lesbohommes

Samedi 13 octobre 6 13 /10 /Oct 19:16

Nous sommes une bande de potes .une soirée chez Romain 21 ans ( eh ! Oui encore un) dévoreur de bites. 1987-romain-2.JPG

David : 22 ans moyen, costaud avec de beaux pecs poilus, bon niqueur de gonzesse
Jean -philippe: 20 ans  réputé par sa copine pour avoir une belle bite mais un cul superbe, châtain, un sourire a fondre.
Benoît :20 ans , déja marié ,1m 83 80 kilo bien foutu et lui réputé pour avoir une sacré bite.
Philippe :20ans grand, footballeur un cul et des cuisses comme je les aime des beaux yeux et une bouche a croquer .
Et moi : Simon, 42 ans, marié, (pas de photo de cette année là)et 3 enfants ,peu musclé qui me vantait d'avoir une bite  remarquable
On se voyait tous les 1er samedis car nous faisions partie d‘une association.

On finissait à l'apéro après .
Un soir nous sommes invité par Philippe qui fête ses 20 ans.
Soirée très arrosée pas mal picole à outrance et moi je me lèche les babines à voir tous ses mecs à porter de mains ; mes copains qui me font tant triquer.
Quand je pense que Benoît aime les mecs ,aussi jeune tout en étant marié ,il me fait devenir dingue tout comme Philippe amateur des branle au foot avec des potes car il est très tactile

C'est d'ailleurs lui qui lance le jeu des gages.
Chacun a un verre (la boisson de son choix) vodka ,wiski ou rhum blanc et deux jetons devant.
On lance deux dés et celui qui fait double1 donne un jeton a celui qu‘il a choisi ,et doit boire son verre , un double 6 ou double 3 doit se mettre a poil , le rester toute la soirée et exécuter le gage de l’enveloppe qu’il a tiré au hasard.

On commence peinard chacun choisi son alcool. On joue les jetons disparaissent un a un et le premier gage tombe sur moi.

Je demande a Jean-philippe de choisir  l'enveloppe de mon gage et annonce :Simon " lave la bite d‘un ami dans ton verre et boit le ".
Mon choix se porte sur Benoit ,je sort sa bite tout en disant " oufs c'est pas un gage bien difficile " c'est une bite bien poilu, non circoncis que je décalotte et trempe dans le verre. je profiterai de lui essuyer sa  bonne paire de couilles  que j'avais trempé également dans le verre..

tour suivant:
C'est Philippe 1987-philippe.JPG qui tombe sur le 1 et  donne le jeton a David  et boit son verre ,puis encore lui double 3 Philippe se retrouve a poil et execute son gage
"roule une pelle pendant 1 min à David
éclats de rire général.
Philippe timide rougit . Il hésite,  l'un en face de l'autre puis embrasse David qui n'attendait que ça .
le chronomètre tourne , le temps écoulé David dit "pas terrible les gages
Puis le gage retombe sur moi ,double 1 deux fois de suite puis un double3 et c'est Philippe qui choisi le gage " branle-toi et bouffe ton sperme ".
Ni une ni deux, j’astique ma bite déjà bien excitée.
Et là ils comprennent être les mots ( bien monté).lol
Mes couilles on presque disparu mais ma bite a pris des proportions magnifiques je me sens triquer mais je me contrôle. On continu de jouer pendant que je me branle sous leurs nez et c'est David qui a un gage.
Je lui dit tout en me branlant "mets pendant 1 min la bite et les couilles de Jean-philippe dans ta bouche"
Je me sens défaillir.
David est catastrophé et bande comme un âne.
Il debraguette Jean-philippe , 1987-jean-philippe.jpg il le gobe avec lenteur les couilles et toute la bite entre (ça copine ne se trompait pas ) et les autres chronomètrent.
Au lieu de rester sans bouger il lui malaxe les couilles malgré tous ces efforts il ne peut plus contenir que ses couilles.
Sa bite dresse ses 16cm dans son nez. Il a un peu honte et vient se mettre a cote de moi et je le suce tout en continuant de me branler.

Benoît a un gage 1987-benoi.JPG « avaler le jus des bites en cours de branlage » et Jean « préparer le cul de son voisin avec la langue ». Son voisin c’était moi je me laisse faire.
C'est l'orgie très vite voyant que tout le monde se suce et se touche mutuellement je me jette sur la bite de Benoît (mon rêve)qui est vraiment la plus grosse. Je me concentre a la vidange pour Benoît et a la dilatation de mon cul par Jean-philippe.
Je ferme les yeux et je sens du sperme qui me jute à la gueule c'est Philippe qui se vide avant de lécher mon visage. Suivra des enculades et des giclées. Tout le monde gouttera à tous les plaisirs entre mecs. Le sperme de Benoît et monstrueux tellement il y en a , je suis comblé, le cul de Philippe est ramone par David pendant un bon moment. J'ai sucé toutes les couilles que j'ai pu goûter à tous les spermes et me suis vidé dans le cul de Benoit.
Les ayant tous biens chauffés ,toutes les bouteilles sont vides j’aurai droit de me faire prendre a tour de bras par les quatre et s'en suivra une ultime giclée sur ma gueule.

Depuis nous ne nous voyons plus. Je fréquente toujours un peu Benoît mais il a l'air gêné peut être m'aime t il autant que moi je l'aime mais il y a sa femme.
Fais chier celle là!!

Par simon - Publié dans : mes copains
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Jeudi 11 octobre 4 11 /10 /Oct 19:32

1986

Me rendant chez mes amis Arlette et Romuald je découvris que leur fils Louis (le roi) aimait comme ses parents vivre nu sur un hamac fait avec un tronc d’arbre et des branches au fond du jardin. 1986-leroilois.JPG

quel corps il avait a 17 ans je restais de longues minutes a l’observer et je me mis a rêver «  Aimerait-il que je suce? ».

Mais il m’avait aperçu et dit « bonjour tonton (c’est comme ça depuis sa naissance) approche …..je connais ton penchant pour les hommes nus, maman le dit assez souvent. »

Ah! Bon elle te dit ça !.

__Oui chaque fois qu’elle me voit à poil et ça me fait très plaisir.

Elle m’a dit aussi " si je suis la c’est un peu a cause de toi lors d’une partie avec mes parents , c’est vrais aussi? ".

Oui bien sure ,si ce soir là je ne mettais pas dégonflé ton père ça serait moi! et je l’ai souvent regretté.

__Mon père m’a déjà pris mon cul il y a deux semaines pour que je sois un homme en échange il va me payer le permis de conduire , et depuis presque tous les jours ,dans la salle de bain je dois le sucer, qu’est ce que tu en pense?.

Je répondis « toujours le même ,il lui faut du jeune coq , mais c’est chèrement payé ».

__Et toi tu l’aurais fait?

Peut être ,mais plus tard, enfin plus âgé , tu comprend!.

__Hé bien les parents son absent jusqu’à 21 heures alors tonton c’est ton tour.

Je m’approchais de lui , ma queue gonflait de plus en plus dans mon string et son sourire m’indiquait qu’il s’en était aperçu car sa main se pausa directement dessus alors que nos bouches se rejoignaient

__Allez je suis a toi tonton

Rentrons a l’intérieur nous serons plus tranquille lui dis-je

__Ok on va dans ma chambre.

cela pourrait avoir l'air surprenant et étrange ,Louis avait fait sauter les boutons de mon pantalon et me l’enlevait en même temps que mon string
Je suis tout nu en moins de deux secondes .Tout en me parlant, Louis ne fait aucun mystère de sa fascination pour mon sexe, . D'ailleurs, devant tant de jeune beauté animale, ma queue a tendance à prendre du volume pour montrer sa satisfaction




Alors Louis ne se possède plus, il gémit et se tortille si bien que je ne doute plus des étourdissantes voluptés qui nous attendent.

Louis est tout à fait charmant, il sourit de façon enjôleuse. Ses lèvres pulpeuses malgré son jeune âge ses yeux cochons savent comment séduire un homme plus mûr.
 Il lit le désir dans mon regard fixé sur son corps et il semble en être excité. Je commence à bander parce que je trouve Louis très sexy. Je n'ai plus qu'une obsession : comment l’amener à s'étendre sous moi pour quelques heures de caresses, de baiser et de volupté.
Il a un beau corps lisse et finement musclé, des tétons alléchants comme des bonbons, une belle queue qui renfle doucement. J'aimerais bien la lui bouffer sa petite queue Quant à ses petites fesses blanches, fermes et lisses, elles sont faites pour l'amour et les plus tendres voluptés.
Justement, Louis s'étire pour atteindre deux verres sur la dernière tablette d'une armoire pour nous servir une boisson fraîche. Je me régale de la vue de son corps mince mais proportionné, et de ses fesses blanches aux lobes parfaits. Conscient que je le dévore des yeux, Louis pose un genoux sur le bord de la commode voisine , afin de se hisser, offrant à mes yeux lubriques une vue imprenable dans la raie de ses fesses écartées et sur son anus humide qui luit comme un bouton de rose.

maintenant. Je ne m'en cache pas et mon pénis se dresse en toute fièretéSoudain je n'ai plus qu'un but , enfoncer ma queue dans ce petit cul tendre et innocent et le fourrer jusqu'à l'extase .S'il a voulu me provoquer, il a réussi car je bande incontrôlablement..

Louis est assis sur la commode me verse du jus orange et pour lui un verre de lait. Il me dévisage en souriant et promène son regard partout sur mon corps en prenant des poses lascives pour bien mettre en évidence tous les charmes de son jeune physique.
Je m'approche de lui et il place ses jambes autour de mes cuisses. Il regarde mon sexe vibrant avec fascination.
__Tu en as une crisse de belle chuchotte-t-il.
D'un doigt expert, il caresse délicatement mon gland

Le lait descend lentement entre ses pectoraux et coule vers son nombril.
__ Il ne faut pas laisser perdre ça, murmure-t-il, les yeux mi-clos.
Je réponds à l'invitation et pose mes lèvres sur sa poitrine et lèche la coulée de lait.

Il respire profondément, faisant gonfler sa cage thoracique et pressant son torse contre ma bouche gourmande.

Mes mains chaudes caressent ses cuisses qui enserrent mes hanches. Je perçois les battements rapides de son cœur.

Il effleure mon gland gonflé à bloc de ses doigts et murmure,
__ Les femelles donnent du lait, mais les mâles, de la crème !

Louis lève ses bras derrière la tête, m'offrant complètement sa frêle poitrine.

Ses petits seins durcissent entre mes doigts.

Je les caresse et les frotte avec insistance.

Le garçon ondule lascivement du corps, les yeux fermés et la bouche humide, ouverte.

Ses mamelons sont si durs maintenant que les pointes blanchissent , assez pour faire frissonner et gémir le garçon de plaisir.

En quelques minutes, j'ai développé une brûlante passion pour Louis il est si beau, si désirable et, de toute évidence, il ne répugne pas au plaisir charnel avec un autre mâle, alors à moi d'en profiter.

Je m’allonge sur le lit , sur le dos , Louis saute a califourchon ,
Louis est bandé raide maintenant et sa belle queue fine se dresse contre son bas-ventre. et ses couilles sur le mien.

Le gland humide atteint presque le nombril.

Alors je l'attire à moi et le serre contre mon corps haletant, je pose mes lèvres sur sa bouche et il s'abandonne aussitôt.

Pendant que nos bouches se dévorent, mes mains glissent le long de ses flancs étroits et s'emparent de ses fesses.
Ah! Les fesses d'un beau garçon quelle splendeur !

Quel régal!

Je les caresse, les pétris, les palpe amoureusement, puis Louis se positionne pour que nos queues dressées l'une contre l'autre se croisent et se frottent comme deux glaives glorieux, j'écarte ses fesses et effleure l'anus humide du bout du doigt.

Ce gentil garçon brûle de se faire fourrer  le cul, il désire se faire mettre et moi, j'ai le goût de le satisfaire. Louis est si excité ,

Je l'embrasse partout, affolé par l'odeur enivrante de sa peau en sueur.

J'ai très envie de me laisser aller et de rejoindre le garçon dans la volupté, mais je me retiens car son petit cul blanc est un morceau de choix et j'ai bien envie d'y goûter.
Empaler un oisillon frémissant sur ma queue rigide et pulsante et le conduire peu à peu au paroxysme de la volupté anale, rien de plus excitant.

La sensation de possession complète du jeune mâle est grisante et la jouissance tout au fond de son rectum chauffé à blanc n'en est que plus étourdissante.
Sensuel il s'offre à moi non seulement sans résistance, mais avec tout l'enthousiasme de sa jeunesse. 1986-leroilois-2.JPG .

Je prends plaisir à en enduire soigneusement son anus tiède, le pénétrant avec mes doigts, l'excitant jusqu'à ce qu'il me supplie d'assouvir son désir et de l'enculer.

Enfin, mon pénis s'enfonce entre ses petites fesses crémeuses comme un couteau chaud dans du beurre.
 Le garçon étouffe ses gémissements .Je le fourre longuement, lentement, amoureusement. Le garçon gémit et frétille de plaisir comme s’il voulait la faire rentrer encore plus

Manifestement, Louis a retenu les leçons de son père. Il s'ouvre lorsque je l'enfonce ressère son sphincter autour de mon pénis lorsque je me retire.

À plusieurs reprises, je me retire complètement pour reprendre mon souffle avant de replonger avec délices dans son rectum étroit. IL pousse un râle de volupté à chaque fois. Il aime se faire fourrer le cul, le petit cochon, et moi, j'aime ça encore plus que lui.

J'ai une main sur ses couilles duvetées et  joue avec , de l‘autre je le branle avec délicatesse.
 Louis se trémousse et se tortille si bien qu'il jouit avec profusion. Je sens son petit corps s'arc-bouter sous la force de son orgasme, il s'accroche à moi par les jambes, ses ongles m'égrafignent tellement il jouit avec ardeur. La pression de mes mains sur son sexe l'a fait éclater comme un gros fruit mûr En quelques secondes, Louis se cambre et jouit, le corps secoué de spasmes. Je sens son sperme chaud et gluant gigler sur mon ventre et mon torse.

Je lui demande « as-tu déjà goûter ton jus? »

__NON Jamais répondit il.
et soudain un raz-de-marée de plaisir me submerge alors que je décharge à fond dans son derrière de garçon. Salve après salve, mon pénis gicle mon sperme bouillonnant tout au fond de ce petit cul qui se trémousse. Notre volupté est totale et complète.
Nous restons un long moment immobiles, moi toujours étendu sous Louis, les bras et les jambes chaque côté de son corps, ma verge encore enfoncée dans son rectum. Déjà l'extase s'estompe et nous reprenons notre souffle. C'est si bon que je resterais toujours dans cette position, Louis et moi soudés à jamais.
je ne sais plus combien de temps nous sommes resté ainsi et je me mis a effleurer les pointes de ses petit mamelons durs.
__ Ouais, c'est bon...
- Je vois ça, tu bandes encore...
__ Mmm tonton frotte mes tits... plus fort... oui... comme ça! Whaaa!, tu as le tour de main pour me faire jouir des seins.
- Je pratique souvent sur les miens et je sais ce que tu ressens.
__C'est vrai que tu en as des gros. Je peux les sucer ,les mordiller?
-bien sur n'oublie pas que je suis a toi aujourd'hui
Il se jette sur mes mamelons avec avidité et je sens avec plaisir sa bouche mouiller mes seins, il les tète, les excite avec sa langue râpeuse, les mordille du bout des dents. Une onde continue de volupté irradie  mes tétons hypersensibles dans tout mon corps et se concentre dans mon sexe et mon anus
.
- Whaa!  que tu suces bien, mon beau Louis, aimerais-tu m'enculer maintenant?
__ Depuis le temps que j'ai envie de fourrer un mec…mon père ,lui ne veux pas il trouve que je suis trop jeune.

Alors tu fais quoi?
__C'est vrais tonton tu veus que je t'encule?
mais OUI sinon je te l'aurai pas proposé

__CHOOOUUUETTTTEE oh! merci tonton

Je lui offre mon cul à quatre pattes sur le lit.

Je ramassais ce nectar avec mes doigts et lui mis dans sa bouche
__ hummm! mais c'est bon  
vraiment?
__OH OUI tonton tu est génial
ce qui lui provoquait une sur excitation qui par sa jouissance se ressentait en moi

Aussitôt, je sens avec délices le dard vigoureux de Louis glisser entre mes fesses et s'introduire dans mon anus gourmand.
Je sens sa queue s'enfonce profondément dans mon cul.

L'ardeur de ce garçon compense son inexpérience et il me baise avec la vigueur de la jeunesse.
Son pénis insatiable me ravage le rectum, excité ma prostate, fait monter ma jouissance jusqu'à l'explosion de l'orgasme anal.
Cette fois encore, nous venons de jouir ensemble, lui dans mes entrailles et moi sur le drap, nos corps vibrant de plaisir sexuel.Son jeune sperme gicle et remplit mon cul de sa douceur crémeuse.

Je serre mon anus autour de sa queue que je voudrais garder en moi.

Tout au plaisir d'enculer un mec, Louis infatigable continue de se faire aller le bassin, son sexe coulissant dans mon trou comme un piston bien huilé
__Comme tu aime ça tonton, te faire fourrer le cul par un petit jeune ?
- J’ adore ça ! Continue ! Bourre-moi, Louis !
Louis est bien décidé à profiter au maximum de l'occasion et il me fourre dans toutes les positions sans débander,. Le garçon râle de plaisir, s'abandonnant totalement .

Épuisé et repu, Il se blottit dans mes bras et s'endort aussitôt comme un bébé.

Mon copain Romuald est bien chanceux d'avoir à sa disposition pour ses menus plaisirs un jeune fils si beau et dont le petit cul est si doué pour la baise mais devrais lui donner le sien.


Par simon - Publié dans : ma vie
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Mercredi 10 octobre 3 10 /10 /Oct 18:07
de retour en France    

Le 20 septembre 1985 je suis seul a la maison ma femme est parti en vacances trois semaines chez des amis , moi je suis resté pour soigner mes quelques animaux que nous élevons..

Soudain on sonne à la porte .
je cours ouvire OH! surprise c’est mon ami Herve qui rentre de 3 ans d’armée.

