Les vacances commençaient bien. un séjour en Auvergne avec mes 2 filles , ma femme étant sur l’Ile d’Oléron avec le fils.
Les mois de Juillet et d'Août passèrent sans que je ne m'en aperçoive.
J'étais resté au soleil, un cocktail dans une main,. Je sortais souvent, presque tous les soirs en fait, et à chaque fois, je m’y rendais avec mes filles. Elles passaient leur temps sur la piste des boîtes à la mode Clermont Ferrant, pendant que moi je restais accoudé timidement au bar.
Certes je ne passais pas inaperçu avec mon regard amusé.
Mais les filles faciles n’étaient pas vraiment ma cible favorite. Je préférais attendre de trouver un petit brun perdu plutôt que d’aller courir les blondes en jupon.
Si l’occasion s’était présentée, je me serais jeté sur un de ces espagnols, toujours souriants et toujours charmeurs. Je remarquais quelques jolies garçons...
Et même en étant à l’écart de toute cette agitation, je pouvais entendre les premières messes-basses entre copines, les premières analyses des filles qui se voyaient déjà au bras d’un de ce bellâtre en chemise ou il y était inscrit " l’amour c pas cochon ".
J’en riais sans gêne. Quand soudain.
__Qu’est-ce qui te fait rire?
Surpris, je me retournais pour voir qui me posais une telle question.
-Eh bien...
__Quoi? Tu penses faire une partie de plaisir avec des minets?
-Non, bien sûr que non. C’est juste que...
__Oui, oui.tous les même ces vieux Tu ferais bien de surveiller tes arrières à partir du maintenant.
Il me disait cela sans une once d’énervement, mais toujours avec ce sourire charmeur sur les lèvres.
Je ne savais pas tellement comment réagir, alors je me contentais d’afficher un sourire niais et timide. Quel idiot je devais faire..
Mais j’étais toujours en train de le regarder.
Une voie l’interpelle " Natham tu dragues les vieux ? "
Il s’était retourné et avait rejoins sa bande d’amis. Je le vis alors leur parler discrètement, et tous se retournèrent vers moi pour me scruter.
J’avais honte d’être ainsi observé et je préférais consommer un nouveau coktail.tout en me disant " je me le fairais bien ce Nathan "
je fis la connaissance de plusieurs garçons (tous juste 18 ans). Parmi ceux-ci, un en particulier retint mon attention. Il s'appelait Morgan, mais était bâti dans la pierre. Il avait ce qu'on appelle un corps de rêve. Il m’avait remarqué
Moi je restais stoïque face à ce corps qui me faisait rougir quand il était venu me voir juste pour parler gonzesses..
.
Peut-être que j'avais définitivement la gueule et l'allure d'un hétéro, et c'était tant mieux. Alors je feignais de m'intéresser à son bavardage.
Depuis je ne le lâchais plus des yeux. A chaque fois que Morgan me regardait, il m'accordait un sourire à tomber. Chaque fois qu'on se croisait, il me passait une main dans le dos. Cela avait
pour effet de me faire trembler. Je n'espérais alors qu'une chose, qu'il s'en aperçoive .
La soirée resta très calme. Lorsque l’orchestre annonça " demain 22h soirée spéciale , la salle sera surchauffée venez le moins vêtu possible et la seule règle à respecter, portez un loup (un masque de velours) ".
On nous parlait d'une salle surchauffée... Allez savoir pourquoi. ? ?
Mes filles me dirent " papa on y revient demain avec toi "
-J’ai pas trop envie mes enfants c’est une soirée pour jeunes.
Tu es encore jeune papa et puis trop tard on t’a pris un loup.
Dans ce cas c’est OK
Le lendemain , Passé 22h00 ,nous entrâmes dans la disco , aux vestière on me proposa de laisser là manteaux et autres objets personnels tels que le portable et le portefeuille .Les filles partirent vers la salle de danse , quand a moi je fut diriger vers l'endroit où se tiendrait une réunion des mecs. Alors je me précipitais sans oublier de nouer le loup derrière ma tête.
L'endroit n'avait rien de glauque. Il y avait en fait une pièce centrale fortement éclairée et plusieurs petits salons privés autour. Les salons étaient séparés du reste par de grandes voilures pourpres et ils semblaient assez spacieux pour contenir 5 ou 6 personnes tout au plus. Je m’avança au centre de la pièce et constata avec satisfaction qu’il devait bien y avoir plus de cent personnes. Tous des hommes qui plus est.
Une main se glissa derrière moi, c’était Morgan qui me saluait, un verre à la main, et plusieurs autres déjà engloutis.
__Hey Simon... Comment tu vas? oooops j'étais déja reconu.....
Il me fait la bise et laisse toujours sans aucune gêne sa main sur mes hanches.
-Bien bien. Dis moi tu as déjà bu quelques verres toi non?
