lesbohommes

Mardi 25 mars 2 25 /03 /Mars 17:11

Ce matin , jour de Pâques malgré un temps incertain, j'ai décidé d'aller faire un jogging .

Je prévois un circuit de 8 km qui devrait me permettre de rentrer assez tôt pour prendre une douche et préparer mon repas , mon épouse étant absente cause hospitalisation ,

Mes prévisions étaient erronées. Sur les coups de 10 heures, au retour j'était à près de 2 km de chez moi, il est évident que je ne vais pas tarder à me faire saucer copieusement. Comme je suis dans mes réflexions un autre mec me rattrape. A peine m'a-t-il dépassé que la pluie se met à tomber avec force, une vraie pluie d'orage, soudaine, violente. En un instant, je suis trempé jusqu'aux os. Mon compagnon de route est dans le même état que moi bien évidemment et me précède de quelques foulés..il ralentit et je me retrouve a sa hauteur

----  un petit effort la maison au bout du chemin , c'est chez moi !

--- merci monsieur  ,car courir sous une pluie battante, même si on aime , cela n'a rien d'agréable !

--- Mais aujourd'hui, on est  bénis  garçon

Bien que sa maison soit proche, nous arrivons trempés et frigorifiés car cette pluie est glaciale. Une fois à l’intérieur, je lui indique la salle de bain et lui prête un peignoir. De retour dans la salle commune je lui sert un thé bien chaud et le fait asseoir sur un confortable canapé. je le laisse  seul, confortablement installé, au chaud, au calme et va à mon tour me doucher. 

 

 Ma douche prise, je reviens, m’assied à côté de lui.

---C'est bon d’être au chaud !

---Oui, c’est clair ! Je me voyais mal faire le reste du parcours sous ce déluge !

---ton prénom c'est quoi ? moi c'est Simon 62 ans

--- enchanté moi j'ai 20 ans et mon prénom est Hérvé

----T'habites loin ? On peut se tutoyer ?

---Oui bien sûr. J'habite à la cité des claires chênes.

---Tu comptes rentrer comment chez toi ? Tu peux téléphoner pour qu'on vienne te chercher si tu veux car je ne pense pas qu'il soit prudent de rentrer avec ces vêtements trempés. C'est un coup à attraper la crève !

---C'est gentil mais il n'y a personne chez moi. Je suis étudiant a Metz la semaine et vit seul.

---Je vois. Reste à la maison, moi aussi je vis seul cette semaine mon épouse est hospitalisé. Tu ne me déranges pas et en plus, ça me fera de la compagnie.

---Je ne sais si je dois accepter.

---Bien sûr que si ! De toute façon je vais laver nos habits et demain matin ils seront secs et tu pourras repartir à moins que quelqu'un t'attende…

C'est avec un large sourire plein de sous-entendus que je lui avait dit  ceci.

 Il me confirme "  je vis seul et que personne  m'attends ni aujourd'hui ni demain pas plus qu'après-demain ".

  je me lève, va mettre la machine en route et chercher dans le frigo de quoi nous faire un repas à la bonne franquette.

Bien calé dans ce canapé, ses paupières se font de plus en plus lourdes. Je le sens épuisé et agréablement bien dans ce lieu serein, chaud et accueillant.

Attaché a faire la cuisine, je sens une présence près de moi.

C'est Hervé qui est venu sans que je l'entende. Il est vrai que pieds nus sur ces tapis de qualité, en peignoir de bain, il ne fait aucun bruit en se déplaçant.

Pris par mon occupation, il me faut un moment pour réaliser qu'Hervé est tout près de moi.
Sa main effleure ma cuisse, son bras est passé derrière mon cou et son visage touche presque le mien. Surpris, je sursaute, ai un mouvement de recul. Le rouge me monte aux joues. Dans ce mouvement brusque, spontané, irréfléchi, mon peignoir s'ouvre offrant à sa vue mon intimité.

 Je deviens pour le coup cramoisi, tente de parler, . Bloqué, aucun son ne sort de ma bouche tandis qu'Hervé se rapproche encore plus près avec ce regard propre au chasseur qui sait tenir sa proie.

Je tente de m'écarter un peu plus lorsque je m'aperçois que son zob est raide comme la justice, quasiment à la verticale. Il est clair que son corps a un grand besoin d'être calmé, aimé, satisfait.

 en plus Il y a une bonne semaine que je n'ai pas joui !

Hérvé ne peus cacher son mat qui pointe  et ma dit " je ne pratique la masturbation que lorsque je ne peux plus faire autrement, j'ai souvent des érections spontanées ,et lorsque comme aujourd'hui je suis en chaleur, il n'est pas rare que le frottement de mon zob entre mes cuisses, lance ma purée sans autre action. Je sais que c'est idiot et que c'est une façon déguisée de me masturber mais je trouve cela moins salissant moralement que de faire ma lessive à la main. Question d'éducation certainement ! Oui, j'ai envie de faire l'amour ! "

---Cela se voit, Hervé je  vois.

---Mais le faire avec un homme, cela m'a rarement traversé l’ esprit, et lorsque cela est survenu j'en ai rejeté l'idée, quoique parfois…

C'est dans cette confusion d'esprit que je le sens se coller à moi, approcher sa bouche de la mienne et y poser un bisou. Fatigué physiquement, épuisé moralement, confus, troublé et, je dois bien l’avouer, excité comme il n'est pas possible, je ne le repousse pas.

Sentant ma faiblesse, mon trouble, mon indécision, sa main se pose sur ma cuisse, sa langue force ma bouche qui ne présente aucune réelle résistance.

 Nos salives se mélangent alors que sa main gagnant de l’assurance s'insinuent dans mon dos, sur mes épaules, sous mon peignoir largement ouvert maintenant. L'autre main, sur ma cuisse  remonte pour atteindre son but : mon zob qu'il commence à caresser.

 Je me sens à la fois honteux et heureux a mon age avec Hérvé qui pourait etre largement mon fils.

J'en rejette l'idée mais son contact, cette douceur me plaist, me font un grand bien.
Cette main sur mon zob, son lent va-et-vient, me procurent des sensations divines. Je défaille presque tellement tout cela est bon. Il défait ma ceinture, dernier rempart de mon habit et me voilà nu entre ses bras. Il me caresse la poitrine, lâche ma bouche pour me mordiller les tétons, les lécher, les embrasser. Je ferme les yeux, la tête rejetée en arrière pour mieux respirer. Quand je les rouvre, il a enlevé son peignoir. Il se lève, m'attire à lui. Passif, obéissant, apathique, je me lève comme dans un rêve. Il me prend par les fesses, me plaque à lui.

Cette position debout lui redonne du tonus. Il me semble qu'il  vient d'accepter ce qu'il  considérait comme l'inacceptable : faire l'amour avec un homme !

 Je suis très chaud, en manque, mon corps exige ce que mon esprit a du mal à accepter encore totalement. Plaqué à lui, c'est moi qui approche ma bouche de la sienne pour l'embrasser. Puis je descends sur son cou, l'embrasse, le lèche. L'envie de lui, de n'importe qui peut-être me guide, me fait agir, réagir enfin ! Je me lâche, mon besoin brise mes dernières résistances. Je me penche alors, le lèche, l'embrasse sur la poitrine. Le bruit de nos respirations se fait de plus en plus sonore. Tandis que j'arrive à son nombril, je réalise que j'atteins la limite des jeux enfantins. Plus rien ne peut m'arrêter maintenant. Je suis en transe, en rut, c'est mon animalité qui prend le dessus ! Je me laisse tomber sur les genoux. Lui me laisse faire, savourant certainement mes caresses mais surtout sa victoire sur ma timidité, mes craintes, mes complexes, mes interdits. Je sens contre ma gorge, son zob dur comme de la pierre. Il est là, tressautant, une goutte de pré-sperme à l'extrémité du méat. Je le saisis et sans hésitation le prends dans ma bouche. Je le branle lentement. Je lève les yeux. Il me sourit reconnaissant, satisfait, heureux. Je lui caresse les bourses. Sa respiration s'accélère. C'est lui maintenant qui ferme les yeux, cherche un nouveau souffle. Je me relève, le prends dans mes bras et lui plaque un baiser tout aussi passionné que mon éreinte.

  • Je savais que tu étais un garçon merveilleux. Aime-moi fort. J'ai envie, très envie.

Soudain, il me semble aussi troublé que moi. Nous sommes sur la même longueur d'onde, en phase. Il connaît les mêmes problèmes que moi, les mêmes envies, les mêmes frustrations. J'en suis sûr ! Vivre seul, tout seul, n'est pas bon pour la santé. Ca peut rendre fou ! Comme nous par exemple en ce moment. Ma décision est prise,

                                                                          je vais faire l'amour avec un minet ! 

                      Il vas avoir un rapport sexuel avec un papy!

Il vais m'aimer pour de vrai ! Peut-être pas par sentiment, mais par un besoin naturel, irrépressible.

                          Toute son éducation, toutes ses résolutions, toutes ses expériences, plus rien n’existe.

 Faire tout ce dont son corps a envie, sans tabous, sans interdits.
                                                                                               Aimer simplement. Aimer et prendre son pied !
                                C'est un besoin, pourquoi pas avec un papy ?

IL redescends et s’agenouille. Prends mon zob, le lèche avec tendresse .

