j'ai eu 61 ans en novembre dernier comme tous les jours
j'entretiens ma forme ,je ne suis plus le bel ange de la jeunesse , car comme je dis a tous mes petits jeunes au grés de mes rencontres , la corps de l'homme et le plus beau de la création de la
naissance a vers la quarantaine si on sais le préserver.
en ce qui me concerne j'arrive a le démontrer et tous c jeunes me le rendent bien.
j'adore les photos en noir et blanc et si je me montre en couleur c'est pour faire plaisir a mon petit fils 13ans qui passeraii son temps a me photographier sous tous les angles.
et pour lui faire plaisir j'ai décidais de vous les montrer.
George Sand a écrit ce poème à Alfred de Musset... il y a longtemps.
Je suis bien heureuse de vous dire que j’ai
Bien compris, l’autre jour que vous aviez
Toujours une envie folle de me faire
Danser. Je conserve le souvenir de votre
Baiser et j’aimerais beaucoup que ce soit
Une preuve que suis aimée et désirée
Par vous..Je suis prête a vous montrer mon
Affection desinteréssée et sans cal-
Cul et si vous voulez vraiment me voir
Vous dévoiler sans artifice mon âme
Nue daignez au moins venir chez moi
Nous bavarderons franchement entre nous
Je vous prouverai que je suis la femme
Capable de vous apportez l’affection
La plus étroite et la plus profonde
L’épouse la plus fidèle et la plus sure
Que vous puissiez imaginer. Oh ! Comme votre
Amour me sera doux. La solitude qui m’ha-
Bite est longue et dure et souvent bien
Pénible. Mon âme en est profondément é
Branlée. Venez vite vous pouvez me la
Faire oublier et à vous je pense me sou-
Mettre entièrement !George SAND
mais avant voici un nouveau message de Kevin 18ans mon petit fils
J'ai suprimé ou sensuré
l'article suite a une réclamation de la personne adress email suivante : pasde@mail.eu
desciption :un contenu litigieux raisons : il y a des phrase avec des mineur et sais interdit par la loi
voici la solution pour le poème :
L'astuce est de ne lire qu'une ligne sur deux.
OK je sais vous aviez trouvé alors faite comme moi sortez couvert
Bisexuel accepté ou toléré par mon épouse six ans apres notre mariage, il y a trente sept ans.
je suis a la retraite depuis quelques années (si vous avez lu les épisodes précedentes, vous le saviez déja) , Je suis attiré ponctuellement par des hommes entres trenet at quarante ans
,mais alors HUMMMM!! les minets que je rencontre aux grés de mes déplacements. a de nombreuses occasions , des jeunes généralement , imberbe et pas sots.
Par contre, en aout 2007 un événement majeur est intervenu dans ma vie qui a des conséquences aujourd’hui et me place dans une situation compliquée.
Je vous raconte.
La première semaine de aout j’étais invité à un week-end de pêche à la perche en mer. Tôt le matin, je me pointais à l’embarcadère pour monter sur le bateau habitable de mon ex
gendre. J’étais heureux de passer un week-end avec Martin, le père de trois de mes petits enfants
Martin était grand, rouquin athlétique mince et à l’époque il était champion cantonal de décathlon.
Je l’avais suivie à plusieurs reprises dans ses déplacements en compétition et nous avions même eu plusieurs plans cul ensemble. Je me souviens qu’il me disait « je suis amoureux de ta
queue. »
Alors, il frottait son cul contre ma bitte raide.
Après que je l’ai extraite par la braguette, il me suçais frénétiquement puis, me déshabillait lentement. Tout les deux à poil, nous nous rendions sous la douche . Je l’enduisais de mousse
, le dessous des bras, la bitte, le cul, les mollets, et doucement, il se lavait en se frottant doucement pendant que je le regardais. Nous avions généralement éclusé quelques bières
et l’envie de pisser me torturait. Martin se mettait à genoux dans la douche et je l’arrosais de pisse.
Je lui pissais sur le torse, sur la raie du cul, sur les cheveux.
Ensuite Martin et moi nous lavions copieusement, nous parfumions et nous glissions sous les draps pour de langoureuses caresses. Plusieurs fois dans la nuit, je pressentais ma queue à l’entrée de
son fion et il s’empalait sur mon dard. Quant je lui signifiais que j’allais jouir, je retirais ma queue et lui remplissais la bouche de mon sperme qu’il avalait complètement. Ce rituel était
immuable et nous l’avons pratiqué pendant de nombreuses années sans nous lasser.
Assi, en attendant pres d'un bateau je pensais à cette période révolue depuis une bonne dizaine d’année. Naturellement personne ne se doutait d’ou venait notre complicité, mais
nous nous savions que rien de nos corps ni de nos plaisirs ne nous était étranger.
Un appel vif me surpris « alors Simon encore dans tes rêves ? »
je me retournais et découvrais Martin tout en sourire toujours aussi grand, roux et svelte même si le temps avait creusé quelques rides sur son beau visage et autour de ses yeux
d’un bleu toujours aussi profond. Nous nous embrassâmes sur les joues comme nous le faisions toujours.
« Salut Martin, en effet j’étais en avance .C’est bien ton bateau celui ci nous pouvons monter ? »
Martin me confirma que c’était bien son embarcation mais que nous attendions deux autres personnes qui viendrait à la pêche avec nous. Nous étions sur le pont en train de charger nos bagages quant deux jeunes minets ( la vingtaine ) nous interpelles.
L’un était châtain clair, 1m 80 mince, de longue mains blanches au bout de deux bras fins recouvert de petits poils frisés. Son visage était fin, ses yeux marron encadré par de longs cheveux
attachés en queue de cheval. L’autre Kévin mon ptit fils ,18ans ,1m 70 aussi, blond comme les blés cheveux rasé à la tondeuse, un visage au teint halé et des yeux d’un bleu profond
qui illuminaient ce beau visage.
« Nous voilà nous n’avons pas trop de retard ? »leurs visages ,illuminés d’un sourire éclatant sur des dents blanches de rêve.
Martin s’avança et embrassa les deux jeunes qui me seraient la main. Martin fit les présentations « voilà, lui le beau blond tu connais ,c’est
Kévin ton petit fils en vacances et à son bronzage tu vois que c’est un fana de voile et la c’est Serge étudiant en sciences Eco copain de ma nouvelle femme».
Dés que le bateau fut au large, Kévin ôtait son tee shirt découvrant un corps lisse, musculeux,tres beau pour son age , avec deux superbes tétons bruns posés sur des pectoraux dessinés
par de nombreuses heures de sport. Je détaillais cette plastique superbe qui se confirma lorsqu’il enleva son jean pour se mettre en maillot de bain.
Il avait un shorty noir qui lui moulait la bitte qui semblait respectable. Ses jambes étaient musclés et recouvertes de petits poils blonds frisés.
Quelques instants après Serge se dévêtait aussi présentant un corps mince et longiligne recouvert de poils soyeux entre les deux pectoraux assez bien dessiné. Sa bite moulée dans son slip de bain
semblait plus ,beaucoup plus grosse que celle de Kévin.
Pendant toute la journée, chacun péchait dans une ambiance survoltée alternant blagues, et jeux d’eau.
Vers 19 h , apres avoir amaré sur un petit ilot pour la nuit ,Martin nous invita à nous changer car nous étions mouillés comme des rats, afin de pouvoir passer à table sur le pont supérieur. Je
descendais dans ma cabine pour chercher des vêtements secs.
Je commençais à enlever mon tee shirt quant Kevin rentra.
« Excuse moi papy Simon mais nous partageons la même cabine ! Le bateau de mon père n’a que deux lits doubles. Ce n’est pas un paquebot
mais les lits sont confortables. »
A ce moment je compris que j’allais passer la nuit avec Kevin;
Je me mis à poil pour enlever mes affaires mouillées en tournant le dos à mon petit mec. Lorsque je me retournais, Kévin était nu en train de fouiller dans son sac pour sortir des vêtements secs. Je pouvais détailler ses deux valseuses sans poils peut être rasées ? Et sa bitte fine non circoncise entourée d’une couronne de poil blond. Il ne semblait pas gêné du tout d’être en tenue d’Adam.
La soirée se déroula dans un délire complet les deux compères racontaient leur frasques de potache ,la bière coulait a flot, en vers minuit je commençais à avoir la tête qui tournait.
« Martin, je crois que j’ai abusé de la bière encore une fois je ne suis pas sortable. »
face à moi, je vis Kévin, les yeux rougis qui me dit
« si toi tu as abusé moi j’ai dépassé ma dose ! »
Martin conclu « les mecs il est temps de se reposer mais attention que personne ne vienne gerber sur le bateau ! Si vous avez un problème
dégueulez par dessus bord. ! »
Je rentrais dans la cabine et garda mon boxer pour me glisser dans les draps. J’entendais Kévin pisser par dessus bord juste au dessus de notre hublot.
Quelques instants après il s’engouffrait dans la cabine se dépoila et complètement nu se glissa sous les draps.
« Laisse moi une place papy Simon ne prend pas tout le lit ! » dit il en se plaquant sur moi.
Je sentais sa bite variant de volume à travers mon caleçon. Et j’avais peur de bander mais rien ne se passa. (pour l'instant) Je coupais la lumière et couché sur le dos je sentais le corps
chaud de mon petit minou plaqué sur mon coté.
Je fantasmais comme un fou en revoyant cette beauté que j’avais détaillé toute la journée. Mais je ne pouvais pas toucher a mon petit fils .
Je cherchais le sommeil sans véritablement le trouver et bientôt, j’entendais la respiration régulière de Kévin, il dormait.
J’étais toujours sur le dos, les bras sous la tête cherchant désespérément à trouver un sommeil qui ne venait pas et bandais comme un âne en rupt. Environ une heure après nous être couché, Kévin
remuait dans le lit et se collait à moi en respirant doucement. Je sentais sa bitte contre ma cuisse.
Dans un mouvement, il posait sa main sur mon ventre sans autre geste. Je ne bougeais pas mais il me semblait que sa queue devenait dure.
Je déplaçais ma main droite pour la placer le long de mon corps. Je rencontrais la cuisse douce et chaude de Kévin plaquée contre la mienne .Puis je rentrais en contact avec sa bitte en
effet en pleine érection. Kévin respirait toujours doucement comme un dormeur calme. Je sentais les petits poils de sa queue me chatouiller le dessus de la main ; pour ma part j’avais le
sexe douloureux depuis le temps qu’il était en érection .
Dans un mouvement de dormeur, la main de Kévin se posa cette fois sur ma queue puis ne bougeait plus.
Cette fois, doucement je remuais ma main droite pour pousser sa bitte et je constatais qu’il mouillait. Je pris mon courage et je posais mes doigts sur son gland humide.