__Ai-je la tête de quelqu’un qui a bu plusieurs verres? Honnêtement?
Je lui réponds " oué "
mais la musique qui se lance au même instant a dû l’empêcher de m’entendre.
Il me sourit une dernière fois et s’en va rejoindre d’autres potes. Les minutes passent, la première heure s’envole, et chacun ne supportant plus la chaleur finit par enlever progressivement chemises et jeans.
Moi, comme quelques autres, rechignons à retirer nos pantalons pour finir en caleçon.
Dans cette ambiance étouffante, et survoltée, où chacun danse et boit sans pudeur, les corps se frôlent, les esprits s’adoucissent, et on voit parfois quelques gestes étranges naîtrent entre ces mecs.
Moi je m’en amuse, j’en profite un peu. Je me laisse surtout faire, et j’attends que Morgan revienne à la charge. D’un seul coup, la musique s’arrête, un musicien prend la parole et nous annonce " le Tribunal va ouvrir ses portes et que le procès des bizuts va commencer ".
Là je commence à comprendre le pourquoi d’une telle cérémonie.
Je m’en réjouis d’avance, et m’installe comme tous les autres autour d’une scène centrale où se tiennent plusieurs jeunes en caleçon.
Je crois reconnaître Nathan. Je lui fais signe mais il n’a pas l’air de m’avoir bien reconnu.
Alors je me laisse porter par les grammes d’alcool qui coulent dans mes veines, et je ne me lasse pas de voir mes pairs être condamnés à avaler du blanc d’oeuf, à se tartiner les cheveux de farine, et à subir les quolibets de nos bourreaux.
Je me réjouis de ne pas m’être fait remarqué. J’avais visiblement parlé trop vite puisqu’au tour suivant " Morgan et Simon rejoignaient la scène ".
Je ne jetais pas un regard à mes voisins, j’étais simplement pétrifié à l’idée d’avoir tous ces regards posés en même temps sur moi. J’arriva le premier en face des juges (pas possible mes filles) , et celles-ci attendirent que Morgan soit à mes côtés pour lui ordonner " allonge toi Morgan ".
Il le fit sans broncher... il en rigolait même. Je pensais alors qu’il devait être bien saoul pour rire ainsi alors que tout le monde nous regardait. Un de nos tortionnaires s’approcha de lui et entrepris de lui verser de la crème chantilly sur le ventre. Moi je ne savais à quoi m’attendre. Un autre tortionnaire me prit par le poignet et m’emmena à côté de Morgan.
Il me posa une main sur l’épaule et m’indiqua qu’il était temps que je me mette au boulot. Je n’étais pas bien sûr de comprendre ce que j’avais à faire, mais je pensais que les choses devenaient plus sérieuses. Alors je me penchais au dessus de Morgan, et je passais une première fois ma langue sur la crème qui tapissait son ventre. Mes coups de langue le faisaient rire, et c'était des abdominaux merveilleusement dessinés que j’avais maintenant à lécher. Je ne boudais pas mon plaisir et je défiais mes tortionnaires d’aller plus loin. Ils étaient tous là, tous ces mecs, ameutés autour de la scène entrain de me regarder finir les abdos de Morgan. Un autre tortionnaire s’approcha. Il agita sa bombonne de crème chantilly et en versa une bonne partie sur les cuisses de celui qui prenait en fait le plus de plaisir dans l’histoire.
Je regardais Morgan droit dans les yeux, et je voyais malgré le loup qu’il portait, qu’il n’attendait qu’une chose: que je poursuive le " boulot ". Alors je m’exécutais. Je me baissais et glissais ma langue le long de ses cuisses. Il était un peu poilu, ce qui me laissait deviner ce que son entre jambe devait être. Il me donnait vraiment envie d'aller plus loin et je commençais à être trop à l’étroit dans mon boxer.
Je croyais d’ailleurs que, comme moi, il ne tarderait pas à être gêné par un détail: je l’excitais. Il posait une main sur son caleçon comme pour retenir quelque chose qu’il ne voulait reconnaître, pendant que moi je glissais ma langue toujours plus haut sur sa cuisse. Le tortionnaire m’arrêta et me fit reculer. Je le laissa s’avancer pour le voir recouvrire avec malice le caleçon de Morgan. J’hésita un instant, car je ne voulais pas qu’il m’en veuille de faire quelque chose d’humiliant pour lui, et finalement d’humiliant pour moi.
Je pensais alors qu’il convenait de rechigner à entreprendre ce nettoyage, afin d'éviter qu’on me colle l’étiquette de l’homo. Et c’est ce que je fis. Je reculais et leur
criait haut au dessus de la musique
" je ne ferai rien de plus".
Mais c’est la main de Morgan qui vint trouver la mienne pour me ramener à lui et me lancer l’ordre
__" finis ce que tu as commencé ".
Je fus évidemment très étonné, mais je me réjouis de ce retournement de situation. Et sans
attendre, je me lança à l’assaut de la bête. Très délicatement je lécha la toile du caleçon en espérant bientôt sentir le membre qui se cachait en dessous.
