous découvrons par anatomie comparée, par réactions partagées. Je découvre, bien partiellement encore, son corps, ses zones sensibles, ses réactions, les miennes. Cela dure un bon moment où en élève appliqué, j'essaie de faire de mon mieux, j'apprends les plaisirs d'explorer le corps d'un partenaire.
 Puis quelque chose change. Je perçois une sensation que je connais déjà, mais qui est plus globale, plus diffuse que d'habitude. Robert aussi change. Je sens que lui aussi commence à perdre les pédales, se contrôle moins bien. Subitement tout s'accélère. Nos mouvements s'amplifient, deviennent plus saccadés, nos respirations sont plus profondes. Les sensations deviennent plus fortes. Nous sommes de moins en moins doux. Nous ne nous maîtrisons de moins en moins. Les signes d'une jouissance proche se font nettement sentir. L'un comme l'autre nous savons que nous allons bientôt lâcher, dans une exposition, notre foutre. Explosion jouissive, libératrice.

Il n'y a plus de professeur, il n'y a plus d'élève.

Il n'y a plus de ma part ni peur, ni angoisse, ni crainte. Il n'y a qu'un grand besoin viscéral ! L'attente du plaisir charnel le plus total ! Nous allons jouir ! Nous sommes l'un comme l'autre proches de l'extase, proches de la jouissance, elle arrive ! Elle est là !

Je jouis le premier crachant ma semence principalement sur la poitrine de Robert. Aussitôt je me relâche, me laisse tomber comme lorsque je me masturbe en solitaire. J'abandonne Robert à son sort. Je devrais faire quelque chose pour lui ! J'en ai la vague conscience mais ne sais trop que faire. Alors Robert se redresse et à genoux se prend la queue en main et part dans un branle d'enfer qui ne dure que quelques instants. Toujours allongé sous lui, sur le dos, son cul au-dessus de ma gueule, ma langue lèche sa petite rondelle je sens son foutre tomber en pluie sur mon ventre, mes cuisses. Il pousse des cris puissants laissant tout son plaisir, toute son énergie se libérer dans ce cri sauvage qui retentit dans ce coin de forêt si paisible, si préservé, si loin du monde civilisé.

A peine cette averse terminée, il fait un demi-tour sur lui-même dégage sa jambe et retombe à côté de moi. Il m'entoure de ses bras et nous restons ainsi un long moment immobiles, silencieux. Je suis aux anges partagé entre un bonheur immense et le sentiment d'avoir perdu à tout jamais mon statut d'enfant.

Je ne suis pas encore un homme, mais par ce que je viens de vivre, de découvrir, je sais que mon regard sur moi-même, les autres ne sera plus jamais le même. J'ai entrevu un monde nouveau, un monde de sensations inconnues, un univers à explorer : mon corps ! Je n'ose pas bouger car je sens Robert endormi ou presque. Il a un bras sur ma poitrine qui m'empêche tout mouvement si je ne veux pas le brusquer. Un moment encore, il sort de sa torpeur. Il a récupéré ! Il lève sa tête, tourne son visage vers le mien, se penche, me sourit, me fait plusieurs petits bécots auxquels je réponds. Je suis bien, nous sommes bien ainsi enlacés, satisfaits, infiniment heureux. Moi, de mon professeur d'amour, lui, de son élève qui enfin a une bonne note à un devoir ! C'est que comme devoir, c'est un devoir très agréable, un devoir que j'ai bien envie de refaire et refaire !

--Alors ?

--Alors quoi ?

--T'as aimé ?

--Oui ! J'aurai jamais cru !

--Tu vois l'amour bien fait, c'est formidable !

--Oui !

---Tu recommenceras alors ?

--Oui, avec toi !

--Ne dis pas de bêtise ! J'ai été heureux avec toi mais pour l'instant on en reste là !

--Mais j'ai aimé, j'ai envie de recommencer avec toi. Tu es si gentil ! Tu sais tant de choses !