Sa réaction ne se fit pas attendre
il resserra ses doigt sur ma queue et commença à me frotter. Cette fois j’en étais sur, il ne dormait pas. Nous nous plotions tendrement. Lui 18 ans moi 62 nous partagions une
tendresse d'étudiant.
Au bout de quelques minutes, Kévin se souleva et déposa un baiser sur mon épaule. Je saisi l’occasion, approcha mes lèvres des siennes et nous nous sommes embrassé goulûment.
« Tu ne dormais pas Kévin ? Tu me cherchais ? Pourquoi est tu dans mon lit au lieu d’être avec ton père ? »
Et mon minou me répondit.
« Je sais que tu a été l’amant de mon père il me la raconté, maintenant Martin est amoureux de Serge depuis un an Il vient régulièrement coucher
chez nous. Comme nous n’avons qu’un lit nous faisons souvent une baise à trois. Mon père est toujours super passif, serge super actif, moi c’est suivant ,l'apprenissage
quoi........ »
Souvent mon père nous a parlé de tes performances, Simon c’est pourquoi nous avons monté ce coup et c'est moi qui veus etre avec toi , toi seul papy car
a la manière que tu me regardais cet apres-midi je suis persuadé que dans ta tête tu te disais."je me fairais bien son cul"
C'est vrai repondis-je
Si tu veux nous pouvons appeler Serge et mon père pour une partie à quatre. »
Moins d’une ½ heure plus tard nous étions tous dans le même lit Martin me suçait la bitte comme aux belles heures de nos amours. Serge me léchait le cul faisant pénétré sa langue
pointue dans mon fion. Quant à Kévin il m’embrassait goulûment et de temps en temps me présentait son gland humide pour me faire goûter sa.bite C’était le rêve !
Bientôt, Martin se mis en levrette et m’invita à l’enculer. Kévin suçait Serge. Au bout d’u temps j’enculais toujours Martin de plus en plus profond et celui ci avait pris la queue de Serge
après lui avoir demandé de lui jouir dans la bouche, je reconnaissais bien les fantasmes de Martin. Mais ce qui m’intéressait c’était aussi de remplir le petit cul de Serge pour lui prouver qu'il
n'etait pas qu'actif..
Martin se doutait de mon fantasme car il se dégagea de ma queue et me laissa approché la rondelle de son amant qui ne s’attendait pas a ça.je le défonça brusquement et son
cri de douleur fut étouffé par la queue de Kevin
Kévin se plaça a quatre patte pret de Serge et me dit "papy Simon a moi maintenant"
Mais je pénétra pas le fion de Kévin. je jouais seulement a frotter mon gland contre sa petite rosette. Celui ci bougeais ses reins pour essayer de faire rentrer ma queue en lui
, voyant que je voulais pas et lui prenait visiblement son pied en me demandait " vas y joui dans mon cul ,remplis moi les
tripes".
Je me branlais de plus en plus vite. Kévin au bord de la jouissance se mit à sucer la queue Serge tandis que Martin m’embrassait et finit par me foutre sa queue dans la bouche. Je ne sais
plus qui à commencé mais j’ai joui sur le cul de Kévin et je sentais mon sperme descendre sur son fion et me couler sur les cuisses.
Kévin déchargea son sperme dans la bouche de Serge et Martin vida ses couilles sur mon visage. Epuisés, c’est dans un rire collectif que nous regagnions nos lits respectifs.
Kévin comme un enfant était collé à moi la tête sur mon épaule et sa main sur ma bitte en disant "je regrette que tu as pas défoncé mon ptit cul , j'aurai
aimé etre dépuceler par toi".
je repondis pas et caressais doucement sa peau douce et fine et ainsi nous nous sommes endormie. Depuis, au moins une fois par mois je revois Kevin et nous nous faisons des plans d’enfer
pour l'avenir. Voilà finalement j’ai changé mes fantasmes " en secret " à venir pour le fils après avoir aimé le père.
J’ai envie de m'exhiber.
J'ai envie que des mecs me regardent.
J’ai envie de me faire admirer.
J'ai envie de montrer ma queue raide.
J'ai trop envie.
Il est deux heures du matin et je me tourne dans mon lit.
Je bande, je mouille, je me suis déjà fait jouir deux fois depuis minuit. Mais j'ai envie de vrais garçons qui me mâtent, qui frôlent mon torse poilu.
J’ai envie de sentir une bouche humide gober ma pine chaude.
Je me lève.
J’enfile un fut serré et j'enfile un blouson à même la peau.
Je sors.
Je roule jusqu'a la ville voisine.
Je me gare dans une rue déserte, seul l'enseigne du bar "le lapin qui fume" éclaire la rue.
je marche. Il n'y a personne.
Je marche la queue tendue de désirs.
J'arrive devant le bar.
Je pousse la porte
Il y a des gens en couple ,noyés dans la fumée .
Je vois soudain un mec dans la trentaine qui viens en face de moi.
Mon blouson est largement ouvert. Le mec a ses yeux fixés sur la ligne qui sépare mes pecs .
Il a la bouche ouverte. Je le croise, il regard uniquement mon blouson échancré.
Je marche jusqu'au bar et je me retourne.
Il s'est arrêté. J'enfile ma main sur ma peau nue, sous mon blouson.
Je fais un léger signe de la tête.
Je m'assois , j'espère qu'il va venir.
Il se décide.
Je sens mon coeur qui bat.
Il s'approche
- bonsoir monsieur
- bonsoir jeune homme
- vous venez souvent là?
- non c'est la 1ere fois.
Il ne sait plus que dire. Je le laisse se dépatouiller.
Il parle seul presque a haute voie il se dit "interessant ce vieux ,la soixantaine , les vieux savent caresser ,et lèchent partout
goulûment" ..
Il me regarde avidement. Il a envie, il se lèche les lèvres.
Je dis
- jeune homme !!...
- oui?
- vous voulez quoi?
- je n'ose pas vous le dire monsieu
- Allez-y
- ok... j'ai envie de toucher votre torse poilu.
Je sors mes mains de mes poches et je fais glisser la fermeture éclaire de mon blouson, je l'ouvre.
- monsieur, vous êtes magnifique
- merci jeune homme
- je peux passer ma main sur vos pectoraux?
- oui jeune homme je suis à vous, je suis votre chose, faites moi ce que vous voulez.
Il s'approche et dépose un baiser chaud sur mon téton gauche, je sens ma pine secouée de plaisir. Il pose ses mains sur moi, il a la peau douce; il caresse à merveille.
-vous buvez quoi jeune homme ?
-wisky
-alors 2 wisky barman.
le patron du bar annonça la fermeture dans 10 minutes.
-barman vous remettez ça.
la salle se vidait lentement ,le patron dit au barman "Ludowig tu donnera a nos deux dernier clients , la tournée de la maison et tu fermera aussitot , moi je
rentre chez moi".
-OK patron
Ludowig ajouta "Fabien ,on se le paie le grand père?"
l'alcool commençait a me chauffer etje me mis a dire:
- que vous êtres beaux jeune homme, j'ai envie de vous. Voulez-vous venir chez moi?
- je ne sais pas monsieur, vous habitez loin d'ici?
- j'habite en banlieue sud, malheureusement
- jeune homme, déshabillez-moi et faites moi ce que vous voulez.
- Merci monsieur, ça fait tellement longtemps que je n'ai pas vu un si beau vieux...
Fabien défait ma ceinture. Je l'aide car il est si nerveux qu'il n'y arrive pas. Je descends mon fut sur mes chevilles. Je suis entièrement nu, offert. Il se baisse et me suce
délicieusement, je sens sa langue faire le tour de mon gland.
C’est bon, je lui prends la tête et je donne un mouvement de va et vient sur mon sexe tendu.
Il malaxe mes couilles pleines d'envie de cracher ma jute épaisse.
Ludowig me pince les tétons avec douceur, il m'enfile un doigt dans le trou du cul, je gémis, j'avais tellement envie de cela.
Des jeunes hommes, des expert en caresses, que j' ai rencontré là , ils me touchent partout,
Fabien me bouffe la queue. Il se relève
- me permets-tu de mettre ma langue dans ta bouche ?
Je m'approche de son visage et j'entre ouvre mes lèvres, il y glisse sa grosse langue de mâle.
Je sens sa langue me fouiller la bouche.
J'aime ça. Ludowig sort du poppers de sa poche ,me le met en main et je snif un bon coup,je me tourne.
- Enculez moi jeunes hommes, j'ai envie de me faire mettre par vous. Baisez-moi le fion, pinez moi
Fabien sort sa queue très raide et essaie de me la foutre au cul mais il 'y arrive pas il est trop énervé.
- ce n'est pas grave recommance tu y arriveras
Je me penche en avant et il me fout son visage dans la raie des fesses et je sens son menton râpeux dans la marge anale. Il enfile sa langue dans mon trou du cul. Il se retire et dit dans un murmure
- Pète moi dans la figure
Je pousse et je lui large un pet en pleine tronche. Il soupir "mieux que le poppers"
- Avilis moi, fait moi ce que tu veux.
Je me retourne et je lui pisse dessus
il se masturbe furieusement.
- insulte moi
Je le traite de sale pd ,de pute,ect ect...
Il grogne de plaisir. Il se relève et me dit
- on a envie de toi, si tu veux, on va chez toi Ludowig. J'ai ma voiture pas loin
- ok je vous suis apres avoir fermé la boutique.
- Rhabille-toi vieux
- non je préfère être nu
On sort dans la rue, il porte mes fringues. On croise un mec genre loubard reubeu qui lance
- salle fiote de merde
Je le regarde et fais mine de lui claquer la gueule, il se tire en courant.
On arrive à sa bagnole. Je suis nu à côté de Fabien. On roule.
Soudain, il met sa main sur ma pine et me regarde.
Il ne fait pas gaffe et l'on entend un sifflet.
Il a grillé un feu et un flic arrive derrière nous.
Je suis nu, je m'en fous.
Le flic arrive et me voit à poils.
- qu'est-ce que vous faites tout nu dans cette voiture monsieur ?
- je me suis fait tabasser et ce jeune homme m'a aidé à m'en sortir et comme ils ont piqué mes fringues ce jeune homme me recondut chez moi.....
Le flic félicite Fabien et on s'en tire avec tous les honneurs
On arrive a l'appart de Ludowig et monte les excaliers.
Ludowig n'est pas encore arrivé.
Je me mets contre la ramparde regardant vers le basvoir s'il arrive.
Je sens Fabien derrière moi, il me masse les pecs et je sens sa pine dure contre mon cul et soudain il me l'enfonce sans ménagement.
AAHHHHH !! tu vois tu y es arrivé
Je sens enfin un gros-bout dur dans le cul ahhhh quel bonheur!
Il me ramone, j'ai gardais en main le poppers, je snif. Il me pine il me pine j'aime ça être piner.