« Salut Simon »
_ Salut Herve 
« Tu peux me loger »
_ Oui
Je suis très surpris il est hagard viril presque fou un regard de tueur
Je lui demande " tu vas bien "
« Oui bien »
_ Ou étais tu ?
« Secret»
_ Bon ok
Et la a ma grande surprise il me prend dans ses bras et  me dit  "
’j'ai peur ! "
_
Mais de quoi ?
«
Rien laisse tomber »
Je lui fais un café ,il va prendre une douche
Je l’attends un peu perdu étant donne que je ne   connaissais  pas ce qui pouvait le perturber ainsi.
Il revient
_
Bon moi je vais prendre ma douche
Je lui dis "
va te reposer "
Je ressors de la douche et il dort nu sur mon lit
Ses fesses sont musclées son dos bronzé ses jambes gonflées
Je décide de m’installer par terre pour qu’il puisse dormir
2 heures plus tard je sens des mains passées sous mon dos et mes genoux
Il me porte et me dit " tu ne dois pas dormir par terre "
Je me couche a cote de lui , il a remis un caleçon
apres une bonne nuit.
Je me réveil le lendemain et je décide lui préparer un bon petit déjeuner
Il se lève ne dit rien il est  en caleçon montrant sa gaule matinale (laissant deviner un bite énorme)

Il s’assoit et me dit " merci "
_ De rien
Il bouffe réellement on aurait dit qu’il avait pas manger depuis 10 jours
Il se lève , se gratte les couilles et vient a cote de moi et m’embrasse sur le front et me dit  " c’était super bon ".
« Je vais à la douche
»
Pendant ce temps je refais le litIl ressort en levis bleu clair et tshirt blanc montrant sa musculature et ses fesses de rêves
Il dit  " je reviens tout l’heure "
_ Ok
Toute cette nuit j’avais rêve de son corps sur le mien alors je décide de prendre les choses en main et de me faire une mega toilette
Je commence a me rase au plus près tous en gardant mon petit bouc que Anita adore.
Je rentre dans la douche me lave
Ensuite je me met une crème a la banane je suis enduit de partout
Je met un string de soie blanc , un petit pantalon et un tshirt tout simple
Je l’entends arriver avec sa moto

Il sonne
J’ouvre il est là avec des fleurs
_ Oh merci Herve mais il fallait pas !
Je le sers fort contre moi et l’embrasse sur la joue
En bon hétèro il ne peut s’empêcher de mettre ses mains sur ma chute de rein je le sert encore plus fort
Il me sourit de ses belles dents blanches
Il me dit « ce soir je t’invite au resto pour le logement »
_ Ok
la journée passa trés vite et vers 19h
On descend et il monte sur sa moto
_ Tu sais que j’ai peur sur cet engin
« Tu as qu’a me serre de toute tes forces »
Je monte derrière lui et me serres contre lui
C’était super viril il me prend les mains et les poses sur ses habdos musclés.
Je lui demande " on va loin "
« Non pas très loin »
Il démarre sur les chapeaux de roues alors je le sers le plus possible
Je sens le vent traverse mon tshirt mon pantalon
Un feu rouge ouf je respire
Un gars en bagniole a cote me dit « garçon on voit ton string »
Herve se retourne et lui dit « eh! tu veux mes yeux pour regarder »
Herve me regarde et me dit « remet bien ton froc si tu veux pas avoir d’ennui avec les cons »
Je remonte mon froc il me recale bien contre lui et redémarre en trombe.
Nous entrâmes dans le restau , un appéro , puis un autre le menu est copieux.
Arrive la fin du repas il me demande " tu veus faire quoi? ".
« Rien de spécial c’est ta soirée tu choisis tout je suis a tes ordres »
 Il souris

« Ok on rentre de toute façon je suis naze et je veux dormir »

Arrive dans mon appart je lui demande " tu veus un café? ".
« Oui je veux bien »
Je reviens de la cuisine il est en caleçon et tshirt
« Il fait chaud et ce jean n’a pas suivi ma prise de poids »
_ Il t’allais très bien ce jean, c’est vrai qu’il était un peu serre mais …les filles n’adorent-elles  pas les jolis cul moule dans un jean?.
« Et toi Simon »
_ Pardon dis-je comme si je n‘avait pas entendu
« Tu aimes les cul de mecs moules dans un jean » reprit-il!
_ Oui
_ Et toi Herve qu’est ce que tu aimes?
« Un très beau cul de meuf dans un string et une bouche laissant paraître sa gloutonnerie »
On éclate de rire
Il boit son café et retire son tshirt il part pour la salle de bain tout en baissant son caleçon
Il me demande  " où le met le linge sale? "
Alors je rentre dans la salle de bain et lui montre le panier
Il s’approche pour mettre son caleçon dans le panier et je découvre sa queue à 20 cm de moi



























Elle doit être superbe en érection déjà qu’au repos qu’elle pendouille d’au moins 17 cm
Il se gratte les couilles comme ça devant moi
Il entre dans la douche alors moi j’en profite pour me déshabiller et enfiler autre chose que se string
Et j’entends « c con il te va bien » alors je me retourne et je vois qu’il est la en train de mater mon cul et il me dit « tu peux me frotter le dos stp? »
_Oui bien sur répondis-je 

Là j’arrive il se retourne et je suis devant son cul de dieu grec muscle ferme
Il me tend son gant et  je frotte un peu

 

Il se retourne et commence a rire et m’arroser avec la poire de douche alors il me choppa et me mis sous la douche
Je me débat (en frottant bien mes fesses contre sa queue qui gonfle sans qu’il le veuille).
whaaa!!! tu bandes?

« pencher tu as un cul de meuf .....alors j’ai bandé »
_ Bref c’est pas grave 
« Dit Simon tu ais gène d’avoir vu ma bite ? »
« Non c’est juste que j’aurai ….. »
« Aurai quoi !! , ben maintenant tu sais que ma bite contre ton cul ça me fais bander »
_ Ok! Ok!…
Il se couche avec son caleçon
Moi je part a la douche je revient après 10 min entièrement nu , protégé par une serviette , il ne dort pas il est la sur le dos les yeux en l’air les mains derrière sa tête
Je décide de faire ma salope
Je retire ma serviette et je m’allonge à cote de lui
Il me dit « tu va pas dormir comme ça ? »
_ Comment
« A poil »
_ Et pourquoi?
« Je sais pas ,hier tu étais bien en caleçon »
_Oui mais ce soir…… Non je reste comme ça 
« Ok »
Là il retire son caleçon et se met donc nu sur la couette
« Moi je dort toujours comme ça nu sans rien sur moi »
On éclate de rire d’entendre la stupidité de notre conversation
Mais on reste ainsi
Dans la nuit je décide de me venger
Je décide de le chatouiller
Je monte sur lui et commence à le chatouiller par les hanches
Il se réveille brusquement
Il est mort de rire il essaie de se dégager mais je tiens ses hanches et j’ai mis mes 2 jambes sur ses épaules si bien que mon cul est très près de sa tête
Il rigole il est vraiment mort de rire il me supplie " arrête "
En un coup il arrive à basculer si bien qu’il se retrouve sur moi
Je suis nez a nez avec sa queue et lui avec mon cul
Il dit « ha! tu veux jouer a se jeu la …»

Ses 2 genoux me bloquent les mains alors je me dit il ne reste qu’une seule chose a faire:
mettre des coups de langue sur sa queue
Dans l’euphorie du jeu il ne s'en rend pas compte de suite
Alors je gobe sa queue entièrement
Il arrête et se retourne et me regarde avec ses yeux de tueur et me dit
« Tu fais quoi la »
_ Je me défends 
« En me suçant le queue ! »
J’éclate de rire
« Rigole pas tu peux pas me sucer le dard comme ça »
_ Il y avait que ça a faire j’étais bloquer
« Oui mais tu me lèche la queue comme la pire des salope »
_ C’était ça ou j’avais rien pour me défendre
« Regarde c’est comme si moi je faisait ça »
Et là il se remet au dessus de moi nez a nez avec sa queue alors je lui gobe pendant qu’il lèche mon cul rasé qu’il a l’air d’apprécier
Je le suce et sa queue grossie de plus belle
Il arrête , essaie de se retourner mais je lui pompe tellement la queue qu’il a du mal a se dégager et quand il y arrive on entends un bruit de succion
Il me dit « putain arrête de me pomper la bite comme un malade  , je te montrer seulement ce que j’aurai pu faire »
_ Hervé arrête de me prendre pour un con je vois bien que tu aimes que je suce ta queue »
« C’est normal je reviens de 3 ans d’armée ou je n’ai eu que ma main pour me branler et toi tu met la bouche c’est extra mais je ne suis pas homo »
_Moi non plus mais Hervé arrête ...tu viens de me lêcher le cul»
« Oui mais je te montrai ce que j’aurai pu faire »
On éclate de rire
_ Ce que tu es hypocrite
« Non mais je suis un mec »
_ Et alors moi aussi
« Oui mais toi tu aimes les mecs moi non »
_ Ah oui
« Oui j’aime pas les mecs »
_ Regarde mon cul et dis moi ce que tu en pense?
« Je l’ai vu ton cul tout a l’heure je viens même d’y mettre la langue »
_ Et alors tu as pas envie d’y mettre ta queue?
« Excuse moi mais je ne peux pas faire ça avec toi c’est pas possible »
_ Et pourquoi?
«  T es mon meilleur pote »
_ Oui un pote qui vient de te proposer un plan cul

Il me met la main au cul et commence à me peloter comme un malade
Alors je me retourne  sur le dos , Hervé se mit sur moi
M’embrasse et me retourne sur le ventre il descend le long de mon dos avec sa langue

Je lève mon cul en l’air si bien qu’il voit que je suis entièrement a lui
Il commence a embrasser mes fesses et se met a lécher mon cul comme si c’était une chatte de meuf
Alors je me cambre a fond
Il met ses mains sur mes fesses et pelote virilement en profite pour mettre un doigt dans mon petit cul serre
Je me retourne  à nouveau et descends lentement vers sa queue
, je la gobe  je la suce comme un malade comme si c’était une glace a la vanille
Je l’entends gémir de plaisir
Il met ses mains sur ma tête pour que je continue a gober son démonte pneu
Il me retourne relèche ma rosette toute rose va même jusque cracher dessus
Il enfile une capote et commence à essayer d’introduire son dard
Voyant la difficulté à entrer ses 20cm
Il donne un coup sec et rentre entièrement sa queue
Aie…Aie criais-je de douleurs

Il bourre de plus belle ,encore et encore je suis assailli par ses coups de reins
Il tape de plus en plus fort sur les fesses , se retire et  me tourne d’un coup et  me pénètre en face a face,
 il me regarde me sourit et dit
« Tu as un cul fais pour ma queue »
Il m’embrasse
D’un coup il se retire et met sa queue au dessus de ma bouche ,retire sa capote et se branle frénétiquement
Il cri de plaisir et éjacule tout son foutre sous mon nez ,il étale bien son jus sur mes lèvre et entre dans ma bouche qui n’attendait que ça pour que je suce sa queue qui ramolli
Il se retire et se met a cote de moi il  reprend une bonne respiration
Il me regarde et éclate de rire
« Tu es plein de foutre mon petit , tu as aimé? »
Je souris
On s’endort
Le lendemain je me réveille tout collant  , je suis seul
Il y a un mot me disant « il faut que je réfléchisse »
Je pars sous la douche ,soudain le téléphone sonne
C’est lui
Il me dit « je revient ce soir » …….
Et depuis cette nuit il me baise quand il rentre en permission ,
il a même demandé a Anita " je  peus encore le baiser le beau Simon ".

 elle lui avait répondu " si ça lui plait , il fait ce qu'il veut "

j'ai recu des nouvelles des jumeaux Robert et Romain (souvenez vous Fatima le femme de Joseph) Robert-Rmoain-1986.jpg
Par simon - Publié dans : ma vie
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Mercredi 10 octobre 3 10 /10 /Oct 15:50
Au vacances de Noél  mes neuveux Bertand et Antoine décident de cousiner. lasurprise-1977.jpg  "et oui tonton Simon tu nous donnes de tres bonne idées avec tes revues que tu as rangé au grenier ". me dirent-ils.

AH! c'etait donc vous!

OUI TONTON




1978

je retrouva 1978-paul.jpg Paul


Un copain de Cm2 je restais émerveillé de son corps velu et bien musclé ,mais sa bite était toujours resté petite ,je lui suça pour pouvoir la regarder grandir ,elle n’avait pas changé petite et fine comme au bon vieux temps.

pui en cours d'année un nouveau voisin Vincent Vincent-1978.jpg





1979

Chez le coiffeur

On est en juillet. Il fait chaud et je n'en peux plus d'avoir les cheveux si longs. Ca me tient trop chaud. Je prends le téléphone et je prends RDV chez un coiffeur à la mode. Je mets mon nouveau jean et mon p'tit t-shirt serré.

Arrivé chez le coiffeur, je suis accueilli par un homme charmant. Brun, la trentaine peau mat, 1.75 m environ.

- Bonjour monsieur, Vous avez rdv ?
- Oui à 17h45... C'est un peu tard...
- Non, vous serez juste le dernier client de la journée

Il se retourne et consulte le carnet.
- Julien, c'est pour toi !
Je vois alors au fond du salon, un jeune mec châtain foncé, très viril coiffait une vielle peau au brushing trop gros.
- Merci Kamel. Je finis avec Mme et je suis à vous !

"A moi ", si seulement !

Je m'installe et prends un magazine. Je m'aperçois qu'il y a une autre coiffeuse qui fait du rangement dans ses affaires. Sinon le salon est plutôt calme.

Kamel vient vers moi et me propose un café en me regardant droit dans les yeux avec un petit sourire étrange.
- Non merci, j'ai trop chaud.

Julien a fini avec la vieille dame. Il la remercie et vient vers moi.

Il me tends la grande blouse bleue et m'aide à la mettre.

Le shampoing commence par un massage divin. Ses mains sont fortes mais bougent avec sensualité.

J'entends la coiffeuse dire au revoir à ses collègues et la porte se refermer derrière elle.
 Julien me sèche les cheveux et m'installe sur la chaise devant un grand miroir. Il me coupe les cheveux, on discute de tout et de rien pendant que Kamel range un peu le salon. Il s'approche et me regarde toujours en souriant.
- Ca fait du bien un peu de fraîcheur, hein ! En désignant mes cheveux courts !
- Oh oui ! J'espère juste que je pourrais me coiffer demain !
- Mais oui me dit Julien. Je vais vous montrer...

il mets un peu de gel sur ses mains et me coiffe les cheveux en pétard.

Autant je n'avais rien remarqué pendant la coupe, autant là j'ai l'impression que ses mains me caressent plus qu'elle ne me coiffe.

Il est collé à mon siège et ma tête touche parfois son ventre ferme.
Kamel se met devant mon siège et observe mes cheveux.

- Attends ! Regarde on pourrait lui mettre les cheveux comme ça, non ?
Il avança mes cheveux vers l'avant et me demanda
-Vous en pensez quoi ?

Il est tout prêt de moi et j'ai juste son le haut de son jean devant le nez. Je sais pas ce qu'il m'a pris mais j'ai répondu les yeux fixés sur les boutons :
- Ca a l'air intéressant ! Je demande qu'à voir !
Plus un mot. Ce silence est gênant. Je regarde leurs visages dans le miroir. Julien sourit à Kamel qui va fermer la porte à clé.

Julien tire ma tête en arrière et me caresse. Il se baisse et m'embrasse. Kamel est revenu et me masse le sexe à travers le jean.
-T'as pas de slip, mec ?

- Non j'ai trop chaud !

Il ouvrit alors les boutons 1 à1 pour dégager ma bite déjà bien raide.

Julien m'embrassait de plus belle tout en baissant son pantalon de toile.

Kamel approcha sa bouche de ma bite et joua un peu avec avant de me lécher les couilles.

Julien laissa ma bouche un instant pour enlever son t-shirt et son pantalon de toile tombé sur ces pieds
1979-julien.JPG et passer devant moi rejoindre Kamel.

Ils se mirent à 2 sur ma queue. J'ai cru que j'allais exploser.

  Kamel  c'est  relevé pour se déssapper mes yeux sortirent de la tête a la vue de son engin.
1979-kamel.jpg Leurs corps étaient parfaitement comme je les aime. Kamel s'est approché et a joué un peu avec sa bite sur mon visage avant de me laisser le pomper comme une bête assoiffée. J'ai tiré Julien vers moi pour avoir leurs 2 bites dans la bouche.

Celle de julien était plus épaisse. Ils se roulaient une pelle, pendant que Julien massait les fesses de Kamel.

J'aventurais alors mes doigts dans leurs raies jusqu'au trou.

Kamel écarta légèrement les fesses m'invitant ainsi à entrer.

Julien était apparemment plus retissant et se laissait juste masser le trou.
Mes coups de langues étaient plus assidus que jamais et suivaient le rythme de mes doigts dans le cul de Kamel. 
J'ai senti alors que le corps de Julien était tendu. 
Il se retira de ma bouche pour cracher tout son jus sur ma figure. 
J'en étais tout excité. Kamel aussi puisqu'il la suivi de près.
 Julien s'est alors approché de mon visage pour lécher son foutre pendant que Kamel se soustrayait à mes doigts pour me tailler une pipe que je n'allais pas tenir longtemps.
 J'essayai de me retirer mais Kamel m'en empêcha et se prit tout mon foutre la bouche. Il s'approcha alors de nos bouches et on se roula une pelle à trois pleine de foutre.
 J'étais vidé mais complètement excité.

On s'est lavé dans le bac à shampoing et on a fini la soirée au ciné et en boite.

deux mois plus tard.

je finirai l'année avec 1979-marco.jpg  qui apprécie mes venues fréquantes en disant a Marco " tu aurais du trouver ce copain beaucoup plus tôt "

1980

Ce soir la  Paolo 1980-paolo.jpg ,il n’a peu résister a la tentation de sentir en lui mon chibre de même calibre mais plus longue . dépucelé il ajouta « pourquoi avoir attendu si longtemps , c’est si bon » mais n’oublia pas de me défoncer …….

 

en juillet

Didier et moi étions partis en vacances tous les deux pour faire de la randonnée dans les gorges du Verdon. ( nos femmes étaient parti a la plage)

Il connaissait mon penchant pour les mecs, mais cela ne le gênait pas.

Pour lui, nous étions amis et c'est tout.

Son hétérosexualité me désespérait, mais j'avais appris à vivre avec.

Il est vrai qu'il m'était arrivé à plusieurs reprises de le caresser pendant son sommeil lorsque nous passions des soirées arrosées et qu'il s'endormait sur mon canapé.
Une fois, je l'ai même sucé.

Mais c'est frustrant.

J'avais envie de le sucer avec son consentement, qu'il prenne ma tête entre ses mains et me caresse les cheveux pendant que je lui gobe les couilles.

J'avais surtout envie de goûter sa semence qu'il lâcherait dans un râle de plaisir.

Enfin bref, quoiqu'il en soit, je devais faire contre mauvaise fortune bon coeur, et ne rien attendre de plus que son amitié.

Pour nos randonnées, nous avions loué un petit studio où nous nous rendions tous les deux jours, les autres nuits étant passées sous une tante.

Les premières nuits, nous tombions épuisés par notre journée et dormions à peine la tête posée sur l'oreiller.

Nous avions des lits superposés et je dormais en bas.

Le surlendemain, au moment du coucher, je lâchais sur le ton de la plaisanterie que j'allais probablement avoir recours à la masturbation très bientôt.

Cela nous a fait rire, mais Didier ne tarda pas à m'avouer " depuis 6 mois maintenant (sa femme évitait de baiser) ",de ce fait il relâchait régulièrement la pression de ses couilles par la branlette.

Je lui expliquais " pour moi, c'était idem ", et que je me branlais au moins une fois par jour.

A tout hasard, je lui dis " si un soir tu as envie de plus qu'une branlette, ou une fellation te manque vraiment, tu n'as qu'à descendre de ton lit, sans rien direpour me rejoindre ".

Il pris cela comme une plaisanterie, et repoussa cette éventualité « je ne suis pas pédé moi, désolé » me dit-il.

Une demi-heure plus tard, après que l'idée ait fait son chemin,

Didier descendit de son lit totalement à poil, sa queue raide lui touchant presque le nombril !

Je m'attendais à ce qu'il ne dise rien et vienne près de moi pour que je le suce mais il me regarda et me dit :
- " j'ai bien réfléchi à ce que tu m'as dit  ".

Mais je veux que tu saches "  je ne suis pas homo  ".

Mais après tout, " si tu as envie de moi, et que moi j'ai envie de sexe, j'accepte ta proposition jusqu'à ce qu’on retrouve nos gonzesses " .

" Que tout soit bien clair ".

J'acquiesçais dans un hochement de tête et ouvrit mon lit à l'homme que je convoitais depuis si longtemps
1980-didier.JPG Il est superbe. Son torse est bien velu de poils blonds et roux comme le pain bien cuit.. Ses tétons sont petits et fermes mais très érectile.

Son sexe s'érige fièrement au dessus de la plus belle paire de couilles qu'il m'ait été donné de voir, de toucher, de gober, de lécher.

Non pas par la taille, mais par leur forme, leur douceur.

Maintenant je le sais, je suis fou amoureux de lui.

Je prends son sexe dans ma bouche et en savoure le moindre endroit.

Cette bite !.

Elle est si bonne. Je joue avec son prépuce, son méat et le branle lentement.

Je ne veux pas qu'il jouisse trop vite, je veux profiter longtemps de lui.

Quand ma bouche quitte son sexe, c'est pour parcourir le reste de son corps.

Son ventre, son nombril, ses seins. Même ses aisselles m'excitent. Je lui lève les bras et commence à lui lécher les poils.

J'entends des râles de plaisir m'indiquant que c'est probablement la première fois que quelqu'un lui fait ce traitement.

Il aime, il adore.

Je lui ai fait l'amour comme ça pendant plus d'une heure.

Il a lâché son doux sperme dans ma bouche et je le nettoyais complètement avant de quitter son sexe à grands regrets.

Il resta quelques longs instants sans bouger puis me dit :
- " Jamais je n'avais joui de la sorte ".

Et il parti dans son lit en me souhaitant bonne nuit.

J'étais aux anges. C'était notre première avec son consentement , et déjà il semblait conquis.

