En cette été 2010 , lors d’une réunion de famille dans le petit village du nord de Meuse ou j’y ai passé toute mon enfance. Pendant l’apéritive , dans la salle des fêtes ,beaucoup d’amis étaient présent , quand soudain une main se posa sur mon épaule et une voie me dit
-tu as beau te cacher derrière une barbe je t’ai reconnu et je pense ne pas me tromper , n’est - ce -pas Simon
je me retourna , et après une longue hésitation dit
-wha ! ! salut Olivier , tu n’as pas changer toujours aussi élégant….
- toi non plus Simon , ça te fait quelle age maintenant ?
-65 en novembre prochain et toi ?
- 61 depuis juillet
Nous parlions de tous et de rien ,l’alcool aidant , nous reparlions de notre enfance , de l’école , cette école de village qui se trouve juste au dessus de la salle des fêtes , notre discussion nous projeta donc en 1965.
Machinalement ma main se posa sur sa cuisse et ressentis en lui un frisson ,une de ses mains vient se poser sur la mienne ,son regard brillait et son visage s’illumina d’un magnifique sourire
-ton oncle chez qui tu vivais est toujours du monde ?
- oui Simon , 88 balais et il a pas changé
-il baise toujours aussi bien ?
- tu vas pas me dire qu’il t’a baiser toi aussi….
-ben si un jour que je suis allé chez toi pour t’expliquer des mathématiques et que tu avais été obligé de partir en urgence rejoindre ta mère souffrante.
- ah ! oui , je m’en rappelle maintenant que tu me le dis , a mon retour , j’avais retrouvé mes maths fait sur le bureau ,explique moi comment tu a pu faire les maths et te faire baiser par tonton
-tu savais que ton oncle aimé les minets ?
- oui bien sur il ne le cachait pas.
-et toi tu savais pour moi
- pas directement , mais je me doutais un peu , il me disait souvent " ton copain Simon a un beau et bon petit cul "
-et toi .. tu en pense quoi ?
- maintenant que tu me le demande oui j’ai fantasmé longtemps sur toi , sans osé franchir le pas.
-ben c’est fait maintenant , tu en veus toujours ?
-te dire non serai mentir , mais explique moi ce jour fabuleux je veus tous savoir…
Tu te souviens au téléphone pour tes exercices ardus de mathématique. tu m’avais dit
- je t'en supplie aides moi!!! j'aurai besoin de ton classeur de math, car je suis dans le bouillon complet
- cela ne m'étonnais pas , car n cours je ne sais pas ce que tu faisais mais tu étais ailleurs quand le prof parlait.
- viens à la maison demain après midi. on verra ce qu'on peut faire?
- à qu'elle heure?
- vers 16h00
- ok a plus.
le lendemain donc à 16h00 je suis aller en vélo chez toi Olivier, c'était mercredi il faisait super chaud.
je sonne
et là qu'elle surprise un grand gaillard 1m80 brun le torse à l'air (poilu) m'ouvre, c'est ton oncle.
- bonjour monsieur , c'est moi Simon
- je t'avais reconnu
Il m'explique que tu l'a mis au courant de ma visite, mais que tu as du aller chez ta mère à Bordeaux en express et que tu étais parti ce matin avec ta tante.
Julien l’oncle de Olivier était resté car il bossait ce matin là il est avec ton frère aîné Damien 28ans (retenu par son travail de nuit )en train de regardé un math de rugby.
A cette phrase je compris que Olivier par sa grimace que j’avais dis quelque chose qu’il avait pas trop compris. Je continua mon explication
Julien me fit rentrer et me présente à Damien ton frère, ils sont tout deux torse nu et en short vu la chaleur et à voir le nombres de bières vides sur la table du salon ils sont un peu
éméchés.
Julien me dit que je peux aller dans ta chambre chercher ce que j'ai besoin, et le faire chez lui car Olivier aura besoin de son classeur en rentrant .
Je monte donc dans la chambre de Olivier trouve le classeur, mais il y a un tel bazar sur son bureau, je demande à Julien d'occuper la table de la salle à manger.
je m'installe donc sur la table face aux deux fauteuils occupés par mes hôtes en short.
je me plonge dans les exercices et par moment je sors la tête du classeur et j'observe mes deux hôtes aux shorts d'où dépasse le bout de leur bite. par moment ils la remette en place, ce qui ne
manque pas de m'émoustiller un peu. comme il fait chaud je suis également en short et tee shirt. A un moment Julien me demande si je veux boire une bière, j'accepte il me l'amène à ma table de
travail, je remarque alors qu'il est vraiment bien foutu pour ses 43 ans, à la largeur de ses mains je devine un peu comment doit être cette bite de quadra, poilu et viril, quand il est prêt de
moi je sens cet odeur de mâle dominant, a force cela commence à me foutre le bordel dans mon slip.
Il va se rasseoir et je regarde bien ses fesses qui sont musclés et je lance à la cantonade
-" vous avez l'air d'être musclé tout les deux?"
- on s'entretient de temps en temps me
répondent-ils.
de mon point stratégique je le regarde à la dérobée, leur bite apparaissent parfois je commence à être à l'étroit dans mon short, ça doit se voir sous la table.
lors d'un essai Julien et Damien laissent éclater leur joie et le fait de se lever d'un coup baisse un peu leur short et laisse apparaître une belle toison brune juste à la naissance de leur
queue.
Puis Julien va pisser sa bière suivi de Damien ,à leur retour Julien me dis :
-" dis donc tu n'a pas l'air de trop avancer dans ta copie, et je trouve que tu nous matte beaucoup"
- Non j'avance!!
Il se lève et viens voir, et là il appelle Damien, ce petit cochon n'a écrit que deux lignes viens voir et là je me retrouve entouré de deux mecs, mâles dominants, sentant à plein nez la testostérone.
- Bon je vais être clair ça fait une demie heure
que tu nous matte t'a envie de nous ou quoi lèves toi!!
et là la bosse de mon short me trahie d'autant plus qu'une petite tache de mouille à transpercé le tissu.
- Damien regardes on le fait bandé ce coquin
et là Julien me passe la main dans les cheveux et me dis
- regardes nous aussi on
bande, tu veux t'occuper de nous?
-oh oui avec plaisir et là ils baissent leur short et deux belles bites de mâles sursautent de concert n'y tenant plus me voila rapidement à
genoux en train de les sucer tous les deux.
Damien gémit et me traite jeune salope , la main dans mes cheveux Julien me fait alterner entre sa bite et celle de ton frère.
Ils sont à présent nus le match n'a plus aucun intérêt pour eux.
Mes vêtement sont très vite enlevés et je suis à présent dans le canapé en train de sucer Damien pendant que Julien me bouffe le cul. J'hurle de plaisir tellement sa langue chauffe mon petit trou
puis il y insère un doigt, et dit :
-"il n'est même plus puceau, en plus il aime la bite, hein salope?
- Oh oui messieurs
-bon Damien je vais le baiser puis ça sera toi
ok?
- vas y Julien
il m'enfonce sa bite bien dure de 18 cm (heureusement que mon beau frère J-F m'avait bien dépucelé quelques semaines plutôt )et commence ses va et vient
- putain quel bon cul
Puis c'est Damien qui prend la place hummm sa bite 20cm et fine , quel délice puis c'est de nouveau au tour de Julien.
Puis Julien à une idée (quel pervers ce Julien) ils vont me baiser à deux.
je me place donc le dos face à Damien, sa bite s'introduit sans soucis, et Julien nous rejoins et me prenant en missionnaire .
j'hurle car mon trou n'avait pas été autant dilaté, mais à force de baiser le plaisir m'envahis, j'éjacule d'un coup sans m'être touché et mes deux mâles décharge en même temps comme deux bêtes en rut.
quel bonheur que de se faire baiser par deux mecs qui ont plus de trente ans d'écart avec moi.
après nos exploit Julien à téléphoné chez moi pour demander que je reste le soir pour aller au cinéma car je l’ai bien mérité .et je le ramènerai vers minuit après la séance ..
Après acceptation on a remis ça. Je les ai sucés ils m'ont baisé chacun leur tour, parterre ,sur le tapis du salon, dans la chambre conjugale à trois dans le même lit, ils m'ont baisé parfois en même temps, j'ai goûté à leurs spermes, on est restés à poil tout la soirée .
- c ’est bien mon oncle ça dit Olivier
-oui grâce a ton frère Damien aussi
-hihihihiihi
-pourquoi tu ris Olivier ?
- tu sais Simon , ce n’était pas mon frère car je suis fils unique.
-ben qui c’était alors ? et toi tu es encore vierge ?
- vierge ... moi .....NON
-dis moi tous , il y a longtemps ?
- ouiii je crois dans la même période que toi ,quand à Damien tu veus savoir qui c’est ?
-oui c ‘est clair je veus savoir qui avec ton oncle m’ont ouvert le cul et fait devenir une vrais pute qui aime le bite.
- je vais te dire.
-je suis tous ouÏ ….
-c ’est Damien ,un soir que mon oncle était absent il m’a dit
- Met le
bandeau
- Pourquoi?
- Fais-le et laisse moi
faire.
- Ok
Je mis le bandeau et m'assit. Il commença a me sucer. Il faisait ça comme un Dieu. Je n'avait jamais reçu une telle pipe. Et Dieu seul
sait le nombre de bouches qui m'ont passé sur la queue depuis. A chaque fois que je sentait le jus arriver il arrêtait tout seul.