IL vide ses couilles sur mon dos et lèche son jus.
Ludowig arrive avec sa voiture.monte les excaliers quatre a quatre ,se penche sur ma pine raide et me la pompe à fond. Je vais jouir. Je lui dis
- Attention je vais jouir
Il sort ma pine de sa gueule et dit
- je veux ton jus
Et il remet ma queue dans sa bouche.
Il va et vient sur ma colonne de viande dure. Il me pompe en me massant les muscles du torse. Je sens ma sève qui monte, je la largue dans sa bouche,
il aval ma jute
il pompe encore il est goulu,
il veux tout jusqu'a la dernière goûte de ma liqueur.
Il se relève, me sourit et dis;
- merci monsieur c'était délicieux.
Je suis exténué.
Il me reconduit dans ma voiture Il me donne son N° de tél et je repart me coucher.
J'arrive dans mon lit et je me jette dessus.
Le lendemain il est en bas de mon immeuble.
Je me rends compte alors qu’il est vraiment beau ce Dieu
Il est super bien pour me faire jouir.
Et je suis devenu un client regulier.
Fabien passe de temps en temps normal un bon père de famille.
Ludowig échange volontier un wisky contre mon sperme.
Les vacances commençaient bien. un séjour en Auvergne avec mes 2 filles , ma femme étant sur l’Ile d’Oléron avec le fils.
Les mois de Juillet et d'Août passèrent sans que je ne m'en aperçoive.
J'étais resté au soleil, un cocktail dans une main,. Je sortais souvent, presque tous les soirs en fait, et à chaque fois, je m’y rendais avec mes filles. Elles passaient leur temps sur la piste des boîtes à la mode Clermont Ferrant, pendant que moi je restais accoudé timidement au bar.
Certes je ne passais pas inaperçu avec mon regard amusé.
Mais les filles faciles n’étaient pas vraiment ma cible favorite. Je préférais attendre de trouver un petit brun perdu plutôt que d’aller courir les blondes en jupon.
Si l’occasion s’était présentée, je me serais jeté sur un de ces espagnols, toujours souriants et toujours charmeurs. Je remarquais quelques jolies garçons...
Et même en étant à l’écart de toute cette agitation, je pouvais entendre les premières messes-basses entre copines, les premières analyses des filles qui se voyaient déjà au bras d’un de ce bellâtre en chemise ou il y était inscrit " l’amour c pas cochon ".
J’en riais sans gêne. Quand soudain.
__Qu’est-ce qui te fait rire?
Surpris, je me retournais pour voir qui me posais une telle question.
-Eh bien...
__Quoi? Tu penses faire une partie de plaisir avec des minets?
-Non, bien sûr que non. C’est juste que...
__Oui, oui.tous les même ces vieux Tu ferais bien de surveiller tes arrières à partir du maintenant.
Il me disait cela sans une once d’énervement, mais toujours avec ce sourire charmeur sur les lèvres.
Je ne savais pas tellement comment réagir, alors je me contentais d’afficher un sourire niais et timide. Quel idiot je devais faire..
Mais j’étais toujours en train de le regarder.
Une voie l’interpelle " Natham tu dragues les vieux ? "
Il s’était retourné et avait rejoins sa bande d’amis. Je le vis alors leur parler discrètement, et tous se retournèrent vers moi pour me scruter.
J’avais honte d’être ainsi observé et je préférais consommer un nouveau coktail.tout en me disant " je me le fairais bien ce Nathan "
je fis la connaissance de plusieurs garçons (tous juste 18 ans). Parmi ceux-ci, un en particulier retint mon attention. Il s'appelait Morgan, mais était bâti dans la pierre. Il avait ce qu'on appelle un corps de rêve. Il m’avait remarqué
Moi je restais stoïque face à ce corps qui me faisait rougir quand il était venu me voir juste pour parler gonzesses..
.
Peut-être que j'avais définitivement la gueule et l'allure d'un hétéro, et c'était tant mieux. Alors je feignais de m'intéresser à son bavardage.
Depuis je ne le lâchais plus des yeux. A chaque fois que Morgan me regardait, il m'accordait un sourire à tomber. Chaque fois qu'on se croisait, il me passait une main dans le dos. Cela avait
pour effet de me faire trembler. Je n'espérais alors qu'une chose, qu'il s'en aperçoive .
La soirée resta très calme. Lorsque l’orchestre annonça " demain 22h soirée spéciale , la salle sera surchauffée venez le moins vêtu possible et la seule règle à respecter, portez un loup (un masque de velours) ".
On nous parlait d'une salle surchauffée... Allez savoir pourquoi. ? ?
Mes filles me dirent " papa on y revient demain avec toi "
-J’ai pas trop envie mes enfants c’est une soirée pour jeunes.
Tu es encore jeune papa et puis trop tard on t’a pris un loup.
Dans ce cas c’est OK
Le lendemain , Passé 22h00 ,nous entrâmes dans la disco , aux vestière on me proposa de laisser là manteaux et autres objets personnels tels que le portable et le portefeuille .Les filles partirent vers la salle de danse , quand a moi je fut diriger vers l'endroit où se tiendrait une réunion des mecs. Alors je me précipitais sans oublier de nouer le loup derrière ma tête.
L'endroit n'avait rien de glauque. Il y avait en fait une pièce centrale fortement éclairée et plusieurs petits salons privés autour. Les salons étaient séparés du reste par de grandes voilures pourpres et ils semblaient assez spacieux pour contenir 5 ou 6 personnes tout au plus. Je m’avança au centre de la pièce et constata avec satisfaction qu’il devait bien y avoir plus de cent personnes. Tous des hommes qui plus est.
Une main se glissa derrière moi, c’était Morgan qui me saluait, un verre à la main, et plusieurs autres déjà engloutis.
__Hey Simon... Comment tu vas? oooops j'étais déja reconu.....
Il me fait la bise et laisse toujours sans aucune gêne sa main sur mes hanches.
-Bien bien. Dis moi tu as déjà bu quelques verres toi non?
__Ai-je la tête de quelqu’un qui a bu plusieurs verres? Honnêtement?
Je lui réponds " oué "
mais la musique qui se lance au même instant a dû l’empêcher de m’entendre.
Il me sourit une dernière fois et s’en va rejoindre d’autres potes. Les minutes passent, la première heure s’envole, et chacun ne supportant plus la chaleur finit par enlever progressivement chemises et jeans.
Moi, comme quelques autres, rechignons à retirer nos pantalons pour finir en caleçon.
Dans cette ambiance étouffante, et survoltée, où chacun danse et boit sans pudeur, les corps se frôlent, les esprits s’adoucissent, et on voit parfois quelques gestes étranges naîtrent entre ces mecs.
Moi je m’en amuse, j’en profite un peu. Je me laisse surtout faire, et j’attends que Morgan revienne à la charge. D’un seul coup, la musique s’arrête, un musicien prend la parole et nous annonce " le Tribunal va ouvrir ses portes et que le procès des bizuts va commencer ".
Là je commence à comprendre le pourquoi d’une telle cérémonie.
Je m’en réjouis d’avance, et m’installe comme tous les autres autour d’une scène centrale où se tiennent plusieurs jeunes en caleçon.
Je crois reconnaître Nathan. Je lui fais signe mais il n’a pas l’air de m’avoir bien reconnu.
Alors je me laisse porter par les grammes d’alcool qui coulent dans mes veines, et je ne me lasse pas de voir mes pairs être condamnés à avaler du blanc d’oeuf, à se tartiner les cheveux de farine, et à subir les quolibets de nos bourreaux.
Je me réjouis de ne pas m’être fait remarqué. J’avais visiblement parlé trop vite puisqu’au tour suivant " Morgan et Simon rejoignaient la scène ".
Je ne jetais pas un regard à mes voisins, j’étais simplement pétrifié à l’idée d’avoir tous ces regards posés en même temps sur moi. J’arriva le premier en face des juges (pas possible mes filles) , et celles-ci attendirent que Morgan soit à mes côtés pour lui ordonner " allonge toi Morgan ".
Il le fit sans broncher... il en rigolait même. Je pensais alors qu’il devait être bien saoul pour rire ainsi alors que tout le monde nous regardait. Un de nos tortionnaires s’approcha de lui et entrepris de lui verser de la crème chantilly sur le ventre. Moi je ne savais à quoi m’attendre. Un autre tortionnaire me prit par le poignet et m’emmena à côté de Morgan.
Il me posa une main sur l’épaule et m’indiqua qu’il était temps que je me mette au boulot. Je n’étais pas bien sûr de comprendre ce que j’avais à faire, mais je pensais que les choses devenaient plus sérieuses. Alors je me penchais au dessus de Morgan, et je passais une première fois ma langue sur la crème qui tapissait son ventre. Mes coups de langue le faisaient rire, et c'était des abdominaux merveilleusement dessinés que j’avais maintenant à lécher. Je ne boudais pas mon plaisir et je défiais mes tortionnaires d’aller plus loin. Ils étaient tous là, tous ces mecs, ameutés autour de la scène entrain de me regarder finir les abdos de Morgan. Un autre tortionnaire s’approcha. Il agita sa bombonne de crème chantilly et en versa une bonne partie sur les cuisses de celui qui prenait en fait le plus de plaisir dans l’histoire.
Je regardais Morgan droit dans les yeux, et je voyais malgré le loup qu’il portait, qu’il n’attendait qu’une chose: que je poursuive le " boulot ". Alors je m’exécutais. Je me baissais et glissais ma langue le long de ses cuisses. Il était un peu poilu, ce qui me laissait deviner ce que son entre jambe devait être. Il me donnait vraiment envie d'aller plus loin et je commençais à être trop à l’étroit dans mon boxer.
Je croyais d’ailleurs que, comme moi, il ne tarderait pas à être gêné par un détail: je l’excitais. Il posait une main sur son caleçon comme pour retenir quelque chose qu’il ne voulait reconnaître, pendant que moi je glissais ma langue toujours plus haut sur sa cuisse. Le tortionnaire m’arrêta et me fit reculer. Je le laissa s’avancer pour le voir recouvrire avec malice le caleçon de Morgan. J’hésita un instant, car je ne voulais pas qu’il m’en veuille de faire quelque chose d’humiliant pour lui, et finalement d’humiliant pour moi.
Je pensais alors qu’il convenait de rechigner à entreprendre ce nettoyage, afin d'éviter qu’on me colle l’étiquette de l’homo. Et c’est ce que je fis. Je reculais et leur
criait haut au dessus de la musique
" je ne ferai rien de plus".
Mais c’est la main de Morgan qui vint trouver la mienne pour me ramener à lui et me lancer l’ordre
__" finis ce que tu as commencé ".
Je fus évidemment très étonné, mais je me réjouis de ce retournement de situation. Et sans
attendre, je me lança à l’assaut de la bête. Très délicatement je lécha la toile du caleçon en espérant bientôt sentir le membre qui se cachait en dessous.