Les autres nuits n'ont pas tardé à s'enchaîner en évoluant.

La suivante, il resta près de moi après qu'on ait joui pour discuter avant de remonter. Celle d'après, il s'endormit près de moi et y passa la nuit.

Celle d'après, il m'embrassa. J'ai bien cru fondre sous ses baiser.

Maintenant, il passe des nuits entières avec moi, et je l'initie doucement à la sodomie.

Pour lui montrer mon attachement je l’oblige a me défoncer le cul.

Il le fit et une fois a l’intérieur de moi , il y pris plaisirs ,me bourrant a des rythmes plus ou moins régulier jusqu’à la jouissance totale dans mes entrailles.

Il se retira quand sa queue fut mole et sortie d’elle même et dormit ainsi contre moi toute la nuit.

Celle d'après , il me demande « vas y baise moi » car j’ai découvert la jouissance masculine avec toi et pour t’en remercier je t’offre mon cul pour une première.

Je ne me fis pas prier .

Je le pénétra lentement faisant de petite pose pour soulager la douleurs , râlant étouffant ses cris dans l’oreiller, mes sur ses reins mes pouces massant son bas du dos le faisait vibrer et ses mouvements permettaient a ma bite d ‘aller plus au fond encore , de plus en plus vite , toujours plus fort je ne résista plus longtemps et éjacula en lui et ce soir c’est moi qui me retira , quand ma queue fut mole et sortie d’elle même .

" Que c’est merveilleux je n’ai jamais jouis de la sorte  " dit-il

Depuis …..

Il aime me prendre et se faire prendre .

Peut être qu’une prochaine il me dira qu'il m'aime ?



Apres ces bonnes vacances

 



J'avais alors 35 ans et j'étais en déplacement dans une ville bretonne.
Malgré le fait que je sois marié j'étais quand même fortement attiré pare les hommes plus âgés , mais un plus jeune j‘aimais aussi.

Je m'ennuyais ferme le soir seul dans cette ville ou il y avait vraiment peu d'activités. Mon hôtel était à une quinzaine de kilomètres de la ville pour bénéficier d'un bord de mer on ne peut plus agréable.

Le soir après le boulot j'allais faire un peu de sport mais pas de rencontre, bref je trouvais les semaines très longues.

Un soir que je traînais dans la principale rue marchande, je  rentrais dans un magasin de journaux et pour passer une soirée agréable à l'hôtel je me cherchais une revue X. 
Je choisissais une seconde revue d'ordinateur pour cacher mon premier achat et me dirigeais vers la caisse.

Un homme d'une quarantaine d'année   1980-guy-copie-1.JPG  trônait derrière la caisse, il prit mes revues, pris un mail plaisir à mettre la revue X sur le dessus, en me souriant, et me fit payer.

je rentrais directement à ma chambre et durant toute la route je repensais à cet homme.
Je m'allongeais en rentrant et très excité, je me masturbais en regardant ces photos très chaudes, mais là je fixais plus les sexes tendus que les attributs des miss se faisant câliner.

J'allais manger, seul, et en revenant à ma chambre, je pris une douche et recommençais ma petite séance de plaisir solitaire en pensant à cet homme qui m'avait excité rien que par son sourire plein de sous-entendus

Au matin, ma décision était prise j'y retournerais le soir même. Autant vous dire que la journée fut longue. Je me baladais 2 heures dans cette ville et vers 19 H je me décidais enfin et rentrais dans la boutique.
Je fus accueilli par un " bonjour " du patron auquel je répondis, un peu gêné, il enchaîna en disant bien fort dans le magasin qu'il allait fermer et qu'il demandait aux personnes présentes de bien vouloir hâter leur achat.
Les quatre rangs de rayonnages se vidèrent, et moi, j'étais toujours devant le rayon des revues X en train de mater et essayer de choisir ou d'attendre.
Il rentra les présentoirs et passait dans les rangs pour vérifier l'absence de client.

Il arriva derrière moi ,silencieusement et me dit :

- je peux vous aider ?
- heu, excuser moi je vais faire vite,
- prenez votre temps ce n'est pas grave, je reviens de suite.
Alors la j'étais vraiment dans tous mes états : inquiet, excité, Je l'entendis fermer la porte et revenir vers moi.

Je me retournais et me trouvais face à lui.
- vous voulez une revue comme hier ? Elle n'était pas bien ?
Et là je ne sais pas comment j'ai réussi à lui sortir cette phrase :
- si mais il n'y avait pas beaucoup de photos d'hommes
- je vais vous en trouver des mieux, mais venez par ici car le magasin est fermé , mon patron  est parti aussi et je voudrais éteindre.
Je le suivais dans son arrière boutique : il y avait juste un bureau dans cette pièce.

Je restais devant le bureau et le suivais des yeux alors qu'il fermait sa boutique.
Il revint avec des revues homos " soft ", il me les posa sur le bureau et me dis de choisir.

Je commençais à les feuilleter et j'étais au comble de l'excitation.
Je le sentais derrière moi, regarder mes réactions par-dessus mon épaule.
- je vais t'en chercher d'autres
Je profitais de son absence pour replacer mon paquet bien tendu dans mon slip.
La seconde série était, cette fois-ci très hot, on voyait tous les actes possibles entre hommes et  cela m'excitait énormément.

Je n'étais pas le seul :
- tu aimes ?

Et en disant cela il se colla à moi, je le sentais dur contre moi mon pantalon en toile ne faisait pratiquement pas barrage.

Il commença à m'ouvrir ma chemise en m'embrassant dans le cou.

C'était merveilleusement bon, je me laissais faire et j'aimais ça.
Il retira ma chemise, je voulu me retourner mais il m'obligea à rester dans cette position et me dit :

" laisse toi faire, pour une fois je vais m'occuper de toi ".

Je devais vraiment être gauche pour qu'il le devine de suite.
Ces mains se posèrent sur mes pectoraux et ses doigts jouaient avec mes pointes de sein.

Je gémissais de plaisir.

Sa main droite descendit et s'attaqua à la ceinture et au bouton qui retenait mon pantalon.

Ce ne devait pas être une première pour lui car en peu de temps je me retrouvais en slip.

Mes mains cherchaient son corps mais il me les repoussait, sous le charme je me laissai faire.

Sa main droite caressait mon slip, je la sentais et la regardais aller et venir le long de mon sexe tendu, partir vers mes couilles, les caresser, les faire rouler et repartir vers mes fesses pendant que ses lèvres effleuraient mon cou.
Il m'embrassa dans la nuque et je sentis ses baisers descendre le long de ma colonne alors qu'il retirait en même temps mon slip.
J'étais nu avec un homme entrain de me faire l'amour et j'aimais cela.
Il se releva, me fit retourner et m'embrassa sur la bouche. Jamais je ne m'aurais cru capable d'embrasser un homme que je ne connaissais pas et pourtant je le faisais et j'aimais ça.
Tout en m'embrassant, il repoussa les revues et me fit asseoir sur le bureau.

Sa bouche descendit le long de mon cou alors que ces mains me torturaient toujours délicieusement les pointes de sein.

Sa bouche remplaça ses mains, je pensais que j'allais jouir sous l'effet de ses caresses.

Il me prit les couilles et recommença à me les malaxer sa bouche était maintenant sur mon nombril, sa langue virevoltait dedans, son autre main titillait mes seins : que de bonheur.
Il s'arrêta quelques secondes pour me regarder offert et tendu, il retira sa chemise, me dévoila un beau torse poilu et me demanda " allonge toi ", je ne pouvais rien lui refuser.

Il me décalotta doucement de ses lèvres et commença un lent va et vient je sentais la chaleur de sa bouche autour de moi ses mains se posèrent à nouveau sur mes couilles alors que sa bouche montait et descendait lentement, je n'en pouvais plus, et il le sentais,

je commençais à me tordre pour éviter de jouir et retarder cet instant,

il accéléra en me serrant encore plus fort les couilles, c'était plus que je ne pouvais en supporter et je ne pu me retenir et jouissais au fond de sa bouche, c'était l'extase, je me sentais vidé, heureux et, le temps de reprendre mes esprits, tout honteux et gêné.

Il me fit me remettre assis et m'embrassa, força ma bouche et je me retrouvais à partager mon sperme avec lui, et le pire de tout c'est que je n'étais pas dégoûté mais au contraire très excité.
Doucement il me fit me relever et me demanda de me mettre a genoux devant lui les mains derrière le dos.

Après ce qu'il venait de m'offrir je ne pouvais pas lui refuser.
Il retira son pantalon et debout devant moi, le slip tendu il me dit " tu vas  t'occuper d'elle. "

J'y suis allé à l'instinct, ce slip tendu me cachait un sexe que j'avais envie de sucer à mon tour. J'approchais mes mains mais il me les repoussa, je compris qu'il voulait ma bouche.

Cette situation m'excitait, je sentais mon sexe durcir à nouveau.

Je commençais à le mordiller à travers son slip et pris l'élastique dans mes dents pour lui retirer.

 

Je me sentais maladroit mais je sentais que cela l'excitait il m'aida à le retirer et

un beau sexe tendu s'offrait à ma vue.

Je me mis à téter le bout du gland, l'effet était prodigieux, doux, chaud, vibrant, le décalottais et l'enfonçais dans ma bouche.

Ma langue jouait avec le frein, avec le petit trou, enfin je suçais un homme !!!

Je montais et descendais le long de son sexe tendu je l'entendais gémir.

Il me demanda d'arrêter et me releva.

Nous nous sommes embrassé, les deux sexes tendus l'un contre l'autre, il les prit et commença à les masturber en même temps d'une main.

Il me demanda si je souhaitais aller plus loin.
Oui j'en avais envie, il avait pris possession de mon esprit et de mon corps, je ne vibrais plus que pour le sexe.

Il me fit allonger sur le bureau et il reprit mon sexe tendu en bouche.

Il me fit poser mes jambes sur ses épaules et je sentais ses mains caresser mes couilles, puis doucement sa bouche s'empara de mes couilles alors qu'il commençait doucement à me caresser entre les couilles et l'anus.

La pression augmentait doucement alors que ces doigts maintenant commençaient à caresser les contours.

Sa langue vint se poser sur mon anus et commença à me titiller de façon délicieuse, je ne pensais pas que cela serait si bon.

Elle fut vite remplacée par un doigt qu'il fit entrer et sortir doucement.

Il s'arrêta et me demanda de me caresser pour lui.

Je ne pouvais rien lui refuser, mais alors que je prenais mon sexe en main il me précisa qu'il voulait me voir jouer avec mon cul.

Je passais doucement la main sur mon cul légèrement ouvert et humide et commençais en entrant un doigt au plus profond de moi.

Il appréciait de me voir ainsi et me demanda en s'approchant du bord du bureau de le sucer sans m'arrêter.

Son sexe était très tendu et je voyais de la mouille au bout du gland, je le happais avec gourmandise. Au bout de plusieurs va et vient il se retira et me dit " continue a jouer avec ton cul, je vais chercher ce qu'il faut  " .
Ce ne fut pas long et je le vis revenir et se remettre entre mes jambes.
Je retirais ma main et sentis un doigt froid sur mon anus (je compris un peu plus tard que c'était le gel).

Il rentra facilement deux doigts , les retira et fut suivi d'une seconde rentrée.

Pour une première fois, je tombais sur un homme patient attentionné, tout ce qu'il me fallait.
Il me préparait doucement en faisant de lent va et vient de ses deux doigts, je me tordais de plaisir et lui demandais de me prendre.

Il retira ses doigts, et je sentis son sexe contre mon anus, il poussa doucement, cela me faisait un peu mal et il le senti, il ralenti et d'un coup la douleur disparu, le gland était passé.

Il resta quelques instants immobile, le temps que je puisse m'habituer et il s'enfonça à fond doucement. La nouvelle sensation de son sexe contre ma prostate me mettait au bord de la jouissance.
Il commença alors à entrer et sortir en accélérant doucement, il m'attrapa les couilles te les malaxa d'une main alors que de l'autre il me branlait au même rythme que ses pénétrations.

Au moment je jouissais pour la seconde fois je le vis se tendre, lui aussi, de plaisir, il jouissait en moi.

Soudain une voie se fit entendre derrière nous « alors papa on fait du rab ».

L’homme sursauta et dit « Oui mon fils ce jeune homme avait besoin de conseils alors je lui expliqué ».

Je vous observais depuis une demi heure et regardez dans l’état que je suis?.

Il enleva sa chemise et laissa tomber son pantalon.
1980-inconnu-2.JPG Devant nous une queue raide comme du bois il dit alors « père donne ton cul au client »

L’homme se pencha sur le bureau et me tendait son cul.
ce que je fis , mon sexe pénétrant ainsi le vendeur. qui cria a son fils

« et toi qu’est ce que tu attend pénètre le »  celui ci se présenta derrière moi , son gland touchait mon cul encore distendu et m’enfonça son pieux (19 cm) , pris en sandwich je ne pouvais que suivre le mouvement ,tout en branlant l’homme je jouissais en lui et son fils en moi.

J'étais crevé, et eux aussi, l’homme se colla contre moi et m'embrassa tendrement, je sentais la bite du fils mollir et ressortir de mon cul nous restâmes un bon moment ainsi, à nous caresser et embrasser, j'étais aux anges.
Ils me disent qu'ils devait rentrer chez eux et nous nous séparâmes après une douche pleine de caresses et tendresse dans l'arrière boutique. Il me restait une semaine et demi de déplacement dans cette ville

Le fils passa deux fois a l’hôtel ,sous le bras quelques revues X , pour mieux se faire pardonner de son intrusion dans ma vie , mais j’avais bien compris que seul mon cul l’intéressé .
1980-inconnu-3.JPG








1981

1981-Louis.JPG
une visite inatendue , mon fils éligitime Louis (souvenez-vous Joseph et Fatima en 1960)
maman m'a dit la verité a mon sujet alors je suis venu voir mon "papa".

il me dit " je suis comme toi j'aime les mecs et les nanas "

" c'est bien fiston  " répliquais-je  " et que toi tu pourras procréer ta succession "

"j'espère bien que oui "

" tu ne trouvera pas d'inconvéniant que je  te pompe à chaque visite " .

" je te doit bien ça "

Sylvain me pompe comme un Dieu et joue avec ma pastille .
 
dans ma tête  je pensais  " me demandera-t-il un jour de m’enculer? ".

Moi je l’espère…….et que lui aussi acceptera de ce faire baiser par son père créateur malgré mes 36 ans


je décida quelques moi apres a me lancze dans l'informatique et je parti en formation une semaine a Nancy.

mon stage est terminé je rentre

Cela faisait 3 jours que je passais toutes les fins d'après-midi sur ce programme que je devais rendre le lendemain. Je regardai les lignes défiler sur l'écran sans comprendre ce qui clochait l soudain l'écran afficha le message tant redouté : « Index out of range ». 
Je tapais sur la table en lâchant un soupir d'exaspération. Dans une demi-heure, la salle d'informatique allait fermer et ce foutu programme ne fonctionnait pas.

Au fond des rangées d'ordinateurs, il y avait le moniteur de la salle d'informatique penché sur son écran.

Je contemplai désespéré mon écran tentant d'analyser ces vicieuses lignes de codes et de comprendre mes erreurs.
 J'entendis derrière moi une voix qui me demanda « tu veux que je t'aide ». Je me retournai et je vis le moniteur qui s'était approché sans que je m'en aperçoive. Il était chargé de surveiller le bon usage des ordinateurs et nous prodiguait des conseils.

Il devait avoir entre 25 et 30 ans, athlétique, brun, avec des yeux noirs, très beau avec ses traits affirmés et volontaires. Beaucoup de charme. J'acceptai son aide avec ferveur.

Il s'assit à coté de moi et me demanda ce que je devais faire et quel était le problème. Il était souriant et disponible. Très pédagogue, il m'expliqua et corrigea mes fautes. De temps en temps, par inadvertance, nos mains se touchaient  provoquant autant de décharges électriques qui me troublaient. 
Son parfum léger et agréable arrivait jusqu'à mes narines. Je fis semblant d'écouter car j'étais subjugué par ses mains et son visage.

Le programme fonctionnait. Maintenant il était l'heure de sortir. Le moniteur éteignit les ordinateurs et la salle. Nous nous retrouvâmes dans le couloir. Il ferma la porte.
 Je ne sus pas pourquoi je l'attendis. Il se tourna et me demanda « tu vas bouffer maintenant ? » 
Je lui répondis « oui je vais au Mac Do voisin de mon hôtel. ». 
« Tu permets que je t'accompagne ? Je n'ai plus rien dans le frigo ».
 J'acquiesçai, enthousiaste.

Pendant le repas, on a discuté de tout. J'appris qu'il était a part informaticien, assez sportif, célibataire, qu'il habitait le vieux Lille.
 A chaque fois, qu'il plongeait ses yeux noirs dans les miens,ou qu'il me touchait la main pour prendre du pain ou du sel je rougissais.  J'étais sous le charme. Comment  ne l'avais-je pas remarqué avant ? 

il me demanda doucement « alors qu'est-ce qu'on fait ? » en me regardant droit dans les yeux.
Je m'entendis lui dire avec stupéfaction « je t'offre un café  dans ma piaule ? ». Il me décrocha avec un sourire ravageur..Je pris 2 grands café a emporter  et On sortit du Mac Do.

Nous nous rendîmes presque muets, dans ma chambre d'hôtel, qui était proche du restaurant .
 En ce début de soirée, le calme régnais . Ma piaule, 4ème étage  numéro 403. Il y avait  un lit double, un bureau, une armoire, une douche. Comme je suis ordonné, je pouvais l'inviter sans honte. J'avais mis quelques photos de ma femme et de ma fille dans un coin du bureau auxquelles il jeta un coup d’œil.
 Il s'assit sur le lit. J'allumai les deux lampes qui dispensèrent une lumière douce plus douce que celle, blafarde du plafonnier. Je lui donna le  café et je m'assis à coté de lui. Il me regarda et je fus captivé par son regard.
nous bumes le café tranquilement en parlant de tous et de rien.

Il approcha sa main et m'effleura le visage. Je ressentis sa chaleur. Il m'attira et déposa sur mes lèvres un doux baiser. Je le lui rendis tout en plongeant dans le lac noir de son regard.
 Il me serra contre lui et m'embrassa fougueusement. Je sentis sa chaude langue caresser la mienne. Ses mains parcouraient mon corps et retirèrent ma chemise de mon pantalon. Tout en continuant à m'embrasser, il la déboutonna et me l'enleva. Je sentis mon tricot de corps se soulever et ses mains brûlantes touchèrent ma peau. Des décharges électriques parcouraient mon dos et je sentis monter en moi une chaleur bienheureuse. Il retira mon sous-vêtement puis ôta rapidement son pull et son tee-shirt. Il me serra à nouveau dans ses bras et me coucha sur le lit. Nous étions peau contre peau, langue contre langue, nos mains cajolant nos corps embrasés.

Il cessa de m'embrasser et défit ma ceinture. Il déboutonna mon jean pendant que je le caressai à travers son pantalon. Sa main se glissa entre le jean et mon slip. J'étais en pleine érection. Il me caressa le sexe en m'embrassant à nouveau. 
Je défis sa ceinture et je déboutonnai son pantalon. La braguette glissa et je sentis également sa verge en érection, bien dure et bien imposante. Sa bouche descendit sur ma gorge puis sur son mon torse pour atteindre les tétons qui étaient eux aussi très durs. Il lécha et les mordilla alors que ses mains s'affairaient à enlever mon jean.
 Sa bouche descendit sur mon ventre vers mon pubis. Il embrassa ma verge à travers le tissu très fin et soyeux de mon slip. Il termina de m'enlever mon pantalon qui rejoignit la chemise sur le sol. Il se leva et retira son jean. Il avait un boxer noir qui moulait son sexe tendu et gorgé de promesses.

Je m'approchai de lui et pris ses fesses entre mes mains. J'embrassai sa barre à travers le boxer et impatient je le fis glisser. La verge jaillit.
1981-herve.JPG Elle avait une odeur agréable et musquée.

Il me caressa le visage avec son chibre.

J'ouvris la bouche et l'enfourna goulûment.

Il me tint la tête en faisant courir ses mains dans les cheveux.

