Dimanche 30 septembre 7 30 /09 /Sep 17:08

1973

Au mois d'août, ça fera 1 ans que j'habite dans cette petite ville bien agréable.

Depuis la première fois où j'ai rencontré mon voisin, Ewan, je suis dingue de lui et ça va bientôt faire 1 ans ! J’adore me branler en pensant a lui ou en imaginant des histoires. 
Je crois qu'a force il a du commencer a se douter de quelque chose. 
Il ne s'est malheureusement encore rien passé , mais il y a de ça à peu près 2 moi:
 J'étais seul chez moi et je me branlais tranquillement devant des photos de mecs nus dans une revue. Je bandais comme un dingue, quand j'entendis la sonnette. 

Ewan-1973.JPG

J' enfile un peignoir et dissimule tant bien que mal ma trique.
Je vais voir qui cela peut bien être .
C'était... mon voisin Ewan!
J’ouvre et lui dis d'entrer.
Je voulais voir ma femme ?

.Pourquoi tu as rendez vous?

Tu sera toujours aussi con réplique-t-il!

mais je lui dit " je suis seul ,tu montes a la cuisine prendre un verre? ". 
Il accepte et je lui sers une bière. 
Moi j'étais toujours en peignoir et je commence a défaire un peu ma ceinture style de rien. Je me lève et mon peignoir s'ouvre juste devant son nez, exactement ce que je voulais. Là je ne vous explique même pas dans l’état d'excitation dans lequel j'étais.

Je me suis mis à bander deux fois plus. Il me regarde surpris et me dit:

" Putain mais tu bandes ! C’est moi qui te fais ça? "

Je lui réponds " oui  "et il ouvre sa braguette, découvrant une queue pas trop grosse mais magnifique. Il l'a prend dans sa main et commence a se branler.
 Il me demande "'approche ". Je viens, il prend ma queue dans sa main (aaaah le rêve!!), se met a genoux et la met dans sa bouche chaude et humide. Il me suce et me branle en même temps pendant une bonne dizaine de minutes.

Je lui dis de se lever et je me mets a genoux a mon tour, je mets son chibre tout entier dans la bouche et il gémit de plaisir. Je joue avec son gland et il se met à hurler " c'est trop bon!!!  " Il reprend ma queue dans sa bouche, mais mon niveau d'excitation ne me permet pas de tenir très longtemps.
 Je lui dis " je vais jouir  "
 il me répondit " vas-y jouis dans ma bouche! "

Oh le pied! Je déverse une bonne quantité de foutre dans sa bouche et il avale tout le salaud! 
Je lui demande " fait la même chose pour moi. " Dès que sa queue est entrée dans ma bouche, il a  craché sa purée.
On est resté comme ça allongés par terre pendant 5 minutes puis il s'est rhabillé en me remerciant pour ce petit moment.

Tu dira a ta femme que je suis passé?

Oui … OK….je lui dirais qu’on a baiser ensemble!

Il est parti en disant « ça m’étonnerai beaucoup car je sais que tu en voudra encore dans ta petite gueule » 

1974 

Quelques semaine plus tard:


Nu dans ma cuisine ,enfin en string, je vaguais a préparer un petit dessert  pour ma cherie Anita qui était au travail et en cas ou…..de la visite arriverai.....

Soudain , apparu dans l’entrée Jérôme le fils du docteur voisin de quartier.

Jérôme cherche depuis de long mois a vouloir me baiser ,comme il disait «  ton cul je l’aurai »et comme un jour pour le narguer j’avais répondu « chiche »l’écart d’age n’est pas un handicap et j’aime du jeune coq.

Il prit le courage de relever le défis.

Il était là dans l'embrasure de la porte, les mains posées sur le haut de la porte, les poils noirs de ses aisselles découpaient son tee-shirt blanc immaculé, son jean bleu délavé était retenu par un énorme ceinturon. Il était pieds nu et la bosse de son pantalon en disait encore plus.

Il me parlait de sa voix rauque et virile, pendant que je préparais une grosse salade de fruit. 
Sa copine venait de le quitter depuis 15 jours et il se refusait à la remplacer.
Moi 39 ans je ne l'écoutais plus , je flashais sur son corps, son torse en v, les poils qui sortaient du haut de son tee-shirt, ses biceps veineux, ses très larges cuisses bien serrées dans son jean, ses pectoraux bien dessinés, les tétons biens pointus, et je dois l'avouer la bosse de sa bite orientée sur le gauche qui me fascinait.
Quand je pris les bananes ...il se mis à me brancher: " elle sont grosses hein les bananes, j'en ai mis une fois dans la chatte à ma copine, elle a pas aimé."..

je lui dis "  fallait retirer la peau... ça fait moins mal."

