lesbohommes

Mercredi 25 novembre 3 25 /11 /Nov 14:43

Bar à hétéro ?

C'était il y a un peu plus d'une semaine, après mon anniversaire , j'avais décidé de sortir en ville.

J’ai l’habitude d’aller au café " chez Adel " , petit bistro du coin très calme tenu par une grand mère , on y trouve des joueurs de cartes, baby, billard ou jouent quelques jeunes .

Je m’installe au bar sur un haut tabouret.

-bonjour Adel , une mousse brune comme dab. STP.

-bonjour Simon , c’est rare de te voir sitôt ?

-j ’avais un coup de blouse à la maison , alors chez vous ça change , c’est vivant.

-je comprend

-comment vont vos petits enfants  Remy , Fabien?

-très bien merci ,Fabien est ici c’est sûrement lui qui vas reprendre le bistro

-ça c’est une bonne nouvelle

-oui pour moi , mais avec l’interdiction de fumer c’est moins rentable

-c ‘est clair quelle connerie ….

La conversation fut interrompus les joueurs de cartes réclamaient
" alors Adel tu veux nous laisser crever de soif "

J'étais donc seul accoudé au comptoir , fixant le fond de la salle , je fantasmais sur les corps des minets qui jouaient au billard. Ils jetaient des regards vers moi et un en particulier.

Mon verre vide j’en réclamais un à nouveau.

Le jeune sur qui je fantasmais , se dirige vers le comptoir , putain c’est le petit Fabien , qu’il est bel homme , je le regarde de bas en haut , il vient et s’installe sur le tabouret voisin.

- Salut Fabien, tu vas bien ?
- On se connaît ?"

Il ne me reconnaît pas ou fait-il semblant ?

- je pense oui tu es le frère de Remy le petit fils d’Adel , moi je suis Simon le grand père de Maxime M..

-ah ! oui Maxime.... la tapette …. Dis donc, vous avez bien changé

-ben oui que veux tu on vieillis…. Mais dis moi TU ça fait plus cool et jeune

-ah ! ce Maxime je pense toujours à lui , que devient –il ?

-y a une semaine il était chez moi pendant quelques jours

-à merde je l’ai loupé de peu…..

-Je te paye un verre ?
- Avec plaisir.

-Adel une mousse brune et pour lui.....

-pareil pour moi grand mère dit-il

Il enlève quelques boutons de sa chemise laissant apparaître la naissance de ses pectoraux légèrement poilus.
- Apparemment tu continues le sport ?
- Oui, je suis prof de sport à domicile. Tu n'es toujours pas discret quand tu mattes ?.

Un peu gêné, je ris bêtement puis nous discutons un moment, il m'explique son histoire qu'il voulait transformer les 2 étages au dessus du bar en chambres d'hôte pour la nuit.

Je commence à imaginer tout et n'importe quoi quand d'un coup il pose sa main sur ma cuisse.

-excuse moi ....

-pas grave , répondis-je en faisant de même

- Tu n'es plus l'hétéro bourru d'il y a quelques années ?
- Il faut croire que non, j'ai toujours eu envie de te serrer.
- La......Je crois que tu as trop bu. (hihihih)

A ce moment là , sous le regard de sa grand mère ébahi , il me prend par le col de ma veste et me tire vers lui, il est a quelques centimètres de moi et je me rend compte à quel point ses yeux sont bleu et terriblement sexy.

IL approche ses lèvres des miennes, je me laisse faire, il m'embrasse tout en me mordillant la lèvre inférieur.

Sa main descend dans mon dos tandis que la mienne est posée derrière sa nuque. Quelques minutes plus tard il retire ses lèvres et me dis en riant.

-Ta barbe pique un peu. Tu serais d'accord pour passer la nuit avec moi ?.

-Tu dois connaître ma réponse non ? viens chez moi

- T'habites vers le bois...... ? si je me souviens bien ..
-
ouiiiii
- Tu veux que je te ramène ?
-
Euh, ouais pourquoi pas...
- Allez chiche !

Sortant un billet de 50€ je dit

-payez vous Adel comme il pleut trop fort Fabien me raccompagne en voiture

-C ’est un gentil gamin mon Fabien ,toujours prêt a rendre service

-oh ! que oui Adel , les jeunes de nos jours sont pas tous des voyous ……

-J ’ai la clé grand mère tu peux fermer.

IL m'embrasse à nouveau, il souri

Il me conduit à la maison, une fois descendu de la voiture, je me rends compte qu'il a pris du champagne

Je commence à me demander si ce n'est pas un grosse blague. Nous rentrons dans la cuisine, une fois les portes fermées il me plaque contre le mur son torse contre le mien et sa langue dans ma bouche.

Il ouvre la porte de la chambre et pose sa veste sur le lit.
- Tu me rejoins dans la salle de bain ?
-
J'arrive.

 

J'enlevais ma veste et allais dans la salle de bain.

Il était en boxer. Ses pectoraux étaient puissants, ses abos marqués et ses bras forts, voyant que je le regardais de haut en bas, il me prit la main et la posa sur son torse. Je le caressais pendant qu'il enlevais un à un les boutons de ma chemise. J'étais surexcité et à l'étroit dans mon pantalon, sa queue commençait à sortir de son boxer sous l'effet des mes caresses et de mes baisers.

Au bout de quelques minutes j'étais dans la même tenue que lui, il jouait avec ma bite à travers le tissu du boxer. Après quelques baisers, il enlevait son boxer

Il me prit la tête en me faisant mettre à mes genoux il approchait sa bite de ma bouche.

IL mit ses deux mains sur ma nuque et commençait à me baiser la bouche. Je gémissais, mes lèvres faisaient des allés et venues sur son gland, je l'avais prise entièrement dans ma bouche.

-tu n’attendais que ça salope , te faire du minet ? hein….

-hummmmm….mmmmmmmm ouiii

Sa queue ne cessait de gonfler et j’ avait du mal à garder la bouche ouverte.

Je salivais comme un goret, ma salive descendais jusque sur ses cuisses. Je poussais des râles qui ne faisaient que me faire gober encore plus sa bite pendant que ses mains me tenaient toujours la tête. Je sentais qu’il allait se vider dans ma bouche, je me retirais pendant qu'il se relevait pour m'embrassait tendrement.

Le téléphone sonna et coupa le moment prestigieux

-bonsoir chéri

-bonsoir mon amour

-tu me manques déjà ….j’ai besoin de toi…je serai de retour dans 1 mois….je vais te refaire une bonne reserve de jus comme tu aimes…

-je le sens déjà couler dans ma gorge ouiiii reviens vite j’en ai envie

-bonne nuit mon amour

-bonne nuit Maxime fait de beaux rêves , bisooous

pendant ce temps Fabien avait servi le champagne , il s'était allongé sur le lit les jambes écartées et jouait avec mon gode qu'il avait lubrifié avec sa salive. J'étais étonné de le voir ainsi, il se défonçait littéralement le cul en allant de plus en plus vite.

Je m'approchait de lui et commençait à le caresser avec ma main. Il se retournait pour se mettre à cheval sur moi et m'entourait de ses bras, je prenais en main le gode. Il était assit sur mes cuisses pendant que je le soulevait et le baissait l'empalant complètement avec le gode serré entre mes cuisses.

Son cul mouillait, après quelques minutes je décidais d'enlever le gode. J'enfilais une capote et le portais jusqu'à se qu'il s'empale sur ma bite toujours droite.
-aaaaaaaaaaaahhhh   !
 J'avais son souffle dans le cou pendant qu'il râlait au rythme de mes mouvements de bassin. Son cul était serré, ma bite était dans un étau pendant que la sienne frottait contre mon ventre.

Il desserait ses bras puissant pour que je m'allonge. A présent c'était lui qui menait le jeu et faisait des vas et viens sur ma queue à la force de ses bras.
--ooooooooouuiiiiiiiiii ........putain tu m'as dépucelé ......comme dans mes rêves ....
- tu rêves de moi... TOI.....Tu me fait rire...
-
aaaaaaaaaaaahhhh   ! ouii ...donne moi tous ...plus vite.... plus fort
Je devenais comme fou et rajoutais à ses mouvements de grands sursauts de bassin qui enfonçaient ma bite encore plus profondément. Mes mains caressaient ses cuisses, les siennes s'appuyaient sur mes pectoraux. Nous étions en sueur et râlions comme des animaux en rut.

Il se souleva se rapprocha de ma bouche
-ouéé je ne suis plus vièrge  comme dans mon rêve
-
et depuis quand tu rêves de moi?
-depuis que j'ai passé des vacances naturiste avec toi et Maxime
-mais ça fait plus de 10ans...
-
tous juste...et je vais terminer mon rêve.....
J'étais à 5 centimètres de sa large queue, pendant quelques minutes je jouais avec son gland, ses râles en disaient long, il ne tenait plus et donnait un grand coup de rein faisant rentrer sa bite complètement dans ma bouche. Elle cognait contre le fond de ma gorge pendant que ses jambes se resserraient autour de moi.

Je voyais qu'il commençait à ne plus tenir quand d'un coup de grands jets de foutre me remplissaient la bouche. J’ avalais tout en bloc , bien décidé à me venger un peu surtout que mes couilles étaient toujours pleines.

il me donnait une coupe de champagne , pendant que je rapprochais le bol de fraise à moi. Après quelques gorgées, je présentais une fraise à ses lèvres qu'il mangeait rapidement

. Il descendait progressivement vers mon cul en passant par mes tétons et mon ventre en m'embrassant. Restant bandé comme s’il n’avait pas joui , Il ouvrait mon cul à la force sa langue en faisant des allés et venus pendant que j'étais sur le dos,aux ange mais épuisé. Puis je sentais qu'il avait rentré un doigt, puis deux. Brusquement il enfilait une capote et mettait mes jambes au dessus de ses épaules. D'un coup sec il rentrait en forçant le passage et en tirant mes cuisses vers lui, je râlais puissamment.

-aaaaaaaaaaaahhhh   ! T'es un pro. ... oooohhh!!! oui continue.....
IL était face à moi, je voyais son visage, ses pectoraux ses bras en action, il reprenait sont statut de mâle. Fabien était entrain de me bourrer le cul de plus en plus vite, mes mains s'accrochaient à ses cuisses je n'en pouvais plus.
-ouiouui  encore ... encore
Il rentrait, sortait, jouait avec mon cul comme un jouet.

Ses couilles tapaient contre mes fesses quand je sentais le sperme remplir la capote.

Il se retirait puis prenait ma bite dans sa bouche, cette fois elle touchait le fond de sa gorge. Peu après je me déversait littéralement dans le fond de sa bouche. Il avalera aussi , enfin presque tous , le surplus se déversait sur mon torse et je commençais à étaler mon sperme sur ses pectoraux

- C'est la première fois que je me fais prendre par un mec aussi viril, tu as bien changé, je pensais au départ me vider les couilles .
- Je me laisse faire  facilement, c'est la première fois que je baise un  minet soit disant hétéro
.


Nous finissons le champagne et nous nous sommes endormi entrelacè
Au réveil me dit

-ça été merveilleux je n’aurai jamais pensé niquer un grand père ,mais je vais t’avouer que tu es une bonne femelle mais aussi un bon mâle , Maxime doit être comblé.

-merci , Maxime est un bon mâle , mais son cul il le réserve a un ami c’est peut être TOI ?,
-mon rêve deviendra-t-il réalité..??.
on remet ça champagne
 
-mais si tu veux quand tu auras repris le bar de ta grand mère je ne suis pas contre de vous partager tous les deux

-je suis pas contre....


A suivre ...

Par simon - Publié dans : ma vie
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Mardi 17 novembre 2 17 /11 /Nov 14:33

 

Voila vendredi  j'ai reçu un mail :
" Salut chéri, pour ton anniversaire je viens passer le W.E, je serai accompagné de mon cousin Bertrand viens nous chercher a la gare TGV-Meuse ,a demain soir , mêts toi dans un coin sombre du parking , et dit Moi par tél ta position  je voudrais te faire une surprise"
Comme la dernière fois, il ne m’avait pas précisé son heure d’arriver.

Donc passage obligé par la salle de bain pour un bon lavement en bonne et du forme.

