lesbohommes

Mercredi 1 juillet 3 01 /07 /Juil 08:37
  je souhaite a tous les lecteurs d'agréables vacances

Jeux en tous genre


sur votre terrasse












avec votre copine              
ou entre filles



ou en forêt , dans un parc d'atractions







au bord d'un étang
 




mal vu les minets c'était pas moi j'étais encore a la maison

mais n'oubliez pas sortez couvert

gros bisous a vous tous

moi je reste chez moi je suis en vacances toute l'année pour vous écrire de nouvelles aventures



           


















alors si ça vous dit  je vous
Par simon - Publié dans : mes copains
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Dimanche 21 juin 7 21 /06 /Juin 17:35

.Histoire fiction ,imaginé pour mon fidel lecteur Theracles

 

Un jour alors que je me rendais en voiture chez un pote de 20 ans , qui m’avait invité pour une soirée.

IL était déjà venu , me baiser a domicile et m’avait dit "Simon pour un mec de 64 ans , ton cul est trop accueillant, je voudrais que tu viennes chez moi le partager avec mon frère jumeaux et en récompense tu pourras nous dépuceler  , c’est notre rêve ".

Suite a son invitation je partis les rejoindre.

Ça faisait plus de 100 km que j’étais seul , je conduisait en boxer , car sur cette route il y a pas mal de contrôle de gendarmerie et conduire a poil c’est pas sure que les flics apprécieraient

Soudain je vis un mec qui fait du stop.

Je m’arrête

*   salut je vais à Reims

*   monte moi aussi

au bout d'un moment je me rendis compte que je me sentais observé. Il regardais dans ma direction et me fit un grand sourire, je compris a quoi il faisait allusion, ses yeux fixés sur mon boxer ou une légère érection s’était formé du à mon imagination, je lui dit

* tu aime ?
* oui
* ta envie ?
* oui grave

Je commence par le caressé puis lui me caresse et je bandait grave, aussi dure qu'un bâton. Je le regarde et sourie a mon tour et il me dit

* pendant que tu conduis tu vais te sucer
* maintenant ? c’est un peu dangereux
* t'as qu'a ralentir
* humm ! ! ouéé ben….
* t'est lourd tu veux ou pas ?
* oui mais au prochain parking
* je veux maintenant

Je ne savait plus quoi dire, pour l'exciter encore plus je sortis ma bite et me branla devant lui. Il regardait hypnotisé et me caressa avec sa main droite puis me branla.

Quant a moi j'avais défait sa braguette et caressais sa bite a travers son slip. Il n'en pouvait plus le pauvre elle ne demandait qu'a sortir de sa prison et d'être a l'air alors je lui dis

* eh bin continue de me branlé
* tu aimerai être enculé ?
* super oui ,j’adore ta queue
* t'est chaud toi
* plus que tu ne le crois

Il baissais son pantalon et slip et je lui doigtais le cul pendant qu'il me branlait. N'en pouvant plus je m'arrêta sur une aire de repos et lui dit

* putain tu m’as chauffé vient ont va a l'arrière je vais m'occuper de ton cul
* avant je veux n'occuper de ta queue
* ok vas-y

J'ai enlevé mon boxer et à peine que j'avais ma queue dans sa bouche que je m'entendis gémir de plaisir, il faisait des va et viens dans sa bouche , lui tenant la tête pour pas qu’il se retire. Il continuait ainsi et tout en me suçant il mit un doigt dans mon cul, ce qui me fit gémir plus fort

* t'aime sa salope... t'inquiète tu va avoir plus gros à prendre tu pourras prendre ton pied
* oui vas y donne moi ta queue bien à fond que je la sente, fait moi gémir et gueulé
* t'inquiète salope tu va la prendre jusqu'àux couilles...je vais te baiser comme une pute en chaleur ……
* oh ouiiiiiiiiiii
* putain tu va me faire jouir retourne toi

Sur ce je me retourne , il me pencha en avant appuyé sur le capot de la voiture , il me doigte le cul avec un doigt, puis deux et 4 sont entré, il voyait que j'aimais cela alors il mit sa queue directe sans ménagement ce qui me fit criée de plaisir. Il faisait des vas et viens, ressortais et entrais dans mon cul, puis tout en m'embrasant , avec sa main me caressa ma queue et vit que je bandais toujours.

Il me releva et commença à me branler pendant qu'il m'enculait, je gémissais de plus belle et lui commençais à me défoncer encore plus.

* t'aime sa salope
* ouiiiiiiiiiiiiii
* je vais te remplir le cul
* han...han ouiiiiii
*
tu prends ton pied salope
* ouiiiii mon pote vas ëtre heureux mon cul sera déjà lubrifié
* Quoi ? tu va à Reims pour te faire enculer ?

* ouéééé
* ton pote n'aura pas besoin de gel je vais te remplir comme une pute en rut

Il me labourait et me branlait et s'aperçut que je m'étais donné complètement a lui tiraillé entre le plaisir qu'il me donnait et l'endroit ou n'importe qui pouvais s'arrêter

* ta aimé ? ...hein vielle pute....t'as aimé?
* oh oui c'était bon tu baise comme un dieu

* dommage nos route se sépare à Reims

* Oui dommage , mais tu m’as bien lubrifié , pour ce soir je suis déjà en condition

* j’espère bien te revoir prochainement…..
* pourquoi pas , si tu passes par ici fait moi signe voici mon tel..06.03…….

nous re-prime la route ,tout en roulant il continuait a se branler , puis me dit " arrête toi "

je me gara sur le bas coté , il prit ma tête de force et entra sa bite dans ma bouche pour m’inonder de son nectar que je du avaler de force …

(faut pas exagerer) hummm c’était trop délicieux

 merci Théracles  pour les photos et à quand le réel???

Par simon
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Dimanche 14 juin 7 14 /06 /Juin 14:02
cette histoire remonte de quelques années en arrière , 2 jeunes ados à l'époque et qui aujourdh'ui vivent ensemble et partage la même femme MIchelle qui leurs a donné a chacun un fils .
raconté par les auteurs et écris en collaboration de         avec moi et agrémenté de quelques photo du net
voir les articles précédents (Damien 1ère partie) - (Damien 2ème partie) - (Damien 3ème partie) et (Damien 4ème partie) si vous ne les avez pas encore lu.
voici la suite

Le soir venus

Après une bonne douche, je me suis allongé sur le canapé quand retentit la sonnette.

je mis ma robe de chambre et ouvris la porte

Karim attendait. Et dit

- bonsoir mec j’ai aucun endroit pour dormir tu peux m'héberger.

Il y a qu'une chambre si tu veux tu dors avec moi ?
 Riant il me dit:
-- t'en as pas eu assez hier ?
je lui dis : NON
t'es vraiment une putain toi t'es insatiable, ta faim de queue et de foutre ?
oui Karim j'ai faim

Il retira ma robe de chambre et vit que je bandais il me regarde et souris

hum en effet t'en a encore envie salope

je lui caresse les couilles à travers son survêt et il banda de suite

-t'es en chaleur toi, viens ont passe dans ta chambre

 

On passe donc dans la chambre et lui se met habillé sur le lit
désap moi me dit il
ouiii

Je prends un malin plaisir à le déshabiller
Il avait une queue puissante et super belle
Une fois tout nu il se met à califourchon sur moi et moi tjs sur le dos
Il me prend la tète et me baise la gueule avec sa queue
putain tu as une bonne petite gueule ma pute ,comme ton p'tit cul c'est aussi bon
Tout en me faisant bouffer sa queue il me doigte le cul sans ménagement
Il se retire de ma gueule et me relève les jambes sur ses épaules et s'enduit la queue de gel
Je sens son gland forcer mon trou et dans un cri de plaisir il commence à me baiser assez violemment pensant qu'a son plaisir
Je prenais mon pied quand la porte s'ouvrit et Louis entre
Karim continuait à me baiser et d'un coup il accéléra et prit son pied en moi et dit

--c’est qui ce mec ?
houai c'est mon chéri
ah!!!!!!!
t'inquiète pas

Karim pu voir qu’il n’y avait pas que lui qui avais une grosse bite.

--- je comprend maintenant pour quoi tu a un cul bien dilaté

Et la il se met à lui dire
entre, t’en veux aussi ?
Louis entre et moi je lui dis
baise le chéri
ça vas pas la tête je suis pas une pute moi…..

--- Et bien ce soir tu seras la notre ......

Louis pris les cordes placées dans l’armoire et attacha Karim par les chevilles au lit et lui ficela les poignets dans le dos ensuite les couilles , le tous fortement puis attaché au bois de lit , Karim ne pouvais plus se défendre.

---non , non pas ça mon cul est vierge et le restera

---tu te trompes , fallait pas violer mon copain dans le bus avec tes potes et en plus l’obliger a niquer la fille de force

--- oui mais il a pris son pied , il a aimé

---peut être mais sur la contrainte ,mon copain malvoyant ne pouvais pas se défendre contre vous 3.

--- je m’excuse je savais pas..
--menteur.....

Il me regarda et commença à me branler la queue et vint me prendre la bouche pour un baiser viril
mon chéri était debout en train de nous regarder et sa queue était belle et bien tendue
Karim dis en me regardant
tu vas pas me faire baiser par ton chéri
— SI ,SI c’est le seul moyen de t’excuser
Sans répondre il prit ma queue dans la bouche et avant de pouvoir dire ouf mon chéri défonça Karim a sec

Des mots incompréhensibles sortaient de la bouche de karim entre deux va et vient de ma bite

-va-y Damien baise lui la gueule pour l’empêcher de crier

-il a un bon cul chéri ?

*oui bien serré , je vais élargire ça , son cul va devenir un garage a bite

Louis décula ,sorti de la pièce et revint avec une bouteille style " kro 1864 " , il enfonça le goulot dans le cul de Karim et força au maximum

Karim hurlait de douleur , Louis faisait toujours pression sur la bouteille qui entrait lentement

---pitié non pas ça , tous mais pas ça ......arrêtez je vous en supplie.

--- ah ! tu veux tous …..Ta voiture est garé ou ?

--- a 500 m au bout de la rue sur la petite place

---ok ok , bon en attendant Damien continue a lu baiser la bouche et avec tes mains maintient la bouteille pour qu’elle reste bien dans son cul.

Louis pris les clefs de la voiture et les fringues de Karim et partit quelques minutes.
Mon chéri de retour vint derrière moi , pris sa queue et la guida vers mon trou
Et d'un coup il entra moi
Je jouissais ,voulais arrêter, mais pas possible mon chéri me baisait et je commençait a jouir et fini par juter dans la bouche de Karim qui n’eu pas le choix que d’avaler. Quand a Louis arriva a sa jouissance il retira la bouteille et remplit les entrailles de karim.

--- voilà mec tu au même niveau que Damien une bonne salope. ,
--putain je n'aurai jamais cru que c'était si bon
--t'es comme moi tu as aimé
-- c 'est clair mec
--Tes potes pourront  baiser sans forcer ,une vrai pute  toi qui jouais au caïde , le patron du clan  avec  ton cul est bien ouvert , ils vont bien rire
--la honte pour moi PD moi PD j'y crois pas
--moi aussi allez encore un ptit coup , a toi Damien
--ouééé ça rentre comme dans du beurre , tu as le cul bien ouvert allez Louis remet lui ça bien a fond
--OUI OUI et toi Damien viens que je te suce
Louis le défonçait violament , sous les coups de butoir je n'avais rien a faire Karim me branlais avec sa bouche ,je lui juta dans la bouche Karim avala et dit entre deux gorgées
--hug ....oui encore.... pff .......aahhhh!! putain que c'est bon ....encore les mecs....
 -- tiens prend le mien et que je ne te revoie pas
-- je pourrai revenir ?
--On te faira signe allez file d’ici PD voici tes clefs de voiture.. dégage....

---mes fringues ils sont ou ?

---dans ta voiture

---je vais pas traverser toute la rue a poils il y a plein de monde dans cette grande avenue.

--- c’est pas notre problème allez dégage….

Karim avait du mal a marcher , de son cul bien ouvert s’échappait le sperme de Louis , rejoignit sa voiture sous les regard des passants surpris de voir un tel spectacle.


la semaine suivante de retour chez moi , Michelle me téléphona comme prévu
-allo Damien je peus passez chez toi
--tu es qui?
--
ben Michelle la fille du bus que tu a sauter
--Ah ! oui bien sure viens je t'attend , ma mère est là ne sois pas surprise c'est elle qui te recevra
--
ta mère est la?
--
t'inquiète apres on passe dans ma chambre , elle me laisse libre de recevoir qui je veus
-- j'arrive.....

Une demi heure plus tard...

La porte s’ouvrit, ma mère dit

-bonjour mademoiselle , c’est pourquoi ?

-bonjour madame , je viens voir Damien

-une fille qui viens voir mon Damien ! j’en reviens pas…il m’a jamais parlé de vous…..

-heuuu ! !ben ça fait pas longtemps….

Mais elle eu pas le temps de terminer sa phrase que ça mère cria de joie

-Damien … mon chéri tu as de la visite….une jolie fille

-fait la monter à ma chambre , je fini ma douche…..

-je suis contente pour lui ,j’avais tellement peur qu’il reste seul….

-n’ allez pas trop vite madame ………

ma mère l’accompagna a la chambre et lui dit

-entrez mademoiselle , il vas pas tarder.