Je m’amusais de ces caresses buccales et je traçais de plusieurs coups de langue la queue qu’il avait du mal à calmer. Je la sentais se lever petit à petit, pour finalement
se dresser fièrement comme un piquet. Morgan n’avait pas l’air d’en rougir, mais il semblait au contraire plutôt fier d'exhiber ses bons 18cm. Le regard de ses potes ne le retenait plus et il
dégagea négligemment l’élastique de son caleçon pour laisser apparaître sa queue.sous un tonnerre d"applaudissements
Je le regarda un instant...
J’admirais son corps de rêve recouvert en plusieurs endroits de dernières traces de chantilly et je souriais toujours plus. Un de mes tortionnaires s’approcha pour mettre un peu de crème sur l’engin de mon amant, mais je lui indiqua que cela était inutile. Je me jetais sur le dard qui pointait droit en dessous de moi, et je bavais comme pouvait le faire un enfant qui ne se lassait pas d’avoir en bouche son jouet préféré sous le regard amusé de mes filles (les juges).
Je dégustais l’objet en passant délicatement ma langue sur son gland gonflé à bloc et en m’amusant avec son frein. Je prenais soin de faire toute la longueur de cette bite dressée pour moi et je lui promettais déjà d’aller jusqu’au bout. Je m'aperçus qu'autour de nous les mecs s'étaient agglutinés. Ils s'étaient levés , se bralaient et criaient désormais nos noms d’une même voix. Ils n’attendaient qu’une chose : que j’obtienne ma récompense. Alors je le suçais toujours plus avidement et je ne cessais de jouer avec ses poils pubiens. morgan semblait aimer et il en vint même à me poser une main sur les fesses t a me doigter.
Il me caressait avec toujours plus d’envie, comme s’il avait saisit que je rêvais de recevoir quelques coups dans les reins. Mais mes lèvres eurent raison d’elles et elles parvinrent les premières à leur fin. Je le sentis se contracter, et il eut à peine le temps de me glisser une main derrière la nuque, pour m’empêcher de me redresser. Je reçus gracieusement une série de giclée au fond de la gorge, et ce ne fut qu’à la fin de son éjaculation que je pus enfin savourer la semence de mon amant. J'entrepris de le nettoyer avec application et lui me remercia en m’embrassant sur la joue.
Morgan me garda un instant dans ses bras. J'étais toujours à ses côtés lorsque je sentis une autre main se poser sur mon épaule et me retourne avec force. Son propriétaire Nathan me dévoila sans gêne une bite dressée n’attendant visiblement que de pouvoir se vider entre mes lèvres
puis j’entendis la musique repartir et interrompu rapidement par les juges
__Nathan a quatre pattes stp.
Il s’exécuta
Un tortionnaire lui injecta la crème chantilly dans le cul
__Simon baise le
ces mots venant de la bouche de mes filles je ne pouvait le croire et du signe de la tête répondit négativement.
__ C’est un ordre ! allez exécution.
-Non et NON
une de mes filles (juge qui donnait les ordres) descendit de son podium et s ‘approcha de moi et me fouetta en disant
__baise moi se cul et tous de suite sinon c’est ton cul qui vas s’en souvenir.
_pitié pas ça
__ Encule se mec criait elle tous en me fouettant le cul dont les lagnières claquaient sur mes couilles.
Je céda et défonça le cul tendu de Nathan
La juge ‘ma fille)m’enfonça le manche du fouet dans le cul sans aucune préparation, sous la douleur je bourrais Nathan , et elle lança
__Morgan a ton tour défonce moi Simon et vous les autres préparez vous a en faire autant au fur et a mesure il ne faut plus aucune bite inoccupée.
Quand la boucle serra faite je me glisserai sous Nathan pour qu ‘il défonce ma chatte et bouffe celle de la 2ème juge
l'un apres l'autre les mecs enculaient le précédant
Et tous en mouvement bande de PD
Je vous dis pas le bordelle plein le cul tous ensemble sauf les tortionnaires toutes les filles présente a cette soirée étaient chargé de nous faire boire et se faisait sucer le clito
et la chatte en même temps.
pour entretenir la pression et se faire baiser tous en coeur en fin de nuit.
j'en conclue " les femmes de vrais saloppe quand c'est eux qui commande "
et vous vous en pensez quoi? "
De superbe vacances , vous pouvez nous rejoindre au prochaines hummmmmmmm ! ! ! ! !
finir l'année sur un ptit clein d'oeil en faisant une
partie de billard ,Oh! la gourmande elle bouffe les boulles avec sa chatte
acceptera-t-elle la queue de Ludowig
2006 l'année demarre sur les chapeaux de roue
ma belle soeur
Yvette semble trouver le bonheur avec mon copain Bertrand
ou les jumeaux
courtisent ma deuxième fille lequel vas-t-elle
choisir?
( je vous le dirai bientôt! )
A LA CHANDELEUR
Olivier et Cedric fêtent leurs 28ans
Je suis allongé sur le dos, il est couché sur moi, il m’embrasse avec fougue le cou, la bouche. Je ne vois pas son visage. Il glisse une main dans mon boxer, il
prend mon sexe en érection. Tout en continuant à m’embrasser il me masturbe doucement. Puis de baisers en baisers, dans le cou, sur mes seins, sur mon ventre, sur mon sexe, il engloutit mon pénis
dans sa bouche. Après une courte fellation, il me lèche l’anus, c’est bon, je gémis. Il se met en position pour me pénétrer, d’une main je prends son sexe pour le guider. Son sexe est énorme,
démesuré, je n’ai jamais vu un pénis aussi gros, j’ai peur, jamais il ne rentrera, il va me faire mal, moi qui suis pas vierge. Je le repousse, il ne tient pas compte de mon rejet, il positionne
son sexe à l’entrée de mon anus, je veux protester, crier, aucun son ne parvient à sortir de ma bouche. Au moment où il donne un coup de rein pour m’enculer, je me réveille brutalement.
Je ne suis pas seul dans mon lit, ma femme dort à coté, mon sexe est en érection. Malgré ce quasi cauchemar, mon excitation sexuelle est intacte, je me masturbe. Je me suce un doigt avant de
l’introduire dans l’anus et je continue un lent mouvement masturbatoire, je fais durer le plaisir, jusqu’à ce que mon sperme s’éjecte en trois longs jets successifs sur mon ventre.
J’ai soixante et un ans, je suis marié depuis trente six ans, mais je fais souvent des rêves érotiques où je me retrouve à faire l’amour avec un homme. L’acte à chaque fois reste inachevé.
Je suis indiscutablement attiré par les hommes et ma femme en particulier mais la vue de quelques beaux gosses n’est pas sans me titiller.
Normal j’ai toujours eu des expériences homo depuis l’age de 15 ans.
Il est 9 heures du matin quand je me lève, pour ôter les traces de mon plaisir solitaire par une douche rapide.
VACANCES DE PÂQUES
chez Magali ma cousine Polonaise.
Il est 10 heures du matin quand , un nouvelle fois un rêve d’homo m’ avait fait faire une bonne masturbation et je me lève ce 15 avril 2006 pour ôter les traces de mon plaisir solitaire par une douche rapide
Je me dirige ensuite vers la cuisine, un mot est posé sur la table
: " Je te souhaite un heureux premier jour de vacances. Détends-toi bien cousin . Je te rappelle que Raphael doit arriver aujourd’hui autour de midi, il y a de quoi manger dans le frigo. Je rentrerais tard ce soir autour de 22H. Je t’embrasse. – Magali ".Ce petit mot ne me ravit pas, non pas que Raphael, un copain de ma cousine, soit antipathique mais je le trouve insignifiant.
Je ne l’ai pas vu depuis leur mariage, il y a maintenant deux ans. Il n’est ni beau ni laid, il n’a rien de sexy, il traine ses guêtres dans des petits boulots successifs. Il ne s’intéresse à rien, il est plus ou moins dépressif" Non, mais c’est vrai que je vais mieux depuis deux ans. "
" tu me raconteras ce que tu deviens. "
Je prend d’abord une douche
" Bien sûr "
Il monte à la salle de bain, revient, à poil, me dire
lui dis-je,." j’en ai pour cinq minutes ".il entre dans la cabine de douche. J’entends l’eau de la douche couler, et quelques minutes s’écoulent quand il m’appelle
" Simon, tu peux venir s’il te plait ".J’entre alors dans la salle de bain, il ouvre le rideau de douche et me dévoile un beau corps ruisselant, une musculature naturelle assez fine, un sexe de 18 cm environ bandé à son maximum.
" Nous pourrions prendre la douche ensemble, si tu le veux " me déclare-t-il.On bavarde ainsi agréablement, il me raconte qu’il a trouvé un boulot intéressant, il me raconte ses dernières vacances, ses sorties ciné, on parle de ses amis, un peut de tous.
Il s’instaure rapidement entre nous une sympathie réciproque. On se met à table, la conversation continue, mais plus intime, le sexe s’immisce progressivement. Il m’avoue son homosexualité désormais assumée qui explique son changement. On parle de ses aventures sexuelles, je lui confie mes rêves érotiques.
On n’a pas vu le temps passé, il est 18 H. Il me propose de boire un coup dans un bistrot du centre ville. J’ acquiesce sa demande par un OUI
Bref je redoute de devoir l’affronter seul, et je crains fortement de peiner à trouver un sujet de conversation.
Il est 11H.30, on sonne. Quand j’ouvre la porte, Raphael apparait. Je vois de suite qu’il y a quelque chose de changée en lui. Il me serre la main avec un franc sourire loin de son triste rictus
habituel, sa tenue vestimentaire n’a rien de particulier, un jean moulant une chemise blanche, mais loin de ses vêtements habituels et sans âge que son père auraient pu tout aussi bien porter.
Son sourire, ses vêtements, son allure générale me le font, pour la première fois, trouver beau.
Je le félicite aussitôt de son changement, " tu m’a l’air en pleine forme, c’est la première fois que je te vois aussi rayonnant.Dis-je mi-plaisantant mi-indiscret.
Es-tu amoureux ? " " Non, mais c’est vrai que je vais mieux depuis deux ans. "
" tu me raconteras ce que tu deviens. "
Je prend d’abord une douche
" Bien sûr "
Il monte à la salle de bain, revient, à poil, me dire
lui dis-je,." j’en ai pour cinq minutes ".il entre dans la cabine de douche. J’entends l’eau de la douche couler, et quelques minutes s’écoulent quand il m’appelle
" Simon, tu peux venir s’il te plait ".J’entre alors dans la salle de bain, il ouvre le rideau de douche et me dévoile un beau corps ruisselant, une musculature naturelle assez fine, un sexe de 18 cm environ bandé à son maximum.