Il me dit…." ah bon comment tu fais? "

Je ne répondais pas à ses allusions...
 Pff .....il me dit  " fait chaud ici », je peux me mettre à l'aise ? "

Oui  Anita ne rentreral qu'aprés 19h lui dis-je  !

" OUI je savais " j 'ai parlé avec ce matin.

Il retira son tee-shirt , et j'eus le souffle coupé, son torse viril était magnifique 
J--rome-1974.JPG

Un filet de poils drus noirs partait de sa ceinture vers le nombril, puis une forêt épaisse de poils noirs tapissait ses pectoraux... ses abdos étaient secs et sexuellement attirants.
Il me dit   " je peux me mettre en caleçon? "

Houé… hésitai-je. Ai-je le choix?  
Moi même , je commençais à me sentir mal dans mon string, un peu trop serré .

Quand il retira son pantalon, je vis bien la masse de sa bite provoquer une bosse dans son caleçon, ses longues jambes poilues et viriles, mais je coupais les oranges sans rien n'y faire paraître...
Un peu d’eau fraîche sur mes avant bras me calma un peu, et je retournais à la pelure de mes pommes...
soudain il me rejoint et se colla à mon dos en m'enlaçant,
 je stoppais net mon travail car je sentais sur ma raie une énorme bite qui palpitait...
la tête en feu, je la rejetais en arrière pour sentir son souffle chaud, avec mes mains je caressais son bassin, il me baissa mon string d'un coup sec...

Je lui baissais son caleçon, et je sentis encore plus précisément cette masse de chair de 23cm ,épaisseur de 5cm environs ,(un bite de cheval ) palpitante contre mes fesses.
Il pris une banane, l'éplucha et sans rien dire me la mis dans la bouche, j'ouvrais ma gueule et au lieu de manger un morceau commençais à sucer le fruit.
Lui de son autre main, saisi la bouteille d'huile d'olive et en reversa entre mes fesses. et sur son sexe..
il me pencha en avant.

Il sorti d'on ne sait ou une capote noire extra large qu'il enfila...

je n'osais bouger, j'avais poussé le saladier de salade de fruit, et j'avais le nez dans les épluchures et la banane toujours dans la bouche.
Avec deux doigts ,puis trois il me pénétra la rondelle pour me préparer à l'assaut.
L'huile facilitait son travail , je gémissais.
Je sentais ses jambes poilues contre les miennes, je pris l'initiative en tendant un bras derrière moi ,de branler un peu son énorme bite et je la présenta devant ma rosette...
je m'allongeais complètement sur la table,

il me pris par les épaules et commença le travail d'enculage

.La douleur plaisante au début fut intense quand son énorme gland franchit mon sphincter...

Je vis des étoiles, par correction il ressortit, ce fut un bruit de bouteille qu'on débouche tant sa bite était massive... je fut soulagé.

Il prit le pot de mayo et m'enduisit largement le cul et sa bite...
puis sans me toucher, il m'encula d'un coup.

Je sentais sa bite qui avançait dans mon rectum inexorablement, la base de sa grosse bite plus large me fit relever la tête dans un hurlement de douleur étouffé par la banane et de plaisir à la fois.
J'avais l'impression qu'il distendait en longueur mon rectum, ses couilles enfin touchèrent les miennes.

Il me dit " tu es à moi maintenant "

je ne pus lui répondre tellement j’étais essoufflé

Puis m'écarta les fesses avec force et se mit à me labourer puissamment?

J'avais l'impression qu'il m'arrachait les intestins à chaque retrait, mais j'avais le sentiment de sa puissance derrière moi.

Ce gars de 22 ans me possédait comme une bête !
Ma prostate en vracs, mon anus dévasté, je jouissais contre la table, les resserrements de mon anus, lui fit gonfler encore plus sa bite et il poussa un cri étouffé.

Ses jets de sperme contenus dans la capote furent nombreux.
Il se coucha sur moi, sa queue me possédant encore.
J'aimais cette position de soumission, sa transpiration se mêlait à la mienne, ses poils drus me grattaient le dos.

