En debut de ce mois d ‘août 2005 et comme tous les ans a la même époque le cafard entre en moi je ne peu oublier mon amour Gérome qui ma quitté accidentellement depuis 35 ans
La douleur de mon cœur me pousse a revivre de bon moment avec lui
Les yeux fermés je revis une nuit de 1968 ( voici mon reve)
" " " " " " " " " " " " " " A MON AMOUR " " " " " " " " " " " " " " " " " " " " " "
Je rentre du boulot, il est un peu tard.
Gérome à cette heure doit déjà être sous la couette.
Il a du avoir comme moi une dure journée.
Ses effluves me rendent dingues.
Ma langue le fouille, le lèche, essayant d'aller de plus en plus profond dans cet orifice chaud, nacré et parfumé.
Je me suis pas trompé, sur la table de la cuisine, les restes de son souper. Chouette ! Il m'a quand même laissé un morceau de pain. Je réchauffe le reste de potage qu'il n'a pas fini.
Dans le fond j'ai pas grand faim.
Je raconte des conneries, pas faim ? Siiiiiiiii faim de lui.
Une petite douche sommaire et hop sur la pointe des pieds, je rejoins Gérome dans la chambre.
Il n'a éteint la lampe de chevet qui diffuse une lumière douce et sensuelle tout autour d'elle.
Il est là dans le lit couché sur le ventre le drap a glissé et ne cache pas grand chose de son corps superbe.
Quelle merveille cet homme !
Le nombre de fois que je me suis murmuré ces mots.
Si les yeux en caressant trop souvent un être risquent d'en provoquer l'usure, toi mon amant, longtemps tu ne serais plus que poussière, tellement de fois je me suis rassasié de ton image.
Je me glisse subrepticement sur le lit tout à côté de ce corps merveilleux.
Ma main ne résiste pas à l'envie de le frôler, de le toucher sans qu'il ne s'éveille.
Le creux de ses reins je l'effleure de mes lèvres.
La paume de ma main suit le sillon en creux de son dos, je m'arrête sur chaque muscle pour finir vers le cou à la naissance de ses cheveux qu'il porte très courts.
Une odeur de mâle émane de lui, il n'a pas eut la force de prendre une douche, il s'est écroulé direct après avoir soupé.
Les effluves qui émanent de lui devraient pouvoir être mises en conserve et servir d'aphrodisiaques très coûteux.
Dans son sommeil il replie une jambe sous lui.
Son merveilleux fessier est ainsi encore plus mis en valeur.
Ce sont deux merveilleux ballons jumelés, légèrement duveteux, ce qui lui confère une douceur extrême bien que très ferme de plus à caresser voluptueusement.
Ah ces fesses, ces merveilleux fruits qui quand il marche que ce soit ici à la maison ou dehors dans la rue attirent des regards d'envie et de jalousie.
Et pour exciter encore un peu plus le monde, il exagère des fois son déhanchement, ce qui a pour effet de presque faire tomber de leurs orbites les yeux le regardant.
Quand je suis avec lui dans ces moments là dehors, je ne peux pas faire autrement que me marrer intérieurement et me dire " Regardez, mais ne touchez pas, ne rêvez pas il est à moi ce morceau de Roi "
Ouais ce soir il est à moi il est à côté de moi assoupi et livré à tous mes désirs.
Je me penche sur lui, le respire, le sens à pleins poumons.
Je lui écarte délicatement ses deux globes.
Niché dans cet écrin merveilleux, sa rosette.
J'approche mon visage, l'enfoui délicieusement dans ce puits de félicité.
Mon coeur bat très vite, c'est trop beau c'est trop bon.
Mon sexe déjà partiellement raide à la pensée de te retrouver Gérome, s'est complètement gorgé de sang, je suis dressé et raide comme pas possible.
Je te prends doucement par la hanche pour te mettre sur le côté. Tu pousses un soupir mais te laisse faire.
Je me colle à ton dos.
Ma queue entre tes cuisses, mes genoux dans le creux de tes jambes, mes abdos collés contre tes lombaires.
Je te lèche le cou ta peau est un peu salée.
Je détache un peu mon bassin de ton corps pour que ma tige puisse venir se poser sur ta rondelle.
J'y vais doucement. Millimètres par millimètres j'investis ta grotte d'amour. Je reste dur un max.