" Nous pourrions prendre la douche ensemble, si tu le veux " me déclare-t-il.
On bavarde ainsi agréablement, il me raconte qu’il a trouvé un boulot intéressant, il me raconte ses dernières vacances, ses sorties ciné, on parle de ses amis, un peut de tous.
Il s’instaure rapidement entre nous une sympathie réciproque. On se met à table, la conversation continue, mais plus intime, le sexe s’immisce progressivement. Il m’avoue son homosexualité désormais assumée qui explique son changement. On parle de ses aventures sexuelles, je lui confie mes rêves érotiques.
On n’a pas vu le temps passé, il est 18 H. Il me propose de boire un coup dans un bistrot du centre ville. J’ acquiesce sa demande par un OUI .
Je prend d’abord une douche
" Bien sûr " lui dis-je,
Il monte à la salle de bain, revient, à poil, me dire
" j’en ai pour cinq minutes ".
il entre dans la cabine de douche. J’entends l’eau de la douche couler, et quelques minutes s’écoulent quand il m’appelle
" Simon, tu peux venir s’il te plait ".
J’entre alors dans la salle de bain, il ouvre le rideau de douche et me dévoile un beau corps ruisselant, une musculature naturelle assez fine, un sexe de 18 cm
environ bandé à son maximum.
" Nous pourrions prendre la douche ensemble, si tu le veux " me déclare-t-il
J’avale ma salive, et pour toute réponse je me déshabille, et le rejoins.
Il me prend dans ses bras et nous nous embrassons longuement avec fougue. Il quitte ma bouche et descends sur mon sexe qu’il suce avec génie. " Oui Raphael , c’est bon ! Continue
! ".
." Laisse toi aller " me répond-il,
il continue sa délicieuse fellation et dans un dernier râle je jouis dans sa bouche.
Il avale mon sperme et me fait partager les restes par un langoureux baiser.
" Allons sur le lit, si tu veux bien ?
".
A ce rythme je ne tiendrais pas longtemps,
" je vais jouir " lui dis-je.
On se sèche et nous nous dirigeons vers sa chambre. Il n’a pas encore joui et je veux lui donner, à mon tour, du plaisir. A peine allongés j’entame comme une première fois de ma vie , une fellation.
Il me bourre littéralement la gueule et je sens son pénis frapper le fond de ma gorge, je m’étouffe parfois mais je sens son plaisir et ce plaisir me comble. Après quelques derniers coups de rein, il crie et son sperme gicle dans ma bouche. J’aime tellement sa jouissance que j’ai presque la sensation d’en avoir une deuxième. J’avale avec délectation son sperme, mon sexe est à nouveau tendu.
Je le laisse reprendre ses esprits. Je couvre de caresses, son visage, son torse, son ventre, son sexe maintenant débandé. Je le retourne, je poursuis sur son dos, ses fesses ses cuisses, son anus. Il se laisse aller, ses muscles sont totalement détendus par la jouissance passée. Puis j’entreprends de le lécher, ma langue finit par s’insinuer dans son anus, il recommence à réagir, à gémir. Je dépose tant et tant de salive sur son orifice que sans peine je lui introduis deux puis trois doigts. Il gémit encore plus fort et soulève son cul comme un appel à la pénétration. J’introduis mon pénis dans son rectum. Je commence un va et viens d’abord doucement puis de plus en plus fort. Il crie son plaisir, moi aussi. Je le bourre ainsi de longues minutes puis je sens mon sexe se tendre encore plus, la jouissance approche, j’accélère encore et j’explose. Complètement vidé, Je m’écroule sur lui et l’embrasse dans le cou.
Après quelques minutes, on rejoue la même scène à rôles inversés.
Excité par mon "enculage", son sexe a retrouvé sa vigueur, moi je suis comblé mais épuisé, je m’endors presque sous ses caresses et ses baisers. Il m’écarte les cuisses, il me lèche l’anus. Je lui dis " tu le veus, tu sais je ne suis vierge pas de ce côté-là. "
" Ah ! BON ! ! ! je ne pensais pas ça de toi ,Ne t’inquiètes pas je serais très doux, si tu as mal j’arrêterais. "
En même temps qu’il prononce ces paroles, il se lève prendre dans la table de nuit du gel lubrifiant. Il me dépose délicatement et abondamment du gel sur la rondelle, puis il me réintroduit un doigt, puis deux, il travaille mon anus pour le dilater. La sensation est douce agréable, je me détends progressivement. Il finit par poser son gland muni de son préservatif à l’entrée de mon anus et commence la pénétration , il arrête, puis à nouveau détendu il poursuit la pénétration jusqu’à ce que je sente sa touffe de poils au contact de mes fesses.
La mini- douleur du début fait place au plaisir qui se fait plus intense quand il accélère le mouvement. " Oh oui encules moi, vas y, c’est bon, je veux que tu jouisses "
Trente minutes, une heure plus tard, je ne sais plus, nous sommes réveillés par un bruit, nous ouvrons les yeux et voyons sa femme dans l’entrebâillement de la porte…
" Oui, c’est bon, je t’aime, je t’aime " et il me bourre de plus en plus fort jusqu’à ce que je sente le sperme couler ,tiède gonfler le préservatif dans mes entrailles." je vois ,je vois , vous avez sympatisé et moi alors ? ".
Mais là c’est une autre histoire…...............
Un jour de septembre, à la piscine municipale. Bizarrement il y avait peu monde, ce jour là. Après quelques longueurs de bassin et quelques jeux aquatiques, avec deux jeunes minets qui m’ excitaient , sans doutes par les contacts physiques de jeux de bagarres sous l’eau, je ne pus contrôler une franche érection . J’étais gêné, car même en maillot, il était difficile de cacher l’état de mon membre viril.
je me suis dirigé vers les douches communes.
Je ne tardais pas à voir que les deux minets m’avaient suivi et étaient dans le même état que moi.
Sans doute m’avaient-ils observé quand l’un d’eux déclara tout en glissant sa main dans le maillot " putain je bande, je me taperai bien une petite branlette "
" tu en penses quoi Frédérique ? " celui-ci répondit et ajouta avec un sourire " tout a fait Félix et toi papy? " tandis qu’il matait sans honte mon entrejambe.
Je répondis " vu l’état de nos bites , nous avons plus qu’a s’amuser mes petits "
Nous quittâmes la douche, pour les vestiaires.
Frédérique ôta son maillot , se retrouvant complètement à poil , me colla contre son placard et commença à se masturber lentement.
Gêné, j’hésitais un peu, mais il ajouta " allez, ne soit pas gêné, y a pas de mal à se faire du bien papy ", Félix se leva, mit un genou à terre et m’enleva le maillot ; je ne résistais pas.
Il se plaça plus prés de moi, nos corps maintenant se touchaient, nous commençâmes notre masturbation. Je jetais de temps à autre un regard sur leurs sexes, eux ne quittaient pas le mien des yeux.
Félix interrompit sa branlette, m’incita à faire de même et déclara " ton sexe est un peu plus gros que le mien, me semble-t-il ", puis comme
pour le mesurer il entoura mon pénis avec le pouce et l’index et annonça :
" effectivement il est moins gros ".
Simple prétexte bien sûr, sa main ne quitta plus mon sexe et il commença à me masturber, je me laissais faire, je fermais les yeux. Frédérique me
caressait les seins, le ventre. J’étais bien, je me laissais aller.
Félix accéléra la vitesse de son geste sur mon pénis et je ne tardais pas à jouir.
" C’était bon ? " me demanda-t-il.
"Oui " répondis-je, j’étais troublé, honteux de ne pas avoir tenu plus longtemps devant ces jeunes.
Mets-toi a genoux m’ordonna Frédérique.
Je m’exécuta
Les deux compères s’activant sur leur sexe jusqu’à ce que les jets de sperme atterrissent au fond de ma bouche.
Ils se sont ensuite rhabillés.
Percevant sans doute mon trouble, ils se sont approché de moi, " ne fais pas cette tête papy, on est là tous les mercredi ! ", puis m’ont
posé un furtif baiser sur la joue en ajoutant " ça restera entre nous ".
Bien sur les petits j’aurai aimé que ça soit un peu plus long
" Reçu dix sur dix pour la prochaine " lançèrent-ils en coeur.
Mon nouvel Amour
Comme chaque année , début septembre , je vais passer une visite médical ( la routine ).
J'arrive dans le local et je la vois ,la même conne que l'année passée , en train de trier des papiers .
. Je me dis:
-cette salope de gouine, je vais la choquer.
je vais m'arranger pour bander comme un porc en arrivant devant elle, juste pour la faire chier, cette morue.
je m'inscris a l'acceuil pour signaler mon arrivée , la secrétaire me dit " allez dans la cabine 2 et mettez vous en slip ".
J'entre dans la cabine et je me fous entièrement nu, alors que je sais qu'on doit garder le slip.
Je me masse bien la teub un moment. Elle se met à prendre de bonnes proportions. Quand je suis bien en érection , j'entend "c'est a votre tour
monsieur ",
je quitte la cabine pour me présenter devant elle, triomphant.
Elle a la bouche ouverte en regardant mon allure.
Elle me dit " allongez vous sur la table " et commence à m'occulter. Elle est visiblement intéressé par ma
pine raide.
qui repose de tout son poids sur mes abdos.
Elle soulève et dit " beau morceau ! "
Je laisse faire, elle tire sur la peau et mon gland est lisse, et une goute de pré foutre sort au bout.
Elle me dit " Vous êtes naturiste monsieur ? "
Oui madame
Elle soupèse mes couilles en me demandant " toussez ".
Je tousse.
Elle me dit " levez vous je dois regarder votre prostate "
- Ah bon ?
- Oui, oui, penchez vous en avant.
Je me penche et je sens qu'elle me fout un doigt dans le cul. Humm j'aime ça.
Whaaaa!! une entrée bien distandue , vous aimez vous faire prendre , dit-elle
Oh! OUI madame et vous?
sans répondre elle continua a me questioner.
quand la dernière fois?
il y a une heure avec Narcisse un jeune étalon de 20 ans
et lui hummmmmm!!! une bite
courte mais le calibre super encore plus gros que moi.
" vous mettez des préservatifs ,pour vos rapports , au moins "
Ben oui sauf avec Narcisse pas sa taille!
J'écarte mes fesses avec mes deux mains.
Avec son autre main elle me masse la bite raide. elle fait un va et vient dans mon cul.
- je ne sens pas votre prostate monsieur
- ah bon,(hihiii) allez un peu plus au fond, à droite, au fond du couloir
Elle sort son doigt et va vers une petit table, je vois qu'elle enduit sa main avec du gel , revient et me l'enfile dans le fion, sans aucune précaution. Je lâche un gémissement de satisfaction. Elle reprend ma pine avec son autre main et continue son va et vient.
