Jeudi 21 mai 4 21 /05 /Mai 08:59
cette histoire remonte de quelques années en arrière , 2 jeunes ados à l'époque et qui aujourdh'ui vivent ensemble et partage la même femme MIchelle qui leurs a donné a chacun un fils .
raconté par les auteurs et écris en collaboration de         avec moi et agrémenté de quelques photo du net
voir les articles précédents (Damien 1ère partie) er (Damien 2ème partie)si vous ne les avez pas encore lu.
voici la suite

.....................

Les nuits peuplées d’activités érotiques où chacun des amants recherchait des idées ou des positions improbables pour la plus grande jouissance de l’autre.

Mais les jours passent vite..

L’avant-veille du retour, Damien prit un air sombre et renfrogné dès le matin au réveil. Mamie s’en inquiéta :

- Qu’est-ce qu’il y a, mon chéri ?

- Rien, rien ! minauda le garçon.

- Si, si, intervint Louis, depuis ce matin tu fais la gueule ! Qu’est-ce que t’as ?

- Dis-le, chéri ! renchérit Madeleine en lui caressant les cheveux.

- Ben, c’est que…demain on rentre à la maison et…ce s’ra fini tout ça ! … Louis…

Il eut un sanglot et une larme perla à son œil. Il se cacha dans ses mains et ajouta dans un souffle :

- J’ai jamais passé de si bonnes vacances, ici. J’ai…j’ai eu de si bons moments avec vous deux et…demain c’est terminé !

- Mais pourquoi ça ? demanda Madeleine. Vous reviendrez aux grandes vacances !

- Oui, moi, mais pas mon copain Louis ! continua le jeune homme en sanglotant.

- T’es mignon, mon bébé ! Mais si, je reviendrai…si Mamie Madeleine veut bien de moi !

- Mais bien sûr, mes mignons ! Vous serez toujours les bienvenus et quand vous le voudrez !

- Merci, merci, à vous deux ! souffla encore Damien en entourant ses bras autour de sa grand mère et en embrassant la joue de Louis, attendri.

- En attendant, le pique-nique est prêt pour votre dernière virée dans les bois. Allez ! ouste, mauvaise troupe.

Les garçons foncèrent à la salle de bain pour s’habiller et une heure après, ils étaient sur la route du bois. Ils voulaient passer leur dernière journée de vacances, seuls et proches l’un de l’autre.

Ils roulèrent en silence, pendant une grosse heure,. Puis, ils profitèrent d’une halte-pipi pour manger quelques fruits secs avec une banane. Puis, Louis se rapprocha de Damien et le prit dans ses bras.

- C’est vrai que tu es malheureux de rentrer ?

- Oui, parce que je sais que lundi, tu seras repris par ta cour et que je reprendrais ma place dans ton ombre.
-Ma cour ? Monsieur me flatte ! Si tu parles de ces personnages qui m’entourent au lycée… Ma cour !! ça fait bien, mais…je peux me passer de cette cour. Bref, il est vrai que je devrai donner le change à notre relation.

En attendant, c’est toi qui es dans mes bras et c’est toi qui fait mon bonheur depuis treize jours.

Louis se pencha sur lui et le câlina quelques secondes avant de baiser ses lèvres fraîches. Il le caressa et doucement le cajolait. Ses mains descendirent sous le pull puis sous le tee-shirt pour agacer ses seins et caresser son ventre.
 Puis, il passa derrière lui, ôta le pull et le tee-shirt, et le plaquant sur son torse et sa tête sur son épaule, attaqua le zip du jeans et glissa ses mains dans le sous-vêtement bien rempli.
Damien se livra entièrement aux tendresses de son merveilleux amant, sachant qu’encore, il allait trouver le chemin de la félicité. Il ôta lui-même son jeans et son slip et écarta ses jambes pour faciliter les manipulations voluptueuses d’un Louis qui voulait faire connaître un bonheur certain à son jeune amoureux.
Tout en masturbant lentement et généreusement le membre viril fortement déployé du jeune garçon offert et déjà gémissant,
 il l’avait étalé sur son propre corps, se moulant sous lui, l’épousant entièrement.

