Dimanche 17 mai 7 17 /05 /Mai 10:30
cette histoire remonte de quelques années en arrière , 2 jeunes ados à l'époque et qui aujourdh'ui vivent ensemble et partage la même femme MIchelle qui leurs a donné a chacun un fils .
raconté par les auteurs et écris en collaboration de  Jordy    avec moi et agrémenté de quelques photo du net.



Il etait une fois:


Damien est un jeune garçon

En fait, c’est un ado de 15 ans passés, assez grand pour son âge – un mètre soixante dix pour 60 kg , le cheveu noir et l’œil marron clair,
 Il porte des lunettes sombres, ce qui le rend vulnérable, et est d’une timidité presque maladive.

C’est plutôt un bon élève et même s’il ne fait pas des étincelles, ces notes se situent dans la moyenne supérieure.

Bien qu’enfant unique, il n’est pas prétentieux mais reste résolument asocial quand il faut fréquenter les autres.
 Le fait d’avoir peur de mal faire ou de mal dire le rend silencieux et farouche, baissant la tête et regardant le monde par le bas.


Pourtant, Damien a un secret.
Il est amoureux.
Oui, c’est ça, " amoureux " !
Amoureux fou de…Louis.





Il s’en est aperçu, il y a un an déjà. Alors, que pour la première fois de sa vie, il avait été bousculé les garçons peu scrupuleux face a son handicap que ces jeunes connaissaient.

Eh ! oui Damien est non voyant ! et se rend au lycée pour suivre les cours orales , les leçons écrite sont traduite en braille.

La plupart l’accueillit sans débordement, ni enthousiasme particulier. Il n’avait pratiquement pas d’amis. Certains lui souhaitèrent le bonjour et un " comment ça va ? " dont ils n’attendaient pas la réponse.

Seul, Louis vint lui serrer la main avec un sourire radieux et un vrai " je suis ravi de te revoir ! " qui émut le jeune garçon.

- Tu as l’air mieux, j’suis content ! Tu es revenu juste à temps pour les derniers jours avant l’exam blanc. As-tu besoin des cours ?

- Eh bien ! Oui, je crois !

- Ok ! après les cours de ce matin j’ texpliquerai..


Louis avait cette particularité d’être toujours souriant et aimable avec tout le monde, profs et élèves. Il n’était pas une flèche au niveau scolaire mais savait se tirer d’un mauvais pas par une pirouette amusante ou d’une répartie du tac au tac, sans jamais être injurieux, insolent ou désagréable et le faisait chaque fois avec fort bon goût.


Ce jeune homme de seize ans passés avait un charme fou qui attirait la sympathie et l’admiration des filles, qui s’évanouissaient presque, quand le beau brun posait son regard clair sur elles.


La veille des vacances de Pâques, la famille de Damien terminait de dîner quand on sonna à la porte. Sa mère alla ouvrir. Elle revient dans la salle à manger accompagné de…Louis

- Damien, ton ami voudrait te parler.

- Euh ! Enfin, non, Madame ! C’est plutôt à vous que je voudrais parler.

Damien s’était levé précipitamment, renversant sa chaise. Son beau copain était ici, chez lui ! son cœur battit plus vite.

- Que puis-je faire pour vous, euh…Louis ? dit le père de Damien en lui serrant la main.

- Eh bien, voilà, monsieur ! Ma mère part en croisière avec son travail , et ma sœur aînée ne peut me recevoir chez elle. Je…J’avais pensé que…Enfin voilà, Damien et moi on s’entend plutôt bien au Lycée, j’avais pensé que…vous accepteriez que je passe les vacances avec Damien.

- C’est que… Damien part chez sa grand-mère dans la Creuse, demain matin, dit le père.

- Oui, oui, je sais, m’sieur ! J’en ai parlé avec ma mère. elle ne veut pas que je reste seul dans la maison pour aussi longtemps, alors elle m’a demandé de trouver une solution. Bien sûr, elle paiera ma part des frais et puis j’ai de l’argent de poche.

- Euh…eh bien, je ne sais quoi dire ! Qu’en penses-tu Marthe ?

- Ben, si Damien et ta mère veulent bien, je ne dis pas non ! répondit Maman

- Ma mère est d’accord, si vous êtes d ‘accord. Oh, dites oui, Monsieur ! supplia Louis.

