Dimanche 6 avril 7 06 /04 /Avr 17:12

Une affaire de famille raconté par mon petit fils Karim

Un jour d’août 2007

 

--

 

A poil devant l’ ordi de mon pépère (oui j’ai le droit quand je passe le voir) , la queue congestionnée en regardant une vidéo préféré de mon papy. .

Alors je fais ce que je n'ai encore jamais osé faire. Je m'inscris. Un pseudo un peut aguicheur , un pswd et en quelques secondes j’ apparais dans la liste des new inscrits.

Mon premier message est simplet, anodin, lisse comme il n'est pas permis : "Bonjour à tous"

Mon" bonjour à tous" à peine affiché à l'écran, mon beau jeune homme me contacte

Comment sais-je qu'il est beau ? …..Elucubrations !…. Simples élucubrations dopées par des fantasmes d'un jeune qui vit encore dans le monde de Disney et des princes charmants !

 

 

j'ai une folle envie de répondre à ce mec qui dit avoir 21 ans ? ? ?, semble sympa et a une façon de se présenter qui me séduit. Pourquoi ? Je ne saurais le dire mais les mots qu'il emploie, sa manière de faire ses demandes trouvent en moi un écho favorable, émoustillant. Il m'excite avec des mots simples, apparemment innocents.

Soudain il me dit " " Je me caresse sans oser aller plus loin dans la réalisation de mes désirs. Dans le bois de Tilly on de trouve que des vieux, certains même très vieux.

--ah ! bon tu connais c bois ?

--bien sur ,mais toi aussi alors tu habiterai la même ville que moi ?

--non je suis en vacances chez mon papy

--T avec un vieux ,,, Physiquement ils ne m'attirent pas ! Beaucoup me dégoûtent et j'ai bien du mal à comprendre que de vieux machins comme ça courent encore après d'autres mecs ! " "

 

--Ah ! bon tu crois ça . ( je ne suis pas du tout de sont avis malgrés mon jeune age )

 

-- " " Pourquoi faire ? Moi je croyais qu'à cet âge on n'avait plus de besoins, plus d'envies, qu'on était impuissant, les couilles vidées pour toujours, que la bandaison n'était plus qu'un souvenir. A les voir ainsi, je les pense tous, vicieux, pervers.

 " ".

 

--Moi, ce dont je rêve, ce sont des relations amoureuses avec des jeunes de mon âge ou guère plus âgés.

 

 

Sa réponse inattendue, est comme un coup de poing en pleine figure ! "  ça de dis de baizer ".

La bouche subitement sèche, fébrile, tremblant, la sueur coulant le long de ma colonne vertébrale, j'engage la conversation. Bien vite il me pose des questions me demande de me présenter, de lui dire mes goûts, ce que je cherche. Tout ému, je rate les touches du clavier alors qu'il tape tel une mitrailleuse.

J'arrive même à bafouiller sur l’ ordi ! Fortiche non !

Dire si je suis dans un état second ! J'ai l'impression d'être godiche. Cela ne m'empêche pas de dire ce que je n'ai encore jamais dit à personne.

Il me devine, me dévoile, me confesse. Il me trouve sympa, me demande un rendez-vous

Paniqué, la situation m'échappant, je refuse.

Il insiste, me demande de justifier mon refus. Il l'emportera haut la main : j'accepte !

--OK Je t’attend demain à 14 heures au coin de deux routes ,au parking à l’entrée du bois , tu connais ? j’y serai avec mon scouter rouge ,soit a l’heure j’aime pas attendre.

--OUI ,OUI promis ( je m’y promène souvent avec mon pépère).

 

Inutile de dire que ma nuit n'a pas été réparatrice. Masturbations, rêves érotiques l'ont accompagnée.
Au réveil, j'ai la tête dans le cul !
Je fais une toilette approfondie de mon corps. Je ne me lave pas, je me récure. Je choisis les vêtements qui me mettent, à mon avis, en valeur, me laissent à l'aise et me permettront de me déshabiller sans difficulté si…. Mon émoi est tel que ma queue ne débande pratiquement pas de la matinée. Ma liqueur d'amour inonde le bout de ma tige en permanence. Si je ne me calme pas, je vais avoir les burnes asséchées à 14 heures. Il est midi, je n'ai pas faim. Le réveil aussi montre des faiblesse, il n'avance pas !

