Mardi 25 mars 2 25 /03 /Mars 17:11

Ce matin , jour de Pâques malgré un temps incertain, j'ai décidé d'aller faire un jogging .

Je prévois un circuit de 8 km qui devrait me permettre de rentrer assez tôt pour prendre une douche et préparer mon repas , mon épouse étant absente cause hospitalisation ,

Mes prévisions étaient erronées. Sur les coups de 10 heures, au retour j'était à près de 2 km de chez moi, il est évident que je ne vais pas tarder à me faire saucer copieusement. Comme je suis dans mes réflexions un autre mec me rattrape. A peine m'a-t-il dépassé que la pluie se met à tomber avec force, une vraie pluie d'orage, soudaine, violente. En un instant, je suis trempé jusqu'aux os. Mon compagnon de route est dans le même état que moi bien évidemment et me précède de quelques foulés..il ralentit et je me retrouve a sa hauteur

----  un petit effort la maison au bout du chemin , c'est chez moi !

--- merci monsieur  ,car courir sous une pluie battante, même si on aime , cela n'a rien d'agréable !

--- Mais aujourd'hui, on est  bénis  garçon

Bien que sa maison soit proche, nous arrivons trempés et frigorifiés car cette pluie est glaciale. Une fois à l’intérieur, je lui indique la salle de bain et lui prête un peignoir. De retour dans la salle commune je lui sert un thé bien chaud et le fait asseoir sur un confortable canapé. je le laisse  seul, confortablement installé, au chaud, au calme et va à mon tour me doucher. 

 

 Ma douche prise, je reviens, m’assied à côté de lui.

---C'est bon d’être au chaud !

---Oui, c’est clair ! Je me voyais mal faire le reste du parcours sous ce déluge !

---ton prénom c'est quoi ? moi c'est Simon 62 ans

--- enchanté moi j'ai 20 ans et mon prénom est Hérvé

----T'habites loin ? On peut se tutoyer ?

---Oui bien sûr. J'habite à la cité des claires chênes.

---Tu comptes rentrer comment chez toi ? Tu peux téléphoner pour qu'on vienne te chercher si tu veux car je ne pense pas qu'il soit prudent de rentrer avec ces vêtements trempés. C'est un coup à attraper la crève !

---C'est gentil mais il n'y a personne chez moi. Je suis étudiant a Metz la semaine et vit seul.

---Je vois. Reste à la maison, moi aussi je vis seul cette semaine mon épouse est hospitalisé. Tu ne me déranges pas et en plus, ça me fera de la compagnie.

---Je ne sais si je dois accepter.

---Bien sûr que si ! De toute façon je vais laver nos habits et demain matin ils seront secs et tu pourras repartir à moins que quelqu'un t'attende…

C'est avec un large sourire plein de sous-entendus que je lui avait dit  ceci.

 Il me confirme "  je vis seul et que personne  m'attends ni aujourd'hui ni demain pas plus qu'après-demain ".

  je me lève, va mettre la machine en route et chercher dans le frigo de quoi nous faire un repas à la bonne franquette.

Bien calé dans ce canapé, ses paupières se font de plus en plus lourdes. Je le sens épuisé et agréablement bien dans ce lieu serein, chaud et accueillant.

Attaché a faire la cuisine, je sens une présence près de moi.

C'est Hervé qui est venu sans que je l'entende. Il est vrai que pieds nus sur ces tapis de qualité, en peignoir de bain, il ne fait aucun bruit en se déplaçant.

Pris par mon occupation, il me faut un moment pour réaliser qu'Hervé est tout près de moi.
Sa main effleure ma cuisse, son bras est passé derrière mon cou et son visage touche presque le mien. Surpris, je sursaute, ai un mouvement de recul. Le rouge me monte aux joues. Dans ce mouvement brusque, spontané, irréfléchi, mon peignoir s'ouvre offrant à sa vue mon intimité.

 Je deviens pour le coup cramoisi, tente de parler, . Bloqué, aucun son ne sort de ma bouche tandis qu'Hervé se rapproche encore plus près avec ce regard propre au chasseur qui sait tenir sa proie.

Je tente de m'écarter un peu plus lorsque je m'aperçois que son zob est raide comme la justice, quasiment à la verticale. Il est clair que son corps a un grand besoin d'être calmé, aimé, satisfait.

 en plus Il y a une bonne semaine que je n'ai pas joui !