- ca y est je la sens, vous la sentez aussi ?
- oui madame, je sens votre main pleine de doigts dans mon cul.
- ca va , ca fait pas mal?
- non, non bien au contraire ,ouuiii continuez madame.
- ok
Elle ressort sa main et me dit de me mettre sur la table , de coté face à elle.
et ajoute " monsieur, je suis médecin, mais une femme. Vous permettez que je suce votre queue ? "
__faites votre métier madame, si il faut que vous suciez mon sexe, faite-le
Elle se penche , ouvre la bouche et englouti ma pine chaude.
Elle suce bien cette salope de toubib , me masse les couilles en me suçant la queue, tire dessus comme une malade.
Je grogne de plaisir ,et je glisse une main entre ses cuisses , qu'elle s'empresse d'écarter
Oh ! la salope ,elle ne porte rien sous la blouse.
- ouai vas y doc, faite moi jouir, tu suce bien putain et en plus ta chatte est bien lubrifiée par ta mouille salope , continue et je vais te baisser apres.
Elle me dit " taisez vous mes collègues sont juste à côté ".
Elle masse mes pecs tout en me suçant la queue.
Je sens que je vais larguer ma purée .
Soudain:
Elle se lève et enlève sa blouse et me dit:
" encule-moi beau mec "
( hummm j'adore que l'on me dise ça ,moi qui ai 60 balais )
je veux
te sentir au fond de moi. Ramone-moi le fion avec ta pine d'ours ".
Elle se tourne et me présente son anus.
J'ai pas de préservatif , madame
Tanpis je la veus de suite et vous le fait bien sans , de temps en temps
Je m'enfile dedans et je la baise. Mes couilles tapent contre ses fesses.
Elle se mit a gémire en disant " ouai je suis ta salope, encule moi, Ouiiiii , pine moi, je te veux, je suis ta pute, défonce moi
la rondelle "
j'entrais , resortait un coup dans la chatte , un coup dans le cul
Elle adorai " OUIII casse moi l'pot. vide toi en moi je veux ton jus de mâle en rut, donne moi ta sauce de couilles ! jouiuiiiis sale pd de merde, jouis
dans mon fion ouvert "
je lui ai fait la totale et je suis ressorti de là visite en le laissant madame avec sur le visage, le sourire niai d'une pute heureuse de s'être enfin pris une bonne grosse pine
de vrai mâle dans le cul.
Je reviendrai l'année prochaine dommage qu'elle n'est pas mon médecin traitant!!.
Les jours qui suivirent , plus calmes , je commençais a faire les préparatives en vue des fêtes de fin d'année qui approchaient a grand pas , je me rendis à Metz afin de trouver quelques
cadeaux.
En cours de route ,Je ne vois pas de parking, je roule, je roule ; soudain un panneau : parking a 1km, je roule, j'arrive vers le parking, je ralentis, je
vois 2 voitures arrêtées. Je m'arrête
Je descends de ma bagnole, je rentre dans le bois pour pisser contre un arbre.
Quelques mêtre plus bas Il y a un mec qui se branle en regardant une pouf blonde qui se fait enculer par un minet. et il lui ramone bien le cul à cette salope.
Le mec , la trentaine ,regarde et se masturbe ,sans doute hétéro car il s'occupe que de sa queue en regardant que le cul de la meuf.
Je sors ma pine , pisse sans me cacher vers lui et me branle doucement,soudain j'ai envie de me faire défoncer le cul.
Le minet baise toujours la fille à fond, elle couine, je vois la queue du mec mateur , dure , longue et raide.
J'en ai envie, putain que j'en ai envie.
Le minet sort du cul de la pouf et jouis. Le mec remet sa pine dans son froque et se tire.
Je reste seul dans ce bois, la queue tendue, le cul entre ouverte et moite. J'attends comme un con et si personne ne vient je me casse.
Au bout d'un moment, je décide de me foutre à poils. Je suis nu, J'aime ça etre nu en nature.
Soudain j'entends un truc qui craque derrière moi, je me retourne et je vois un mec tous juste 22/25 ans. Putain le mec ! Il est mignon , en basquette ,juste un short. Des biceps puissants des pecs globuleux une taille fine et une gueule sortie d'une bande dessinée. Il me regarde. On se regarde. On s'approche.
Je lui dis " vous avez vu ce que le minet lui a mis à la pute "
- putain elle m'a excité cette pute en se faisant enculé comme ça.
- ouai mec moi aussi je suis excité
- mais ya pas de pute ici en ce moment
- non pas en vu
- on est comme des cons avec la queue raide et les couilles pleines
Il rigole. Il lève sa main et se pince un téton en me regardant et en souriant .
- t'as envie de quoi petit,
- de jouir papy
- OK Ok mais tu es pd ou pas ?
- non je suis normal , hétéro quoi
- moi je m'en fous si c'est une fille ou un mec pourvu que je
jouisse
- ah bon ? Tu jouis avec des gars ?
- ouai et je fais tout ce qu'ils veulent
- tout ?
- ouai petit
-arretez de me dire petit ,jai 22 ans et je m'appelle Alex
-OK ben le papy à 60 ans et s'appelle Simon
-enchanté
- tu veux essayer ? Te vider les couilles avec moi ?
- putain, je n'ai jamais essayé ça
Je baisse la tête comme si j'étais timide
- ben... je sais pas ? On commence comment ?
Approche Alex, prend ma pine dans ta bouche , et suce là , j'aime ca.
il s"exécute tout en pensant
- putain je fais quoi ? Je suis dingue ou quoi ?
Il sort ma queue de sa bouche et je profite pour lui dire
- tourne toi je vais m'occuper de ton cul
- je me fais pas enculer, eh je ne suis pas pd moi !
- je ne vais pas t'enculer, je veux te bouffer la rondelle.
Je le retourne et je l'appuie contre un arbre , écarte ses fesses et passe ma langue dans la raie, je sens mon menton barbu qui lui fait du bien sur la rondelle, je ronge
littéralement son anus, il n'en peux plus, Alex 'écarte lui même ses fesses et me dit
- encule-moi,avec ta grosse queue raide, vas y avant que je change d'avis.
laisse toi aller , ne te raidis pas , je vais dépucler ton ptit cul
je pris un preservatifdans la poche du pantalon gissant sur le sol ,lubrifa la pastille , et lentement ma queue entra dans son univer
ah! c'est bon gemissait-il ouiii continue
les deux mecs qui se masturbaient devant la pute , nous
regardent et se masturbent. Je me marre.et Alex se laisse défoncer je me retiens pour ne pas jouîr.
je dit a Alex
-Maintenant encule-moi, je te veux dans moi, mec. Baise moi le fion avec ta belle queue raide .
Il se place derrière moi , me caresse le torse , se penche a mon oreille et dit
Je vais t'enculer papy, tu vas me sentir dans tes tripailles chaudes et humides.
Il crache sur mon trou , présente son gland devant mon entrée.
Il entre dedans comme dans du beurre tellement j'en ai envie, je veux me faire baiser, je veux de la pine dans le cul, je suis une pute à mec, j'aime la bite.
Il m'encule et je vois devant moi, un des 2 mecs qui me tends du poppers, je snif et soudain je me sens salope comme pas possible je veux que tous ces mecs me souillent, je veux qu'ils me crachent dessus, me pisse dessus, et éjacule sur mon corps nu et offert dans ce bois.
je snif une nouvelle fois du poppers et le mec me bourre sa pine dans ma bouche. Il me l'enfonce jusqu'au fond de la gorge. J'ai des hauts le cœur.
Ma salive devient épaisse, je grogne. Je snif encore. Je me fais enculer, je suce et le troisième me pompe la queue qui est au bord de la jouïssance.
Je me laisse piner et défoncer par tous les trous quand a Alex il ne pensait plus hétéro. C'est bon d'être la chose de mecs virils.
Soudain Alex enleva son preservatif , enfile sa pine dans ma bouche , lachait ses multiples jets de nectar crêmeux que je senti descendre dans mon estomac.
L'autre mec jouit dedans et me rempli de ventre,puis Alex accepta ,ma gelée royal qui déborde de sa bouche,avant de me rouller un pelle mémorable
Alex et moi ,effondré sur le sol, gisant dans le foutre . Alex se penche vers moi et me dit
Viens, là bas dans la voiture.
Ludowig attend
, depuis le temps qu'il espère que je l'encule, tu seras mon témoin , je suis
apte.
je n'ai pas acheté de cadeaux mais j'ai fait deux heureux...et depuis Alex et Ludowig vivent le grand amour.
l'année se termina encore mieux ma femme Anita c'etait enfin laisé prendre par le voisin .sous le regard de mon neveu Joêl qui lui demanda
"ma tante puis-je vous
baiser"
elle repondit " viens ça sera tes etrennes "
En debut de ce mois d ‘août 2005 et comme tous les ans a la même époque le cafard entre en moi je ne peu oublier mon amour Gérome qui ma quitté accidentellement depuis 35 ans
La douleur de mon cœur me pousse a revivre de bon moment avec lui
Les yeux fermés je revis une nuit de 1968 ( voici mon reve)
" " " " " " " " " " " " " " A MON AMOUR " " " " " " " " " " " " " " " " " " " " " "
Je rentre du boulot, il est un peu tard.
Gérome à cette heure doit déjà être sous la couette.
Il a du avoir comme moi une dure journée.
Ses effluves me rendent dingues.
Ma langue le fouille, le lèche, essayant d'aller de plus en plus profond dans cet orifice chaud, nacré et parfumé.
Je me suis pas trompé, sur la table de la cuisine, les restes de son souper. Chouette ! Il m'a quand même laissé un morceau de pain. Je réchauffe le reste de potage qu'il n'a pas fini.
Dans le fond j'ai pas grand faim.
Je raconte des conneries, pas faim ? Siiiiiiiii faim de lui.
Une petite douche sommaire et hop sur la pointe des pieds, je rejoins Gérome dans la chambre.
Il n'a éteint la lampe de chevet qui diffuse une lumière douce et sensuelle tout autour d'elle.
Il est là dans le lit couché sur le ventre le drap a glissé et ne cache pas grand chose de son corps superbe.
Quelle merveille cet homme !
Le nombre de fois que je me suis murmuré ces mots.
Si les yeux en caressant trop souvent un être risquent d'en provoquer l'usure, toi mon amant, longtemps tu ne serais plus que poussière, tellement de fois je me suis rassasié de ton image.
Je me glisse subrepticement sur le lit tout à côté de ce corps merveilleux.
Ma main ne résiste pas à l'envie de le frôler, de le toucher sans qu'il ne s'éveille.
Le creux de ses reins je l'effleure de mes lèvres.