  Il n'est que 13h30 lorsque j'arrive sur le lieu du rendez-vous.
J'ai l'impression que tous ces gens qui passent sont au parfum de la raison pour laquelle je suis ici. J'ai la bouche sèche, ai du mal à déglutir. Ma tête est en feu. Pourtant ce lieu est bien anodin. Pas un homo en vue ! Des gens tout à fait ordinaires qui vont et viennent. Mais pour moi, ce n'est pas un jour ordinaire ! Enfin un scouter ralentit va se garer sur le parking qui est à environ cent mètres d'ici. Un jeune homme en descend, regarde avec insistance dans ma direction. Le look sportif, plutôt massif, 1,80 mètres environ, il enlève le casque cheveux courts, peignés en brosse, il ressemble assez bien à la description qu'il m'a faite de lui. Il tourne autour, ouvre le coffre, semble y chercher quelque chose , sort un autre casque , puis discrètement fait un signe en ma direction. J'hésite.
 J'hésite car je vais faire le geste qui va me faire pénétrer dans un monde nouveau, un monde que j'ai envie de connaître depuis longtemps, qui va me délivrer une réalité espérée et appréhendée ! Mes peurs m'assaillent, mes doutes me submergent. J'avance comme un automate. C'est dans un brouillard complet, avec l'impression de faire la plus grosse bêtise de ma vie et l'envie irrépressible de la faire que je m'approche

--Mais je te connais toi

--Oui moi aussi je crois

--tu es pas le petit fils de Simon

--si pour quoi tu connais mon pépère

--bien sur je le connais c’est mon tonton

--ton prénom c’est quoi ?

--Robert  21 ans et toi ?

--moi c ‘est Karim 18 ans

--super Karim on vas faire ça en famille

--heuuuu….. oui

--aller met le casque et monte derrière moi

j’ai juste le temps de faire le tour de sa taille qu’il démarre presque aussitôt.

Nous roulons depuis un moment lorsque je sors enfin de mon mutisme pour lui poser la question qui traduit toute mon angoisse du moment.

--Où allons-nous ?

--Dans un coin tranquille où nous ne risquons pas d'être dérangés.
Tu connais le lieu dit "Les Communs" près de la rivière ?

--Non

--C'est un endroit charmant, isolé où seuls les oiseaux viennent troubler la quiétude du lieu. J'y vais souvent m'y faire bronzer quand il fait beau.

--Et t'y amènes tes conquêtes !

--Comme tu y vas ! Tu me sembles bien fébrile. T'as un problème ? T'as peur ?

--Non. Oui. C'est à dire...

--Tu sors souvent avec des mecs ?

--C'est à dire…

--C'est la première fois, pas vrai ?

--Oui !

--Je m'en doutais. Ne crains rien. Je ne te ferai aucun mal. C'est un honneur de dépuceler un jeunot. On ne fera que ce que tu veux. Mais t'as raison d'avoir peur. T'aurais pu tomber sur un vicieux, un salaud. Il y a des malades partout, tu sais !

Tout en conduisant, il avance sa main et la pose sur ma cuisse. Comme je fais un geste de recul, il reprend :

 

--Calme-toi ! Laisse –toi aller ! Tu verras. On va bien s'amuser tous les deux. Je suis certain que tu vas aimer. T'es beau, tu sais ? T'aimes pas les filles ?

--Je sais pas. J'en ai jamais connu. Je veux dire comme meuf.

--Et les mecs ?

--T'es le premier.

--Alors c'est la grande première ! Tu sais ce que tu veux ?

-- .!.!.!.!.!

--Je veux dire qu'est-ce que tu préfères qu'on fasse ?

--Ch'ai pas ! A part m'branler devant des vidéos, je n'ai encore rien fait.

--Même pas avec les copains ?

--Même pas ! J'ai jamais osé ! Et puis il y a tous ceux qui se moquent, cherchent des noises, vous emmerdent…

Pendant tout ce dialogue sa main est restée sur ma cuisse. Je bande comme un fou.