Son membre allait et venait tandis que mes mains emprisonnaient ses fesses très fermes et musclées. Puis, je le branlai alors que ma bouche voyageait de ses testicules au bout du gland. J'entendis ses râles de plaisir et je fus complètement noyé dans des ondes de chaleur lubriques.

Il se retourna et s'appuya sur le bureau, les jambes légèrement écartées. Je baisai ses fesses en les massant délicatement puis je les écartai. Sa rosette m'apparut comme un soleil. J'enfouis mon visage dans ses chairs et ma langue lécha rapidement sa fente. Il poussa à nouveau un râle de plaisir. Je déambulai, de haut en bas et m'attardai sur sa rondelle du bout de la langue. J'écartai encore plus ses fesses et j'introduis ma langue dans son trou.

Je mis mes deux mains sur son sexe et je le branlai en cadence.

Au bout d'un moment, il se retourna et me coucha sur le dos sur le lit. Mes jambes étaient en dehors et écartées. Il m'embrassa sur la bouche puis chercha son pantalon. Il en sortit un préservatif. Il déchira d'un coup de dents l'enveloppe, prit le caoutchouc et le déroula rapidement sur mon sexe. Cela me déconcerta un peu, je n'en avais jamais mis.

Il se retourna et je le vis s'asseoir sur mon chibre. Il se laissa pénétrer sans problème et je sentis ma verge être enserrée dans une gangue chaude.
 Une déferlante de plaisir m'envahit et j'eus un petit hoquet.
 Il se souleva et s'abaissa dans un lent va et vient. Il me caressa les couilles et je sentis qu'il se masturbait également. Une de ses mains fouilla mon entre jambe et un doigt atteint ma rondelle. Il me la massait alors que j'étais dans la sienne. Je caressai son torse musclé et j'étais perdu dans une mer très agitée de volupté.

Il accéléra le rythme. Il s'accrocha à mes jambes. Sa respiration se fit plus rapide. Des ondes de plaisirs intenses partirent de ma verge et déferlèrent dans  mon corps et mon esprit. Je sentis monter l'orgasme avec la puissance d'un raz-de-marée. Je poussai un petit cri et je sentis ma semence jaillir. 
Il décéléra. Il se leva et se retourna. Il se masturba rapidement et ne tarda pas à m'envoyer son foutre sur mon ventre dans un cri libérateur.

Il m'enleva le préservatif plein de ma jouissance et le jeta à la poubelle. Il prit un mouchoir dans la boite sur le bureau et me nettoya. Puis il se coucha sur moi et m'embrassa en souriant. Nous nous regardâmes dans les yeux et je me perdis une fois de plus dans ses yeux noirs. Nous câlinions tendrement en silence.

La vigueur revint dans nos deux membres. Nos caresses se firent plus sauvages. Il descendit vers mon sexe et l'emboucha. Je m'abandonnai les yeux fermés à ses caresses buccales. Je sentis qu'il introduisit un doigt dans ma rondelle après l'avoir caressée. Ce n'était pas très agréable mais l'idée qu'il me pénétrait me fit oublier la sensation douloureuse et cela m'excita. Il me masturba pendant que je sentis son doigt aller et venir et qui tentait de desserrer mon anneau . Chaque partie de mon bas ventre fut une source de plaisir. La douleur disparut, et il introduisit un deuxième doigt, cette fois plus facilement. Je jouai avec ses cheveux pendant que sa bouche s'activait sur mon chibre.

Il chercha son pantalon et sortit un nouveau préservatif. En un tour de main, il enfila la capote sur son membre. Il me mit sur le ventre. Il écarta mes fesses et sa bouche vint se poser sur mon anus. Sa langue parcourut rapidement ma raie provoquant un plaisir intense qui partait du creux de mes reins. J'ondoyais au gré de ses coups de langue et de ses caresses. Il mit son membre caoutchouté sur ma raie et m'effleura la rondelle. Il écarta mes fesses et présenta son pénis à mon anus en me tenant par les hanches. Je savais ce qu'il allait me pénétrer j'espérais que mon corps se souviendrait d'une lointaine première fois.

Je sentis une douleur dans le bas du dos et son chibre entra en moi. Il s'inséra précautionneusement dans mes tendres chairs.
 J'étais écartelé, empalé, ouvert 
. Il s'arrêta et je m'habituai à la douleur. Puis il reprit la pénétration avec des pauses par intermittence. Je sentis son pubis se frotter sur mes fesses, mon corps avait avalé complètement son sexe. D'un déhanchement souple, il commença à aller et venir très doucement. La douleur s'estompa et fit place au plaisir. Mon anus lubrifié et préparé me dispensa une jouissance jusqu'alors inconnue.
 Mon sexe frotta sur la couverture au rythme du balancement de son corps. Nous ne faisions qu'un. Je le sentis en moi, je le sentis autour de moi. Ses bras parcouraient mon corps au rythme de nos respirations haletente. Il accéléra puis décèlera puis recommença. J'étais sur des montagnes russes dont son chibre était le sommet.

Il se retira et me mit sur le dos. Il prit mes jambes dans ses bras, me les souleva et les posa sur ses épaules. Il me pénétra d'un coup.
 Nous pouvions voir sur nos visages le plaisir que nous ressentions. Il me pinçait légèrement les tétons pendant que je me masturbai alors qu'il allait et venait en moi. Il accéléra et maintint une cadence élevée. Je ne savais plus qui, j'étais entièrement engloutit par la jouissance qui explosait comme mille soleils. J'entendis deux cris, deux hurlements et une lave bouillante jaillit sur mon ventre.

Il sortit de mes fesses et retira le préservatif qui était rempli de sa substance. Il s'allongea à coté de moi et joua avec mon sperme tout en m'embrassant. Il déposa un baiser sur mon ventre et trempa ses lèvres dans le liquide. J'étais exténué. Il me caressait le torse, la nuque et le visage. Nous restâmes un moment comme cela, tendrement enlacés.

Il se leva et me dit qu'il devait rentrer. 
J'aurais voulu qu'il reste avec moi. 
nous allons sous la douches en quelques calins et Il s'habilla et moi je restai nu allongé sur le lit avec une vague douleur dans le bas du dos. Sans un mot, il m'embrassa encore une fois et sortit de la chambre.

 J'avais un peu mal à l'anus mais j'étais heureux et j'ai l'impression de flotter au dessus du sol.

Le lendemain, à part des sourires amicaux et socialement corrects, l'assistant ne m'adressa pas beaucoup la parole et je sentis qu'il m'évitait dans la salle informatique. Je restai jusqu'à la fermeture.
 Un peu gêné, je lui demandai " on se voit se soir ".
 Il me dit " non  ce soir tu as pas eu de panne  ". 
Sur mon insistance, il m'expliqua sur le même ton qu'il avait employé pour m'aider dans la programmation, " je ne t'avait rien promis , même si cela avait été super,, qu'il n'était pas un bon mec de toute façon ", 
. J'appris plus tard qu'il était de la race des prédateurs

J'ai aujourd'hui 34 ans Il est vrai que je n'ai pas toujours voulu faire face à mon homosexualité, que je cachais comme un mal honteux à tout mon entourage.

Cela étant, il est d'autant plus difficile d'avoir des relations quand vous voulez cacher votre véritable nature.

Puis un soir, nous voilà invités, des amis et moi-même, chez Pascal, un voisin de mes amis et cousin de ma femme (j'habitais à 10 kilomètres de leur village).

Nous étions 5 à arriver dans son appartement : deux couples mariés, et moi sortit en célibataire(ma femme n‘aime pas son cousin Pascal), !

La soirée se déroule à merveille.

Des discussions animées et drôles qui prêtent toutes à boire un verre de plus.

Tellement de verres que je ne me sentais pas de reprendre ma voiture, et c'est tout naturellement qu'au terme de la soirée (vers 3h00 du matin tout de même), que Pascal m'invite à rester dormir sur son canapé.
Nous raccompagnons donc les 4 autres invités et Pascal me propose un autre verre. Étant donné que je n'avais pas de route à faire, j'acceptais volontiers.

Puis Pascal me dit " mon canapé n'est pas très confortable je te propose de partager mon lit ", insistant sur le fait qu'il sait très bien que je suis un hétéro pur et dur et que je ne risque rien (et oui, avec des années de pratique, on arrive à bien cacher les choses.).

Ce qui me laisse très grandement imaginer que lui même n'est pas très hétéro.

Je lui réponds " je suis d'accord ", tout en le laissant croire que je suis effectivement hétéro. Nous passons donc dans sa chambre.

Il passe dans la salle de bain. 1981-pascal.JPG

Puis me laissa la place ,pour aller ce coucher…..

de retour dans la chambre,

il est sous les draps et rien ne laisse entrevoir que quoi que ce soit va se dérouler entre nous.

Au moment où je soulève le drap pour me glisser à côté de lui, je découvre que son sexe est plutôt en forme.

Il éteint vite la lumière.

Je n'ai pas le temps de poser la tête sur l'oreiller que je me retrouve avec la langue de Pascal dans la bouche.

Il se glisse sur moi et non seulement je le laisse faire, mais surtout je le prend dans mes bras et cherche sa langue avec la mienne.

Ma queue s'est subitement gonflée, et sort du string que je ne tarde pas à enlever, pour le plus grand plaisir de Pascal.

Nos bites sont l'une contre l'autre pendant que nous nous embrassons et nous caressons à en perdre haleine.

Je le pousse sur le côté afin de me retrouver sur lui.

Ma langue quitte la sienne pour descendre lentement le long de son cou , jusqu'à ses seins.

La, je m'attarde sur ses tétons qui sont incroyablement érectiles.

Je continue mon chemin de langue jusqu'à son nombril. ses poils pubiens, noirs et drus comme j'aime me chatouille le menton.

Je lui repince délicatement les tétons, ce qui lui retire des râles et gémissements.

Pendant tout ce temps ……

Pascal frotte sa cuisse contre ma queue au bord de l'explosion.

Décidément, je l'aime de plus en plus ce mec.

Après avoir bien léché son ventre, ma bouche se dirige vers son gland, gros et bien décalotté, afin de le gratifier d'une fellation dont il gardera un souvenir mémorable.

Sa bite était très épaisse et très droite. A sa base, ses couilles étaient lourdes et rasées de frais, ce qui augmenta mon excitation.

Je le suçais comme j'avais toujours rêvé de le sucer.

Et il ne s'en plaignis pas un seul instant.

Je sentais qu'il était au bord de l'éjaculation.

Même si j'avais envie de goûter sa semence, je voulais absolument le sentir en moi avant.

Je montais donc sur lui et m'asseyais sur son dard.

Une brûlure vive fit vite place à un plaisir intense.

Nous jouions tout les deux à faire des mouvements qui décupleraient notre mutuel plaisir.

Nous avons fini dans un 69 qui ne dura que quelques instants, tant nous étions excités.

Lui et moi n'en avons pas perdu une seul goutte.

Son sperme était doux et salé, et je l'avalais comme j'aurais avalé de l'ambroisie (sa boisson favorite).

Je suis reparti au petit matin, le corps léger d'avoir passé une nuit de sexe intense, et avec l'intime conviction qu'une nouvelle vie commençait pour moi : une vie où l'homosexualité n'était plus une honte.

Les années défilaient à vitesses grand « V ».dans ma vie de couple

Nous recherchions Anita et moi le pourquoi nous n’arrivions pas, a avoir un autre enfant.

Après de multiples examens médicaux ,un grand professeur strasbourgeois nous remis en confiance mais il fallait passer par plusieurs opérations chirurgicales.

Enfin  nous avons réussi à procréer notre deuxième enfant

…..

1983

Une nouvelle  petite fille agrandissait la famille .


1984-j--remy.JPG Mon beau frère Jérémy s'occupe d'une association sportive. Il organise des soirées (repas dansant, loto, etc...) et je vais l'aider de temps en temps. C'est souvent convivial, il y a une bonne ambiance entre les bénévoles.

Le lendemain, il faut faire les comptes. D'habitude, Jérémy s'en charge avec le trésorier mais il a eu un empêchement et il m'a demandé d'y aller mais sans me préciser d'heure.
Je me préparais pour aller faire un footing avant et je comptais aller chez le trésorier un peu plus tard.

J'étais en short noir et j'avais un tee-shirt jaune quand j'entends une voiture devant chez moi. C'était le trésorier qui s'appelle Alain qui venait me chercher.

Il me dit qu'il m'attendait depuis un certain temps, Jérémy ne m'avait pas dit que je devais y aller à 14h.
Je lui réponds que j'étais désolé mais que je ne savais pas que c'était à 14h qu'on avait rendez-vous. Je lui dis de patienter, que je vais changer d'habits et que je suis à lui dans quelques minutes.

Il me dit : « tu peux venir comme ça, on n'est que tous les deux, ma femme est chez ses parents depuis une dizaine de jours ».
J'avoue que ça m'arrange, car il fait très chaud. Il habite à 1 km de chez moi, il m'emmène dans sa voiture. On arrive chez lui, on s'assoie l'un à côté de l'autre, on commence à faire les liasses de billets tout en discutant. Il me demande si je fais souvent des footings, si je fais des autres sports, bref quelques banalités d'usage. Il me propose de boire un verre et en s'asseyant à nouveau, il se rapproche de moi, et je sens ses genoux qui touchent les miens. J'ai l'impression d'avoir de plus en plus chaud, et je commence à être excité. Il ne faut pas que je montre que je suis troublé. Il est marié, 4 enfants et il ne faut pas que je me fasse d'illusion. Il a beaucoup de charme, il a 48 ans, châtains aux yeux bleus, sportif.
Tout en continuant les comptes, je me demande s'il ne fait pas exprès de me coller de plus en plus. Je décide alors de me frotter un peu plus à lui et sa réaction ne se fait pas attendre.

Il ne se recule pas, au contraire. Il a un grand sourire, il me fait un clin d’œil complice, et pose sa main sur mes genoux comme s'il me faisait une tape amicale. Mais ensuite, il me caresse la cuisse, remonte tout doucement et mon sexe commençait à se raidir. Il me dit qu'il a envie de m'embrasser. Il approche ses lèvres des miennes, il m'embrasse délicatement, il me roule une superbe pelle, tout en continuant à me caresser les cuisses. Je commence pendant ce temps là à lui enlever les boutons de sa chemise, à passer ma main sur ses pectoraux et lui caresser les tétons.
Il me dit : « j'ai envie que tu me suces, viens t'occuper de ma queue ».
Je lui descends sa braguette, son pantalon et caresse sa bite à travers son boxer, elle commence à prendre du volume. Je lèche sa queue à travers son boxer, j'ai envie que son boxer soit tout mouillé. Il me caresse les cheveux et me demande de continuer, qu'il aime ça.

Son gland dépasse du boxer, et j'en profite pour le lécher. J'enlève son boxer délicatement, je vois enfin sa queue toute entière. 1983-alain.JPG

Elle est de bonne taille mais bien épaisse.

J'espère qu'il voudra bien bourrer mon petit cul.

Je lui lèche les couilles, remonte le long de sa queue avec ma langue pour arriver à son gland qui est bien décalotté , qui est de plus en plus rouge , de plus en plus humide et de plus en plus gonflé.

Il me dit : « tu sais que tu suces super bien, tu m'as l'air d'être une bonne garce, il faut pas t'en promettre à toi ».
Quand on me parle comme ça, ça m'excite encore plus et je continue de lui avaler sa queue. Il veut me limer la bouche avec sa bite, il me prend par la nuque et m'enfonce sa queue au fond de la gorge en me traitant de salope. Il me dit : « tu vas voir ce que tu vas te prendre, j'ai envie de m'occuper de ton petit cul, j'ai envie de te le faire mouiller, tu vas dérouiller
Je lui réponds que j'en ai vraiment envie aussi, je veux qu'il me défonce avec sa queue bien lubrifiée.
Il me demande de me mettre à quatre pattes, il me caresse les fesses, il me doigte pour bien dilater ma rondelle.

Il me traite de chienne et ça m'excite encore plus.

" Tu vas t'en prendre plein le cul, ça fait plus de 10 jours que je n'ai pas baisé ma femme ".
Il me tient par les hanches, je sens son gland contre mes fesses, il me pénètre d'un seul coup, ça me fait mal, mais ensuite, il me lime mon petit cul délicatement, je sens sa queue qui glisse entre mes cuisses, je sens son souffle dans mon dos, je sens qu'il prend vraiment son pied et moi aussi.

Il va tellement profond que je sens ses couilles qui tapent contre mes fesses.
Il accélère la cadence, je gémis de plaisir, ça le motive encore plus pour continuer à me limer.
Il me dit " jai envie de te prendre par devant ".

Il retire sa queue, je me mets sur le dos, je mets mes jambes sur ses épaules, il me roule un patin, il me pénètre à nouveau, je lui caresse les pectoraux, je lui caresse les reins.

Il me lime bien le cul et je sens qu'il ne va pas tarder à envoyer la sauce.

Il accélère la cadence, se retire et m'envoie son sperme sur tout le corps.
Il s'allonge sur moi, nos corps se colle l’un a l’autre aidé par son jus, m'embrasse, et me dit " ça fait longtemps qu'il n'a pas baisé comme ça ".,et ajoute "  ma femme n'aime la sodomie et  n'aime pas trop sucer non plus ".

ma femme est pareil " lui dis-je  "le cul interdit de toucher ,elles sont toutes les mêmes ces femelles ".

" Ça c’est bien vrais " ajouta Alain et si j’ai besoin pour compter la caisse  "tu seras disponible j‘espère? ".

……" car ton beau frère lui pas possible de toucher ".

" Je sais  " dis-je , il refuse toutes mes propositions

Ah! Maintenant je comprend mieux quand il me dit « t’a qu’a voir mon beau frère Simon  le pédé ».

Je ne fus pas surpris.

Et j’ajoutais «  Il est encore vierge a 38 ans… »

Il faudra bien qu‘un jour , a nous deux ,arriver à le dépuceler !!!!.


Je n'ai pas voulu partir comme ça et j’ai bien nettoyé la queue d‘Alain.


Je n'ai pas fait mon footing mais j'ai quand même fait un peu de sport !

Un troisième enfant s’annonçait….. Et nous étions récompensé par la venu d’un fils .

Note vie devenait de la routine …. On baisait de temps en temps…..

Je l’aimais tellement que ….. Je ne voulais pas l’abandonner

 

 

 

 

Mes envies de male me permettaient de vivre discrètement et devenir un homme BI a la recherche de bons moments

1985-christoph.JPG

Il me pris avec douceur , nos corps l’un contre l’autre, après qu’il eu remplis mes entrailles de son jus ,je lui demandais si je pouvais moi aussi profiter de son cul.

Il me répondit « demain si tu veux je viendrais au même endroit avec un neveux de 16 ans »

Le lendemain comme prévu ils étaient là……..

Nous avons dépucelé le cul du neveux a tour de rôle puis je m’occupa de celui de Christoph mais le petit neveux ne perdit pas le nord et me défonçait le mien sauvagement ,heureusement qu’il avait une bite fine et courte sinon il aurait explosé mes entrailles. 1985-maxime.JPG

Par simon - Publié dans : ma vie
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Mardi 9 octobre 2 09 /10 /Oct 20:16

1977-Herv--.jpg







1981-Mickael.jpg  Du sport il y en a eu sous toutes les formes

En vacances dans la creuse ,je vais bouffer les couilles et la queue récupérer tous je jus de

1981-fabien.jpg Il me dira c’est quand même mieux avec toi

Un après midi a Paris

mon cousin Francois 21 ans ma presenta ces meilleurs amis pour la partie de poker organiser chez lui à 21h en raison de l’absence de ses parents et comme j’etais arriver a l’improviste Francois m’avait dit " tu es le bienvenue un de plus ça ne sera que mieux "

1982-frank.jpg 1982-gilles.jpg

1982-bertrand.jpg une soireé mémorable tous c petit monde a eu son compte "  gourmands ils etaient ces petits ! ! ! ! ! ! ! !  " .














le lendemain je fis la connaissance


1982-sebastien.jpg


Je reparti voyager avec la société en Allemagne sur les bords du Rhin que nous remontions en bateau. Nous étions une cinquantaine de personnes femmes et hommes , le séjour sur le bateau tous à poils , de cabine en cabine

 

 

je surpris sur le pont  1983-surlerhin.JPG mes voisin de cabine sur le pont , les sexes se faisaient sucer , d’autres défonçaient , les corps maculés de mousse de bière qui coulait a flot , des saucisses , des bananes accompagnaient les sexes partout ou cela pouvaient pénétrer… arrosé par le vin blanc ou l’eau de vie a 50°………. c’était une orgie total .