Et d'un coup il me leva les jambes et me bouffa littéralement le cul.. C'était bon, Même délicieux.. C'était tellement bon que j'allait juter sans même toucher ma bite. Et Paf d'un coup il
m'enfonce son membre dans mon cul et le pire c'est que ça glisse comme dans du beurre. j'ai même pas eu mal. Il le fait sans capote et j'aime ça, sentir sa bite sans aucune protection. Je
commençais a mouiller du cul tellement j'était excité.
J'adorait. Je hurlait de bonheur et lui me ramonait le cul avec des HAN HAN HAN de vrai mec. ç'etait un homme, un vrai. Et je sentait qu'il allait venir. il voulait se retirer mais je luis dit:
-Reste dedans chéri...
Et il juta, je senti 6 gros jets de foutre qui me giclaient sur les parois interne de mon cul. Et moi je giclait aussi sans même toucher ma bite.
Il me demanda
-que veus tu faire,
- rien répondis-je.
Il me sauta dessus et commença a m'embrasser, je sentait les poils de sa barbe
naissante me caresser le torse, et les tétons. Il me suçait tellement bien j'en pouvait plus. On finit pas se branler tous le deux sur lui. Je giclais sur son torse et lui aussi. Je léchai tout
jusqu’a la dernière goûte et l'embrassai. Je sentait le sperme chaud passer de ma bouche ¡a la sienne. C'était magique. Je lui dit:
- Rebaise moi
- Tu est sur ?
- Oui vas y j'en ai
envie
- C'est parti!
Et nous continuâmes toutes la soirée..
-Oui mais tu m’as pas encore dis qui est Damien
- Damien euh !
-allez accouche …merde
- ok ok ! tu me baises après cette confession ?
-OUIII depuis le temps que je n’attend que ça de ta part
- bon on reboit une bière et je te dis
-putain fais chier allez dis moi
il avala sa bière d’un trait , repris son souffle et dit
- Damien c’est le curé
j’avala ma salive , et ne puis dire mots , Olivier m’embrassait et me dit
- viens chez moi je suis a toi
cette retrouvaille fut torride
aujourd’hui 45 ans après nous retrouvions. le lendemain Julien 88ans , l’oncle de Olivier et a ma grande surprise le curé Damien 81ans.
En moins de deux nous étions a poils tous les quatre ,nos anciens moins actif mais des bites qui sous nos actions buccales reprirent du services , moins rapide sert mais encore puissant et pour nous remercier JULIEN offrit son cul a son neveu et moi ce fut Damien le curé.
Elle est pas belle la vie…..
Voilà plusieurs mois ,lors de mon séjour en Israël , je suis hébergé chez Kobi , un ami trouvé sur le net et qui m’avait invité a visiter son pays que j’adore depuis ma tendre enfance.
Tous les jours, je le vois, tous les jours, je ne peux m'empêcher de regarder à la volette son cul.
Il a un cul comme j'aime, un pas trop rebondi, plat sans trop l'être. Quand il porte une chemisette et un pantalon clair, je fonds…..
Il mesure 1,90m, les cheveux très courts, a 26 ans,. peu poilu à en voir ses avant-bras et l'entre col de sa chemise, musclé mais pas à l'excès.
Il a les joues creusées mais sans plus, porte des lunette, le regard sombre et pas une attitude virile plutôt douce.
A plusieurs reprises, je me suis posé des questions en parlant avec lui. J'avais une impression d'être fixé du regard.
une impression d'être déshabillé du regard.
Lors d'une soirée ,c’est pas encore le plein été, la chaleur pressante, j'avais mis un short et un T-shirt léger, un qui moule chaque bosses du torse, un de ces T-shirt où il vaut mieux être bien foutu…mais c’est plus trop le cas pour moi vu mon physique rondouillard : la soixantaine 1,75m 86kg , les yeux bleus, poilu du torse et des jambes, bien proportionné pour mon age et un cul toujours en chaleur !
Donc je suis arrivé à cette soirée avec une excitation à chercher ce cul que j'adore.
Et je l'ai vu….. J'avais qu'une envie c'était de me mettre à genoux, de baisser son fut et de lui bouffer la rondelle.
On était tout un groupe riant frénétiquement à des conneries, buvant à foison.
.
.
Vers 2 heures, tous les gars étaient imbibés. j'ai dit au patron du bar de l’hôtel
-" pas de problèmes je le ramène. Je suis hébergé chez lui "
-"ça c'est un gars bien" dit Kobi, en se collant littéralement à moi et en posant sa main sur ma
fesse.
La soirée a continué, des chamailleries de gamins dues à la beuverie se sont installées dans le groupe.
Puis la soirée a pris fin vers 4h du matin.
-"
chose promise, chose due, je te ramène mon gars" lui aies-je lancé.
-"Toi t'es un gars vraiment bien" a t-il relancé en m'entourant de ses bras.
-"Holà on se calme, et on monte dans la voiture".
On a dit au revoir aux autres amis.
Dans la voiture, il a continué à me taquiner, posant à plusieurs reprises ses mains sur ma jambe. Feignant de croire qu'il était complètement bourré, je l'ai laissé continuer. Il parlait de tout
et de rien, et d'un coup il a passé son bras autour de mon cou.
Au fond de moi je me disais "
calme toi, calme toi, gardes ta distance, t'as envie de lui bouffer le cul mais lui il le voudra peut être pas."
Puis il m'a dit "je me sens pas bien, je peux dormir avec toi ? "
J'ai dit
OK pas de problèmes. Et ma petite voix me disait " toi tu vas passer à la casserole".
Ayant deux chambres, je l'ai accompagné jusqu'à la chambre d'ami qui m’était réservé, il s'est affalé puis semblait s'endormir. Mon
excitation était énorme mais je me suis résigné (quel con vous vous dites).
Je suis allé prendre une douche, laissant la porte de la salle d'eau ouverte.
Je me passais du produit douche sur tout le corps, m'attardant sur ma queue. Lentement, elle prenait son volume.
-"
t'as pas un aspirine ?"
il était là devant moi à me regarder avec l'attitude d'un mec bourré.
-"
Moi aussi j'adore me palucher sous la douche, dès que t'as fini j'y vais".
Testant le mec, je lance
-"
je risque d'en avoir pour un moment".
-" Et ben on va être deux alors, méfies toi je risque de t'embrocher au passage".
-" Si je passe à la casserole, tu y passes aussi !".
Et là, ma queue a doublé de volume, laissant apparaître les veines saillantes, et le gland rouge.
Il s'est désapé, a enlevé son t-shirt, à baisser son fut. Il avait un boxer, comme je le supposais.
Son corps était bandant à souhait pour moi, pas trop musclé (légères poignées d'amour) et son cul…... Celui dont je rêvais étais devant mes yeux. Sa queue était flémarde. A nous deux, on a des
queues de taille standard 18cm (moyenne nationale les gars ,remettez les pieds sur terre !).
Il a commencé à s'astiquer puis à marché vers moi sous la douche. Je me suis retourné négligemment vers le mur, lui offrant une vue sur mes fesses.
Il n'a pas pu s'empêcher de les tapoter.
Je lui ai rappelé
-"
si je passes à la casserole tu y passes aussi !"
Il a dit
- "
pas de problèmes !"
-"Et bien on commence par toi !"
Je l'ai plaqué contre le mur, il ne s'est pas débattu. J'ai claqué ses fesses, il les a serré, puis il les a relâché.
Je les ai caressé. Il y a un moment où le dérapage vire à une scène de baise. Et là ça venait d'arriver.
J'ai forcé le passage avec ma main, il a relâché son cul. Je l'ai embrassé dans le cou. Il ne m'a pas repoussé. Le signal est lancé !
Je l'ai caressé sur tout le corps m'attardant sur son torse, sur ses tétons, il râlait comme un mâle en rut qu'il était.
Il m'a saisi la tête et m'a roulé une pelle. J'avais dépassé le stade de la surprise j'étais dans celui de l'excitation.
Nos mains étaient posées chacune sur le cul de l'autre. Je sentais malgré ses relent d'alcool, le gars était maître de ses actes.
Il m'a lancé ..
-"
bouffe moi le cul".
Ni une ni deux, j'ai souri et j'ai sorti ma langue. J'ai mordillé sa fesse droite, puis sa fesse gauche.
Comme je l'avais deviné, il était peu poilu. J'ai écarté et sa rondelle était là offerte. Succulente à souhait avec un peu de poil autour.
Je l'ai chatouillé de la langue, j'ai amené doucement un doigt. L'eau de la douche continuait de couler, et lui continuait à pousser des râles de plaisir.
Ma queue était raide, la sienne aussi, je la malaxais avec une main puis revenais sur ses fesses. J'ai commencé à forcer l'entrée. Ce grand gaillard était en train de se faire doigter le cul. Je
suis remonté vers son cou, je l'ai embrassé sur la nuque, en lui glissant à
-"
toi tu vas te faire enculer"
Il a sourit. J'ai tapoté ma queue sur ses fesses, puis je l'ai frotté activement sur sa rondelle. Il m'a lancé
-"
t'as des capotes ?".
-"Oui, reste écarté, je vais en prendre une."
Ma valise proche de la douche contenait ma provision. J'en ai saisi une. Je lui ai demandé de me la dérouler sur la queue. Il m'a embrassé et s'est exécuté. De voir
un gaillard comme ça, viril à souhait, dérouler une capote sur ma queue, m'a fait râler de plaisir.
Il a saisi mes fesses et m'a regardé dans les yeux et dit
-"
après c'est ton tour ! "
Ma sève était prête à monter. Il a fallu que je me calme. J'ai recommencé mes caresses sur son corps, j'ai malaxé ses couilles magnifiques et lourdes. J'ai coupé l'eau de la douche.