Hérvé ne peus cacher son mat qui pointe  et ma dit " je ne pratique la masturbation que lorsque je ne peux plus faire autrement, j'ai souvent des érections spontanées ,et lorsque comme aujourd'hui je suis en chaleur, il n'est pas rare que le frottement de mon zob entre mes cuisses, lance ma purée sans autre action. Je sais que c'est idiot et que c'est une façon déguisée de me masturber mais je trouve cela moins salissant moralement que de faire ma lessive à la main. Question d'éducation certainement ! Oui, j'ai envie de faire l'amour ! "

---Cela se voit, Hervé je  vois.

---Mais le faire avec un homme, cela m'a rarement traversé l’ esprit, et lorsque cela est survenu j'en ai rejeté l'idée, quoique parfois…

C'est dans cette confusion d'esprit que je le sens se coller à moi, approcher sa bouche de la mienne et y poser un bisou. Fatigué physiquement, épuisé moralement, confus, troublé et, je dois bien l’avouer, excité comme il n'est pas possible, je ne le repousse pas.

Sentant ma faiblesse, mon trouble, mon indécision, sa main se pose sur ma cuisse, sa langue force ma bouche qui ne présente aucune réelle résistance.

 Nos salives se mélangent alors que sa main gagnant de l’assurance s'insinuent dans mon dos, sur mes épaules, sous mon peignoir largement ouvert maintenant. L'autre main, sur ma cuisse  remonte pour atteindre son but : mon zob qu'il commence à caresser.

 Je me sens à la fois honteux et heureux a mon age avec Hérvé qui pourait etre largement mon fils.

J'en rejette l'idée mais son contact, cette douceur me plaist, me font un grand bien.
Cette main sur mon zob, son lent va-et-vient, me procurent des sensations divines. Je défaille presque tellement tout cela est bon. Il défait ma ceinture, dernier rempart de mon habit et me voilà nu entre ses bras. Il me caresse la poitrine, lâche ma bouche pour me mordiller les tétons, les lécher, les embrasser. Je ferme les yeux, la tête rejetée en arrière pour mieux respirer. Quand je les rouvre, il a enlevé son peignoir. Il se lève, m'attire à lui. Passif, obéissant, apathique, je me lève comme dans un rêve. Il me prend par les fesses, me plaque à lui.

Cette position debout lui redonne du tonus. Il me semble qu'il  vient d'accepter ce qu'il  considérait comme l'inacceptable : faire l'amour avec un homme !

 Je suis très chaud, en manque, mon corps exige ce que mon esprit a du mal à accepter encore totalement. Plaqué à lui, c'est moi qui approche ma bouche de la sienne pour l'embrasser. Puis je descends sur son cou, l'embrasse, le lèche. L'envie de lui, de n'importe qui peut-être me guide, me fait agir, réagir enfin ! Je me lâche, mon besoin brise mes dernières résistances. Je me penche alors, le lèche, l'embrasse sur la poitrine. Le bruit de nos respirations se fait de plus en plus sonore. Tandis que j'arrive à son nombril, je réalise que j'atteins la limite des jeux enfantins. Plus rien ne peut m'arrêter maintenant. Je suis en transe, en rut, c'est mon animalité qui prend le dessus ! Je me laisse tomber sur les genoux. Lui me laisse faire, savourant certainement mes caresses mais surtout sa victoire sur ma timidité, mes craintes, mes complexes, mes interdits. Je sens contre ma gorge, son zob dur comme de la pierre. Il est là, tressautant, une goutte de pré-sperme à l'extrémité du méat. Je le saisis et sans hésitation le prends dans ma bouche. Je le branle lentement. Je lève les yeux. Il me sourit reconnaissant, satisfait, heureux. Je lui caresse les bourses. Sa respiration s'accélère. C'est lui maintenant qui ferme les yeux, cherche un nouveau souffle. Je me relève, le prends dans mes bras et lui plaque un baiser tout aussi passionné que mon éreinte.

  • Je savais que tu étais un garçon merveilleux. Aime-moi fort. J'ai envie, très envie.

Soudain, il me semble aussi troublé que moi. Nous sommes sur la même longueur d'onde, en phase. Il connaît les mêmes problèmes que moi, les mêmes envies, les mêmes frustrations. J'en suis sûr ! Vivre seul, tout seul, n'est pas bon pour la santé. Ca peut rendre fou ! Comme nous par exemple en ce moment. Ma décision est prise,

                                                                          je vais faire l'amour avec un minet ! 