--Doucement mon grand, il ne faut pas confondre aimer quelqu'un et aimer faire l'amour !

--J'aime faire l'amour !

--Je suis heureux de t'avoir fait découvrir ce plaisir, mais tu as encore beaucoup à apprendre !

--Je veux apprendre avec toi !

--Ca je veux bien, mais pour le reste il n'en est pas question à ce jour.

--J'ai compris mais je t'aime quand même bien, tu sais ! D'ailleurs si je ne t'avais pas aimer dès le premier regard, jamais je ne t'aurais suivi.

Après ces bonnes paroles, paroles qui nous ont unis pour une assez longue période d'apprentissage, nous sommes allés à la rivière nous laver. Le reste de l'après-midi, nous avons profité du soleil encore bien chaud pour nous sécher, nous faire bronzer, se raconter nos vies. Ce n'est qu'assez tard que nous nous somme rhabillés pour rejoindre le pays des hommes.

--tu me déposes chez pépère

--ok ça me permettra de dire bonjour à tonton.

Arrivée devant la maison , Simon mon pépère et son tonton nous dis :

--tiens voila les tourtereaux !

nous avons rougis tous les deux et répondirent

--pourquoi tu dis ça ?

--a voir vos yeux briller , c’est pas au vieux singe que l’on apprend a faire des grimace et puis faut pas oublier de bien ranger la marchandise

on se regarda tous les deux de la tête aux pieds et partirent dans un grand fou rire , Robert n’avait pas remis son slip et omis la fermeture du pantalon ou là ,montrer le bout de son nez (s je peut dire) sa belle bite.

--Tu diras rien pépère , Robert ajouta  non STP tonton ne dis rien

--Bien sure que non les enfants ça sera notre secret entre nous

--Merci pépère , Merci tonton ,on savait que l’on pouvais compter sur toi

--Allez rentrer boire un jus de fruit et raconter moi un peu vos confidences

Voilà pourquoi l’histoire que vous venez de lire je la raconte sur ce blog.

Mon vœu aujourd'hui serait que tous les jeunes aient la chance d'avoir un éducateur expérimenté, de cette maturité, de cette largesse d'esprit, de cette sensibilité. Je pense qu'ainsi bien des déceptions, des malentendus, des drames pourraient être évités.
 Quel plaisir d'apprendre à faire l'amour, à le bien faire !
L'Amour avec un grand "A" est un ART qui se pratique à deux dans un respect mutuel pour le plus grand plaisir, la plus grande satisfaction de chacun ! Puissent les hommes s'aimer d'amour 

comme a dit un poète canadien

 

 QUAND LES HOMMES VIVRONT D'AMOUR
paroles et musique : Raymond Lévesque
Quand les hommes vivront d'amour,
Il n'y aura plus de misère
Et commenceront les beaux jours
Mais nous nous serons morts, mon frère
Quand les hommes vivront d'amour,
Ce sera la paix sur la terre
Les soldats seront troubadours,
Mais nous nous serons morts, mon frère
Dans la grande chaîne de la vie,
Où il fallait que nous passions,
Où il fallait que nous soyons,
Nous aurons eu la mauvaise partie
Quand les hommes vivront d'amour,
Il n'y aura plus de misère
Et commenceront les beaux jours,
Mais nous nous serons morts, mon frère
Mais quand les hommes vivront d'amour,
Qu'il n'y aura plus de misère
Peut-être songeront-ils un jour
À nous qui serons morts, mon frère
Nous qui aurons aux mauvais jours,
Dans la haine et puis dans la guerre
Cherché la paix, cherché l'amour,
Qu'ils connaîtront alors mon frère
Dans la grande chaîne de la vie,
Pour qu'il y ait un meilleur temps
Il faut toujours quelques perdants,
De la sagesse ici-bas c'est le prix
Quand les hommes vivront d'amour,
Il n'y aura plus de misère
Et commenceront les beaux jours,
Mais nous serons morts, mon frère.

 

 

 

Par simon - Publié dans : histoire racontée
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