 

1983-jean.JPG  d’origine asiatique malgrés sa petite queue 14cm sur 3 le plaisir fut agréable.

j'étais perdu dans une mer très agitée de volupté.






1981-remy.jpg Remy viendra régulièrement tous les samedis pour se perfectionner.

Par simon - Publié dans : mes copains
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Dimanche 30 septembre 7 30 /09 /Sep 17:08

1973

Au mois d'août, ça fera 1 ans que j'habite dans cette petite ville bien agréable.

Depuis la première fois où j'ai rencontré mon voisin, Ewan, je suis dingue de lui et ça va bientôt faire 1 ans ! J’adore me branler en pensant a lui ou en imaginant des histoires. 
Je crois qu'a force il a du commencer a se douter de quelque chose. 
Il ne s'est malheureusement encore rien passé , mais il y a de ça à peu près 2 moi:
 J'étais seul chez moi et je me branlais tranquillement devant des photos de mecs nus dans une revue. Je bandais comme un dingue, quand j'entendis la sonnette. 

Ewan-1973.JPG

J' enfile un peignoir et dissimule tant bien que mal ma trique.
Je vais voir qui cela peut bien être .
C'était... mon voisin Ewan!
J’ouvre et lui dis d'entrer.
Je voulais voir ma femme ?

.Pourquoi tu as rendez vous?

Tu sera toujours aussi con réplique-t-il!

mais je lui dit " je suis seul ,tu montes a la cuisine prendre un verre? ". 
Il accepte et je lui sers une bière. 
Moi j'étais toujours en peignoir et je commence a défaire un peu ma ceinture style de rien. Je me lève et mon peignoir s'ouvre juste devant son nez, exactement ce que je voulais. Là je ne vous explique même pas dans l’état d'excitation dans lequel j'étais.

Je me suis mis à bander deux fois plus. Il me regarde surpris et me dit:

" Putain mais tu bandes ! C’est moi qui te fais ça? "

Je lui réponds " oui  "et il ouvre sa braguette, découvrant une queue pas trop grosse mais magnifique. Il l'a prend dans sa main et commence a se branler.
 Il me demande "'approche ". Je viens, il prend ma queue dans sa main (aaaah le rêve!!), se met a genoux et la met dans sa bouche chaude et humide. Il me suce et me branle en même temps pendant une bonne dizaine de minutes.

Je lui dis de se lever et je me mets a genoux a mon tour, je mets son chibre tout entier dans la bouche et il gémit de plaisir. Je joue avec son gland et il se met à hurler " c'est trop bon!!!  " Il reprend ma queue dans sa bouche, mais mon niveau d'excitation ne me permet pas de tenir très longtemps.
 Je lui dis " je vais jouir  "
 il me répondit " vas-y jouis dans ma bouche! "

Oh le pied! Je déverse une bonne quantité de foutre dans sa bouche et il avale tout le salaud! 
Je lui demande " fait la même chose pour moi. " Dès que sa queue est entrée dans ma bouche, il a  craché sa purée.
On est resté comme ça allongés par terre pendant 5 minutes puis il s'est rhabillé en me remerciant pour ce petit moment.

Tu dira a ta femme que je suis passé?

Oui … OK….je lui dirais qu’on a baiser ensemble!

Il est parti en disant « ça m’étonnerai beaucoup car je sais que tu en voudra encore dans ta petite gueule » 

1974 

Quelques semaine plus tard:


Nu dans ma cuisine ,enfin en string, je vaguais a préparer un petit dessert  pour ma cherie Anita qui était au travail et en cas ou…..de la visite arriverai.....

Soudain , apparu dans l’entrée Jérôme le fils du docteur voisin de quartier.

Jérôme cherche depuis de long mois a vouloir me baiser ,comme il disait «  ton cul je l’aurai »et comme un jour pour le narguer j’avais répondu « chiche »l’écart d’age n’est pas un handicap et j’aime du jeune coq.

Il prit le courage de relever le défis.

Il était là dans l'embrasure de la porte, les mains posées sur le haut de la porte, les poils noirs de ses aisselles découpaient son tee-shirt blanc immaculé, son jean bleu délavé était retenu par un énorme ceinturon. Il était pieds nu et la bosse de son pantalon en disait encore plus.

Il me parlait de sa voix rauque et virile, pendant que je préparais une grosse salade de fruit. 
Sa copine venait de le quitter depuis 15 jours et il se refusait à la remplacer.
Moi 39 ans je ne l'écoutais plus , je flashais sur son corps, son torse en v, les poils qui sortaient du haut de son tee-shirt, ses biceps veineux, ses très larges cuisses bien serrées dans son jean, ses pectoraux bien dessinés, les tétons biens pointus, et je dois l'avouer la bosse de sa bite orientée sur le gauche qui me fascinait.
Quand je pris les bananes ...il se mis à me brancher: " elle sont grosses hein les bananes, j'en ai mis une fois dans la chatte à ma copine, elle a pas aimé."..

je lui dis "  fallait retirer la peau... ça fait moins mal."

Il me dit…." ah bon comment tu fais? "

Je ne répondais pas à ses allusions...
 Pff .....il me dit  " fait chaud ici », je peux me mettre à l'aise ? "

Oui  Anita ne rentreral qu'aprés 19h lui dis-je  !

" OUI je savais " j 'ai parlé avec ce matin.

Il retira son tee-shirt , et j'eus le souffle coupé, son torse viril était magnifique 
J--rome-1974.JPG

Un filet de poils drus noirs partait de sa ceinture vers le nombril, puis une forêt épaisse de poils noirs tapissait ses pectoraux... ses abdos étaient secs et sexuellement attirants.
Il me dit   " je peux me mettre en caleçon? "

Houé… hésitai-je. Ai-je le choix?  
Moi même , je commençais à me sentir mal dans mon string, un peu trop serré .

Quand il retira son pantalon, je vis bien la masse de sa bite provoquer une bosse dans son caleçon, ses longues jambes poilues et viriles, mais je coupais les oranges sans rien n'y faire paraître...
Un peu d’eau fraîche sur mes avant bras me calma un peu, et je retournais à la pelure de mes pommes...
soudain il me rejoint et se colla à mon dos en m'enlaçant,
 je stoppais net mon travail car je sentais sur ma raie une énorme bite qui palpitait...
la tête en feu, je la rejetais en arrière pour sentir son souffle chaud, avec mes mains je caressais son bassin, il me baissa mon string d'un coup sec...

Je lui baissais son caleçon, et je sentis encore plus précisément cette masse de chair de 23cm ,épaisseur de 5cm environs ,(un bite de cheval ) palpitante contre mes fesses.
Il pris une banane, l'éplucha et sans rien dire me la mis dans la bouche, j'ouvrais ma gueule et au lieu de manger un morceau commençais à sucer le fruit.
Lui de son autre main, saisi la bouteille d'huile d'olive et en reversa entre mes fesses. et sur son sexe..
il me pencha en avant.

Il sorti d'on ne sait ou une capote noire extra large qu'il enfila...

je n'osais bouger, j'avais poussé le saladier de salade de fruit, et j'avais le nez dans les épluchures et la banane toujours dans la bouche.
Avec deux doigts ,puis trois il me pénétra la rondelle pour me préparer à l'assaut.
L'huile facilitait son travail , je gémissais.
Je sentais ses jambes poilues contre les miennes, je pris l'initiative en tendant un bras derrière moi ,de branler un peu son énorme bite et je la présenta devant ma rosette...
je m'allongeais complètement sur la table,

il me pris par les épaules et commença le travail d'enculage

.La douleur plaisante au début fut intense quand son énorme gland franchit mon sphincter...

Je vis des étoiles, par correction il ressortit, ce fut un bruit de bouteille qu'on débouche tant sa bite était massive... je fut soulagé.

Il prit le pot de mayo et m'enduisit largement le cul et sa bite...
puis sans me toucher, il m'encula d'un coup.

Je sentais sa bite qui avançait dans mon rectum inexorablement, la base de sa grosse bite plus large me fit relever la tête dans un hurlement de douleur étouffé par la banane et de plaisir à la fois.
J'avais l'impression qu'il distendait en longueur mon rectum, ses couilles enfin touchèrent les miennes.

Il me dit " tu es à moi maintenant "

je ne pus lui répondre tellement j’étais essoufflé

Puis m'écarta les fesses avec force et se mit à me labourer puissamment?

J'avais l'impression qu'il m'arrachait les intestins à chaque retrait, mais j'avais le sentiment de sa puissance derrière moi.

Ce gars de 22 ans me possédait comme une bête !
Ma prostate en vracs, mon anus dévasté, je jouissais contre la table, les resserrements de mon anus, lui fit gonfler encore plus sa bite et il poussa un cri étouffé.

Ses jets de sperme contenus dans la capote furent nombreux.
Il se coucha sur moi, sa queue me possédant encore.
J'aimais cette position de soumission, sa transpiration se mêlait à la mienne, ses poils drus me grattaient le dos.

Il ne débandait pas, alors que la mienne toute molle pendait lamentablement;
il me dit   " t'as une bonne chatte, ma salope, t'es une vraie chienne ! "
(Je me dis ? chatte et chienne à la fois, quel bonheur)
puis il d’écula toujours bandé à mort, il me retourna et me dis ", je retire la capote et tu me nettoies ".
Ce que je fis, son sperme avait un goût sucré, les veines de sa queue me déliraient, ses couilles pendaient maintenant, il avait un bas de corps très poilu et ça m'électrisait.
Quand j'eus fini, il me dit   " putain 15 jours de sperme dans la capote tu vois ça en fait quand même!!! "
Il prit la capote et me la versa sur la gueule et dit   " la prochaine fois c’est dans la bouche "

J'étais là assis contre le pieds de la table, le sperme dégoulinant sur ma poitrine, le cul sur le carrelage froid, avec l'impression qu'il était encore en moi, je me délectais de son rhabillage, virilement, avec méthode... il eut du mal à fermer sa braguette, il me sourit, me tapa sur la tête et me dit  " à dans 15 jours, mon pépé  " et s'éclipsa.
Le cul sale de mayo et d'huile ,je pris une douche très chaude.
Quand je le croisait dans la rue, il tournait la tête, mais 15 jours après il fut exact au rendez vous, en short satin rouge, avec son maillot de l'OM, et ses baskets.
Ce fut pire que la fois précédente j'avais l'impression que sa bite avait encore grandie, mais c'étaient les traces de la 1ere fois .et j’ai avalé une quantité énorme de son sperme légèrement sucré.
Je ne l'ai plus revu.
Il m'a ouvert le cul depuis il ne me faut que des gros calibre! Il m'a dépucelé et fécondé, le salop !


1975 

trois mois plus tard
 :

Mon travail m’amène dans le ville de Troyes ,pour deux jours et deux nuits ,je pris une chambre d’ hôtel formule1.

Vers 22 heures je désire prendre une bonne douche (elle est en bout de couloir) , je noua une serviette autour de mes hanches et sortie de la chambre pour mis rendre.

Dans le couloir je fut bousculé par le voisin d’en face (un jeune et beau mec) qui lui aussi une serviette autour des hanches , lors de la bousculade nos serviettes tombaient et on se retrouvait nu tous les deux .

" Oh! Pardon  " dit-il

" Excusez moi  " répondis-je

Arriver devant les douches une seule cabine était libre , alors je lui dit  " on c’est déjà vu a poil  alors prenons notre douche ensemble ".

" Pas de problème " dit il allons y…..

Une fois dans la cabine nous mations nos corps lui imberbe et moi  légèrement poilu et on se présenta.

Je lui dit « Simon 30ans marié 1petite fille de 1 ans je suis la pour mon travail ».

Moi dit-il « Stevy 17ans étudiant de passage pour un examen »

Nous étions tous les deux sous l’eau ,se savonnant mutuellement ,

Nos mains caressaient dans la mousse nos queues qui pour moi (pour une fois) se semblait pas vouloir bander juste un peut gonflée , la sienne aussi mais par contre il avait une paire de couilles énormes.

Nos bouches se rejoignirent et nos langues s’entre mêlèrent ,corps contre corps entre lassé par nos mains baladeuses.

Je me laissa glisser pour me mettre a genoux ,suçant au passage ces petits tétons , puis m’ a tardant sur son nombril avant d’atteindre son pénis que je mis dans la bouche , la mâchonnant , pompant sa bite qui avait enfin bandée.

Mes mains caressaient ses fesses en passant un doigt dans sa raie ,lui appréciait et maintenait ma tête sur son sexe pour que je continue a pomper son dard .

Je sentais sa bite gonfler dans ma bouche ,il donnait de petit coup rein , sa bite touchait le fond de ma gorge ,son gland pris entre mes hamydales , j’accélérais le pompage ,il se cabrait et m’envoyait une telle quantité de foutre que ma bouche ne pouvait contenir , le surplus coulant sur ma poitrine.

Je me relevais et lui fit lécher ma langue et ma poitrine jusqu’au nombril recouverte de son sperme.

On termina de se laver et repartir dans nos chambres.

Allongé nu sur mon lit je pensais a Stevy …..

Un heure plus tard ,on frappe a ma porte….

" Entrez c’est ouvert  "dis-je.

C’était Stevy …..

" Je ne t’ai pas remercié  " dit-il  "je m’en excuse et je voudrais réparer "

Il s’allongea prés de moi et se mis a me caresser tout en me racontant sa vie
St--vy-1975.JPG

Tout en parlant il m’avait fait bander et se mis a me pomper , il me pénétra un doigt, puis deux dans mon cul il m’excitait. Sa tête posée sur bas ventre tout en suçant devait ressentir que ma respiration allait de plus en plus vite et ma jouissance proche ,j’éjaculais dans sa bouche.

On s’entre lassait ,s’embrassait comme deux fous et l’un contre l’autre nous nous sommes endormi.

Au réveil il me dit « dommage on a pas été jusqu’au bout »

" Au bout de quoi  " répondis-je.

" J’avais pensé que tu m’obligerais a me faire enculer par toi pour que je puise te répondre comme j’avais fait a mon père " me dit -il

" Moi aussi " dis-je , " mais mon principe je le fais que si on me le demande ".

" Je te le demande "  dit-il sèchement.

" Ok je suis d’accord mais tu vas déja passer ton examen et retrouve moi ici , je serais dans ma chambre après 18 heures ".

" Il faut que je passe a la réception reprendre une chambre je n’avais pas prévu 2 nuits ".

" T’es fou "  lui dis-je.

Il me regarda avec un petit souris.

" Oui t’es fou ce soir tu dors avec moi et allez vas passer ton examen."

" Ok! Ok!  " Dit -il  et ajoute " alors ce soir je t’invite au mac do……"

Il partit la journée et fut de retour après 18 heures..

Il frappa a la porte et rentra sans que lui réponde , je lisais sur son visage la joie il me sauta au coup et m’embrassa goulûment comme de vieux amants.

Il était heureux et me dit " mon examen lui avait été plus facile , sachant que tu ne m' avais pas  refusé d’aimer un autre mec que son père ".

Moi j’étais heureux de lui faire plaisirs a ce jeune , avec sa gueule d’ange triste , a croire que j’en venais amoureux.

Nous allâmes donc manger au mac do.

Toute la soirée nous avons discuté de nos goûts des hommes ou femmes a qui , il n’osait pas faire d’avance.

Mais il était très surpris de voir que j’étais marié avec une petite fille et que j’aimais les hommes autant que lui.

Nous rentrions a l’ hôtel vers minuit la soirée avait passée tellement vite.

A peine entré il était nu et me déshabilla pour me basculer sur le lit.

Je lui dit  " " calme toi on a toute la nuit ".

" Excuse  " dit il   " j’en ai tellement envie  ".

Je l’embrassais , le caressais , nos corps entre lassés ,un fois dessus ,une fois dessous , nos queues l’une contre l’autre , dures comme du béton , j’écartais les jambes pour les croiser au dessus de ses reins et lui dit « quand tu veux ».

Je senti entrer en moi son membre de bon calibre , je cabrais il l’avait mis a fond et a chaque mouvement ses grosses couilles tapaient mes fesses , puis soudain lâcha « mais c’était toi qui devait commencer ».

" Pas grave on recommencera ".

Et ces coups devenaient de plus en plus fort , se retira soudainement et dit « non , non pas maintenant , prend moi d’abord »

Il bascula sur le dos ,je lui enfonce mon pieu ,il hurle «  putain plus grosse que mon père ».

Prisonnier entre ses jambes , ses mains sur mes fesses ,ses doigts dans ma raie titillaient ma pastille , et il forçait  ,mes coups reins pour sentir en lui ma bite au plus profond , avec sa bouche le arrivait a me sucer les tétons , je devenais comme fou de rage , mon corps trempé de sueur ,haletant ,au bord de l’évanouissement , sa respiration de plus en plus rapide , nos ventre l’un contre l’autre , je ressentais les coups de butoir que je lui assénais ,plus il me serrait ,plus je hurlais de plaisir et je lui éjaculer dans son intérieur tous mon foutre.

je m’effondra sur lui ou sa bouche rejoignit la mienne , il attendit que ma bite ressorte d ‘elle même alors que la sienne restait raide comme une barre de fer.

Soudain il me retourne et me met a quatre pattes et me pénètre avec rage ces couilles claquent contre mes fesses ,mais dans cette position je ne peux que le laisser se défouler sur mon cul , il ressort sa queue et remet sur le dos ,m’écarte les jambes si fort que mon cul se soulève et la sa queue repart en moi ,toujours prisonnier de sa position ,j’arrive a me dégager un bras et lui prendre ses valseuses énormes et mon index dans le cul il me donne un coup de collier si fort que j’ai cru sentir sa queue dans l’estomac et il éjacula des litres se sperme en moi en lâchant un hurlement de plaisirs et retombe sur moi épuisé.

Nous avons passé la nuit ainsi comme des amoureux le soir de noce.

Nous allâmes prendre une douche ensemble avant de se séparer chacun avec son adresse dans l’espoir de revivre ces bon moments.

 

 

 

La semaine suivante….

J’ allais retrouver Hector lors d’un déplacement a Sedan ,le mail laissé sur mon pc me disait tant de choses….

espérant passer une bonne nuit.
Hector-1975.JPG

Lui tant que l’on lui suce sa bite !….ça lui suffi

Mais moi ce jour la j’en voulais plus ,son jus dans la bouche , aujourd’hui …..Non .

c’est en moi qu’il me le faut.

La partie est dure car il ne garde pas l’érection dés que sa bite touche mon anus elle ramollie .

Je due abandonner mon projet ,sa queue n’est jamais rentrée………

Alors je lui bourra le cul sans aucune préparation

Il hurlais de douleurs ,plus il gueulait ,plus je forçais ma pénétration. Puis le plaisir repris le dessus.

Il s’était mis a bander dure , je déculais vite fait et lui présentais mon cul.

Hélas pas de succès au contacte sa queue redevenait molle…….

Je le défonçais a nouveaux et le quittais a mon grand regret……

Je ne retournai  jamais le voir……..


1976

 

Les années passaient à une rapidité éclaire , je ne voyais plus tous mes amis avec qui j’avais passé d’agréables moments…..

, Anita perdit son papa , Je perdais mes cheveux , Anita me demande souvent de garder la barbe , pour lui faire plaisirs je la laissais pousser……………
Notre petite fille avait déja 4ans

. quelque mois plus tard ………… j’avais encore changer de boulot……..

Six mois après

un après-midi , je rentrais chez moi avec un copain de travail  Hubert ,
  1976-hubert.jpg nous discutions devant une bière tous en nous rappelant notre jeunesse ,nous avions beaucoup de points commun….. Tout en discutant on ne s’était même pas aperçu que l’on se mettait a poils , lui hétéro à 100% sur le lit , allongé il me suçait.

quand soudain , Anita rentra du travail ,un peu surprise elle ne dit rien , je demande à Hubert si ça lui dirait de baiser ma femme….

Je n’oserais pas …mais pour une fois si elle veut !…..