Il ne débandait pas, alors que la mienne toute molle pendait lamentablement;
il me dit   " t'as une bonne chatte, ma salope, t'es une vraie chienne ! "
(Je me dis ? chatte et chienne à la fois, quel bonheur)
puis il d’écula toujours bandé à mort, il me retourna et me dis ", je retire la capote et tu me nettoies ".
Ce que je fis, son sperme avait un goût sucré, les veines de sa queue me déliraient, ses couilles pendaient maintenant, il avait un bas de corps très poilu et ça m'électrisait.
Quand j'eus fini, il me dit   " putain 15 jours de sperme dans la capote tu vois ça en fait quand même!!! "
Il prit la capote et me la versa sur la gueule et dit   " la prochaine fois c’est dans la bouche "

J'étais là assis contre le pieds de la table, le sperme dégoulinant sur ma poitrine, le cul sur le carrelage froid, avec l'impression qu'il était encore en moi, je me délectais de son rhabillage, virilement, avec méthode... il eut du mal à fermer sa braguette, il me sourit, me tapa sur la tête et me dit  " à dans 15 jours, mon pépé  " et s'éclipsa.
Le cul sale de mayo et d'huile ,je pris une douche très chaude.
Quand je le croisait dans la rue, il tournait la tête, mais 15 jours après il fut exact au rendez vous, en short satin rouge, avec son maillot de l'OM, et ses baskets.
Ce fut pire que la fois précédente j'avais l'impression que sa bite avait encore grandie, mais c'étaient les traces de la 1ere fois .et j’ai avalé une quantité énorme de son sperme légèrement sucré.
Je ne l'ai plus revu.
Il m'a ouvert le cul depuis il ne me faut que des gros calibre! Il m'a dépucelé et fécondé, le salop !


1975 

trois mois plus tard
 :

Mon travail m’amène dans le ville de Troyes ,pour deux jours et deux nuits ,je pris une chambre d’ hôtel formule1.

Vers 22 heures je désire prendre une bonne douche (elle est en bout de couloir) , je noua une serviette autour de mes hanches et sortie de la chambre pour mis rendre.

Dans le couloir je fut bousculé par le voisin d’en face (un jeune et beau mec) qui lui aussi une serviette autour des hanches , lors de la bousculade nos serviettes tombaient et on se retrouvait nu tous les deux .

" Oh! Pardon  " dit-il

" Excusez moi  " répondis-je

Arriver devant les douches une seule cabine était libre , alors je lui dit  " on c’est déjà vu a poil  alors prenons notre douche ensemble ".

" Pas de problème " dit il allons y…..

Une fois dans la cabine nous mations nos corps lui imberbe et moi  légèrement poilu et on se présenta.

Je lui dit « Simon 30ans marié 1petite fille de 1 ans je suis la pour mon travail ».

Moi dit-il « Stevy 17ans étudiant de passage pour un examen »

Nous étions tous les deux sous l’eau ,se savonnant mutuellement ,

Nos mains caressaient dans la mousse nos queues qui pour moi (pour une fois) se semblait pas vouloir bander juste un peut gonflée , la sienne aussi mais par contre il avait une paire de couilles énormes.

Nos bouches se rejoignirent et nos langues s’entre mêlèrent ,corps contre corps entre lassé par nos mains baladeuses.

Je me laissa glisser pour me mettre a genoux ,suçant au passage ces petits tétons , puis m’ a tardant sur son nombril avant d’atteindre son pénis que je mis dans la bouche , la mâchonnant , pompant sa bite qui avait enfin bandée.

Mes mains caressaient ses fesses en passant un doigt dans sa raie ,lui appréciait et maintenait ma tête sur son sexe pour que je continue a pomper son dard .

Je sentais sa bite gonfler dans ma bouche ,il donnait de petit coup rein , sa bite touchait le fond de ma gorge ,son gland pris entre mes hamydales , j’accélérais le pompage ,il se cabrait et m’envoyait une telle quantité de foutre que ma bouche ne pouvait contenir , le surplus coulant sur ma poitrine.

Je me relevais et lui fit lécher ma langue et ma poitrine jusqu’au nombril recouverte de son sperme.

On termina de se laver et repartir dans nos chambres.

Allongé nu sur mon lit je pensais a Stevy …..

Un heure plus tard ,on frappe a ma porte….

" Entrez c’est ouvert  "dis-je.