Un coup de fil à la grand-mère et l’affaire était faite. " Quand il y en a pour deux, il y en a pour trois ", avait dit la vieille dame.

Le lendemain, les deux garçons se faisaient face dans le train qui les emmenaient à Guéret. Louis, absorbé par les problèmes de Soduku de sa revue de jeux, était presque affalé sur le siège, ses genoux entre ceux de Damien.

Depuis, la veille le jeune garçon s’interrogeait sur le bonheur qu’il était en train de vivre. Son fantasme vivant allait habiter deux grandes semaines avec lui, sous le même toit que lui, à quelques centimètres que lui, peut-être dans…Ne rêves pas, garçon ! se dit-il.

- J’peux te demander quelque chose, Louis ?

- Ouééé ! signala le jeune sans quitter sa BD.

- Pourquoi moi ? Pourquoi passer tes vacances avec un ringard non voyant ? pourquoi viens-tu avec moi chez ma grand-mère ? demanda Damien à voix basse.

- Ça te dérange que je sois là ?

- Bah, non ! Mais…je comprends pas. Alors, pourquoi ?

- Parce que les copains qui n’en sont pas. Parce que les filles qui allument mais qui n’éteignent pas. Parce que rester seul pendant que les autres s’amusent. Parce que toi !

- Quoi moi ?

- Parce toi tu es calme, tu ne demandes jamais rien, tu reste à part et que tu me regarde .heu..… Parce que je te trouve sympa.

- Euh…d’abord, je te vois pas, je sens ta présence!

- Exact ! mais les autres jours, si ! Ne mens pas, je te vois !

Damien rougit et lança un regard apeuré autour de lui..

- Ça te va comme explication, mon grand ? demanda Louis en lui adressant un beau sourire.

- Oui, oui ! répondit Damien en fixant la vitre ou le paysage défilait rapidement.



Une heure après, ils arrivèrent sur place où Mamie Madeleine les attendait.

Elle avait préparé la chambre bleue pour le jeune invité et la chambre du grenier pour son petit-fils.

- Non, non, Mamie ! Ne t’en fais pas ! Je dormirai sur le canapé-lit de la chambre. Tu comprends, Louis ne connaît pas la maison , il serai ma vue , on va discuter le soir et là on pourra le faire sans te déranger et sans mettre le bazar dans deux chambres.

- Très bien, jeune gens ! Alors, on fera comme ça. Maintenant, à table !

Après le déjeuner, Emmitouflés dans leur parka, ils marchèrent à travers champs. Ils se mirent rapidement à leur aise, le soleil de cette mi-avril chauffant plus que prévu.. Ils s’arrêtèrent à l’orée du petit bois assez dense pour s’y cacher ou pour se protéger du soleil. Louis en nota l’emplacement dans un coin de sa tête

Louis fut un guide agréable à Damien, ils parlèrent de tout et de rien : études, passions, avenir. Leur marche les avait bien fatigués.

Damien restait étonné de ce que son idole était là dans son univers. Chez sa grand-mère. Pratiquement seul avec lui. il n’arrêtait pas d’y penser et s’imaginait des choses qui n’auraient jamais lieu que dans ses scénarii les plus fous, mais qui donnait de l’ampleur à son boxer.

- Dommage qu’on ait pas de moyen de locomotion, regretta Louis, on pourrait visiter les villages voisins…et voir ce qu’on peut y trouver…si tu vois c’que j’veux dire ! ajouta-t-il en lui adressant un clin d’œil complice.

- Ah, au fait ! Je crois qu’il y a un vieux clous dans la grange. Viens, on va voir !

Effectivement, ils trouvèrent un vieux tandem rouillées dans la bâtisse en bois. Ils les examinèrent et conclurent qu’une bonne journée de travail le remettrait en état de marche.

L’heure du repas arriva. La grand-mère de Damien était heureuse d’avoir ces charmants garçons à sa table ; elle qui vivait seule dans cette grande maison.

- Excusez-moi, Madame ! intervint Louis. Nous avons trouvé un vieux tandem dans la grange. Est-ce que nous pourrions l’ utiliser pour visiter les alentours ?

- Bah, oui, mais ! Il est vieux et aurait besoin d’une sérieuse remise à neuf ! reprit la mamie.