Une fois prêt je me suis graisser le cul et mis en place un Plug. (pour lui faire une surprise  car je ne l'avais jamis fait) ça ma tout de suite fait bander

Le soir 19h gare TGV.

je lui envoie ma position
 " il pleut , suis au sous sol du parking place 33 a gauche sortie ascenseur"
réponse immédiate
"      Ok tu devras être  a poil intégral"
A ma grande surprise , Maxime  étant assez réservé enfin ....je me mis donc a poil
1 heure passa et toujours personne, je résistais tant bien que mal a ne pas me soulager la queue en pensant a autre chose, j’arrivais de temps a autre a débander mais pas complètement et re-bandais de nouveaux dés que je pensais a Maxime..
Cela faisait 1 heure 30 que j’attendais lorsqu’il arriva enfin. Accompagné de son cousin Bertrand

une salope comme moi…selon les dires de Maxime.

Quelle aubaine !!! J’allais enfin pouvoir me vider les couilles .

Après une tendre embrassade Maxime dit

-chéri je peus conduire ?

-bien sure mais je monte derrière avec ton cousin

-ok mais avant (ouvrant son sac) sortit une cordelette et une paire de menotte

attachât la ficelle au tour de mes couilles et là relia au levier de vitesse ce qui avait pour but de les étirés a chaque fois qu’il passait une vitesse, mon Plug toujours dans le cul ,il l'a pas vue , Le retour je le fis ainsi dans ma voiture les couilles attachées au levier de vitesse et le cousin les mains menotté derrière le dos.

Au bout d’environ 1 heure de route sur une petite route de campagne il s’arrêta dans un petit chemin.

-" arrêt pipi , vous voulez en profiter ? "

heureusement la pluie avait cessé.
il me décrocha du levier de vitesse et je descendit de la voiture ainsi que son cousin

le mains libre je pouvais pisser il m’ordonna d’ouvrir la braguette du cousin , de sortir sa bite en étant à genoux devant.

je m’exécuta…..
- Aller Bertrand…pisse lui dans la bouche..
j'ai du avaler.
- Aller suce le maintenant salope…
Pendant que je le suçais il prit son portable composa un NO et l’entendit dire.
" Salut mon pote, comment va ?... Ok super !!! Bon… on est bientôt arrivé… on sera là d’ici une petite demi-heure ok ? Ouai ouai… je la mets en condition là…t’inquiète… c’est devenu une bonne pute tu verras…
Puis il raccrochât, éloignant son cousin ,me pris la tête pour me bourrer la gueule à son tour avec sa bite.
je profitais de la sortie de sa bites et avnt de renter a nouveau pour lui dire:

-"Et ben mon choux… tu mouille on dirait…".

-" Oui cherie. "

-" Ça fait combien de temps que tu ne t’es pas vidanger les couilles ? "

-"  Depuis notre dernière rencontre, c'est-à-dire 4 mois environ. "

-"  ouééé "

-" Humm… aller vas-y salope dégorge moi bien le poireau…et applique toi bien comme une bonne petite pute… "


Au bout de 10mn de suce il me largua tout son foutre que je ne pu avaler d’un seul coup tellement il y en avait, j’ai donc du en laisser dégouliner le long de ma barbe se qui n’était pas pour lui déplaire, puis nous repartîmes a la voiture nous laissant attaché.
mais pourquoi? (Bertrand n’avait pas dit un mot , ni même protesté de la situation

Est-il de connivence ? Maxime avait beaucoup changer depuis son dernier stage….)

Arrivée a la maison , il nous détacha , conduit Bertrand dans la chambre d’ami et revient vers moi resté en cuisine.

Après un long baisé ,on parla de tous ce qui nous était arrivé a l’un comme a l’autre..

Il m’avoua qu’il comprenait bien mes envies de pute et comme il m’aimait à en crever , notre amour devenait plus fort , et pour mieux la vivre il me dit

-" ..je serais ton Maître et toi ma pute au service de ceux que je t’imposerai…. compris ? "

-" moi aussi je t’aime et je ferais tous ce que tu désire "

-" PROMIS  salope ?"

-"  PROMIS JURE MAITRE "

il me poussa sur la table et descendit mon fut ,il aperçut le plug..

-" hihiihiihih je vois.... ça te manque vraiment "

je sentis sa grosse queue prendre la place du plug , de long vas et vient , me pinçant les tétons , mordillant mon lobe d’oreille ,me disant des " J T’M " ,bien à fond ses couilles tapant mes fesses et dans un gros râle de bête sauvage ,suivi d’un grand coup de reins mes entrailles se remplir de son jus.

 

Apres avoir repris son souffle il m’ordonna d’aller rejoindre son cousin dans sa chambre et d’exécuter ses désirs. Je me suis donc rendu dans la chambre d’à coté. Visiblement il m’attendait car il était à poil sur son lit sa bite en semi érection et lorsque j’ouvris sa porte il prit sa queue dans sa main et me dit.
- Aller viens salope…
Je me suis donc approcher et le suça alors que ses doigts venaient fouiller mon cul engluer par le foutre de mon maître.
- Putain… t’es une vrais bonne salope toi hein… t’as vraiment un bon trou a bite… fou toi a 4 pattes... je vais t’engrosser comme une bonne chienne…
Mon cul déjà bien ouvert et lubrifier par le sperme de mon maître sa grosse bite n’eu aucun mal a rentrée car il me l’enfourna direct et me laboura le fion sans ménagement tout en me claquant les fesses de temps en temps.
- Ouai salope…. Bonne putain… tiens… prend ça… ho… putain…quel chatte tu as…t’es bonne toi tu sais…on voit que t’as d’ l’expérience question bites…ouai….hummmm ma salope…t’as le cul bien ouvert…je voie qu’on t’as été bien dressé en bonne pute…j’adore les bonnes petite putain comme toi…hummmm…houaaaa…putain j’vais gicler salope…
Là il me prit par les cheveux me tirant la tête en arrière et me largua son foutre dans mon cul dans un grand râle de plaisir.

puis se retournant ma présenta son cul
-"c'est pas au programme , baise moi , remplie moi la chatte , j"en ai trop envie"
je le défonça comme un taré , plus il gueulait , plus j'allais a fond
-" putain ...vas y donne moi tous ....aaaaaaaah! ouiiiii c'est bon ..encoreeeeeeee..."
je lui remplie les entrailles , sortie ma queue et lui bourra la bouche
-" allez nettoie...salope"
-" n'en parle  surtout ..pas a Maxime..."
Le lendemain matin en guise de 1er petit déjeuner a été de boire le foutre de mon maître et de son cousin que je du réveillé en les suçant.
Le W.E c’est passer comme le 1er jour, j’ai servi de larbin et de vide couilles, prenant mes repas sous la table et donnant ma bouche et mon cul a la demande.

-"  C’est un grand jour pour toi chérie , 64 ans , pour fêter ça j’ai invité mon pote Gégé un super black "

-"  un black mon rêve , lirais-tu dans mes pensées chéri "

-" peut être… hihi mais aujourd’hui tu mérite bien ça , reste donc à poil à notre disposition "

le portable de Maxime sonna.
- Salut Gégé… je t’attendais avec impatience ……. tu es devant la maison …entre c’est ouvert "
- Bonjour
-exceptionellement ici ça sera Gégé le maitre seul lui commande 

5 mn plut tard devant lui a poil, il avait enlevé sa chemise et déboutonné son pantalon. Il eut un air de surprise et de contentement lorsqu’il me découvrit.
- Et ben… ton maître m’avait dis qu’une surprise m’attendais lorsque je te verrais, il n’a pas mentis…c’est parfait…ça m’excite plutôt bien…viens donc me soulager la bite…

Je me suis donc mis a genoux entre ses cuisses, plongea ma main dans sa braguette ouverte, sortie sa queue déjà bien gonflé (whaaa le morceau)par l’excitation et l’enfourna direct dans ma bouche.
- Humm… ouai…vas-y salope…pompe moi bien…humm putain…t’es trop bonne toi…j’vais bien m’amuser avec ta bouche de salope et ton cul de pute pendant ce WE…

Sous le regard de mon chéri ( heuu de mon maître ) et de son cousin Bertrand il me fallut pas plus de 5mn pour combler Gégé.

- humm… ouai…aller vas-y salope…. Suce…suce…montre moi que t’es une bonne chiene…que t’aime la bite… humm…ouai…c’est bon…tu va m’faire juter salope…
A ces mots il me largua tout son foutre dans la bouche et laissa son jus dégouliner de ma bouche sur sa bite et ses couilles ce qu’il apprécia.
- Houa… je vois que t’as de l’expérience à te conduire en bonne chienne… va chercher de quoi me nettoyer maintenant…
J’ai donc été cherché une serviette et le nettoya, puis, comme nous étions en début de journée il m’ordonna d’aller préparer le déjeuner et pendant ce temps il alla se rafraîchir un peu sous sa douche.

Il redescendit de la salle de bain une serviette autour de la taille et s’installa dans le canapé devant la petite table basse et regarda la télé.

vers 11h30…
- Apporte-3 bières ensuite tu mettras les couverts sur la table.

J’etais chez moi , le jour de mon anniversaire En bon esclave j’ apportais les bières, mis les couverts et servis le repas.
- Aller chienne… tu mangeras après avoir vidé les couilles aux invités… met toi au boulot et vite
Ni une ni deux je me suis mis entre ses cuisses pour commencer et pris sa bite toute molle dans ma bouche, enfonça ma langue dans son prépuce afin d’y atteindre le bout de son gland… peu à peu je sentais sa bite grossir dans ma bouche jusqu'à ce qu’elle devienne dure, tout en le suçant, de ma main je le branlais, le décalottant et le re-calottant, je l’entendais gémir de plaisir…
- Humm… ouai…vas-y salope suce…c’est bon…oui comme ça… vas-y…putain !!!… t’es vraiment une bonne chienne toi…vas-y… continue…ouai…humm… humm…j’ai envie de t’enculer salope… aller donne moi ton cul…j’vais t’embrocher comme une pute…

-" ha non pas avec cette bite de cheval…. Trop grosse "

-" Ta gueule c’est un ordre "

-" oui chéri c’est un ordre , on ne discute pas ok ! "
Alors je me suis retourné, et lui ai tendu mon cul. Il m’a enlevé le Plug que j’avais toujours et y a enfoncé sa bite d’un coup sec qui n’eu aucun mal a rentré tellement que mon trou était dilaté. Il me laboura sans complexe faisant des

-Han...Han…tien…prend ça salope

Au bout d’une 10ene de Mn d’enculade, il se retira de mon cul et se branla pour juter dans mon assiette.
- Aller… au tour de Bertrand , puis Maxime

Chaque jouissance se termina dans la même assiette

-Vas-y mange maintenant

A genoux, les mains au sol, le cul relevé je me suis mis à laper l’ assiette de restes maculés de foutres.
Après avoir fini, j’ai débarrassé la table, fais la vaisselle.

Après la pose café , Maxime entra avec un superbe gâteau d’anniversaire ,Bertrand la bouteille de champagne et Gégé avec un paquet cadeau. En chantant " joyeuses anniversaire vieille pute ".

J’ai soufflé mes 64 bougies , mangé du gâteau avec mes invités. Et j’ai eu ma récompense.
J’ai enculé Bertrand ( qui etait venus que pour ça) il m"a dit après , Maxime m’a gavé la bouche de gâteau , me lima celle ci pour rajouter de la crème. Quand à Gégé après m’avoir engrossé une nouvelle fois fit rentrer la bouteille de champagne au maximum pour me laver le cul avec le reste.

Gégé est reparti avec Bertrand en lui disant

-on rentre a la maison ç’est a ton tour  maintenant! ! !

Maxime est resté et m’a fait l’amour pendant 2 jours ,(c’est dans les vieux pots que l’on fait la bonne soupe) mon cul s’en souviendra longtemps

Maxime m’a avoué
-" je souffre beaucoup de ton absence ,tu me fais mal quand tu me racontes tes rencontres , mais tu me le dis , tu es honnête et je t’aimerai toujours "

-Merci chéri reste jeune ta vieille putes en aura encore besoin je t’aime trop .



Maxime est reparti pour son travail


revient moi vite chéri



a suivre .......