Ma queue était droite, mais il fallait que je la calme, au risque de balancer la purée trop vite. Je me suis baissé devant lui, je le regardais dans les yeux.
J'ai ouvert en grand la bouche et j'ai avalé sa queue. Il a poussé un ha de bonheur. De ma main gauche, je continuais de m'astiquer doucement.
J'ai joué avec sa queue. J'ai sorti ma langue. Il m'a dit
-"
arrête t'es trop bon".
Mon ardeur s'étant tempérée. je l'ai regardé dans les yeux et lui ai à nouveau dit
-"
ben je vais te bourrer le cul alors !"
-"J'attends que ça" m'a t-il dit.
-" ma salooope" lui aies je dit gentiment,
il m'a sourit et m'a à nouveau rouler une pelle.
Il a posé ses deux mains sur le mur, a cambré ses reins. Ma queue toujours raide dans son emballage a à nouveau frotté ses fesses.
Puis j'ai rentré un doigt, puis deux, faisant des va-et-vient, Kobi avait l'air d'apprécier. J'ai approché mon gland doucement et je suis rentré au fur et à mesure. Il s'est cambré, m'a saisi le
cou, on s'est embrassé. J'ai commencé à le labourer, je sortais ma queue à la limite puis la rentrait à nouveau A chaque mouvement, il criait
-"
t'arrête pas !".
Je claquait ses fesses, mes couilles tapaient sur sa peau. Il me regardait dans les yeux
-"
t'es un sacré baiseur toi !"
-" Je vais te gicler sur le visage, t'as intérêt à ouvrir la bouche !".
J'ai sorti ma queue, enlevé la capote, je me branlais doucement tout en lui disant
-"
viens chercher mon jus !"
Il me regardait droit dans les yeux
-"
envoies Mec, je suis prêt à tout pomper!"
Debout devant lui, j'astiquais ma queue, pendant que le petit pervers glissait un doigt dans ma raie. Et brutalement
, rentra un doigt.
J'eus un cri de surprise. Il faisait des va et vient avec son doigt et gardait la bouche ouverte devant ma queue.
Et comme une délivrance, j'ai giclé, des secondes de bonheur qui semblaient des heures. J'en ai foutu partout sur son front, sa bouche, dans sa bouche, Il a ouvert les yeux et a dit
-"
faut que tu m'embrasses maintenant."
-"Toi, tu veux que j'avale mon jus !"
-"Ouais et après ça sera le mien."
On a joué avec nos langues, on a échangé mon sperme d'une bouche à l'autre.
Puis il m'a dit
- "
maintenant c'est à toi d'être ma salope !".
-
j’ y compte bien….
Après une soirée bien arrosée, une douche bien foutreuse, et surtout après l'avoir ramoné, il me reglissa dans l'oreille -"
maintenant c'est à toi d'être ma salope !je vais essayer d’être a la hauteur".
Ayant encore en bouche le goût de ma semence, je le regardais dans les yeux et lui décocha un sourire accompagné d'un
-"
méfies toi c'est pas une autoroute!".
Effectivement, je suis plus actif que passif. Je peux les compter sur une main, les mecs qui m'ont buriné la rondelle. Et j'en garde vraiment de bon souvenir.
-"Je vais y aller en douceur, depuis le temps que j'ai envie de le prendre !"
Appuyé contre le mur de la salle d'eau, le cul cambré en arrière, je me résignais à me faire ramoner.
Il s'accroupit devant mes fesses, les saisit à pleines mains, les malaxant, les mordant !
Il les écarta et commençant à faire courir un doigt le long de mon trou.
Il cracha dessus puis étala sa salive en rentrant doucement un doigt.
je m'efforçais de me décontracter, de souffler.
Il joua avec son doigt et ma rondelle, il y joigna un deuxième doigt, tout en douceur.
Les tourna dans mon trou qui commençait à s'offrir timidement.
Il se releva, m'embrassa dans le cou,
-"
ça va bébé ?" me dit-il.
J'acquiesçais d'un râle langoureux.
Il demanda
-"
elles sont où tes capotes ?"
-"dans la pochette de la valise."
Il en prit une, Il tapa sur ma fesse gauche.
Là les gars, ça commençais à m'exciter grave.
D'un coup, j'avais envie de lui, de le sentir me bourrer le cul.
Il déroula la capote sur sa queue, je le regardais d'un air approbateur.
Il me souriait
-"
tu vas adorer, j'chte le dis !".
Il tapa sa queue contre mes fesses, puis commença à faire des va et vient.
-"Vas y serre les fesses sur ma queue !"
Il continuait ses va-et-vient. Puis son gland vient se frotter sur ma rondelle.
ça m'excitait grave .Il commença à forcer le passage, je soupirait, je soufflais.
-"vas y bébé, souffle" me dit-il.
ça y est sa queue, était rentrée. Je la sentais, celle que je désirai tant !
Il commença doucement à m'enculer.
Il accélérait tout doucement, et là j'ai commencé à apprécier.
Ma prostate je la découvrais, et non de dieu, que c’est bon j'adorais !
C'est une sensation comme des fourmis qui envahi tout mon corps. Je ferme les yeux, je les ouvre. Je râle de bonheur.
Il a compris que j'étais en train de prendre mon pied. Son mouvement se fit plus pressant, plus rapide.
ça chauffait.
-"
Ma salope a l'air d'apprécier ?!"
Je le regardais en souriant en tentant de dire un "oui" approbateur.
Il m'embrassa à nouveau dans le cou.
La chaleur dans mon cul était là. Ma queue mi-molle s'était durcie.
Il me l'a pris d'une main et commença à me branler.
Je pensais que mes couilles étaient vides après avoir décharger tout à l'heure.
Mais j'ai pas mis longtemps.
-"je vais jouir à nouveau, putain!"
Il me dit
"
Monsieur a encore les couilles pleines ? , j’en reviens pas…."
Il ralenti son mouvement dans mon cul, tortilla sa queue dans ma rondelle.
Mon yop gicla à nouveau. Des étoiles apparaissaient dans mes yeux, un spasme énorme dans le tout le corps.
Il sorti sa queue, me retourna, m'embrassa.
J'étais ailleurs dans un autre monde, il baissa ma tête, entra ma bouche ou sa purée giclait comme un torrent
Il avait pas du se vider depuis un moment.
Je ne pu avaler tous , le surplus de son jus dégoulinait sur ma barbe.
Il se baissa, et se mit à me téter.
Ma queue mi-molle n'en pouvait plus, j'en pouvais plus.
Il continua, mon cœur battait super fort.
Il dit en me regardant
-"
tu vas l'avoir ta troisième giclée".
Je lui dis d'arrêter sans trop y croire.
Il me branla énergiquement, j'avais mal, mon corps ne répondait plus, ma queue chauffait.
Il m'astiquait le manche, l'orgasme, le troisième arriva, celui sans jus ou presque celui qui nous fait basculer dans l'abandon total.
Il se releva, m'enlaça. Je le regardais droit dans les yeux, sans aucun mot, je pouvais plus rien dire, j'étais K-O.
On a fini la nuit l'un sur l'autre.
au petit matin Mon ami Kobi est en train de dormir dans mon lit. Je le regarde, le soleil commence a éclairer son corps dépassant des draps
Quand il a ouvert les yeux, il m'a demandé de le prendre sans capote Je me suis exécuté et j'ai trouvé de quoi gicler dans ses entrailles .
Tous les nuits suivantes durant mon séjour, on a remis ça à plusieurs reprises. On se baise comme des lapins...
Simon
histoire raconté par Jérémy, le petit frère de Max ,mon amant
Avec mon grand frère
Max, on est très libre. Ou plutôt, c’est lui qui est libre. Il se ballade souvent à poil à la maison, en l'absence de nos parents.
C’est dire que je connais vaguement son anatomie, je dis vaguement, car je n’ai jamais voulu jusqu’ici faire le voyeur et surtout, parce que si Max, à vingt ans passés, est encore puceau (je
le crois mais pas sur), il se dit homo, moi, en revanche, malgré mes dix-huit ans, je n’ai jamais encore franchi le pas, ni avec les filles, ni avec les garçons, et j’ai l’impression
que cela se lit sur mon visage et sur mon corps tout entier….
C’est pas l’envie de faire l’amour qui me tiraille pourtant. Je suis attiré par les deux sexes et qui sait..... avec lequel des deux, je perdrais mon pucelage… Max est exibitionniste aussi. Enfin, je le pense, je l’ai surpris plusieurs fois en train de se masturber dans notre chambre, et à priori, ma présence ne le dérangea pas.
Un après-midi de mai où nous étions seuls tous les deux à la maison, il a commencé à me chambrer méchamment.
- Alors Jérémy, toujours puceau ?
Il savait très bien que ce n’était pas un thème pour moi, plaisant à aborder.
- Et alors, en quoi ça te regarde ?
- T’as pas envie d’arrêter la branlette solo et connaître l’extase dans les bras d’une fille ?
Je ne répondis
pas et haussais les épaules.
- Tu ne veux pas me répondre… Peut-être que tu n’aimes pas les filles, alors ?
Je rougis à cette attaque, car je n’ai avoué à personne mes penchants bi et c’est vrai qu’actuellement, je mate surtout les histoires gays sur internet.
_ Y a pas de honte à aimer les mecs, tu sais… A moi, tu peux le dire...
A peine, avait-t-il terminé de lancer sa phrase assassine qui finit par me déstabiliser du regard, ensuite Max commença à se déshabiller.
- Tu fais quoi, là ? demandais-je.
- Et ben quoi, je me déshabille, je vais prendre une douche. Ca te gêne ?