Après âpre discutions ,elle finit par accepter, quand elle fut déshabillé , 1976-simon.jpg

Et lui dit tu peux y aller , sa bite très fine entra sans forcer , je me mis a sucer le clitoris de ma femme , passant un coup de langue sur les couilles pendante ,parfois je lui mordillait , ils jouissaient tous les deux , Anita me suçait le gland ,poussait des gémissements de plaisirs , les va et vient d’Hubert se faisaient de plus en plus rapide ,quand il senti partir en lui le foutre montait ,il se retira brusquement et le jet tiède de sperme arriva sur ma poitrine accompagne du foutre de femme qui sa chatte bavait…….

Il s’excusa de l’avoir baiser si rapidement…..

Anita répondit qu’elle avait pris plaisirs ,car sa bite fine lui faisait plus de bien que la mienne(.trop grosse)……
1976-hubert-2.jpg


quelque mois après Hubert déménage en Moselle pour son nouveau travail et moi je quittais a nouveau mon travail , en retrouvant un autre assez vite , je déménageais pour allez vivre dans une petite ville a 20km ou nous avions acheter une petite maison a rénover , et notre petite fille rentra a l'école.







Je retrouvais du travail dans une coop. Agricole , je partie en région parisienne pour une formation pendant trois jours…… tous les soirs je sortais avec d’autres amis qui faisaient la formation avec moi et en particulier le beau black Moîse ,magasinier comme moi , mais lui dans une coop agricol du Cher.

Apres avoir passé la soirée dans les rues de Paris et en particulier Pigalles ,dans ce dédalle de boites de nuits qui nous échauffé l'esprit.



Mo--se-1976.jpg

Avec un beau petit cul , et devant une queue qui…hummmm!!!

je demandais à Moïse si demain soir il pouvait venir me retrouver dans ma chambre d’hôtel car j’aimerais le connaitre mieux et en toute intimité……

OK me répondit-il ..avec un grand sourire sur sa belle frimousse….

Le deuxième soir vers 20 heures Moïse arriva , accompagné à ma grande surprise d’un de ces amis black , " ça ne te dérange pas que Mohamed soit venue avec moi car je n’ai pas de voiture et c’est lui qui m’a amené "…..

Je répondis , n'ayant pas le choix…." Pas de problème ….je vais me régaler avec deux doigt de chocolat…"..

Nous éclations de rire tous les trois la soirée commençait ,connaissance et bla-bla allaient bon train

nous nous sommes retrouvé tous les trois la bite en érection .

nous amusions comme tous les mecs……

Mohamed s’ayant rappelé de la phrase que j’avais dite à son arrivée dit:

__ maintenant ta va manger deux doigts de chocolat !…

Mohamed me met sur le dos en travers du lit ,demande à Moïse " leve lui ses jambes et pose les sur tes épaules ".
 je sentais déjà sa bite prêt de ma rosasse .
Mohamed si mis genoux pour que la sienne se trouve en face de ma bouche, puis lança …." On y va…". Les deux sexes pénétraient en même temps …. La queue de Mohamed longue de 22cm s’enfonça dans ma bouche jusqu’à la glotte ,j’en perdais le souffle , remuant la tête de droit a gauche pour le reprendre , excitait encore plus Mohamed qui me défonçait la bouche de plus en plus fort Moïse en faisait de même dans mon culs ,sa queue fine mais longue également me faisait jouir ,mais les coups de butoir des deux blacks ma faisaient souffrir….. De plaisirs…… ils lançaient en cœur leur bouillant liquide crémeux l’un à l’intérieur de moi , l’autre au fond de la gorge …….

Mohamed me dit :

__" ça c’est du chocolat au lait !… ".
Je me dégageais ,prenais les deux pines en main , je léchais les gouttes qui perlaient dans la fente des glands……..

Je les remerciais de m’avoir fait passer une soirée INOUBLIABLE !!!!!

 

Les jours suivants ..ce faire du bien c‘est aussi du repos………….alors repos……

je rentrait a la maison heureux de retrouver mes deux amours à qui j’avais manqué …….fatigué des deux nuits passés a Paris…….

Le soir je ne manquais pas de faire l’amour avec Anita,

et après notre jouissance ,je léchais sa chatte avec ma barbe naissante jusqu’à ce que son foutre m’arriva dans la bouche…….

Ce soir la elle me mordilla les couilles en remerciement……

 

. Mais je ne lui avais pas raconter mes folles nuits Parisienne.

En Février je parti en voyage à Venise gagné et organisé par un fournisseur.

Je passais les deux journées à marcher , visiter toutes les splendeurs de cette ville dans l’eau……..quand je rentra à l’ hôtel le premier soir épuisé ,je monta dans ma chambre , me déshabilla pour prendre une bonne douche…. Je me délassais sous l’eau quand soudain un mec se glissa prés de moi sous la douche….

je ne dis mot….

sa langue sur mes petits seins d’homme poilus …..ses deux mains posées sur mes fesses , qu’il massait de ses longs doigts il descendait avec sa langue le long de mon corps, s’arrêta un instant sur mon nombril …. Puis sur le gland de ma queue qui n’avait pas perdu de temps pour se mettre au gard-à-vous…..malgré l’eau qui coulait …il me pompait ,aspirait mon gland ……avalait la bite….

Puis ce fut le tour des couilles une à une il les mâchonnait dans sa bouche…..

J’étais dans un état de sur-excitation , je faillis m’évanouir et je me retrouvais assis sur le fond de la douche haletant de désirs ….

Mais il m’abandonna en disant :

__ Il faut que j’aille bossé car le patron  c'est le propriétaire de l'hotel si tu veus demain vers 19h place saint Marco je suis sur la gondole 13!……… 1977-vitali.JPG

Puis sortie de la chambre ….restant ainsi sous la douche , je me branlais jusqu’à éjaculation ……….

Le lendemain soir je décidais de renter en gondole …..

je rechercha la fameuse gondole 13

Le gondolier un grand , bien élancé , se tenait debout une grande cape sur les épaule ,avec un grand sourir me dit " installe toi on vas a l'hotel st Pietro comme prévu ".

ça voie me fit penser a l'homme de la douche à l'hotel hier soir.

Une fois installé je pouvais distinguer sous sa cape sa bite, garnie de deux énormes couilles .

il prit le large vers la lagune ,immobilisa la gondole et venu vers moi.

il ne tarda pas à fouiller dans ma braguette ….

" J’ai envie de toi " me dit-il…..il m’enleva le pantalon….la surprise fut-elle que je me laissais faire….

je senti ses cuisses contre les miennes," tu bandes dur " me dit-il…

.OUI  Comme moi !!..

" alors je vais te baiser comme j’en ai envie…mets toi a quatre pattes ".

Et soudain un énorme pieu me défonce le cul , tous en suçant ses gros doigts qu’il avait mis dans la bouche

Pendant que mes yeux suivaient le mouvement des vagues sur la lagune éclairée par une belle lune…..

 

Il m’avait fait jouir …….

 

Je rentrais de ce voyage avec plein de souvenirs dans la tête , je racontais à Anita et à ma fille les

beautés de la ville…… 1977-venise.JPG



,mais je ne dit mot de mon escapade……

Quelque mois plus tard……..

Matinée inattendue et en plus jour de repos.

La journée avait bien commencée : je m'étais réveillé avec une trique d'enfer que j'avais honorée d'une branlette torride en me remémorant les scènes torrides que j'avais joué la veille au sauna avec quatre mecs super chauds ... Après une bonne douche, je commençais ma journée .

Sur mon répondeur, une jeune femme Virginie (copine de la mienne) me demandait de venir chez elle passer un agréable moment avec elle. Comme elle vivait non loin de là, je décidais de commencer ma journée avec elle.

En arrivant, je sonnais à la porte , que fut ma surprise : un jeune gaillard (21 ans environ) vint m'ouvrir..

 " bonjour Virginie ma demandé de passer ! "

" Guillaume , 22 ans, son mari   depuis 3 mois ".dit-il ,

 " Enchanté de te connaitre Guillaume ! "

Un large sourire illuminait son visage ; il étais très légèrement vêtu : un boxer blanc et un tee-shirt sans manches.

Il me dit « entre je t’attendais ».

D'habitude, je parviens à contrôler mes réactions face aux beaux mecs , mais cette fois-ci, la réaction de ma bite m'a trahi et, gêné, je faisais tout pour masquer la bosse entre mes jambes.

Il s'en est bien vite aperçu :

il était comme absorbé par ma queue !

Son regard ne parvenait pas à quitter cet endroit.

J'avais beau lui parler pour reprendre le dessus, il gardait les yeux fixé sur ma braguette.


De deux choses l'une : ou bien ce mec était un mateur (et rien qu'un mateur) ou bien il était bi et il m'envoyait un message...

Je décidais de prendre les devants : « tu as un problème ,m’a vue t’excite ,tu en veux »

Il ne me parut pas gêné par ma réflexion ; bien au contraire, je voyais devant moi son sexe se raidir et envahir progressivement son caleçon ...

Il me fit entrer dans sa chambre ,la Virginie (sa femme 24 ans) était a poile , ligotée et bâillonnée sur un chaise .

" Tu baise ma femme alors aujourd’hui c’est moi qui te baise "  me dit-il sèchement.

" Je n’ai jamais baisé ta femme  " répondis-je.

" Si mon copain d’en face (en montrant la fenêtre ) me l’a dit ,il t’a vu avec les jumelles ".

" C’est un menteur et tu le crois  " dis-je.

 " Oui et fait ce que je te dit!… "… Hurla -t-il !

" déssappe toi en vitesse et allonge toi ..... plus vite que ça! ".

je ne traîna pas et me trouva allongé en moins de deux, la bite dressée en l'air !

Il s'excusa prétendant que c'était la première fois qu'un mec le mettait dans un tel état ,et ajoute « surtout quand ce mec baise celle que j’aime." .

Un grand silence et……

Je lui demandais franchement " tu es gay ? ".

Il me répondit sechement " NON !  ".

et avoua toutefois avoir déjà été troublé par des mecs ... comme c'était le cas aujourd'hui.

Je lui demandais " tu souhaite franchir le cap ou te venger ? " .

il répondit fébrilement

" oui" et « peut être les deux !  ".

Sous le regard de Virginie, avide de contempler le spectacle sans pouvoir dire un mot.

" Je n‘ai jamais baisé ta femme mais si tu veux me baiser pas de problème fait le ".

Il fit sauter son tee-shirt et retira son boxer blanc .

Il est alors totalement déshabillé 1977-guillaume.JPG

Nous étions tous les deux nus ;

je chopais alors son pic et, après l'avoir manipulé quelques secondes, l'enfonçais au fond de ma gorge...

Il se tortillait de plaisir : le jeune hétéro découvrait le plaisir entre mecs ... et il n'était pas au bout de ses surprises !

C'est alors qu'il me redressa, qu'il me leva, me laissant sur le bord de son lit, il s'approcha et m'embrassa avec fureur et vint tâter ma bite avant de l'engloutir dans sa bouche. Le salaud suçait comme une bête!

On aurait dit qu'il était maître en la matière ....

je lui faisais perdre le souffle en lui enfonçant au maximum!

 

 

Puis il retourna a ce que lui voulais (baiser mon cul), alors je lui dit  « ok je suis a toi pour que tu me défonces , mais libère Virginie ».

Ce qu’il fit aussitôt.

Il me défonça le cul sauvagement , elle……….

elle me caressait les cheveux comme pour atténuer ma douleur puis se positionne contre lui et d‘une main descend le long de son échine déclenchant en lui des frissons qui se traduisaient par de violents coups de butoir ,elle alla jusqu’à sa raie ou elle effleura sa rosace..

" Touche pas a ça il doit rester vierge! ".

Il me décharge son foutre, puis bascule sur le lit épuisé.

Virginie qui ne tarda pas à reprendre les opérations en main.

" Tu as dépucelé ma pastille hier soir ,et bien c’est a ton tour maintenant!  ".

elle se mis a califourchon dessus sa tête , ses jambes bloquant ses bras et lui fit une sorte de danse au dessus de sa bouche, jusqu'à ce que sa chatte vienne rencontrer celle-ci !

Quel plaisir !

elle avait envie de le faire prendre !

Elle attrapa ses jambes et les écarta en faisant pression pour que son petit cul me soit offert et lança « Simon il est pour toi »

Je chopais du gel dans mes affaires, lui travaillais un peu la rondelle et le pénétrais sans souci avant de le limer à fond

Il gueuler si fort qu‘elle étouffa ses cris avec son cul et lui profitait d‘y mettre la langue entre deux gémissements.

Il pris un plaisir infini à ce jeu en se tortillant et se cabrant il disait « plus fort ,vas y a fond ,je n‘aurai jamais cru que c‘était si bon ».

 

Nous avons jouis en cœurs : je crachais de longs jets chauds pendant qu'elle se délectait de sa substance qui avait jailli sur son ventre ,avec sa langue

Il n'a pas voulu en rester là.

Moi, j'étais mort !

ce début de journée m'avait pompé beaucoup d'énergie (et pas que ça ...)!

Nous avons alors repris nos activités : toutes les positions y sont passées !

Pour une première fois, il n'a rien manqué !

A quatre reprises, nous avons éjaculé. Son sexe moyen ,(enfin comme le mien)

a craché des jets longs et fournis de foutre que nous avons adoré lécher.

Quel pied j'ai pris à dépuceler le mari de Virginie, qui avoue apprécier les plaisirs homos et être prêt à recommencer .

Il dit alors « Virginie tu pourra baiser avec lui  ».

Tu devrais l’inviter plus souvent .

" Guillaume STP "…dit-elle :

Excuse moi de te le redire « je n’ai jamais baisé avec Simon  mais comme tu insiste  je vais commencer tous de suite

 

Moi j’étais allongé sur le lit en érection maximum .

Elle pris ma pine ,la suça pour lui donner la raideur , puis elle s’assit sur moi et ma queue pénétra sa chatte bien humide par l’excitation 1977-virginie.JPG

Elle se déchaîne sur mon sexe qui lui a bien du mal a résister et lâche le peux de jus qui resté en réserve.

Puis contente d’elle et lui cria  «  Guillaume  ,maintenant tu pourras dire  :  Simon  A BAISE MA FEMME            »

 

 nous resterons de tres bons amis

Et moi sans le vouloir je fus infidèle pour la première fois depuis 7 ans.

1977 1977-albert.jpg

Par simon - Publié dans : ma vie
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Jeudi 27 septembre 4 27 /09 /Sep 09:20
1971



je reprenais gout a la vie

Romuald-1971.JPG             avec mes amis vosgiens David-1971.JPG


Yan-hu-1969-70.JPG
Sebastien-1969-70.JPG Cedric-1969-70.JPG
1972  

J’avais retrouvé un travail de livreur qui m’obligeait a ne pas rentrer tous les soirs , je dormais a l’ hôtel ou parfois je rencontrait de nouveaux amis et mes appétits se sexe reprenaient le dessus. Je rencontra plusieurs fois Laurent

Laurent-1972.JPG  

avec qui je passais de bon moments. Il était le fils du patron de l’ hôtel , il venait me retrouver dans la chambre , il se mettait a son aise

Laurent-1972a.JPG ,

comme moi d’ailleurs et la soirée était chaude…….avec un machin pareil…. , cela me permettais de gagner le prix de la nuit………

Un soir dans une disco de Metz je rencontrais Christian-1972.JPG


le jour suivant

sur un parking avec son ami JF,avec Georges et Banjamin a l’arrière du pick-up , ils me firent passer un très bon moment…… Simon-1972.JPG

Par simon - Publié dans : mes copains
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Mercredi 26 septembre 3 26 /09 /Sep 16:06

Les mois qui suivent deviennent très dur pour moi , .malgré la présence répétée de mes copains ,je n’arrive pas à reprendre le dessus et plonge dans l’alcool de désespoir ……

Plus aucune bites , malgré les efforts de mes amis….

Rien ne m’ intéresse plus je me laisse aller ,plus dégoût , comme si je voulais rejoindre celui que j’aimais

Les mois passaient six mois déjà sans pouvoir reprendre une vie normale ,l’alcool me ravageait ,je

perdait du poids ….ma gueule d’ange disparaissait   Simon-1968.JPG

 

puis un jour……

Un jeudi d’été je vaguais a mes occupations entièrement nu (comme toujours) ,toutes les portes de la maison grand ouverte , quand soudain un voie me dit " je peux entrer "

Oui bien sur répondis-je.

C’était le remplaçant du facteur Romuald-1969.JPG

A la vue de me trouver complètement nu il ne s’avais plus pourquoi il était rentré et devient rouge comme un coquelicot ,très gêné…..pardon dit-il

Oh excuse moi lui dis-je , je m’attendais pas a voir de la visite

Que vaut ta visite?

Les yeux rivaient sur ma teub ,il n’avait pas compris la question et dit  " Comment ? "

Je te demandais la raison de ta visite.

Ah oui balbutia-t-il " un recommandé " sans quitter l’objet de la convoitise.

Tu prends un apéro il vas etre boentôt midi?   lui demandais-je.

Oui merci !

Ricard ou martini !

Ricard sans eau !  répondit-il

Il avala d’un seul trait, se retourna en me passant la main sur les fesses et me dit "  merci a plus " ,puis repartit sans même donner le courrier.

Bon c’est pas grave il reviendra demain……..

Le lendemain vers midi ,toujours a poil , je vaguais en écoutant de la musique un peu fort quand on frappa a la porte.

Entre fait comme chez toi! J’arrive….

Quand je me présenta dans la cuisine je tombais nez a nez avec  une nana Arlette-1969.JPG  un vrais canon          
oooops!! excusez moi

je me trouvais fort géné ,n'ayant que ma main pour cacher ma virginité.

 au pardon je croyais que c’été le facteur.

C’est bien le facteur , ne vous en faite pas ,mon père est comme vous toujours a poil et ça ne me gêne pas ,

Je comprend mieux pourquoi Romuald a omis de vous donner la lettre hier il a du être rudement choqué de vous voir ainsi le petit.!.

Je vous donne tout de suite la lettre ,voilà signez ici !

Je m’approche prend le stylo , puis elle me demande " SVP je peux toucher? "

Ne vous en faite pas , c'est trés rare de trouver un client comme vous .

 

 Oui mais...
Je n’ai pas eu le temps de terminer , que sa main c’est pausé sur mes fesses en disant "qu’elles sont douces" .

Puis elle explore ma raie un doigt touche ma rosette elle en fait le tour et dit " déjà bien distendue je ne vois pas pourquoi Romuald n’en profiterai pas , lui qui adore ça"

J’étais resté fiché par sa réaction et dis-je " si Romuald a des projets et bien qu’il vienne ! "

et toi petite ?

Moi …. Hum … je la sucerai bien …..

Bon ok vas y , elle est a toi cette queue fait tous ce que tu veux avec , je suis ton esclave .

Elle se mis a genoux ,mon regard se focalisait sur la paire de nichons pas trop gros ni trop petit et ma queue qui depuis l’école primaire n’en avait pas revu mis deux secondes pour devenir droite et dure comme du bois , la petite l’avais déjà englouti dans la bouche.

Tu suce comme une reine ma petite , au faite tu m’a pas dit ton prénom ?

Elle dégagea la bite de la bouche , me dit " Arlette " puis re-engloutit l’objet aussitôt.

J’étais aux anges sa manière de pomper , digne d’une pro .

Je lui demandait " tu fait ça depuis longtemps ,qui t’a appris a le faire aussi bien a ton age ? "

Tout en pompant elle répondit " mon père….hum…depuis l’age de 12ans….hum et j’ai aujourd’hui 24ans….que c’est bon hum……. ".

Elle avait la manière tournant sa langue autour du gland , avec un doigt elle titillait mon anus qui n’en demandait pas temps et qui en plus m’excitait , ma pine gonflait ,elle le remarqua et me dit " ta vidange c’est dans la bouche que je la veux "

.soudain mon nectar jaillit en quantité industriel que sa bouche fut trop petite pour tout contenir ,le surplus coula sur ces seins , elle continuait a pomper et avaler sans relâche , quand elle eut fini elle me dit " fait le ménage avec ta langue ,enlève tous ".