Sortant de la douche et ayant toujours l’habitude d’être a poils dans la maison , je rentra dans ma chambre ainsi dévêtu .

-bonjour Damien ,Whaaaa !!  tu es encore plus beau nu

-bonjour Michelle , merci pour le compliment , mais excuse moi de m’avoir présenté nu devant toi

elle me dit : J'aime ta queue depuis qui tu m’as ramone la chatte dans le bus

Elle pris ma queue  en main et avant de la mettre dans sa bouche  dit :

- ne te gêna pas pour me la mettre jusqu'aux couilles

sa bouche  me massait le glan et je bandais encore plus
--Oh oui....hummmm c'est bon ouiiiiii ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii

-mais…Michelle arrête toi j’aime les mecs

-y a pas de mal a ça moi j’aime les fille et ce pas avec une fille que j’aurai un enfant

-Quoi…. Tu veux juste un enfant , c’est quoi ce délire

-oui et c’est toi que j’ai choisi

-Mais j’aime Louis faut que je lui en parle

-pas de soucis , parle lui , c’est signe que tu ne refuserai pas

-j’ en ai envie aussi c’est une bonne idée , mais je voudrais que cet enfant soit a moi aussi.

--Je resterai avec toi même si tu es gay et que Louis veux bien partager notre vie.

Au même moment la discution fut interrompu par un toc toc a la porte

-oui une seconde

-c’ est Louis , je peux entrer STP , je sais que tu es en compagnie , ta maman me la dit

-oui j’arrive

Devant la porte, je prit mon temps pour ouvrir la porte , a poil il voyait que je bandais à mort.

Il regarda ensuite la fille et d'un air complice ,et ajoute, j'avais qu'une envie c'est de te branlé et te faire jouir

-hummmm!!!! ouéé....
-Alors sale pute tu te fait caresser la queue par une fille ?

J'étais aux anges, je bandais plus ferme en sentant les doigts de Louis me ramoné le fion.

-Alors chienne tu gémis pas ?
-je veux que tu gémisses Damien ou je baise avec lui
dit Michelle

-Alors salope gémis …..

sans réponse Louis défonce mon cul de pute et Michelle me mord les couilles

.Oh oui j'aime....hummmmmmmm,
-oui continue c'est bon encore sale pute tu va me faire jouir...
--ohhhhhhhhhh ouiiiiiiiiiiiiiii vas y jute dans mon cul de lope

ce qu'il fit au bout de quelque mn avec un flot de sperme dans mon cul

--hummmmm oui c'est bon
--T'aime la bite aussi femelle ?tu en auras après si çate dit....

-oh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiii et repris sa suce.

Elle me parla et me dit : t'aime ?
Louis répondit a ma place : ohhhhhhh ouiiiiiiiiiiiiiiiiii voyant qu'il ne pourrait rien tiré de plus de moi car pris par le plaisir il continua satisfait  de regarder en se disant la meuf ont se là fera .......

--je viens ,je viens

--Stop dit Michelle donne moi ta semence je veus la sentir couler en moi en jetant sur le dos jambes écarté

--Vas y donne lui tous dit Louis

Mon sexe entra dans sa chatte et dans la seconde sécoué par de violents spam je me vidais en elle.

Elle croisa ces jambes autour de mes reins pour que je reste en elle jusqu'à ce que ma bite ressorte d’elle même bien molle

Louis maintenait son érection grâce a ma bouche.

Vingt minute plus tard , Michelle qui par sa bouche m’avait rebandé dit a Louis

-viens en moi et libère toi de ta semence comme Damien , j’en veux encore

il ne se fit pas prier sa bite entra jusqu’aux couilles dans la chatte en chaleur et donnant des coups de butoir comme il savais faire

Michelle hurlait de plaisir des " ohhhhhhh ouiiiiiiiiiiiiiiiiii…..vas y encore plus fort .. oh ! ouiiiiiiiiiiiiiiiiii " , a joutant "  Damien baise moi en même temps "

Je l'enculais et finit par jouir a nouveau dans son cul alors que lui remplissait Michelle l’empêchant a mon tour de se retirer

Il ne me dit rien car il savait que c'était inutile voyant le plaisir que je prenais.

Depuis ce jour j’avais 2 amours Louis et Michelle


3 mois plus tard….


Michelle nous annonça "je suis en ceinte qui est l’heureux père a votre avis ? "

Louis et moi se regardèrent et répondirent en un seul et même mot " MOI" "MOI"

Voyant les 2 hommes heureux de la nouvelle elle nous dit " je resterai avec vous , je serais votre pute "


6 mois plus tard…


Michelle mis au monde des jumeaux ,2 beaux mâles (Matthias,2kg8 et Mathis ,2kg6 et en plus rouquin)

.Depuis ce jour, nous vivons ensemble et ne me considère plus comme leur pute mais comme une bonne mère de famille qui se fait toujours baiser deux fois pour ne pas faire de jaloux.

Louis et moi continuons a  partager notre amour gay sous le regard de Michelle qui ne s'en lasse pas et alla même a  nous offir son frère

Nous nous aimons...en cœur et ma mère est comblé avec un seul fils , de plus est  " GAY ", se retrouver avec des petits enfants

elle est pas belle la vie.......

Par simon - Publié dans : histoire racontée
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Dimanche 31 mai 7 31 /05 /Mai 09:16
cette histoire remonte de quelques années en arrière , 2 jeunes ados à l'époque et qui aujourdh'ui vivent ensemble et partage la même femme MIchelle qui leurs a donné a chacun un fils .
raconté par les auteurs et écris en collaboration de         avec moi et agrémenté de quelques photo du net
voir les articles précédents (Damien 1ère partie) - (Damien 2ème partie) et (Damien 3ème partie)si vous ne les avez pas encore lu.
voici la suite

Après en dernière année de lycée Louis rentra à l’université de Médecine de Nancy , moi avec mon handicap de malvoyant je me dirigea vers un institut pour aider des gens comme moi.

L’absence de Louis me pesait .

Un jour, je pris le bus pour allez chez lui, comme les bus sont peu nombreux je décidais de prendre le plutôt celui de 6h30 ce qui me faisait arrivé a 8h en gare de Nancy ,ou Louis devait venir me chercher pour aller chez lui avant ces cours..

A mon réveille, toilette/douche + lavement de mon cul.
Je choisis mes affaires et décida d'y aller sans slip sous le survêt
avec l’aide de ma mère ,je me rendis à l'arrêt des bus et attendis qu'il arrive

Je monte, présente mon ticket au chauffeur. Je m'assis au milieu et le bus part, puis un mecs vient me voir et me dit

--Salut

--salut

--je peus m’installer près de toi ?

--oui pas de soucis

--tu gardes toujours tes lunettes sombre sur le nez ?

--Oui je suis malvoyant

--Désolé , excuse moi mec

--Tu es excusé , tu pouvais pas savoir..

--t'es PD ?

À cette question , surpris machinalement , je le regardais sans le voir en disant " NON " et me reposa la question ?

- t'es pas PD toi ?
- non !

Alors, il prit ma main et la posa sur son paquet et attendait de voir ma réaction. Je ne pus m'empêcher et me mis a bander sous mon survêt.

N'ayant pas de slip ça se vit de suite et le mec s'en aperçut.

- Alors toi , pas PD et ça t'excite rien que de me caresser ? Viens avec moi au fond du bus , il y a plus de place j’ai une belle queue pour toi !

Voyant mon refus il me prit de force et m'emmena au fond du bus et pendant le petit trajet je sentais qu'il se collait à moi et me fit sentir sa queue bien raide

Il me fit assoir entre ses potes et là je ne pouvais pas bougé, lui était resté debout face a moi.
Il dit à ses potes:

- j'amène une bonne pédale en chaleur, ça l'a excité quand je lui ai fait caressé ma queue ça l'a fait bander, il doit être en manque alors ont va lui donner ce qu'il désire.

- ouais, tu vas t'en prendre plein le fion pédale, en attendant suce mon pote.

Étant assis, j'étais à la bonne hauteur pour sucer. Celui qui était resté debout, sortit sa queue et me la présenta en semi-érection.

Voyant que je refusais, il fit un signe à ses potes qui me força à la sucer, ce que je fis.

- Ouais suce...continue sale pédale t'aimes la queue toi...hum ouais continue. Putain les mecs sortez vos queues, car c'est un bon suceur de bite.

Ce qu'ils firent, ils sortaient leur queue et ils bandaient de plus belle.

- ouais salope, vas-y tu vas avaler mon foutre... hum ouiiii vas y putain

Sur ses mots il me maintenait la tête pour que j'évite de la retirer, ses potes qui me maintenaient de plus belle, je ne pus qu'avaler tout son jus. Après avoir joui il retira sa queue et m'ordonna de sucer ses potes

Alors, je me penchais de gauche à droite afin de sucer ses potes.

-putain t'es une bonne suceuse toi tu va t'en prendre plein la gueule et avale ou je défonce ta petite gueule de pute que t'es !

Son pote me maintenait la tête et me jouit dans la gueule et j'ai du de nouveau avaler, idem pour le troisième qui a mis quelques minutes pour me remplir le gosier.

-bien, retourne-toi putain et montre ton cul de lope

-ça va pas la tête , pas question

-exécute ..sinon on te fou a poils et on confisque tes frigues.

-J’vais m'occuper de ton cul et le bourrer et laisse toi faire ou je te serre les couilles.

Je me retournais et présentai mon cul.

- non attends je vais te retiré ton survêt j'veux voir ton cul de lope

Il enleva mon survêt et découvrit un cul poilu, mais, bien ouvert. Il entra deux doigts dans mon fion et me dit

- t'aimes sa salope, tu te fais bien enculer souvent a en juger par la largeur de ton trou, t'es un garage a bite t'aimes te faire défoncer sans capote toi.

Il regarda ses potes retira ses doigts et mis d'un coup sec sa belle queue.

Il entendit mes gémissements, il voyait que je kiffais grave sa bite dans mon cul.

- Putain il aime ça les mecs, tu vas te la prendre entière et après tu te prendras ceux de mes potes sale putain
- ouais, en attendant suce-moi ,me dit un des deux mecs qui regardait la scène

- Hum trop top ton cul sa ce prends facile deux bites dedans ?

Il regardait son pote et se retira de mon cul, il fit lever celui que je suçais afin de s'allonger sur la banquette. machinalement je venais moi-même m'asseoir sur sa queue

- t'aimes ma queue putain et pendant que tu te fais enculer tu suces mon pote compris
- compris
répondis-je.

Il approcha sa queue bien raide et me pénétra la bouche,

- vas y suce le bien et n'oublie pas d'avaler comme t'aimes ça.
- ouais son cul aime la bonne teub en tout cas fit mon enculeur.
-
c'est une bonne putain, un trou a bite !
- un garage a bite qui aime se faire défoncer.
- vas-y putain suce le et je veux que tu jouisses de toi même
.

Le mec qui m'enculait finit par me remplir le cul de sa semence toute chaude, le sucé en fit autant dans ma gueule en maintenant ma tête. Celui qui m'avait dragué, m'encula encore quelques minutes et déchargea son foutre dans mon cul.

- ça c'est une bonne lope un trou a bite.
- maintenant que tu t'es bien fait enculer, branle-toi
- mais un de ses potes dit non j'ai une meilleure idée

L'autre le regardait interloqué il s'approcha de son pote pendant que le dernier me tenait et lui dit

-tu as vu la meuf au centre du bus , elle nous regarde depuis le début ,

-oui et alors !

-on bande encore j'ai idée

L'un deux alla a l'avant voir la fille et la trouva en train de se caressé sa chatte

-tu t’es bien rincé l’œil alors suit moi au fond du bus et discute pas

toute tremblante ,elle se dirigea vers le fond

-on pourrait l'enculer debout en branlant la pute elle doit aimer ça

-ouais, une bonne humiliation, ça va le faire jouir

-éh ! la meuf vire moi ta petite culotte

-Non

-Vire là ou si c’est moi qui l’enlève ton ptit cul vas s’en rappeler

-Ok ok je l’enlève

- met toi a genou ,sans commentaire et suce sa belle queue bien raide prêt a juter.

Elle l'avais à peine sucé que je jouis dans sa bouche pendant un certain temps.