J’étais troublé à vrai dire, et ça se voyait . Mon frère Max le ressentait sûrement, ce qui activa ma sensation de malaise et accéléra encore plus les battements de mon cœur. Je m’assis sur
mon lit en face du sien, frissonnant de désir, et je le regardais retirer un à un ses vêtements.
Max, joueur, se déshabilla tout en sensualité. Son torse , à peine voilé par une toison brune, m’apparut dans toute sa virilité. Puis, il retira son short, laissant apparaître un boxer qui
moulait un sexe en repos. Il était mou mais déjà de bonne taille et ses lourdes couilles formaient un bon paquet.
Je commençais doucement à bander dans mon short, mais il était tellement large qu’il ne dévoilait rien de ma soudaine raideur. Ce ne fut pas l’avis de mon frère Max qui me mit la main
au panier. Il agrippa mon sexe à travers mes vêtements et fit mine de me branler. Il n’eut aucun mal à constater mon érection.
- Tu vois, frérot, je te fais bander… T’es attiré par le corps des mecs, hein ? Allez, avoue-le et je te promets une petite
gâterie…
J’étais anéanti que mon frère se permette ainsi de me toucher, en affirmant des choses aussi crues et vraies par-dessus le marché…
-Non, non, répondis-je, simplement envie d’aller pisser.
- Viens frérot et touche, tu en as tellement envie.
Max approcha ma main de son boxer et l’appliqua contre son sexe encore protégé.
- Oublie que je suis ton frère… Imagine que tu caresses un beau mec tout simplement… Ca te fait quoi ?
Je sentis une queue toute douce, qui commençait à frémir. Lui aussi était en train de bander. Il retira alors son boxer en me fixant droit dans les yeux, et je vis sa queue se redresser presque à l’horizontal.
Qu’est-ce qu’il était bien monté mon frère… Sa bite poilue était épaisse, tout autant que ses deux grosses couilles velues qui pendaient librement.
Je ne pus m’empêcher de comparer mes parties intimes aux siennes. Rien à voir avec ma bite dans sa touffe de poils roux, plus courte et plus effilée que la sienne. Quant à mes couilles imberbes, elles ressemblent plus à des noyaux d’olive qu’à ses deux pruneaux charnus super bien dessinés. Ils doivent en donner du jus !......
Max s’amusa de me voir le mater. Il me sourit, m’effleura avec sa bite et retira de façon énergique mon short en même temps que mon slip. J’étais désormais à poil devant lui, la queue en
erection, ne sachant que faire et que dire...
- Allez Jérémy, goute-moi ça et dis-moi ce que tu en penses, m’ordonna-t-il en me forçant à m’accroupir devant sa bite.
Je ne me fis pas prier, bien que jamais auparavant j’avais fait ça, sucer un mec, mon frère, en plus…
- Comment ? Comment on fait… Max se moqua.
- Décalotte mon gland, fais-le coulisser avec tes doigts, il adore ça mon gland…Voilà, c’est bien… Ouvre ta bouche maintenant et fais
rentrer doucement, progressivement ma queue dans ta gorge.
Je pris la bite de mon frère en pleine main et la porta à mes lèvres. Je succombais de désir. Je fis des va et vient avec la hampe de son sexe, et il commença à gémir de plaisir. Sa bite avait un goût fade et j’eus plusieurs fois la nausée, tant elle était volumineuse à s’activer dans ma petite gueule étroite.
- Tu me laisses caresser tes couilles ? lui demandais-je alors sans pudeur, ça fait si longtemps que j’en ai envie....
- Elles te plaisent tant, s’amusa –t-il ?
Je passais ma main sur ses grosses couilles soyeuses, je les caressais délicatement, dessous, dessus, je suivais avec mes doigts, leur formes pulpeuses et charnues. Elles m’affolaient de tant
d’harmonie.
- Assez, maintenant, ordonna-t-il. On va baiser comme deux pédés. Tu veux toujours savoir
comment on fait, non ?
Il m’allongea alors sur son lit. Je le laissais faire. Couché sur le dos, j’écartais instinctivement les cuisses alors qu’il s’approchait de moi, les genoux en avant, la queue plaquée sur son
nombril. Il allongea son corps viril sur le mien et commença à se branler sur moi. On se frotta ainsi de longs moments dans des râles bruyants en rien simulés.
- A toi maintenant de t’allonger sur moi, me demanda-t-il, et frotte bien ta queue contre la mienne.
Je saisis nos deux bites dans ma main et les serrer l’une contre l’autre , il me fit comprendre qu’on ne jouait pas dans la même cour… Par rapport à la sienne, j’avais l’impression d’avoir une bite de gamin avant sa puberté… Je m’allongeais sur son ventre en plaçant ma queue raide sur la sienne gorgée de sang et on s’est encore frotté ainsi de longues minutes. Je sentais mon jus prêt à gicler à tout moment. Je criais mon plaisir à chaque coup de rein sur son bas ventre.
- C’est trop bon, Max, je vais jouir… Attends, j’en peux plus !
- Non, jute
pas encore, j’ai pas fini, frérot !
Max se redressa un moment et se pencha sur mon sexe. Il l’enfourna dans sa bouche et l’enroba de nombreux coups de langues doux et humides. C’est pas possible que mon frère que je
croyais hétéro puisse donner autant de plaisir à un mec… J’étais ivre de bonheur, jamais ressenti une telle volupté…
- Retourne-toi maintenant, je vais te sodomiser. Comme ça, t’auras la totale…
- quoi tu vas me dépuceler?.....oh! mais ça vas pas la tête...... j ' y crois pas..... toi .....me niquer.........?
-N’aie pas peur et détend-toi…
J’étais effrayé. Comment une grosse bite comme la sienne pourrait rentrer dans mes entrailles sans que je hurle de douleur ?
- Il faut mettre un préservatif, non ? lui répondis-je, espérant ainsi le faire renoncer.
Il ricana, son désir était trop fort.
- Tu veux pas non plus que je te nettoie le cul, des fois ? On n’a pas besoin de capote. De toute façon, je suis ton premier mec, et
j’ai trop envie d’essayer. alors… Tu vas passer à la casserole… Je vais t’enculer au sens propre du terme…
- Non Max, pas ça, s’il te plaît ! mais j'en crevais d'essayer
Mais mon frère, ne m’écoutait plus. Il me mit accroupi sur
le bord du lit, se serra contre mes reins, et commença à enfoncer sa grosse queue dans mon anus. Mais rien ne passa. J’étais toujours sur les genoux, la tête baissée sur le couvre-lit. Il me
cracha alors des giclées de salive dans ma raie et me passa un doigt mouillé bien profond dans le cul. Cette intrusion me fit hurler, même si je n’avais pas si mal que ça.
- Détend-toi, je te dis, ou bien tu vas avoir mal !
Mon frère recommença plusieurs fois ses intrusions mouillées et finalement, son doigt coulissa plus facilement dans mon cul. J’en ressentais presque du plaisir.
-T’es prêt, frérot ? C’est ma bite qui va te défoncer maintenant.
-tu me feras pas mal....
- Sens-la comme elle est grosse et dure…
Je fermai les yeux, en pensant à son engin qui allait bientôt me déflorer le derrière. J’allais me faire dépuceler par mon frère. Finalement, c’est pas plus mal… D’autant qu’il a le gland effilé, ça passera mieux, me dis-je confiant. Mais ses tentatives infructueuses me firent mal et, afin d’abréger mon calvaire, je décidais de l’aider. Je pris sa queue et l’aidais à me pénétrer.
Ses premiers coups de rein ne me produisirent aucun plaisir, mais lorsque tout son sexe était enfin dans moi, alors je me détendis, et je pris mon pied. L’idée même que c’est mon frère Max qui enfilait son gros sexe dans le cul renforça mon plaisir.
Max faisait de savants va et vient, en modulant le rythme de ses assauts en fonction de son plaisir. Il rentrait sa queue, puis la sortait à moitié, pour m’enculer au plus profond. Je tournais parfois la tête pour le regarder. Mais à chaque fois, m’agrippant par les cheveux, il rabattait énergiquement ma tête sur le lit. Ses couilles épaisses frappaient l’entrée de mon cul, à un rythme de plus en plus soutenue. J’étais balloté, secoué comme une petite chose sans défense, il me força à cabrer plus encore les reins et me claqua les fesses sans ménagement. La pénétration me sembla durer une éternité. Puis mon frère finit par hurler son bonheur en déchargeant tout son foutre dans mes entrailles.
Cet enculeur de Max n’en pouvait plus, il posa son front mouillé de sueur sur mes cheveux et je sentis son souffle chaud haleté sur mes épaules. Il se retira lentement, progressivement de
mon cul, la bite appaisée.
- Suis désolé frérot, je peux pas te faire jouir. Suis crevé, j’ai tout donné.
- C’est pas grave, je suis super heureux comme ça, lui rétorquais-je, alors que mon sexe, depuis longtemps recroquevillé sur lui-même,
pendait sur mes couilles encore pleines.
- Pas un mot aux parents, bien sûr !
- C’est sûr, grand, juré, craché ! Mais…
Tu es aussi bon avec tes copines, qu’avec moi ?
Jonathan sourit.
- Tu sais, c’est plus facile de satisfaire un mec qu’une femme. Mais quelle jouissance dans les deux cas !
-
Mais, je suis ton premier mec, non ?
- NON ..
- Quoi tu as déja baiser un mec?
-A part, quelques touches pipi avec des copains au stade, oui, on peut dire ça…
-tu me cache quelque chose?
-je sais pas si j'ai le droit de te le dire....mais oui j'ai déja baiser avec un mec..
