Jeudi 6 mars 4 06 /03 /Mars 12:22

Je suis Louis , 19 ans ,J’etais arrivé chez mon oncle Simon pour la dernière semaine de vacances et remplacais mon cousin  Paul 21 ans qui finissait les siennes.

Le soir se mon arrivée vers 22 h 30

J'étais sur mon lit déjà en pyjama court lorsqu'on frappa à ma porte.

Un peu gêné d'être en tenue de nuit et d'être ainsi surpris dans mon intimité, je le laissai néanmoins entrer.
c'etait mon cousin Paul

Il s'assit dans le fauteuil en face du lit.

quelques instants plus tard, je surpris son regard au niveau de ma ceinture. Baissant les yeux instinctivement, je réalisai que la braguette de mon pyjama, qui ne se ferme pas, était entrouverte et laissait entrevoir mon sexe.

Je me sentis rougir instantanément, horriblement gêné. Maladroitement je tentai de masquer cette ouverture accidentelle.

Paul dit " Tu peux laisser ouvert, tu sais, nous sommes tous faits pareils. Mais je dois dire que ce que j'ai aperçu est tout à fait mignon ".

je ne pouvais m'empêcher de penser à ce qui venait de se passer et totalement malgré moi, je sentis mon sexe commencer à durcir. Comment me dissimuler ?

avec un petit sourire Paul me dit "  j'aimerais bien.... te voir un peu plus et que tu cesses de vouloir me cacher que tu bandes ; c'est une réaction tout à fait normale, mais qui montre que tu es troublé. Il ne faut pas avoir honte ! " 

Je ne savais plus ni où me mettre ni comment réagir, me sentant gauche et ridicule avec mon sexe dressé pointant légèrement hors de ma braguette et je ne pouvais rien faire. Bref, le séisme, la catastrophe..

Se levant, venant s’agenouiller près de moi , rien de plus naturel, sauf  que ...quand très lentement il commença à me caresser le dos, le ventre, les épaules et les seins dont les pointes, sur lesquelles il s'attardait en les titillant et les pinçant légèrement, devinrent dures.

J'étais complètement pétrifié devant sa détermination et dans l'incapacité totale de réagir.

" Tu vas voir, nous avons des pointes de sein presque aussi sensibles que celles des femmes ".

  " Tu vas voir ", disait Paul.

je sentis que ce futur laissait présager une suite qui m'inquiéter , moi qui a 19 ans ne connais rien au niveaux sexuel ma mère seul ne m'ayant jamais  beaucoup interessé a mon éducation .

Je restais là, tel une statue, totalement incapable de réagir, et en même temps mort de honte et de confusion ; mais pas tout à fait de marbre car ses mains qui passaient et repassaient sur mon corps me donnaient la chair de poule et des frissons.

Puis elles descendirent au niveau de ma taille .

je savais bien ce qui allait se passer, et en même temps, je n'y croyais pas, me sentant dans une situation irréelle.

Jamais je n'avais été touché ni même vu nu de cette façon par un autre homme. Ce n'était pas possible, il fallait que je fasse quelque chose. Je sentais une chaleur m'envahir, me donnant le sentiment d'être rouge de honte.

Une main défit lentement les deux boutons de mon caleçon -pyjama et me libérer complètement et c'est ainsi que je me retrouvai complètement nu, sous le regard de ce cousin Paul que je connaissais à peine, appréhendant la suite, avec toutefois un brin de curiosité malsaine que j'éprouvais malgré moi. Mon sexe, resté dur depuis le début, trahissait mon trouble et il ne s'y trompa pas. J'aurais voulu le masquer de mes mains, mais je n'osai pas de peur du ridicule.

Se reculant un peu " attends que je te regarde " dit-il, me demandant de me mettre sur le ventre puis de me retourner lentement face à lui. J'obéissais comme une vraie marionnette, les bras le long du corps, livrant mon sexe complètement découvert à son regard. " Tu es magnifique, vraiment ; pas de poils sur le torse, j'aime quand c'est doux et lisse comme ça ! Tourne-toi encore ".

"Tes petites fesses sont bien fermes et appétissantes " Il ne me touchait que du regard, ce qui était presque plus gênant et humiliant encore qu'avec ses mains, et en même temps très excitant.