Je lui enleva son corsage, dégrafa son soutient gorges , je prenais mon temps le sperme continuait sa descente vers son ventre , je fis sauter le bouton de sa jupe, celle ci tomba au sol et la devant moi un petit string en dentelle rouge laissait voir une masse triangulaire noire, mon jus continuait son chemin et arrivait déjà a la haute du string que j’enlevais rapidement.

Elle écarta les jambes ce qui me fit apercevoir cette petite fente rosée ou j’introduisis ma langue au même moment que mon sperme.

Je le ramassa et remonta en léchant tout son corps jusqu’aux seins que je pris dans mes mains puis redescendis entre ses jambes et suçait ,entrait ma langue a l’intérieur , elle se cabrait elle criait " ah que c’est bon continu ".avec ses main elle forçait ma tête a rester ,a continuer de sucer son clitoris qui avait gonflé de bonheur et m’éjacula tout son foutre de femme dans la bouche.

Je me relevais et l’embrassais goulûment pour lui faire sentir son foutre et l’odeur de mon jus que ma langue avait sagement gardé.

Je n’avais pas de petite amie alors je tente ma chance.

Tu as un petit ami ?

Oui et malgré ça je suis encore vierge et lui aussi d’après ce qu’il dit.

On arrive pas a franchir le pas ,il est peut être gai ?.

Il préfère peut être que les mecs, je ne sais pas……

C’est mon cas répliquais-je ,je ne sais quelle choix faire !

En bon samaritain que je suis je lui dit pour la réconforter " Je peut t’aider ,viens avec lui ,un samedi soir et je te ferais avoir le bonheur , fait moi confiance ".

D’accord je vais lui demander de venir.

Elle se r’habilla et parti toute joyeuse.

Quinze jours plus tard , le samedi vers 20h30 ,Arlette arriva avec son ami et quelle surprise ,son ami était Romuald tenant a sa main en bouteille de champagne qu’il me donna en disant " Arlette ma dit que ce serait un grand jour alors j’ai pensé au champ pour la fête ".

Merci c’est très gentille les amis !….

Moi j’ai préparé quelques amuses gueules et pris du whisky et vodka en plus des jus de fruits, j’espère que cela vous conviendra ?

 

Ce soir il fait chaud  je leurs dit "faite comme moi (toujours a poil) mettez vous a l’aise " 

Elle se dévêtit , prenant tous son temps ,sous notre regard ,pour mieux nous exciter.

Ma queue jouait du yo-yo ……ce corps magnifique sur une couverture qu’elle avait posé sur le sol , avec son sourire et sa langue qu’elle passait sur ses lèvres me rendait fou et je me tourna pour préparer quelques amuses gueule ( en vérité pour cacher mon érection précoce).

 

Romuald plus réservé fit descendre son pantalon et ne portait rient dessous

Romuald-1969-a.JPG

Une petite musique de fond , des bougies allumées , des brins encens qui brûlent et dégagent une odeur qui ne tardent pas a faire tourner les têtes aidé par le whisky .

Moi je matais les seins et l’entrejambe d’Arlette .

Romuald lui c’était ma teub , (je repensais a la confidance que Arlette m'avait dévoilé sur Romuald "est-il gay") .

Alette fixait a tour de rôle nos bites pour en connaître et voir les différences.

Nos discutions allaient bon train et nous apprîmes de la bouche d’Alette que mis a part les sucettes a son père ,elle était encore vierge (coté pile et face) à 24 ans et que ce soir elle compte bien tous changer.

Romuald dit timidement "les filles jamais touché et moi aussi 25 ans je suis toujours vierge des 2 cotés et je n’ai sucé que des mecs car j’aime boire le jus , quand a ma rosette elle n’a profité que de doigts qui s’égarent, ce soir moi aussi je veux tous changer".

Pour moi je n’avais baisé que 2 filles a 22 ans (la petite Jeanne et la copine de Joêl) ,par contre mon cul lui connaissait des queues de toutes les tailles et j’aime également avaler ces jus crémeux.

Nous éclatons de rire tous ensemble et en cœur nous dîmes  "  on commence par quoi ? "

Notre point commun : notre age et ne plus être vierge dans tous les sens.

alors la soirée commença……

Arlette avait constaté que la bite de Romuald 18cm (idem a la mienne) était beaucoup plus fine et que pour elle la première fois c’est peut être mieux.

Romuald dit alors " moi j’ai pas le choix il n’y a qu’un mec super monté ".

Bon dis-je " qui sera le premier de vous deux a ce faire dépuceler les deux faces ".

La logique c’est Romuald dit elle!

Et pourquoi? 

Et bien voilà……… Arlette-1969-a.JPG

Arlette sur le dos présente sa chatte a Romuald ,il approche sa pine bien raide et n’ose pas franchir le pas ,je le met en confiance en lui suçant et puis lui guide vers l’entrée bien humide, "vas y entre ton gland ,bien … entre plus…".Arlette gémis se serrant les siens pour mieux canaliser le plaisir et moi de l’autre main je travaillais la pastille de Romuald avec du gel, je me positionne et lui entre mon dard jusqu’au couille, hurlant de douleurs il se redressa brusquement et ses couilles a lui frappaient les fesses d’Arlette puis retomba sur son corps , elle lui mit un sein dans la bouche pour étouffer ces cris ,je me mis a faire des vas et vient dans son cul entraînant ainsi les même vas et vient dans la chatte brûlante, sentant la jouissance proche il se retira et je fit de même.

Arlette dit alors " Romuald tu es un vrais homme complètement dépucelé "

Il répondit "  a toi maintenant coté pile " .

Elle me mit sur le lit monta a califourchon en position 69 pour que sa chatte touche ma bouche et en même temps offrir sa croupe a Romuald qui devait déjà voir la cible ,il lui mis du gel et la sens hésitation la pénétra avec force elle avait pris ma queue entre ces seins me branlait et faisait entrer mon gland dans sa bouche je ne pu résister longtemps un énorme vague déferla elle pompait pour ne pas en perdre une goutte ,quand a lui il déversa son jus dans ces entrailles.

Ensuite nous nous sommes lavé au champagne ,nous sommes séparé tous heureux sauf moi je n’avais toujours pas baisé plus de 2 chattes de femme.

Le lundi Arlette passe me dire " j’ai été égoïste samedi ,je voudrais réparer peut tu venir chez moi ce soir ou mercredi? ".

Si ça te vas mercredi alors!

OK! à mercredi.

J’arrivais donc au environ de 21h , et que fut ma surprise de trouver Arlette et Romuald entièrement nu. Entre et met toi comme tu aimes (a poil).
Apres quelques verres de wisky.

Romuald était allongé sur le dos,

le mat en érection, Arlette l’enjamba a califourchon en position 69 en m’offrant une vue superbe sur une chatte bien échauffée et sa petite pastille , elle me dit " Simon a toi , au choix " , elle prit la queue de Romuald et le branla , lui passait des coup de langue sur sa chatte en attendant ce que j’allais faire.

Un choix pas évidant ,son cul non préparé ma queue occillait ente le deux cibles ,j’introduis  donc dans sa chatte , l’humidité et la chaleur faisait grossir ma pine de plus belle.

Voulant garder plus de plaisir je pénétrais et ressortais lentement , elle se cabrais avec mes mains je longeais sa colonne vertébrale du bas en haut , elle frissonnait et branlait Romuald avec plus de rage , lui en profitait pour me léchait les couilles en me mettant un doigt dans le cul , soudain il me tendit le tube de gel ,je compris et en mit sur la pastille de la belle Arlette qui semblait être de connivence avec lui.

Romuald alors me prit une couille dans sa bouche ,la sucé , puis prit les deux et serra très fort , je gueule un coup sec , me retire de la chatte brûlante ,et il me les remord et je donne un coup de rein brusque , ma pine pénétra le cul au lieu de le chatte , surprise Arlette avale la queue de Romuald et le mord tout en pompant ,lui avait lâché les couilles et sa langue fouillait mon cul.

L’envie de jouir me prit et me retirant brusquement le jet chaud de ma semence arriva sur la gueule de Romuald pendant que Arlette dégustait son jus.

Tous le monde était au même niveau ,tous dépucelé (pile et face)

Arlette demande un bonus elle s’empale sur ma tige et Romuald lui enfonce son pieu dans le cul. Arlette-1969-b.JPG

Avant de prendre congés de me amis je leurs dit " la poste est un bon service publique ".

A l’approche des fêtes de fin d’année la solitudes devenait encore plus grande et mon corps commençait a souffrire des doses d’alcool que j’ingurgitait…

Arlette qui avait été muté a 200 km me fit la surprise de passer me voir et dit " je vois que tu vie toujours a poil "

Pourquoi je changerai ma manière de vie ,je suis seul alors autant vivre comme on aime.

Tu as des nouvelles de Romuald , que devient-il ?

Hé! Oui depuis que tu lui a appris a baiser une femme il ne me quitte plus on vie ensemble et je suis venu t’inviter chez nous pour les fêtes.

Je refusa (Noël ou jour de l’an je n’aime pas) ,elle le comprit .

Mais je lui promis d’aller chez elle le 6 janvier le jour des rois.

Bon ok reprit-elle on t’attend………..

elle avait tant envie de nous pomper tous les deux en même temps

DEUX JOURS plus tard…… abel-1969.JPG

arrive a me faire reprendre la passion du sexe .

 

Il me fit connaître jean-pascal-1969.JPG

Grand sportif de planche a voile, un suceur formidable et qui aime aller jusqu’au bout de ce qu’il commence pour avaler le précieux jus que je luis éjecte dans la bouche ,
et  xavier-1969.JPG
Dont rien que le regard me faisait bander ,pour son jeune age il me défonça a merveille ne nombreuses fois…. Avec lui je crois pouvoir revivre la passion que j’avais avec Gerome 

pourtant celui-ci occupe mon exprit et reste graver dans mon coeur, Xavier le comprend et me demande de prendre de la distance avec le passé si je veus le garder ,lui qui me redonne tant de bien.....et c'est  avec Xavier que je passerai ces fêtes.

1970 

le 3 janvier je reçu la visite de Fatima (la femme de Joseph le black) que je n’avais pas revu depuis 8 ans qui venait me donner des nouvelle de son fils Sylvain (et un peu le mien aussi) .

Me demanda si je voulais bien lui refaire un enfant .

Joseph ne m’avait pas dit lors du rythmes de fécondité qu’il était stérile.

Fatima voulait a tout pris des enfants et comme j‘avais conçu Sylvain et voulais que je sois a nouveau le père car j‘étais le seul avec Joseph a l‘avoir baisée.

Je ne pus lui refuser….

Elle si heureuse de mon acceptation qu’elle me mis a poil en quelques secondes suçant ma bite pour me faire bander tout en se dénudant ,ensuite s’empala sur ma queue Fatima-1969-70-2.JPG

 

Elle se défonça la chatte avec une ferme conviction de la réussite en répétant  « pas besoin du rythme de fécondité ».

Joseph a grande confiance en toi il m’a dit « si tu veux des enfants ,fait les avec Simon »

 

Je vidais en elle toute la semence que j’avais en réserve ,après que ma bite ramollie soit ressortie , elle repris ma queue, me branla pour la durcire a nouveau et se mis assis dessus entrant cette fois dans son cul et disant « récompense » Fatima-1969-70-1.JPG ,elle m’embrassa fougueusement et repartit en disant « je viendrais te voir avec tes enfants »

 















6 janvier
Le grand jour arriva je me rendis chez mes amis

, ils habitaient une petite maison de campagne dans ce magnifique paysage vosgien , je sonne , elle me crie "entre n’ai pas peur!".

Elle était dans sa cuisine préparant une galette ,ma surprise fut énorme elle était nue.

Tien pour c’est pour toi ces fleurs et met le champagne au frais.

Tu es seul ?

Non !…. Romuald est dans la salle de bain dit-elle ,tu peux aller le voir et met toi a ton aise comme chez toi , ici ajouta-t-elle « c’est aussi toujours a poil ».
 Quand j’entra dans la salle de bain , le miroir me renvoyait la nudité de Romuald , il se retourna ,me prit dans ses bras et m’embrassa longuement sur la bouche et je sentis sa bite gonfler (la mienne aussi) , autre surprise c’est lui qui me déshabilla et me dit « j’arrive, je termine mon rasage »

De retour dans la cuisine Arlette assise sur un chaise me dit « vient approche » elle prit alors ma queue et se mit a me pomper ARLETTE-1969-70.JPG

L’Après midi nous discutions de tous et de rien ,

ils m’apprirent que prochainement ils se marieront et qu’il me voulais comme témoin.

Je ne peux vous refuser et ça sera avec joie.

Bon qui sera mon roi aujourd’hui? Lâcha-t-elle……

Puis découpe la galette , elle était délicieuse ,
 au premier passage personne n’avait la fève ,
au suivant non plus,
 j’avais remarqué qu’elle tenait et insistait pour que je prenne une part bien précise 
je ne l’a pris pas et Romuald ne put faire autrement .

C ’était lui le ROI.

En bon roi qu’il était je propose de le sucer pour obtenir un mat bien rigide .

Je le couche sur le dos ,demande en suite a Arlette de s’empaler en lui tournant le dos pour que je puisse voir les couilles du roi et la chatte en même temps.

Je me mis a genoux entre leurs jambes , une main malaxait un téton du roi ,l’autre celui de la reine , et ma langue léchait les couilles et le clitoris .
Ils se cabrent tous les deux ,les vas et viens de plus en plus vite, je sens en moi le bouillonnement de la semence qui monte , je me retiens il faut qu’ils jouissent avant moi,....
 le clitoris est gonflé elle gémit , se tortille sur le membre et lui dans un râle lance je…je..

Et un flot jaillie dans le fond du vagin de la reine , ma main posée sur son bas ventre ressentait les coups de bélier de la pine qu’elle avait en elle ,tous deux gémissaient ,elle se cabrait me tenait la tête pour que ma bouche suce son clitoris ,mon autre main un doigt dans le cul un autre excitant ses couilles Romuald donnait des coups de rein très fort et déversait sa semence sans relâche car sous la pression de ma bouche je l’avais empêchais de se retirer , moi j’éjaculais sur le parquet

nous restâmes ainsi un bon moment puis la queue de Romuald ressortit d ‘elle même toute molle ,j’en profitais pour lécher le surplus et mis ensuite ma bouche sur la chatte encore ouverte , passa un coup de langue et souffla a l’intérieur pour que la semence de Romuald reste bien au fond du vagin.

 

Puis buvant une coupe de champagne je dit en riant « majesté le roi a accompli son devoir en déposant sa graine …..heu…. Sa fève ! ».

 

Je repartis le lendemain

Début  fevrier










 

 

Dans les premiers jour de fevrier ,un soir , alors que mon état alcoolique était déjà bien avancé , un jeune fille … grande brune…..quitta le groupe de jeunes qui faisaient la fête s’approcha de ma table et me dit :

__ vous permettez ,monsieur , que je vous offre une petite chanson pour cette nouvelle année ?

__ si cela peut vous faire plaisirs , je veux bien …. Merci

Elle mit un pièce dans le juke-box ,choisie la chanson….

Quand la chanson démarra ,je plongea mon visage dans mes mains et me mis à pleurer…….

Cette chanson était du grand Johnny « que je t’aime ».

Elle revenue prés de moi , me dit :

__ c’est pour toi !… en prenant mes mains dans les siennes ,puis ajouta :

__ Rentre chez toi tu as assez bu pour aujourd’hui ,sans même m’avoir rendu compte qu’elle m’avait dit «  TU »….

__ merci pour cette chanson lui dis-je ,je partie en chancelant….. J’entendais les murmures de ses amis qui lui disaient « il tient une bonne cuite »…..il m’a semblé qu’elle se sentait gênée…..

Dans les jours suivants ,je la retrouvais dans ce bar , je l‘invitais a prendre un verre avec moi ,pour une fois je commandais un grand café , je lui dis et toi ?…

__ un cognac … re répondit-elle…..

On se présentait l’un a l’autre…..

__ comment t’appelle-tu? lui demandais-je

__ Anita….. Et toi ?

__ Simon…

__ je lui demanda «  Quelle age as-tu ? »

__ j’aurais bientôt 21 ans….. Et toi ?

__ 24 ans depuis novembre….

On discutait de tous et de rien…et ce jour là elle me fit comprendre qu’avec l’alcool je ne résoudrais pas mes problèmes..

Tous les jours on se revoyait….. Sa présence me faisait du bien….je ressentais des frissons chaque fois que je lui touchais les mains , puis en petit baiser sur la bouche me rendait nerveux ,je posais mes mains sur ces petits seins par dessus son corsage ,mon sexe alors se mis a bander comme s’il avait compris….

La semaine suivante a la saint Valentin je lui offre une broche avec quelques petits brillants dessus , elle m’embrassa goulûment , tout en égarant une main sur ma braguette…. Elle devait avoir sentie mon érection , mais ne lâcha pas un mot , sauf "merci …cent fois merci"…..

Elle travaillait dan la zone à quelque centaines de mètres de chez moi ,et comme pendant son arrêt de midi , au lieu d’aller au bar manger son casse-croûte ,je lui avais demandé de venir partager cette pose avec moi. Elle y venait tous les jours , je l’attendais parfois en tenue très légère car j’avais pour habitude d’être toujours a poils chez moi ,mais pour elle je gardais le pantalon et ses yeux me dénudaient du haut en bas…. A quoi pensait-elle?

Le jour de son anniversaire (22 avril), elle me demanda si je voulais me marier .
je lui répondis :

J’espère bien un jour mais avant mes 25 ans sinon après je reste célibataire…

__ Tu voudrais bien te marier avec moi ?…. Me dit-elle……

__ Pourquoi pas !….tu me semble une fille idéale et j’aurais 25 avant la fin de l’année…….

___ Ce n’est pas un problème , je vais annoncer la nouvelle a mes parents ce soir ,puis m’embrasa ,je sentais dans ce baiser que quelque chose c’était passer en elle……

Le même soir ,je reçu la visite de mon copain Arnaud qui se mis à poil comme chaque fois qu’il venait me rendre visite , Arnaud-1970.JPG

On joua à se sucer , se défoncer comme on aimait le faire.

, après je lui racontait que j’avait rencontré un fille , et qu’elle voulait m’épouser….très surpris il m’annonçait :

je l’avais deviné ,ta passion avec moi ce soir n’était plus la même , comment elle est ?..

__ Grande brune,21ans…mai elle est tous l’inverse d’Arlette le sexe ne semble pas être une priorité pour elle….

Pourtant à chaque rencontre elle me fait jouir , même éjaculer dans mon slip tellement qu’elle m’excite….

__ Tant mieux pour toi , tu mérite de trouver le bonheur….. Me dit-il….

. Tu me tiens au courant, ainsi que les autres potes……

__ Bien sure !….

Anita veut aller très vite ,en ayant parlé a ses parents ,ceux-ci m'ont invité dimanche midi……

Le soir chez moi pour terminer tendrement notre dimanche…..

Dans nos bouches les langues s’en donnent à pleine joie ,mes mains étaient passées sous son chemisier et s’attardaient sur ces seins dont la douceur de sa peau me faisait frémir , je descendait une main vers le bas , rencontrait au passage son nombril et arrivait à la hauteur de l’élastique de son slip , je marquait un pose , elle ne dit rien , avec une de ses mains elle descendait la fermeture éclaire de sa jupe pour libérer de l’espace a ma main qui attendait a la hauteur du slip…..

Ainsi libre, ma main repris son exploration et touchait une petite touffe de poils, elle continuait et rencontrait une fente bien humide ou bandait un petit clitoris avec le quel je jouait et Anita se mis a jouir et déchargeait son foutre de femme sur mes doigts que je portais a ma bouche pour les lécher ….

.C’été la première fois que j’allais aussi loin dans mes avances…….

elle s‘exposa compétemment nue devant moi et resta ainsi plusieurs heures pour tester si je respecterais la promesse de ne pas la baiser

ANITA-1970.JPG

en restant sage comme elle le souhaitait……

Je la raccompagnais jusqu’à sa maison, un dernier baiser et je repris le chemin inverse , je n’arrivait pas à débander et mes couilles gonflées à bloque m’empêchaient de marcher rapidement ,arrivé a la maison je me mis a poils et me branlait jusqu’à jaillisse mon sperme sur mon nombril ,je passais ma main pour le ramasser et lécher mes doigt……..en pensant a elle…..