-je connais? ....dis-moi Max......
-c clair que tu le connais...
-aller dis moi , fait pas chier ....je le répèterai pas....promis,
- Promis , saincère......
-oui juré
-c'est pépère.....
-Pépère Simon.......tu as niquer pépère ?.....
-oui frérot et pas qu'une fois , crois moi il adore , une vrais salope.....
On en parla ensemble longtemps, un bon quart d’heure, et comme on ne s’était jamais encore parlé auparavant. Nous n’avions plus de secret l’un pour l’autre désormais, nous étant mutuellement
offert l’essentiel, notre intimité.
J’avais remis mon slip et Max était aller prendre une douche, lorsque je sentis ruisseler de mon anus, un long filet chaud et humide. Je fus d’abord intrigué, puis je pensais qu’il
s’agissait forcément du sperme que mon frère venait de m’offrir. . Son sperme n’en finissait pas de se déverser dans mon slip. J’avais le cul moite et mouillé.
Je lui en fis part en me mettant un doigt au cul pour vérifier
- Putain, c’est vrai, t’en as déchargé du sperme, tes couilles se sont complètement vidées, je comprends pourquoi t’es si crevé…
- Montre ! me fit-il.
Je me remis à poil et lui tendis mon slip souillé.
- Ouah, les tâches… Suis fort, quand même ! Vas laver ton slip, sinon notre mère va se douter de
quelque chose… C’est plutôt rare d’éjaculer du cul, non ?
- T’as raison, Max … Et ma bite aimerait bien juter aussi… Allez, fais-moi
une gâterie !
M’étant remis à poil devant mon frère, ma queue, impudique reprit en effet de la vigueur et j’avais envie de jouir, moi aussi.
- Ca peut jouir une petite queue comme la tienne ? plaisanta-t-il.
- Allez, sois sympa, caresse-la et suce-moi, implorais-je alors, ma bite au summum de son érection, le gland épanoui. C’était trop bien tout à l’heure…
Max ne se fit plus prier. Il saisit mon sexe, l’humidifia de salive et me branla d’un mouvement circulaire en insistant sur le bout de mon gland. C’était grandiose.
- C’est comme ça que je fais quand je me branle… m’avoua-t-il.
Je râlais de plaisir, et bien vite, trop vite, j’éjaculais sur le visage de mon frère qui s’était accroupi pour mieux me caresser. Il a eu droit à quatre ou cinq décharges de foutre. Certaines
lui coulaient sur les lèvres. J’ai adoré le voir pourlécher mon jus et le mettre à sa bouche.
- Trop bien, Max, trop bien !
Mon frère me sourit, il se releva, posa un baiser chaste sur mon front et alla reprendre sa douche.
Depuis on n’a jamais remis ça, Max et moi, mais désormais, je ne fais plus de complexe et je passe du bon temps dans les saunas gay de ma ville.
Je baise et je me fais baiser.
Je suis décomplexé...................... je vous dis, décomplexé…
Ce W.E de mai, j’étais excité comme une chienne en chaleur, et lorsque je suis dans cet état je ferais n’importe quoi pour avoir de la bite,
Sur le net je contacte Julien un mec de tous juste 18ans qui recherchais une salope à exhiber et à baiser. Nous avions déjà discuté de nos envie à plusieurs reprise ,mes 65 ans jusqu'à ce jour
semblait être un obstacle mais ce jour il me demande mon NO de plaque d’immatriculation et me donne RDV sur un lieu précis.
–Simon , tu m’attends complètement à poil dans ta voiture, tu gardes simplement tes basket aux pieds, je te ferais 3 appels de phare
lorsque j’arriverais, comme ça tu sauras que c’est moi.
- Ok ça marche Julien… à tout à l’heure…
Il est 13h30, il fait
soleil mais pas très chaud , j’arrive à l’endroit indiqué, c’est un espèce de parc bordé d’une forêt, il y a déjà 2 voitures de stationné et des mecs derrière leur volant.
Je me gare quelques mètres derrière eux coté forêt et je me des sape comme convenu. L’excitation est si grande que je bande d’attendre ainsi à poil.
5 MN s’écoule et une voiture coupé rouge vif arrive ,passe et fait demi-tour en bout de parking , se gare face à moi, puis 3 appels de phares me flache, c’est lui… il descend de voiture et se
dirige vers moi. On échange des " salut " il me demande de descendre et de lui donner mes clés.
Je me retrouve à poil devant lui et les autres mecs qui attendent dans leur voiture doivent bien mater, de son sac à dos il sort un collier et une laisse qu’il me place autour du cou puis une
paire de menotte et m’attache les poignées derrière le dos.
- Bon… maintenant que tu es prêt on va aller se promener un peu…
Il prend la laisse en main , le suivant on passe prés des 2 voitures et on s’enfonce dans le bois. Apres quelque mètre il me demande de m’assoire sur un tronc d’arbre et descend sa braguette. Sa
bite est en semis érection recouvert d’un beau prépuce.
- Aller ouvre la bouche…
J’ouvre la bouche et y enfonce sa queue dedans, de ses mains il me tient la tête et commence
des va et viens, sa bite gonfle dans ma bouche et il me baise la gueule comme ça.
- Hummm… c’est bon… ça va tu suce pas mal…
Puis au bout d’une 10ene de MN.
- Met toi à genoux et penche toi sur le tronc, je vais te prendre le cul…
Il m’enduit alors le cul de gel et m’ouvre
un peu le fion avec ses doigts.
- Putain !... apparemment t’as l’habitude des bites toi… ta la chatte bien large…
Il retire ses doigts puis y introduit sa bite que je sens glisser lentement dans mon trou, une fois bien à fond il me baise comme une chienne.
- Alors ? t’aime ça ?
- Oui…ouiii …. hummm…continu…ouiiii…
encule moi bien à fond…
Je joue la salope en couinant comme une petite femelle.
- Oui… oui… vas-y… elle est bonne ta bite… prend bien ton pied Julien…défonce moi la chatte…
- T’inquiète… j’vais te baiser comme une salope Simon…
Il m’a enculer ainsi pendant un bon ¼ d’heure avant de s’y
vider les couilles.
- Ouah… putain ! c’étais bon…t’es une bonne chienne toi… aller viens on va
faire un petit tour maintenant.
Il m’aide à me relever, reprend la laisse et me ballade dans le bois, je sens son sperme , qui s’échappe de mon cul , couler entre mes cuisses en
marchant. Sur le chemin on distingue une silhouette qui vient vers nous, sans doute l’un des mecs qui est sorti de sa voiture et il me dit :
- Attends-moi là…
Il attache alors la laisse à un jeune arbre et part à sa rencontre, il discute un peu avec le mec, se retournant de temps en temps vers moi en me montrant du doigt, il revient me chercher me
tirant par la laisse. Arrivé à la hauteur du mec il m’ordonne :
- A genoux esclave…
Je m’exécute… le mec descend son pantalon et baisse son slip me sortant sa bite
de toute petite taille (a peine 14/3) déjà toute raide et humide qui me présente sous le nez.
- Aller… suce vieille salope…
J’ouvre alors ma bouche et exécute l’ordre donner, pendant que je pompe un autre mec viens nous rejoindre.
- Salut les mecs… je peu me joindre à vous ?
- Bien sur mec… vas-y… mon esclave est là pour ça…
Le mec ne se fait pas prié et sort sa queue., pas énorme non plus , mais beaucoup plus longue .
Je m’alterne alors sur ces 2 bites qui me sont offert en les pompant tour à tour.
- Putain ! en effet… c’est un bon pompeur de zob… et on peu l’enculer aussi
? dit le second
- Oui, oui bien sur…
Alors, un des mecs (le 1er)s’assoie par terre et me dirige la tête sur sa queue que je reprends en bouche.
Pendant ce temps l’autre se place derrière moi et m’encule direct. Pris en sandwich, une bite dans la bouche et une autre dans le cul je me fais baiser comme une petite chienne.
- Haaaaaa !!! ouai… t’es un bon bouffeur de zob toi… c’est bon…me maintenant la tête pour me faire des gorges
profondes..
- Elle a un bon cul aussi…mes 19cm sont rentré comme dans du beurre ….. putain quelle salope !!!
Les mecs se
déchaînent sur mes 2 trous, je ne me sens plus qu’une petite pute entre leurs mains et leurs bites mini taille, j’adore me faire insulté lorsqu’on me baise ça me rend plus chienne et je tends ma
croupe de salope encore plus dans ces moments.
Le mec qui m’encule se décharge dans mon cul, il reste au fond pour m’envoyé ses giclés de sperme pour bien me remplir, je sers les fesses pour lui faire comprendre que j’ai envie qu’il reste
dans mon cul pendant que je continu a sucer l’autre.
- Putain !!! t’en a encore envie salope…
Je sens la bite qui est dans ma bouche se raidir de plus en plus, elle va
bientôt cracher son jus, le mec me bloque la tête et m’envois toute sa purée, le foutre me remplis la bouche, j’essaye de tout avalé mais il y en a de trop, le mec me relève la tête et regarde sa
semence coulé le long de mes lèvres sur ma barbe.
- Putain ! c’est vrais… t’es une sacré salope toi…
La bite dans mon cul à débander, le mec se retire et écarte bien
mon cul pour voir coulé tous le foutre qu’il ma donné. Les mecs se rhabillent et s’en vont lâchant un…
- Merci les mecs c’étais super…
Julien mon dominateur du moment a l’air d’être content, je commence
à me relever mais il me dit :
- Non, non reste à genoux… c’est vrais t’as été une bonne petite salope…ça te dirais de devenir ma petite pute ?