 Je tente de lui communiquer mon plaisir. Ensuite il s'occupe de mes glaouies, de mon gland sur lequel il dépose de tout petits baisers. Ses mains parcourent mes fesses, l’arrière de mes cuisses. Il revient à mon zob, l'avale, vais et viens, prend garde à ne pas lui faire mal avec mes dents. Il joue avec mon gland, ma hampe. Il s’efforce de garder un rythme régulier pas trop rapide.

Mes mains  caressent ses cheveux, lui prennent la tête, lui poussent plus avant. Il a du mal à avaler entièrement son zob et se branle dans ma bouche pendant de longues minutes avant d’exploser.

Son sperme chaud se répand sur ma langue, contre mes joues, coule au fond de ma gorge, déborde sur mon menton. J’avale. Nettoie son pieu, son gland méticuleusement. Il se laisse tomber sur le canapé. Je m'allonge à côté de lui, l’embrasse tandis qu’il me branle lentement. De sa main libre, il me caresse les fesses, se focalise sur l’entrée de mon anus. Après quelques minutes de ce traitement, je jouis à mon tour. Nous sommes épuisées, heureux, apaisés.

---J'ai adoré.

---Moi aussi.

---Tu sais ? C'était la première fois avec un papy !

---Vrai ?

---Vrai !

---Ca me fait tout chose. J'espère ne pas avoir été trop brutal, assez prévenant !

---Oui, t'as été super ! . Je suis heureux.

--- ah! putain j'avais vraiment besoin d'une bonne vidange

---Mais dis-moi, tu as déjà fait l'amour quand même ?

---Non !

---Mais les filles ?

---Non ! Des flirts, quelques pelotages de poitrines, quelques baisers mais rien de plus.

---Alors t'es puceau ?

---Oui, complètement. Et c'est toi qui m'a dépucelé.

---Oh, non ! Pas encore ! Mais si tu veux, ce sera avec plaisir !

---Tu m'as fait gerber, ce que personne ne m'avait encore fait. Pourtant…

---Oui, c'est vrai, mais dépuceler c'est plus que ça !

--- ...........… ?? (pas de réponse)

---Tu veux que je te montre, nous sommes dans une position idéale.

---Pourquoi pas ? Mais fais doucement, je suis vierge tu l'as compris ?

---Bien sûr ! Je vais te faire connaître un grand moment !

---Tu fais doucement !

---Oui

Sur ce "oui" dit dans un murmure je me dégage, le fait mettre sur le ventre commence à lui caresser le bas du dos, les fesses. 
 Je lui  introduit un doigt dans ma raie, presse légèrement sa rondelle tandis qu'avec ma langue je déclenche en lui une vague de plaisir aussi puissante qu’inattendue. Ma salive s’infiltre en lui.

 Mon doigt, si j'ose dire, creuse son trou en ce lieu qui se dilate lentement. Une érection un peu douloureuse se fait sentir sous ces sensations inconnues, intenses. mon doigt le pénètre.

 Quelque chose en lui refuse cette intromission, il se contracte.

 Alors Hervé, se retire, je lui dis "  décontracte toi,  ne pense à rien, laisse faire,  c'est normal la première fois et  nous avons tout notre temps. "
 --- si nous n'y arrivons pas maintenant, nous réessaierons plus tard.

 je fait preuve d'une patience exemplaire.
 Hérve fait des efforts pour être le plus décontract possible, car au fond de moi, de minute en minute, l'envie d'aller plus loin augmente. Mon doigt est maintenant entièrement dans son trou et mes mouvements de "crochet" contre la prostate sont des révélations de plaisirs jamais connus et fantastiques. j' entre, ressort, 'écarte les fesses et dans son trou  s'ouvre de plus en plus je crache ,huilant de plus en plus profondément.
C'est alors que lui dit "  Ne bouge pas, je reviens. "

Il est allongé sur ce canapé, détendu, décontracté, expectatif, en attente de la suite.

  herve_2008.jpg Jamais en entrant ici, il n'aurais cru faire autant de découvertes, avoir autant de plaisirs et surtout découvrir la joie de faire l'amour autrement qu'en solitaire. Durant cette pause, courte de fait, il medit "j'ai l'impression que mon corps s'ouvre de plus en plus . Je suis entre réalité et rêves, dans un monde fait de bien-être, de douceur, d'amour ".

 Tandis que  rêve éveillé Hervé  je reviens  et reprend son dépucelage où je l'avait laissé.
 Mais cette fois, c'est une pommade qui a remplacé ma salive et tout change du point de vue des sensations. mon doigt entre, ressort, tourne, coulisse dans ses boyaux sans aucun frottement. C'est délicieux ! Non ! Il n'y a pas un mais deux doigts maintenant qui font le voyage dans son intimité.
 De constater ceci me remplit d'une joie que je ne saurai décrire. C'est comme une victoire, une récompense pour tout le travail préparatoire que laisse  faire Hervé ,avec douceur et patience, la fin d'une attente quasi inconsciente . Longtemps encore je le doigte. Dans le silence, le calme de cette pièce, sous mes caresses intimes Hervé, petit à petit , perds la notion du temps, de la réalité. Je le baigne dans une douce euphorie. 

 

Soudain j'ai cessé de travailler sa rondelle. je me redresse, m’allonge sur lui.

Comme il réagis à ce changement qui le sort de sa léthargie, je lui lèche une oreille en lui chuchotant des mots doux, des injonctions à rester calme. je lui dis " je t'adore, tu es beau ,tu vas connaître les joies de ne  plus  faire qu'un avec moi.
Tout en disant ceci, je m'écrase un peu plus de mon poids et je sens distinctement mon zob prendre la place de mes doigts et commencer son intermission.

Première réaction : il serre les fesses.

D'autres chuchotements pour lui demander de rester calme, décontracté.

JE  fais ce que je peux, dit-il  mais c'est d'abord une douleur plus qu'un plaisir que je ressens. Je commence à regretter d'avoir accepté cette expérience que je désirai tant.

A peine ses pensées apparaissent que de nouvelles sensations viennent les chasser.  herve2_2008.jpg
Je m'enfonce en lui, ses boyaux s'ouvrent devant mon zob .

 C'est un feu d'artifice. Plus de douleurs, plus de regrets ! Hervé participe aux vas et vient avec moi , lentement, profondément, il ne sais plus où il  habite, et ce qu'i ressens précisément. 

 Je réagis bestialement. son corps  m'appartient . Nous ondulons en cadence. Nos respirations sont profondes, haletantes, en rythme l’une avec l’autre. Je glisse mes mains sous mon bassin, le relève et c'est en position de la levrette que je le baise. Il gémis de plaisir.

Je sens que ce plaisir augmente encore et encore tandis qu'Hervé complètement libéré me réclame plus en plus d'énergie. Je voudrai que ce moment ne s'arrête jamais.

---arrete Simon je voudrais aussi te prendre

ma main pris la bite d"Hérvé et le branla energiquement pour la faire raidir comme de la pierre et dans une souplesse majestueuse je me retrouva sous Hérvé

  Hervé entre entièrement en moi et je voudrais qu'il y reste pour toujours ! 
il va éclater, il est énorme, immense, douloureux ! Nous sommes en sueur.
Je gémis sans retenue pousse des cris d'encouragement pour qu'Hervé me baise sans fin.
Qu'il tienne ! Mon dieu, qu'il tienne ! Que jamais ce plaisir, ce bonheur ne cessent ! Il dure, il dure, cesse quand Hervé pousse des cris sauvages, libérateurs et que je sens pour la première fois son liquide lancé avec force, par saccades se répandre en moi, prendre possession de mes boyaux, emplir mon ventre.
Il envoie son yop sans contrôle, sans retenue
 Ma réaction ne se fait pas attendre. . Je ne sais plus qui je suis, où je suis. Je ne suis que bonheur, plaisir, satisfaction, épuisement.
 Hervé se couche sur moi, nos corps se colle ,et me prend dans ses bras. Nous nous écroulons et restons  ainsi de très longues minutes enlacés, sans mot dire !

Ce soir je couche avec Hervé, nous dormirons ensemble.

A suivre…

Par simon - Publié dans : ma vie
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Dimanche 23 mars 7 23 /03 /Mars 12:39

Apres avoir lu l'article précédent ,j'ai demandé a mon pépère le droit de dévoiler mon secret sur son blog ,car lui seul le savait et le partageait .
je sais que lui aussi a mon age avait compté beaucoup de l'aide d'une personne adulte pour dévoilé son homosexualité.ce qui n'empêchera de se marié et d'avoir des enfants et le remercie car je ne serai pas là.
Il avait réussi alors pourquoi pas MOI  donc voici......


 je commence a me poser des questions.

Je sort avec des filles, je suis bien avec elles. On discute de tout mais en copains, je suis pas interessé d'aller plus loin

Par contre les garçons me font un autre effet. Je me met à bander rien qu'en regardant un mec, ses fesses ou sa ptite bosse a travers le jean's.

J'ai compris tres vite que c'etait les mecs qui m'attirent.

Je rêve au grand Amour....

Quelles désillusions.....

Je n'imaginais pas être homosexuel.

La peur que l'on le découvre, que l'on remarque mon regard..., mes émotions...,

et puis toutes les conneries qu'on raconte pour paraître comme les autres...

J'aurai voulu être comme tout le monde...

et puis vient le jour, ou le secret te pèse, alors je me dévoile...

et j’ apprend des autres, ce qu'est la Haine, l'homophobie...

je récolte les injures, les humiliations, les sobriquets,

Les copains se détournent , je deviens la risée de ta classe.