Lorsqu’il ressentit le garçon exalté, Louis se délesta rapidement de ses vêtements et l’empalant sur lui, recommença à le flatter jusqu’à l’épanouissement total de ses sens. Damien pris par ses deux côtés sensibles, se contractait et se crispait dans un état proche du délire. Il tourna son visage vers celui de son possesseur et planta sa langue dans la bouche entrouverte du jeune homme.

-Prends…moi, Lou…ouiii j’aime…ça ! Tu es…en moi ! Prends-moi, mon…amour ! Aaaahhhh !

Il se contracta très fortement sur la racine de Louis et laissa son geyser éclater en jets furieux qui retombèrent littéralement en pluie sur leurs corps échauffés. Il fut secoué longuement par son extase sexuelle et s’effondra dans une espèce de coma jouissif. Le beau Louis transporté par la jouissance de Damien, cria en marmonnant :

- Damien, je…viens! Mon…bébé…je t’ai…me ! Damien ouiiiiiiii…je …v.iens en toi!

De nouveau, une seule et même coulée longue et forte que le garçon sentit monter très haut dans ses entrailles. Louis fut dévasté un bon moment en râlant la bouche grande ouverte. Puis, ils se regardèrent en souriant et s’octroyèrent quelques minutes de repos, les bras de Louis entourant le corps alangui de son trop bel amant.

Ils reprirent leur route vers l’objectif de leur ballade et visitèrent la ville, la main dans la main au vu de tous et sans en prendre ombrage. Après tout, ils pouvaient être frères !

Ils rentrèrent le soir à la nuit tombante, juste avant que Madeleine ne s’inquiète.

La dernière soirée. Le dîner terminé, ils restèrent avec Madeleine lui tenant compagnie pour le dernier soir de leurs vacances limousines, tenant à repousser le plus longtemps possible le temps de la séparation.

Puis, ce fut le temps d’aller se coucher. Ils embrassèrent tendrement la grand-mère émue et montèrent dans leur chambre.

La dernière nuit. Ils ne furent pas longs à faire leurs ablutions et s’étendirent sur le lit. Damien se tourna vers Louis et se roulant contre lui, commença à le couvrir de petits baisers légers.

Avant que Louis n’ait pu faire aucun mouvement, Damien était entre ses jambes pour lui offrir une vigoureuse fellation avec des trésors de caresses qui mit le beau brun dans un état de transes avancé. Au moment, où il se sentit partir, Louis s’écarta et vint flatter le pieu de chair de son jeune suceur pour lui assurer le même bonheur.

A son tour, le jeune garçon se sentit dans la forme nécessaire pour honorer son amant de belle façon. Il leva les jambes de Louis , caressant la rosette qui produisit de grand gémissant au bout de quelques minutes.

Alors, posant les talons du bel adolescent sur ses épaules, Damien se glissa lentement en lui en baisotant son front et sa bouche, titillant ses pointes de seins pour l’ouvrir encore. Une fois rendu au fond de l’intimité du ravissant jeune homme, il s’attarda en un long et profond va-et-vient qui mit Louis dans une émotion proche du délire, prononçant des mots sans suite, les yeux clos.

 Il caressa spasmodiquement les hanches et le dos de Damien en geignant plus fort. Il saisit son sexe turgescent et le secoua énergiquement.

Alors, Damien qui garda tous ses esprits et se contrôlant au mieux, le lui interdit en plaquant ses mains à côté de sa tête en murmurant :

- Non, mon chéri, ce soir est le mien ! Je suis le maître de ton plaisir ! Tu ne jouiras que quand je le voudrais......