La paume de ma main suit le sillon en creux de son dos, je m'arrête sur chaque muscle pour finir vers le cou à la naissance de ses cheveux qu'il porte très courts.
Une odeur de mâle émane de lui, il n'a pas eut la force de prendre une douche, il s'est écroulé direct après avoir soupé.
Les effluves qui émanent de lui devraient pouvoir être mises en conserve et servir d'aphrodisiaques très coûteux.
Dans son sommeil il replie une jambe sous lui.
Son merveilleux fessier est ainsi encore plus mis en valeur.
Ce sont deux merveilleux ballons jumelés, légèrement duveteux, ce qui lui confère une douceur extrême bien que très ferme de plus à caresser voluptueusement.
Ah ces fesses, ces merveilleux fruits qui quand il marche que ce soit ici à la maison ou dehors dans la rue attirent des regards d'envie et de jalousie.
Et pour exciter encore un peu plus le monde, il exagère des fois son déhanchement, ce qui a pour effet de presque faire tomber de leurs orbites les yeux le regardant.
Quand je suis avec lui dans ces moments là dehors, je ne peux pas faire autrement que me marrer intérieurement et me dire " Regardez, mais ne touchez pas, ne rêvez pas il est à moi ce morceau de Roi "
Ouais ce soir il est à moi il est à côté de moi assoupi et livré à tous mes désirs.
Je me penche sur lui, le respire, le sens à pleins poumons.
Je lui écarte délicatement ses deux globes.
Niché dans cet écrin merveilleux, sa rosette.
J'approche mon visage, l'enfoui délicieusement dans ce puits de félicité.
Mon coeur bat très vite, c'est trop beau c'est trop bon.
Mon sexe déjà partiellement raide à la pensée de te retrouver Gérome, s'est complètement gorgé de sang, je suis dressé et raide comme pas possible.
Je te prends doucement par la hanche pour te mettre sur le côté. Tu pousses un soupir mais te laisse faire.
Je me colle à ton dos.
Ma queue entre tes cuisses, mes genoux dans le creux de tes jambes, mes abdos collés contre tes lombaires.
Je te lèche le cou ta peau est un peu salée.
Je détache un peu mon bassin de ton corps pour que ma tige puisse venir se poser sur ta rondelle.
J'y vais doucement. Millimètres par millimètres j'investis ta grotte d'amour. Je reste dur un max.
J'avance toujours, je viens en toi.
Tu te cambres un peu pour que ma pénétration t'atteigne plus profondément. Là c'est bon je suis à fond.
C'est bon c'est serré, c'est chaud.
Ma main passe sur le devant de ton ventre, je frôle ton sexe, il est tendu.
Je l'encercle de mes doigts.
Chaque pression sur ton gland provoque un resserrement instinctif et musculaire de ta rondelle autour de ma queue.
Je déguste, je fais durer le plaisir, je ne bouge pas, le monde peut s'écrouler je m'en fous je suis bien dans toi.
Je me décide au bout de je ne sais combien de temps à entreprendre un tempo de va et vient entre tes reins.
Rien de brutal, non, un tempo doux mais à chaque fois très profond.
Je ne veux pas cracher la béchamel tout de suite.
Une heure peut-être deux que je me retiens, mais là ça part !!!!
Un feu d'artifice dans ma tête, des comètes de partout.
J'ai l'impression que tout mon être toute la matière dont je suis constitué passe par ma queue et t'investi.
Je reprends mon souffle, mon sexe dégonfle et s'échappe de ton orifice brûlant.
Tu te retournes brutalement " Espèce de salaud me dis-tu, tu m'as violé, tu ne perds rien pour attendre à ton tour maintenant de te faire farcir "
- Chic !!! me dis-je, mais ça sera pas un viol, je te désires tellement, et de n'importe quelle façon...
pour les vacances j'ai retrouvé un neveu
Joël 19 ans
il venu me voir lors d'une recherche généalogique afin de mettre un visage sur un des maillons manquand de son arbre , il comprit tres vite mon amour pour les mecs et me dit "
je comprend mieux pourquoi ta soeur ne voulais pas me donner de renseignements sur toi "
Ah! bon et toi qu'en pense -tu?
C super chouette , bien au contraire je me sens pas seul dans la famille a aimer les mecs.
tu sais Joël faut pas avoir honte dans la famille il y a aussi quelques cousins a toi comme Julien ou Romuald , si tu veus viens le 15 août il seront a
la maison
AH! tonton je savais qu'avec toi on avait un point commun ,je reste passer les vacances si tu veus
avec joie mon petit Joël
Je découvrais un tout jeune mec de 19 ans. Blond sans barbe avec des traits fins et des yeux gris à faire craquer un n’importe qui. " Je m’appel Mickaêl et j’ai commencé ma tournée hier matin,,je viens de chuter sur le gravier , c'est pas de chance je pourrais nettoyer mes plaies avant de vous
remettre votre recommandée "
Sous le choque il n'avait même pas remarqué ma nudité.
Je lui ôtais son blouson car ses mains étaient en sang et le pantalon déchiré montrait le genou bien rappé..
Une fois en pull, je découvrais le corps très mince de ce petit mec tout au plus 50 kg pour 1m70. Ses cheveux blonds, lui tombaient sur les yeux et il les remettait en place pour un
mouvement de tête charmant. " Et bien Mickaêl je vais d’abord laver tes mains ensuite nous nous occuperons de ton genou. "
avec de l’eau oxygénée j’enlevais les gravillons incrustés dans la paume de ses mains. Mickaêl de temps en temps grimaçait de douleur.
J’avais mon visage face au sien et sentais son odeur. Vraisemblablement son eau de toilette devait être du axamen.
Je le lui dis et me confirma en souriant " vous êtes sympa monsieur de me détendre".
Je te serre un café ,ensuite je te soigne le genou.
Pour ce faire il devait enlever son pantalon mais ne pouvait pas défaire ses boutons avec ses mains blessés. Je lui proposais de l’aider à se désaper .Il se mit à rougir me fixa dans les yeux et
me dit " je veux bien que vous m’aidiez car mes mains sont douloureuse, mais vous êtes tout seul ici ? car sous mon pantalon je ne porte qu’un string
. "
je comprenais sa gêne mais l’idée de voir ce petit mec en string me provoquait une érection qui d’un coup d’œil , l’avait aussi remarqué, mais ne dit mot sur ma nudité
.
Après le café, je commençais à lui défaire sa ceinture, puis le boutons du haut en entrant la main dans la ceinture du pantalon me trouvant en contact avec sa peau d’une douceur extrême. Puis
vient pour moi le plus difficile défaire les boutons de sa braguette..
Mickaêl avait la tête baisse pour regarder mes mouvements . Tout en déboutonnant son fut j’entrais naturellement en contact à travers le tissu avec sa bite qui me semblait développer
doucement une érection.
Dés que je commençais à faire glisser le pantalon sur ses jambes je découvrais un ventre plat sans poil à la musculature bien dessiné. Enfin je vis le mini string blanc qui avait beaucoup
de peine à contenir sa bite en début érection. Mickaêl me dit " excusez moi, mais mettez vous à ma place, cela fait dix minutes que vous me
débraguettez,en plus vous etes nu alors je ne suis pas de bois et vous savez bien ce que c’est qu’une bite. "
je plongea mes yeux dans les siens et compris que la partie était jouable.
En faisant glissé son pantalon le long de ses jambes je les caressais de haut en bas sentant mon petit facteur frémir. Puis lui fis lever les pieds pour l'enlever complètement . Je détaillais ses
jambes blanches et peu poilues et je fixais son string tendu a craqué qui commençais à laisser poindre une petite tache de mouille.
Je détournais le regard pour m’intéresser à sa blessure. En faisant pivoter son corps, la paume de ma main droite vient en contact avec la pointe de sa bite. Alors, Mickaêl posa sa
main sur la mienne et me la fit glisser sur sa queue tendue.
J’approchais la bouche et commençais à lui mordiller la bite à travers son string. Mes mains plotaient ses fesses nues et mon doigt suivait la mince bande de tissus qui lui entrait dans la raie
du cul.
Mickaêl gémissais de plaisir même si de temps en temps sa blessure le rappelait à l’ordre.
"mon genou me fait mal , mais il peut attendre un peu" dit-il
couche toi sur le canapé pour que je puisse ôter son string.
Maintenant j’avais devant moi sa queue d’environ 16/17 cm non circoncise entourée de poils blonds frisés. Je continuais à sucer avidement ce jeune dard et glissais mon index dans sa rondelle qui
se dilatait. Tout à coup Mickaêl m’avertit " je jouis ! "
Je ne me retirais pas et avalais cette semence acre et chaude. Puis je lui roulais un patin profond pour partager avec lui son jus de mec.
Sa langue me fouillait la bouche et il buvait son sperme additionné de ma salive. Pour le laisser reprendre ses esprits je continuais à lui caresser ses tétons fermes et bandés. Avec beaucoup de précaution en raison de sa blessure, je tentais de glisser ma langue dans le cul du petit facteur. IL se coucha alors sur le coté pour que je puise accéder à sa rondelle rose.
Je faisais glisser un doigt dans ses entrailles puis deux et je commençais à préparer le troisième lorsqu’il me dit " j’ai envie de votre
bite. " J’enfilais un préservatif, l’enduisis de gel et doucement j’approchais mon gland de ce fion qui n’attendait que ça.
Je pénétrais doucement, et je sentais Mickaêl réprimer un petit cri de douleur , puis je le sentis se détendre et commencer à trouver son plaisir.
Je le limais maintenant bien à fond et ses couilles battaient su ses jambes alors que les miennes lui frappaient le cul . En même temps, je l’embrassais et il me caressait la tête avec amour.
Sentant mon jus venir je l’avertis.
" Jouis moi dessus " me dit il. Je me retirais de sa rosette, enlevais mon préservatif et tout en m’astiquant la queue, je crachais le
foutre crémeux et blanc sur son beau visage .
Doucement, je m’approchais et lécha le nectar de la gueule de mon petit postier .
Soudain nous fumes dérangé pas des aplaudissements.
Mickaêl sous la surprise dit " Ah! zute ils nous ont vu "
T'inquiète ces mes neveux et ils sont comme toi ,ils adore la bite
et eux ( Romuald,Joël,Julien ) lancèrent tous les trois en coeur
__bravo tonton et felicitation facteur du tres beau baisage et si tu es libre reviens ce soir , nous aussi on voudrait bien !!
Après avoir soigné son genou et rhabillé, et repartit sans même me donner le commandée .
Et vers 20 h
ma sonnette retentie, Mickaêl, tout
sourire dit " tes neveux mon invité alors nous allons baisé toute la nuit…demain je suis en repos "
.