Je garde les yeux fixés sur la route devant moi. Nous roulons encore un moment avant qu'il ne prenne un chemin forestier juste assez large pour le scouter. Nous roulons ainsi un moment jusqu'à ce que le chemin s'arrête .

Il coupe le contact se tourne vers moi me sourit. Sa main reprend possession de ma cuisse qu'il commence à caresser, tandis que sa bouche s'approche dangereusement de la mienne. On avait même pas encore enlevé les casques.

Toutes mes craintes me reprennent. J'ai une folle envie de retourner chez moi en courant.
Mais il est bien tard et d'un autre côté j'ai espéré ce moment depuis si longtemps qu'il serait stupide de partir maintenant ! Je reste là, scotché contre ke scouter. Sa main remonte sur la bosse que fait ma bite le long de ma cuisse et commence à la caresser doucement

tandis que ses lèvres se plaquent sur les miennes. Il a passé un bras  derrière ma tête et c'est avec une grande douceur, une grande fermeté qu'il force mon entrée. C'est la première fois qu'on me roule une pelle !

Je suis surpris, me laisse faire, ne pense même pas à y répondre. Je suis immobile, tétanisé. J'ai depuis un moment fermé les yeux. Passif, je me laisse faire, découvrant par mon corps toutes ces sensations nouvelles qui font courir les hommes les uns vers les autres. C'est bon, je me décontracte un peu sentant que Robert,  ne me brusque pas, qu'il est tendre, doux, sensuel. Sa bouche se fait plus gourmande. Je commence à réagir à cette caresse inconnue que je trouve agréable. Il se recule, me regarde dans les yeux tandis que sa main enserre fermement ma tige.

--Tu aimes ?

--Oui !

--C'est comment ?

--C'est bon !

--Alors laisse toi aller, ce sera encore meilleur !

Là dessus il s'écarte suffisamment de moi pour passer ses mains dans l'élastique de mon pantalon. Devant sa demande non formulée oralement, je frétille mon bassin. Il baisse mon froc jusque sur mes genoux.

Comme dirait ma mère, toute ma marchandise est exposée à l'étalage ! De la belle marchandise je vous jure ! Une queue bien raide, bien droite, émergeant d'une belle touffe triangulaire de poils noirs, bien fournis.

Il prend appui sur le scouter tandis que de sa bouche il gobe mon gland, l'embrasse, le lèche. Je frissonne sous ces attouchements inconnus. Mon bassin répond immédiatement à cette première approche, j'entre, incrédule, dans un nouveau monde. De sa bouche il me pipe, de sa main il me caresse les couilles.

 

--Oh, oui ! J'aime ! Oh, c'est bon ! C'est bon ! J'aurai jamais cru que ce soit si bon ! Parole !

Ces mots sortent de ma bouche sans préméditation, indépendamment de ma volonté. Arc-bouté sur le bord du siège mon bassin se soulève, va au devant de sa bouche, se tortille de droite à gauche. Je ne contrôle plus rien !

Il se relève, se tourne vers moi et avec un sourire d'une grande amabilité, plein de douceur, de gentillesse, me dit me fixant de ses beaux yeux bleus : "Tu es beau tu sais !".

Où suis-je ? Que fais-je ?

Bêtement je réponds : "Oui"

Il sourit un peu plus intensément, devient presque paternel et reprend sa sucette. Moi, je lui prends la tête et commence à la lui caresser. Instinctivement je lui donne un rythme pour que sa succion soit la plus agréable possible. Il se laisse guider. Reprenant lentement mes esprits, devenant plus confiant, je passe une main sous sa chemise grande ouverte et la glisse sur son dos. Je sens alors la douce chaleur de ce corps qui dégage une impression de force lorsqu'il est debout et une impression de douceur infinie lorsque comme en ce moment il s'occupe de moi. Je pourrais jouir s'il me suçait avec plus d'ardeur mais il est à mon écoute et limite la puissance de ses succions, leurs vitesses pour que je puisse me contrôler. Je prends de l'assurance.