-eh ! connasse avale tous sinon ton petit cul vas être dépucelé

la queue en bouche , pleine de jus , elle fit signe " Non NON " avec la tête

-j’ai dis avale tous , en lui enfonçant un doigt dans le cul
surprise elle avala tous
Mais, l'un d'eux remarqua que je bandais toujours et ils me firent lever, retournant la jeune fille et la maintenant de force son cul tourné vers moi
- OK, vas-y, encule la meuf
-
Pitie pitie pas ça
- Ta gueule conasse ,l’un d’eux dit-il en lui mettant s queue dans la bouche pour la faire taire.
- ouais je vais te faire jouir mec pendant que tu encule la meuf
- non pas elle
- toi ta gueule et donne-moi ton cul...mais… putain il a du foutre qui lui dégouline du cul
- Ça servira de lubrifiant !
 ils riaient tous
Sur ses mots il m'encula, ma queue dans la chatte de la fille ou je me branlais sur le regard attentif et curieux des autres. Je ne mis pas longtemps à jouir à nouveau et l'enculeur non plus. et a la fin j'avais les couilles vides et eux aussi.
On arriva en gare de Nancy, me suis rhabillé avec le foutre qui dégoulinais de mon cul et l'un d'eux s'approcha de moi et me fila sont tel portable.
- tiens te file mon tel si jamais tu veux recommencer , appelle moi je suis Karim.
- en tout cas t'est une bonne pute toi, un conseil ne va pas voir les keufs ou là je te défonce avec tous mes potes sans boire, ni mangé
.
Il me redoigta le cul et vit que j'étais bien ouvert et me regarde en souriant.
- t'as aimé en tout cas, non ?
- je lui répondis OH OUI karim
- t'es une vraie chienne, un garage a bite petite pute
la jeune fille etait sur le siège , tout en larmes , je lui dit
-désolé je ne voulais pas vous faire de mal

-pas grave j’en avais envie de toute façon , tu es super beau et je t’avais maté quand tu étais monté et il n'y avait que toi qui m'interessait et je suis ravis que c'est  que ta queue qui est entré en moi

-Merci c'est gentil ,mais je sais pas comment vous êtes car je suis malvoyant
-vous habitez à Metz ?
-oui et vous

-moi aussi on peut se revoir heuu….comment c’est votre prénom moi c Michelle

-Damien

-Ok donnez moi votre portable je vous appelle a notre retour la semaine prochaine 
 J'avais du mal a marcher, car mon cul me faisait mal, de plus ça dégoulinait pendant que je marchais.
Louis etait sur le quai , il me dit
-ben qu’est-ce qu’il t’arrive tu es bizard ?

-cheri j’ai été pris à parti par un groupe de mecs qui m’ont baisé sans merci et obliger à baiser une meuf

-une meuf ? t’as aimé….

-Je peus pas te dire mais elle veut me revoir….

-Ok !…OK !…tu montes a l'arrière vus l’état de ton joggin il y a une serviette pour ne pas tacher les sieges

et je lui répondis

-merci chéri je suis ravis de te retrouver j’ai une seul envie ‘baiser avec toi’

-moi aussi mon ange

le long du trajet , je racontai a Louis ce qui m’étais arrivée.

-j’ai même le tel du mec et de la fille

-pas vrais le tel du mec !

-ouéé tiens regarde..

-chéri j’ai une idée

-dit voir ?

-on l’appelle demain et on se venge pour qu’il s’en souvienne longtemps

-génial chéri je suis ok !

Arrivée a l’appartement Louis me fit couler un bon bain et me lava tout en me faisant plein de câlins et nous fîmes l’amour a tour de rôle dans la mousse , après un petit repas nous allions nous coucher.

Le matin nous prîmes un petit déjeuné copieux et mis au point notre vengeance.

Louis fit le numéro du portable et me dit :

-allez chéri attire la proie

--allo Karim
-oui c’est qui
-celui que tu a fait baiser hier , j’en ai encore envie , tu peux venir ce soir au 20 allée d’alsace

-j’y serai je suis a trois rue de là , je viens avec mes potes ?

-Non ….non je te veux seul

-Ok ! je vois que tu aimes ma grosse bite

-C’est clair j’en reveux , à ce soir

-Ok ! a ce soir

A suivre

Par simon - Publié dans : histoire racontée
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Jeudi 21 mai 4 21 /05 /Mai 08:59
cette histoire remonte de quelques années en arrière , 2 jeunes ados à l'époque et qui aujourdh'ui vivent ensemble et partage la même femme MIchelle qui leurs a donné a chacun un fils .
raconté par les auteurs et écris en collaboration de         avec moi et agrémenté de quelques photo du net
voir les articles précédents (Damien 1ère partie) er (Damien 2ème partie)si vous ne les avez pas encore lu.
voici la suite

.....................

Les nuits peuplées d’activités érotiques où chacun des amants recherchait des idées ou des positions improbables pour la plus grande jouissance de l’autre.

Mais les jours passent vite..

L’avant-veille du retour, Damien prit un air sombre et renfrogné dès le matin au réveil. Mamie s’en inquiéta :

- Qu’est-ce qu’il y a, mon chéri ?

- Rien, rien ! minauda le garçon.

- Si, si, intervint Louis, depuis ce matin tu fais la gueule ! Qu’est-ce que t’as ?

- Dis-le, chéri ! renchérit Madeleine en lui caressant les cheveux.

- Ben, c’est que…demain on rentre à la maison et…ce s’ra fini tout ça ! … Louis…

Il eut un sanglot et une larme perla à son œil. Il se cacha dans ses mains et ajouta dans un souffle :

- J’ai jamais passé de si bonnes vacances, ici. J’ai…j’ai eu de si bons moments avec vous deux et…demain c’est terminé !

- Mais pourquoi ça ? demanda Madeleine. Vous reviendrez aux grandes vacances !

- Oui, moi, mais pas mon copain Louis ! continua le jeune homme en sanglotant.

- T’es mignon, mon bébé ! Mais si, je reviendrai…si Mamie Madeleine veut bien de moi !

- Mais bien sûr, mes mignons ! Vous serez toujours les bienvenus et quand vous le voudrez !

- Merci, merci, à vous deux ! souffla encore Damien en entourant ses bras autour de sa grand mère et en embrassant la joue de Louis, attendri.

- En attendant, le pique-nique est prêt pour votre dernière virée dans les bois. Allez ! ouste, mauvaise troupe.

Les garçons foncèrent à la salle de bain pour s’habiller et une heure après, ils étaient sur la route du bois. Ils voulaient passer leur dernière journée de vacances, seuls et proches l’un de l’autre.

Ils roulèrent en silence, pendant une grosse heure,. Puis, ils profitèrent d’une halte-pipi pour manger quelques fruits secs avec une banane. Puis, Louis se rapprocha de Damien et le prit dans ses bras.

- C’est vrai que tu es malheureux de rentrer ?

- Oui, parce que je sais que lundi, tu seras repris par ta cour et que je reprendrais ma place dans ton ombre.
-Ma cour ? Monsieur me flatte ! Si tu parles de ces personnages qui m’entourent au lycée… Ma cour !! ça fait bien, mais…je peux me passer de cette cour. Bref, il est vrai que je devrai donner le change à notre relation.

En attendant, c’est toi qui es dans mes bras et c’est toi qui fait mon bonheur depuis treize jours.

Louis se pencha sur lui et le câlina quelques secondes avant de baiser ses lèvres fraîches. Il le caressa et doucement le cajolait. Ses mains descendirent sous le pull puis sous le tee-shirt pour agacer ses seins et caresser son ventre.
 Puis, il passa derrière lui, ôta le pull et le tee-shirt, et le plaquant sur son torse et sa tête sur son épaule, attaqua le zip du jeans et glissa ses mains dans le sous-vêtement bien rempli.
Damien se livra entièrement aux tendresses de son merveilleux amant, sachant qu’encore, il allait trouver le chemin de la félicité. Il ôta lui-même son jeans et son slip et écarta ses jambes pour faciliter les manipulations voluptueuses d’un Louis qui voulait faire connaître un bonheur certain à son jeune amoureux.
Tout en masturbant lentement et généreusement le membre viril fortement déployé du jeune garçon offert et déjà gémissant,
 il l’avait étalé sur son propre corps, se moulant sous lui, l’épousant entièrement.

Lorsqu’il ressentit le garçon exalté, Louis se délesta rapidement de ses vêtements et l’empalant sur lui, recommença à le flatter jusqu’à l’épanouissement total de ses sens. Damien pris par ses deux côtés sensibles, se contractait et se crispait dans un état proche du délire. Il tourna son visage vers celui de son possesseur et planta sa langue dans la bouche entrouverte du jeune homme.

-Prends…moi, Lou…ouiii j’aime…ça ! Tu es…en moi ! Prends-moi, mon…amour ! Aaaahhhh !

Il se contracta très fortement sur la racine de Louis et laissa son geyser éclater en jets furieux qui retombèrent littéralement en pluie sur leurs corps échauffés. Il fut secoué longuement par son extase sexuelle et s’effondra dans une espèce de coma jouissif. Le beau Louis transporté par la jouissance de Damien, cria en marmonnant :

- Damien, je…viens! Mon…bébé…je t’ai…me ! Damien ouiiiiiiii…je …v.iens en toi!

De nouveau, une seule et même coulée longue et forte que le garçon sentit monter très haut dans ses entrailles. Louis fut dévasté un bon moment en râlant la bouche grande ouverte. Puis, ils se regardèrent en souriant et s’octroyèrent quelques minutes de repos, les bras de Louis entourant le corps alangui de son trop bel amant.

Ils reprirent leur route vers l’objectif de leur ballade et visitèrent la ville, la main dans la main au vu de tous et sans en prendre ombrage. Après tout, ils pouvaient être frères !

Ils rentrèrent le soir à la nuit tombante, juste avant que Madeleine ne s’inquiète.

La dernière soirée. Le dîner terminé, ils restèrent avec Madeleine lui tenant compagnie pour le dernier soir de leurs vacances limousines, tenant à repousser le plus longtemps possible le temps de la séparation.

Puis, ce fut le temps d’aller se coucher. Ils embrassèrent tendrement la grand-mère émue et montèrent dans leur chambre.

La dernière nuit. Ils ne furent pas longs à faire leurs ablutions et s’étendirent sur le lit. Damien se tourna vers Louis et se roulant contre lui, commença à le couvrir de petits baisers légers.

Avant que Louis n’ait pu faire aucun mouvement, Damien était entre ses jambes pour lui offrir une vigoureuse fellation avec des trésors de caresses qui mit le beau brun dans un état de transes avancé. Au moment, où il se sentit partir, Louis s’écarta et vint flatter le pieu de chair de son jeune suceur pour lui assurer le même bonheur.

A son tour, le jeune garçon se sentit dans la forme nécessaire pour honorer son amant de belle façon. Il leva les jambes de Louis , caressant la rosette qui produisit de grand gémissant au bout de quelques minutes.

Alors, posant les talons du bel adolescent sur ses épaules, Damien se glissa lentement en lui en baisotant son front et sa bouche, titillant ses pointes de seins pour l’ouvrir encore. Une fois rendu au fond de l’intimité du ravissant jeune homme, il s’attarda en un long et profond va-et-vient qui mit Louis dans une émotion proche du délire, prononçant des mots sans suite, les yeux clos.

 Il caressa spasmodiquement les hanches et le dos de Damien en geignant plus fort. Il saisit son sexe turgescent et le secoua énergiquement.

Alors, Damien qui garda tous ses esprits et se contrôlant au mieux, le lui interdit en plaquant ses mains à côté de sa tête en murmurant :

- Non, mon chéri, ce soir est le mien ! Je suis le maître de ton plaisir ! Tu ne jouiras que quand je le voudrais......

Il continua un long moment à s’enfoncer dans le sombre endroit de Louis et enfin sentant la brûlure monter dans sa hampe et la crampe triturer son bas-ventre, il se contracta en cabrant ses reins, se planta au plus profond de son amant, fixa ses yeux fripés et dit :

- Maintenant, je vais…venir…en toi ! Je vais jouir…en toi, mon amour, maintenant ! Je t’aime, mon amour !

Il serra ses dents, crispa ses yeux et raidissant son corps laissa son flux jaillir intensément, se déversant comme un torrent dans la vallée intime de Louis qui le reçut entièrement en ondulant sur les draps fripés. Il s’effondra un moment sur lui dans un souffle de mourant.

Louis avait noué ses jambes autour de sa taille et continuait de caresser machinalement son dos et ses fesses. Il glissa sa main entre leurs corps enflammés et caressa leurs pubis, mélangeant leurs poils noirs délicatement.


Cette légère douceur éveilla Damien. Il se retira du secret endroit qui restituait sa semence en coulées, et s’allongeant sur le lit, badigeonna son œillet intime de sa crème anti-acné.
 Puis, se tournant vers Louis, il lui redonna une forme fabuleuse à l’aide de sa bouche et de ses lèvres fermes et douces. Quand, de nouveau, il ressentit l’âcreté du précum sur sa langue, Damien se rallongea sur le lit les jambes écartées et ouvrant ses bras à Louis, l’invita à un nouveau pas de deux. Le jeune homme s’étendit sur le corps offert et se réfugia dans les bras accueillants.
Il baisa les yeux, le nez, la bouche et le cou de Damien pendant qu’il glissait lentement en lui.

Enfoui au tréfonds du garçon, il commença à aller et venir en douceur durant un long moment, puis, avec plus de rapidité, voulant se donner davantage au jeune garçon qui prenait une place énorme dans sa vie.
 Damien se crispa pour recevoir son jus de mâle dans tout son intérieur, et râlant, dit :

- Viens, amour, viens…je t’attends ! Fécondes-moi !

Un jet long, intense, fort, épais. Un cri long, intense, mourant.

Puis, alors qu’il s’en étonnait lui-même, un deuxième jet aussi long que le premier qui inonda le fondement envahi ; enfin, un troisième tout aussi important. Il perdit l’esprit et s’écroula sur l’ado accroché à lui des bras et des jambes, inondé de semence, transi de désir et soudé à son corps. Louis s’endormit d’un coup, foudroyé par l’orgasme, anéanti de bonheur.

Ils s’éveillèrent après quelques heures de sommeil. Il était tard, déjà, mais pas assez pour se lever encore. Alors Damien se tourna vers Louis encore ensuqué, et lui baisant les lèvres, lui dit :

- C’est la dernière, garçon ! A Metz, on ne pourra plus, alors laisses-moi faire !