-
Oui j’aimerais assez oui…
- Dans ce cas je vais faire de toi la reine des vieilles salopes et crois moi tu va en bouffer de la bite, si t’es ok je peu te
dresser en bonne vieille pute et un bon trou a zob, ça te tente ?
–Oh ! que Oui ça me tente bien… j’ai bien envie d’être le meilleur
consommateur de bite de la Lorraine…
- Ok ça marche et comme ça m’a excité de te voir te faire baiser tu vas encore me revider les burnes, aller… ton éducation commence
maintenant… ouvre ta gueule de bâtard…
Il descend alors son pantalon et m’enfourne sa queue dans la bouche, je le pompe goulûment et se fini en se branlant, j’ai du foutre plein la figure qu’il étale partout avec sa bite. Il me relève
et revenons à la voiture, il n’y avait plus de voiture de garée ,il m’enlève le collier, me détache les mains et m’ordonne de me mettre à 4 pattes en écartant bien les cuisses.
Quand surgit de derrière le buisson un mec complètement a poil ,la tête couverte uniquement d’un casque moto , un corps jeune , imberbe , mais une superbe bite raide et de beau gabarit
-je vous suis depuis un moment , vous m’avez chauffé a bloc je peu en profité aussi de votre esclave?
-tu veus faire quoi ? répondit Julien
-baiser , j’ai jamais fait , je voudrais être dépuceler
-ça serait ton premier cul ?
-oui monsieur et en plus c’est mon anniversaire
-ton anni…. T’as quel age ?
-17…monsieur SVP j’ai envie…
je répondis à la place de Julien
-pas de soucis petit mon cul est a toi , une de plus ça peut que me faire du bien surtout que tu es bien monté
-alors nique le ….dit Julien
La jeune bite dure comme du bois entra en moi ,en douceur comme un pro ,ces mains sur mes épaules pour me défoncer fond , je sentais ses couilles taper mes fesses a chaque va et vient
-vas y petit donne lui tous dit Julien
-oui oui putain c’est extra vas y donne moi ton savoir faire… dis-je
le jeune homme m’enculait a rythme régulier en gémissant comme un cerf en rut
-
le jeune allais jouir , je le sentais venir , il se retira , mais Julien lui claqua les fesses vachement fort que la bite rentra brusquement pour inonder mes entrailles en s’effondrant sur mon dos
je serai mon cul pour garder en moi ce bois vert juteux jusqu'à ce qu’il ressortit de lui même.
-alors jeune homme satisfait ?
-je n’en crois pas mes yeux , quel bonheur ça procure
-tu es un vrais homme maintenant ajouta Julien
-merci grâce a vous
-tu peu venir me baiser quand tu veus , j’ai aimé ta prestation dis-je
-j’ y manquerai pas je sais ou vous trouver je vous connais bien….
-Tu me connais ?…qui tu es ?….t’inquiète ça sera notre secret…..
-ok je suis le petit Vincent…. votre voisin…. Depuis le temps que je vous observe …..j’ai enfin réussi mon rêve.
-je sais je t’avais remarqué faire ta surveillance avec tes jumelles quand je suis a poils dans mon espace vert et je me disais souvent " ce ptit con je me le ferais bien "
Julien ajouta comme un peu jaloux
-bon ça va ….c’ est fait alors casse toi
Et là Julien me caresse les couilles et la bite par derrière en me doigtant le cul imbibé de sperme ,ça me fait bander et il me branle dans cette position, il est en train de me traire comme une
vache, il ne tarde pas longtemps à me faire jouir et j’éjacule de bonne giclé de foutre par terre.
Il me rend mes clés de voiture et me donne son adresse mail.
- Ok… on va en resté là pour ce dimanche…par contre tu va rentrée chez toi sans t’essuyer ta gueule de petite pute, je veux que tu
reste avec mon foutre sur toi, dès que tu es rentrée tu branche ta web-cam et tu me contacte.
- Ok…
- Autre chose… à partir de maintenant lorsque tu rentre chez toi tu dois être constamment à poil… une salope na pas le droit de porter de vêtements,
donc… lorsque tu va me contacté tout à l’heure je veux te voir à poil devant ta web-cam compris ?
- Ok j’ai compris… (
c’est toujours a poil que je suis a la maison donc pas de difficulté)
- Aller… bye et à tout…
- Au revoir…
Je suis rentrée chez moi et me suis foutu direct à poil, j’ai branché ma web-cam et l’ai contacté, il a pu constater que j’avais bien respecté ses ordres. On a un peu dialogué ensemble encore un
petit moment en m’expliquant ce qu’il attendait de moi………
Mais ça sera une autre histoire
A suivre
- whaaaaaaaaa , une journée bien chargé ....
- voilà pourquoi, mais, rhabille toi ont va dans une pizzeria
-Suce moi devant le vendeur
lequel nous rejoint et se fait sucer aussi. Et va se vider dans ma bouche ,une fois le matos ranger et le plug bien a fond dans mon cul , Farid etait sur le point payer quand le vendeur lui dit
-non c'est gratos et a+
- je vois que t'aime aussi te faire
enculer, ton pote ta sauté et rempli ?
- oui
- t'est une bonne lope toi, tu suce et avale souvent dans un resto ?
- non
-tkt ton pote doit la manger
sinon tu peux l'emporter
- peu pas l'emporter...
- pourquoi ?
- je me fais niquer pour
Pâques
- eh bin t'est une sacré pute toi, combien de bites tu va te prendre ?
– je sais pas connais pas le programme...
- ouah ta pas envie de devenir ma pute a moi ? !
- non
désoler j'ai aimé ce que tu ma fait merci mais je dois y aller désoler et bonne soirée
- pas grave et si ta envie que je te saute encore vient me voir ici
- ok MEC
- Djamel tu me la vends combien? dit le jeune black
-elle n'est pas a vendre mais si tu veus la louer ça sera 200€ la journée ou 20€ l'heure
-ça vas pas la tête je veus ma part aussi dis-je
-ta gueule pute tu veus de la bite , on t'en donne , du veus du jus , on t'en donne et tu veus du fric en plus?....
-normal non tu travailles pour rien toi?
- moi je t'offre le double dis le black mais a une condition
-ah ! oui la quelle?
-que tu sois a moi et rien qu'a moi
-sais pas faut que je refléchisse........
-pas trop longtemps mon offre n'est valable que j'usqu'au 1er mai
-je peus faire une proposition?
-oui et c'est quoi?
-heuu..voila ...MOI je vous veus tous , donc Djamel,Ahmed ,Farid vos bites sont de même gabarit 18/4 et toi mon beau apollon NOIR avec ta bite de cheval 25/7
-la pute tu veus envenir ou? disent-ils en coeur
-au juste prix voici les tarifs que je propose
sailli à volonté avec du 18/4 = 15€ l'heure ou 10€ la baise
sailli à volonté avec du 25/7 = 40€ l'heure ou 20€ la baise
-ça vas pas la tête vieille salope dit Djamel trop chère
-pour nous ça convient dit Ahmed et Farid
-moi dit le bleack je suis partant 40€ l'heure ça me vas
-OK mec et vous mes lascars?
-ok aussi dit Ahmed et Farid pour 15€ l'heure
-Djamel ajoute je suis aussi.
-bien les garçons , je serai votre pute et payable d"avance ,et comme vous me donnez beaucoup de plaisir vous aurez droit a 1 heure gratuite toute les 10 heures.
-c'est trés bien disent -ils tous.
-ça vous plait alors je serai a vous tous les 1er du mois
-- whéééééé lançairent-ils tous en coeur
-allez pour vous montrer ma bonne fois je vous offre la 1ère heure gratuite
en l'espace d'une seconde j'étais empalé par le black et ma bouche acceuillait le nectar de mes trois lascars
Plus j'avance en age , plus je deviens salope , de la bite il m'en faut toujours plus eh oui la preuve.....
-Que veus tu ?
- la même chose que toi ?
- a savoir ?
- plan cul, si ça te dit
– bennn tu es libre ?
-de suite , pas de problème mec, mes couilles seront plus que pleine
pour ta petite gueule de vieille salope
- heu..
- fait pas l'innocent tu crois que je ne t’ai pas vu maté et de reluquer le dvd " défonce moi minet " , ça te fait kiffer, hein ???
- oui j'aime
- t'est une bonne salope alors ?
– benn oui
-regard moi ça , mais tu bandes salope
– ouais…
-ta envie là viens avec moi ont va te satisfaire
- ok mais
après vous me ramenez au parking de la République
- pas de problème
- ton pote aussi
-Djamel il n’attend que ça
-OK vous 2 baisez moi , remplissez moi
-hummmmm....putain tu va t'en prendre jusqu'a ce que tu dise stop ou que ton cul a eu sa dose de bon yop
-fou toi a poil putain on veut voir ton matos
ce que je fis de suite, je laissais que mon jock, il voulait que je l'enlève, mais, quand il me tourna il vit que mon cul était a l'air alors il me le laissa
.
putain t'est bien ouverte tu dois te faire enculer tout
les jours grand père ..hein sac a foutre ?
- oui
- continue de pomper la belle queue de Djamel elle est
pleine de foutre qui n'attende que de te remplir ton cul de putain
- hummmmm... ouiiii je veux
- benn tien voilà du jeune bois
- du bois de quelle age ?
- 23 et toi vieille salope ?
- calcule gamin 2 fois et demis de plus….
sur cette phrase chauffeur m'encula direct sans capote, il estime qu'une pute n'a pas besoin de capote surtout quand celle-ci avale le foutre dans sa bouche de putain. je gémissais en suçant sa queue mais, quand je me pris celle du chauffeur dans le cul c'était trop bon je gémissais encore plus.