 

 

 

 

 

 

Par simon - Publié dans : ma vie
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 16 novembre 1 16 /11 /Nov 14:54

40 ans aprés

TU
oxygène toujours mon coeur
comme le destin ignorait mon chagrin

je t'ai laissé partir
sans te retenir

et même si tu es parti plus loin que l'infini
je savais que tu rejoindrais mes nuits 
tous les jours
pour virtuellement faire l'amour

TON
image est toujours aussi vive

TU
es partout où je respire
 
TOI Gérome mon 1ere amour
simon






















Ton sourire était une fleur
Ton coeur une source de chaleur


Ta bouche était si joilie
Ton rire aussi
C 'était comme un arc-en-ciel
Qui brillait comme le soleil
Allez reviens , je t'attends
Je t'avais promis de vivre ma vie 
comme tu le souhaitais tant
voila c'est fait
 il est temps Aujourd'hui ,
A présent de te rejoindre
Mon coeur si impatient
De te revoir enfin
dans tes bras tendrement
en me reveillant
Un matin
auprès de TOI
et reprendre notre amour
là ou tu l'avais laissé
car je t'aime toujours

simon                                                      

mais voilà tu m'as envoyé un ANGE  lui donneras tu la force de franchir le pas?


Mon choux adoré
tu as quitté la Lorraine
pour réfléchir sur ton avenir
là-bas , sur tes rochers
loin de toutes terres habitées
rien que TOI et la mer
livrant un face à face sans merci
 Que te dit-elle?

rien , elle se tait...

d'ailleurs , c'est pour cela qu'elle te plait
elle pour être calme
agitée , mais toujours silencieuse
est-ce  là ta seule confidence ?
oui
  , vraiment , je te crois
lui as tu parlé de moi ?
de l'amour que j'ai pour TOI ?
NON surement , elle serait trop jalouse
mais un jour , n'oublie pas
tu devras faire un choix

et ce jour là , choisis MOI !
simon

Par simon - Publié dans : histoire racontée
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Samedi 14 novembre 6 14 /11 /Nov 22:42

cadeau d'anniversaire avant l'heure...


 64 ans bientôt, homme mûr, cheveux blancs, courts, 1,785, un peu rond, peu poilu, et un peu de ventre.

A Metz au sauna Marly

J’ entame la conversation avec un jeunot ( a peine 17/18 ans) et lui demande ce qu’il fait de beau ici.


















































Il me répondit le plus naturellement du monde
.
-" boff je mate les mecs qui entrent au sauna "
Me trouvant sympathique, il m'avoue même...
- " je n'ai aucune expérience du sauna "
 je lui réponds

 - " il y a un début à tous "

et nous commençons à discuter.
Me voyant à l'aise, il poursuit la discussion et me vente  , du peus qu'il sait ,les mérites du sauna

-"J’ espére avoir l'occasion d’y faire un tour avec vous , plus tard".

-" pourquoi pas "

-" ok ! jeudi midi "

-" ok …..heu…… c’est quoi ton prénom ? "

-" Paul et vous ? "

-" Simon , mais tu peus le tutoyer ".

-" ok ! jeudi midi précis.. alors "


Une semaine plus tard

Apres avoir passé aux vestiaire , mis un peignoir pour rejoindre le sauna. et y entra..

-" Tiens, on se retrouve à nouveau , salut Simon ".

–" Oui, salut Paul, au moins entre midi et deux il n'y a personne puisque tout le monde va manger..."
–" Oui, en effet... Comme ça au moins on ne risque pas d'être dérangé... "
En finissant sa phrase, il s'approche de moi et s'assoit sur le même banc, à proximité de mon flanc, et passe doucement sa main dans le creux de mes reins...
Surpris, de sa rapidité je sursaute
-" Oh... Désolé..." répond-t-il... mais en laissant sa main sur le creux de mes reins...
Je ne répondis rien et le regarde.
Il scrute mon regard, et exprime clairement son assurance
.
Il poursuit la discussion sur des banalités, comme le temps qu'il fait, etc... tout en laissant sa main..
Me sentant tressaillir, il me lance un regard à la fois rassurant mais aussi dominant

Il prétexte me trouver sympathique pour prolonger sa "caresse" et la prolonger sur mes fesses

Sans savoir pourquoi, je sens qu'il devine mes fantames inavoués.
Il retire cependant sa main, et discutant de choses et d'autres, m'invite à poursuivre cette conversation plus tard si je le souhaite.
Entrant dans le jeu, je lui réponds

-" non tu peus continuer ",.
il se mit debout devant moi, caresse mon visage.
Je ne dis toujours rien, mais surpris, j'ai un léger geste de recul, qu'il contrôle de sa main droite.
De l'autre il ouvre légèrement son peignoir, laissant deviner ainsi un sexe pas tout à fait dur.


De sa main gauche, il le saisit, et l'approche de ma bouche, bée, en cette circonstance.
Ainsi saisi, il le porte au bout de mes lèvres, sans que je ne réagisse.
Ayant à nouveau un reflexe vers l'arrière, il rafermit sa main droite, et me maintient face à son sexe, mais n'entre pas encore
.
Il me regarde, et tient à bien imprimer cette situation de soumission.
Sentant dans mon regard l'évidence de l'acte, il décalotte légèrement son gland et le présente à mon orifice buccale.
Ce faisant, il m'intime avec une courtoisie déconcertante un

-"  tiens , goûte c’est du poulet , j’ai deviné que tu en avais envie à ton regard...."
Je sens son gland entrer dans ma bouche, et Comme je le pensais, il devinait mes pensées.
Convaincu de celles-ci ,il entame de lent vas et viens faisant entrer juste quelques centimètres de son sexe dans ma bouche.
Flatté, et excité à la fois, il sait mélanger la douceur et la domination.
Ses vas-et-viens s'intensifient, et comme je ne dis rien, il est de plus en plus à l'aise.
–" hummmm.....T'aimes ça hein finalement.. "
En guise de réponse, je lui adresse un regard complice
.
Il ne tarde pas à l'interpréter comme un acquiescement, ce qui l'encourage dans la suite...
Son gland désormais bien dur, il accélère ses vas et viens, et très excité, jouit rapidement.
Courtois, il ne m'impose pas d'avaler, et se contentera de se "vider" sur mon torse...
Constatant que je ne dis toujours rien, il garde le contrôle de la situation..
Etant toujours en peignoir, il me demande de me lever, et m'hôte ce dernier.
Constatant mon érection, il m'en complimente.
Je rougis légèrement pour mon age, et cela semble l'exciter encore davantage.
–" Je n'ai pas l'habitude de.... "
Je n'ai pas le temps de finir ma phrase.
Il pose sa main droite sur ma bouche, et m'intime de me tourner.
Surpris, j'obéïs
.
Il me penche en avant, et me fait mettre à genoux, en posant les coudes sur le banc, sur lequel j'étais assis.
Je sens alors ses mains écarter mes fesses.
Un reflexe me fait tourner la tête vers lui.
Aussitôt sa main gauche claque sur ma fesse!
Je ne peux dire si c'est pas stupeur ou par plaisir, mais je ne peux contenir un gémissement.
Ce qui semble aussi l'encourager.
Il recommence.
Le rythme semble s'installer naturellement.
Il claque, je gémis en le regardant.
Mes fesses se cambrent alors spontanément, offrant ma croupe à mon hôte.
–" Hummm, quel cul magnifique!!! C'est un régal " .
Finissant sa phrase, je sens sa langue prospecter mon intimité.
Ne pouvant à nouveau contenir un gémissement, je sens ses deux mains agripper fermement mes hanches, et sa langue s'enfoncer encore plus profondément.
Mêlant courtoisie et excitation, il tente un

-" t'aimes ça ma cochonne hein.... ".
–" hummmmmmm.... oh ouiiii..... "
Constatant notre complicité, il poursuit avec un

-" je sens qu'on va passer un bon moment tous les deux ma chérie... "
Je réponds par un gémissement.
Alors que mes fesses se cambrent encore davantage, je sens un doigt, tenter une fouille plus approfondie de mon anatomie.
Me tournant vers lui, évoquant de mon regard que mon anus lui appartient, il ajoute un second doigt.
Flatté par les attentions de mon hôte, je lui retourne la politesse en accentuant mes gémissements et en soutenant son regard dominateur
.

- " oh ouiiii....." 
Pris dans le jeu, une nouvelle érection l'envahit.
Il s'approche alors de ma bouche, et désormais comme chez lui, me fait le sucer.
Pris à mon propre jeu également, j'entame désormais une fellation plus autonome
.
Je saisis son sexe, et tête son gland.
Je le regarde toujours dans les yeux, rougissant, prude et timide, mais soumis à ses pulsions.
Il en profite et ma maladresse l'excite.
N'en pouvant plus, il se retire, et se place derrière moi.
Et toujours avec courtoisie, il me lance:

-" Attends ma salope, tu vas voir! ".
J'entends un bruit de papier, il sort un préservatif, et me voyant me retourner pour le regarder, il prend confiance dans sa démarche, et approche son pieu de mon anus.
Me saisissant les hanches par les deux mains, je me laisse aller, il entre comme dans du beurre...
–" Ohhhhhhhhh...... "
- "tiens prends ça "
- " whaaa .... ouiiiiiiiiiiiiiii ... putain c'est bon...."
- " alors tu la sens bien "
- " Ouiiiiiiiiiiiii  , plus fort ... encore à fond "
-" 
Hummmmmm......Waouhhhh..... et dire que tu faisais ta farouche...."

dit-il en me mettant une nouvelle claque sur le cul...
–" Hey?.....Ouéééé."
Mais il amplifie ses vas et viens... et me cloue le bec!
Il possède littéralement mon cul.
Sa courtoisie me met en confiance, et je me laisse soumettre.
Nous jouons le jeu tous les deux.
Je voulais être sa petite salope, il me baise comme telle...
Tout en prolongeant ses allers-retours, je sens son étreinte se resserrer, et son souffle s'accélérer.
Le mien aussi, mais m'empêche de jouir.
Contrairement à lui, qui me sodomise frénétiquement!
Il finit par se retirer, et a à peine le temps de retirer son préservatif pour jouïr sur ma chute de rein...
Constatant que je n'ai pas fini, il me retourne sur le dos.
Obéïssant, il place mes jambes sur ces épaules, découvrant à nouveau mon cul bien ouvert, et en me regardant bien dans les yeux, reprend son doigtage.
Directement avec deux, il semble forcer mon plaisir
.
–" Hummm, t'aimes ça ma salope?... "
-" Ohhhhhh.......... ouiiiiiiiiiiii......... Encore........ "
Soumis à ces deux doigts je finis par jouïr dans un feux d'artifice...
Je reprends mon souffle.
Je n'ose pas le regarder.
Puis je m'y résouds.
Il ne dit rien.
Je renfile son peignoir, il renfile le sien.
–" J'ai passé un très bon moment ".
Je n'ose pas répondre.
J'ai honte, quelle salope.je suis.....
–" Tu sais, je comprends que tu sois gêné, te faire niquer par un gamin qui pourrait être ton petit fils".
–" Merci, c'est vrai que c'est délicat. , tu es très jeune , qu’elle age ? "

-" si on te le demande  tu diras que tu le sais pas….alors t’as aimé ? "

-" Ok !Mais ouiiii EXTRA j'ai passé un bon moment moi aussi ".
–" Hummmmmm..., dans ce cas, peut-être à plus tard... " 

A suivre.............



j'espère que mon jeune amant Maxime ne m'en voudra pas trop  , il doit rentrer de stage le jour de mon anni.. il m'a dit dans son dernier message "ton cul me manque énormément et j'ai les couilles bien pleines"

hummmm j'ai hâte de le retrouver........