Louis s’extirpa des bras de Morphée pour tomber dans ceux de Eros. Les doigts, les mains, les lèvres, les cuisses, le sexe de Damien le conduisaient inexorablement vers le Nirvana des amants.

Quand il fut prêt, tremblant et frissonnant, Damien s’allongea et ouvrit ses bras pour l’inviter au voyage, il le fit asseoir sur son bas-ventre et l’enduisit de la crème médicale. Alors, il souleva les fesses de son ami en le fixant intensément et l’empala sur lui.
 Louis gémit un peu durant la sodomie et se posa à la hauteur du ventre du garçon. Damien s’enfouit au plus profond de son amour et manipula le sexe bandé à quelques centimètres de sa bouche.

Alors, une idée lui vint. Il glissa l’oreiller de Louis sous sa tête et tendant un peu le cou, absorba le sceptre de chair virile et frémissante pour le sucer avidement. Louis tressaillit en feulant d’un plaisir nouveau. A la fois, possédé et abouché, il n’avait jamais ressenti autant de béatitude. Une euphorie véritable l’habitait. Il savait qu’il allait jouir d’une façon inouïe. Il se posa sur ses genoux pour donner à Damien une aisance nécessaire à sa pénétration et se rapprochant du visage pénétra plus profondément la bouche de son possesseur.

La sensation le faisait grelotter de désir. Il se tint droit accroché au plaisir du garçon, étant à la fois, donneur et receveur d’une énorme jouissance. Il pinça les tétons durcis de Damien qui se cabra.

Damien s’accrochait à ses hanches et donnait de longs et puissants coups de son boutoir sexuel dans les profondeurs de sa chair et absorbant et mordillant le mandrin de son amant.

Alors, le soupir de Louis annonça la crispation des muscles intimes et la brûlure dans les hampes.

- Damien i, oh, mon Damien …Je viens…je…viens ! Damien …ji !

Aucune minute ne fut plus précieuse pour les deux jeunes gens : la contraction de son anneau provoqua immédiatement les puissantes coulées de Damien.
De son côté, la tiédeur de son lait et la force de son éjaculation ouvrirent les vannes de son fleuve crémeux dans le gosier de Damien.

Ce que l’un offrait d’un côté, l’autre le restituait de l’autre. Un cycle s’établit pendant plusieurs secondes entre eux.

Louis s’ôtant pour embrasser voluptueusement son amour d’enfant, sa laitance les nourrissant copieusement.

- Je t’aime vraiment, Damien. Tu viens de me donner le meilleur de toi, tu viens de me donner un moment de bonheur si…intense…si rare. Je…J’ai…Restes toujours mon ami, je t’en prie ! Moi aussi, je suis fécondé par ta sève. Je porte ta vie en moi. Je veux…Je t’aime pour de vrai !

- Je t’aime aussi, mon ange, mon amour, mon chéri. Viens !

Il le serra dans ses bras et le câlina longuement, toujours fiché dans l’intimité de son amant.

Quand soudain retenti :

- Vous venez les garçons, il est l’heure de se lever. Le petit déjeuner vous attend ! cria Mamie Madeleine, en bas des escaliers.

Les garçons descendirent de l’escalier comme à regret. Non de répondre à l’invitation de la grand-mère mais de quitter l’endroit où ils avaient connu de tels moments de bonheur intense. Louis avait posé sa main sur l’épaule de Damien et l’accompagnait à sa chaise, l’œil aussi morne que celui de son copain. Ils prirent le petit-déjeuner en silence, adressant quelques mots évasifs à Madeleine qui ressentait le malaise des enfants.

- Bon, les enfants ! Je ne voudrais pas vous presser, mais le car part dans une demi-heure. Avez-vous préparé vos valises ?

- Oui, oui, Mamie Madeleine, répondit Louis, nous les avons terminés hier soir avant de se coucher.

- Il ne reste plus qu’à mettre nos vêtements de nuit et la trousse de toilette. Y’en a pour trois minutes, ajouta Damien, le nez dans son bol.

Vingt minutes plus tard, ils attendaient tous les trois sur la place. Damien tenait sa grand-mère embrassée, son visage dans son cou en sanglotant un peu.

- Eh bien, eh bien, mon chéri ! Ne pleures pas, voyons ! Tu reviendras aux vacances d’Automne, comme d’habitude.

- Oui, mais…pas avec lui, chuchota Damien à l’oreille de sa mamie.

- Et pourquoi donc ? Bien sûr qu’il pourra revenir, quand il voudra. Allons, allons, sèches ces larmes ou tu vas me faire pleurer aussi !

- Au revoir, Mamie Madeleine ! dit Louis en se jetant à son tour dans les bras de la vieille dame. J’ai été très content de venir. Je vous remercie pour tout.

- A bientôt, mon petit ! Tu peux revenir quand tu le voudras.

- Merci, merci beaucoup !

Ils montèrent dans le car qui les ramena à la gare de Guéret en faisant de grands signes d’adieu à Madeleine jusqu’à sa disparition au premier virage.

Ils gagnèrent leurs places au fond du wagon 17 du train qui partit vers Metz à 10 h 32. Damien n’arrivait à se départir d’une tristesse bien réelle que Louis ne supporta qu’un temps.

- As-tu l’intention de ma faire la gueule jusqu’à Metz, Damien ?

- Je…j’ai…Oui ! Ou plutôt non, mais je suis…tellement…

- …triste de me quitter ?

- Te moques pas. Oui, j’ai passé les meilleures vacances de printemps depuis 15 ans. Grâce…

- …à moi, je sais ! et tu penses que ce sont les dernières qu’on passera ensemble…et que c’est fini entre nous, parce que…

- parce que…à partir de lundi, tu retrouves TA cour et moi l’ombre, gémit encore Damien une larme au coin de l’œil.

- MA cour…Tu sais que je t’aime, mon bébé ? Bien, puisque tu mets le problème sur le tapis, nous devons mettre un stratagème en place pour nous deux…

Louis expliqua son plan et parla longtemps de la façon dont il envisageait l’avenir pour leur couple.

Damien reprit des couleurs et des sourires sur son visage. Il lança un regard circulaire pour savoir qui pouvait les voir et s’assurant de la discrétion du lieu posa un baiser furtif sur les lèvres de Louis. Ils se quittèrent sur le trottoir de la maison de Damien, se serrant fort dans les bras l’un de l’autre et s’octroyant un dernier baiser tendre.

Les retrouvailles du lundi furent à la hauteur des espérances de Damien.

Comme prévu, Louis fut entouré de ses fans et accueillit par les gloussements de ses groupies, alors qu’il restait dans un coin de la cour. Néanmoins, sans voir son copain adulé, entouré, flatté, ne le perturbait pas plus que cela.

A quelques jours de là, Louis fut absent des cours. Damien téléphona pour prendre des nouvelles : le jeune homme était alité avec une bonne gastro-entérite, une des dernières de l’année.

- Tu peux m’apporter les cours, ce soir ? demanda-t-il, je ne voudrais pas prendre de retard dans mes cours…j’ai déjà pas mal de problèmes. Et puis…je voudrais te revoir !

- Pas de problème, mon chéri, reprit le jeune trop content de visiter son bel amour. A ce soir !

Vers dix-huit heures, il sonnait à la porte et après avoir salué la mère de Louis, qui le guida pour monter dans la chambre de l’ami très cher.

- Eh bien, mon pauvre amour !

- J’suis malade, mais pas mourant, quand même ! Viens là que je te dise bonjour correctement, mon bébé.

Damien se pencha sur son camarade et lui offrit ses lèvres qu’il prit en un baiser passionné.
Quinze minutes après, Damien avait remis ses cours sur le bureau et son corps nu dans les bras de Louis.

Vingt minutes après, ils s’étaient donnés mutuellement dans un orgasme fort agréable.

- Quand reviens-tu en classe ? demanda Damien en remettant son pantalon.

- Dans deux ou trois jours ! Tu sais, c’est la première fois que je…porte l’enfant d’un copain.

Damien surpris , éclata de rire en même temps que son bel ami.

Quelques jours plus tard, c’est Damien qui attrapa une vilaine grippe et son ami intime lui rendit le service des cours et une agréable branlée.

- A mon tour de porter notre enfant, décréta-t-il en l’embrassant.

Le même rire les gondola pendant plusieurs minutes.

Les deux garçons partirent ensemble chez grand-maman Alice en Vendée pour les vacances d’été et chez Mamie Madeleine pour celles d’Automne. où dans la forêt il se retrouvèrent tous les jours
 Inutile de préciser qu’ils ne se sont quittés d’une minute pendant tous leurs congés et plus jamais depuis cette année merveilleuse.


Au lycée, ils doivent encore composer avec les " copains " - qui ne comprendraient pas et qui n’ont pas à savoir - mais ils savent que leur amour est inaltérable, du moins pour les années de lycée.



Après…
c’est après, on verra !

















 En attendant Damien est heureux. Pour lui, Louis est et restera son amant. Encore pour longtemps.



A SUIVRE…

Par simon - Publié dans : histoire racontée
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Dimanche 17 mai 7 17 /05 /Mai 10:55
cette histoire remonte de quelques années en arrière , 2 jeunes ados à l'époque et qui aujourdh'ui vivent ensemble et partage la même femme MIchelle qui leurs a donné a chacun un fils .
raconté par les auteurs et écris en collaboration de   Jordy      avec moi et agrémenté de quelques photo du net
voir l'article précédent (Damien 1ère parie) si vous ne l'avez pas encore lu.
voici la suite

...........................

Ils conclurent leur baiser et s’endormirent dans les bras l’un de l’autre, quelques temps.

Au matin, ils furent réveillés par l’odeur des tartines grillées et du café au lait.

Le soir, les deux jeunes gens avaient remis en état le tandem grâce aux accessoires achetés au village et d’un coup de peinture anti-rouille. C’est devant un dîner de soupe de légumes et d’omelette aux champignons que Louis demanda :

- Mamie Madeleine, est-ce que vous nous autorisez à faire un pique-nique demain ? je voudrais profiter avec Damien un peut de nature sauvage, mais si on doit revenir pour manger

- Bah, oui ! Si vous voulez. Comment irez-vous ?

- Avec le tandem, Mamie, répondit Damien.

-Ah oui ! Le tandem ! Cela me rappelle tout plein de choses, ces vélos. Il nous a tellement servis pendant la Guerre. Dans les années cinquante, j’allais me promener avec Papy Paul dans la campagne avec ce vieux clou. Ensuite, ça a été ton père avec ton oncle Pierre qui allaient draguer les filles. Maintenant c’est toi, mon grand Damien. Comme le temps passe vite ! mais c’est dangereux pour toi qui ne voie pas.

-T’inquiète Mamie , je monte derrière mes yeux seront Louis.

-Dans ce cas , je fais confiance a Louis…

- Merci, Mamie dit Damien prêtant sa joue à sa grand-mère pour qu’elle y dépose une caresse.

- Bien ! Que voulez-vous regarder ce soir à la télé ? Variétés sur la Une ou film avec…Delon sur…Arte ?

- Delon ! Oui, j’adore, cria Louis, c’est quel film ?

- " Quand la femme s’en mêle " d'Yves Allégret !

- 1957 ! Son premier film. Il avait dix-sept ans. Ensuite, il a tourné avec Romy Schneider " Christine " et " la Piscine " plus tard. En 1958. C’est là qu’il l’a connu et ils se sont mariés, l’année d’après

- Non, fiancés seulement ! En mars 59 ! corrigea Madeleine. Mais quelle culture, mon garçon ! Où as-tu appris tout cela ?

- " Les Cahiers du cinéma ", mon père y était abonné et j’adore cet acteur. Je suis fan. Il était si bon acteur

- et si beau, coupa la vieille dame en poussant un soupir.

.

- Ton petit copain est vraiment formidable, Damien ! Je l’aime bien ce petit gars ! Eh bien, c’est d’accord ! On débarrasse la table et on se met devant.

Damien n’avait rien eu à dire mais il aurait donné n’importe quoi pour assister à un spectacle assis à côté de Louis.

Après une heure, les yeux du garçon se fermaient tout seuls Doucement, sa tête glissa sur l’épaule de son copain qui passa son bras autour de ses épaules comme pour le protéger.

Quand le mot " FIN " s’inscrivit en lettres blanches sur l’écran, Louis secoua le garçon pour l’éveiller. Damien lui sourit et bailla.

- Va te coucher Damien, lui dit sa grand-mère.

- Bonne nuit Mamie, répondit le jeune en l’embrassant.

Mais le fait de se lever, de se déshabiller et de se brosser les dents l’avaient réveillé tout à fait.
Louis rentra dans la chambre quelques minutes plus tard, uniquement vêtu de son caleçon et se glissa sous les draps..

- Tu viens pas prêt de moi ce soir ? interrogea Damien à l’adresse du garçon.

- Tu veux de moi ?

Damien ouvrit le drap pour l’y inviter. Louis sauta dedans en se colla contre mon flanc.

- Toi a mes côtés , j’ai plus sommeil? dit-il en souriant à Louis

- Bah, en fait, je n’ai pas sommeil non plus.

- Alors ?

- Est-ce que tu m’aimes, Damien ?

- Bien sûr ! Quelle question !

- Eh bien, je vais t’apprendre quelque chose que tu vas aimer ! Tu me fais confiance ?

- Oui, murmura le jeune dans un souffle.