 

Après m'avoir demandé de lever mes bras en l'air de manière à faire saillir davantage mon sexe, d'écarter les jambes, et m'ayant examiné sous tous les plans sans me toucher, il me fit mettre à quatre pattes, me regardant par en dessous, m'écartant les fesses pour en examiner le petit trou qu'il effleura d'un doigt. Me laissant dans cette position humiliante, les jambes légèrement écartées, il soupesa mes testicules, les caressant, avant de se saisir de mon sexe dont il décalotta complètement le gland en un seul geste. " Mais c'est que tu mouilles, mon petit cochon ! Tu es tout trempé d'excitation ! Tu vas voir, je vais te branler et te faire jouir comme personne ne te l'a jamais fait et ne te le fera plus jamais ! Mais j'exige que tu te donnes complètement et sans réserve . "

Je répondis " tu veus quoi exactement je ne sais rien , c’est la première fois que je me trouve dans cette situation "

Ben je vais te montrer cher cousin.

Affolé mais excité je répondis " oui "

Il se mit sur son flanc et je vis que lui aussi bandait comme un dingue. Je le fixais droit dans les yeux et on s'embrassa fougueusement pendant longtemps. Je sentais sa queue contre mon bas ventre!

Il commençait à n'en plus pouvoir et me demanda " Louis tu veus sucer une queue de 18cm épaisse ?
Je l'embrassais dans le cou ,longeant son corps musclé je me suis hâté de faire glisser son pantalon tout en lui caressant les cuisses. Son boxer moulait très bien son sexe raidi et je devinais la taille et l'épaisseur de son pieux. Un bel engin que je pris en bouche assez vite. Ma bouche était pleine de chair chaude et humide. undefined L'odeur forte de sa bite me faisait des frissons. Je la prenait totalement en bouche ce qui me surpris vu la taille. Ma langue jouait avec son gland et je sentais que ça ne le rendait pas indifférent. Il commençait à faire des mouvements de reins. Je l'entendais respirer fort et je mis mes doigts sur ses lèvres charnues pour lui faire comprendre qu'il faisait du bruit. Au lieu de s'arrêter il lécha et suça mes doigts ce qui me rendit encore plus raide.




Paul_louis2_m.jpg  

Je lui demanda sans m’en rendre contre "  prend moi Paul " et comme s'il n'attendait que ça, il me pris avec force et me mit mes jambes sur ces épaules. Mon cul était en sueur et fin prêt à le recevoir. Il jouait avec son gland sur mon anus ce qui me fit mouiller. Après avoir mis un préservatif Il entreprit une première pénétration sans réussir tellement je me contractais , j’avais la trouille.

Il gueula " faut savoir ce que tu veus Louis".

J’en veus oui mais je ne l’ai jamais fais cousin Paul.

il explorait mon corps, un doigt dans mon anus, le fouillant au plus profond ; j'étais sa chose,

Il rentra son doigt avec du gel a plusieurs reprise , puis présenta sa queue a l’entrée et là il me donna de toute sa force une claque sur les fesses et rentra entièrement en moi ,je gueulais très fort sous la douleur quelques secondes ensuite je sentais sa bite chaude en moi. Je voulais rester comme ça tout le temps !
Des va-et-vient commençaient et je ne me contrôlais plus. Je voulais qu'il me défonce ! Tout en me pénétrant, Il m'embrassait partout faisant glisser sa langue sur mes épaules, dans mon cou, sur mes oreilles. il me caressait de ses mains moites me faisaient frissonner et comme il voyait que ses caresses ne me laissaient pas de glace, il s’allongea son torse sur moi pour m'enlacer
Je tournais ma tête pour l'embrasser à pleine bouche. Son haleine chaude caressait ma bouche. Nos langues jouaient ensemble.

Il se redressait et massait maintenant son torse, ses tétons puis il commença à me branler tout en continuant à me pénétrer d'une façon régulière, lente et douce. Son corps m'appartenait, je le sentais en moi et sur moi.




Paul_louis1_m.jpg

 Jamais je n'avais été aussi excité ! Il était dans le même état que moi et me dit " je vais venir ".
 Il se retira, enleva la capote et m'éjacula sur le ventre. Il s'allongea à plat ventre et lécha son propre sperme , ensuite , s'allongea sur moi. Sa queue bandait toujours. On s'embrassa, mélangeant le sperme à la salive. J'aspirais les quelques gouttes de sperme qui étaient sur sa langue. Il commençait à branler ma bite en me regardant droit dans les yeux. Il la prit finalement en bouche et me pompa à fond si fort et si bien que !

 

je répondis " oh ! oui c’est bon ,vas y fait moi jouire mais je ne veux pas te pénétrer ".