Je m’amusais de ces caresses buccales et je traçais de plusieurs coups de langue la queue qu’il avait du mal à calmer. Je la sentais se lever petit à petit, pour finalement
se dresser fièrement comme un piquet. Morgan n’avait pas l’air d’en rougir, mais il semblait au contraire plutôt fier d'exhiber ses bons 18cm. Le regard de ses potes ne le retenait plus et il
dégagea négligemment l’élastique de son caleçon pour laisser apparaître sa queue.sous un tonnerre d"applaudissements
Je le regarda un instant...
J’admirais son corps de rêve recouvert en plusieurs endroits de dernières traces de chantilly et je souriais toujours plus. Un de mes tortionnaires s’approcha pour mettre un peu de crème sur l’engin de mon amant, mais je lui indiqua que cela était inutile. Je me jetais sur le dard qui pointait droit en dessous de moi, et je bavais comme pouvait le faire un enfant qui ne se lassait pas d’avoir en bouche son jouet préféré sous le regard amusé de mes filles (les juges).
Je dégustais l’objet en passant délicatement ma langue sur son gland gonflé à bloc et en m’amusant avec son frein. Je prenais soin de faire toute la longueur de cette bite dressée pour moi et je lui promettais déjà d’aller jusqu’au bout. Je m'aperçus qu'autour de nous les mecs s'étaient agglutinés. Ils s'étaient levés , se bralaient et criaient désormais nos noms d’une même voix. Ils n’attendaient qu’une chose : que j’obtienne ma récompense. Alors je le suçais toujours plus avidement et je ne cessais de jouer avec ses poils pubiens. morgan semblait aimer et il en vint même à me poser une main sur les fesses t a me doigter.
Il me caressait avec toujours plus d’envie, comme s’il avait saisit que je rêvais de recevoir quelques coups dans les reins. Mais mes lèvres eurent raison d’elles et elles parvinrent les premières à leur fin. Je le sentis se contracter, et il eut à peine le temps de me glisser une main derrière la nuque, pour m’empêcher de me redresser. Je reçus gracieusement une série de giclée au fond de la gorge, et ce ne fut qu’à la fin de son éjaculation que je pus enfin savourer la semence de mon amant. J'entrepris de le nettoyer avec application et lui me remercia en m’embrassant sur la joue.
Morgan me garda un instant dans ses bras. J'étais toujours à ses côtés lorsque je sentis une autre main se poser sur mon épaule et me retourne avec force. Son propriétaire Nathan me dévoila sans gêne une bite dressée n’attendant visiblement que de pouvoir se vider entre mes lèvres
puis j’entendis la musique repartir et interrompu rapidement par les juges
__Nathan a quatre pattes stp.
Il s’exécuta
Un tortionnaire lui injecta la crème chantilly dans le cul
__Simon baise le
ces mots venant de la bouche de mes filles je ne pouvait le croire et du signe de la tête répondit négativement.
__ C’est un ordre ! allez exécution.
-Non et NON
une de mes filles (juge qui donnait les ordres) descendit de son podium et s ‘approcha de moi et me fouetta en disant
__baise moi se cul et tous de suite sinon c’est ton cul qui vas s’en souvenir.
_pitié pas ça
__ Encule se mec criait elle tous en me fouettant le cul dont les lagnières claquaient sur mes couilles.
Je céda et défonça le cul tendu de Nathan
La juge ‘ma fille)m’enfonça le manche du fouet dans le cul sans aucune préparation, sous la douleur je bourrais Nathan , et elle lança
__Morgan a ton tour défonce moi Simon et vous les autres préparez vous a en faire autant au fur et a mesure il ne faut plus aucune bite inoccupée.
Quand la boucle serra faite je me glisserai sous Nathan pour qu ‘il défonce ma chatte et bouffe celle de la 2ème juge
l'un apres l'autre les mecs enculaient le précédant
Et tous en mouvement bande de PD
Je vous dis pas le bordelle plein le cul tous ensemble sauf les tortionnaires toutes les filles présente a cette soirée étaient chargé de nous faire boire et se faisait sucer le clito
et la chatte en même temps.
pour entretenir la pression et se faire baiser tous en coeur en fin de nuit.
j'en conclue " les femmes de vrais saloppe quand c'est eux qui commande "
et vous vous en pensez quoi? "
De superbe vacances , vous pouvez nous rejoindre au prochaines hummmmmmmm ! ! ! ! !
Mai 2024 | ||||||||||
L | M | M | J | V | S | D | ||||
1 | 2 | 3 | 4 | 5 | ||||||
6 | 7 | 8 | 9 | 10 | 11 | 12 | ||||
13 | 14 | 15 | 16 | 17 | 18 | 19 | ||||
20 | 21 | 22 | 23 | 24 | 25 | 26 | ||||
27 | 28 | 29 | 30 | 31 | ||||||
|