Par simon - Publié dans : ma vie
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 13 novembre 5 13 /11 /Nov 08:41


mai 2006

Je ne sais pas.......                                        
Peut être qu'un jour je t'ai blessé
sans le vouloirr , sans y penser.
Je ne sais pas !
Peut être que ce WE , j'aurai dû éviter
Cette conversation , qui aurai pu mal tourner
Je ne sais pas !
Parfois il faut du temps pour réaliser
que ce qu l'on vit n'est pas banalité
Pourquoi?
Je ne sais pas !
Par contre , je sais une chose:
je n'aurai jamais dû refuser
Ton amour
Je tiens à TOI
et pour me pardonner
je m'offre à TOI

Stéphane


septembre 2006

Tu m'as mis en confiance
je me suis laissé tenter
Certe avec prudence
Mais je t'ai amié
Tu ne m'as pas laissé aucun espoir
de vouloir TE revoir
Tu m'as tout repris
Tu m'as fait souffrir
aujourd'hui je t'aime encore plus fort
J'ai peut être tort
J'ose toujours espèrer
et je ne peux t'oublier

 je t'aime
David






juillet 2008

Simon
TU es mon étoile
Chaque soir je pens à TOI
ET ça me fait mal
De savoir que des mecs comme moi
T'on dèja embrassé
alors que moi , TU m'as seulement fait rêver
Je voudrais pouvoir te serrer dans mes bras
Ne T'avoir rien que pour moi
Hélas ! l'impossibilite de mon jeune age est là
Et je ne sais comment TE dire
A quel point , TU m'attires
TU as des yeux revolver
Un sourir de rêve
Qui me fon craquer
Qui me font même pleurer..
.........
Quand je rêve de Toi
Je ne fais que bander
Et de Ta main
Tu me fais fondre de joie.
 Dans ta bouche pleine de tendresse......

PAUL







novembre 2009

extrait des mots doux que mon jeune amant Maxime me fait parvenir presque tous les jours depuis que son travail la éloigné de moi

Depuis mon départ,
J'ai croisé tant de regards,
Frôlé tant de mains,
Mais tous cela en vain.
Le jour comme la nuit,
Tu es dans ma vie,
Je ressens un sentiment de nostalgie,
Je revois dans le reflet de tes yeux,
La magie de nos moments heureux.
Pourtant le temps ne s'écoule pas,
La flamme de mon coeur ne s'éteindra pas
Demain encore , elle brillera plus fort
Quand dans mes bras je te serrerai tres fort
Et cela juste pour TOI
nos corps soudés en aimant que TOI



Maxime 












































ma réponse:
j'attend ton retour proche , mon corps a besoin de te sentir en moi
reviens vite amour de ma vie
Simon



avril 2009

mots doux  du jeune Pierre



Simon
Tu es entré dans ma vie
Sans y être invité
Moi , j"étais nouveaux dans ton village
Et TOI ,surement un ancien vu ton age
Dans le bois  , ou je courrais , je t'ai croisé
C'était un samedi aprés-midi
Toi tu étais avec un jeune minet
Peut être ton ptit fils?
Et moi avec une fille
Ton regard ,ton superbe sourir
J'ai eu le coup de foudre
La semaine suivante j'etais seul
Sur le chemin , une poignée de main
pour une raison pas très claire,
tu m'a embrassé ,
je t'ai massé ton entre jambes
depuis je vis dans le désespoir
j'aimerais que la prochaine fois
tu viennes allumer la  flamme qui brûle en moi
Comment te faire comprendre
que j'ai envie de TOI

PIERRE




Par simon - Publié dans : histoire racontée
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 8 novembre 7 08 /11 /Nov 21:42


Il y a quelques semaines , je vais à la piscine comme régulièrement, histoire de faire un peu de sport, mon corps porte les marques de l'âge (eh ! oui 64 ans): cheveux et barbe grises, un ventre bedonnant et quelques kilos en trop !












En face de moi ce trouve un homme très jeune, il doit avoir au plus de 17/18 ans, son corps imberbe et  pas musclé. Il mesure a peu près ma taille mais a quelques kilos en moins ! Je ne sais pas pourquoi mais je n'ai pas pu lâcher mon regard de ce minet, jetais subjugué. A un moment nos regards se sont croisés, il m a détaillé de haut en bas, tout en se caressant le corps. On était seul sous les douches, il continua à caresser son ventre et me fis un clin d'œil lorsqu’ il passa sa main sous son maillot. Il passa à cote de moi et me glissa au creux de l'oreille:.

-"je fais quelques longueurs et dans 10 minutes je suis dans la cabine de douche 33 la bas, si tu veux me rejoindre , tape 3 fois , j‘ai envie de me faire un vieux."

Et il partit nager. Je réfléchis un long instant puis je pris ma décision de le rejoindre,

A peine le temps de faire quelques plongeons que je le voie se diriger vers les douches. Je prends mon courage a deux mains et le rejoints. Comme il me la dit je toc 3 fois. Il m'ouvre et referme la porte derrière moi.

-"On sait bien compris j'espère, tu sais pourquoi tu es ?"
Je lui réponds avec un OUI franc.
-"Tu as déjà eu une relation avec un mec?"

je décidais de jouer a son jeu en lui disant un mensonge
-"Non jamais, ça m’etais jamais venue a l’idée avant ton invitation! ,je suis hétéro et vierge du côté pile"

Dans son regard je pu lire sa pensée " "Un petit vierge rien que pour moi, hum!" "
Sur le banc je vois qu'il a déposé un préservatif.
-"C est quoi ton petit nom? , moi c’est Karim"
-"Simon."
-"D’ accord pour moi tu seras Simoune, je veux que tu te retournes et que tu te cambres vers moi"
Je me mis en position, les mains sur la porte et mon cul vers lui. Il s'assied sur le banc et m’attrapa les fesses avec ses mains! Il me pelota les fesses.
-" Quel cul tu as Simoune ! J'en ai de la chance ! T es fesses sont à moi désormais, tu dois être d'accord avec ça"
-"Oui, d'accord"
Il mit sa tête entre mes fesses et me lécha à travers le maillot! Il commençait à gémir, moi cette position me fessait rire.
-"Bon maintenant je veux que tu t asseye par terre "
Je me mis en place.
-" Tu es bien obéissante Simoune, c'est bien ça!"

Je répondis par un sourire
-"Je veux qu'avec tes dents tu fasses descendre mon maillot de bain"
Je mordis en haut de son maillot et le tira jusqu'à ses pieds!
-"vieille coquine ! toi"
J'avais maintenant son service trois pièces au dessus du visage.

"Regarde comme elle est recroquevillé sur elle même, faut dire que l'eau était pas très chaude! Tu vas prendre mon zizi en bouche pour le réchauffé, attention je veux juste que tu la réchauffes en la gardant dans ta bouche."
Je fis OUI de la tête.
Il mit son pénis dans ma bouche, c'est vrai qu'il était petit. J 'avais ses poils pubiens dans le visage.

Voulant lui faire croire que j’étais novice en la matière , je fis de mon mieux avec ma langue.
-" Hum c'est bon ! Continue Simoune, tu es doué avec ta langue"
Je fis ce qu'il me demandait.
-"Maintenant je veux que tu me lèches les couilles, donc tu vas sortir ta langue et venir me les titiller."
Ces couilles étaient rasées (j’aime pas), mais je fis de mon mieux, je donnais des petits coups de langues et j’altérai avec des grandes léchouilles.
-"Bon on vas pouvoir passer aux choses sérieuses maintenant."
-"Comment ça?"
-"A genoux ! Et suce-moi! Et ta intérêt à faire ça bien salope."
Il devenait de plus en plus violent et autoritaire. Il me tira les cheveux et me fis mettre a genoux a hauteur de sa bite.
-"Allez vieille chienne au boulot, branle moi un peu avant"
Je pris sa bite dans ma main droite et fis quelques mouvement de va et vient. Il ne tarda pas à durcir ,putain le morceau.. j’aurai jamais cru la voir devenir si grosse (18/6) pour son age ,j’en reviens pas plus grosse que la mienne..
-"Décalotte moi et embrasse ma gland d’un doux baiser, comme si tu ne vivais que pour lui."
Je décalottai doucement son sexe, son gland turgescent apparie, je l’embrassai et le léchai.
Seulement j’eus un moment de panique, jetais un train de sucer un jeune minet qui pourrait être mon plus jeune petit fils!!
-"Désolé je souhaite partir, je n'ai plus envie." ( j’étais loin de penser ça .. bien au contraire)
"T es conne ou quoi? Maintenant que tu m'a excité avec ton cul de pute tu vas pas partir comme ça! "

Malheureusement ce minet musclé me dominer complètement, faut dire qu'a mon age je ne fairais pas le poids

Il m'agrippa la tête et voulu mettre son sexe dans ma bouche, mais je fermais mes lèvres.
-"Ouvre ta bouche! Ouvre ta bouche j'ai dit!"
Je restai la sans bouger, je ne voulais plus le sucer.
Il m’attrapa fermement et me mis la tête sur le banc, il me boucha le nez. Je fus, pour respirer, bien obligé d'ouvrir la bouche. Il profita de cet instant pour glisser sa pine entre mes lèvres.
-"Aller suce moi maintenant, je sais que tu en a envi."
Il commença des mouvements de vas et viens du bassin, il était en train de me baiser la bouche quoi! De temps en temps il me boucher les narines et enfoncer sa bite au plus profond qu'il pouvait, ça me donnait des hauts le cœur. Il continua se traitement plusieurs minutes. Puis il sentit que je n exerçait plus aucune résistance. Il se retira, un gros filet de lave suivi. J ' avais l’impression que j ’ allais vomir, là a quatre pattes par terre.
Bon on va laisser ta petite bouche retrouvé ses esprits, vient t’allonger sur mes genoux."
Je fis ce qu'il me demanda. Il baisa mon maillot
-"Et oui Simoune, tu n'as pas été très sage...

Il me claqua les fesses très fort.
-"Aieeeee."

-" Je veux t’entendre me remercier a chaque fessée ,Tu n'as bien compris chienne! "
CLAC!
-"Merci."

CLAC!

-"Merci."
-"Voila! "
Et il continua à me fesser de toutes ses forces.

-"Tu as les fesses toutes rouge chérie, passe les sous l’eau si tu veux "
Je me relevai et alla sous la douche.
-"Tu as un corps magnifique, pour une vieille salope, la chance pour moi qui ai toujours rêvé de baiser mon père."
L'eau glissait sur mon corps.
-"Bon tu as compris que tu devais m’obéir maintenant j'espère."
-" OUI "

-"On dit oui maître! "
-"Oui maître...hihihiihi"
-"Suce moi la queue salope. Et te fout pas de ma gueule sinon…."
Et la je me fis a ses attentes. J’entrais dans son jeu ( lui qui croit que je suis novice) A genoux je pris son sexe dans mes mains et le lêchais doucement, j’embrassais son gland, aspirais ses couilles. Je faisais glisser mes lèvres le long de son sexe. J essayais de faire de mon mieux.
-"Hum c'est bon, continue ma salope! Simoune la salope, ahaha ! "
Je continuais et je commençais à y prendre goût, sa bite était de + en + grosse, au moins 18/19cm, sur 6cm et son superbe gland violacé .
-"Tu suces vraiment bien, pour un novice ça doit être de famille, je paris que ta mère était une suceuse d'enfer! Tu te masturbes des fois ? "
Je ne répondis pas, sa bite occupant toute mon attention

-"Mais Simoune, tu bandes ! Ca me montre que tu aimes me sucer! Ça me plait, mais d’un cote tu es une femelle pour moi, et les filles n'ont pas de kikounette. Je veux que tu te branles tout en me suçant et que tu éjacules le plus vite possible.. compris..."
Accroupi par terre, la bouche occupée avec sa bite, ma main avec la mienne...
Je ne tardai pas à jouir (quand je suis excité je met moins d’une mn). De grandes giclées se répandirent sur le sol.
Après plusieurs minutes il me fit signe de me relever.
-"On passe au choses sérieuses maintenant ma vieille salope ? "
-"Oui maître."
-"Je veux que tu me le demandes."
-"Voulez vous vous occuper de mon cul ?"
-"Tu es une salope, tu peux faire beaucoup mieux que ça ! "
-"Maitre, je vous en prie,(hihihi) déflorez moi mon p’tit cul , SVP. déflorez moi mon p’tit cul "
"Avec grand plaisir chienne! Appuie toi sur le banc et tend ton cul vers moi
."
Il enfila une capote et je me mis en levrette.
Je Sentis quelques choses de froid, et voilà, il allait me sodomiser. J'allais me faire enculer comme une salope.
Il s’agrippa à moi et commença à s'enfoncer en moi. J'avais horriblement mal,(pas habitué a du super gros calibre) il commençait déjà des vas et vient pour rentrer au plus profond de mon cul.
-"Aie, aie, j'ai trop mal arrêté SVP."
-"C ’est trop tard, on a fait le plus dur Simone, bientôt tu me demanderas d'y aller plus fort, plus vite ! "
Après plusieurs minutes il arriva au fond de mon cul, je sentais ses couilles et son bas ventre derrière moi.
Il me Lima de plus en plus vite, alors que moi je faisais semblant d’avoir mal!
-"Tu l'aime ma grosse bite putain….hein…Je te baise bien la, c'est trop bon prend ça. Tient tient, ma bite dans ton cul espèce de salope. Tu mérites que ça. Tu es la pour te faire baiser ! "
Et il me baisa, me baisa. Ses couilles claquaient sur mes fesses tellement il y allait fort.
-"Prend la bien pute ! "
-"Sil vous plait! J'ai mal!" (mais j’adorais)
Il ne disait rien et continuais à me dépuceler.(heuu plutôt baiser)
A un moment il sortit complètement sa bite, j'ai cru que c’ était fini:

-""Merci".
Et la il me re-pénétra entièrement d’un grand coup sec. Il m’arracha un cri (de bonheur) ..heu de douleur j’en aurai presque pleuré. Ça ne l’arrêta pas, au contraire il me fit la tête au sol et les fesses en l'air, et il me baisa de plus belle.
A cet instant une femme vient toquer à la porte:
-"Est ce que ça va ? J'ai entendue crier."
-"Oui oui je me suis juste cogner le pied, merci ma p’tite dame."
-"Okay."
Et elle partit, lui ne s'arrêtait pas. Après plusieurs minutes interminables il se retira. J'avais le cul en feu, il jeta la capote dans un coin et se rapprocha de mon visage. Il me tourna la tête et me maintenais d’une main.
-"Ouvre ta jolie bouche."