J'avance toujours, je viens en toi.
Tu te cambres un peu pour que ma pénétration t'atteigne plus profondément. Là c'est bon je suis à fond.
C'est bon c'est serré, c'est chaud.
Ma main passe sur le devant de ton ventre, je frôle ton sexe, il est tendu.
Je l'encercle de mes doigts.
Chaque pression sur ton gland provoque un resserrement instinctif et musculaire de ta rondelle autour de ma queue.
Je déguste, je fais durer le plaisir, je ne bouge pas, le monde peut s'écrouler je m'en fous je suis bien dans toi.
Je me décide au bout de je ne sais combien de temps à entreprendre un tempo de va et vient entre tes reins.
Rien de brutal, non, un tempo doux mais à chaque fois très profond.
Je ne veux pas cracher la béchamel tout de suite.
Une heure peut-être deux que je me retiens, mais là ça part !!!!
Un feu d'artifice dans ma tête, des comètes de partout.
J'ai l'impression que tout mon être toute la matière dont je suis constitué passe par ma queue et t'investi.
Je reprends mon souffle, mon sexe dégonfle et s'échappe de ton orifice brûlant.
Tu te retournes brutalement " Espèce de salaud me dis-tu, tu m'as violé, tu ne perds rien pour attendre à ton tour maintenant de te faire farcir "
- Chic !!! me dis-je, mais ça sera pas un viol, je te désires tellement, et de n'importe quelle façon...
pour les vacances j'ai retrouvé un neveu
Joël 19 ans
il venu me voir lors d'une recherche généalogique afin de mettre un visage sur un des maillons manquand de son arbre , il comprit tres vite mon amour pour les mecs et me dit "
je comprend mieux pourquoi ta soeur ne voulais pas me donner de renseignements sur toi "
Ah! bon et toi qu'en pense -tu?
C super chouette , bien au contraire je me sens pas seul dans la famille a aimer les mecs.
tu sais Joël faut pas avoir honte dans la famille il y a aussi quelques cousins a toi comme Julien ou Romuald , si tu veus viens le 15 août il seront a
la maison
AH! tonton je savais qu'avec toi on avait un point commun ,je reste passer les vacances si tu veus
avec joie mon petit Joël
Je découvrais un tout jeune mec de 19 ans. Blond sans barbe avec des traits fins et des yeux gris à faire craquer un n’importe qui. " Je m’appel Mickaêl et j’ai commencé ma tournée hier matin,,je viens de chuter sur le gravier , c'est pas de chance je pourrais nettoyer mes plaies avant de vous
remettre votre recommandée "
Sous le choque il n'avait même pas remarqué ma nudité.
Je lui ôtais son blouson car ses mains étaient en sang et le pantalon déchiré montrait le genou bien rappé..
Une fois en pull, je découvrais le corps très mince de ce petit mec tout au plus 50 kg pour 1m70. Ses cheveux blonds, lui tombaient sur les yeux et il les remettait en place pour un
mouvement de tête charmant. " Et bien Mickaêl je vais d’abord laver tes mains ensuite nous nous occuperons de ton genou. "
avec de l’eau oxygénée j’enlevais les gravillons incrustés dans la paume de ses mains. Mickaêl de temps en temps grimaçait de douleur.
J’avais mon visage face au sien et sentais son odeur. Vraisemblablement son eau de toilette devait être du axamen.
Je le lui dis et me confirma en souriant " vous êtes sympa monsieur de me détendre".
Je te serre un café ,ensuite je te soigne le genou.
Pour ce faire il devait enlever son pantalon mais ne pouvait pas défaire ses boutons avec ses mains blessés. Je lui proposais de l’aider à se désaper .Il se mit à rougir me fixa dans les yeux et
me dit " je veux bien que vous m’aidiez car mes mains sont douloureuse, mais vous êtes tout seul ici ? car sous mon pantalon je ne porte qu’un string
. "
je comprenais sa gêne mais l’idée de voir ce petit mec en string me provoquait une érection qui d’un coup d’œil , l’avait aussi remarqué, mais ne dit mot sur ma nudité
.
Après le café, je commençais à lui défaire sa ceinture, puis le boutons du haut en entrant la main dans la ceinture du pantalon me trouvant en contact avec sa peau d’une douceur extrême. Puis
vient pour moi le plus difficile défaire les boutons de sa braguette..