C’était Stevy …..

" Je ne t’ai pas remercié  " dit-il  "je m’en excuse et je voudrais réparer "

Il s’allongea prés de moi et se mis a me caresser tout en me racontant sa vie
St--vy-1975.JPG

Tout en parlant il m’avait fait bander et se mis a me pomper , il me pénétra un doigt, puis deux dans mon cul il m’excitait. Sa tête posée sur bas ventre tout en suçant devait ressentir que ma respiration allait de plus en plus vite et ma jouissance proche ,j’éjaculais dans sa bouche.

On s’entre lassait ,s’embrassait comme deux fous et l’un contre l’autre nous nous sommes endormi.

Au réveil il me dit « dommage on a pas été jusqu’au bout »

" Au bout de quoi  " répondis-je.

" J’avais pensé que tu m’obligerais a me faire enculer par toi pour que je puise te répondre comme j’avais fait a mon père " me dit -il

" Moi aussi " dis-je , " mais mon principe je le fais que si on me le demande ".

" Je te le demande "  dit-il sèchement.

" Ok je suis d’accord mais tu vas déja passer ton examen et retrouve moi ici , je serais dans ma chambre après 18 heures ".

" Il faut que je passe a la réception reprendre une chambre je n’avais pas prévu 2 nuits ".

" T’es fou "  lui dis-je.

Il me regarda avec un petit souris.

" Oui t’es fou ce soir tu dors avec moi et allez vas passer ton examen."

" Ok! Ok!  " Dit -il  et ajoute " alors ce soir je t’invite au mac do……"

Il partit la journée et fut de retour après 18 heures..

Il frappa a la porte et rentra sans que lui réponde , je lisais sur son visage la joie il me sauta au coup et m’embrassa goulûment comme de vieux amants.

Il était heureux et me dit " mon examen lui avait été plus facile , sachant que tu ne m' avais pas  refusé d’aimer un autre mec que son père ".

Moi j’étais heureux de lui faire plaisirs a ce jeune , avec sa gueule d’ange triste , a croire que j’en venais amoureux.

Nous allâmes donc manger au mac do.

Toute la soirée nous avons discuté de nos goûts des hommes ou femmes a qui , il n’osait pas faire d’avance.

Mais il était très surpris de voir que j’étais marié avec une petite fille et que j’aimais les hommes autant que lui.

Nous rentrions a l’ hôtel vers minuit la soirée avait passée tellement vite.

A peine entré il était nu et me déshabilla pour me basculer sur le lit.

Je lui dit  " " calme toi on a toute la nuit ".

" Excuse  " dit il   " j’en ai tellement envie  ".

Je l’embrassais , le caressais , nos corps entre lassés ,un fois dessus ,une fois dessous , nos queues l’une contre l’autre , dures comme du béton , j’écartais les jambes pour les croiser au dessus de ses reins et lui dit « quand tu veux ».

Je senti entrer en moi son membre de bon calibre , je cabrais il l’avait mis a fond et a chaque mouvement ses grosses couilles tapaient mes fesses , puis soudain lâcha « mais c’était toi qui devait commencer ».

" Pas grave on recommencera ".

Et ces coups devenaient de plus en plus fort , se retira soudainement et dit « non , non pas maintenant , prend moi d’abord »

Il bascula sur le dos ,je lui enfonce mon pieu ,il hurle «  putain plus grosse que mon père ».

Prisonnier entre ses jambes , ses mains sur mes fesses ,ses doigts dans ma raie titillaient ma pastille , et il forçait  ,mes coups reins pour sentir en lui ma bite au plus profond , avec sa bouche le arrivait a me sucer les tétons , je devenais comme fou de rage , mon corps trempé de sueur ,haletant ,au bord de l’évanouissement , sa respiration de plus en plus rapide , nos ventre l’un contre l’autre , je ressentais les coups de butoir que je lui assénais ,plus il me serrait ,plus je hurlais de plaisir et je lui éjaculer dans son intérieur tous mon foutre.

je m’effondra sur lui ou sa bouche rejoignit la mienne , il attendit que ma bite ressorte d ‘elle même alors que la sienne restait raide comme une barre de fer.