Il se branla et joui de grosses giclées dans ma bouche et sur le visage.
-"Avale pédale !"
Sans difficulté j’avalai son sperme j ‘en voulais plus.
-" encore encore!"

-" Nettoie la moi ! "
Il glissa sa bite encore dure dans ma bouche et je léchai le sperme qui restait.
La il me regarda, j'avais les yeux en larme de bonheur, son sexe entre les lèvres, et il se marra.
Il était en rut, il suait.
-"Sale pute, tu m as bien fait jouir, j'ai jamais autant pris mon pied."
Je me releva, j'ai cru qu'il allait partir, que s'en était fini, mais non..
-" Remets toi à genoux. Vieille pute , ouvre la bouche et ferme les yeux."
J attendis plusieurs secondes dans cette position.
Puis je sentis un liquide chaud me remplir la gorge et dégouliner sur mon visage. Il me pissait dessus. J'avais plus de force, j’étais là, les bras ballant, a servir d’urinoir a ce minet.
Quand il eu fini il remit son maillot et s'en alla.
J'ai pris une douche, je suis resté au moins dix minutes à repenser de tout ce qu'il s’était passé. En ressortant de la cabine j'avais mal au cul , comme si sa bite énorme était toujours en moi , je me suis rhabiller et je suis sorti.
Habitant quelques rues plus loin de la piscine . Je pris mon vélo et me mis en route vers chez moi.
En arrivant je remarquais qu'une voiture était derrière moi.
Elle s’avança et la vitre se baissa , il me lança

-" c’est la que tu crèches salope "

-" OUI "

-" alors t’as aimé ? "

-" EXTRA tu peus monter j’en ai encore envie"

-" plus le temps pour aujourd’hui salope , mais je viendrais vieille pute , A bientôt Simoune "

il n’attendit pas ma réponse et disparut rapidement




A SUIVRE…..

Par simon - Publié dans : ma vie
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 8 novembre 7 08 /11 /Nov 17:41
bientôt une nouvelle épisode de ma vie , mais pour vous faire patienter je vous ai ecrit ce roman photos ,
Merci pour vos messages d'encouragements
donc il etait une fois , en Lorraine.....
























































































































































































































































































































































































































FIN
c'était ma manière a MOI  de vous dire combien j'AIME me faire défoncer par de jeunes minets adultes  (+ de 18 ans)
bien membrés , surtout pas rasés , et tres tres juteux
Par simon - Publié dans : histoire racontée
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Dimanche 18 octobre 7 18 /10 /Oct 16:14

Ces derniers jours de septembre , en promenade en forêt comme je fais régulièrement , je faisais une pose , allongé sur un tronc d’arbre , une mais dans mon short , je me masturbais ( eh ! oui à 64 ans ça m’arrive aussi).

Quand je fus entouré par trois mecs, je me sens pris au piège. Ils sont plus grands et plus forts que moi. Et puis, ils sont trois. Je sais qu’ils font partis de l’équipe de volley-ball Verdunois. Je les ai déjà vu s’entraîner. J’ai même assisté à des matchs.
Le mec qui est devant moi, et qui bloque le bras, c’est Julien. 1m80, rouquin , les cheveux court et bouclés. Une gueule bien carrée et un petit sourire en coin
.
Julien : " Alors, mec, on t’a posé un question … qu’est-ce que tu foutais là ? "
- " Bin, rien, j’suis juste venu prendre l’aire. "
Julien (Emeric ):
" Pourquoi t’as la main dans le short alors ? "
Derrière moi, les deux autres se marrent. Il y a Kader, 1m80 aussi, très brun, la peau mate, mal rasé. Il dit qu’il est marocain. Et puis, il y a Xavier, il est plus petit, brun aussi. Il passe pour être un bagarreur.
Xavier (François ) :
" Ouais, t’es venu pour te branlé!"
- " Non, ce n’est pas ça … "
Xavier :
" Menteur ! Tu veux nous faire croire que tu ne te branles jamais ? "
- " Bin si, je me branle, mais là, je fais une pose. "
Xavier : " Moi, je suis sûr que tu te branlais, et en plus, avec le mec qui vient de partir. "
Julien : " Alors … tu ne dis rien. Moi je suis sûr que tu t’es branlé avec ce mec. Je suis sûr que t’es pd, et que tu l’as sucé. "
Il se rapproche de moi, je ne bouge pas.
Xavier et Kader me bloquent. Ils me maintiennent les bras. Julien pose sa main sur ma braguette et la referme sur ma queue.

Julien : " Dis le que t’es pd, ou je t’écrase la bite. "
Je ne dis rien, je sens sa main se resserrer, de plus en plus fort. Il me fait mal. Il sourit en serrant encore et encore.
- " Laissez-moi tranquille, s’il vous plait. "
Kader, derrière moi : " Tu veux qu’on te laisse tranquille, mais tu n’es pas gentil avec nous, tu ne veux pas nous répondre. "
Julien : " Si tu veux qu’on te laisse tranquille, il faut que tu sois gentil avec nous, très gentil même. "
- " S’il vous plait … "
Julien : " C’est bien, tu nous supplies, mais ce n’est pas suffisant… "
- " Je … "
Kader : " Tu …. Quoi ?? "
- " Je …. Je ferais ce que vous voulez. "
Kader : " Tout ce qu’on veut ? "
- " Oui … tout. "
Kader : " Dis nous que tu aimes la bite. "
La main d’Emeric se resserre encore sur ma queue.
- " Oui. "
Kader : " Oui quoi ? "
- " Oui, j’aime la bite. "
Kader : " Dis nous que tu as envie de nous sucer. "
- " Oui, j’ai envie de vous sucer. "
Kader : " C’est bien, tu comprends vite. Tu vois, nous, on est venu pour pisser. Alors tu vas t’agenouiller, tu vas ouvrir nos frocs, sortir nos bites et les tenir pendant qu’on pisse. "
Ils ont alors relâché leur emprise. Je me suis agenouillé. Xavier s’est approché le premier.

J’ai détaché sa ceinture, puis les boutons de son jeans. J’ai baissé son caleçon large pour découvrir sa queue à demi bandée. Du bout des doigts, je lui tenais la bite pour qu’il pisse.
Xavier : " Putain les mecs, j’arriverais jamais à pisser comme ça, avec cette pédale qui me tient la bite. "
Julien : " Laisse moi la place. "
J’ai pris sa bite en main et j’ai attendu. Je regardais Julien. Il avait les mains posées sur la tête, il souriait. Et puis, un grand jet de pisse est sorti de sa bite, venant s’écraser sur le tronc d’arbre. Il pissait sans discontinuer.

Kader s’est rapproché, son jeans et son caleçon sur les genoux. De ma main libre, j’ai saisit sa queue, et il s’est mit à pisser lui aussi. Il m’a saisit la tête jusqu’à rapprocher mes lèvres de son jet d’urine. J’essayais de résister en vain, sa pisse me frôlait les lèvres. Ils se marraient.
Kader : " A ton tour de pisser Xavier. "
Xavier : " Ce n’est pas la peine, j’ai envie, mais je n’y arriverais pas comme ça. "
Julien : " Ce n’est pas grave, il va nous sucer. Quand tu te seras vidé les couilles, tu arriveras peut-être à pisser. "
Alors, j’ai pris le sexe de Kader en bouche. Sa queue grandissait au fur et à mesure dans ma bouche. Sur ma joue, je sentais la bite de Julien, qui attendait son tour , j’ai dû la nettoyer aussi, le prépuce, le gland. Sa bite prenait du volume. Je découvrais une queue, énorme, au gland violet et aux veines saillantes.

Xavier s’est rapproché. Je savais ce que je devais faire. Ma bouche passait de queue en queue. Celle, large et brune aux poils ras de Kader, puis la queue de Julien, de nouveau la queue de Kader, et celle de Xavier, circoncis, qui pointait vers le haut à me défoncer le palais.

Pendant que je suçais Xavier, Kader essayait de renter sa bite dans ma bouche.. Xavier a cédé la place, et j’ai pu me consacrer à la bite de Kader. C’est celui des trois qui me plaisait le plus.

Plein d’audace, j’ai commencé à lui caresser les couilles. Il ne boudait pas son plaisir. Alors, j’ai laissé glisser mes doigts sous ses bourses, en direction de son cul. Je lui caressais le cul avec mon index et il se laissait faire

Julien m’a attrapé par les cheveux, j’ai du lâcher la queue de Kader pour sucer la sienne. Je décidais de lui donner le même plaisir qu’à Kader, je glissais mes doigts sous ses couilles, le long de sa raie, pour titiller son cul.
Et d’un coup, m’arrachant les cheveux, il tira ma tête en arrière et me gifla
.
Julien: " Putain, mais pour qui tu m’as pris, je ne suis pas pd, moi, tu ne touches pas à mon cul. "
Xavier : " Il t’a touché le cul ?? "
Julien : " Oui, il a essayé de mettre un doigt. On va lui attacher les mains avec son slip, à cette salope."
Xavier m’attrape, je ne me débats même pas. Il baisse mon jeans d’un coup et gueule :
" Putain, la salope, quelle pute, il ne porte même pas de slip. "
Julien : " Attache-lui les mains avec sa ceinture. "
De nouveau je suis à genoux, les mains dans le dos, liées par ma ceinture, et Julien me défonce la bouche en m’insultant. Xavier et Kader assistent au spectacle en se branlant.
Xavier : " Relèves toi, et écartes ton cul de salope. "
Je me relève difficilement, ayant toujours la queue de Julien qui me pilonne la gueule.
Xavier : " Allez, Kader, crache lui sur le cul. "
Je sens leur salive sur mes fesses, sur mon cul et ma rondelle. Ils m’écartent les fesses, et force le passage de mon anus avec leurs doigts. J’ai mal, mais je ne peux pas gueuler. Mes plaintes sont étouffées par la queue de Julien.

J’ essaie de me consacrer à ma pipe pour ne pas penser à la douleur de mon cul et à l’humiliation.