Seules les filles sont la pour prendre ma défense...

L'humiliation fait partie de moi, je chiale en espérant que personne ne le découvre...un "vrai" mec lui ne pleure pas...

On me chahute..., on ne me respecte plus, on m'enlève ma dignité...

et pour finir on me détruis.

Dans le village, ou je vis avec mes parents, personne ne connait mon histoire, d'ailleurs je ne parle avec personne.

Mon amitié je ne peux plus la donner, en tout cas pas pour l'instant...,

je n'ai plus confiance.

Je sais pertinemment que ce n'est pas bien de n'être que derrière son écran d'ordinateur...

Je sais aussi que je dois me faire aider par un psy. mais pas maintenant...

Il faut en attendant que je fasse une thérapie par moi-meme, c'est pour cela que je m'ouvre a vous...

Je sais que je ne suis pas coupable de ce qui m'est arrivé, enfin j'essaye de m'en persuader...

j'en parle avec mon pépère , lui m'a compris

et c'est pour ça que j' en parle aujourd'hui sur son blog

 voici ma chanson préférée je la dédicasse à Firmin_2008.jpg

premier pas

j'ai modifié un peu le texte ...

 

Le premier pas
J'aimerais qu'

il fasse le premier pas
Je sais que cela ne se fait pas
Pourtant j'aimerais
Que ce soit
lui
qui vienne à moi
Car, voyez vous, je n'ose pas
Rechercher la manière
De
le voir, de lui
plaire
L'approcher,
lui
parler
Et ne pas
le
brusquer
Lui
dire des mots d'amour
Sans savoir en retour
Si
il
aimera
Ou refusera
Ce premier pas.

Le premier pas
J'aimerais qu'
il
fasse le premier pas
On peut s'attendre longtemps comme ça

On peut rester
Des années à se contempler
Et vivre chacun de son côté
Je

le rencontrerais
Au bas de l'escalier
Puis comme tous les jours
Je lui dirai bonjour
Seulement cette fois
il
me prendra les bras
Me conduira dans sa maison
Où nous ferons
Le premier pas d'amour
Dans son lit jour après jour
Il
me dévoilera son corps
Me donnera tous les remords
De n'avoir pas dit plus tôt
Le premier mot

Le premier mot
J'aimerais qu'
il
dise le premier mot
Le nuit j'en rêve
Et c'est idiot
Si,
il
voulait
Seulement me faire signe tout bas
Alors je ferais je le crois
Le premier pas

 

Par simon - Publié dans : histoire racontée
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Dimanche 23 mars 7 23 /03 /Mars 12:12

une pensée d'un homme marié ou BI


Etre gay
c'est aimer une personne semblable à soi-même
Physiquement, mais différent pourtant
Sans savoir pourquoi ni comment
Un homme qui aime un autre homme
Une femme qui aime une autre femme

Etre gay c'est comprendre sa différence
S'assumer et s'accepter
Etre conscient qu'il n'y a pas que la "normalité" dans la vie
Etre gay c'est surtout aimer
Aimer l'amour, aimer le corps et l'âme de l'autre


Etre gay c'est avoir une sensibilité que la plupart n'ont pas
Utiliser cette sensibilité pour faire le bien autour de soi
Et ainsi arracher cette étiquette qu'on nous colle sur le front

Mais être gay c'est aussi subir les injustices
Les moqueries et les sarcasmes
C'est affronter des regards surpris
Malveillants ou simplement interrogatifs

Etre gay c'est avoir une grande force intérieure
Celle-là même qui nous amène, parfois
A réagir violemment malgré nous

Etre gay ce n'est pas préférer
Ce n'est pas un choix que l'on fait
Cela fait parti de nous
C'est ce qui nous rend entier

Etre gay c'est appartenir à une communauté
Marcher dans la solidarité

Etre gay en un mot
C'est aimer Etre gay c'est aimer une personne semblable à soi-même
Physiquement, mais différent pourtant
Sans savoir pourquoi ni comment
Un homme qui aime un autre homme
Une femme qui aime une autre femme

Etre gay c'est comprendre sa différence
S'assumer et s'accepter
Etre conscient qu'il n'y a pas que la "normalité" dans la vie
Etre gay c'est surtout aimer
Aimer l'amour, aimer le corps et l'âme de l'autre


Etre gay c'est avoir une sensibilité que la plupart n'ont pas
Utiliser cette sensibilité pour faire le bien autour de soi
Et ainsi arracher cette étiquette qu'on nous colle sur le front

Mais être gay c'est aussi subir les injustices
Les moqueries et les sarcasmes
C'est affronter des regards surpris
Malveillants ou simplement interrogatifs

Etre gay c'est avoir une grande force intérieure
Celle-là même qui nous amène, parfois
A réagir violemment malgré nous

Etre gay ce n'est pas préférer
Ce n'est pas un choix que l'on fait
Cela fait parti de nous
C'est ce qui nous rend entier

Etre gay c'est appartenir à une communauté
Marcher dans la solidarité

Etre gay en un mot
C'est aimer 

Etre un homme BI

C'est aimer 

C'est partager l'amour

Par simon - Publié dans : histoire racontée
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Mardi 18 mars 2 18 /03 /Mars 15:18
ce soir chez moi beaucoup d'invités , car  en ce jour de St Patrick  ,je suis entouré de ses meilleurs amis , lui qui a son anniversaire  ( 22 ans )et sa fête en même temps.

mais voila Patrick est sorti chercher son nouveua copain et n'est toujours pas revenu , ses 5 copains boivent les wisky  et la bièrre que je leurs ai mis a disposition ,les discussions vont bon train et les esprits  s'échauffent,




pokerboyz_1.jpg  

Claude 20ans  dit :

 -- et si on se faisait un petit poker ?,

 --ok mais on joue quoi? replique Alain tous juste 18 ans.
 -- le perdant se fait sodomiser
 --ok  je prend le risque










les trois autres passent dans la piece voisine   chezpapy.jpg    

Fabrice 23 ans demande a son ami Pierre 23ans

--et si on  dépucelé Gérome 25 ans ?, 

Gérome hétéro ,marié ,père de 2 jumeaux etait venu car Patrick était son meilleur copain.

-- essaye je te suis s'il marche   






Fabrice se leva et s'inclina pour descendre ouvrir la fermeture du pantalon de Gérome qui ne fit rien pour l'empècher   
chezpapy1.jpg

Pierre compris de suite que ça allait fonctionner et se mis a masturber Fabrice a travers de son pantalon tous en dégraffant la ceinture.




Sans un mot Gérome se laisse faire





pokerboyz_2.jpg   :


par contre Claude  au poker  ça marche fort
 

si ça continue  je vais etre a poil dit le jeune alain

a qui  une demi heure plus tard  il lui reste plus que le slip








ça commence a chauffer pour Gérome chezpapy2.jpg








Fabrice suce Gérome et celui-ci a pris volontier la bite de Pierre en bouche

pokerboyz_3.jpg  Alain vient de perdre son slip , intégralement a poil  il lance 
ben je sais pas c'est peut etre mon jour de chance Claude

--oui et tu sais ce qui t'attend ?

-- bien sure je vais me faire péter la rondelle

--tu as fais espret de perde?

--honêtemant OUI depuis que j'attend que tu me sautes

--salop et bien tu vas dérouiller.......


par contre Gérome   Y prend gout  , undefined  

Pierre et Fabrice ne pensaient jamaisqu'i etait un super suceur

pokerboyz_4.jpg   le gagnant  Claude prend sa récompense

ah! ouiiiiii encore tres bien encore encore tu ma dépucelé et j'ensuis fière dit Alain


chezpapy4.jpg
Gérome suplie  
alors vous allez me le donner votre venin?
passant d'une bite a l'autre sans relache








qui jutera le 1er?
les pantalons sont tombé chezpapy5.jpg
Gérome l'hétéro de service maintient la cadance


Fabrice prépare un préservatif  et dis a Pierre
-- il est bien chaud on le baise?

NON NON hurle Gérome pas ça.


--D'accord dit Pierre moi je veus bien me faire baiser
Fabrice encula Pierre  et Gérome viangea dans la bouche de Fabrice.

Gérome promis que la prochaine fois il essayera la sodomi car dit il

marié oui mais je crois que vous les mecs vous m"avait fait découvrir une autre manière d'aimer


chezpapy7.jpg

pokerboyz_5.jpg  Alain dit :
t'inquiete tu l'auras ta revanche.







Ca  a donner faim tous ça



alors le gateau d'anniversaire il arrive?
  