- Farid dit Djamel il aime ta
queue ont dirait
- ouais ajouta Farid cette pute adore ta bite
- elle va s'en prendre des bites et du foutre puisqu'elle aime avaler elle en aura
- On a raison de dire que dans les vieux pots on fait de la bonne soupe (hihihi)
Farid tarda pas a jouir dans mon cul qui n'attendais que cela et j'avais encore une autre bite a vidanger. j'aimais ce genre de baise ou l'imprévu me faisais bander au point de devenir une pute, ainsi je pouvais constater que j'avais un double visage, l'un gentil et généreux envers la famille, l'autre un mec en chaleur prêt a tout pour se faire enculer quelque soit l'endroit, publique ou non
Farid se retira et ce fut Djamel qui vint prendre sa place laissant ma bouche vide? erreur, Farid me donna sa bite pas qu'a nettoyer, mais, aussi a pomper afin de le faire jouir de nouveau.
je vis Farid me remplir la bouche et chose que j'ignorais Farid est actif/passif il aime baiser et se faire baiser. Sa ma fait drôle de sentir sa bouche sucer ma bite mais agréable
- han...han...putain que c'est bon de baiser une bonne pute comme toi,
J'ai vingt ans, je prenais souvent du plaisir avec mon papy de 65 ans.
Ce dernier jour, il m'invite à passer le week end chez lui.
***
Donc après cette nuit, dans l'après midi ensoleillé, la curiosité me pousse à jeter un coup d'oeil dans la grange. je vois papy Simon couché dans le foin, un rayon de soleil tombe sur lui, il est splendide! Ne voulant pas le déranger, je me cache derrière une poutre.
Il s'étend languissamment et commence à détacher la ceinture de son short, y glisse une main...Je ne peux plus détacher mon regard, il fait monter et descendre lentement sa main dans l'échancrure
de son short, sa tête renversée en arrière dans le foin. Je sens mon jean se tendre à cette vue! De l'autre main, il détache les boutons et abaisse son short sur ses cuisses, il serre dans sa
main sa flèche qui durcit et s'allonge. Il pousse des petits soupirs de plaisir lorsque la porte de la grange s’ouvre , j’aperçois un homme grand et sec ,mais je le connais lui… c’est...pas
possible … mon copain Luc ..qui le rejoint et lui dit:
-Tu m'attends depuis longtemps?
-Non.
- T'as déjà commencé à te branler?
- Ben oui, un peu!
Mon copain se couche à ses côtés et enlève le t-shirt de mon papy, il lui caresse le torse, y dépose des baisers, La bite de papy se dresse entre ses cuisses, il fait:
-Oh Oui! Fais moi jouir!
Mon copain prend la main de papy et la pose sur sa braguette:
-Enlève mon pantalon!
Papy ne se fait pas prier et détache le pantalon du copain:
-Ah! Qu'est ce qu'elle est dure!
Effectivement, mon copain dresse un épieu énorme!
Je suis un témoin -voyeur et curieusement je ne suis pas jaloux, je profite au maximum de la scène qui m'excite au plus haut point! Derrière ma poutre, je sors ma bite dure et je commence à la caresser.
Ils sont beaux, nus dans le foin ensoleillé, leurs flèches dressées ,ils sont excités à mort et...moi aussi! Ils saisissent dans leurs poings leurs bites dures comme acier, Papy va et vient de
plus en plus vite sur l'épieu du copain en faisant:
-Tu aimes?
-Oh Oui...Mais faisons durer, c'est bon!
Les voilà l'un sur l'autre s'embrassant goulûment et se tordant de plaisir.
L'épieu de papy frôle les fesses de mon copain et, oui, son gland s'y introduit lentement! Papy pousse un râle:
-Tu...Tu l'as dans l'cul!
-Vas...Vas y à fond! Fais-toi juter! Comme elle est dure!
-Tu Sens?
-OUUIII! Vas-y! Plus...plus loin! dit le copain
Brusquement, papy se cambre:
- OUUIIII!...H...H...JE VAIS...AAAAH!
Papy se retire pour faire durer ,…………… comme il dit
-NONNNNNNN pas ça continue
Et papy redonne des coups de reins, entre et sort
éperdu de plaisir.
-Je...Je vais jouir! AAAAAAAHH ! ! OOUIIIIIII
dévidant dans le cul de mon copain son nectar
Comme t'as joui sans moi! ,je vais juter en bouche dit mon copain , présentant devant ses lèvres gourmandes sa bite raide et la pousse entre les lèvres accueillantes , saisit mon papy par les
cheveux et fait aller et venir rapidement la tête et sa bite:
Papy regarde mon copain ,sa bite qui tressaute entre ses poings serrés et soudain:
-AAAAAAH!
Il n'en peut plus, mon papy est brûlant et suce le piston qui entre et sort maintenant à toute vitesse. Ils s'agitent frénétiquement …
-H!...H..H!
En les regardant, je serre mon épieu dans mon poing qui va et vient aussi à toute vitesse, je vais jouir!
Mon copain gémit de plus en plus fort, et en cambrant cria:
-AAAAAH! JE...JUUUUTE!
des jets fusent, puissants, qui s'étalent dans la bouche
Mon papy avale un jet puissant, un autre dégouline entre ses lèvres et sa barbe.
Je n'en peux plus de les voir ,je jute en même temps à grands jets! et dans un spasme:
-OUAIIIIS!OUH!... -JE...JE...JUUUUUTE!
A ce moment, mon copain, agité de soubresauts, bascule avec papy, ils s'étreignent dans le foin mouillé de sperme.
Ce que je ne savais pas, c'est que lorsque mon copain venait seul, mon papy dormait (c'est peu dire !) avec lui. Je l'ai appris plus tard
Ils m'ont excité comme jamais, mais je sais que cette nuit ……c’est moi qui dormirai avec papy.
Quelques heures plus tard
Tard le soir, nous nous couchons dans le lit sentant le foin et les parfums de la campagne. nous profitons de cette occasion de nous retrouver ensemble et aussitôt nous commençons à nous
caresser, complètement nus entre les draps.
-dis papy il fait sa bien mon copain LUC ?
-tu parles de quoi mon lapin ?
-Ben… euh… cette après midi dans la grange….je t’ai vu….
-ah ! ouii serais-tu jaloux ?…si tu nous as vu fallait venir nous rejoindre…..
-j’ ai pas oser….
-dommage car ton copain Luc pensait autrement.
-j’ ai découvert qu’il était gay en le voyant avec toi , il sait pas pour moi….
-tu te trompes mon garçon , il savait que tu étais là , et il espérait bien te voir arriver..
-le salop il me le paiera
Nos bites sont raidies par le désir et pointent entre nos cuisses, très vite nos mains s'activent sur nos épieux durcis. Tout à notre affaire nous gémissons et haletons de volupté.
Terrible, non?….. Oui, Terrible! J'en bande encore!
Pendant un instant le silence fut total , puis papy repris
-Vas...Vas y à fond! Fais-moi juter!
Et ma main va et vient à toute vitesse sur son épieu au bord du non-retour. Brusquement, il se
cambre:
- OUUIIII!...H...H...JE VAIS...AAAAH!
Il dresse son épieu devant mes lèvres, le pousse dans sa bouche:
-SUCE, MON LAPIN!
Mon papy et amant m’excite, j'ai envie de le faire jouir avec ma bouche
-AAAAH OUIIII! C'EST BON!
Son piston dur comme acier va et vient dans ma bouche, vais-je avaler son sperme?
-OOOOH, QUE C'EST BOOOON! JE...OUAIIIS! JE JUTE!
Un flot incessant remplit ma bouche , je ne pu faire autrement , de prendre mon courage et d’avaler ce nectar pour la 1er fois.
Mon lapin maintenant baise moi a fond comme tu aimes me le faire , j’ai besoin de TE sentir au fond de moi.
-je peus pas papy j’ai pas de capote avec moi , il t’en reste ?
-oui mon chéri
-je peus t’en prendre une ?
-aujourd’hui je te….. te veus sans capote…je … veus sentir en moi couler ton venin
-mais papy …… c’est pas bien
-TU ne discutes pas…. Compris….aujourd’hui c’est sans…..
-OK OK papy t’énerves pas….
JE pousse toute ma hampe dans son entre , fait monter et descendre lentement ,Puis j’ accélère de plus en plus vite en donnant des petits coups de reins.
-Ouaiiis! HH!...H!...C'est BOOOON
Il me sourit de son regard vicieux faire des aller et venir à toute vitesse.
- Non! pas maintenant, regarde moi….. T'en fais pas ,nous avons le temps……ouiiiii…. Ne…….ne te fais pas juter... pas maintenant!
-MMMM! Papy je vais pas arriver a me retenir….
- Ne te fais pas juter... pas maintenant! Lime moi encore ,fait moi mourir de plaisir
Je l’embrasse, je remonte lentement jusqu'à sa flèche, le la prends entre mes doigts serrés, elle est gonflée et dure comme jamais, les veines apparentes sur la peau, le gland suintant de la promesse du plaisir.
-OOOOh...QUE T'ES BON, TOI! J'EN PEUX PLUS!
Son corps frémissant me fait bander plus dur encore, je suce son gland, il donne des coups de reins, ma sagaie entre et sort a un rythme infernal de son cul
-H!...HH!...OH Papy! ..JE SUIS FOU!!
-OH!...TA...TA BITE OUIIII.. VAS...VAS…-Y
A FOND!