- Pas de problème, Madame ! J’suis un spécialiste !

- Hé, hé, jeune homme ! Pas de " Madame " ici ! Pour toi, je suis Mamie ou Madeleine. Le Madame ça sent le sapin, non ?

- Très bien, Mad…euh, Madeleine ! Euh, non, c’est trop familier ! Je vous appellerais Mamie Madeleine, si vous êtes d’accord ?

- Va pour Mamie Madeleine ! Et à partir de maintenant, c’est valable pour toi aussi mon petit Damien.

Le repas se termina dans cet accord. Les jeunes allèrent se coucher. Le lever tôt, le trajet en train et la ballade avaient raison de leur résistance.

- Tu as envie de dormir tout de suite ? demanda Louis.

- Bah, non, en fait !

- Alors, je viens dans ton lit qu’on discute un peu

Damien n’en revenait pas. Louis, le beau Louis, le sublime Louis s’invitait à me rejoindre dans mon lit ! Oh, la chance !

Vingt secondes plus tard, j’ étais allongé à côté du plus beau mec du lycée simplement vêtu d’un caleçon bleu marine.

Il n’osait regarder son compagnon. Damien avait tiré la couverture jusque dessous son menton, le regard pointé vers l’avant et espérant que sa virilité, qui tendait son sous-vêtement, ne serait pas remarquée par le bel adolescent

- Alors, qu’est-ce que tu en dis ? interrogea Louis.

- Euh…quoi ?

- Le tandem, on les remet en état demain et après-demain on part en ballade avec. Tu connais un garage ou un vendeur de vélos, dans le bled ?

- Euh…quoi ?

- Un vendeur de vélos, dans le village, y’en a un ?

- Ben, j’sais pas !

- On demandera a Mamie ?.

- Euh…quoi ?

- Ecoute, Damien ! Ça fait trois fois que je te demande quelque chose et ça fait trois fois que t’as pas compris. Y’a un problème ?

- No…non ! bredouilla le pauvre Damien tendu à l’extrême.

Son sexe se mit à battre la mesure sous la courtepointe et cela n’échappa pas à Louis qui rit.

- Oh ! Ce n’est que ça ! dit-il d’un air suffisant, moi aussi, je suis tendu, regardes !

Il poussa la couverture et découvrit son bas-ventre en belle situation. , il prit la main de Damien regardait au touché, exorbité et tremblant, l’appendice de son ami dont il avait si souvent rêvé.

Dix secondes plus tard, Louis était entre ses cuisses et embrassait légèrement son ventre et sa poitrine.
 Damien frissonna en tremblant plus fort.
Les mains de Louis avaient déjà pris possession de ses hanches, de ses tétons et de ses fesses. Damien gémissait en ondulant sur le lit, il s’enfonça davantage sur la couche, en posant ses mains sur la tête de Louis en massant doucement ses cheveux bruns. Le grand garçon rampa sur mon corps et vint se positionner face à mon visage.

Il regarda longuement Damien qui défaillait de plaisir et approcha lentement ses lèvres des miennes. Damien ouvrit un peu la bouche et ferma les yeux. La langue de mon ami passa mes dents et chercha ma propre langue. Il la caressa de la pointe et la lécha très doucement. C ‘était la première fois que je recevais un vrai baiser, mais en plus, je le recevait d’un garçon, et de plus, du garçon que j’ aimais. je soupirai et me donna entièrement laissant mon corps épousé par celui de mon ami très cher.

Le membre fier de Louis - plus imposant que le mien – se cala contre mon sexe palpitant. Damien referma ses bras autour du cou de son partenaire et répondit enfin au baiser tendre qu’il recevait.

Puis, Louis se fit explorateur, glissant entre les cuisses ouvertes du jeune garçon et descendit le caleçon avec les dents. Damien se cabra offrant sa virilité exacerbée au regard de celui qu’il aimait.

Louis agita le beau sucre d’orge quelques secondes et fixant le garçon frissonnant de désir, l’aboucha peu à peu.

Damien ,dans un brouillard vaporeux , sentait , enfouie dans sa bouche la tige sexuelle magnifique de son bel étalon. Une dizaine de succions appuyées eurent raison de la résistance du jeune garçon totalement évanescent. Sa jouissance dura longtemps et bascula à coté de Damien.