--ben oui mais Patrick n'est toujours pas de retour leurs dis-je
le portable sonne
--ah! c'est toi , mais qu'est-ce-que tu fou ça fait 2 heures que l'on t'attend?
--je suis de retour depuis longtemps
--tu te fou de la gueule de nous tous là
--Non tonton je suis passer par la porte de derrière pour ne pas déranger ils avait l'aire de bien s'amuser.
--et ton nouveau copain il est ou?
-- avec moi tonton
--ou avec toi?
-- DEVINE?
alors je dis a tous ces copains , la meilleur vous devinerez jamais ou est Parick ? suivez moi?
je me dirigea avec c petit monde a poil vers la chambre et en ouvrant la porte  je leurs cria  ' a l'abordage ' surpris_au_lit.jpg  et la fête repartit de plus belle.........
Par simon - Publié dans : ma vie
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Samedi 15 mars 6 15 /03 /Mars 17:27
ce soir on joue chez fabien 3.gif au ballons ou encerclé c gagné 13.gif


















dans les chambres de la prochaine colonie de vacances  les sapeurs pompiers font la fête 

    (histoire sans paroles ,les image parlent d'elles même)
soir-e.jpg             soir-e1.jpg
 

avoir le feu ils connaissent
soir-e2.jpg   
 le champagne ça aide soir-e3.jpg

un bon nectard pour les gourmands soir-e4.jpg    soir-e6.jpg

la jeune école  découvre les biens faits

soir-e7.jpg    soir-e8.jpg     soir-e10.jpg jusqu'a l'extreme

elle est pas belle la vie en caserne ,
 

les jeunes aujourd'hui n'ont pas connu le service militaire et ne savent pas ce qu'ils ont manqué parole d'ancien
Par simon
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Jeudi 13 mars 4 13 /03 /Mars 15:10
comme  précédament  mon petits fils amateur de beaux corps d'hommes ma fait faire quelques poses dehors .
BRRRRRRR!!!! en mars ça caille , il ne fait que 8°. 
A ses yeux je suis toujours tres sexi , a vous de dire  ce que vous en pensez par vos commentaires si c'est vraiment le cas.
000_1048.jpg  














VOICI les commentaires de Karim


pas mal le jouet" Image3.jpg












et ce petit cul hummmmm 000_1049_a.jpg











ah !! avec mes photos,
 moi son petit fils ça lui donne des effets 2008_1014.jpg
 






elle est pas belle la vie? 

vivement ma majorité que je puisse en profiter

bisous mon cher papy
Par simon - Publié dans : présentation
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Jeudi 13 mars 4 13 /03 /Mars 13:36

Plan à 3 avec un petit hétéro une idée de mon amant 

Ce week-end  9 mars jour d’élection municipal mon amant Sébastien me demande de l’accompagner chez son beau frère.

Quand nous arrivons, c’est Fabrice et chien qui nous accueillent.

Odile n’est pas c soir car elle est de garde toute la nuit.

Tant mieux  "  me dit Sébastien on va un peu pouvoir profiter de Fabrice, voir ce qu’il a dans le ventre, et qui sait, dans le pantalon ! et ajoute

Oui, je ne m’en cache pas, Fabrice me plait depuis la première fois où je l’ai vu. Physiquement il est exactement mon type (après toi bien sur ), plutôt petit, mince, les yeux bleus, les cheveux châtain clair, une vraie petite crevette ! D’ailleurs j’ai d’abord pensé qu’il ne pouvait pas être hétéro. Non pas qu’il soit efféminé, mais physiquement il a un truc qui ne colle pas avec son hétérosexualité… Et pourtant il parait que c’est un chaud et qu’il se tape tout ce qui a une chatte entre les jambes…même si maintenant qu’il est avec sa copine il est calmé parait-il ! "

--tu as raison Sébastien fait ce que tu as envie.

--merci Simon , tu es un amour ,donc, je vais en profiter pour en savoir un peu plus. Je suis sûr que Fabrice a déjà couché avec un garçon, ce n’est pas possible autrement ! Moi quand j’ai une idée en tête…

Nous prenons l’apéro et discutons de choses et d’autres. L’alcool facilite la conversation.

Oui il faut dire également que se Fabrice me plait beaucoup physiquement

C’est un petit " jocker " comme dit Sébastien, un petit plaisantin qui ne cesse d’amuser son monde et j’avoue que je n’aime pas trop ce type de mecs.

Après l’apéro, Sébastien profite pour s’isoler avec Fabrice dans la cuisine sous prétexte de l’aider à préparer le repas.

Moi je reste sur le canapé et observe tout en écoutant le débat.

Il le branche un peu cul et essaye de l’allumer pour voir comment le petit beau frère hétéro va réagir à ses assauts de prédateur.
-" Tu ne vas pas me dire, Fabrice, avec toutes les filles que tu t’es tapé, que tu n’as jamais pensé à essayer avec un mec ? Pour voir ?
- Non ! T’es dingue, je ne suis pas un PD moi !
- Mais personne a dit que tu étais PD, je te demande simplement si tu n’as jamais fait touche-pipi avec un garçon ??? -C’est pas pareil que d’être attiré par les garçons quand même !
- Pourquoi tu me demandes un truc pareil aujourd’hui ?
- Ben parce que je te trouve plutôt mignon , et que je pense que je ne dois pas être le seul mec à le penser !
- T’es con ! Je suis petit et tout maigre, exactement l’inverse des mecs qui font la couverture de Têtu et qui vous font rêver vous les PD !
- Parce que tu t’intéresse à Têtu toi ? Là t’es vraiment obtus ! Les mecs musclés moi ça me fait débander direct et je ne pense pas être le seul dans ce cas. Il faut arrêter avec les clichés…Enfin revenons à nos moutons et réponds plutôt franchement à ma question, tu as essayé avec un garçon ?
- Pfeu…
- Aller, avoue, au moins une petite branlette avec un cousin ou un ami quand tu étais ado ! Qui n’a pas fait ça !
- Non jamais, t’es obsédé ou quoi ?
- Bon bon, je te crois. Mais alors dans ce cas dit moi si tu as au moins déjà eu envie d’essayer ???
- Je couche qu’avec des filles bordel !
- T’énerve pas, si tu t’énerves c’est qu’il y a un truc pas clair dans ta tête ! Je suis bien placé pour savoir de quoi je parle, j’ai couché avec des filles pendant trois ans avec de décider que je préférais les mecs !
- Ah bon ??? T’as fait ça , toi ?
- Ben oui tu vois, on n’est pas si différent en fait !
- Sauf que moi je ne couche pas avec des garçons maintenant…et c’est vrai que puisque tu tiens absolument à le savoir, j’ai souvent eu envie d’essayer…Mais c’est juste parce que j’aime le sexe et que je suis curieux…
- Ben tu vois, ce n’était pas si difficile à dire. Et tu n’es pas le seul hétéro curieux, je te rassure ! La plupart des hétéros qui sont à l’aise avec leur sexualité ont été curieux un moment ou à un autre. Après ils n’osent pas tous passer à l’acte. C’est idiot ! "

Sébastien continue la conversation commence à bien chauffer Fabrice en lui parlant cul. Puis tente une approche plus directe. fabrice_1.jpg

Fabrice est devant la cuisinière à remuer la sauce des pâtes avec une cuillère en bois. Sébastien est juste derrière lui et pose une main sur ses hanches. IL s’attend à le voir sursauter, voir même s’en coller une !

Mais non au contraire, il se décale imperceptiblement pour coller son petit cul contre la bosse du pantalon de Sébastien bien visible.

Sébastien l’embrasse dans le cou. Il se laisse faire, c’est étonnant, il n’a bu que deux verres de Whisky pourtant !

Fabrice finit par réagir :
"-Et Simon ? S’il débarque dans la cuisine pendant que t’es en train de me ploter le cul !
- T’inquiètes pas pour lui, il est au courant que j’allais essayer de te dragouiller…mais je ne suis pas sûr qu’il puisse se douter que cela ait aussi bien marché !
- Putain mais c’était prémédité !
- Non Fabrice, Simon a toujours su que tu me plaisais, et ça depuis la première fois où je t’ai vu. Et il savait que si j’en avais l’occasion je tenterais ma chance !
- Putain vous les PD vous être sacrement gonflés quand même ! Tu me dragues quasiment devant ton mec !
- Ne t’inquiète pas, si tu as les couilles de passer à l’acte, là ce soir c’est le moment où jamais, Simon participera à la chose ! Je ne crois pas que tu sois son genre, mais t’inquiète, je m’occuperais bien de toi pendant que lui s’occupera de moi.
- Tu me proposes un plan à trois maintenant ?
- Aller ne fait pas ta vierge effarouchée ! Tu ne vas pas me dire que tu n’as jamais couché avec deux filles en même temps ?
- Et bien non jamais ! Je suis désolé de n’être qu’un pauvre petit hétéro un peu limité dans sa sexualité !
- Aller calme toi mon petit chat, tu mets le repas de côté et on y va pendant que t’es chaud ? Tu auras encore plus faim après, tu verras. "

Sébastien ne laisse même pas le temps à Fabrice de répondre .Il approche son visage du sien et lui roule une pelle bien virile pour qu’il sente que baiser avec un mec, c’est bien différent !
ILS reviennent au salon . Sébastien tient Fabrice par la taille.

Assis sur le Canapé, le regard lubrique j’ai compris qu’il avait gagné le challenge, on va se taper le petit Fabrice !!!

***
Nous montons tous les trois à l’étage dans la chambre du couple. Il ne faut pas trainer pour ne pas qu’il change d’avis. Nous allons bien nous occuper de Fabrice.

Sébastien continue de l’embrasser, fabrice_3.jpg il semble bien qu’il apprécie ce genre de baisers appuyés. Moi , je suis passé derrière lui, l’aide à retirer son tee-shirt puis ses mains glissent sur le corps de Fabrice pendant qu’il continue à l’embrasser.

Sébastien change de bouche et m’embrasse pendant que je caresse l’entrejambe de Fabrice qui m’a l’air en grande forme.