Mes efforts se révèlent efficaces, car je sens soudain le foutre me tapisser le palais. Julien gueule son plaisir. Il me maintient la tête, il me contraint à avaler sa semence. Xavier prend le relais dans ma bouche. Il me défonce la bouche comme si c’était une chatte. Kader se branle sur mon visage et les doigts de Julien force mon cul à leur tour. Kader ne tarde pas à décharger sur ma tronche. J’ai du foutre plein le visage. Xavier accélère encore ses mouvements dans ma bouche. Son gland cogne contre mon palais.. Et puis, dans un dernier mouvement, il se vide les couilles dans ma bouche. J’avale. Il se retire. Il passe ses doigts sur mon visage, récoltant ainsi le foutre de son pote, et porte les doigts à mes lèvres. Je lèche, je nettoie. Il me racle les joues, le nez, approche ses doigts et je lèche encore. Il se marre.
Xavier" Regardez moi cette salope , il ne veut pas en perdre une goutte, il lui faut sa dose. "
Derrière moi, Julien a retiré ses doigts de mon cul. Je m’écroule à genoux sur le sol.
Xavier : " Maintenant, je vais pouvoir pisser. "
Et il se met à uriner directement sur ma rondelle encore ouverte. Ses potes le rejoignent et en font autant. La pisse rentre dans mes entrailles

Puis, ils se refroquent. Je suis toujours à genoux, le pantalon sur les chevilles, les mains attachées dans le dos.
Julien : " Allez, on se casse les mecs. "
Xavier : " On te laisse ici, comme ça. Tu te démerdes pour te détacher. Si tu n’y arrives pas, attends le prochain mec qui viendra pisser, ta journée n’est peut-être pas finie. "
Julien : "t’as intérêt à fermer ta gueule, sinon, tu vas souffrir. "
Et il se casse. Kader traîne un peu à les rejoindre. Discrètement, il se rapproche de moi, desserre légèrement mes liens et me susurre à l’oreille :
-" Désolé mec. , tien voilà une entrée pour le prochain match "

-" Merci après le match je suis a toi si tu le désires Kader …..mais toi seul "

- " OK vieux "Puis il les rejoint.
Dès qu’ils sont plus en vue, je me relève, j’essaie de me rhabiller.

Je sentais couler le sperme et ma pisse dans mon short et longer mes cuisses, je marche la tête baissée et rapidement. Je me dirige vers chez moi. et je fonce à la douche. Enfin propre, je peu terminer de me branler et savourer mon délicieux nectar comme j’aime le faire

 

plusieurs semaines aprés 

Par ce beau dimanche après midi je me baladais tranquillement dans la rue perdue dans mes pensées, j’espèrai après le match retrouver Kader , lorsque je croise deux jeunes sur le trottoir d’en face, il gueulaient comme des putois une bière a la main., Quand l’un deux m’as interpellé.
- hé ! mec !
Je n’ai pas répondu et continuais mon chemin
- hé ! ho ! Toi là bas ! le vieux barbu
Comme je ne répondais toujours pas il a traverser la route et se dirigeais vers moi, En espérant pouvoir me cacher je suis rentré sous un porche, ouvert une porte, qui était un locale poubelle, et m’y suis planquer. Le cœur battant, je les ai entendu venir et me chercher un peu partout lorsque la porte du locale c’est ouverte brusquement.

il est là le mec…
Puis me prenant par le col de mon blouson m’as fais sortir
- aller viens là connard… y a mon pote qui veux te parler
Puis tout est aller très vite, ils se sont ruer sur moi et m’ont enfermer dans le coffre de leur voiture garer non loin de là.
Nous sommes arrivé je ne sais pas ou mais ils m’ont fais sortir du coffre et m’ont emmener de force dans une cave aménager comme un appartement (petite table basse, canapé déchirer ,des bières partout. Puis ils m’on relâché et balancé dans un coin. L’un d’eux c’est assis sur le canapé et m’as dis d’un ton calme :
- hé mec ! c’est pas bien polie de pas répondre quand on te parle
- désolé…
- pas de blême mec, je vais t’apprendre la politesse… viens lécher ma bite…
Comme je ne bougeais pas son pote m’a forcé a me mettre a genoux en me bloquant les bras derrière le dos.
- aller suce mec ou je vais me fâcher…
Je l’ai entendu dégrafer son pantalon, et me dis.
- suce ma bite maintenant
- non !

Puis me tirant par les cheveux et employant un ton plus ferme.
- suce moi connard !!! J’ai envie de me vider les couilles tu vas donc me servir de pute…
Comme je ne bronchais pas il donna ordres a son pote de me foutre a poil,
Sans pouvoir rien faire je me suis retrouvé nu comme un vers et affublé d’un collier en cuir épais cadenasser pour que je ne puisse pas l’enlever.
Confortablement sur leur canapé une bière a la main tout en se moquant de moi. le chef (je suppose), sa bite juste sortie de sa braguette m’a redonné l’ordre de le sucer, voyant que je ne bougeai pas son pote c’est lever , m’a foutu une baffe dans la gueule et forcé a prendre la bite dans ma bouche
.
- putain !!!… vas-y connard !!! Suce le comme une salope…
Je me suis donc exécuter et pris cette bite dans ma bouche encore un peu molle non décalotté, la sentant gonflé peu a peu dans ma bouche.
- hummmm… ouai !!!... tu suce bien dis donc… tu serais pas PD par hasard ?...
Puis s’adressant à son pote.
- hé ! Ça te dit le mec ? il suce comme une reine
Donc a genoux passant de cuisses en cuisses, je suçais ces 2 bites tour a tour.

Le pote (du chef) me mit des bracelet de cuir aux chevilles avec une barre d’écartement ,puis me fis repasser mes bras par devant et les relia au bracelets de mes chevilles attaché sur des bareaux , . Ecartelé je me  fit defoncé par cette queue  de chef qui me ramona en profondeur.

Ainsi prisonnier , son pote me pris a son tour , comme des bêtes et m’on baiser comme une chienne, les bites se succédant de ma bouche a mon cul et vice versa, l’un déversant son foutre dans ma bouche et d’autre dans mon cul

Puis, ils m’ont fouetter pendant quelques minutes, le pote du chef me décrocha et me pris par le collier, me ramena a 4 pattes devant lui pour une autre séance d’abattage, le cul encore rempli de foutre le chef m’encula directement pendant que l’autre m’enfonçait sa bites dans la bouche, ils étaient tellement bourré comme des coins que je me suis fais baiser comme une chienne, finalement après m’avoir utilisé comme vide couilles ils m’ont relâché et foutu dehors.

Quand je me suis retrouvé dans la rue je n’etais qu’a quelques pas de la salle de sport ou je devais me rendre pour le match de Kader

 

J’arrivais hélas trop tard le match était fini ,

J’attendais devant la sortie

-tu as vus Kader le vielle salope du bois fait le trottoir

-mais non Julien il est venu voir notre super match , je lui avais offert une entrée

-quoi tu lui avais offert une entrée ?

-je lui devais bien ça , un fidèle supporter

-dans ce cas on lui offre un verre chez Béber

-je préfère allez voir la séance de cinéma comme prévu

-ok kader moi j’invite le vielle pute , ça te dis le cinoch dit Julien

-avec vous pas de soucis répondis-je

Apres cela il m’emmena dans un cinéma porno, nous rentrons dans la salle ou un film des plus banals passait, il n’y avait pas grand monde, on s’installa au milieu de l’avant-dernière rangée du haut puis Julien me dit :
- Fou toi à poil salope…
Je me suis exécuté ne gardant que mes baskets, il confisqua mes fringues en les rangeant dans un sac de Kader.

Quelques mn passèrent lorsqu’un mec arriva et vint s’assoire a 3 fauteuils de moi ou il put me voir complètement nu, Julien jeta un œil vers lui et sans un mot il me prit par la nuque pour me basculer sur ça bite.
- Aller suce moi salope, ça va lui donner des envies…
Je lui dégrafais donc sa braguette, sortie sa queue et commençais à le sucer. Le mec ne fut pas long à venir pour s’assoire a coté de moi, là Julien me releva de sa bite et m’ordonna :
- Suce-le…
Je me suis retourné vers le mec qui avait déjà la bite à l’aire et le suça. Ses gémissements laissèrent penser qu’il prenait son pied à se faire sucer.
- Humm… humm… ouai…vas-y… continue…
Puis s’adressant à Julien…
- C’est ton mec ?
- Non c’est la p’tite pute…de mon ami Kader
- Humm pas mal… son cul est baisable aussi ?
- Si t’as envie de le lui défoncé te gêne pas n’est ce pas Kader ?

-je l’ai amené pour qu’elle se fasse baiser, elle a le trou déjà lubrifier, j’lai baiser avant de venir répondit Kader à ma grande surprise.
- Ok cool… aller viens t’assoire sur ma bite salope

-exécutes l’ordre et plus vite que ça dit Kader
Je suis donc relevé face à lui et me suis assis sur sa queue.

-Houa… putain c’est vrais elle a le cul large… ça rentre tout seul
Pendant que je me faisais défoncer le fion 2 mecs sont arrivés dans la rangée supérieure à nous et matais le spectacle.
- hey les mecs… c’est une sacrée salope que vous avez là…
- profitez-en si vous en avez envie répondit c’est 10€ le tour dit Julien.
Sans se faire prié les 2 mecs on baissé leur fut et donnèrent chacun le billet.
- Aller va y salope suce nous…
Je suçais donc ces 2 bites à tour de rôle pendant que je me faisais défoncer le fion, au bout d’un moment mon enculeur se déchargea dans mon cul.

Kader dit au mec

-ça fera 20€ pour toi

le mec sans rechigner lui donne 20€ en ajoutant
- Elle est à nous les mecs

-eh ! les gars si vous lui remplissait le cul ça sera 20€ aussi

-Ok viens nous rejoindre salope
J’escaladais donc le fauteuil et alla les rejoindre, à genoux sur un fauteuil je tendais mon cul a l’un des 2 pour qu’il m’encule pendant que je suçais l’autre.
- Humm putain c’est une bonne salope ça… elle aime la bite c’te pute… hey mec… laisse-moi l’enculer aussi…
- Attends… j’vais jouir
Après encore quelques coups de bite, le mec se vidangea les couilles.

Kader encaissa les 20€
- Allez tourne-toi salope
Mon trou bien ouvert dégoulinant de foutre l’autre mec y enfonça ça bite, il me lima le cul pendant que l’autre me mit sa queue dans ma bouche fraichement sortie de mon fion pour la lui nettoyer.
Je fus encore une fois rempli de foutre par le 2e enculeur.

De nouveau Kader encaissa les 20€
Je rejoignis Kader et Julien qui m’ordonna de les sucer et m’envoya leurs giclées de sperme à avaler puis il me rendit mes fringues.
-Allez rhabille toi on s’casse… la journée a été bonne et j’espère que le WE prochain tu feras aussi bien

Nous sommes donc sortie du cinéma et me reconduisit chez moi, mon cul bien éclaté et rempli je sentais en marchant le foutre de ces mecs coulé le long de mes cuisses.

Rentré à la maison je me suis vider de tout ce sperme pris une bonne douche et alla me coucher , épuisé mais super content de la journée.

A suivre …..

Par simon - Publié dans : ma vie
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Jeudi 15 octobre 4 15 /10 /Oct 22:56
voici une petite histoire en images que j'ai trouvé sur le net (merci a l'auteur)

  

- Que puis-je pour vous?
- Excusez moi, je pensais que Loïc Matoumi était là, je repasserai.

- Non ne vous inquiétez pas, il m'a demandé de le remplacer au pied levé. Je
vais vous recevoir à sa place.

Tu parles recevoir à sa place, il ne sait pas ce que je suis venu chercher

- Asseyez vous, monsieur!

Je lui donne mon nom, il le frappe sur le clavier d'ordinateur pour faire
apparaître ma fiche. Il fait défiler ma fiche, un léger sourire passe sur ses
lèvres, qu'y a-t-il sur cette maudite fiche! , il a vu ma fiche et a souri, le coup de fermer et de
couper la sonnette comme Loïc. Putain j'ai mis mon jock en pensant à Loïc, et me voilà
devant un mec que je ne connais pas, c'est tout moi ça. Enfin au point où j'en
suis.

je lui explique que j'ai consulté Loïc

Il soupèse mes couilles . Il dit

-je dois regarder votre prostate
- Ah bon ?
- Oui, oui, penchez vous en avant.

Je me penche et je sens qu'il me fout un doigt dans le cul. Humm j'ai adoré ça.c'était une 1ere pour moi

J'écarte mes fesses avec mes deux mains.

Avec son autre main il me masse la bite raide. Il fait un va et vient dans mon cul.

- je ne sens pas votre prostate monsieur
- ah bon,

Il sort son doigt et va vers une petit table, je vois qu'il enduit sa main avec du gel. Il revient et m'enfile trois doigts dans le fion, sans aucune précaution. Je lâche un gémissement de satisfaction. Il reprend ma pine avec son autre main et continue son va et vient.

- ca y est je la sens, vous la sentez aussi ?
- oui monsieur, je sens vos doigts dans mon cul.
- ca va , ca fait pas mal?
- non, non.