Fin Juin, il nous annonçait qu’il recevrait, pour un mois, son neveu de 22 ans, habitant en hollande. Ce dernier se remettait doucement d’une déprime due soit disant à une peine de cœur.
En revenant de vacances fin juillet je constatais que la fenêtre de la chambre d’ami chez mon voisin était ouverte, je supposais que le neveu était arrivé.
En effet pendant que je déballais mes affaires de la voiture je vis un jeune homme blond comme les blés, torse nu que me regardait par la fenêtre. Je lui fis un salut de la main , qu’il me rendit en souriant.
Le sourire craquant de ce petit minou me fit un effet bizard.
L’après midi, alors que je lavais ma voiture mon voisin accompagné de son neveu vinrent me saluer et me le présenta " tient Simon voici Erick " .
Je le détaillais de la têt aux pieds, mince, 1m80, sans une once de graisse, bronzé, torse nu et serré dans un short en jean frangé.
Ses jambes étaient légèrement musclées mais lisses aussi. Son torse ne portait aucun poil mais deux petits tétons placés sur des pectoraux bien dessinés , ses yeux bleus intenses soutenaient mon regard avec l’impression de scruter mon âme. Surprenant et déstabilisant. Son visage poupon et rond avait un petit sourire permanent qui le rendait charmant et énigmatique. Le lendemain soir nous étions invités à l’apéritif chez mon voisin et Erick se montra drôle et intelligent parlant bien de son métier de décorateur d’intérieur qu’il exerçait en hollande avec un associé.
Je blaguais avec lui et il me répondait du tac au tac.
Une vraie complicité s’établissait entre nous et je ne pouvais détacher mon regard de ce superbe éphèbe. Au fil de la soirée j’avais l’impression que son regard était sur moi et, chaque fois que je levais la tête, je croisais son regard bleu intense.
Putain je me laissais troubler par un minou de 22 balais !
Le même soir, vers 23 h comme je rentrais dans ma chambre, je vis que la pièce d Erick était toute éclairée et les fenêtres ouvertes. Ma curiosité attisée, je me posais à ma fenêtre pour regarder les etoiles.
Quelques instants après je le vis passer devant sa fenêtre, nu comme un vers rangeant des bouquins sur une étagère. Je voyais ses fesses blanches merveilleusement rondes.
Merde ! je commençais à bander !
Tout à coup Erick se retournait, m’offrant à la vue une petite bite et deux valseuses bien collées le tout parfaitement rasé semble-t-il !
mon érection devint maximale.
Erick, sans l’once d’une gêne, me salua de la main et me lança "
"
Bonne nuit Simon ! tu voudrais faire du vélo avec moi demain vers 8 h ? mon oncle ne veut pas. "Putain ! Simon, quelle santé ! j’arrivais pas à suivre dans la cote ! Mais quand je vois ta musculature je comprends. "
J’acceptais la proposition " lui donnant rendez vous devant mon portail ".
Ma femme revenait de la salle de bain, nous nous couchâmes.
Dans le lit, je pensais à la vision de cette beauté que j’avais contemplée , fantasmant sur la possibilité de toucher un mec aussi beau que lui.
Le lendemain, dès huit heure l’un et l’autre étions au rendez vous. Nous avions lui comme moi, enfilé nos tenues cyclistes qui ont pour conséquence de mouler les bites sans pouvoir en cacher quoi que ce soit.
Je reconnaissais le corps moulé de mon minou et enfourchais rapidement mon vélo de peur qu’il s e rende compte de mon début d’érection.
Après une trentaine de kilomètre à un rythme soutenu, je décidais d’arrêter pour souffler à l ’ombre des arbres. Avec la chaleur nous ruisselions de transpiration qui plaquait encore plus nos
shorts et maillots sur nos corps.
Joignant le geste à la parole, il me posait ses deux mains sur les pectoraux et me planta son regard bleu dans les yeux. Je ne bougeais pas, mais je sentais que je commençais à bander.
Erick me décocha son sourire désarmant, se recula d’un mètre, et posa son regard sur ma queue qui prenait du volume. Sans que je puisse esquisser le moindre mouvement, il posa sa main sur ma bite
en frottant pour aussi me caresser les burnes. "
Tu es bien monté Simon, c’est moi qui te fais triquer ? "
" Tu veux que ce soit qui ? Les oiseaux ?
" Erick éclata de rire, me prit la main et me montrant le bosquet derrière nous, m’invita à le suivre. Nous rangeâmes les vélos
et comme un gosse je me laissais guider par ce petit monstre. Un instant après alors que nous étions dans le bosquet à l’abri des regards indiscret quoique dans la campagne où nous étions il n'y
avait pas trop de risque.
Erick s’agenouilla devant moi et à travers mon cycliste, me mordait la queue, me suçait les burnes.
Ne tenant plus je baissais mon short. Ma bite avait pris toute sa dimension et se dressait fièrement face à ses lèvres. Erick commençait à lécher le gland, puis le sucer… il entreprit de le décalotter en serrant les lèvres ….
Putain c’était la meilleure pipe que je vivais.
Il me pelotait en même temps les fesses mai quand il voulut introduire un doigt dans mon cul je lui dit " plus tard ".
Il arrêta sa pipe me regarda et me dit "J’adore et toi ?
"OK mais moi je veux que tu me jouisses dans la bouche ! les deux sont incompatible ! .
" Continu donc " lui répondis-je.
Au bout d’un long moment je sentais la sève monter et comme je ne voulais pas jouir je lui proposais " arrête prend ma place " . Il sortit sa petite bite rasée
complètement débandée (ce fut ma grande surprise)une petite merveille. J’entrepris de lécher lentement le prépuce bien fermé puis commençais à sucer, je sentais doucement sa queue gonfler dans ma
bouche et au bout de quelques minutes, elle me sembla à son maximum.
J’arrêtais de sucer pour le contempler pas si petite que ça elle devait faire 16/17 mais fine en diamètre. Je retournais mon minou pour lui lécher le fion rasé aussi. Erick lâchait de petits
gémissements de plaisirs.
Je m’adressai à lui " Erick je veux t’enculer ! "
"Hummm!!mais pas le premier jour "
Nous convenons que nous aurons d’autres occasions et que j’acceptais qu’il me suce à fond et je l’enculerais une autre fois.
Il repris ma bite entre les lèvres et commençait à rejouer avec. J’étais aux anges
Soudain je regardais à deux mètres de nous à travers le buisson, et vis un jeune mec qui nous observait en se masturbant. Merde je ne l’avais pas vu venir, c’était un mec qui gardait son troupeau de vache dans le pré d’à coté. Après en avoir informé Erick, celui-ci s’arrêta de me pomper se leva et se dirigea direct vers le voyeur.
Très rapidement, Erick lui touchait la bite qui avait l’air d’une bonne taille. Puis revint avec le jeune mec vers moi. "
C’était le berger de la ferme voisine de notre domicile.
Simon je te présente Pierre qui veut bien participer avec nous
" Bonjour Pierre tu es surement surpris de me trouver là "
." NON , t’inquiète mais toi aussi garde ta langue "
" promis monsieur Simon "
" Tu es toujours d’accord Simon? "
je détaillais le petit mec, 25 ans environ, brun, râblé, un visage rond
" OUI je suis partant "
Erick lui baissa le pantalon et slip sur les chevilles découvrant une bitte circoncise, droite d’un diamètre assez fort, mais courte , une toison noir entourait ce pieu et deux burnes pendantes semblaient bien pleines.
Erick repris la parole.
" bon alors ne perdons pas de temps , Simon, je tiens la quadrature du cercle, je
suce Pierre qui me semble en avoir besoin et toi tu m’encules.
"
Sitôt dit sitôt fait Erick se mit en position de ce fait, j’avais en face de moi le petit Pierre que je voyais râler de plaisir avec la pipe que lui pratiquait le beau blond.
Pour ma part, ma bite devant le petit cul lisse d’Erick t trouvait son fion déjà ouvert. Ma queue appuyée sur la rondelle rose de mon minou , à la première poussée commençait à rentrer. Le corps
souple d’Erick se lovait et ma bite rentrait à fond comme dans du beurre , mes couilles venant taper ses fesses rondes de mon éphèbe.
Je voyais le petit paysan aux anges en train de se faire sucer par un expert.
Tout à coup il se mit à annoncer "
"Je vais jouir ! "
Erick le tenait par les fesses pour qu’il ne lui échappe pas voulant boire sa semence. Tout à coup par petit cri le jeune berger lâchait sa purée dans la gorge d’Erick.
Sitôt qu’il eut déchargé, il remis ,son slip, son pantalon et partit précipitamment nous laissant Erick et moi ,poursuivant mon limage et Erick visiblement appréciait
A mon tour je déchargeais un flot de foutre qui lui rempli le cul et coulait sur mes cuisses et sur la raie de son cul.
Erick me reteint pour que ma queue débande doucement dans ses entrailles.
Quelques minutes après je retirais ma bite du fion de mon minou.
Erick se retourna pour me dire "
" merci ,ça été formidable "
il avait du sperme autour des lèvres, Pierre avait certainement un sérieux retard de vidage de burnes.
Nous reprîmes nos vélos et poursuivames notre route, mais, vous vous en doutez à un rythme de sénateur.
Pendant le mois ou Erick est resté chez son oncle nous avons plusieurs autres aventures
.
.Julien nous avait annoncé un feu d'artifice après les fêtes de Pâques ( vous n'avez pas oublié sinon voir article précédent ).
Ayant de la place dans ma maison et ma femme Anita en vacances , j'avais accepté que Julien fasse et organise la fête chez moi.,pour cloturer l'année scolaire et arrosser la vie de garçon de
l'heureu élu de sa soeur
en remerciement Julien m'avait dit " Tonton tu y es invité aussi et tous le monde devra etre a poils "
Ok mais je fairais le service boisson
" comme tu veus tonton ,je te donnerai les instructions sur le goût de
mes copains a ce sujet "
je prevois des capotes (préservatifs) je pense que vous en utiliserez ?
" Tu es génial tonton tu pense a tous ! "
comme vous serez un bande de jeunes ,je peus inviter un ou deux potes?
" super tonton je sui ok et mes copains aprécieront "
il invita des copains , des
jumeaux , le charmand Joseph qui devait épouser la soeur de son cousin Romuald avec qui il aime fourniquer et invité a la journée ,quand a moi j'ajouta trois
amis ; Willian
comptable dans mon anciene
entreprise et Mikaël
chauffeur de bus ma dernière
conquète ,et Vincent j'eu la surprise de voir qu'il
était venu avec son fils Hubert 18 ans.
ça faisait du beau monde et si la journée commença au jus d'orange , coca, coupé par le wisky , tous a poils la fête battait son plein.
Julien me fit remarquer une absence prolongé " tonton le fils de Vincent et parti a la salle de bain il ne semblais pas bien "
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