Sébastien se mets à genoux devant lui. Je dégrafe son pantalon, baisse un joli boxer noir, et découvre une belle bite bandée d’environ 18 cm. Sébastien la prends en bouche sans attendre. fabrice_4.jpg Il ne faut pas laisser refroidir le petit hétéro. Il le suce bien à fond. Son gland vient racler le fond de sa gorge pendant que je tripote ses couilles rasées. Quel petit cochon ! Un hétéro qui se rase les couilles !

Je me suis déshabillé et m’approche pour que l’on s’occupe un peu de sa queue. Sébastien la prends en bouche pendant qu’il continue à branler Fabrice avec une main.

Les deux queues en main qu’il branle en même temps., s’amuse à frotter les glands l’un contre l’autres et à les mettre ensemble en bouche.

 

 

Maintenant à son tour se déshabille. Nous allons sur le lit pour être plus à l’aise.

Sébastien s’agenouille devant Fabrice , lui faisant signe qu ‘il a bien envie de se faire sucer aussi.

Fabrice hésite.

Moi je commence à le sucer pour bien l’exciter.

Fabrice se décide enfin !.

Il s’y prend plutôt bien même si au début il n’ose pas se l’enfoncer très loin. Mais il prend confiance et se débrouille plutôt bien !

Fabrice se mit a parler tous haut "  Putain et dire que c’est la première bite je prend en bouche ! Je viens de me dépuceler la bouche C’est sûr que pour une première fois je suis gâté, sucer et se faire sucer en même temps, c’est quand même pas mal ! ".

Nous sommes plutôt bien partis mais Sébastien aimerait bien lui faire gouter un autre plaisir. Je le compris quand il me demanda de m’ allonger sur le dos, et dit à Fabrice de venir se mettre tête-bêche à quatre pattes au dessus de moi. un 69 parfait devant lui.

Je crois que décidément le petit Fabrice aime bien sucer. Sébastien ne reste pas spectateur bien longtemps. Il m’agenouille derrière Fabrice et commence à lui caresser les fesses et les couilles pendant qu’il se fait sucer par moi .

Tu as vraiment un joli petit cul même s’il a un peu de poils

Sébastien se décide enfin à lui fourrer sa langue entre ses fesses.

Je sens un frisson parcourir son corps.

IL commence à lui bouffer le cul. D’abord gentiment puis commence à se faire plus insistant en glissant sa langue au plus profond de son intimité. Une fois qu’il est bien humide, il risque très délicatement un doigt qui rentre sans problème…

Je crois que notre petit hétéro a envie de se faire péter le cul.

Et effectivement Fabrice libère ma bite pour mieux se cambrer et indique le chevet où se trouve une boite de préservatif.

Sébastien en enfile un rapidement , crache dans sa main pour lubrifier sa queue. Et positionne son gland entre ses fesses. IL rentre avec beaucoup de douceur juste le gland et fait de tous petits mouvements pour qu’il s’ouvre tout doucement. fabrice_6.jpg

Sébastien n’a jamais dépucelé un garçon lui qui en temps normal n’est que passif et pour ça première encule un hétéro alors il prend toutes les précautions possibles. Il rentre centimètre par centimètre, sans précipitation. Finalement c’est Fabrice qui d’un coup de rein se la rentre bien à fond.

Sébastien comprends qu’il en veut et se mets à l’enculer avec plus d’entrain.

Moi je continue a la sucer je lui griffe le bas ventre, lui bouffe les couilles

Sébastien l’embrasse dans le cou puis il tourne sa tête pour me rouler une pelle. Il gueule bien, il a l’air d’aimer ça.

Au bout de quelques minutes il pousse de grands cris et se contracte violemment. IL est en train de décharger dans ma bouche , et j’avale le flux abondant pour un hétéro marié.

Pas étonnant pour une première fois la stimulation de la prostate doublée de la fellation n’ont pas tardé à faire jouir notre petit hétéro. Sébastien décule tout doucement et retire le préservatif.

Nous laissons Fabrice reprendre ses esprits pendant que lui et moi continuons le jeu à deux. Il il me retourne et ma positionne a quatres pattes, depuis 3ans c’est la première fois qu’il me prend , fabrice_8.jpg lui qui me disait toujours " Simon je suis ta pute ". Pas besoin de préservatif avec lui, c’est quand même meilleur !

Mais d’habitude c’est lui qui en prend plein le cul , maintenant je sais que l’on vas pouvoir s’aimer autrement .

Fabrice nous regarde et ne dit rien. Il s’approche pour nous embrasser mon chéri d’abord puis moi. Il se met à me branler. Fabrice semble fasciner par le spectacle de la queue de son " boff " qui glisse entre mes fesses .

Fabrice mis un préservatif et nique ton beau frère en même temps lui dis-je

Pas ce soir j’ai une autre faim

Nous éjaculons alors tous les deux en même temps Sébastien dans son cul et moi entre les mains déjà expertes de notre petit branleur hétéro !

Quel super plan à trois ! Nous allons à la douche en silence, Fabrice d’abord puis mon chéri et moi ensemble. Fabrice ne s’est remis à parler qu’une fois à table. Pour lui qui parle beaucoup d’ordinaire…

Mais ce n’est pas étonnant Sébastien et moi pensons qu’il a bien pris son pied et imaginons dans sa tête le mélange d’interrogations coupables et de doutes.

Il nous prends dans ses bras et dépose un tendre baiser sur nos joue :
" - Ne soit pas triste bonhomme ! C’était pas bien ?
- Si au contraire, je crois que c’était même trop bien ! , , je vous réinviterai plus tard….. "

Nous rentrions a la maison , satisfait de notre soirée , bien excité , je baisa Sébastien toute la nuit

lui le super passif qui a progressé en se montrant mâle , lui dans le passé n’arrivait pas a garder une érection devant mon cul , maintenant il faut que je devienne sa femelle , je ne regrette pas j’adore……..

Par simon - Publié dans : ma vie
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Jeudi 6 mars 4 06 /03 /Mars 12:22

Je suis Louis , 19 ans ,J’etais arrivé chez mon oncle Simon pour la dernière semaine de vacances et remplacais mon cousin  Paul 21 ans qui finissait les siennes.

Le soir se mon arrivée vers 22 h 30

J'étais sur mon lit déjà en pyjama court lorsqu'on frappa à ma porte.

Un peu gêné d'être en tenue de nuit et d'être ainsi surpris dans mon intimité, je le laissai néanmoins entrer.
c'etait mon cousin Paul

Il s'assit dans le fauteuil en face du lit.

quelques instants plus tard, je surpris son regard au niveau de ma ceinture. Baissant les yeux instinctivement, je réalisai que la braguette de mon pyjama, qui ne se ferme pas, était entrouverte et laissait entrevoir mon sexe.

Je me sentis rougir instantanément, horriblement gêné. Maladroitement je tentai de masquer cette ouverture accidentelle.

Paul dit " Tu peux laisser ouvert, tu sais, nous sommes tous faits pareils. Mais je dois dire que ce que j'ai aperçu est tout à fait mignon ".

je ne pouvais m'empêcher de penser à ce qui venait de se passer et totalement malgré moi, je sentis mon sexe commencer à durcir. Comment me dissimuler ?

avec un petit sourire Paul me dit "  j'aimerais bien.... te voir un peu plus et que tu cesses de vouloir me cacher que tu bandes ; c'est une réaction tout à fait normale, mais qui montre que tu es troublé. Il ne faut pas avoir honte ! " 

Je ne savais plus ni où me mettre ni comment réagir, me sentant gauche et ridicule avec mon sexe dressé pointant légèrement hors de ma braguette et je ne pouvais rien faire. Bref, le séisme, la catastrophe..

Se levant, venant s’agenouiller près de moi , rien de plus naturel, sauf  que ...quand très lentement il commença à me caresser le dos, le ventre, les épaules et les seins dont les pointes, sur lesquelles il s'attardait en les titillant et les pinçant légèrement, devinrent dures.

J'étais complètement pétrifié devant sa détermination et dans l'incapacité totale de réagir.

" Tu vas voir, nous avons des pointes de sein presque aussi sensibles que celles des femmes ".

  " Tu vas voir ", disait Paul.

je sentis que ce futur laissait présager une suite qui m'inquiéter , moi qui a 19 ans ne connais rien au niveaux sexuel ma mère seul ne m'ayant jamais  beaucoup interessé a mon éducation .

Je restais là, tel une statue, totalement incapable de réagir, et en même temps mort de honte et de confusion ; mais pas tout à fait de marbre car ses mains qui passaient et repassaient sur mon corps me donnaient la chair de poule et des frissons.

Puis elles descendirent au niveau de ma taille .

je savais bien ce qui allait se passer, et en même temps, je n'y croyais pas, me sentant dans une situation irréelle.

Jamais je n'avais été touché ni même vu nu de cette façon par un autre homme. Ce n'était pas possible, il fallait que je fasse quelque chose. Je sentais une chaleur m'envahir, me donnant le sentiment d'être rouge de honte.

Une main défit lentement les deux boutons de mon caleçon -pyjama et me libérer complètement et c'est ainsi que je me retrouvai complètement nu, sous le regard de ce cousin Paul que je connaissais à peine, appréhendant la suite, avec toutefois un brin de curiosité malsaine que j'éprouvais malgré moi. Mon sexe, resté dur depuis le début, trahissait mon trouble et il ne s'y trompa pas. J'aurais voulu le masquer de mes mains, mais je n'osai pas de peur du ridicule.