Soudain il me retourne et me met a quatre pattes et me pénètre avec rage ces couilles claquent contre mes fesses ,mais dans cette position je ne peux que le laisser se défouler sur mon cul , il ressort sa queue et remet sur le dos ,m’écarte les jambes si fort que mon cul se soulève et la sa queue repart en moi ,toujours prisonnier de sa position ,j’arrive a me dégager un bras et lui prendre ses valseuses énormes et mon index dans le cul il me donne un coup de collier si fort que j’ai cru sentir sa queue dans l’estomac et il éjacula des litres se sperme en moi en lâchant un hurlement de plaisirs et retombe sur moi épuisé.

Nous avons passé la nuit ainsi comme des amoureux le soir de noce.

Nous allâmes prendre une douche ensemble avant de se séparer chacun avec son adresse dans l’espoir de revivre ces bon moments.

 

 

 

La semaine suivante….

J’ allais retrouver Hector lors d’un déplacement a Sedan ,le mail laissé sur mon pc me disait tant de choses….

espérant passer une bonne nuit.
Hector-1975.JPG

Lui tant que l’on lui suce sa bite !….ça lui suffi

Mais moi ce jour la j’en voulais plus ,son jus dans la bouche , aujourd’hui …..Non .

c’est en moi qu’il me le faut.

La partie est dure car il ne garde pas l’érection dés que sa bite touche mon anus elle ramollie .

Je due abandonner mon projet ,sa queue n’est jamais rentrée………

Alors je lui bourra le cul sans aucune préparation

Il hurlais de douleurs ,plus il gueulait ,plus je forçais ma pénétration. Puis le plaisir repris le dessus.

Il s’était mis a bander dure , je déculais vite fait et lui présentais mon cul.

Hélas pas de succès au contacte sa queue redevenait molle…….

Je le défonçais a nouveaux et le quittais a mon grand regret……

Je ne retournai  jamais le voir……..


1976

 

Les années passaient à une rapidité éclaire , je ne voyais plus tous mes amis avec qui j’avais passé d’agréables moments…..

, Anita perdit son papa , Je perdais mes cheveux , Anita me demande souvent de garder la barbe , pour lui faire plaisirs je la laissais pousser……………
Notre petite fille avait déja 4ans

. quelque mois plus tard ………… j’avais encore changer de boulot……..

Six mois après

un après-midi , je rentrais chez moi avec un copain de travail  Hubert ,
  1976-hubert.jpg nous discutions devant une bière tous en nous rappelant notre jeunesse ,nous avions beaucoup de points commun….. Tout en discutant on ne s’était même pas aperçu que l’on se mettait a poils , lui hétéro à 100% sur le lit , allongé il me suçait.

quand soudain , Anita rentra du travail ,un peu surprise elle ne dit rien , je demande à Hubert si ça lui dirait de baiser ma femme….

Je n’oserais pas …mais pour une fois si elle veut !…..

Après âpre discutions ,elle finit par accepter, quand elle fut déshabillé , 1976-simon.jpg

Et lui dit tu peux y aller , sa bite très fine entra sans forcer , je me mis a sucer le clitoris de ma femme , passant un coup de langue sur les couilles pendante ,parfois je lui mordillait , ils jouissaient tous les deux , Anita me suçait le gland ,poussait des gémissements de plaisirs , les va et vient d’Hubert se faisaient de plus en plus rapide ,quand il senti partir en lui le foutre montait ,il se retira brusquement et le jet tiède de sperme arriva sur ma poitrine accompagne du foutre de femme qui sa chatte bavait…….

Il s’excusa de l’avoir baiser si rapidement…..

Anita répondit qu’elle avait pris plaisirs ,car sa bite fine lui faisait plus de bien que la mienne(.trop grosse)……
1976-hubert-2.jpg


quelque mois après Hubert déménage en Moselle pour son nouveau travail et moi je quittais a nouveau mon travail , en retrouvant un autre assez vite , je déménageais pour allez vivre dans une petite ville a 20km ou nous avions acheter une petite maison a rénover , et notre petite fille rentra a l'école.







Je retrouvais du travail dans une coop. Agricole , je partie en région parisienne pour une formation pendant trois jours…… tous les soirs je sortais avec d’autres amis qui faisaient la formation avec moi et en particulier le beau black Moîse ,magasinier comme moi , mais lui dans une coop agricol du Cher.

Apres avoir passé la soirée dans les rues de Paris et en particulier Pigalles ,dans ce dédalle de boites de nuits qui nous échauffé l'esprit.