Mickaêl avait la tête baisse pour regarder mes mouvements . Tout en déboutonnant son fut j’entrais naturellement en contact à travers le tissu avec sa bite qui me semblait développer
doucement une érection.
Dés que je commençais à faire glisser le pantalon sur ses jambes je découvrais un ventre plat sans poil à la musculature bien dessiné. Enfin je vis le mini string blanc qui avait beaucoup
de peine à contenir sa bite en début érection. Mickaêl me dit " excusez moi, mais mettez vous à ma place, cela fait dix minutes que vous me
débraguettez,en plus vous etes nu alors je ne suis pas de bois et vous savez bien ce que c’est qu’une bite. "
je plongea mes yeux dans les siens et compris que la partie était jouable.
En faisant glissé son pantalon le long de ses jambes je les caressais de haut en bas sentant mon petit facteur frémir. Puis lui fis lever les pieds pour l'enlever complètement . Je détaillais ses
jambes blanches et peu poilues et je fixais son string tendu a craqué qui commençais à laisser poindre une petite tache de mouille.
Je détournais le regard pour m’intéresser à sa blessure. En faisant pivoter son corps, la paume de ma main droite vient en contact avec la pointe de sa bite. Alors, Mickaêl posa sa
main sur la mienne et me la fit glisser sur sa queue tendue.
J’approchais la bouche et commençais à lui mordiller la bite à travers son string. Mes mains plotaient ses fesses nues et mon doigt suivait la mince bande de tissus qui lui entrait dans la raie
du cul.
Mickaêl gémissais de plaisir même si de temps en temps sa blessure le rappelait à l’ordre.
"mon genou me fait mal , mais il peut attendre un peu" dit-il
couche toi sur le canapé pour que je puisse ôter son string.
Maintenant j’avais devant moi sa queue d’environ 16/17 cm non circoncise entourée de poils blonds frisés. Je continuais à sucer avidement ce jeune dard et glissais mon index dans sa rondelle qui
se dilatait. Tout à coup Mickaêl m’avertit " je jouis ! "
Je ne me retirais pas et avalais cette semence acre et chaude. Puis je lui roulais un patin profond pour partager avec lui son jus de mec.
Sa langue me fouillait la bouche et il buvait son sperme additionné de ma salive. Pour le laisser reprendre ses esprits je continuais à lui caresser ses tétons fermes et bandés. Avec beaucoup de précaution en raison de sa blessure, je tentais de glisser ma langue dans le cul du petit facteur. IL se coucha alors sur le coté pour que je puise accéder à sa rondelle rose.
Je faisais glisser un doigt dans ses entrailles puis deux et je commençais à préparer le troisième lorsqu’il me dit " j’ai envie de votre
bite. " J’enfilais un préservatif, l’enduisis de gel et doucement j’approchais mon gland de ce fion qui n’attendait que ça.
Je pénétrais doucement, et je sentais Mickaêl réprimer un petit cri de douleur , puis je le sentis se détendre et commencer à trouver son plaisir.
Je le limais maintenant bien à fond et ses couilles battaient su ses jambes alors que les miennes lui frappaient le cul . En même temps, je l’embrassais et il me caressait la tête avec amour.
Sentant mon jus venir je l’avertis.
" Jouis moi dessus " me dit il. Je me retirais de sa rosette, enlevais mon préservatif et tout en m’astiquant la queue, je crachais le
foutre crémeux et blanc sur son beau visage .
Doucement, je m’approchais et lécha le nectar de la gueule de mon petit postier .
Soudain nous fumes dérangé pas des aplaudissements.
Mickaêl sous la surprise dit " Ah! zute ils nous ont vu "
T'inquiète ces mes neveux et ils sont comme toi ,ils adore la bite
et eux ( Romuald,Joël,Julien ) lancèrent tous les trois en coeur
__bravo tonton et felicitation facteur du tres beau baisage et si tu es libre reviens ce soir , nous aussi on voudrait bien !!
Après avoir soigné son genou et rhabillé, et repartit sans même me donner le commandée .
Et vers 20 h
ma sonnette retentie, Mickaêl, tout
sourire dit " tes neveux mon invité alors nous allons baisé toute la nuit…demain je suis en repos "
.
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