Se reculant un peu " attends que je te regarde " dit-il, me demandant de me mettre sur le ventre puis de me retourner lentement face à lui. J'obéissais comme une vraie marionnette, les bras le long du corps, livrant mon sexe complètement découvert à son regard. " Tu es magnifique, vraiment ; pas de poils sur le torse, j'aime quand c'est doux et lisse comme ça ! Tourne-toi encore ".

"Tes petites fesses sont bien fermes et appétissantes " Il ne me touchait que du regard, ce qui était presque plus gênant et humiliant encore qu'avec ses mains, et en même temps très excitant.

 

Après m'avoir demandé de lever mes bras en l'air de manière à faire saillir davantage mon sexe, d'écarter les jambes, et m'ayant examiné sous tous les plans sans me toucher, il me fit mettre à quatre pattes, me regardant par en dessous, m'écartant les fesses pour en examiner le petit trou qu'il effleura d'un doigt. Me laissant dans cette position humiliante, les jambes légèrement écartées, il soupesa mes testicules, les caressant, avant de se saisir de mon sexe dont il décalotta complètement le gland en un seul geste. " Mais c'est que tu mouilles, mon petit cochon ! Tu es tout trempé d'excitation ! Tu vas voir, je vais te branler et te faire jouir comme personne ne te l'a jamais fait et ne te le fera plus jamais ! Mais j'exige que tu te donnes complètement et sans réserve . "

Je répondis " tu veus quoi exactement je ne sais rien , c’est la première fois que je me trouve dans cette situation "

Ben je vais te montrer cher cousin.

Affolé mais excité je répondis " oui "

Il se mit sur son flanc et je vis que lui aussi bandait comme un dingue. Je le fixais droit dans les yeux et on s'embrassa fougueusement pendant longtemps. Je sentais sa queue contre mon bas ventre!

Il commençait à n'en plus pouvoir et me demanda " Louis tu veus sucer une queue de 18cm épaisse ?
Je l'embrassais dans le cou ,longeant son corps musclé je me suis hâté de faire glisser son pantalon tout en lui caressant les cuisses. Son boxer moulait très bien son sexe raidi et je devinais la taille et l'épaisseur de son pieux. Un bel engin que je pris en bouche assez vite. Ma bouche était pleine de chair chaude et humide. undefined L'odeur forte de sa bite me faisait des frissons. Je la prenait totalement en bouche ce qui me surpris vu la taille. Ma langue jouait avec son gland et je sentais que ça ne le rendait pas indifférent. Il commençait à faire des mouvements de reins. Je l'entendais respirer fort et je mis mes doigts sur ses lèvres charnues pour lui faire comprendre qu'il faisait du bruit. Au lieu de s'arrêter il lécha et suça mes doigts ce qui me rendit encore plus raide.




Paul_louis2_m.jpg  

Je lui demanda sans m’en rendre contre "  prend moi Paul " et comme s'il n'attendait que ça, il me pris avec force et me mit mes jambes sur ces épaules. Mon cul était en sueur et fin prêt à le recevoir. Il jouait avec son gland sur mon anus ce qui me fit mouiller. Après avoir mis un préservatif Il entreprit une première pénétration sans réussir tellement je me contractais , j’avais la trouille.

Il gueula " faut savoir ce que tu veus Louis".

J’en veus oui mais je ne l’ai jamais fais cousin Paul.

il explorait mon corps, un doigt dans mon anus, le fouillant au plus profond ; j'étais sa chose,

Il rentra son doigt avec du gel a plusieurs reprise , puis présenta sa queue a l’entrée et là il me donna de toute sa force une claque sur les fesses et rentra entièrement en moi ,je gueulais très fort sous la douleur quelques secondes ensuite je sentais sa bite chaude en moi. Je voulais rester comme ça tout le temps !
Des va-et-vient commençaient et je ne me contrôlais plus. Je voulais qu'il me défonce ! Tout en me pénétrant, Il m'embrassait partout faisant glisser sa langue sur mes épaules, dans mon cou, sur mes oreilles. il me caressait de ses mains moites me faisaient frissonner et comme il voyait que ses caresses ne me laissaient pas de glace, il s’allongea son torse sur moi pour m'enlacer
Je tournais ma tête pour l'embrasser à pleine bouche. Son haleine chaude caressait ma bouche. Nos langues jouaient ensemble.

Il se redressait et massait maintenant son torse, ses tétons puis il commença à me branler tout en continuant à me pénétrer d'une façon régulière, lente et douce. Son corps m'appartenait, je le sentais en moi et sur moi.




Paul_louis1_m.jpg

 Jamais je n'avais été aussi excité ! Il était dans le même état que moi et me dit " je vais venir ".
 Il se retira, enleva la capote et m'éjacula sur le ventre. Il s'allongea à plat ventre et lécha son propre sperme , ensuite , s'allongea sur moi. Sa queue bandait toujours. On s'embrassa, mélangeant le sperme à la salive. J'aspirais les quelques gouttes de sperme qui étaient sur sa langue. Il commençait à branler ma bite en me regardant droit dans les yeux. Il la prit finalement en bouche et me pompa à fond si fort et si bien que !

 

je répondis " oh ! oui c’est bon ,vas y fait moi jouire mais je ne veux pas te pénétrer ".

" Je n'y pensais pas , mais tu changeras peut être d’avis rapidement ", me répondit-il et ajouta "  ce que j'aime avant tout c'est donner du plaisir et sentir la soumission totale au bout de ma main et du plaisir qu'elle prodigue. Tu jouiras quand j'en déciderai, et comme je déciderai, pas avant. "

Ces paroles m'excitaient au plus haut point, et j'imaginais qu'il avait déjà fait cela à d'autres. 
J'avais maintenant hâte de sentir ses mains parcourir mon corps et prendre vraiment possession de mon sexe. Je ne sais combien de temps cela dura, mais il me fit prendre des poses toutes plus humiliantes et excitantes les unes que les autres, me tournant et me retournant sur le lit, mais sans aucune brutalité ; il jouait de mon corps comme d'un instrument, m'arrachant des gémissements et des supplications ; ses mains et sa bouche savaient parfaitement quoi faire pour m'amener tout près de l'orgasme sans jamais le déclencher, se retirant juste à temps et m'abandonnant dans une vague de frustration et de supplication.

Il caressait de manière savante et experte, explorant de son regard, de ses mains, de sa langue et de ses lèvres toutes les parties de mon corps, mais jamais là où je l'attendais.

Lorsqu'il me faisait mettre sur le ventre, il massait longuement mes fesses, les écartant, les tapotant, inspectant et refouillant de manière experte mon petit trou en disant " mignon ce petit et tu pourras dire et fièrement " plus vierge " .

Il examina très longuement mes couilles et mon sexe, semblant prendre un réel plaisir de voyeur, penché juste au-dessus au point que je sentais son souffle court, me branlant, tantôt en faisant saillir complètement et de manière tendue tout mon gland, tantôt le re-calottant et me branlant par-dessus. Il le mettait dans sa bouche presque amoureusement, l'aspirant, le suçant, le léchant à des endroits et d'une manière qui faisait dresser tout mon corps pour me presser davantage vers lui. Je mouillais sans fin, lubrifiant mon sexe et lui permettant des caresses bien coulissantes.

Après un temps qui me sembla infini, il me dit : " maintenant, tu vas pouvoir jouir, je te sens prêt. " toujours allongé sur le dos, lui se tenant à ma droite , en appui sur son coude gauche, il branlait et pinçait mon bout de sein de sa main gauche très dur et entreprit de me branler le sexe à fond de sa main droite, très profond, décalottant complètement le gland qui perlait des première gouttes, passant sa main dessus ce qui m'arrachait des sursauts et des gémissements de plaisir. " Regarde-moi droit dans les yeux, petit cochon, je veux sentir ton plaisir monter en même temps au bout de mes doigts et dans tes yeux ; je veux te posséder ainsi complètement ; tu es à moi, tu sens comme tu es à moi ! Je te possède à travers ton désir et ta folle envie de jouir ; tu aimes ce que je te fais, hein, dis-le ! Tu aimes ça mon petit salaud, mon petit cochon ! Allez, dis-le " et il continuait à me branler " oui, c'est trop bon, jamais on ne m'a fait ça, faites moi jouir, j'en peux plus ", dis-je.

Je ne savais plus ni qui j'étais ni où j'étais, je ne m'appartenais plus, j'accompagnais ses caresses pour tenter de les accentuer, allant au-devant de son mouvement pour tenter de l'accélérer, je rugissais et suppliais comme un damné sans plus aucune pudeur. Son regard accompagné d'un léger sourire, à la fois tendre et ferme, planté dans le mien me faisait sentir toute la domination qu'il exerçait sur moi. Et j'aimais ça ! Il faisait aller et venir sa main le long de mon sexe, accélérant ou ralentissant le rythme simplement pour me soumettre encore davantage et différer le plus possible mon explosion. " Je t’ en prie, laisse moi jouir maintenant, j'en ai tellement envie.. "

" Regarde-moi bien dans les yeux, je te l'ordonne, et jouis ! Maintenant ! ". 

Je partis dans un orgasme fulgurant, sentant ma semence jaillir haut sur mon ventre, dans une longue plainte que je ne pus réprimer, et cabrant tout mon corps ; et le plaisir intense dura, dura longtemps, longtemps, tant  qu'il sut l'accompagner, adoptant le rythme et les gestes parfaits au bon moment.

Quand tout mon corps retomba, apaisé et épuisé, il me dit " allez, je te laisse ; tâche de bien te reposer ". le lendemain, il n’etait plus là et seul sur mon lit je repensais à notre petite soirée ! " en solitaire.



 

Mon cousin Paul était reparti dans sa Bretagne natale , lui qui m’a apprit l’amour du sexe et ma dépucelé , le revérais-je………. Oui certainement mais quand ? ?……..

Par simon - Publié dans : histoire racontée
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Lundi 25 février 1 25 /02 /Fév 17:29

C'est les vacances de fêvier , me promenant malgres le froid dans le bois derrière chez moi ,au détour d'un chemin je rencontre un rebeu comme on dit a la campagne.
je  le connaissais
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il s'appelle Karim, 26ans, bogoss rebeu, bien carré, 1m85 81kg que du muscle (merci la salle de sport), et plutot bien gaté du côté de l'entrejambe si tu vois ce que je veux dire.
tout en finissant  le parcour ,il me racconta sa dernière conquete la voici:

le keum qui m'a skotché....

En juin dernier, Aziz, un collegue a moi, avait réussi a avoir des invitations pour un vernissage dans un bleb un peu paumé mais assez bourge a 1 heure de chez oim. On arrive sur place et y a déjà un people pas possible. Ils aiment l'art par ici...
Putain ca avance pas et déjà que j'étais pas très cho ca commence a m saouler grav.

Aziz commence a se foutre de la gueule des pelos qui arrivent encore et on trip bien.
Au bout d'un moment arrive un ptit keumé, chemise noire, jean, baskets, un sac en bandoulière sur l' épaule style étudiant.
Voyant mon regard de prédateur, mon pote me prévient que c'est pas le bon client, qu'il a vécu un truc pas cool, qu'il est seul depuis et que j'vais perdre mon temps.
Mais j'lécoute plus, j'ai les yeux rivés sur ma future victime. Aziz insiste en me disant que c'est un mec vraiment clean, qu'il l'a souvent aidé en cours (ils étaient en école d'architecture ensemble, attends j fréquente pas n'importe qui...)

Il me connait mon pote. Avec moi pas de sentiments, ma devise: tu m'suces je t'encule.... pas de quartier, tu m'touche pas, et si t'as le malheur de vouloir me bouffer la gueule j'peux te dire que tu recommence pas 2 fois.

Attends j suis pas un dep moi !
Le keum se rapproche et passe devant oim sans un regard, putain j'suis dèg, j'demande a mon collègue si c'est bien un dèp, j'suis pas habitué a laisser mes proies indifférentes.

Le gars passe devant tout le monde et rentre direct dans la galerie.
C'est cool, j'vais avoir droit a un second round et le keumé va être KO tu peux m'croire.

3/4 d'heure après on rentre enfin. On s'est mis sur notre 31, parce qu'avec nos gueules bien bronzées c'était pas gagné qu'on rentre, même avec des invits.
Donc on rentre et je repère ma future victime dans un coin, il parle avec un couple de vieux bourges. J'fais signe à Aziz que je vais tenter ma chance, il fait la grimace mais n'insiste pas plus.

J'attends que les vieux se cassent et je me poste juste derrière le ptit keumé. "tu connais le peintre ?" je lui demande innocemment.
Il se retourne et sursaute un ptit coup, il s'attendait pas a ce que je sois si proche de lui.
Avec un ptit sourire en coin il me répond que oui et se retourne contempler un tableau qui ne m'inspire que dalle.

Toujours innocemment, je lui dis que j'y connais que dalle en art et je lui demande s'il veut me guider un peu. Il se retourne sans sursaut cette fois et me sourit. Il a compris mon p'tit manège mais il joue le jeu et commence la visite.

Putain il en a dans la tête le gars, j'comprend un mot sur 3, mais il est a fond dans son truc donc il calcule pas trop que je plane total.
Ca y est on a fait le tour de la galerie, il me sourit, me souhaite une bonne soirée et me laisse en plan comme un con.
Il va parler avec le peintre. Au bout de quelques minutes ils se dirigent avec un 3° type vers le tableau vers lequel je l'ai accosté.
Le 3° gars décroche le tableau, va l'emballer et le donne à Mickael, mon sexy guide en échange d'un chèque.
Putain le gars il a les moyens de se payer une toile!!!
J'sais pas combien ca coute, c'est vrai que le peintre doit pas etre trop connu mais quand même!...
IL prend son tableau et sort.

aussitot, je le suis et lui propose mon aide.
J suis pas du genre galant mais faut absolument que je le serre celui la y pas moyen. Il refuse mais j'insiste et il accepte. IL me dit qu'il habite pas tres loin et c'est vrai, 10 minutes plus tard on est arrivés.

IL me prend le tableau mais tout de suite je lui dis: "tu veux pas que je te le montes?" " non non ca va j'te remercie..."
Il me sourit il sait ou je veux en venir.
"allez juste un verre?"
"juste un alors..."

IL me redonne le paquet et on monte. On arrive dans un appart de ouf, avec une hauteur sous plafond de guedin.
IL me dit de poser le tableau par terre et me conduit dans un salon qui fait presque la taille de mon studio. "vas-y mets toi a l'aise.
"J'profite qu'il soit parti pour mater un peu, putain une déco de malade, style Valérie damidot mais version pété de tunes.
IL revient avec 2 cocas, moi j'suis assis bien confortablement, les jambes bien écartées histoire de le chauffer un peu.

Impassible, il s'assoit a cote de moi et un putain de silence s'installe. J'suis trop déstabilisé par son regard. Il a l'air super nostalgique et c'est pas mon style mais j'suis grave mal a l'aise.

Il boit un coup et me regarde en me disant: " tu dois te demander comment j'peux avoir un appart comme ca a mon âge?"
Je lui envoie un sourire curieux "c'est l'héritage de mes parents".
Putain, déjà que l'ambiance était pas très réchauffée mais maintenant c'est carrément la banquise.

Et moi j'ai qu'une envie c'est le prendre dans mes bras. Bon allez Karim ressaisis toi! Je ne sais pas ce qu'il me fait ce keum mais j'suis grave en kiff c'est flippant.

Apres quelques minutes, il me regarde en me disant que je suis pas la pour qu'il me raconte sa life et cash il me roule pelle de malade. Ma première pelle depuis je sais pas combien de temps.

J'me recule mais j'en ai grave envie alors tant pis j'lui rend son baiser mortel. J'lui pose la main sur la cuisse et aussitôt il vient a califourchon sur moi et commence a se frotter comme une tepu et il me chauffe a mort le zob.

J'lui caresse le boul et je bénie son jean qui est ultra moulant dans cette position. Toujours en ondulant sur moi, il déboutonne ma chemise et commence a me caresser le torse.
IL ne quitte pas ma bouche et j'adore ca.
Il embrasse comme un dieu et je kiffe. J'ai le ben en alerte.
Il lance des sos de detresse tellement mon zboubi est en folie.
A ce rythme la, j'vais pas tarder de gicler ca craint, il me prendrait pour un sale puceau, pas capable de se contenir.
Mais avant que j'ai pu l'arrêter, j'inonde mon calecon en me contractant et en poussant un râle sourd et rauque.
Putain c'est un truc de ouf, le keumé il a réussi a me faire jouir comme jamais j'ai joui sans même me déshabiller.

Il se redresse en souriant. Putain il m'a grillé, j'suis gêné comme un gosse qui s'est fait prendre en train de faire une connerie.

Il se lève, sort du salon et revient avec une serviette et un gant. Il me dit que la salle de bain est au fond du couloir.

"Tu viens avec moi?" Ba ouais, j'suis grave och, j'voudrai bien voir ses autres talents...
Il me regarde et me lance d'une voix neutre: "quoi t'es pas heureux? j't'ai vidé les couilles c'est pas ce que tu voulais ?".

Putain fait ièch, pour une fois que je voulais donné du kiff a un partenaire il s'en bat la race.
J'vais donc a la salle de bain et laisse la porte entrouverte des fois qu'il change d'avis.

J'me déssape, nettoie comme je peux la sauce dans mon calsif et prend une douche vite fait parce qu'il m'a tellement chauffé qu'il j'suis en sueur.

Un 1/4 d'heure plus tard, j'sors. Il m'attend vers la prote d'entrée.
Putain j'sais pas ce qu'il m'a fait mais j'suis totalement en kiff.

J'arrive devant lui, il ne me regarde pas. J'm'excuse, j'lui avoue qu'Aziz m'avait prévenu mais que je n'avais pas pu résister.
Il relève la tête. Des larmes coulent sur ses joues et il me répond d'une voix toujours aussi neutre que c'est rien, qu'il savait a qui il avait à faire mais que d'avoir quelqu'un chez lui ca lui rappelait plein de choses.

J'lui prend la main en lui demandant si je peux faire quelque chose mais il me répond qu'il ne croit pas que je puisse lui apporter ce dont il a besoin, c'est a dire juste une présence rassurante.

Je lui relève la tête, il pleure vraiment a présent et j lui propose de rester la nuit vers lui, en ajoutant " sans qui se passe rien bien sur".

Il me sourit a travers ses larmes et je le prend dans mes bras et la je me rend compte qu'en fait ca me manque vachement ce genre de rapports.