Il continua un long moment à s’enfoncer dans le sombre endroit de Louis et enfin sentant la brûlure monter dans sa hampe et la crampe triturer son bas-ventre, il se contracta en cabrant ses reins, se planta au plus profond de son amant, fixa ses yeux fripés et dit :

- Maintenant, je vais…venir…en toi ! Je vais jouir…en toi, mon amour, maintenant ! Je t’aime, mon amour !

Il serra ses dents, crispa ses yeux et raidissant son corps laissa son flux jaillir intensément, se déversant comme un torrent dans la vallée intime de Louis qui le reçut entièrement en ondulant sur les draps fripés. Il s’effondra un moment sur lui dans un souffle de mourant.

Louis avait noué ses jambes autour de sa taille et continuait de caresser machinalement son dos et ses fesses. Il glissa sa main entre leurs corps enflammés et caressa leurs pubis, mélangeant leurs poils noirs délicatement.


Cette légère douceur éveilla Damien. Il se retira du secret endroit qui restituait sa semence en coulées, et s’allongeant sur le lit, badigeonna son œillet intime de sa crème anti-acné.
 Puis, se tournant vers Louis, il lui redonna une forme fabuleuse à l’aide de sa bouche et de ses lèvres fermes et douces. Quand, de nouveau, il ressentit l’âcreté du précum sur sa langue, Damien se rallongea sur le lit les jambes écartées et ouvrant ses bras à Louis, l’invita à un nouveau pas de deux. Le jeune homme s’étendit sur le corps offert et se réfugia dans les bras accueillants.
Il baisa les yeux, le nez, la bouche et le cou de Damien pendant qu’il glissait lentement en lui.

Enfoui au tréfonds du garçon, il commença à aller et venir en douceur durant un long moment, puis, avec plus de rapidité, voulant se donner davantage au jeune garçon qui prenait une place énorme dans sa vie.
 Damien se crispa pour recevoir son jus de mâle dans tout son intérieur, et râlant, dit :

- Viens, amour, viens…je t’attends ! Fécondes-moi !

Un jet long, intense, fort, épais. Un cri long, intense, mourant.

Puis, alors qu’il s’en étonnait lui-même, un deuxième jet aussi long que le premier qui inonda le fondement envahi ; enfin, un troisième tout aussi important. Il perdit l’esprit et s’écroula sur l’ado accroché à lui des bras et des jambes, inondé de semence, transi de désir et soudé à son corps. Louis s’endormit d’un coup, foudroyé par l’orgasme, anéanti de bonheur.

Ils s’éveillèrent après quelques heures de sommeil. Il était tard, déjà, mais pas assez pour se lever encore. Alors Damien se tourna vers Louis encore ensuqué, et lui baisant les lèvres, lui dit :

- C’est la dernière, garçon ! A Metz, on ne pourra plus, alors laisses-moi faire !

Louis s’extirpa des bras de Morphée pour tomber dans ceux de Eros. Les doigts, les mains, les lèvres, les cuisses, le sexe de Damien le conduisaient inexorablement vers le Nirvana des amants.

Quand il fut prêt, tremblant et frissonnant, Damien s’allongea et ouvrit ses bras pour l’inviter au voyage, il le fit asseoir sur son bas-ventre et l’enduisit de la crème médicale. Alors, il souleva les fesses de son ami en le fixant intensément et l’empala sur lui.
 Louis gémit un peu durant la sodomie et se posa à la hauteur du ventre du garçon. Damien s’enfouit au plus profond de son amour et manipula le sexe bandé à quelques centimètres de sa bouche.

Alors, une idée lui vint. Il glissa l’oreiller de Louis sous sa tête et tendant un peu le cou, absorba le sceptre de chair virile et frémissante pour le sucer avidement. Louis tressaillit en feulant d’un plaisir nouveau. A la fois, possédé et abouché, il n’avait jamais ressenti autant de béatitude. Une euphorie véritable l’habitait. Il savait qu’il allait jouir d’une façon inouïe. Il se posa sur ses genoux pour donner à Damien une aisance nécessaire à sa pénétration et se rapprochant du visage pénétra plus profondément la bouche de son possesseur.