                      Il vas avoir un rapport sexuel avec un papy!

Il vais m'aimer pour de vrai ! Peut-être pas par sentiment, mais par un besoin naturel, irrépressible.

                          Toute son éducation, toutes ses résolutions, toutes ses expériences, plus rien n’existe.

 Faire tout ce dont son corps a envie, sans tabous, sans interdits.
                                                                                               Aimer simplement. Aimer et prendre son pied !
                                C'est un besoin, pourquoi pas avec un papy ?

IL redescends et s’agenouille. Prends mon zob, le lèche avec tendresse .

 Je tente de lui communiquer mon plaisir. Ensuite il s'occupe de mes glaouies, de mon gland sur lequel il dépose de tout petits baisers. Ses mains parcourent mes fesses, l’arrière de mes cuisses. Il revient à mon zob, l'avale, vais et viens, prend garde à ne pas lui faire mal avec mes dents. Il joue avec mon gland, ma hampe. Il s’efforce de garder un rythme régulier pas trop rapide.

Mes mains  caressent ses cheveux, lui prennent la tête, lui poussent plus avant. Il a du mal à avaler entièrement son zob et se branle dans ma bouche pendant de longues minutes avant d’exploser.

Son sperme chaud se répand sur ma langue, contre mes joues, coule au fond de ma gorge, déborde sur mon menton. J’avale. Nettoie son pieu, son gland méticuleusement. Il se laisse tomber sur le canapé. Je m'allonge à côté de lui, l’embrasse tandis qu’il me branle lentement. De sa main libre, il me caresse les fesses, se focalise sur l’entrée de mon anus. Après quelques minutes de ce traitement, je jouis à mon tour. Nous sommes épuisées, heureux, apaisés.

---J'ai adoré.

---Moi aussi.

---Tu sais ? C'était la première fois avec un papy !

---Vrai ?

---Vrai !

---Ca me fait tout chose. J'espère ne pas avoir été trop brutal, assez prévenant !

---Oui, t'as été super ! . Je suis heureux.

--- ah! putain j'avais vraiment besoin d'une bonne vidange

---Mais dis-moi, tu as déjà fait l'amour quand même ?

---Non !

---Mais les filles ?

---Non ! Des flirts, quelques pelotages de poitrines, quelques baisers mais rien de plus.

---Alors t'es puceau ?

---Oui, complètement. Et c'est toi qui m'a dépucelé.

---Oh, non ! Pas encore ! Mais si tu veux, ce sera avec plaisir !

---Tu m'as fait gerber, ce que personne ne m'avait encore fait. Pourtant…

---Oui, c'est vrai, mais dépuceler c'est plus que ça !

--- ...........… ?? (pas de réponse)

---Tu veux que je te montre, nous sommes dans une position idéale.

---Pourquoi pas ? Mais fais doucement, je suis vierge tu l'as compris ?

---Bien sûr ! Je vais te faire connaître un grand moment !

---Tu fais doucement !

---Oui

Sur ce "oui" dit dans un murmure je me dégage, le fait mettre sur le ventre commence à lui caresser le bas du dos, les fesses. 
 Je lui  introduit un doigt dans ma raie, presse légèrement sa rondelle tandis qu'avec ma langue je déclenche en lui une vague de plaisir aussi puissante qu’inattendue. Ma salive s’infiltre en lui.

 Mon doigt, si j'ose dire, creuse son trou en ce lieu qui se dilate lentement. Une érection un peu douloureuse se fait sentir sous ces sensations inconnues, intenses. mon doigt le pénètre.

 Quelque chose en lui refuse cette intromission, il se contracte.

 Alors Hervé, se retire, je lui dis "  décontracte toi,  ne pense à rien, laisse faire,  c'est normal la première fois et  nous avons tout notre temps. "
 --- si nous n'y arrivons pas maintenant, nous réessaierons plus tard.

 je fait preuve d'une patience exemplaire.
 Hérve fait des efforts pour être le plus décontract possible, car au fond de moi, de minute en minute, l'envie d'aller plus loin augmente. Mon doigt est maintenant entièrement dans son trou et mes mouvements de "crochet" contre la prostate sont des révélations de plaisirs jamais connus et fantastiques. j' entre, ressort, 'écarte les fesses et dans son trou  s'ouvre de plus en plus je crache ,huilant de plus en plus profondément.
C'est alors que lui dit "  Ne bouge pas, je reviens. "

Il est allongé sur ce canapé, détendu, décontracté, expectatif, en attente de la suite.

  herve_2008.jpg Jamais en entrant ici, il n'aurais cru faire autant de découvertes, avoir autant de plaisirs et surtout découvrir la joie de faire l'amour autrement qu'en solitaire. Durant cette pause, courte de fait, il medit "j'ai l'impression que mon corps s'ouvre de plus en plus . Je suis entre réalité et rêves, dans un monde fait de bien-être, de douceur, d'amour ".

 Tandis que  rêve éveillé Hervé  je reviens  et reprend son dépucelage où je l'avait laissé.
 Mais cette fois, c'est une pommade qui a remplacé ma salive et tout change du point de vue des sensations. mon doigt entre, ressort, tourne, coulisse dans ses boyaux sans aucun frottement. C'est délicieux ! Non ! Il n'y a pas un mais deux doigts maintenant qui font le voyage dans son intimité.
 De constater ceci me remplit d'une joie que je ne saurai décrire. C'est comme une victoire, une récompense pour tout le travail préparatoire que laisse  faire Hervé ,avec douceur et patience, la fin d'une attente quasi inconsciente . Longtemps encore je le doigte. Dans le silence, le calme de cette pièce, sous mes caresses intimes Hervé, petit à petit , perds la notion du temps, de la réalité. Je le baigne dans une douce euphorie. 

 

Soudain j'ai cessé de travailler sa rondelle. je me redresse, m’allonge sur lui.

Comme il réagis à ce changement qui le sort de sa léthargie, je lui lèche une oreille en lui chuchotant des mots doux, des injonctions à rester calme. je lui dis " je t'adore, tu es beau ,tu vas connaître les joies de ne  plus  faire qu'un avec moi.
Tout en disant ceci, je m'écrase un peu plus de mon poids et je sens distinctement mon zob prendre la place de mes doigts et commencer son intermission.

Première réaction : il serre les fesses.

D'autres chuchotements pour lui demander de rester calme, décontracté.

JE  fais ce que je peux, dit-il  mais c'est d'abord une douleur plus qu'un plaisir que je ressens. Je commence à regretter d'avoir accepté cette expérience que je désirai tant.

A peine ses pensées apparaissent que de nouvelles sensations viennent les chasser.  herve2_2008.jpg
Je m'enfonce en lui, ses boyaux s'ouvrent devant mon zob .

 C'est un feu d'artifice. Plus de douleurs, plus de regrets ! Hervé participe aux vas et vient avec moi , lentement, profondément, il ne sais plus où il  habite, et ce qu'i ressens précisément. 

 Je réagis bestialement. son corps  m'appartient . Nous ondulons en cadence. Nos respirations sont profondes, haletantes, en rythme l’une avec l’autre. Je glisse mes mains sous mon bassin, le relève et c'est en position de la levrette que je le baise. Il gémis de plaisir.

Je sens que ce plaisir augmente encore et encore tandis qu'Hervé complètement libéré me réclame plus en plus d'énergie. Je voudrai que ce moment ne s'arrête jamais.

---arrete Simon je voudrais aussi te prendre

ma main pris la bite d"Hérvé et le branla energiquement pour la faire raidir comme de la pierre et dans une souplesse majestueuse je me retrouva sous Hérvé

  Hervé entre entièrement en moi et je voudrais qu'il y reste pour toujours ! 
il va éclater, il est énorme, immense, douloureux ! Nous sommes en sueur.
Je gémis sans retenue pousse des cris d'encouragement pour qu'Hervé me baise sans fin.
Qu'il tienne ! Mon dieu, qu'il tienne ! Que jamais ce plaisir, ce bonheur ne cessent ! Il dure, il dure, cesse quand Hervé pousse des cris sauvages, libérateurs et que je sens pour la première fois son liquide lancé avec force, par saccades se répandre en moi, prendre possession de mes boyaux, emplir mon ventre.
Il envoie son yop sans contrôle, sans retenue
 Ma réaction ne se fait pas attendre. . Je ne sais plus qui je suis, où je suis. Je ne suis que bonheur, plaisir, satisfaction, épuisement.
 Hervé se couche sur moi, nos corps se colle ,et me prend dans ses bras. Nous nous écroulons et restons  ainsi de très longues minutes enlacés, sans mot dire !

Ce soir je couche avec Hervé, nous dormirons ensemble.

A suivre…

Par simon - Publié dans : ma vie
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