- ok

Il ressort ses doigts et comme ça ?.
aaaahhhhhh! ça fait mal ,c'est quoi ce truc dur ,c'est chaud , puis fit des vas et viens ,j'éprouvais du bonheur , coninue Loïc oh oui continue.
-quoi Loïc vous avait baiser?
-c'est ça docteur.......  

 

-tres bien ..,
bon... je vais vous osculter..












OU là là c'est beaucoup trop élevé
-vous faites pas erreur j'ai jamais eu ça

- Bon, vous pouvez vous déshabiller

Je me dessape donc. Quand il lève enfin les yeux je suis en slip devant lui. Il reste bouche béé.

- eh bien ... vous on peut dire que vous êtes musclé !!

Je le remercie du compliment.

 Il m'osculte. Il me fait tousser.

Je tousse.

 Il me tâte les bras.

- C'est du solide tout ça

- Oui docteur
- toussez

Je tousse.

 -hum hum

Je m'inquiète.

- J’ai quoi ?





- Oh pas grand chose,tournez vous

je me retourne

mais permettez moi de vous posez une question.
- Oui?
- Vous vous masturbez souvent ?
- Oui docteur, souvent quand je le peus et qu'elle veut bien bander
- Et vous avez beaucoup de sperme?
- Oui, enfin je pense que je suis normal
- ok , otez votre slip





Je l'ôte, je suis nu comme un ver. Il soupèse mes burnes. Il tire dessus. 
 Il se baisse et regarde ma queue de tout près.

Je ne bande pas.
 Il me dit :

- Je vais vous aider, tenez cette revue…

Il me tend une revue de mecs  et de filles à poil.

- Ca me fera pas bander docteur !
- Ok je vois, vous voulez que je vous aide?
- Oui docteur



















Il me dit :
- inclinez vous s'il vous plait.

Je le fais
. Il me fou un doigt dans le cul.

- Hum hum
- Qu'y a t il docteur ?
- Vous vous faites sodomiser ?
- Non, heu.. oui 1fois si je compte Loïc , moi je suis hétéro  

.



































Il soupèse mes couilles et tire dessus comme un taré











- monsieur, je suis médecin. Mais je suis tout de même un homme. Vous permettez que je suce votre queue ?

Je dis :
-faites votre métier monsieur, si il faut que vous suciez mon sexe, faite-le



il s'accroupi, ouvre sa bouche et englouti ma pine chaude.
 Il suce bien ce salopard de toubib.

 Il me masse les couilles en me suçant la queue,

 il tire dessus comme un malade.

 Je grogne de plaisir.


-ouai vas y doc, fait moi jouir, tu suce bien putain de doc.

- Ça ne vous ennuie pas si j'enlève ma blouse, mais je commence à avoir chaud!
- Non pas du tout.

Il se plaça derrière moi et commença à me doigter
- J’ai envie de t’enculer salope…donne moi ton cul…
. La chaleur me faisant transpirer mon cul s’ouvrais bien, il n’eu donc aucun mal à m’enculer,
- Humm putain… t’as une bonne chate ma salope…

Il se déchaina dans mon trou tout en m’insultant, me claquant les fesses, me demandant ce qu’il voulait entendre.
- T’aime ça hein salope…han…han…
- Oui j’aime
  J'ouvre les yeux, son pantalon de toile blanche sur les pieds, et si je vois bien, une belle bite fine mais courte Sa peau est laiteuse, un peu de poils
roux autour des seins, puis un mince filet de poils qui partent du nombril pour disparaître sous la ceinture du pantalon
.

Alors il se dessape et continue a me sucer la pine

-oui oui continue

il y va de bon coeur , sens ma bite gonfler dans sa bouche

-encore encore

il se fait des gorges profondes , mon glan coincé dans ses

amygdales durci

-whaa super  docteur je bande

-enfin du résultat


-je bande vous avez réussi a me faire rebander

-allez perds pas de temps baise moi ..... 
Il se tourne et me présente son anus.
                                             

- encule-moi beau mec, je veux te sentir au fond de moi. Ramone-moi le fion avec ta pine d'ours.


Je m'enfile dedans et je le baise. Mes couilles tapent contre ses fesses. Il dit

- ouai je suis ta salope, encule moi, pine moi, je te veux, je suis ta pute, défonce moi la rondelle, casse moi l'pot. vide toi en moi je veux ton jus de mâle en rut, donne moi ta sauce de couilles ! jouiuiiiis sale pd de merde, jouis dans mon fion ouvert

 t’en es pas a ta 1ere enculade a ce que je vois…t’aime la bite toi hein ?
- OUIIIIIII…
- t’aime te faire enculer ?...
- oui j’aime me faire enculer… me faire défoncer le cul, OUI !!!…..
- j’aime les petites putes, t’as envie d’être une petite pute pour moi salope ?...
- oui… j’ai envie…je le veux…j’veux d’la bite…vas-y… défonce moi… prend ton pied mec…bourre moi le fion comme une chienne…
Je me déchainais à l’enculer de plus en plus vite, son cul s’ouvrait tellement bien que je sortais ma bite pour mieux l’enfoncé aussitôt jusqu’aux couilles.
je lui  laboura le fion ainsi pendant une 10ene de Mn avant d’y décharger tout mon foutre.
- Harrrrg…… putain de salope… j’vais jouir…
Je lui remplis les intestins de ma semence et resta bloquer dans son cul jusqu'à ce que je débande. Ma bite redevenu molle je me  retira


je lui avait fait la totale
en le laissant avec sur le visage, le sourire niai du mec heureux de s'être enfin pris une bonne grosse pine de vrai mâle dans le cul



il me fixa un RDV dans 4 semaines afin d'effectuer un contrôle (voir si mes érections redevenaient normalement)

il n'avait rien a crainte j'étais guerri et pour cause , un aprés midi rentrant de mon boulot , je trouva ma femme se faisant niquer par le docteur Matoumi ,je les observa un moment par la porte entrebaillé , je bandais comme un cerf , enleva mon fut et sj franchi la porte , bite en avant , le docteur occupé a baiser ma femme , le cul bien offert , je le pénétra a sec il hurla de douleur
wwwwhhhhhhhaaaaaaaaaaa !!! NONNNNN!!! Pas ça
-trop tard , tu vois je suis guerri.....

 j'avais compris ça l'arangeais bien que je bande plus ,il pouvait ainsi contenter ma femme en manque et me baiser en plus

 
Par simon - Publié dans : histoire racontée
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 4 octobre 7 04 /10 /Oct 18:11
voila déja quelques années , mon petit fils en vacances février me fit son comit- out

Je sais, il n'aurait jamais dû me présenter les choses de cette manière. Mais tout de même

(Il est mon seul petit fils et il aurait dû faire preuve davantage d'écoute et de compréhension.)

Ile n'avait même pas eu le temps de m'expliquer que, déjà , il se dit que la suite n'allait pas être plus facile à m’ avouer

 

Voici comment cela c’est présenté ….

 

-Papy. Je suis homo

 

"" Quoi ? " Comment ?
- Oui, Papy. Je suis homo."


Il attendit un peu, histoire que j’ assimile parfaitement ce qu’il venait de me dire.

L'incompréhension la plus totale se peignit sur mon visage


Suis-je coupable de cela !
Est-ce ma faute s’il était ainsi ?
Dilemme difficile...

La réponse, sa réponse, il me la jetais en pleine figure.
Je me mis a rire
-TOI Pédé…..oh ! TOI , j’y crois pas…..

-Ouais Papy...et j’aime un mec de ton age …. C'est à prendre ou à laisser...Je ne te laisse pas le choix...

Il m'interrompit brusquement.
il tournais son visage vers le mien, légèrement inquiet , pour me dire

-oui papy c pourtant clair je suis homo
Qui c'est, d'abord ? Vu ton âge, ce doit être l'un de tes profs !... Ton prof de maths peut-être ?
.-C'est ça ! À d'autres !
- ton oncle Gégé alors?
- Non ! Ce n'est pas lui !
- Qui d'autre alors ?
- Tu ne le sauras pas !
- Oh et puis après tout, peu importe ! Je ne le laisserai pas s'approcher de toi ! Et d'abord... "


Il tournais les talons, me laissant dans mon expectative, et se dirigeait vers le living où il savait que j'allais pas tarder à le rejoindre. C'est ce que je fis en effet, peu de temps après.

Je m'installais à ses cotés, sur le divan.

Un silence s'ensuivit ,je regardais le sol .J’évitais pour ainsi dire son regard. LUI aussi ne me regardait pas.

Il balbutiais :
-"Écoute.papy.. "

-" Non ! Toi, écoute-moi bien , mon lapin! "

Précaution inutile ! il était suspendu à mes lèvres.

  

" Tu me dis, de but en blanc, que tu es homo... Et, qui plus est, tu me balances que tu es amoureux d'un type qui a mon âge ! Non, mais, tu te rends compte de ce que tu viens de me dire ?

 

- Je n'ai rien dit de mal...
 

-Non ? J'apprends que mon petit fils, à peine 15 ans, s'envoie en l'air avec un vieux ! Et je devrais prendre les choses bien peut-être ?

 

- Il n'est pas si vieux que cela... Il a 60 ans, comme toi !
- Ne te fais pas plus bête que tu n'es ! Tu m'as très bien compris ! Quand je pense à ce qu'il a pu te faire...
- Détrompe-toi ! On n'a jamais rien fait ensemble !
- Comment cela ? Tu ne vas tout de même pas me dire que vous n'avez rien fait tous les deux ?
- Non ! Jamais, je te le répète ! Je suis amoureux de lui mais lui, ne le sait pas encore...

un grand silence en suivit.
-Bon on vas faire notre petit tour en forêt comme tous les jours.

-oui mon lapin
baskets , short , sans rien d’autre sur le dos , omis a la ceinture une gourde d’eau



après un bonne balade , nous rentrions a la maison.

grand mère était là devant la télé

-Zut dit-il moi qui voulais regarder un film…

-vas a la salle de sport il y a une mini télé

-ah ! ouiii , je peus regarder une de tes cassettes ?

-quoi des X c’est pas pour ton age

-allez stp je sais ou elle sont

-bon ok ,tient voici la clé du bureau et fait le bon choix ! !

-merci mon canard euhh ! ! papy..

une heure plus tard , je décida d’aller le voir à la salle de sport ou je le surpris en flag

-ben mon lapin on se fait du bien dis-je

-heuuu ! ! ouiii bafouilla-il sous la surprise

-heureusement que c’est pas grand mère qui est monté

-c ‘est claire j’aurai eu l’aire bien con ,

-(hihiiii)j’aurai aimé voir ça lui dis-je en lui embrassant sa belle tige qu’il ne manqua pas de me l’enfoncer dans la bouche et en moins de deux ma bouche etait pleine de son super yop crêmeux.

-bon j’ai déjà pris le dessert , mais on nous attend pour diner

-ouééé ça m’a donné faim….

Le lendemain

Comment allais-je m'y prendre pour l'empêcher de parvenir à ses fins ?

comme tous les jours ,lors notre petit tour en forêt

Apres quelques KM

en tête :Il n'allait pas tarder à connaître mon projet...



-hier tu ma dis " que tu aimé un vieux "

-Oui ! , je te le répète ! Je suis amoureux de lui mais lui, ne le sait pas encore...

 

Brusquement, je le saisis par les cheveux et, tout en le forçant à pencher la tête en avant, je lui désigna mon entrejambes.

-" Quitte à te faire baiser par un vieux, autant que ce soit moi ! Au moins, tu n'attraperas pas de saleté ! Puisque tu aimes la bite, c'est le moment de vérité, mon p'tit lapin ! "

Comme il restait interloqué, ou il faisait semblant ,je tomber mon short , sans rien dessous.

je lui montrais mon sexe de l'index et lui dit, d'une voix sec :
" Suce, pédé ! "
IL eut à peine le temps de voir ma bite que, déjà, il l'avait dans sa bouche.

Tandis qu’il continuait à me sucer, je me déshabillais totalement.
" Ouais gamin ! Bien ! Tu vois ce que ça fait d'avoir une queue dans la bouche, hein ? Mais ceci n'est qu'un avant goût ! Tu ne crois tout de même pas que je vais te livrer à leurs grosses pattes de pervers sans avoir, eu, avant eux, le privilège de te baiser le cul ! Non, mon gamins ! Il n'est pas dit que ton papy te laissera filer sans t'avoir dépucelé ! "


Seules ses lèvres n'étaient pas figées. Sa langue non plus.