" Je n'y pensais pas , mais tu changeras peut être d’avis rapidement ", me répondit-il et ajouta "  ce que j'aime avant tout c'est donner du plaisir et sentir la soumission totale au bout de ma main et du plaisir qu'elle prodigue. Tu jouiras quand j'en déciderai, et comme je déciderai, pas avant. "

Ces paroles m'excitaient au plus haut point, et j'imaginais qu'il avait déjà fait cela à d'autres. 
J'avais maintenant hâte de sentir ses mains parcourir mon corps et prendre vraiment possession de mon sexe. Je ne sais combien de temps cela dura, mais il me fit prendre des poses toutes plus humiliantes et excitantes les unes que les autres, me tournant et me retournant sur le lit, mais sans aucune brutalité ; il jouait de mon corps comme d'un instrument, m'arrachant des gémissements et des supplications ; ses mains et sa bouche savaient parfaitement quoi faire pour m'amener tout près de l'orgasme sans jamais le déclencher, se retirant juste à temps et m'abandonnant dans une vague de frustration et de supplication.

Il caressait de manière savante et experte, explorant de son regard, de ses mains, de sa langue et de ses lèvres toutes les parties de mon corps, mais jamais là où je l'attendais.

Lorsqu'il me faisait mettre sur le ventre, il massait longuement mes fesses, les écartant, les tapotant, inspectant et refouillant de manière experte mon petit trou en disant " mignon ce petit et tu pourras dire et fièrement " plus vierge " .

Il examina très longuement mes couilles et mon sexe, semblant prendre un réel plaisir de voyeur, penché juste au-dessus au point que je sentais son souffle court, me branlant, tantôt en faisant saillir complètement et de manière tendue tout mon gland, tantôt le re-calottant et me branlant par-dessus. Il le mettait dans sa bouche presque amoureusement, l'aspirant, le suçant, le léchant à des endroits et d'une manière qui faisait dresser tout mon corps pour me presser davantage vers lui. Je mouillais sans fin, lubrifiant mon sexe et lui permettant des caresses bien coulissantes.

Après un temps qui me sembla infini, il me dit : " maintenant, tu vas pouvoir jouir, je te sens prêt. " toujours allongé sur le dos, lui se tenant à ma droite , en appui sur son coude gauche, il branlait et pinçait mon bout de sein de sa main gauche très dur et entreprit de me branler le sexe à fond de sa main droite, très profond, décalottant complètement le gland qui perlait des première gouttes, passant sa main dessus ce qui m'arrachait des sursauts et des gémissements de plaisir. " Regarde-moi droit dans les yeux, petit cochon, je veux sentir ton plaisir monter en même temps au bout de mes doigts et dans tes yeux ; je veux te posséder ainsi complètement ; tu es à moi, tu sens comme tu es à moi ! Je te possède à travers ton désir et ta folle envie de jouir ; tu aimes ce que je te fais, hein, dis-le ! Tu aimes ça mon petit salaud, mon petit cochon ! Allez, dis-le " et il continuait à me branler " oui, c'est trop bon, jamais on ne m'a fait ça, faites moi jouir, j'en peux plus ", dis-je.

Je ne savais plus ni qui j'étais ni où j'étais, je ne m'appartenais plus, j'accompagnais ses caresses pour tenter de les accentuer, allant au-devant de son mouvement pour tenter de l'accélérer, je rugissais et suppliais comme un damné sans plus aucune pudeur. Son regard accompagné d'un léger sourire, à la fois tendre et ferme, planté dans le mien me faisait sentir toute la domination qu'il exerçait sur moi. Et j'aimais ça ! Il faisait aller et venir sa main le long de mon sexe, accélérant ou ralentissant le rythme simplement pour me soumettre encore davantage et différer le plus possible mon explosion. " Je t’ en prie, laisse moi jouir maintenant, j'en ai tellement envie.. "

" Regarde-moi bien dans les yeux, je te l'ordonne, et jouis ! Maintenant ! ". 

Je partis dans un orgasme fulgurant, sentant ma semence jaillir haut sur mon ventre, dans une longue plainte que je ne pus réprimer, et cabrant tout mon corps ; et le plaisir intense dura, dura longtemps, longtemps, tant  qu'il sut l'accompagner, adoptant le rythme et les gestes parfaits au bon moment.

Quand tout mon corps retomba, apaisé et épuisé, il me dit " allez, je te laisse ; tâche de bien te reposer ". le lendemain, il n’etait plus là et seul sur mon lit je repensais à notre petite soirée ! " en solitaire.



 

Mon cousin Paul était reparti dans sa Bretagne natale , lui qui m’a apprit l’amour du sexe et ma dépucelé , le revérais-je………. Oui certainement mais quand ? ?……..

Par simon - Publié dans : histoire racontée
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