On reste un long moment comme ca.
J'le serre assez fort pour lui faire sentir que je suis la, qu'il a quelqu un sur qui compter. J suis grave touché par ce keum.

Il a réussi là ou tous les autres se sont plantés.
On est allé se coucher, on a parlé un peu puis il s'est endormi dans mes bras.
Et depuis on s'est pas quitté, ca va faire 8 mois qu'on est ensemble, et j'peux vous dire que c'est grave le kiffe.
Voila comment ce ptit keum, (mon ptit keum) m'a skotché la tête, et comment il m'a changé de serial niqueur en perfect lover.

karim


on avait passé un aprés midi a marché ,lui racontant son histoire , et moi qui pensais à Mehdi

Par simon - Publié dans : histoire racontée
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Vendredi 22 février 5 22 /02 /Fév 15:50

9 février 2008

Je venais de quitter Mehdi après ces 5 jours de vacance (voir article précèdent) la tristesse qui m’envahissait s’affichait sur mon visage …....
encore 15 min avant l'embarquement , de loins je ne quittais pas du regard Mehdi resté hors de la zone de sécurité et qui ne rentrera chez lui que quand l’avion aura décollé. Sur le banc je tournais et retournais la revue gay que j’avais prise pour le voyage , un mec en costard, s'assit à coté de moi, 2 min plus tard je remarque qu'il me mate avec insistance….avait-il remarqué ce que j’avais en mains..
Je le regarde il me demande " vous allez à Paris " .

Je répond " oui "' et me replonge dans mes journaux.
L'hôtesse annonce l'embarquement, on monte. Le vol est assez plein...

Dans l'avion.

Une fois ma ceinture bouclée je remarque que le mec est sur la même rangée que moi mais à l` opposé,
on est donc chacun côté hublot opposé... séparés par l'allée, centrale et des gens entre nous... je me baisse pour le mater, et je remarque que lui aussi...
Chaque fois que je regarde dans sa direction il me fixe

C’est excitant…..... mais je ne pense qu’a Mehdi qui me manque déjà.

Atterrissage à Paris.

Ma voisine attend a son siége pour descendre... je vois que le mec attends lui aussi alors que personne ne l'empêche de descendre, lui...
Ma voisine sort finalement dans l'allée. Il me fait signe de passer avec un petit sourire en coin...
Je passe donc devant lui il se colle ni vu ni connu derrière moi...
Je me dis "  je ne me suis pas planté ce mec me cherche:-)

On descend. Dans le hall , avant d’aller récupérer mon bagage , je fait un écart et rentre au toilette , il me suit, on pisse, l'un à coté de l'autre, je matte d’un œil sa bite toute mini et pourtant à demi bandée , on dirait........
Je regarde le liquide sortir, ça commence vraiment à m'exciter de voir un si beau mec , avec un coquillette , moi qui suis gourmand de belle bite.

2008_felix.jpg
IL me demande : "  on fait quoi ?"

Je lui répond: " sais pas "
Il me montre les chiottes derrière et m’invite à le suivre , avec un grand sourire.
Nous voila dans les chiottes (très propre par chance..) on sort nos queues,
il a une bite encore plus petite que je pensais probablement 12 ou 15 cm au plus
( j`exagère pas du tout, elle est aussi petite et fine comme mon pouce, ( je pensais pas que ça puisse exister..)

Je le regarde il a un sourire hallucinant... on se suce mutuellement...
J'arrive à prendre juste le gland et quelques centimètres au dessus ,je suis déjà aux couilles très lourdes..
C'est tellement mini, je le lèche, le branle avec deux doigt ,c'est tellement excitant,
Quand à moi je sais pas quoi faire pour me retenir, je vais venir...
Il me suce super bien aussi.
On s'embrasse...
Il me dit à l'oreille :  " I just come inside " je parle pas anglais mais j’avais compris.
Je lui dit "  vu la taille de ton truc c’était même pas la peine d’espérer dans ces chiottes …...ni même sans doute ailleurs, . "..
-- non non moi vouloir toi

Je lui dit "  désolé j’ai juste le temps de rejoindre la gare de l’Est pour reprendre le TGV

On a donc continué a se sucer, puis je me suis finit dans sa bouche, J'ai éjaculé en me retenant pour pas gueuler... Il m’a embrassé dans le cou m'a roulé une pelle d`enfer et m’a remercié .

Il est sortit le premier...

Quand je suis arrivé aux bagages il était déjà là et il n'y avait que nos deux valises qui tournaient en rond sur le tapis. Il m'a sourit encore... Et on s'est perdu de vu à la sortie...

OUF heureusement que Mehdi était dans mes pensées...je n’ai pas trouvé la fin du retour trop long……..

quelques jours aprés

Monsieur Paul est un vieux cochon voyeur et exhibitionniste comme moi.

Nous avons à peu près le même âge, 62 ans, BCBG, comme on dit et, sans être hideux, nous avions perdu l'un et l'autre le charme physique de la jeunesse.

Nous partagions en tous cas les mêmes fantasmes et, par voie de conséquence, bien souvent, les mêmes garçons.

Nous aimions par-dessus tout les jeunes et beaux blacks et beurs , bien pourvus entre les cuisses

Nous nous installons régulièrement sur la place face au lycée , faisons notre choix et si le marché était conclu dans de bonnes conditions, nous en ramenions un ou deux chez Monsieur Paul ou chez moi.

Nous aimions les accueillir gentiment, les regarder, 13775.jpeg les peloter, les déshabiller, en leur demandant de s'exhiber au maximum, les tripoter en nous roulant des pelles à trois ou quatre bouches, chaque fois que possible.

Ensuite, Monsieur Paul adorait qu'un jeune et bel athlète bien monté, arabe,ou noir, nu, l'encule sous mes yeux et sous mes caresses.

Sans compter qu'il se sentait davantage en sécurité, ça décuplait son plaisir que je sois là à les regarder, les flatter, à toucher de longues et grosses queues bien dures dans sa bouche ou son anus.

C'était aussi extrêmement jouissif pour moi quand, à cheval sur mon visage, le jeune étalon défonçait le cul de l'homme mûr qui jouissait de partout. Je contemplais leur plaisir, j'y participais, je voyais la saillie, la touchais, la léchais. Je gobais parfois les couilles; je mettais, d'autres fois, un doigt dans l'anus distendu de Monsieur Paul, le long du gros zob qui le faisait haleter et râler de joie.

Souvent les jeunes eux-mêmes se prenaient au jeu et, avec volupté, se regardant baiser dans les glaces que l'un et l'autre  avions autour de nos lits, ils adoraient s'exhiber à fond dans des positions vraiment obscènes pour contenter ces deux vieux pédés sympas et salopes qui étaient gentils avec eux et savaient faire se lâcher les mâles qu'ils étaient.

Le cul de Monsieur Paul était chaud, profond et serrait bien les grosses pines des maghrébins, ou africains qui se relayaient dans son trou, dans nos lits et dans nos bras. Les hétéros et les bisexuels qui se laissaient aller à le saillir devant moi comparaient toujours son fion aux chattes gourmandes de leurs  copines.

Chaque fois que possible, parce que j'adore ça, il était convenu que les jeunes mâles, au moment de gicler, sortent du cul de Monsieur Paul, enlèvent la capote et viennent m'inonder le visage de sperme chaud. Monsieur Paul y rajoutait souvent son propre foutre. En général, je jouissais alors bruyamment par moi-même, tandis qu'ils me caressaient tous deux les couilles, les fesses, le cul.

Quand nous prenions deux garçons, notre plaisir était aussi de les voir faire l'amour entre eux. 15042399.jpg

Nous adorions que, sous nos yeux, ils s'embrassent, se caressent, se mettent nus, se tètent, fassent des 69 bien exhibés, se bouffent bites et culs, se doigtent et naturellement qu'ils s'enculent. Voir de très près, guider, toucher, lécher leurs pénétrations ne tardait pas, en général à nous faire jouir comme des fous, à moins que ce soit eux qui se vident les couilles les premiers, dans l'anus de Paul ou sur mon visage, comme nous leur demandions.

Depuis mes vacances je n’ai plus qu’une envie Mehdi , c bel apollon , devienne mon amant

réguliers,
 je reve et ne pense qu' à Mehdi, ce magnifique jeune , algerien bisexuel avec une très grosse queue, je l'imagine   régulièrement me baiser sous les yeux d'autres vouyeurs. Outre qu'il y trouve son compte, qu'il adore se regarder niquer dans les glaces, qu'on l'admire, qu'on le caresse, qu'on lui lèche les couilles, l'anus, qu'on suce ses seins ou qu'on l'embrasse à bouche que veux-tu quand, dans plein de positions, il défonce inlassablement mon cul.

Hier , Monsieur Paul est parti, en retraite, vivre au Maroc. On devine pourquoi.

Seul (enfin non puisque je vie encore avec ma femme), je recherche d'autres hommes aimant voir et être vus pour mater, tâter, débraguetter, caresser, lécher, téter, sucer, bouffer ensemble, bites et culs de jeunes hommes bien montés.
pour compenser les longues semaines d'absence de Mehdi repartit au pays rendre visite a sa famille


Depuis une semaine je n'ai plus de nouvelles , Mehdi m'aurait-il déja oublié ?




a suivre.........

 

Par simon - Publié dans : ma vie
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