Le soir je n’arrivait pas à dormir tellement elle me manquait………………

Dans les semaines suivantes nous décidions de nous marier.

Nous fixons le mois de spetembre ,pour les invitations je lui dit " pour moi  un seul invité mon copain Arnaud qui sera mon témoin et personne d’autre" , elle fut très surprise de ma décision ,mais je lui confia " seul mes parents me manquent et que ma famille n’a jamais rien fait pour moi…"

Elle compris ma décision et me dit " de son coté il n’y aura que ses frères et sœur , que tous se passera chez ces parents……la femme d’un copain fera le repas".

ça sera le  samedi 5 septembre avant la rentrée scolaire.

Le 15 août ,nous  nous promenions sous un soleil très chaud , nous rentrions chez moi se désaltérer ,je me déshabillais tellement j’avais chaud et lui demandais d’en faire autant , ce-qu’elle fit volontiers , nos corps se touchaient ,nos mains caressaient le corps de l’un et l’autre …..on s’excitait ,nos cœurs battent la chamaille….. Je lui demande "viens faire l’amour"….. Elle est récalcitrante , elle refuse…"non pas avant le mariage".

Je lui rétorque " on n’est plus a quinze jours prés….j’ai envie de toi……."

OUI moi aussi j'ai envie de toi..

Elle retirait son slip et s’allongeait sur le lit….. Ma queue et mes couilles étaient à l’excitation maximum ….. Je la présenta devant ce petit carré de poils , ou on apercevait la fente rosée que j’écartais délicatement pour faire rentrer ma bite…..

Quand le gland commença à pénétrer elle murmura :

__ Soi prudent ! ……ça me fait mal…..

Je frottais son clitoris en y mettant de la salive ,elle bandait et eu un sursaut ,le coup de rein qu’elle donna ,fit rentrer ma bite au fond de son vagin, elle criait et tournait la tête de droit a gauche en poussant des Haaa..! Haaa….!

Je me retirait , m’enfonçait ,plusieurs fois , on jouissait ensemble ,je touchait le fond de sa matrice en même temps que le jet de sperme tiède sorti de mes entrailles, je n'avais pas arrivé a me controler ,je m’évanouissais quelques secondes sur son corps de bonheur.

Quand je repris mes esprits , elle me serrait ,en entourant ma taille avec ses jambes ,comme pour m’empêcher de me retirer….elle m’avoua :

__ C’était la première fois ,tu m’ pris ma virginité ,me dit-elle , elle avait une larme aux coins de ses yeux.

Elle m’embrassait sans relâche ,comme une chatte en folie.

Nous nous séparions le soir , nous étions de vrais adultes.

Nous marierons en septembre

 

 

Voilà 7 mois que je n’ai pas de nouvelles de Arlette et Romuald, je décide d’aller leurs rendre visite.

En cours de route

ALEX un auto stopeur…

C‘est comme cela qu‘il se présenta en montant dans la voiture , son regard asiatique en disait long en me regardant , fixant mon sexe que je me masturbais tout en conduisant.

Qu’elle age as tu ? Lui demandais je

21 ans répondit il

Le stop ça marche ?

Pas trop voilà presque 1 heure que je suis la.

Fixant ma queue , il ajoute ,"pour moi c’est une première… ." .

Une première quoi ? Dis je

Que je trouve une voiture avec un chauffeur a poil ! Ajouta-t-il….

Ça te gêne ?

 

Non bien au contraire ,vous pouvez même arrêter au premier bosquet si ça vous dit !.

Ok pas de problème...

Il me posa une main sur ma cuisse et un grand frisson me traversa le corps et a lui également.

Mon regard se posa sur sa braguette qu’il avait déjà entrouverte pour laisser apparaître son gland déjà gonflé par l’envie d’arriver vite a sa faim (me baiser).

Quelques Km plus loins. ALEX-1969-70-1.JPG





















                                                                    

MAIS JE NE LUI AI PAS DIT LA VERITE CAR J’EN AVAIS TRES ENVIE !!…. ALEX-1969-70-2.JPG

Puis je le laissa sur le bord de la route a la recherche peut être d’une autre aventure 

Avec Manuel ,origine brésilienne , que je défonça quelques centaines de km plus

loin le jour de ses 21 ans ,il est mignon le petit……… Manuel-1969-70.JPG

et me rendit la pareille en m’enfonçant sa bite très fine et longue dans mon cul pour me dire c’était la première fois qu’il le faisait et qu’il souhaitait me revoir une prochaine fois….. Je lui répondit qu’ il pouvait me retrouver au même endroit demain vers 16 heures.

Puis je repris la route pour aller chez mes amis Arlette et Romuald.

Il faisait encore très chaud en cette fin après midi ,je rentrais la voiture dans la propriété quand je vis Arlette allongée dans un hamac ,elle ne m’avait pas vue ,ni entendu arriver elle était là devant moi nue mais je compris vite elle attendait un enfant.

Je posa mes lèvres délicatement sur les siennes ,elle ouvrit les yeux et la joie se lisait sur son visage elle me prit la main la passa sur son gros vente et dit « la fève tu te souvient et bien voilà le résultat ».

Romuald comment a t il réagit?.

Oh ! Lui ..il s’est excusé et ma dit « Simon m’a bien eu , mais ce petit c‘est le mien je l‘élèverai avec toi». Il ajouta « Simon ,son cul va exploser quand il viendra alors attend toi a avoir une soirée difficile » .

Tu sais Alette si je ne l’avais pas forcer a prendre la part de galette, ce petit que tu portes en toi serait peut être le mien!.

En ce qui concerne l’envie de Romuald il peut , je serais toujours là pour lui,
 je me penchais jambes écartées pour embrasser son ventre quand je senti rentrer dans mon cul ( a sec) le pieu de Romuald , qui le matais depuis mon arrivée en voiture et toujours a poil.

il en fut ainsi pendant toute la soirée entre nous dans la bouche ,dans le cul a tour de rôle sous les yeux de notre reine. et reprit de plus belle lorsque je leurs annonça:

Arlette et romuald y a un grand changement dans ma vie "je vais me marier"

l'annonce fit reigner un silence de plomb.
et tous deux du font du coeur lachèrent "enfin une bonne nouvelle"
Apres leurs avoir donné toutes les infos possible Romuald dit "et mon cul t"en fait quoi? "
T'inquiete je m'en occuperai toujours.
 n'est-ce pas Arlette?
je n'en doute pas un instant répliqu'a-t-elle

Elle aimait nous voir ensemble jouer avec nos queues comme des chiots jouent avec une balle

Après une soirée et un nuit bien mouvementés

je repris le chemin du retour afin d’être au rendez vous avec Manuel comme promis

Ce fut le cas et nous primes beaucoup de plaisirs….

J’espère le revoir un jour…..

Dans les jours suivant je rencontra 2 copains a la recherche du bonheur le long d’un petit lac de Moselle ,ils étaient entièrement nu comme moi dans ma voiture , je leurs proposa de venir chez "Jojo " le sauna  de Metz afin de mieux se connaître.

Hubert un grand moustachu et une queue moyenne..

Julien grand également queue courte mais épaisse..

Ce fut sans refus et après avoir bu quelques bières nous primes une douche LETRIO-1969-70.JPG

Nos queues ainsi bien savonnées pouvaient pénètre celui qui était devant l’autre, me trouvant le dernier mon sexe dans le cul de Julien je branlais Hubert que julien avait enculé, l’après midi passa très rapidement……..

 

 

 

Octobre arriva rapidement Arlette accoucha d’un joli garçon de 4,8kg notre petit roi se nome LOUIS ,né le jour de la saint Juste(14 octobre 1970). LEROI-louis-1969.JPG




je dit a Arlette et Romuald «  sa promet  s'il est comme nous trois»

Cette année la était vraiment belle ,je recevais des nouvelles de Fatima la mère black de mon enfant illégitime (Sylvain 8 ans) qui m’avait demandé de lui en refaire un . Elle venait d’accoucher de jumeaux le même jour que Arlette , heureuse elle était , mais l problème il y avait un black et un blanc  elle voulait que je choisisse les prénoms.

Elle avais choisi Romain et Robert mais voulais mon avis.

Je lui indiqua Romain pour le black et Robert pour le blanc.

Romain-Robert-1970.JPG


que cette année fut tres bonne........
Par simon - Publié dans : ma vie
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Mercredi 19 septembre 3 19 /09 /Sep 21:50

Avril 1966 le quittais l'armée.

J’allais trouver beaucoup de changement ,tous n’était plus pareil.

Il me fallais trouver un endroit pour vivre ne désirant plus revoir mes frères qui ne m’avaient jamais donné de nouvelle pendant mes 18 mois de service militaire.

Je me rendit chez la mère Denise une femme veuve d‘une soixantaine année que j’appréciais beaucoup et qui élevait sa petite fille Jeanne et son petit fils Claude dont les parent avaient disparue dans un accident de la route.

Dans un premier temps je partagea le lit avec son petit fils Claude 16 ans que ma présence ,la nuit a ces cotés , (car je dormais nu et lui aussi) je sentais sa bite en érection me frôler mes fesses ou ses mains qui se perdaient sur mon sexe.

Pour son age il était bien monté une queue longue (environ18cm mais très fine et légèrement courbée).

Mère Denis me proposa un jour d’habiter dans une petite pièce aménagé prés de l’étable ou je serais plus libre de faire ce que je voulais car elle avait compris qu’a mon age j’avais besoin de vivre autrement.

J’avais repris mon travail a l’usine métallurgique de Longwy..

Un dimanche matin ,aprés avoir travaillé toute la nuit ,malgrés la fatigue je me mis a poils,fis chauffer de l'eau , la mis  dans un grand baquet de bois (car il n’y avait pas de salle de bain) et commança à me laver , une voie me dit " je peux te frotter le dos " et la devant moi nu comme un ver Jeanne 17ans (la petite fille de mère Denis qui etait entré dans la pièce avant que je rentre et s'y été caché).

La surprise fut elle que je répondit " si ça te fait plaisirs "sans même réflèchir.

Elle me lavait tous le corps en s’attardant sur ma queue qui gonflait a vue œil et me dit " allonge toi sur le lit ".

Ce que je fit et elle se mit en position 69 au dessus de moi , se mit a sucer mon gland , moi je me mis a la lécher sa chatte , des frissons traversaient nos corps.

Dans la pleine ombre de la chambre nous avions pas vu , ni entendu l’arrivé de Claude

Il s’était excité et s’était mis a poil ,il se présenta derrière le cul de Jeanne et de ma bouche , d’un geste rapide je pris sa bite et la porta a ma bouche pour lui sucer ,celle-ci devenait de plus en plus raide.

Quand je sortais sa bite de ma bouche avec ma main je la guidais vers la chatte ,puis vers la pastille de Jeanne qui frissonnait encore plus a se contacte humide de salive et elle me pompais de plus en plus fort , après plusieurs aller et retour (bouche ,chatte ,anus) je sentais Claude se cabrer et la jouissance monter en lui et d’un coup de rein brusque sa queue pénétra la pastille de Jeanne , son cri de douleur fut étouffé par mon gland dans sa bouche et accéléra sa succion en allant avaler mes valseuses

je me mis alors en transe, mon corps entier vibrait de plaisirs et j‘éjacula dans sa bouche , elle avala tous ,léchant ma bite jusqu’à la dernière goutte, de petits gémissements male me firent comprendre qu’il avait jouie dans ses entrailles .

Elle se dégagea et que fut sa surprise de voir que son cul venait être dépuceler par son frère , le gifla et se mis assis sur ma queue qui bandait encore et pénétrait sa chatte aidé de ses mains pour qu’elle rentre plus vite et dit a son frère " bouffe lui les couilles "

Celui ci s’exécuta , me mâchonnais les valseuses comme du chewing-gum ,moi avec une main je roulais entre deux doigts son clitoris de l’autre ses mamelons , aidé de ses bras elle se soulevait et s‘enfonçait en cadence sur mon pieux qui lâchas et inonda une nouvelle fois Jeanne de foutre .

Claude s’excusa prés de sa sœur.

Jeanne répondit  " c’est pas grave maintenant je ne suis plus vierge et c‘est pas ton cas" petit frère adoré, "Allez je vais vous sucer et vous branler tous les deux et merci pour mon plaisir" jeanne-1966.JPG

Et dans la foulé Claude se fit défoncer le cul

claude-1966.JPG

sous les yeux ravis de sa sœur qui lança "comme ça tu seras dépucelé aussi ".

 

Le samedi suivant

je décidais d’aller voir in match de foot a Metz ,

avant la rencontre , devant le but , je retrouvais ……..

Qui m’invita a sa manière chez lui pour une troisième mi temps sa femme et ses enfants etant partie pour plusieurs jours

"Tu ne le regretteras pas " dit il …..

Eh non! ….

je ne le regrette pas Lucien savait faire vibrer les amis qu’il recevait.

Il avait une bite extra , bien droite pas trop fine , pas trop grosse et quand elle dégorgeait son flux dans la bouche celle ci n’était jamais assez grande pour contenir le jus

Ou dans le cul suivant notre accord avec ou sans préservatif.

Moi je préférais sans car j‘aimais sentir dans mes entrailles ce nectar doux et tiède

Ce jour la j‘ai eu droit au deux!.

Vers 20 heures "tu viens on va en boite chez mon ami"

remy-1966.JPG

Ou ce répétait mais a trois la même ambiance que l’après midi sauf que Rémy sa bite était courte et épaisse comme la mienne qu’il apprécia lui aussi dans son cul sans capote comme il disait…….
LE MOIS SUIVANT:
je décida d"aller vivre  avec Gérome ma vie en restant aupres de lui g--rome-1966.jpg

une grande histoire d’amour

OUI une grande histoire d’amour

Nous partagion les mêmes gouts , les mêmes passions , après nos journées de travail reciproque , dans son petit appartement nous vivions NU et nos occupations ensemble  , comme de vrais couple hétéro ,nous vivions heureux , s'aimant  , se donnant l'un et l'autre.
nous avion pris l'engagement de s'aimer et si des amis nous voulais a eux ils devait prendre les deux car nous étions inséparable..
les années passaient tres vite  et souvent nous partagions les même copains.

1968

Un samedi soir de mars 1968 nous rencontrions Eric-monamour-1968.JPG

beau mâle ,1m,78 brun aux yeux bleu ,il ne regardais pas Gérome ,

c’était moi qui l’attirais

,alors je lui fis signe de venir nous rejoindre.

Prés de moi il se mis , nous prenions tous un whisky et nous fîmes les présentations .

Éric 24 ans et toi

Simon 23 ans ouvrier d’usine.

Éric dit a Gérome qu’il n’avait jamais touché une fille et posant sa main sur ma cuisse me dit « c’est les mecs que j’aime mais je n’ai pas encore franchie le pas » .

Pas de problème nous allons te former…….

OK ,OK mais on reboit un autre whisky avant .

Je répondis ,prend la bouteille et allons y .

Dans une petite chambre feutrée du château ,nous nous retrouvions tous les trois dénudés .

Gérome en présence de Éric n’arrivais pas a avoir son sexe raide alors je lui pris dans la main et je lui suça jusqu’à la rigidité maximum .

Éric s’allonge sur le dos , Gérome s’empressa de faire rentrer le sexe dans le cul de celui-ci

Surpris par la rapidité…..

Éric commença a faire des gémissements de bonheurs et semblais apprécier ce qui ne connaissait pas .

Moi j’avais le sexe et les couilles super gonflé par l’excitation qu’ils me provoquaient .

Je demandais à Éric s’il voulait pour sa première expérience se faire défoncer par deux bites en même temps……

Un long temps de silence avant de répondre….

Double whisky ?

Ok

Il l’avala d’un trait et dit :

Encore un double ?

Ok ! Mais garde s’en pour après…….

Il l’avala de nouveau d’un trait et dit :

Va pour deux queues……

Gérome se mis sur le dos une bite droite comme un mat de cocagne , Éric se mis a califourchon par dessus présentant sa vulve a peine remise…….et profita pour embrasser Gérome sur la bouche…..

Je me présentais derrière ,quand ma bite a la hauteur de celle de Gérome je badigeonnais la vulve Éric avec du gel afin de faciliter la pénétration des deux sexes…….

Plus de 30 minutes après nous retirions pour nous abreuver de ce jus d’homme que chacun désirait

Ce fut d’abord Gérome d’éjaculer le premier…dans ma bouche

ou Éric venait du bout de sa langue goûter à ce nectar ……..

Je jouissais a mon tour sur la poitrine de Gérome….

Éric remplie le nombril de Gérome de son jus blanc et onctueux

Éric n’avait jamais goûté à son liquide onctueux qu’il éjaculait a toute ces masturbations , alors il se penchait sur le ventre de Gérome et sur mes conseils , avec sa langue retirait du nombril tous la précieuse et crémeuse substance qu’il y avait mis , puis l’avalait…..

Puis il nous dit :

Ça s’arrose………. whisky SVP….

Je suis comblé revenez plus souvent , je suis a vous………la jouissance fut pour nous trois intense…….

Maculé de foutres d’homme que nous léchions

nous terminions la soirée ,mais aussi la bouteille……

 5 mois plus tard :

Un Dimanche de ce mois d’aout , il était venu me chercher a la sortie de mon travail pour se rendre chez ses parents.

Ce jour là fut pour moi une journée noire car un chauffard ivre venait percuter notre voiture nous projetant contre un arbre…..

Gérome fut transférée dans le comas a l’hôpital de Luxembourg .

Il repris connaissance le lendemain ,

j’étais dans un lit voisin les deux jambe fracturées ,les infirmières me rapprocha de lui pour que je puisse échanger quelques mots….

Dans sa souffrance il me dit :

__ Je t’aime  Simon ,je vais t ‘abandonner bientôt ,ne reste surtout pas seul…

__Fait moi le serment que tu ne restera pas seul…?

__j’ t’aime  Gerome et t’aimerais quoi qu’il arrive et je te promet de ne pas rester seul …lui dis je…et je m’effondra en pleur ….

Quelques heures plus tard……

il m’avait quitté………………..

 

Les mois qui suivent deviennent très dur pour moi , .malgré la présence répétée de mes copains ,je n’arrive pas à reprendre le dessus et plonge dans l’alcool de désespoir ……

TROUVERAIS-JE UN JOUR UN HOMME QUI POURRA ME DONNER AUTANT QUE TOI

 

MON AMOUR g--rome-1966a.JPG

Je n’arrive pas a oublier ce terrible accident qui nous séparera

TU m’as demandé dans ton dernier souffle de ne pas rester seul.

Ma vie a chamboulé et je suis perdu

Par simon - Publié dans : ma vie
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Vendredi 14 septembre 5 14 /09 /Sep 22:18

1966-1967-1968

Les sorties n’étaient plus que les samedi ou dimanche.

Ce fut mon cas ce jour là, je me mis donc nu et sur le dos les jambes en l’aire j’attend….

simon-1966-moncul.JPG

Très belle bite! Je l’envie beaucoup être si bien équipé et si douce a la pénétration !

Et que ça fait du bien ………quand on la bien au fond de soi…….

 

Je me rendais souvent en Belgique au château de la tour une boite pour danser et s’amuser dans les salles souterraines .

En juin 1967 je fis la connaissance de


un mec grand et fin il était luxembourgeois , il aimait vivre comme moi toujours nu alors nous partîmes en vacances dans un camp de naturiste en bord de mer . nous passions de très bonnes soirées avec de nouveaux amis black


Grand par la taille mais un sexe moyen

par apport a celui de

Qui lui était totalement l’inverse de

qui elle était de taille standard .

Que Georges avec Romain avaient décidé de me faire goûter

qui aime défoncer dans l‘eau tous les culs qui s‘y trouvent

 

 

Et le petit

patrick-1967.JPG

avec une bite de gamin malgré ses 23 ans que je ne sentait pas pénétrer dans mon cul ……..

normal Ramezy était passé avant !

Hélas les trois semaines passèrent trop vite.

Après ces vacances nous retrouvions toutes les semaines au château en Belgique.

On se rendait souvent dans une petite chambre feutrée du château ou séparé par de simple cloison de verdure artificiel on pouvait vivre notre vie en communauté .

julien1968.JPG          ou                   remy-1968.JPG  

des bons potes pour les WE

 

 


Par simon - Publié dans : mes copains
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