Il présumait que son camarade allait lui apprendre quelque chose de rare et déjà son membre commençait à prendre de la vigueur.
Louis prit son ami dans ses bras. Il le baisota longuement, sur ses lèvres, sur ses yeux, sur son nez. Il joua longtemps avec sa bouche et ses lèvres, les happant, les suçant, les mordillant, dans le but avoué de mettre le garçon dans un état d’excitation forte.
 Damien répondait en gémissant légèrement. Louis passa rapidement une main sur le sous-vêtement de son jeune amant et constata que sa virilité avait acquis une splendide érection. Il plaqua la main ouverte dessus et le malaxa en même temps qu’il plante sa langue dans sa bouche vorace.

Damien ondula et frémit de plaisir et se soumettait entièrement aux caresses de son merveilleux ami. Les mains de Louis volèrent sur sa peau échauffée et sa bouche le dévora de mille et un baisers légers.
En un rien de temps, mais avec une légèreté calculée, Damien fut nu et offert. Louis se débarrassa de son caleçon et se vautra sur son corps frémissant. Il colla son sexe contre celui du garçon et ondula doucement contre lui. Damien geignait en râlant, Louis glissa jusqu’au membre turgescent et l’aboucha sans délai. Damien se cabrait pour mieux envahir sa bouche gourmande, la tête défaillante, le cœur battant, le corps vibrant.

Après un long moment de cette délicieuse fellation, Damien savait qu’il allait partir au pays du bonheur

- As-tu des capotes ? demanda Louis à son oreille.

- Non, souffla le jeune brisé de désir.

- Ce n’est pas grave, je sais que c’etait pas au programme mais je t’aime assez pour ça.

Louis se redressa, s’assit sur les cuisses chaudes, saisit le sexe distillant une rosée abondante, s’en frotta l’entrée noire et poussa pour accueillir le gland énorme de son futur amant. Il descendit très lentement sur la colonne de chair jusqu’au bout et commença un mouvement ascendant lent et long.

Dix minutes de cette somptueuse chevauchée menèrent les deux amis à l’extase. Leurs gémissements furent plus audibles et Damien prononça une suite de mots incohérents avant de se raidir et d’exploser dans le ventre de son partenaire adoré. La chaleur de la semence montait haut dans le conduit intime et provoqua une contraction du pénis de Louis dont Damien se saisit et serra convulsivement à l’aune de sa jouissance.
Louis crissa en râlant et se répandit en une seule mais longue giclée de sperme clair, maculant la poitrine du jeune garçon.
 Damien ouvrit la bouche pour jeter un dernier cri de plaisir et reçut une lampée de ce lait épais.

Ils tombèrent l’un sur l’autre pendant un long moment et après une rapide toilette dont le tee-shirt de Damien fit les frais, ils se coulèrent l’un contre l’autre pour une nuit de sommeil réparateur.

Damien venait de perdre sa virginité lors du premier rapport sexuel de sa vie d’homme avec la personne qu’il aimait le plus au monde. Damien n’était plus vierge et il était heureux à l’extrême.

Au petit matin,
 Louis alla se soulager discrètement. Il se rallongea doucement pour ne pas éveiller son jeune amant, mais aperçu son petit trésor endormi dans sa couverture de poils noirs. Aussitôt, il en eut envie et se coulant en tête-bêche, engloutit le gros doigt de chair pour en téter le mâle produit. Damien se réveilla en percevant les premières sensations du plaisir.

Un gros quart d’heure plus tard, ils se régalèrent d’un grand bol de café…au lait et de belles tartines de pain grillé

Ils partirent vers dix heures du matin, lestés d’un panier repas dans lequel Mamie Madeleine avait mis un demi-poulet, un gros paquet de chips, du fromage et des fruits. Ils avaient pris une vieille couverture pour s’étendre au cas où.

Le tandem les menèrent à un petit bois à l’orée duquel ils prirent leur repas. Puis, la chaleur de la journée les amena à se mettre nu avant de s’étendre de tout leur long sur la couverture pour une courte sieste. Ils étaient dissimulés du chemin par un beau buisson de baies sauvages et purent, sans crainte, se livrer au sommeil.

Damien, Louis, se rapprochèrent pour se câliner un peu.

Le bien-être ressenti lors de la nuit précédente, l’intense privilège que Damien eut de posséder son ami pour sa première expérience sexuelle, la douce chaleur de cet après-midi de Printemps, tout le poussait contre Louis, le superbe Louis, le merveilleux Louis. Sa tête se colla contre sa poitrine et sa main droite fureta dans l’entrejambes. Louis l’enserra dans son bras et tournant le visage vers lui, demanda :

- Tu cherches quelque chose là?

- Oui, murmura le jeune garçon, l’aventure ou peut-être un trésor.

- Mais, je vous en prie jeune homme, cherchez et…bonne chance ! Mais je vous préviens, je n’ai pas de carte au trésor.

- Vous en faites pas, j’trouverai, conclut Damien en posant un baiser léger sur les lèvres du jeune homme

Quinze secondes plus tard, Louis nu et offert aux caresses de son petit copain. Damien commençait à acquérir une solide expérience en matière de câlins. Trois minutes après, Louis bandait comme un taureau. Huit minutes plus tard, en proie au début de l’extase. il ondulait au bord de l’explosion, le sexe embouché dans le gosier du garçon.

Damien sentait les frissons de plaisir parcourir le corps de son amant, il s’arrêta d’un coup, comprima la racine, déboucha le sexe palpitant et demanda :

- Je voudrais bien savoir ce que tu as ressenti quand…tu…, quand j’ai…quand je t’ai…

- Quand tu m’as pris ?

- Oui, dit-il en rougissant.

- Mais tu n’es pas prêt pour ça !

- Pourquoi, tu l’étais toi ?

- Eh bien…(Louis semblait gêné à son tour, il regarda ailleurs comme pour chercher ses mots) tu le veux vraiment ?

- Oui, souffla Damien.

- Bon ! Je vais y aller doucement.

Il fit mettre le petit sur le dos, écarta ses jambes, roula les vêtements en boule pour élever son bassin.

Après les baisers tendres, les caresses agréables, la langue dure et les doigts fureteurs, l’endroit secret du garçon fut détendu et accueillant. Il geignait en se masturbant lentement. Il ondulait, les yeux révulsés, le cœur palpitant.

- Viens…Louis, s’il…te…plaît, viens…J’en ai …envie !

Louis se positionna, se servit de son précum pour lubrifier la rosette frémissante et embrassant Damien voluptueusement, entra dans la vallée sombre très doucement. Le gland violacé s’introduisit avec un petit floc qui tira une grimace douloureuse du jeune garçon, puis, la hampe glissa lentement, longuement, délicatement à l’intérieur de lui.


- Pousse, mon bébé, pousse et respire rapidement, suggéra Louis qui progressait peu à peu.


Damien obéit en relevant bien haut ses jambes et soufflant comme un petit chien. Quelques secondes plus tard, Louis s’arrêta en poussant un profond et long soupir quand les soies de son pubis caressèrent les fesses satinées du garçon offert.


- Merci…mon…bébé ! Je suis…en toi ! J’aime ça, tu es…Je t’aime mon grand…je t’ai…me !

- Viens ! cria Damien. Viens…vite !

Louis commença à se mouvoir doucement le long de l’intestin accueillant et serré. Damien était, bien entendu, vierge de là aussi. Mais le fait d’accepter le mandrin fort de son camarade était une preuve d’amour magnifique dont Louis apprécia la grandeur. Il voulait que cet instant soit magique pour eux deux. Damien, parce que son amour pour lui devait être récompensé et que sa première fois devait être une apothéose. Lui, parce qu’il était si bien avec ce jeune qu’il aimait aussi depuis un bail - sans se l’avouer – et parce qu’il se souvenait de sa première fois avec son cousin, il y a deux ou trois ans.

Le jeune possédé semblait souffrir de son empalement, mais ses geignements et sa manipulation sur sa propre hampe prouvaient qu’il ne voulait pas cesser cet acte d’amour intense.

Louis fut doux mais plus rapide, sortant presque entièrement de la cavité intime et replongeant jusqu’au rectum. Le frôlement de son gland sur la jeune prostate provoqua vite un écoulement délectable qui lubrifia l’intimité. Damien râlait en étant secoué de spasmes désordonnés. Louis s’activa quelques secondes et se raidit, attendant le déferlement de la jouissance de son amant.

- Lou…ouii, je…viens ! Lou…ouii, je t’ai…aaahhhhh !

Il ne termina pas le mot tendre. Serrant les dents, fermant les yeux, crispant ses muscles, se tendant, l’orgasme le ravagea. Plusieurs jets zébrèrent la poitrine du jeune homme avant de consteller son buisson touffu de poils noirs.

Louis regardait le visage torturé, et apercevant le sourire ravi de l’amant satisfait, souffla en criant :

- Damien, je…viens…je….viens …en toi…lààààà main…te…nant !

Comme à l’accoutumé, Louis éjacula une seule mais très longue et épaisse coulée de son sperme que le garçon ne put contenir entièrement. Louis se crispa pendant toute sa jouissance que Damien accompagna en lui caressant le dos et maintenant ses fesses pour qu’il reste collé à lui.

Leur orgasme dura quelques secondes mais ils restèrent ainsi, plantés l’un dans l’autre, pour que la magie de l’instant fut gravée dans leur mémoire à jamais.

Louis, les yeux clos, reçut le baiser délicat que Damien et tendit ses lèvres pour qu’il l’embrassa plus langoureusement.

Ils roulèrent alors sur le côté et s’octroyèrent un petit temps de repos.

Quand ils s’éveillèrent, le soleil déclinait derrière la petite colline. Il était temps de rentrer.

La nuit suivante, ils allèrent se coucher juste après le film. Ils embrassèrent la mamie gâteau qui leur promit une virée à Guéret au Mac DO, le lendemain.

Leur nuit fut courte. Après un cunnilingus royal, Louis s’offrit à Damien dans un somptueux orgasme. Ils s’endormirent quelques heures.

Au milieu de la nuit, un miaulement terrifiant les réveilla ; le chat des voisins ayant trouvé un intrus dans son domaine. Il était trop tôt pour se lever et trop tard pour se rendormir : c’est Louis qui chercha, et trouva, le chemin du cœur du jeune garçon, désormais expert dans l’art d’aimer et de recevoir.

Au petit matin, une branlée fabuleuse les terrassa un peu plus que prévu : ils ne se levèrent qu’à neuf heures, les yeux un peu " frisés " comme disait Mamie.

Ils passèrent une excellente journée en ville et en achat nombreux pour les trois.

Mamie-Madeleine se déplaçant que rarement dans le cœur de la capitale limousine, la place pour se garer devenant rare et les places de parkings souterrains hors de prix.

Ils prirent leur repas comme prévu. Damien rayonnait entouré de sa grand-mère qu’il adorait et de son amant qu’il dévorait des yeux (sans le voir), il vivait les plus beaux jours de sa vie.

- Ça va, mon petit ? C’est bon ? demanda Mamie inquiète du sourire de ravi de crèche de son petit-fils.

- Oui, oui, mamie, ça va ! répondit-il en rosissant sans lâcher des yeux son ami, j’adore les Chiz burgeur, je me régale !

- Eh bien, qu’est-ce que ce serait si tu étais malade !

Louis le regardait en fronçant les yeux, dit : " Oh, non ! Pas maintenant, quand même ! ", Damien lui répondant sans que Mamie puisse entendre " Toi, tu perds rien pour attendre. Ce soir, tu vas voir ce que tu vas prendre ! " ; il lui tardait de rentrer.

La soirée fut aussi agréable que les autres, Mamie avait mis sur la table quelques cochonnailles et autres salades vertes dont ils firent une ventrée. Pendant le film, affalés sur le canapé, ils partirent rejoindre Morphée, mamie dans le fauteuil et les garçons la tête de l’un dans l’épaule de l’autre, la journée dans la capitale les ayants anéantis de fatigue.

- Allez vous coucher, les enfants, il est tard ! clama Madeleine qui s’extirpa de son fauteuil pour éteindre la télé.

Vingt minutes après, nos deux beaux amis étaient vautrés l’un sur l’autre, les lèvres de l’un collées aux lèvres de l’autre, la langue de l’un caressant celle de l’autre.

De nouveau, les corps s’enflammèrent. De nouveau, les esprits s’enflammèrent et le sang battait les tempes. De nouveau, les sentiments atteignirent le paroxysme du bonheur et enfin l’orgasme fut intense

Les jours qui suivirent furent ponctués de sorties dans la verte campagne

Louis adore l’architecture -, en pique-niques champêtres et en siestes coquines où chacun des deux se surpassaient pour le plaisir de l’autre.

Les nuits peuplées d’activités érotiques où chacun des amants recherchait des idées ou des positions improbables pour la plus grande jouissance de l’autre

A SUIVRE....

Par simon - Publié dans : histoire racontée
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Dimanche 17 mai 7 17 /05 /Mai 10:30
cette histoire remonte de quelques années en arrière , 2 jeunes ados à l'époque et qui aujourdh'ui vivent ensemble et partage la même femme MIchelle qui leurs a donné a chacun un fils .
raconté par les auteurs et écris en collaboration de  Jordy    avec moi et agrémenté de quelques photo du net.



Il etait une fois:


Damien est un jeune garçon

En fait, c’est un ado de 15 ans passés, assez grand pour son âge – un mètre soixante dix pour 60 kg , le cheveu noir et l’œil marron clair,
 Il porte des lunettes sombres, ce qui le rend vulnérable, et est d’une timidité presque maladive.