La sensation le faisait grelotter de désir. Il se tint droit accroché au plaisir du garçon, étant à la fois, donneur et receveur d’une énorme jouissance. Il pinça les tétons durcis de Damien qui se cabra.

Damien s’accrochait à ses hanches et donnait de longs et puissants coups de son boutoir sexuel dans les profondeurs de sa chair et absorbant et mordillant le mandrin de son amant.

Alors, le soupir de Louis annonça la crispation des muscles intimes et la brûlure dans les hampes.

- Damien i, oh, mon Damien …Je viens…je…viens ! Damien …ji !

Aucune minute ne fut plus précieuse pour les deux jeunes gens : la contraction de son anneau provoqua immédiatement les puissantes coulées de Damien.
De son côté, la tiédeur de son lait et la force de son éjaculation ouvrirent les vannes de son fleuve crémeux dans le gosier de Damien.

Ce que l’un offrait d’un côté, l’autre le restituait de l’autre. Un cycle s’établit pendant plusieurs secondes entre eux.

Louis s’ôtant pour embrasser voluptueusement son amour d’enfant, sa laitance les nourrissant copieusement.

- Je t’aime vraiment, Damien. Tu viens de me donner le meilleur de toi, tu viens de me donner un moment de bonheur si…intense…si rare. Je…J’ai…Restes toujours mon ami, je t’en prie ! Moi aussi, je suis fécondé par ta sève. Je porte ta vie en moi. Je veux…Je t’aime pour de vrai !

- Je t’aime aussi, mon ange, mon amour, mon chéri. Viens !

Il le serra dans ses bras et le câlina longuement, toujours fiché dans l’intimité de son amant.

Quand soudain retenti :

- Vous venez les garçons, il est l’heure de se lever. Le petit déjeuner vous attend ! cria Mamie Madeleine, en bas des escaliers.

Les garçons descendirent de l’escalier comme à regret. Non de répondre à l’invitation de la grand-mère mais de quitter l’endroit où ils avaient connu de tels moments de bonheur intense. Louis avait posé sa main sur l’épaule de Damien et l’accompagnait à sa chaise, l’œil aussi morne que celui de son copain. Ils prirent le petit-déjeuner en silence, adressant quelques mots évasifs à Madeleine qui ressentait le malaise des enfants.

- Bon, les enfants ! Je ne voudrais pas vous presser, mais le car part dans une demi-heure. Avez-vous préparé vos valises ?

- Oui, oui, Mamie Madeleine, répondit Louis, nous les avons terminés hier soir avant de se coucher.

- Il ne reste plus qu’à mettre nos vêtements de nuit et la trousse de toilette. Y’en a pour trois minutes, ajouta Damien, le nez dans son bol.

Vingt minutes plus tard, ils attendaient tous les trois sur la place. Damien tenait sa grand-mère embrassée, son visage dans son cou en sanglotant un peu.

- Eh bien, eh bien, mon chéri ! Ne pleures pas, voyons ! Tu reviendras aux vacances d’Automne, comme d’habitude.

- Oui, mais…pas avec lui, chuchota Damien à l’oreille de sa mamie.

- Et pourquoi donc ? Bien sûr qu’il pourra revenir, quand il voudra. Allons, allons, sèches ces larmes ou tu vas me faire pleurer aussi !

- Au revoir, Mamie Madeleine ! dit Louis en se jetant à son tour dans les bras de la vieille dame. J’ai été très content de venir. Je vous remercie pour tout.

- A bientôt, mon petit ! Tu peux revenir quand tu le voudras.

- Merci, merci beaucoup !

Ils montèrent dans le car qui les ramena à la gare de Guéret en faisant de grands signes d’adieu à Madeleine jusqu’à sa disparition au premier virage.

Ils gagnèrent leurs places au fond du wagon 17 du train qui partit vers Metz à 10 h 32. Damien n’arrivait à se départir d’une tristesse bien réelle que Louis ne supporta qu’un temps.