Mo--se-1976.jpg

Avec un beau petit cul , et devant une queue qui…hummmm!!!

je demandais à Moïse si demain soir il pouvait venir me retrouver dans ma chambre d’hôtel car j’aimerais le connaitre mieux et en toute intimité……

OK me répondit-il ..avec un grand sourire sur sa belle frimousse….

Le deuxième soir vers 20 heures Moïse arriva , accompagné à ma grande surprise d’un de ces amis black , " ça ne te dérange pas que Mohamed soit venue avec moi car je n’ai pas de voiture et c’est lui qui m’a amené "…..

Je répondis , n'ayant pas le choix…." Pas de problème ….je vais me régaler avec deux doigt de chocolat…"..

Nous éclations de rire tous les trois la soirée commençait ,connaissance et bla-bla allaient bon train

nous nous sommes retrouvé tous les trois la bite en érection .

nous amusions comme tous les mecs……

Mohamed s’ayant rappelé de la phrase que j’avais dite à son arrivée dit:

__ maintenant ta va manger deux doigts de chocolat !…

Mohamed me met sur le dos en travers du lit ,demande à Moïse " leve lui ses jambes et pose les sur tes épaules ".
 je sentais déjà sa bite prêt de ma rosasse .
Mohamed si mis genoux pour que la sienne se trouve en face de ma bouche, puis lança …." On y va…". Les deux sexes pénétraient en même temps …. La queue de Mohamed longue de 22cm s’enfonça dans ma bouche jusqu’à la glotte ,j’en perdais le souffle , remuant la tête de droit a gauche pour le reprendre , excitait encore plus Mohamed qui me défonçait la bouche de plus en plus fort Moïse en faisait de même dans mon culs ,sa queue fine mais longue également me faisait jouir ,mais les coups de butoir des deux blacks ma faisaient souffrir….. De plaisirs…… ils lançaient en cœur leur bouillant liquide crémeux l’un à l’intérieur de moi , l’autre au fond de la gorge …….

Mohamed me dit :

__" ça c’est du chocolat au lait !… ".
Je me dégageais ,prenais les deux pines en main , je léchais les gouttes qui perlaient dans la fente des glands……..

Je les remerciais de m’avoir fait passer une soirée INOUBLIABLE !!!!!

 

Les jours suivants ..ce faire du bien c‘est aussi du repos………….alors repos……

je rentrait a la maison heureux de retrouver mes deux amours à qui j’avais manqué …….fatigué des deux nuits passés a Paris…….

Le soir je ne manquais pas de faire l’amour avec Anita,

et après notre jouissance ,je léchais sa chatte avec ma barbe naissante jusqu’à ce que son foutre m’arriva dans la bouche…….

Ce soir la elle me mordilla les couilles en remerciement……

 

. Mais je ne lui avais pas raconter mes folles nuits Parisienne.

En Février je parti en voyage à Venise gagné et organisé par un fournisseur.

Je passais les deux journées à marcher , visiter toutes les splendeurs de cette ville dans l’eau……..quand je rentra à l’ hôtel le premier soir épuisé ,je monta dans ma chambre , me déshabilla pour prendre une bonne douche…. Je me délassais sous l’eau quand soudain un mec se glissa prés de moi sous la douche….

je ne dis mot….

sa langue sur mes petits seins d’homme poilus …..ses deux mains posées sur mes fesses , qu’il massait de ses longs doigts il descendait avec sa langue le long de mon corps, s’arrêta un instant sur mon nombril …. Puis sur le gland de ma queue qui n’avait pas perdu de temps pour se mettre au gard-à-vous…..malgré l’eau qui coulait …il me pompait ,aspirait mon gland ……avalait la bite….

Puis ce fut le tour des couilles une à une il les mâchonnait dans sa bouche…..

J’étais dans un état de sur-excitation , je faillis m’évanouir et je me retrouvais assis sur le fond de la douche haletant de désirs ….

Mais il m’abandonna en disant :

__ Il faut que j’aille bossé car le patron  c'est le propriétaire de l'hotel si tu veus demain vers 19h place saint Marco je suis sur la gondole 13!……… 1977-vitali.JPG

Puis sortie de la chambre ….restant ainsi sous la douche , je me branlais jusqu’à éjaculation ……….

Le lendemain soir je décidais de renter en gondole …..

je rechercha la fameuse gondole 13

Le gondolier un grand , bien élancé , se tenait debout une grande cape sur les épaule ,avec un grand sourir me dit " installe toi on vas a l'hotel st Pietro comme prévu ".