C’est plutôt un bon élève et même s’il ne fait pas des étincelles, ces notes se situent dans la moyenne supérieure.

Bien qu’enfant unique, il n’est pas prétentieux mais reste résolument asocial quand il faut fréquenter les autres.
 Le fait d’avoir peur de mal faire ou de mal dire le rend silencieux et farouche, baissant la tête et regardant le monde par le bas.


Pourtant, Damien a un secret.
Il est amoureux.
Oui, c’est ça, " amoureux " !
Amoureux fou de…Louis.





Il s’en est aperçu, il y a un an déjà. Alors, que pour la première fois de sa vie, il avait été bousculé les garçons peu scrupuleux face a son handicap que ces jeunes connaissaient.

Eh ! oui Damien est non voyant ! et se rend au lycée pour suivre les cours orales , les leçons écrite sont traduite en braille.

La plupart l’accueillit sans débordement, ni enthousiasme particulier. Il n’avait pratiquement pas d’amis. Certains lui souhaitèrent le bonjour et un " comment ça va ? " dont ils n’attendaient pas la réponse.

Seul, Louis vint lui serrer la main avec un sourire radieux et un vrai " je suis ravi de te revoir ! " qui émut le jeune garçon.

- Tu as l’air mieux, j’suis content ! Tu es revenu juste à temps pour les derniers jours avant l’exam blanc. As-tu besoin des cours ?

- Eh bien ! Oui, je crois !

- Ok ! après les cours de ce matin j’ texpliquerai..


Louis avait cette particularité d’être toujours souriant et aimable avec tout le monde, profs et élèves. Il n’était pas une flèche au niveau scolaire mais savait se tirer d’un mauvais pas par une pirouette amusante ou d’une répartie du tac au tac, sans jamais être injurieux, insolent ou désagréable et le faisait chaque fois avec fort bon goût.


Ce jeune homme de seize ans passés avait un charme fou qui attirait la sympathie et l’admiration des filles, qui s’évanouissaient presque, quand le beau brun posait son regard clair sur elles.


La veille des vacances de Pâques, la famille de Damien terminait de dîner quand on sonna à la porte. Sa mère alla ouvrir. Elle revient dans la salle à manger accompagné de…Louis

- Damien, ton ami voudrait te parler.

- Euh ! Enfin, non, Madame ! C’est plutôt à vous que je voudrais parler.

Damien s’était levé précipitamment, renversant sa chaise. Son beau copain était ici, chez lui ! son cœur battit plus vite.

- Que puis-je faire pour vous, euh…Louis ? dit le père de Damien en lui serrant la main.

- Eh bien, voilà, monsieur ! Ma mère part en croisière avec son travail , et ma sœur aînée ne peut me recevoir chez elle. Je…J’avais pensé que…Enfin voilà, Damien et moi on s’entend plutôt bien au Lycée, j’avais pensé que…vous accepteriez que je passe les vacances avec Damien.

- C’est que… Damien part chez sa grand-mère dans la Creuse, demain matin, dit le père.

- Oui, oui, je sais, m’sieur ! J’en ai parlé avec ma mère. elle ne veut pas que je reste seul dans la maison pour aussi longtemps, alors elle m’a demandé de trouver une solution. Bien sûr, elle paiera ma part des frais et puis j’ai de l’argent de poche.

- Euh…eh bien, je ne sais quoi dire ! Qu’en penses-tu Marthe ?

- Ben, si Damien et ta mère veulent bien, je ne dis pas non ! répondit Maman

- Ma mère est d’accord, si vous êtes d ‘accord. Oh, dites oui, Monsieur ! supplia Louis.

Un coup de fil à la grand-mère et l’affaire était faite. " Quand il y en a pour deux, il y en a pour trois ", avait dit la vieille dame.

Le lendemain, les deux garçons se faisaient face dans le train qui les emmenaient à Guéret. Louis, absorbé par les problèmes de Soduku de sa revue de jeux, était presque affalé sur le siège, ses genoux entre ceux de Damien.

Depuis, la veille le jeune garçon s’interrogeait sur le bonheur qu’il était en train de vivre. Son fantasme vivant allait habiter deux grandes semaines avec lui, sous le même toit que lui, à quelques centimètres que lui, peut-être dans…Ne rêves pas, garçon ! se dit-il.

- J’peux te demander quelque chose, Louis ?

- Ouééé ! signala le jeune sans quitter sa BD.

- Pourquoi moi ? Pourquoi passer tes vacances avec un ringard non voyant ? pourquoi viens-tu avec moi chez ma grand-mère ? demanda Damien à voix basse.

- Ça te dérange que je sois là ?

- Bah, non ! Mais…je comprends pas. Alors, pourquoi ?

- Parce que les copains qui n’en sont pas. Parce que les filles qui allument mais qui n’éteignent pas. Parce que rester seul pendant que les autres s’amusent. Parce que toi !

- Quoi moi ?

- Parce toi tu es calme, tu ne demandes jamais rien, tu reste à part et que tu me regarde .heu..… Parce que je te trouve sympa.

- Euh…d’abord, je te vois pas, je sens ta présence!

- Exact ! mais les autres jours, si ! Ne mens pas, je te vois !

Damien rougit et lança un regard apeuré autour de lui..

- Ça te va comme explication, mon grand ? demanda Louis en lui adressant un beau sourire.

- Oui, oui ! répondit Damien en fixant la vitre ou le paysage défilait rapidement.



Une heure après, ils arrivèrent sur place où Mamie Madeleine les attendait.

Elle avait préparé la chambre bleue pour le jeune invité et la chambre du grenier pour son petit-fils.

- Non, non, Mamie ! Ne t’en fais pas ! Je dormirai sur le canapé-lit de la chambre. Tu comprends, Louis ne connaît pas la maison , il serai ma vue , on va discuter le soir et là on pourra le faire sans te déranger et sans mettre le bazar dans deux chambres.

- Très bien, jeune gens ! Alors, on fera comme ça. Maintenant, à table !

Après le déjeuner, Emmitouflés dans leur parka, ils marchèrent à travers champs. Ils se mirent rapidement à leur aise, le soleil de cette mi-avril chauffant plus que prévu.. Ils s’arrêtèrent à l’orée du petit bois assez dense pour s’y cacher ou pour se protéger du soleil. Louis en nota l’emplacement dans un coin de sa tête

Louis fut un guide agréable à Damien, ils parlèrent de tout et de rien : études, passions, avenir. Leur marche les avait bien fatigués.

Damien restait étonné de ce que son idole était là dans son univers. Chez sa grand-mère. Pratiquement seul avec lui. il n’arrêtait pas d’y penser et s’imaginait des choses qui n’auraient jamais lieu que dans ses scénarii les plus fous, mais qui donnait de l’ampleur à son boxer.

- Dommage qu’on ait pas de moyen de locomotion, regretta Louis, on pourrait visiter les villages voisins…et voir ce qu’on peut y trouver…si tu vois c’que j’veux dire ! ajouta-t-il en lui adressant un clin d’œil complice.

- Ah, au fait ! Je crois qu’il y a un vieux clous dans la grange. Viens, on va voir !

Effectivement, ils trouvèrent un vieux tandem rouillées dans la bâtisse en bois. Ils les examinèrent et conclurent qu’une bonne journée de travail le remettrait en état de marche.

L’heure du repas arriva. La grand-mère de Damien était heureuse d’avoir ces charmants garçons à sa table ; elle qui vivait seule dans cette grande maison.

- Excusez-moi, Madame ! intervint Louis. Nous avons trouvé un vieux tandem dans la grange. Est-ce que nous pourrions l’ utiliser pour visiter les alentours ?

- Bah, oui, mais ! Il est vieux et aurait besoin d’une sérieuse remise à neuf ! reprit la mamie.

- Pas de problème, Madame ! J’suis un spécialiste !

- Hé, hé, jeune homme ! Pas de " Madame " ici ! Pour toi, je suis Mamie ou Madeleine. Le Madame ça sent le sapin, non ?

- Très bien, Mad…euh, Madeleine ! Euh, non, c’est trop familier ! Je vous appellerais Mamie Madeleine, si vous êtes d’accord ?

- Va pour Mamie Madeleine ! Et à partir de maintenant, c’est valable pour toi aussi mon petit Damien.

Le repas se termina dans cet accord. Les jeunes allèrent se coucher. Le lever tôt, le trajet en train et la ballade avaient raison de leur résistance.

- Tu as envie de dormir tout de suite ? demanda Louis.

- Bah, non, en fait !

- Alors, je viens dans ton lit qu’on discute un peu

Damien n’en revenait pas. Louis, le beau Louis, le sublime Louis s’invitait à me rejoindre dans mon lit ! Oh, la chance !

Vingt secondes plus tard, j’ étais allongé à côté du plus beau mec du lycée simplement vêtu d’un caleçon bleu marine.

Il n’osait regarder son compagnon. Damien avait tiré la couverture jusque dessous son menton, le regard pointé vers l’avant et espérant que sa virilité, qui tendait son sous-vêtement, ne serait pas remarquée par le bel adolescent

- Alors, qu’est-ce que tu en dis ? interrogea Louis.

- Euh…quoi ?

- Le tandem, on les remet en état demain et après-demain on part en ballade avec. Tu connais un garage ou un vendeur de vélos, dans le bled ?

- Euh…quoi ?

- Un vendeur de vélos, dans le village, y’en a un ?

- Ben, j’sais pas !

- On demandera a Mamie ?.

- Euh…quoi ?

- Ecoute, Damien ! Ça fait trois fois que je te demande quelque chose et ça fait trois fois que t’as pas compris. Y’a un problème ?

- No…non ! bredouilla le pauvre Damien tendu à l’extrême.

Son sexe se mit à battre la mesure sous la courtepointe et cela n’échappa pas à Louis qui rit.

- Oh ! Ce n’est que ça ! dit-il d’un air suffisant, moi aussi, je suis tendu, regardes !

Il poussa la couverture et découvrit son bas-ventre en belle situation. , il prit la main de Damien regardait au touché, exorbité et tremblant, l’appendice de son ami dont il avait si souvent rêvé.

Dix secondes plus tard, Louis était entre ses cuisses et embrassait légèrement son ventre et sa poitrine.
 Damien frissonna en tremblant plus fort.
Les mains de Louis avaient déjà pris possession de ses hanches, de ses tétons et de ses fesses. Damien gémissait en ondulant sur le lit, il s’enfonça davantage sur la couche, en posant ses mains sur la tête de Louis en massant doucement ses cheveux bruns. Le grand garçon rampa sur mon corps et vint se positionner face à mon visage.

Il regarda longuement Damien qui défaillait de plaisir et approcha lentement ses lèvres des miennes. Damien ouvrit un peu la bouche et ferma les yeux. La langue de mon ami passa mes dents et chercha ma propre langue. Il la caressa de la pointe et la lécha très doucement. C ‘était la première fois que je recevais un vrai baiser, mais en plus, je le recevait d’un garçon, et de plus, du garçon que j’ aimais. je soupirai et me donna entièrement laissant mon corps épousé par celui de mon ami très cher.

Le membre fier de Louis - plus imposant que le mien – se cala contre mon sexe palpitant. Damien referma ses bras autour du cou de son partenaire et répondit enfin au baiser tendre qu’il recevait.

Puis, Louis se fit explorateur, glissant entre les cuisses ouvertes du jeune garçon et descendit le caleçon avec les dents. Damien se cabra offrant sa virilité exacerbée au regard de celui qu’il aimait.

Louis agita le beau sucre d’orge quelques secondes et fixant le garçon frissonnant de désir, l’aboucha peu à peu.

Damien ,dans un brouillard vaporeux , sentait , enfouie dans sa bouche la tige sexuelle magnifique de son bel étalon. Une dizaine de succions appuyées eurent raison de la résistance du jeune garçon totalement évanescent. Sa jouissance dura longtemps et bascula à coté de Damien.

Lorsqu’il reprit conscience, Damien était assis sur ses cuisses et se manipulait lentement. Le magnifique sceptre à une dizaine de centimètres du visage de Louis.

Quand il sentit que Damien arrivait au terme de son extase, il remplaça la main par la sienne et décalotta entièrement et fortement le gland vermillon, trois fois de suite. Damien se cabra et ouvrit sa cascade sur la poitrine de Louis, un seul long jet intensément, mais très abondant.

Damien s’écrasa sur le corps de son ami, baisa ses lèvres et s’endormit en se serrant dans les bras du jeune garçon

Au moment où l’aurore griffait de rose le noir de la nuit finissante, Damien se retourna sur le côté, mais le bras de Louis passé autour des ses épaules l’en empêcha.

Il s’éveilla pour observer la situation et vit par le toucher son bel apollon, endormi, beau et rayonnant, son éternel sourire attaché à ses lèvres pourpres. Vraiment, c’était un beau garçon et Damien en eut immédiatement envie. Il approcha ses lèvres des siennes et y posa un très léger bisou. Louis ne bougea pas. Damien roula contre lui et se blottit contre le flanc de Louis. Il embrassa l’aisselle fournie et le sein de l’ami très cher, il plaqua sa main légère sur son torse chaud et y fit glisser la pulpe de ses doigts sur sa vallée, effleura la pointe des tétons brun rosé, et descendit vers le trésor caché.