- As-tu l’intention de ma faire la gueule jusqu’à Metz, Damien ?

- Je…j’ai…Oui ! Ou plutôt non, mais je suis…tellement…

- …triste de me quitter ?

- Te moques pas. Oui, j’ai passé les meilleures vacances de printemps depuis 15 ans. Grâce…

- …à moi, je sais ! et tu penses que ce sont les dernières qu’on passera ensemble…et que c’est fini entre nous, parce que…

- parce que…à partir de lundi, tu retrouves TA cour et moi l’ombre, gémit encore Damien une larme au coin de l’œil.

- MA cour…Tu sais que je t’aime, mon bébé ? Bien, puisque tu mets le problème sur le tapis, nous devons mettre un stratagème en place pour nous deux…

Louis expliqua son plan et parla longtemps de la façon dont il envisageait l’avenir pour leur couple.

Damien reprit des couleurs et des sourires sur son visage. Il lança un regard circulaire pour savoir qui pouvait les voir et s’assurant de la discrétion du lieu posa un baiser furtif sur les lèvres de Louis. Ils se quittèrent sur le trottoir de la maison de Damien, se serrant fort dans les bras l’un de l’autre et s’octroyant un dernier baiser tendre.

Les retrouvailles du lundi furent à la hauteur des espérances de Damien.

Comme prévu, Louis fut entouré de ses fans et accueillit par les gloussements de ses groupies, alors qu’il restait dans un coin de la cour. Néanmoins, sans voir son copain adulé, entouré, flatté, ne le perturbait pas plus que cela.

A quelques jours de là, Louis fut absent des cours. Damien téléphona pour prendre des nouvelles : le jeune homme était alité avec une bonne gastro-entérite, une des dernières de l’année.

- Tu peux m’apporter les cours, ce soir ? demanda-t-il, je ne voudrais pas prendre de retard dans mes cours…j’ai déjà pas mal de problèmes. Et puis…je voudrais te revoir !

- Pas de problème, mon chéri, reprit le jeune trop content de visiter son bel amour. A ce soir !

Vers dix-huit heures, il sonnait à la porte et après avoir salué la mère de Louis, qui le guida pour monter dans la chambre de l’ami très cher.

- Eh bien, mon pauvre amour !

- J’suis malade, mais pas mourant, quand même ! Viens là que je te dise bonjour correctement, mon bébé.

Damien se pencha sur son camarade et lui offrit ses lèvres qu’il prit en un baiser passionné.
Quinze minutes après, Damien avait remis ses cours sur le bureau et son corps nu dans les bras de Louis.

Vingt minutes après, ils s’étaient donnés mutuellement dans un orgasme fort agréable.

- Quand reviens-tu en classe ? demanda Damien en remettant son pantalon.

- Dans deux ou trois jours ! Tu sais, c’est la première fois que je…porte l’enfant d’un copain.

Damien surpris , éclata de rire en même temps que son bel ami.

Quelques jours plus tard, c’est Damien qui attrapa une vilaine grippe et son ami intime lui rendit le service des cours et une agréable branlée.

- A mon tour de porter notre enfant, décréta-t-il en l’embrassant.

Le même rire les gondola pendant plusieurs minutes.

Les deux garçons partirent ensemble chez grand-maman Alice en Vendée pour les vacances d’été et chez Mamie Madeleine pour celles d’Automne. où dans la forêt il se retrouvèrent tous les jours
 Inutile de préciser qu’ils ne se sont quittés d’une minute pendant tous leurs congés et plus jamais depuis cette année merveilleuse.


Au lycée, ils doivent encore composer avec les " copains " - qui ne comprendraient pas et qui n’ont pas à savoir - mais ils savent que leur amour est inaltérable, du moins pour les années de lycée.



Après…
c’est après, on verra !

















 En attendant Damien est heureux. Pour lui, Louis est et restera son amant. Encore pour longtemps.



A SUIVRE…

Par simon - Publié dans : histoire racontée
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