Lorsqu’il reprit conscience, Damien était assis sur ses cuisses et se manipulait lentement. Le magnifique sceptre à une dizaine de centimètres du visage de Louis.

Quand il sentit que Damien arrivait au terme de son extase, il remplaça la main par la sienne et décalotta entièrement et fortement le gland vermillon, trois fois de suite. Damien se cabra et ouvrit sa cascade sur la poitrine de Louis, un seul long jet intensément, mais très abondant.

Damien s’écrasa sur le corps de son ami, baisa ses lèvres et s’endormit en se serrant dans les bras du jeune garçon

Au moment où l’aurore griffait de rose le noir de la nuit finissante, Damien se retourna sur le côté, mais le bras de Louis passé autour des ses épaules l’en empêcha.

Il s’éveilla pour observer la situation et vit par le toucher son bel apollon, endormi, beau et rayonnant, son éternel sourire attaché à ses lèvres pourpres. Vraiment, c’était un beau garçon et Damien en eut immédiatement envie. Il approcha ses lèvres des siennes et y posa un très léger bisou. Louis ne bougea pas. Damien roula contre lui et se blottit contre le flanc de Louis. Il embrassa l’aisselle fournie et le sein de l’ami très cher, il plaqua sa main légère sur son torse chaud et y fit glisser la pulpe de ses doigts sur sa vallée, effleura la pointe des tétons brun rosé, et descendit vers le trésor caché.

Louis ressentit la douce caresse et s’étendit sur le dos, se repositionnant à son aise pour la suite d’un sommeil agréable. Damien glissa sous le drap et posa sa tête à la hauteur de sa poitrine Il posa sa main légère sur le ventre soulevé par le souffle lent du beau dormeur, il osa un doigt dans le trou du nombril et longea la petite ligne de poils qui dissimulait à son regard habitué à l’obscurité, le trop bel objet que son ami gardait entre ses jambes soyeuses.

Il le saisit enfin et à force de légères pressions, redonna à ce morceau de chair tendre, la dimension d’un sceptre majestueux. Louis avait gémi un peu, mais regagné les bras de Morphée dans la seconde suivante

Damien maintint alors le tube vivant dans sa main largement ouverte et avançant les lèvres y déposa un baiser léger, puis un deuxième plus appuyé et après un moment, il ouvrit la bouche pour le déguster. Il lécha délicatement le gland chaud et longea la couronne de la pointe ferme de sa langue. Louis ondula en soupirant.

Alors, Damien se risqua à une nouveauté sur l’objet de sa convoitise : une fellation. Il n’avait jamais osé pareille privauté sur aucune créature vivante et ne savait comment réaliser cette prodigieuse caresse que tout homme apprécie et qu’il avait adoré la veille.

Il commença à sucer le sexe raidi comme une sucette, puis joua de la pointe de la langue sur le frein et le méat. Il en fit glisser la largueur sur toute la longueur de la hampe offerte et absorba les deux testicules gonflés de sève juvénile.

Louis ondula encore en frémissant et allongeant les jambes comme pour mieux s’offrir aux merveilleuses sensations qu’il ressentait dans son rêve.

Damien pensant que son camarade accédait au plaisir, crut devoir s’activer davantage sur la tige de chair qui s’agitait seule. Il provoqua une série de succions intenses comme pour décoller le bout rose du reste de la colonne.

Louis se raidit soudain et poussa un long soupir plaintif, il se déversa en une longue et interminable coulée de sa semence chaude dans le gosier de Damien qu’il n’eut pas le temps de prévenir à temps. Le jeune garçon n’eut d’autre choix que de déglutir rapidement, avalant la saveur sucrée de son plaisant ami.

Louis se détendit en maintenant la tête du petit contre son ventre un bref instant. Puis, il le tira doucement jusqu’à ce qu’il atteigne son visage et lui murmurant un " merci ! " lui offrit un baiser passionné, goûtant à son tour l’onctuosité de sa crème.

.Ils conclurent leur baiser et s’endormirent dans les bras l’un de l’autre, quelques temps.

Au matin, ils furent réveillés par l’odeur des tartines grillées et du café au lait.


A SUIVRE .....

Par simon - Publié dans : histoire racontée
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