Louis ressentit la douce caresse et s’étendit sur le dos, se repositionnant à son aise pour la suite d’un sommeil agréable. Damien glissa sous le drap et posa sa tête à la hauteur de sa poitrine Il posa sa main légère sur le ventre soulevé par le souffle lent du beau dormeur, il osa un doigt dans le trou du nombril et longea la petite ligne de poils qui dissimulait à son regard habitué à l’obscurité, le trop bel objet que son ami gardait entre ses jambes soyeuses.

Il le saisit enfin et à force de légères pressions, redonna à ce morceau de chair tendre, la dimension d’un sceptre majestueux. Louis avait gémi un peu, mais regagné les bras de Morphée dans la seconde suivante

Damien maintint alors le tube vivant dans sa main largement ouverte et avançant les lèvres y déposa un baiser léger, puis un deuxième plus appuyé et après un moment, il ouvrit la bouche pour le déguster. Il lécha délicatement le gland chaud et longea la couronne de la pointe ferme de sa langue. Louis ondula en soupirant.

Alors, Damien se risqua à une nouveauté sur l’objet de sa convoitise : une fellation. Il n’avait jamais osé pareille privauté sur aucune créature vivante et ne savait comment réaliser cette prodigieuse caresse que tout homme apprécie et qu’il avait adoré la veille.

Il commença à sucer le sexe raidi comme une sucette, puis joua de la pointe de la langue sur le frein et le méat. Il en fit glisser la largueur sur toute la longueur de la hampe offerte et absorba les deux testicules gonflés de sève juvénile.

Louis ondula encore en frémissant et allongeant les jambes comme pour mieux s’offrir aux merveilleuses sensations qu’il ressentait dans son rêve.

Damien pensant que son camarade accédait au plaisir, crut devoir s’activer davantage sur la tige de chair qui s’agitait seule. Il provoqua une série de succions intenses comme pour décoller le bout rose du reste de la colonne.

Louis se raidit soudain et poussa un long soupir plaintif, il se déversa en une longue et interminable coulée de sa semence chaude dans le gosier de Damien qu’il n’eut pas le temps de prévenir à temps. Le jeune garçon n’eut d’autre choix que de déglutir rapidement, avalant la saveur sucrée de son plaisant ami.

Louis se détendit en maintenant la tête du petit contre son ventre un bref instant. Puis, il le tira doucement jusqu’à ce qu’il atteigne son visage et lui murmurant un " merci ! " lui offrit un baiser passionné, goûtant à son tour l’onctuosité de sa crème.

.Ils conclurent leur baiser et s’endormirent dans les bras l’un de l’autre, quelques temps.

Au matin, ils furent réveillés par l’odeur des tartines grillées et du café au lait.


A SUIVRE .....

Par simon - Publié dans : histoire racontée
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Dimanche 17 mai 7 17 /05 /Mai 10:21
les jumeaux et leur copain



























des beaux gosses  pour le plaisir des yeux

































 avec de belle tige


  
      
     




hummm !! un beau rouquin





























                                  et a tous les lecteurs de ce blog je vous adresse de tres tres gros bisous

Par simon
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Dimanche 3 mai 7 03 /05 /Mai 09:29
apres mon retour en TGV , puis le chauffeur de taxi (voir épisode 27 si vous ne l'avais pas encore lu)
Pierrot , mon fiston vosgien comme il aime que je l'appelle quand nous dialons sur le net
est de passage par chez moi.........

On frappe a la porte,

" Tu es déjà là. "
" Oui, papa. "

" Désolé, Pierrot ,de te recevoir ainsi , déjà à poil "
"

Pas grave , Mais "
" Mais quoi ? Vas-y, dis-le. "

Je ne suis pas seul , pour visiter j’ai pris mon ami Djamel , .il attend dans la voiture….. "

ben… vas le chercher , je suppose que tu lui a dit a notre sujet "

je savais que je pouvais compter sur toi , tu verras un petit beur de 19 ans , TBM ,très chaud "

vas le chercher ,il risque de refroidir "

"

Tu en as envie, n’est-ce pas ? "
" J’ai envie de te sucer, j’ai envie que tu me baises. "

super , tu en aura deux "

Quelques instant plus tard.

bonjour , monsieur , enchanté de vous connaître , vous êtes comme Pierrot toujours a poil ? "

"OUI , bonjour Djamel , enchanté , il ne tient qu’a toi d’en faire autant "

De ces bras, il m’attire vers lui, il m’enserre, se colle contre mon torse, sa main descend directe sur mes fesses.

Pierrot en resta baba mais ajouta :

"

Je savais que te faire patienter ainsi réveillerait la petite salope qui est en toi. papa "

oui fiston depuis le temps que tu me disais en dial. que tu voulais me baiser… "

"

Tu en as envie, n’est-ce pas ?..papa "

Djamel a raison, je sens déjà lui appartenir entièrement, il peut me prendre ici, je me laisse faire "

"

Ici, dans le couloir ??? "

J’hésite. " Si tu veux. ".

ben écoute papa Simon " me dit Pierrot " je te laisse Djamel le temps que je vais faire quelques courses pour la journée , comme je ne t’avais pas prévenu a l’avance ".

ok Pierrot tu as une grande surface a 10km "

oui je l’avais vu en passant devant , mais comme j’etais pas sure que tu sois a la maison……. "

ok mais fait pas de folies……. "

Les doigts de Djamel caressent toujours mes fesses nues. Ils glissent le long de ma raie. Son majeur cogne ma rondelle. Je me laisse faire. D’un coup, son doigt prend possession de mon cul.

J’étouffe un petit cri de plaisir. Mes yeux sont pleins d’envie.
Djamel me sourit.

Il enfonce son doigt encore un peu plus. Je gémis.

Ma queue bande à mort.

Djamel joue avec son doigt, il le fait coulisser en moi.
" T’es bien chaud ? "
"

Oui. Pierrot m ‘a chauffé tous le long du parcourt "

" Mais Tu bandes aussi ? "
"

Oui. "
Je viens plaquer ma main contre sa braguette., je sens a travers le tissus du pantalon sa queue est énorme.
" Ta bite a déjà goûté à un cul ? "
"
Non, pas encore. "

écoute , maintenant, laisses-moi, j’ai du travail. "
"

Mais … "

T’inquiète , mon cul tu l’aura…. "

"

Je sais , que tu as envie de ma queue "

je l’aurai plus tard et en présence de Pierrot. "

"

Mais… "
" Ne discutes pas, Fais moi confiance ".

Pour l’instant, regarde un dvd pour attendre tranquillement. Je te ferai signe le moment venu. "

Pierrot ne tarde pas à arriver.
"

Tu es déjà là. "
tu es seul ?complètement a poil , mais ou est papa Simon ? "

il fait son petit boulot habituel et m’a promis son cul après "

ok ok ,je sens qu’il va être notre bonne pute "

je le crois aussi "

Djamel se lève. Il fait face à Pierrot, il se rapproche de lui. Pierrot se recule, il touche le bureau, il ne peut pas reculer plus.
Djamel pose ses mains sur les épaules de Pierrot et le force à s’agenouiller. Il l’attrape par les cheveux et vient coller sa tête contre son entrejambe.

"

Elle te manque, Pierrot ? "

"

mais , Djamel…. "

"

Chut, un gentil garçon ne parle pas la bouche pleine,. Tais toi et suce. "

Toujours caché, je vois mal mais je devine que mon Pierrot s’active sur la bite de Djamel , qui pivote un peu, entraînant Pierrot avec lui. Je vois maintenant distinctement la queue de Djamel coulisser entre les lèvres de Pierrot.

Ce spectacle est des plus excitants, je ne peux m’empêcher de tenir ma bite et de me branler. Jamais je n’aurai supposé que Pierrot aimait la bite autant que moi.
Maintenant, Djamel force Pierrot à se relever. Il le retourne et le plaque contre le bureau.

"

Bouge pas. "

Pierrot attend sagement.

Djamel passe de l’autre côté du bureau, enlève la ceinture du pantalon de Pierrot , lui passe autour du cou et la coince dans le tiroir et le referme.

. Djamel passe sa queue sur le visage de Pierrot, puis lui enfourne de nouveau.

Les bruits de succion reprennent. Je suis obligé de ralentir les mouvements de ma main sur ma bite, je suis prêt à gicler.
Djamel repasse derrière Pierrot . Il le défroque et passe sa chemise sur sa tête. Je découvre que Pierrot aussi est adepte du jock-strap. Il a un cul bien rond. Djamel lui caresse les fesses, celui-ci gémit , s’accroupit et bouffe le cul rond. Pierrot n’en peut plus de gémir.
"

Vas-y, baise-moi ! "
"
tu en veux ,du gros calibre ? "
" Oui, je la veux, je veux que tu me baises. "

Les supplications de Fabien m’électrisent. Djamel couvre sa queue d’un capote et la fait coulisser dans la raie de son passif. Il m’aperçoit’ et me fait signe. Je m’approche en silence. Pierrot n’a pas détecté ma présence.

Djamel me tend un préservatif. Je suis surpris, mais je le déroule sur ma queue. Il se retire et m’incite à le remplacer.

Sous les yeux, Djamel , j’enfonce mon pieu dans le cul lisse et bien ouvert de mon Pierrot

Pierrot pousse des petits cris de plaisir. je décule d’un coup ,renfonce ma queue avec brutalité jusqu’aux couilles , et commence à pilonner le cul bien chaud sans retenu.

Pierrot grogne des " encore , oui encore plus fort "

Djamel s’excite , me prend par les hanches et entre doucement mon cul est bien ouvert

Je sens le plaisir envahir tout mon corps

Djamel me glissa a l’oreille " .

C’est la première fois que ma queue s’immisce dans un cul. "

continue j’en veux "

Je vais te baiser papy  , te mettre mes 19cm bien à fond "

vas y petit je la veux ta queue bien épaisse "

 

il s’enfonce doucement ,il la rentre à fonds.

Que c’est bon oui encore "
Djamel me dit " 

. . J’y vais doucement. Je matte ma bite entrer et sortir de ton cul si appétissant. J’accélère, puis je ralentis, je veux que ce moment dure ".

Le travail de sa bite dans mon cul , fait gémir Pierrot
Djamel au bord de la jouissance quitte mon cul , enlève la capote et repasse devant le bureau et lui présente de nouveau sa queue. Pierrot a un geste de recul. Il vient de comprendre la situation même s’il ne sait pas qui lui pilonné les fesses.

Djamel l’immobilise et lui enfonce son dard dans la gueule. Soumis, Pierrot suce. De mon côté, je m’applique à bien le défoncer, pour son plaisir et pour le mien.
Bientôt, je sens la sève monter, mon visage se crispe, j’essaie de me retenir mais Djamel me fait signe que je peux lâcher la purée.
Un dernier va-et-vient dans le cul de Pierrot, et je gicle en gueulant comme jamais. Je reste dans son cul quelques instants, puis je me retire doucement, la capote emplie de ma semence. Je suis exténué.
De son côté, l’ultime plaisir se dessine sur le visage de Djamel, sa respiration devient plus rapide.

"

Allez, Pierrot, avale, c’est tout pour toi. "

Djamel libère Pierrot.

putain que c’était bon, maintenant mes salops c’est moi qui va vous en donner.. "

pas de soucis fiston " dis-je

Apres une courte pause , quelques verres de vodka , Djamel lui qui en buvait pour la première fois se trouva super excité ,Pierrot me baisa comme une chienne en chaleur Djamel entretenais son érection dans ma bouche puis profitant que Pierrot me baisait pour le prendre de force..

Quand tous deux sentir monter la semence c’est dans ma bouche bien a fond que chacun vidange ,m’obligeant a avaler, épuisé a même le sol ils me rincèrent la bouche en pissant .

Le journée passa très vite une bonne douche collective et nous allions nous coucher pour être en forme le lendemain .

Djamel dans la nuit passera me voir ,  , je le suce  puis il me remercia de lui avoir donné l’occasion de baiser un bon cul pour la 1ere fois et me demanda de lui dépuceler la rondelle.

tu es sure de ce que tu me demande "

OUI papy je veux goûter ta bite en moi. "

tu sais fiston la goûter c’est l’adopter , après on en redemande et toujours plus "

c’est toi que je veux en premier "

c’est gentil fiston "

comme ça je pourrais contenter Pierrot depuis le temps qu’il me le demande….. "

alors dans ce cas……vas y fait moi bander a mort et empale toi dessus "

en quelques minutes Djamel m’avais mis en condition maximum , je resta sur le dos le mat dur comme du bois

J’ai envie de ton cul ma petite salope, viens sur moi.. " Alors il chope un préservatif, le déroule sur ma queue bien dure, ajoute un peu de gel et hop, Djamel se laissa glisser dessus , il se tortillait sur ma queue pour bien sentir ma tige au fond de lui. , " 

Hmmm, ouiiii ! C’est trop bon ta queue, mec " je le prend par les hanches , il ondule ainsi pour bien se niquer bien à fond. criant des mots en arabe que je ne comprenais pas mais suppose être " oui oui , encore , j‘ en veux , que c’est bon ".

Au bout de quelques minutes, on change de position : on est debout, il me sert fort contre lui, m’enfonce sa tige dans le cul en murmurant des insanités dans l’oreille qui me rendent encore plus chienne.