Maintenant mes craintes, mes peurs sont en grande partie inhibées. Ma main quitte le haut de son dos pour dégager sa chemise de son pantalon pour que je puisse lui caresser largement le dos.

Qu'il pompe bien ! C'est vraiment meilleur qu'une branlette solitaire ! Ma main cherche maintenant à se glisser sous sa ceinture pour aller lui caresser les fesses, je m'enhardis ! Mais le passage est trop étroit !

C'est le moment qu'il choisit pour se relever et me dire : 

--Viens ! Je vais te montrer mon coin secret.

--Si tu me le dis, il ne sera plus secret.

--Tu es beau, tu es pur, tu es innocent, j'ai confiance en toi. Viens ! On va s'aimer pour de vrai ! Je vais t'apprendre !

*****


Il pris un sac dans le coffre du scouter , mis les casques a la place , mis l’anti-vol et je le suivais.

Je me croyais arrivé mais le chemin dans les fourrés, les fougères, entre le scouter et son petit coin secret est long et compliqué. Au moins dix minutes de marche dans un dédale de sentes dont certaines à peine foulées du pied. Enfin nous arrivons près d'un petit ruisseau. Un lieu solitaire, clame, perdu dans la verdure où il semble qu'aucun homme ne soit encore venu. Il y a là juste assez se place pour nous deux. Il ouvre son sac et en sort une grande couverture qu'il étale sur l'herbe. Il retire ses chaussures, je l'imite.

Depuis que nous avions quitté le scouter , nous n'avions pas échangé un mot. Maintenant il me sourit s'approche, me prend dans ses bras.

--Je suis heureux de t'avoir rencontré, tu sais !

--Ah !

--Oui, parce que des hommes, il est facile d'en rencontrer, mais des mecs biens qui ne soient pas des obsédés, pressés de retrouver bobonne ou qui profitent d'une courte pause pour venir décharger en vitesse, c'est assez rare.

--Ah !

--Que t'es naïf ! C'est un plaisir d'être avec toi ! Tu sembles si pur ! C'est rare d'avoir l'occasion d'initier un puceau. C'est un honneur, une responsabilité.

--Ah, bon !

--Bien sûr ! Si je m'y prends mal, je peux te dégoûter à tout jamais de l'amour, du plaisir de faire l'amour. Tu es si tendre ! On parle de ces choses chez toi ?

--Non… jamais. Jamais , mais avec mon pépère on en a parlé

--Tu le regrettes ?

--…, Je crois. Je ne sais pas. J'aimerais savoir plus.

--Je vais t'apprendre. Laisse toi aller, sans crainte, sans pudeur, oublie tout ce que l'on t'a dit ou vu dans des films porno. Soit toi-même !

Disant ceci il pose sa tête à côté de la mienne, la cale sur mon épaule et commence à me caresser le dos. Il attaque aussi une série de baisers dans mon cou, sur ma nuque. Je suis comme un bébé dans ses bras. Il est d'une douceur, d'une tendresse, d'une prévenance infinies.

Je me sens faible, très faible. J'ai confiance en lui, m'abandonne totalement à ce garçon guère plus âgé que moi mais combien plus expérimenté, plus mature !

Je réalise alors que je suis passé à côté d'une catastrophe ! Si j'avais rencontrer un salopard, un baiseur inculte, une brute épaisse ! Je chasse vite cette idée, m'abandonne encore un peu plus dans les bras de mon initiateur.

Il me caresse le dos relève mon polo. Sa main s'insinue dans mon pantalon tenu par une ceinture élastique qui lui laisse le passage libre. Sa tête se plaque un peu plus à la mienne, son bras s'allonge et c'est à pleines mains maintenant qu'il me pelote les fesses. Il se détache de moi, me contourne, me laissant debout tandis que dans son mouvement tournant il ne quitte pas mon cul qu'il met complètement à l'air. Il est maintenant à genoux derrière moi. J'ai le pantalon sur les chevilles. Il m'a pris la taille. Ses mains me caressent les flans, les cuisses, les mollets, descendent, remontent. Sa langue me lèche les fesses, se glisse dans ma raie. , un doigt semble vouloir entrer mon intimité . Je me penche en avant pour lui permettre une intromission plus profonde.