Il tremble, frissonne, se tord, transpire,
-OUAAAAH! C'EST....TROP BOOOON!
la tête renversée en arrière il hurle:
-AAAAAH!...OUIIII...donne donne…
-Ouéééééééééé! HH!...AAAAAAH!...C'est BOOOON!...JE JUTE!
Dégoulinant de sueur ,je m’effondre sur son corps
Nous nous étalons agités de soubresauts, baignant dans notre jus
-Alors? T'as aimé? Papy
un silence règne dans la chambre , il me répond pas
-Papy …. Papy ça vas répond moi STP ?
son visage , soudain blanc ,perlé de sueur ,ouvrit les yeux et avec un grand sourire dit :
-Qu'est ce que c'était bon!
-Oui papy …mais tu m’as fait peur…. J’ai cru que tu étais mort
-mon lapin c’est comme ça que j’aimerai mourir
-ne dit pas ça papy
-je sais j’ai encore le temps, ALORS on remettra ça!......
A SUIVRE….
Les quinze jours sont passé Max est reparti travailler pour quelques mois , son frère a repris ses études.
Hervé jouera-t-il les troubles fêtes ?
A SUIVRE…..
Sans doute suite a une ancienne rencontre ou je m’étais très certainement fais défoncé le cul comme une chienne j’ai retrouvé par
hasard en virant de mon armoire des habilles trop juste pour moi (avec l’age on prend un peu de volume) au fond d’une poche de veste ( que j’ai du mettre 2 fois a tous cassé et il y a longtemps)
un bout de papier ou il y avait inscrit " t’as une bonne chatte 01 59.. .. Luc."
Je ne sais pas pourquoi mais ce simple petit mot à commencer à me faire un peu bander, ne sachant plus a qui j’avais à faire mais lui le saurait sûrement , j’ai composé son NO espérant qu’il soit
toujours valable.
Après plusieurs essais et de nombreuses sonneries , enfin ça décroche
- Allo ? Luc ?
- Oui…
- Bonjour… désolé te t’appeler mais j ‘ai retrouvé un petit mot avec ton No de tel…
- Ah ouai ? et il dit quoi ce mot ?
- Juste
" t’as une bonne chatte "…
- C’est très certainement parce que je te l’ai défoncé… rappel moi comment tu es…
Je me détail…
- Et ou est-ce que tu traine ton cul ?
- Et ben bien souvent je me fait niquer dans un vieux hangar derrière chez moi…
- Ha ouiii…un petit bled au nord de la Meuse c’est toi la p’tite salope village qui te fais enculer comme une pute ?…
- Heu… oui mais je ne me rappel plus de toi…Heu .. un LUC ....j'en connais qu'un un Lillois lui par contre j'ai adore et m'e, souvient....
- C 'est Moi j’me rappel… j’étais avec mon pote…Dany , lui il t’a craché dans la gueule et t’a fait avaler son foutre et moi dans ta chatte…c’etait ton
anniversaire.
- Heu… de TOI je me rappelle mais lui.......non je me rappel plus…
- et ben putain ! si tu te rappel plus de nous c’est que t’es une grosse pute qui se fait tiré par pas male de mecs…mais trêve de bavardage si t’as envie de te faire
fourré on peu se revoir…
- Ouai ….ok…
- Très bien…je suis chez ma tante en Meuse , alors je te propose un…RDV samedi soir vers 22h précis dans ton hangar, tu as toujours la table de camping en bois
?
- Oui…et j’ai même mieux….
– Ha Ha ! Ok alors ,tu te fou à poil, avant que je rentre…
- Ok d’accord…
- Ok alors à samedi
- A samedi…
L’appel prend fin et au vu de cette conversation je bande comme un âne, vivant toujours à poils ma bite est a l’air, je mouille comme une salope. Je me branle en me mettant 2 doigts dans le cul,
je ne mets pas longtemps a jouir, j’éjacule dans ma main et avale mon foutre tout chaud sortie de ma bite.
Samedi 22h , lieu du RDV, un Hangar c'était une vielle maison abandonnée collée a la mienne et qui me serre de garage , grenier a foin dans lequel j’ai aménagé , genre salon .
Les fenêtres étaient remplacées par des planches disjointes et en été c'était le rendez vous pour s'adonner à des jeux pas très catholiques!
complètement a poil, je me bande les yeux et attend comme ordonné.
Au loin j’entends une voiture, des portes qui claque, la vieille porte grince ,l’échelle aussi , des pas approchent et une voix…
- Tiens… voila la salope…
Le mec n’est pas tout seul il est venu avec 2 potes, je reçois une claque sur les fesses.
-Tu m'attends depuis longtemps? Demande Luc.
-Je suis arrivé un peu plus tôt , le temps de chauffer un peu , fait trop frais ce soir..
-whaaa… quel confort depuis la dernière fois
-Ben ouii faut bien , c’est devenu le lieu de drague du coin
-Et c’est toi la femelle ? je suppose ….
-Non pas toujours moi ,tu me connais je ne suis pas ce que tu crois…..
-Ben on vas voir ça…..j’ai pas fait 60km avec 2 potes du coin ,faut pas qu’ils soient déçu. Tu risque des les revoir prochainement
-mais c'est toi seul que je voulais...
- pas grave Ecarte les cuisses vielle salope…
Je m’exécute, 2 mains écarte mes fesses et une langue viens me lécher mon trou du cul, c’est tellement bon que je couine aussitôt comme une chienne en prenant une voix aigue.
- Hummm… ouiiii… hummm… c’est bon…
- C’est ça chérie… joue bien les femelles…
Je sens la langue rentré dans mon trou, je remue mon cul comme une salope , je joue la chienne prêt a tout pour donner du plaisir a Luc et à ces potes… un doigt pénètre mon fion, je suis
tellement dilaté que 2 autres s’y enfourne, un mec s’est mis face a moi, il me relève la tête par les cheveux, il m’ordonne d’ouvrir la bouche et m’enfonce sa queue.
- Vas-y suce salope…met moi en condition
Je suce cette bite pendant que mon cul se fait ouvrir par des doigts expert, une bite viens remplacer les doigts, je la reconnais c ‘est celle de LUC très longue et fine ,il me pilonne le cul
comme la 1 ère fois , pendant que je suce, son pote qui m’insultes, je suis enivré par cette baise, je me sens hyper chienne a donner du plaisir a son pote, le sucer m’envois ses giclé de foutre
dans ma gorge.
- Avale tous salope…
Je ne pouvais pas faire autrement il me bloquait la tête en me faisant une gorge profonde
Il se retire et une autre bite viens prendre place dans ma bouche, Luc qui m’encule se retire et se place devant moi pour me la mettre dans ma bouche déjà occupé ,son pote laissant ça place pour entrer dans ma chatte, il me lime le fion comme une brute et se décharge dans mon trou, il se retire et m’ordonne de lui nettoyer sa bite, je prend sa bite fraichement sortie de mon cul pendant que Luc se sert du foutre qui sort de mon cul pour me le tasser et me dosé a nouveau, je reçois une 2eme dose de foutre dans ma chatte et nettoie ensuite sa bite englué de sperme.
Les mecs sont vidés, il me traite de bon sac à foutre et qu’une salope comme moi devrait faire le tapin.
Luc dit a ses potes
-ça valait bien un détoure les potes
-oui Luc tu en a pas d’autre ?
-comme lui …NON …même le vieux qui cohabite avec moi n’est pas a la hauteur.
-tu nous le présentera ? on vas lui apprendre a être comme cette salope….
-je ne pense pas ,il se contente de ma bite , je ne tiens pas a me retrouver a la rue , c lui qui paie le loyer…..
-on insiste pas Luc , mais quand tu reviens voir ta famille en Meuse prend nous avec toi , la vielle salope nous hébergera n’est ce pas ?
-heuuuuuu ! ! oui
-T ’est une bonne salope, qui avale tous ce qui sort d’une queue…
-Oui mais ça sera payant….
- QUOI !…Approche… Viens ici salope et montre ton cul…
Je me relève et me retourne.
- Penche-toi en avant et écarte ta chatte…
Je m’exécute… du sperm coule le long de mes cuisses,
-et tu veus demander combien pour te faire saillir ?
-40€
-whaaa c’est chère …. 20€
-Non … pour me sauter sans kapote c’est 40€
-et pour une suce
-gratuit , mais ça sera 20€ si j’avale et payer d’avance
-et bien tu vois LUC on ferais de bonne affaire avec les ptits keums de la banlieue , si tu l’invitais a venir chez nous dans le nord.
-pas mauvaise ton idée
Je m’avance vers LUC
- profites en c’est gratuit
- Et bien vas-y… suce…
Je me mets à genoux et le suce, il ne tarde pas a jouir et m’inonde la bouche de long jet de foutre.
- Avale tous salope et n’en perd pas une gouttes…
Ne pouvant rien faire d’autre, j’avale tous le jus épais et crémeux
Je suce le 2eme pote qui par contre m’encule et me féconde, j’ai le cul qui déborde de foutre et qui ruisselle le long de mes cuisses, je n’ai pas le temps de me reposer que l’autre pote arrive, je leur sers de jouet… un défouloir a sexe… je suis obliger de les sucer et de tendre mon cul pour me faire défoncé comme une pute que j’étais devenu.
LUC repartit avec ses potes , après m’avoir roulé une pelle majestueuse
Je me suis rhabillé et suis rentré chez moi.
Dans la salle de bain je me suis remémoré la soirée ou j’avais été la vraie pute de service, je ne pouvais d’ailleurs pas penser autrement avec tout le foutre que j’avais encore dans ma chatte.
A suivre
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