ça voie me fit penser a l'homme de la douche à l'hotel hier soir.

Une fois installé je pouvais distinguer sous sa cape sa bite, garnie de deux énormes couilles .

il prit le large vers la lagune ,immobilisa la gondole et venu vers moi.

il ne tarda pas à fouiller dans ma braguette ….

" J’ai envie de toi " me dit-il…..il m’enleva le pantalon….la surprise fut-elle que je me laissais faire….

je senti ses cuisses contre les miennes," tu bandes dur " me dit-il…

.OUI  Comme moi !!..

" alors je vais te baiser comme j’en ai envie…mets toi a quatre pattes ".

Et soudain un énorme pieu me défonce le cul , tous en suçant ses gros doigts qu’il avait mis dans la bouche

Pendant que mes yeux suivaient le mouvement des vagues sur la lagune éclairée par une belle lune…..

 

Il m’avait fait jouir …….

 

Je rentrais de ce voyage avec plein de souvenirs dans la tête , je racontais à Anita et à ma fille les

beautés de la ville…… 1977-venise.JPG



,mais je ne dit mot de mon escapade……

Quelque mois plus tard……..

Matinée inattendue et en plus jour de repos.

La journée avait bien commencée : je m'étais réveillé avec une trique d'enfer que j'avais honorée d'une branlette torride en me remémorant les scènes torrides que j'avais joué la veille au sauna avec quatre mecs super chauds ... Après une bonne douche, je commençais ma journée .

Sur mon répondeur, une jeune femme Virginie (copine de la mienne) me demandait de venir chez elle passer un agréable moment avec elle. Comme elle vivait non loin de là, je décidais de commencer ma journée avec elle.

En arrivant, je sonnais à la porte , que fut ma surprise : un jeune gaillard (21 ans environ) vint m'ouvrir..

 " bonjour Virginie ma demandé de passer ! "

" Guillaume , 22 ans, son mari   depuis 3 mois ".dit-il ,

 " Enchanté de te connaitre Guillaume ! "

Un large sourire illuminait son visage ; il étais très légèrement vêtu : un boxer blanc et un tee-shirt sans manches.

Il me dit « entre je t’attendais ».

D'habitude, je parviens à contrôler mes réactions face aux beaux mecs , mais cette fois-ci, la réaction de ma bite m'a trahi et, gêné, je faisais tout pour masquer la bosse entre mes jambes.

Il s'en est bien vite aperçu :

il était comme absorbé par ma queue !

Son regard ne parvenait pas à quitter cet endroit.

J'avais beau lui parler pour reprendre le dessus, il gardait les yeux fixé sur ma braguette.


De deux choses l'une : ou bien ce mec était un mateur (et rien qu'un mateur) ou bien il était bi et il m'envoyait un message...

Je décidais de prendre les devants : « tu as un problème ,m’a vue t’excite ,tu en veux »

Il ne me parut pas gêné par ma réflexion ; bien au contraire, je voyais devant moi son sexe se raidir et envahir progressivement son caleçon ...

Il me fit entrer dans sa chambre ,la Virginie (sa femme 24 ans) était a poile , ligotée et bâillonnée sur un chaise .

" Tu baise ma femme alors aujourd’hui c’est moi qui te baise "  me dit-il sèchement.

" Je n’ai jamais baisé ta femme  " répondis-je.

" Si mon copain d’en face (en montrant la fenêtre ) me l’a dit ,il t’a vu avec les jumelles ".

" C’est un menteur et tu le crois  " dis-je.

 " Oui et fait ce que je te dit!… "… Hurla -t-il !

" déssappe toi en vitesse et allonge toi ..... plus vite que ça! ".

je ne traîna pas et me trouva allongé en moins de deux, la bite dressée en l'air !

Il s'excusa prétendant que c'était la première fois qu'un mec le mettait dans un tel état ,et ajoute « surtout quand ce mec baise celle que j’aime." .

Un grand silence et……

Je lui demandais franchement " tu es gay ? ".

Il me répondit sechement " NON !  ".

et avoua toutefois avoir déjà été troublé par des mecs ... comme c'était le cas aujourd'hui.

Je lui demandais " tu souhaite franchir le cap ou te venger ? " .

il répondit fébrilement

" oui" et « peut être les deux !  ".

Sous le regard de Virginie, avide de contempler le spectacle sans pouvoir dire un mot.

" Je n‘ai jamais baisé ta femme mais si tu veux me baiser pas de problème fait le ".

Il fit sauter son tee-shirt et retira son boxer blanc .

Il est alors totalement déshabillé 1977-guillaume.JPG

Nous étions tous les deux nus ;

je chopais alors son pic et, après l'avoir manipulé quelques secondes, l'enfonçais au fond de ma gorge...

Il se tortillait de plaisir : le jeune hétéro découvrait le plaisir entre mecs ... et il n'était pas au bout de ses surprises !

C'est alors qu'il me redressa, qu'il me leva, me laissant sur le bord de son lit, il s'approcha et m'embrassa avec fureur et vint tâter ma bite avant de l'engloutir dans sa bouche. Le salaud suçait comme une bête!

On aurait dit qu'il était maître en la matière ....

je lui faisais perdre le souffle en lui enfonçant au maximum!

 

 

Puis il retourna a ce que lui voulais (baiser mon cul), alors je lui dit  « ok je suis a toi pour que tu me défonces , mais libère Virginie ».

Ce qu’il fit aussitôt.

Il me défonça le cul sauvagement , elle……….

elle me caressait les cheveux comme pour atténuer ma douleur puis se positionne contre lui et d‘une main descend le long de son échine déclenchant en lui des frissons qui se traduisaient par de violents coups de butoir ,elle alla jusqu’à sa raie ou elle effleura sa rosace..

" Touche pas a ça il doit rester vierge! ".

Il me décharge son foutre, puis bascule sur le lit épuisé.

Virginie qui ne tarda pas à reprendre les opérations en main.

" Tu as dépucelé ma pastille hier soir ,et bien c’est a ton tour maintenant!  ".

elle se mis a califourchon dessus sa tête , ses jambes bloquant ses bras et lui fit une sorte de danse au dessus de sa bouche, jusqu'à ce que sa chatte vienne rencontrer celle-ci !

Quel plaisir !

elle avait envie de le faire prendre !

Elle attrapa ses jambes et les écarta en faisant pression pour que son petit cul me soit offert et lança « Simon il est pour toi »

Je chopais du gel dans mes affaires, lui travaillais un peu la rondelle et le pénétrais sans souci avant de le limer à fond

Il gueuler si fort qu‘elle étouffa ses cris avec son cul et lui profitait d‘y mettre la langue entre deux gémissements.

Il pris un plaisir infini à ce jeu en se tortillant et se cabrant il disait « plus fort ,vas y a fond ,je n‘aurai jamais cru que c‘était si bon ».

 

Nous avons jouis en cœurs : je crachais de longs jets chauds pendant qu'elle se délectait de sa substance qui avait jailli sur son ventre ,avec sa langue

Il n'a pas voulu en rester là.

Moi, j'étais mort !

ce début de journée m'avait pompé beaucoup d'énergie (et pas que ça ...)!

Nous avons alors repris nos activités : toutes les positions y sont passées !

Pour une première fois, il n'a rien manqué !

A quatre reprises, nous avons éjaculé. Son sexe moyen ,(enfin comme le mien)

a craché des jets longs et fournis de foutre que nous avons adoré lécher.

Quel pied j'ai pris à dépuceler le mari de Virginie, qui avoue apprécier les plaisirs homos et être prêt à recommencer .

Il dit alors « Virginie tu pourra baiser avec lui  ».

Tu devrais l’inviter plus souvent .

" Guillaume STP "…dit-elle :

Excuse moi de te le redire « je n’ai jamais baisé avec Simon  mais comme tu insiste  je vais commencer tous de suite

 

Moi j’étais allongé sur le lit en érection maximum .

Elle pris ma pine ,la suça pour lui donner la raideur , puis elle s’assit sur moi et ma queue pénétra sa chatte bien humide par l’excitation 1977-virginie.JPG

Elle se déchaîne sur mon sexe qui lui a bien du mal a résister et lâche le peux de jus qui resté en réserve.

Puis contente d’elle et lui cria  «  Guillaume  ,maintenant tu pourras dire  :  Simon  A BAISE MA FEMME            »

 

 nous resterons de tres bons amis

Et moi sans le vouloir je fus infidèle pour la première fois depuis 7 ans.

1977 1977-albert.jpg

Par simon - Publié dans : ma vie
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