Ma main se saisit de ma bite qu'il semble ignorée et qui demande qu'on s'occupe d'elle ! Je commence une série de va-et-vient le long de ce manche que j'adore branler.

Voyant ceci, avec sa main, il éloigne la mienne. Toujours sur les genoux, il me retourne. C'est alors sa bouche qui prend la place de ma main et commence une fellation qui me met en transe. Dès qu'il prend ma bite je ressens des sensations jamais connues ! Comme mon polo lui tombe sur le visage je l'enlève et me voilà nu le corps exposé à un petit vent qui ajoute aux sensations très agréables qu'il me procure ! Bien que me pipant, il n'a pas lâché mes fesses auxquelles il s'accroche et pétrit de belle manière. Je suis maintenant excité à mort, ! J'ai terriblement envie, envie de lui.

Alors je me penche, commence à lui caresser le dos mais sa chemise me gêne. Je tente de la lui ôter mais placé comme je le suis, ne le peux. Robert se redresse la défait, l'ôte rapidement, ôte aussi son pantalon, son slip puis reprend ma queue. J'ai son dos à disposition. De la nuque au bas de ses reins je le caresse comme je le sens, comme je le peux. Je suis gauche, je sens que je manque d'expérience. Je me penche de plus en plus et finis par me mettre à genoux, face à lui. Nous nous enlaçons. Nos bouches se plaquent, nous nous embrassons avec passion. Nous restons ainsi un long moment collés l'un à l'autre nous aspirant, nous suçant. Robert a pris nos deux queues et les branle de concert. Puis, me serrant plus fort dans ses bras, il se penche sur le côté, m'entraîne dans sa chute et nous voilà allongés face à face.

Plus à l'aise nous nous caressons mutuellement sur tout le corps. Ma main rencontre sa queue. La saisit. Je suis maintenant en pleine confiance, heureux d'avoir osé, d'avoir franchi le pas et surtout d'avoir rencontrer ce type extraordinaire. Il pourrait me demander n'importe quoi en ce moment je crois que je le ferais sans réfléchir !

Je suis fou comme tous les jeunes chiens, comme tous les amoureux ! C'est la première fois que je prends une queue qui n'est pas la mienne. Je suis surpris par sa chaleur sa dureté et sa douceur. Instinctivement je me déplace sur cette tige et découvre le plaisir de branler un mec. Sensation délicieuse. Plaisir de sentir que mon partenaire apprécie cette caresse. Ses couilles qui battent sur mes mains comme pour me rappeler qu'elles aussi ont besoin d'attentions. C'est une nouvelle découverte des plus agréables. Mais la peur de lui faire mal m'arrête. Je suspends mon geste. Je sais d'expérience qu'on ne peut faire n'importe quoi avec ces bijoux.
Alors Robert comprenant mon hésitation, prend les miennes, me montre comment m'y prendre, me conseille de la voix. Nous voici chacun avec les balloches de l'autre en main. Nos bouches se sont de nouveau réunies et nos langues tiennent un discours sans paroles très agréable.

Nous sommes bien ainsi. Je resterai là des heures il me semble à tripoter ces deux petites boules, en sentir leur volume, les faire glisser l'une contre l'autre, glisser ma main dans son entrecuisse, remonter sur sa toison. Je ne suis qu'un débutant, sans expérience, sans trop d'imagination. Il est beau, costaud, imberbe. Il me cajole, me considère, m'éduque, me respecte. Je voudrais rester ainsi avec lui pour toujours, que le temps s'arrête ! C'est trop bon, trop beau !

C'est pourquoi je suis surpris lorsqu'il se détache de moi, me place sur le dos et se met à quatre pattes au-dessus de moi. Bien vite je comprends. J'ai vu assez de vidéo pour connaître le nom de cette figure et son mode d'emploi ! Je suis naïf mais pas inculte !

Sans attendre, Robert s'empare de ma queue, la pompe. La sienne est placée où il faut. Après une très courte hésitation, je la prends. Je ne sais si vous vous rappeler la première fois que vous avez happé une bite, mais moi je ne sais trop comment faire. Alors de sa bite, à ses burnes, à sa toison, à son entrecuisse, jusqu'à sa raie, je suis Robert dans son parcours, je l'imite.

J'apprends à le pomper, à le lécher, à le sucer et découvre ses zones érogènes comme je lui livre les miennes par mes petits gémissements, mes petites contorsions mes petites contractions. Nous nous découvrons par anatomie comparée, par réactions partagées. Je découvre, bien partiellement encore, son corps, ses zones sensibles, ses réactions, les miennes. Cela dure un bon moment où en élève appliqué, j'essaie de faire de mon mieux, j'apprends les plaisirs d'explorer le corps d'un partenaire.
 Puis quelque chose change. Je perçois une sensation que je connais déjà, mais qui est plus globale, plus diffuse que d'habitude. Robert aussi change. Je sens que lui aussi commence à perdre les pédales, se contrôle moins bien. Subitement tout s'accélère. Nos mouvements s'amplifient, deviennent plus saccadés, nos respirations sont plus profondes. Les sensations deviennent plus fortes. Nous sommes de moins en moins doux. Nous ne nous maîtrisons de moins en moins. Les signes d'une jouissance proche se font nettement sentir. L'un comme l'autre nous savons que nous allons bientôt lâcher, dans une exposition, notre foutre. Explosion jouissive, libératrice.

Il n'y a plus de professeur, il n'y a plus d'élève.

Il n'y a plus de ma part ni peur, ni angoisse, ni crainte. Il n'y a qu'un grand besoin viscéral ! L'attente du plaisir charnel le plus total ! Nous allons jouir ! Nous sommes l'un comme l'autre proches de l'extase, proches de la jouissance, elle arrive ! Elle est là !

Je jouis le premier crachant ma semence principalement sur la poitrine de Robert. Aussitôt je me relâche, me laisse tomber comme lorsque je me masturbe en solitaire. J'abandonne Robert à son sort. Je devrais faire quelque chose pour lui ! J'en ai la vague conscience mais ne sais trop que faire. Alors Robert se redresse et à genoux se prend la queue en main et part dans un branle d'enfer qui ne dure que quelques instants. Toujours allongé sous lui, sur le dos, son cul au-dessus de ma gueule, ma langue lèche sa petite rondelle je sens son foutre tomber en pluie sur mon ventre, mes cuisses. Il pousse des cris puissants laissant tout son plaisir, toute son énergie se libérer dans ce cri sauvage qui retentit dans ce coin de forêt si paisible, si préservé, si loin du monde civilisé.

A peine cette averse terminée, il fait un demi-tour sur lui-même dégage sa jambe et retombe à côté de moi. Il m'entoure de ses bras et nous restons ainsi un long moment immobiles, silencieux. Je suis aux anges partagé entre un bonheur immense et le sentiment d'avoir perdu à tout jamais mon statut d'enfant.

Je ne suis pas encore un homme, mais par ce que je viens de vivre, de découvrir, je sais que mon regard sur moi-même, les autres ne sera plus jamais le même. J'ai entrevu un monde nouveau, un monde de sensations inconnues, un univers à explorer : mon corps ! Je n'ose pas bouger car je sens Robert endormi ou presque. Il a un bras sur ma poitrine qui m'empêche tout mouvement si je ne veux pas le brusquer. Un moment encore, il sort de sa torpeur. Il a récupéré ! Il lève sa tête, tourne son visage vers le mien, se penche, me sourit, me fait plusieurs petits bécots auxquels je réponds. Je suis bien, nous sommes bien ainsi enlacés, satisfaits, infiniment heureux. Moi, de mon professeur d'amour, lui, de son élève qui enfin a une bonne note à un devoir ! C'est que comme devoir, c'est un devoir très agréable, un devoir que j'ai bien envie de refaire et refaire !

--Alors ?

--Alors quoi ?

--T'as aimé ?

--Oui ! J'aurai jamais cru !

--Tu vois l'amour bien fait, c'est formidable !

--Oui !

---Tu recommenceras alors ?

--Oui, avec toi !

--Ne dis pas de bêtise ! J'ai été heureux avec toi mais pour l'instant on en reste là !

--Mais j'ai aimé, j'ai envie de recommencer avec toi. Tu es si gentil ! Tu sais tant de choses !

--Doucement mon grand, il ne faut pas confondre aimer quelqu'un et aimer faire l'amour !

--J'aime faire l'amour !

--Je suis heureux de t'avoir fait découvrir ce plaisir, mais tu as encore beaucoup à apprendre !

--Je veux apprendre avec toi !

--Ca je veux bien, mais pour le reste il n'en est pas question à ce jour.

--J'ai compris mais je t'aime quand même bien, tu sais ! D'ailleurs si je ne t'avais pas aimer dès le premier regard, jamais je ne t'aurais suivi.

Après ces bonnes paroles, paroles qui nous ont unis pour une assez longue période d'apprentissage, nous sommes allés à la rivière nous laver. Le reste de l'après-midi, nous avons profité du soleil encore bien chaud pour nous sécher, nous faire bronzer, se raconter nos vies. Ce n'est qu'assez tard que nous nous somme rhabillés pour rejoindre le pays des hommes.

--tu me déposes chez pépère

--ok ça me permettra de dire bonjour à tonton.

Arrivée devant la maison , Simon mon pépère et son tonton nous dis :

--tiens voila les tourtereaux !

nous avons rougis tous les deux et répondirent

--pourquoi tu dis ça ?

--a voir vos yeux briller , c’est pas au vieux singe que l’on apprend a faire des grimace et puis faut pas oublier de bien ranger la marchandise

on se regarda tous les deux de la tête aux pieds et partirent dans un grand fou rire , Robert n’avait pas remis son slip et omis la fermeture du pantalon ou là ,montrer le bout de son nez (s je peut dire) sa belle bite.

--Tu diras rien pépère , Robert ajouta  non STP tonton ne dis rien

--Bien sure que non les enfants ça sera notre secret entre nous

--Merci pépère , Merci tonton ,on savait que l’on pouvais compter sur toi

--Allez rentrer boire un jus de fruit et raconter moi un peu vos confidences

Voilà pourquoi l’histoire que vous venez de lire je la raconte sur ce blog.

Mon vœu aujourd'hui serait que tous les jeunes aient la chance d'avoir un éducateur expérimenté, de cette maturité, de cette largesse d'esprit, de cette sensibilité. Je pense qu'ainsi bien des déceptions, des malentendus, des drames pourraient être évités.
 Quel plaisir d'apprendre à faire l'amour, à le bien faire !
L'Amour avec un grand "A" est un ART qui se pratique à deux dans un respect mutuel pour le plus grand plaisir, la plus grande satisfaction de chacun ! Puissent les hommes s'aimer d'amour 

comme a dit un poète canadien

 

 QUAND LES HOMMES VIVRONT D'AMOUR
paroles et musique : Raymond Lévesque
Quand les hommes vivront d'amour,
Il n'y aura plus de misère
Et commenceront les beaux jours
Mais nous nous serons morts, mon frère
Quand les hommes vivront d'amour,
Ce sera la paix sur la terre
Les soldats seront troubadours,
Mais nous nous serons morts, mon frère
Dans la grande chaîne de la vie,
Où il fallait que nous passions,
Où il fallait que nous soyons,
Nous aurons eu la mauvaise partie
Quand les hommes vivront d'amour,
Il n'y aura plus de misère
Et commenceront les beaux jours,
Mais nous nous serons morts, mon frère
Mais quand les hommes vivront d'amour,
Qu'il n'y aura plus de misère
Peut-être songeront-ils un jour
À nous qui serons morts, mon frère
Nous qui aurons aux mauvais jours,
Dans la haine et puis dans la guerre
Cherché la paix, cherché l'amour,
Qu'ils connaîtront alors mon frère
Dans la grande chaîne de la vie,
Pour qu'il y ait un meilleur temps
Il faut toujours quelques perdants,
De la sagesse ici-bas c'est le prix
Quand les hommes vivront d'amour,
Il n'y aura plus de misère
Et commenceront les beaux jours,
Mais nous serons morts, mon frère.

 

 

 

Par simon - Publié dans : histoire racontée
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