Hmmm, je kiffe grave d’avoir un mec qui me bourre bien le cul, qui me montre qui c’est qui est le mâle. J’écarte un peu le jambes et je me cambre pour bien lui filer mon fion de lope et là il accélère les coups de reins et il me dit :

T’aimes ça, la bite, hein ??? T’aimes sentir une queue qui te lime bien à fond, hein ??? Salope ! "

Je me contrôle plus, je lui appartiens et je prends un pied d’enfer à sentir les va-et-vient de sa queue dans mon cul.
Au bout de quelques minutes, on rechange de position : il est a 4 pattes, je me sert fort contre lui, enfonce ma tige dans son cul en murmurant comme lui des insanités dans l’oreille qui le rendent encore plus chienne. Hmmm, il kiffe grave d’avoir un mec qui lui bourre bien le cul,. là il accélère les coups de reins et je lui dit :
Alors, petite pute, t’as ce que tu veux ??? T’aimes ça, hein ??? T’aimes, hein ??? Salope ! "

Ouiiiii ! Vas-y mec, défonce, défonce, défonce ! "

je résiste encore quelques minutes et enfin, dans un râle et un dernier coup de reins magistral, je lui envoie mon jus de mec, ce qui a pour effet de le faire jouir aussi

Evidemment, Pierrot fut réveillé par ces cris et c’est joint a nous

Djamel dit a Pierrot. "

Putain quel pied j’ai pris ! J’aime vraiment sentir une bonne bite dure et me faire niquer défoncer par un bon mâle viril qui sait devenir pute en échange "

j’ai bien fait de te prendre avec moi "

la fin de nuit fut torride

Depuis ce jour-là, Djamel et Pierrot régulièrement se vident les couilles et se défoncent mutuellement et moi j’attend toujours

qu’ils reviennent ………..plus souvent………

 

Par simon - Publié dans : ma vie
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Mercredi 1 avril 3 01 /04 /Avr 10:24

2009

cette histoire est une pure fiction l’age des participants  est volontaire pour corsé l’aventure

cette information vous est donné car certaine personne mal intentioné pourait juger ça pour de la pédophilie et c’est loin d’être le cas

FICTION ou un Rêve

Jules le fils de Louis (le roi) arrivait déjà a ces 17 ans il est venu passer les vacances de pâques .pour quil puisse jouer javais pris un de mes petits fils Axel 18 ans .

Nous avions été au cinéma laprès midi , sur le trajet du retour je leur avait promis de jouer avec eux après leurs avoir fait un gâteau.

Quand des enfants sont a la maison je ne reste pas a poile (comme dhabitude) mais en boxer ,les enfants mavaient imité et sétaient mis en slip.

Axel se mis a poile et voulais que Jules fasse de même

Je les entendais rire aux éclats en observant leurs petites queues.

Jules dit " Axel ... ton père joue -t-il avec ta quéquette ? ".

Non répondit-il " pourquoi ton père joue avec la tienne? ".

Oh! Oui et je lui met dans le cul quand il me le demande et jaime tu veux que je te montre?.

Ça doit faire male dit Axel et toi il te la déjà mise?.

Non il me dit toujours quil faut être un homme , mais tu sais on peut essayer chacun son tour pour devenir des hommes.

Dit grand père tu peux nous aider a devenir des hommes je voudrais des conseilles dit Jules.

Ah !.dis-je " vous êtes a la bonne école ".

Jules avait installé Axel lui maintenant les jambes sa petite bite bien raide prés a pénétrer.

Je dit "stop les enfants ça se prépare!"

Je dis a Jules " il faut mettre un peu de gel avant pour faciliter le passage et travailler lanus avec le doigt.

Bon le temps que tu fait cela je vais te sucer pour que ta bite reste bien raide.

Je mis sa petite bite bien raide dans ma bouche et lenfonce a fond pour pouvoir gober ses petite couilles ,tous était bien rentré dans ma bouche et je me mis a le pomper , il poussa des râles et frémissait puis je me retirais en disant tu y va en douceur car cest la première fois.

Axel grimaçait a la pénétration de la bite de Jules et pris vite plaisir son petit cul venait dêtre dépucelé.

Dit grand père " cest a mon tour "

Normal il ne faut pas de jaloux , alors prépare toi aussi lanus de Jules et je vais te pomper comme je lui ai fait.

Quand tu es prêt tu te met assis

Jules se mettra assis sur ta queue qui devrait rentré lentement.

Jules ainsi empalé gémissait et poussait des aaaaaah! De plaisirs.

Axel avec une main frottait le bas ventre de Jules , celui ci frissonnait et se cabrait.

Je posa une main sur les tétons naissant de Jules ,lautre sur ceux dAxel et je me mis a les pincer.

Tous les deux en cœur criaient " que cest bon grand père continue ".

Dans mon boxer je ressentais le jouissance de mes petits montres , ma queue gonflait et ils sen aperçurent.

Je métais assis sur le canapé ils viennent sasseoir de chaque coté de moi et membrassèrent.

Leurs mains descendaient sur mon torse lentement vers mon boxer , leurs bouches sétaient arrêté sur mes tétons quils mâchonnaient en cœur ,ma queue bandée a bloque ,leurs mains soulevaient lélastique du boxer pour la libérer et sécriaient " ah la vache quelle bête " puis me prirent chacun une couille et la mirent dans la bouche en suçant , je ne résistais pas et malgré mes 64 ans je déversais mon jus et sempressèrent davaler et léchèrent mon gland et ma bite qui ramollissait pour devenir presque la même taille que la leurs.


Dans les semaines qui suivirent…..


Jules veut garder la tradition et aménage un salon réservé a ses nouvelles conquêtes jeunes ,amis ,cousins , copains et de plus en plus de copines …..

Deviendrais-tu hétéro ?..

Non ! Pas du tous dit-il "  il en faut pour tous le monde toi aussi grand père tu baisait les mecs et parfois les filles ".

Bien sur répliquais je !!!!!

Dans les mois qui suivirent je fis la connaissance de Maria-Rosa 18 ans aide a domicile , origine Portugaise ,(un petit cul ! Huuummm!….) et une paire de nichons (bien développés pour son age).

Elle viendra tous les jours 2 heures le matin et l’après midi.

Les premiers jours elle portait un pantalon moulant qui mettait son cul en valeur ,ma queue avait réagit et je lui demanda par la suite de venir en jupe.

Pas de problème ,une mini la jupe ? Dit elle.

Si tu veux ! , mais pas de collant ni bas tes jambes sont si jolies……

Le lendemain ,elle arriva en super mini jupe et corsage de dentelle qui laissait pointer ses miches sans soutien gorges.

Ça vous va comme ça ? Dit elle…

Extra ,je n’en attendais pas tant !…..

Quand elle se baissait pour le ménage ,je pouvais voir sa raie cachée par la ficelle d’un string.

Ce qui déclencha une réaction de ma queue…..

Elle s’en aperçu et se mis a sourire (son visage était merveilleux).

Les jours , les semaines , les mois passaient ,elle était de plus en plus belle et faisait son travail avec cœur.

Un après midi elle dépoussiérait le salon des rendez vous de Jules quand celui ci arriva ,avec le bruit de l’aspirateur elle ne l’avait pas entendu entré . A la vue de sa croupe , il s’approcha en silence et lui passa la main au cul. Elle tressauta et lança sans regarder " mais monsieur Simon si vous désirez , il suffit de demander? ".

Jules éclata de rire très fort , elle se retourna et surprise dit " excuser ,je croyais que……" , mais Jules ne la laissa pas terminer sa phrase.

C’est plutôt moi qui doit s’excuser , mon geste était déplacé.

Peut être dit elle , mais j’aurais aimer que ce soit monsieur Simon.

Grand père ne vous la pas encore fait !….j’en crois pas mes oreilles…..je vais le rappeler a l’ordre ajouta-t-il.

Oh ! Non il est si gentil et vous ……… Vous resterez ce soir ? Dit-elle.

Oui !…. Oui ! Pourquoi ?

Vous n‘y avez pas pensé c‘est ça fête aujourd’ hui …..

Non ! Mais je comprend pourquoi Axel ma dit de venir faire une soirée chez grand père ,il doit arriver vers 18 heures.

Axel arriva comme prévu , Jules s ‘empressa de lui présenter Maria-Rosa .

Les deux garçons viennent me voir et me disent " grand père qu’elle canon, tu dois bander dur avec un joujou comme ça ? ".

Je ne répondis pas , mais mon sourire m’avait trahis .

Quelle age a-t-elle demandèrent-ils.

Votre age mes enfants répondis je.

Le soir venu Maria-Rosa entra ,portant un grand moka, et les garçons le champagne que fut ma surprise de les voire tous les deux en string sans rien d’autre sur le dos et qu’elle ne portait pas le sien , a la lisière de la jupe on pouvait voir sa petite chatte poilue .elle se pencha pour couper le gâteau et nous fit découvrir sa petite rosace bien serrée. Les queues de nos deux garçons sortirent de leurs prisons comme montées sur ressorts. Elle prit le couteau couvert de crème au beurre et tapa sur chaque bite en disant " soyez sage c’est pas encore le moment ! ".

C’était ma fête et cela m’amusait beaucoup , la soirée s’annonçait belle… ….

Vers 23 heures la fête battait son plein ,le champagne et la vodka avaient détendue l’atmosphère

Les deux garçons se suçaient mutuellement ,Maria-Rosa était nue comme moi d’ailleurs et me branlait avec ses seins ma queue qui coulissait entre ces deux mamelons .

Jules et Axel prirent de la crème au beurre(des restes) et badigeonnèrent le cul et le chatte de Maria-Rosa , Axel lécha la chatte ,Jules le cul et y entrait sa langue ,puis un doigt ,elle prit sa main et retira le doigt en disant " soyez pas pressé ,faite plutôt durcir la queue du grand père ".

Ils s’exécutèrent et ce ne fut pas très long.

Elle récupéra de la crème ,se dilata l’anus avec et s’empala sur ma bite , délicatement hurlant de douleurs , Jules et Axel l’encourageaient en suçant ces tétons , ensuite Axel bourra sa bouche avec sa queue tandis que Jules jouait avec la chatte.

La vitesse des vas et vient de Maria-Rosa était a la hauteur de sa jouissance. Ces fesses claquaient sur mes couilles , elle serrait les muscles de l’anus et cela faisait gonfler ma bite je sentait monter en moi le jus bouillonnant .je dit " arrête je vais jouire " , elle se retira et se r’enfourna ma bite dans la chatte cette fois ci ,elle accentua la cadence et je lâchais en elle mon sperme par petite saccades .

Jules avait profité pour l’enculer a nouveau (l’anus n’avait pas eu le temps de se rétracter) et lui envahir ses entrailles de son jus , quand a Axel il lui remplit la bouche du précieux nectar qu’elle avala .

Pour ne pas faire de jaloux elle proposa à Axel son cul que Jules avait bien lubrifié.

Nous avons pris une douche collective et la fête continua toute la nuit.

 

 

 

2010

Cette année j’aurais 65 ans je me sent encore bien dans ma peau .

Le cul aujourd’hui c’est plutôt spectacle mais grâce a mes petits fils je vie encore beaucoup de belle parties.

Ce jour de st Valentin , Jules , Axel ,étaient venu faire une partie de cul .

Maria-Rosa m’annoncera " j’attend un enfant de toi ".

Je faillis avoir un arrêt cardiaque , les deux jeunes coqs sautèrent de joie..

Tu es sur lui demandais je.

Oui tu te souviens le jours de ta fête ,avec Jules et Axel ,tu avais été le seul a dépuceler ma chatte ,j’avais bien pris soin de le faire sans préservatif et j’avais autorisé les garçons uniquement dans mon cul .

La joie repris le dessus et ajoute " a mon age élever un enfant sans être sur de le voir grandir… "…

C’est alors que Jules dit " ne t’inquiète pas grand père , Maria-Rosa me plait et en ce jour ,lui offrant une superbe bague , je l’a demande en mariage , et j’élèverai ton enfant ,je te doit bien ça grand père ".

Axel ajouta en sortant un cadeau de sa poche (un magnifique pendentif de 3 cœurs en lassés) " Oui Maria-Rosa tu sera notre femme ".

Maria-Rosa éclata en sanglots et murmura " merci mes amours ".

Nous avons eu tous les trois a un pompage magistrale de nos bites laissant couler dans sa bouche les jus tièdes et crémeux qu’elle avala avec ferveur .

Ayant une pièce libre je demanda à Maria-Rosa d’habiter chez moi .

Jules viendra partager sa chambre chaque fois que c’est possible ,laissant une place a Axel avec qui il s’était juré de vivre ensemble et que Maria-Rosa accepta volontiers.

Elle faisait son travail comme toujours ,elle ne portait plus de culotte ,ni string ,ni soutien gorge (la liberté disait elle) .

Les mois passaient ,son ventre s’arrondissait, et souvent me le faisait embrasser pour me montrer l’amour qu’elle me portait.

Le 14 juillet elle mit au monde un petit homme de 3kg 800 ,48cm ,comme il est né le jour de la fête national , nous avons décidé (Jules, Axel et moi )de l’appeler Maximilien le prénom d’un grand roi ( le deviendra-t-il ?).

Élevé par le sein d’une grande reine Maria-Rosa ,il n’avait plus qu’a pousser…et grandir…..




Jétais comblé la succession est assuré. , a 65 ans je ne pensais plus mourir mais vivre encore tres longtemps pour assurer a ces jeunes tous ceque l'amour apporte..........

Par simon - Publié dans : histoire racontée
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