" Ah ! Putain ! C'est bon, mon salaud ! C'est pourtant vrai que les pédés comme toi sucent bien ! Même sans le savoir, tu pompes déjà comme un pro ! Et, crois moi, ton papy a l'habitude de se faire bouffer la queue ! "" Pompe ! "
Il n'avais jamais sucé un homme (mon œil) et, pour une première fois, il se débrouillait pas trop mal à en entendre mes gémissements:

Je gémissais à présent, balançant des grossièretés de plus en plus fréquemment
-:
" Ooooh ouiiiii ! Pompe, mon gaillard ! Pompe-moi ! Entraîne-toi sur la bite de ton propre papy avant d'aller sucer d'autres queues que la mienne ! Grâce à moi, tu vas devenir un très bon suceur, mon garçon ! J'envie déjà tous les hommes qui auront la chance de se faire tailler le jonc par toi ! "
 

 

IL s'appliquait du mieux qu’il le pouvais. Docile, il 'imprimais à sa tête un long va et vient de haut en bas, de plus en plus prononcé, de plus en plus rapide.

De temps en temps il faisait preuve d'un peu de maladresse. Aussitôt, la sanction tombait je lui filais une petite gifle d'un coup sec sur le crâne :

 " Doucement, morveux ! Doucement ! Je sais bien que t'aimes ma bite mais c'est pas une raison pour être comme un vrai morfale ! Si tu recommences, je te file une branlée ! "
 

Ses efforts furent couronnés de succès ! Je desserrai mon étreinte et commençai à me détendre un peu...

 

 

Oui…il voulais devenir un véritable trou à bites maintenant qu’il avait goûté à la mienne. À ma queue !
La bite de son papy !

" Je suis en train de faire de mon petit fils , une salope ! Voilà ce que tu es : Une salope ! Parfaitement ! J'irai même plus loin ! Une pute ! Une traînée ! Une pédale qui passera de mec en mec... Tu vas te faire casser le cul, un jour ! Tu ne pourras pas dire que je ne t'aurai pas prévenu, lopette ! "

Mon petit discours, mâtiné d'injures, l'excitait !

 t'as pas envie ?3)

Je le regarde me demandant si ce n'était pas un traquenard ou un piège voir une de ses plaisanteries douteuses. Il vit que j'hésitais alors il prit ma main et la mis sur sa bite, super dur et très grosse, l'envie revenait et je bandais il s'en aperçu

je vois que ça te fait de l'effet alors si tu en veux va s'y on est seul
OK, mais motus
tkt pas je dirais rien a une condition
laquelle ?
qu'on le fasse souvent
OK ça me va

Me suis mis a genou et pris sa bite dans ma bouche bien chaude et humide mon cul aussi est humide, car je mouille rapidement.

-tu suces super bien pour un papy…. Continue……t'aimes les gros calibres, vu comment tu t'occupes de ma queue, j'imagine que…. Oui

-hummm oui hummmm

--je parie même que t'aime te faire enculer

N'ayant aucune réponse de ma part, car j'avais sa queue dans ma gueule il se baissa et caressa mon cul, puis voulant en voir plus il se relève, me dit de me lever et me dit

fou toi a poil que je constate la marchandise et vite

Le ton avait changé, il me parlait de façon autoritaire pour un gamin de quinze ans et j'ai fais ce qu'il ma dit je me suis mis a poil la queue bien droite qu'il regarda au passage. Je regardais sa queue et ses couilles grosse et bien pleine et me suis remis à genou en prenant soins de sa queue que je suçais de nouveau.

t'est bien docile papy voyons un peu ton cul maintenant

Il se baissa et caressa mon cul puis mis un doigt dans celui-ci ce qui me fit mouillé encore plus.

-t'est bien ouvert tu te fais enculer souvent toi ?

-oui et j'ai des projets pour toi ma salope tu va aimer crois moi

-moi aussi j’ai des projets

-désormais tu va t'occuper de moi, de mes bijoux de famille et de mon cul

-moi ,vais te dressé pour devenir une bonne salope

Voyant que je ne disais rien et que je suçais toujours sa queue que de temps en temps je lèche ses couilles et que je le resuce. À ce rythme-là, il n'en pouvait plus. Je voyais qu'il allait jouir je voulais me retirer quand il me retint par la tête

.

-bien ma salope t’ aime ça ce voit, tu le veux ?
oui
oui quoi et il me donna une baffe

oui chéri
bien et n'oublie jamais ta compris salope ?
oui chéri
ok lève-toi et tourne-toi que je t'encule puis appuis toi sur la souche d’arbre

En position il me pénétra sans capote et fit tout rentrer d'un seul coup me faisant crier.

t'es une bonne salope toi t'aimes te prendre les grosses queues hein ?
oui
t'aurais dit non que sa n'aurais rien changé ma salope
mais chéri tu vas être gâté quand ton tour viendra..

Sur cette phrase il me ramona le cul de telle façon que ça me faisait gémir comme une chienne, ça lui plaisait

tient salope bois…mon foutre bien chaud , comme hier soir et n'en perd pas une goutte ou t'aura une raclée

J'avalais son bon yop tout chaud et frais, car le distributeur me donna ce que je voulais. Ça me plaisait et j'étais encore à genou puis me dit d'ouvrir ma gueule, ce que je fis pour voir si j'avais bien tout avalé

 

Pendant tous le reste des vacances de juillet 2004 il me baisa très souvent et pour la dernière baise de l'année , je lui rappela

-alors tu es toujours amoureux de ton vieux ?

-oh ! oui j’en voudrais encore plus……

-et tu veus quoi de plus? 

-papy j’espère bien que tu me fairas ce que je viens de te faire....m'enculer ...

-peut être , peut être aux prochaines vacances……. mais faut attendre encore….tu es trop jeune pour ça…..

-pas juste , c’est pas juste

A toutes les vacances suivantes , mêmes questions , mêmes réponses , il avait juste le droit de me gaver de son nectar en bouche ou dans mes entrailles.

Ces vacances 2009 il me demanda de lui apprendre à conduire la voiture , je ne lui refusa pas , il faisait très chaud ,sur une petite route dans les bois sans circulation , l’herbe envahissait la chaussée ,il apprenait la conduite et les manœuvres.

 

Totalement nu, j’ exigea qu’il en fisse de même.
 Il s'exécuta rapidement,
Lorsqu’ il fut à poil, les leçons de conduite commencèrent , soucieux de ne pas froisser le mâle qui allait faire de lui un pédé à part entière sans le savoir d'avance. Et l'idée que ce mâle fut son propre papy ne lui déplaisait pas, bien au contraire !
 

Lors d’une pose.. 
-Prend le coussin et mêts TOI en position allongé , a même le sol , cul relevé.
je passais derrière lui et le tira violemment par les cheveux.
-Aïe !


- Ta gueule, pédale ! La douleur que tu viens de ressentir ne sera rien à côté de celle qui t'attend ! Quand mon gland va forcer ta rondelle !

- Vas-y doucement, s'il te plaît, Papy !
Malgré ses suppliques, je lui força le conduit d'une manière brutale. Son anus, vierge, céda devant la dureté de sa hampe de chair.

Ça y était ! IL allait connaître le plaisir de l'enculage !

À dire vrai, il parlerait davantage de douleur pour commencer. Une chaleur intense, un frottement fulgurant, électrique. Tous ses sens étaient en éveil. Il était obnubilé par son cul, ce que je ne pouvais ressentir... il se sentit déchiré et brisé. IL mordait dans le coussin pour ne pas hurler tant il avais mal.

Mais il ne voulait pas me donner ce plaisir là. Non ! il tiendra le coup, quoiqu'il arrive !
Et tant pis s'il fallait pour cela qu’il endure les pires sévices de ma part !

Mes mains cessèrent de lui tirer les cheveux et glissèrent le long de mon dos, jusqu'à ses fesses.
Il ne sut pas si je montrais plus de précautions ou si son cul s'habituait mais, toujours est-il qu’il avait de moins en moins mal. Mieux : Une légère sensation de bien-être commença à l'envahir...

Je lui pinais le cul à grands coups de reins.
- Tu as choisis d'être pédé, alors il va falloir assumer maintenant ! Parce que des bites dans le cul, tu vas t'en prendre souvent, crois-moi ! En attendant, prends toi la mienne dans le fion ! "
-
ouééééééééééééééééééé

 " Ouais ! Prends-toi ça dans le cul, Salope ! J'vais bien te niquer à fond ! Tu vas avoir la rondelle bien ouverte et bien dilatée, crois moi ! TON soit dis en vieux, il va rentrer en toi comme dans du beurre ! Ah ! Ah ! "
 

Oui, je le baisait totalement à présent. Ma bite façonnait son conduit qui allait, dans les années à venir, être le réceptacle à foutre de bons nombre de mâles en rut. Car il y en aura d'autres, après moi ! Plein de grosses queues qui élargiraient, centimètre par centimètre, son anus déjà bien ouvert par le ramonage intensif dont il était l'objet à présent.

S’il n'avait pas eu les bras coincés sous son torse, je crois bien qu’il m'aurait applaudi des deux mains.

Il cessait de mordre le coussin.

Car il n'avait plus mal à présent. Au contraire, même ! il m’ avoue que sentir son papy en lui produisait un plaisir certain qu’il ne cherchait plus à se dissimuler :

 

-félicitation chéri
-" Aaaah ! Oui ! Comme ça ! Tu ne t'attendais pas à ce que j'encaisse si bien, n'est-ce-pas, Papy ?
-
Quelle salope tu fais ! Je le savais que tu te donnerai à fond ! Je le savais ! Putain, t'es bon, toi !
-
T'aimes ça quand je cambre mon cul de cette manière ?
-
Ouais, bordel ! J'adore ! Je vais bien au fond ainsi ! Regarde : je rentre en toi jusqu'aux couilles !
-
Oui ! Je te sens bien profond ! Oh, Papy ! Encore s'il te plaît ! Baise-moi à fond !
-
Oui mon pédé ! Je vais te baiser à fond ! Je vais juter dans ton cul de salope ! Mais avant cela...
-
Quoi ?
-Tu vas me dire qui c'est ce vieux salaud qui va te baiser, la prochaine fois ! Dis-le moi !
-
Pour que tu m'empêches de le voir ? Ou bien que tu lui casses la gueule ? Non, jamais !

- Non, non ! Je vais rien faire de tout cela ! Je veux juste lui dire que je t'ai eu avant lui ! Que c'est moi qui t'ai niqué en premier ! Allez ! Dis moi qui c'est !
-
Non ! De toute façon, c'est trop tard !
- Comment ça, c'est trop tard ? Tu m'avais dit que vous n'aviez encore rien fait encore ? Tu m'as donc menti, toutes ces longues années

- Non, je ne t'ai pas menti : Je n'ai jamais rien fait avec lui jusqu'à... Maintenant !
-
Hein ?
-
Oui, tu as bien entendu... L'homme qui est mon amant, celui dont je suis amoureux depuis mon adolescence et qui ne le sait pas... C'est toi, Papy !
-
Quoi ? "
Afin de donner à ses mots davantage de crédibilité, il venait de lui-même s'empaler sur mon pieu après m’avoir fait basculer sur le dos.

" Oh, oui ! Papy !....
Comme c'est bon !
 Vas-y,
 continue à bien me piner !
J'adore ça !    Papy !                        
                                                         Ouiiii ...J'adore avoir ta bite dans le cul ! Tu avais raison : je suis un vrai Pédé comme tu dis ! "





Et, sous le coup de l'émotion, J’ éjacula dans son cul tout en lui criant que je l'aimais aussi et que ça faisait déjà quelques années qu’à chaque visite il me faisait bander dés qu ‘ il me touchait

.il répondit " Papy depuis ma puberté je savais que c’est toi que j’aimerai et toi seul papy "



Depuis , les rôles sont inversé , c’est mon amant et je suis devenu la pute de mon petit fils.


MAIS oui on s'AIME.......

A suivre.....







Par simon - Publié dans : ma vie
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Pages

Présentation

Créer un Blog

Recherche

Calendrier

Mai 2024
L M M J V S D
    1 2 3 4 5
6 7 8 9 10 11 12
13 14 15 16 17 18 19
20 21 22 23 24 25 26
27 28 29 30 31    
<< < > >>
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés