Lundi 28 juin 1 28 /06 /Juin 14:36

Voilà plusieurs mois ,lors de mon séjour en Israël , je suis hébergé chez Kobi , un ami trouvé sur le net et qui m’avait invité a visiter son pays que j’adore depuis ma tendre enfance.

Tous les jours, je le vois, tous les jours, je ne peux m'empêcher de regarder à la volette son cul.
Il a un cul comme j'aime, un pas trop rebondi, plat sans trop l'être. Quand il porte une chemisette et un pantalon clair, je fonds…..
Il mesure 1,90m, les cheveux très courts, a 26 ans,. peu poilu à en voir ses avant-bras et l'entre col de sa chemise, musclé mais pas à l'excès.
Il a les joues creusées mais sans plus, porte des lunette, le regard sombre et pas une attitude virile plutôt douce.

A plusieurs reprises, je me suis posé des questions en parlant avec lui. J'avais une impression d'être fixé du regard.
une impression d'être déshabillé du regard.

Lors d'une soirée ,c’est pas encore le plein été, la chaleur pressante, j'avais mis un short et un T-shirt léger, un qui moule chaque bosses du torse, un de ces T-shirt où il vaut mieux être bien foutu…mais c’est plus trop le cas pour moi vu mon physique rondouillard : la soixantaine 1,75m 86kg , les yeux bleus, poilu du torse et des jambes, bien proportionné pour mon age et un cul toujours en chaleur !

Donc je suis arrivé à cette soirée avec une excitation à chercher ce cul que j'adore.
Et je l'ai vu….. J'avais qu'une envie c'était de me mettre à genoux, de baisser son fut et de lui bouffer la rondelle.

On était tout un groupe riant frénétiquement à des conneries, buvant à foison.
.
.

Vers 2 heures, tous les gars étaient imbibés. j'ai dit au patron du bar de l’hôtel

-" pas de problèmes je le ramène. Je suis hébergé chez lui "
-"
ça c'est un gars bien" dit Kobi, en se collant littéralement à moi et en posant sa main sur ma fesse.

La soirée a continué, des chamailleries de gamins dues à la beuverie se sont installées dans le groupe.
Puis la soirée a pris fin vers 4h du matin.
-"

chose promise, chose due, je te ramène mon gars" lui aies-je lancé.
-"
Toi t'es un gars vraiment bien" a t-il relancé en m'entourant de ses bras.
-"
Holà on se calme, et on monte dans la voiture".

On a dit au revoir aux autres amis.
Dans la voiture, il a continué à me taquiner, posant à plusieurs reprises ses mains sur ma jambe. Feignant de croire qu'il était complètement bourré, je l'ai laissé continuer. Il parlait de tout et de rien, et d'un coup il a passé son bras autour de mon cou.
Au fond de moi je me disais "

calme toi, calme toi, gardes ta distance, t'as envie de lui bouffer le cul mais lui il le voudra peut être pas."
Puis il m'a dit "
je me sens pas bien, je peux dormir avec toi ? "

J'ai dit

OK pas de problèmes. Et ma petite voix me disait " toi tu vas passer à la casserole".

Ayant deux chambres, je l'ai accompagné jusqu'à la chambre d'ami qui m’était réservé, il s'est affalé puis semblait s'endormir. Mon excitation était énorme mais je me suis résigné (quel con vous vous dites).
Je suis allé prendre une douche, laissant la porte de la salle d'eau ouverte.
Je me passais du produit douche sur tout le corps, m'attardant sur ma queue. Lentement, elle prenait son volume.
-"

t'as pas un aspirine ?"

il était là devant moi à me regarder avec l'attitude d'un mec bourré.
-"

Moi aussi j'adore me palucher sous la douche, dès que t'as fini j'y vais".
Testant le mec, je lance

-"

je risque d'en avoir pour un moment".
-"
Et ben on va être deux alors, méfies toi je risque de t'embrocher au passage".
-"
Si je passe à la casserole, tu y passes aussi !".

Et là, ma queue a doublé de volume, laissant apparaître les veines saillantes, et le gland rouge.
Il s'est désapé, a enlevé son t-shirt, à baisser son fut. Il avait un boxer, comme je le supposais.
Son corps était bandant à souhait pour moi, pas trop musclé (légères poignées d'amour) et son cul…... Celui dont je rêvais étais devant mes yeux. Sa queue était flémarde. A nous deux, on a des queues de taille standard 18cm (moyenne nationale les gars ,remettez les pieds sur terre !).
Il a commencé à s'astiquer puis à marché vers moi sous la douche. Je me suis retourné négligemment vers le mur, lui offrant une vue sur mes fesses.
Il n'a pas pu s'empêcher de les tapoter.
Je lui ai rappelé

-"

si je passes à la casserole tu y passes aussi !"
Il a dit

- "

pas de problèmes !"
-"
Et bien on commence par toi !"

Je l'ai plaqué contre le mur, il ne s'est pas débattu. J'ai claqué ses fesses, il les a serré, puis il les a relâché.
Je les ai caressé. Il y a un moment où le dérapage vire à une scène de baise. Et là ça venait d'arriver.
J'ai forcé le passage avec ma main, il a relâché son cul. Je l'ai embrassé dans le cou. Il ne m'a pas repoussé. Le signal est lancé !
Je l'ai caressé sur tout le corps m'attardant sur son torse, sur ses tétons, il râlait comme un mâle en rut qu'il était.
Il m'a saisi la tête et m'a roulé une pelle. J'avais dépassé le stade de la surprise j'étais dans celui de l'excitation.

Nos mains étaient posées chacune sur le cul de l'autre. Je sentais malgré ses relent d'alcool, le gars était maître de ses actes.
Il m'a lancé ..

-"

bouffe moi le cul". 1 bouffelecul 075346

Ni une ni deux, j'ai souri et j'ai sorti ma langue. J'ai mordillé sa fesse droite, puis sa fesse gauche.
Comme je l'avais deviné, il était peu poilu. J'ai écarté et sa rondelle était là offerte. Succulente à souhait avec un peu de poil autour.
Je l'ai chatouillé de la langue, j'ai amené doucement un doigt. L'eau de la douche continuait de couler, et lui continuait à pousser des râles de plaisir.
Ma queue était raide, la sienne aussi, je la malaxais avec une main puis revenais sur ses fesses. J'ai commencé à forcer l'entrée. Ce grand gaillard était en train de se faire doigter le cul. Je suis remonté vers son cou, je l'ai embrassé sur la nuque, en lui glissant à

-"

toi tu vas te faire enculer"

Il a sourit. J'ai tapoté ma queue sur ses fesses, puis je l'ai frotté activement sur sa rondelle. Il m'a lancé

-"

t'as des capotes ?".
-"
Oui, reste écarté, je vais en prendre une."

Ma valise proche de la douche contenait ma provision. J'en ai saisi une. Je lui ai demandé de me la dérouler sur la queue. Il m'a embrassé et s'est exécuté. De voir un gaillard comme ça, viril à souhait, dérouler une capote sur ma queue, m'a fait râler de plaisir.
Il a saisi mes fesses et m'a regardé dans les yeux et dit

-"

après c'est ton tour ! "
Ma sève était prête à monter. Il a fallu que je me calme. J'ai recommencé mes caresses sur son corps, j'ai malaxé ses couilles magnifiques et lourdes. J'ai coupé l'eau de la douche.
Ma queue était droite, mais il fallait que je la calme, au risque de balancer la purée trop vite. Je me suis baissé devant lui, je le regardais dans les yeux.
J'ai ouvert en grand la bouche et j'ai avalé sa queue. Il a poussé un ha de bonheur. De ma main gauche, je continuais de m'astiquer doucement.
J'ai joué avec sa queue. J'ai sorti ma langue. Il m'a dit

-"

arrête t'es trop bon".

Mon ardeur s'étant tempérée. je l'ai regardé dans les yeux et lui ai à nouveau dit

-"

ben je vais te bourrer le cul alors !"
-"
J'attends que ça" m'a t-il dit.
-"
ma salooope" lui aies je dit gentiment,

il m'a sourit et m'a à nouveau rouler une pelle.
Il a posé ses deux mains sur le mur, a cambré ses reins. Ma queue toujours raide dans son emballage a à nouveau frotté ses fesses.
Puis j'ai rentré un doigt, puis deux, faisant des va-et-vient, Kobi avait l'air d'apprécier. J'ai approché mon gland doucement et je suis rentré au fur et à mesure. Il s'est cambré, m'a saisi le cou, on s'est embrassé. J'ai commencé à le labourer, je sortais ma queue à la limite puis la rentrait à nouveau A chaque mouvement, il criait

-"

t'arrête pas !".
Je claquait ses fesses, mes couilles tapaient sur sa peau. Il me regardait dans les yeux

-"

t'es un sacré baiseur toi !"
-"
Je vais te gicler sur le visage, t'as intérêt à ouvrir la bouche !".
J'ai sorti ma queue, enlevé la capote, je me branlais doucement tout en lui disant

-"

viens chercher mon jus !"
Il me regardait droit dans les yeux

-"

envoies Mec, je suis prêt à tout pomper!"

Debout devant lui, j'astiquais ma queue, pendant que le petit pervers glissait un doigt dans ma raie. Et brutalement

, rentra un doigt.
J'eus un cri de surprise. Il faisait des va et vient avec son doigt et gardait la bouche ouverte devant ma queue.
Et comme une délivrance, j'ai giclé, des secondes de bonheur qui semblaient des heures. J'en ai foutu partout sur son front, sa bouche, dans sa bouche, Il a ouvert les yeux et a dit

-"

faut que tu m'embrasses maintenant."
-"
Toi, tu veux que j'avale mon jus !"
-"
Ouais et après ça sera le mien."
On a joué avec nos langues, on a échangé mon sperme d'une bouche à l'autre.
Puis il m'a dit

- "

maintenant c'est à toi d'être ma salope !".

-

j’ y compte bien….

 

Après une soirée bien arrosée, une douche bien foutreuse, et surtout après l'avoir ramoné, il me reglissa dans l'oreille -"

maintenant c'est à toi d'être ma salope !je vais essayer d’être a la hauteur".

Ayant encore en bouche le goût de ma semence, je le regardais dans les yeux et lui décocha un sourire accompagné d'un

-"

méfies toi c'est pas une autoroute!".
Effectivement, je suis plus actif que passif. Je peux les compter sur une main, les mecs qui m'ont buriné la rondelle. Et j'en garde vraiment de bon souvenir.
-"
Je vais y aller en douceur, depuis le temps que j'ai envie de le prendre !"

Appuyé contre le mur de la salle d'eau, le cul cambré en arrière, je me résignais à me faire ramoner.

Il s'accroupit devant mes fesses, les saisit à pleines mains, les malaxant, les mordant !
Il les écarta et commençant à faire courir un doigt le long de mon trou.
Il cracha dessus puis étala sa salive en rentrant doucement un doigt.

je m'efforçais de me décontracter, de souffler.
Il joua avec son doigt et ma rondelle, il y joigna un deuxième doigt, tout en douceur.
Les tourna dans mon trou qui commençait à s'offrir timidement.
Il se releva, m'embrassa dans le cou,

-"

ça va bébé ?" me dit-il.
J'acquiesçais d'un râle langoureux.
Il demanda

-"

elles sont où tes capotes ?"
-"
dans la pochette de la valise."
Il en prit une, Il tapa sur ma fesse gauche.
Là les gars, ça commençais à m'exciter grave.
D'un coup, j'avais envie de lui, de le sentir me bourrer le cul.
Il déroula la capote sur sa queue, je le regardais d'un air approbateur.
Il me souriait

-"

tu vas adorer, j'chte le dis !".
Il tapa sa queue contre mes fesses, puis commença à faire des va et vient.
-"
Vas y serre les fesses sur ma queue !"
Il continuait ses va-et-vient. Puis son gland vient se frotter sur ma rondelle.
ça m'excitait grave .Il commença à forcer le passage, je soupirait, je soufflais.
-"
vas y bébé, souffle" me dit-il.

ça y est sa queue, était rentrée. Je la sentais, celle que je désirai tant !
Il commença doucement à m'enculer.
Il accélérait tout doucement, et là j'ai commencé à apprécier.
Ma prostate je la découvrais, et non de dieu, que c’est bon j'adorais !
C'est une sensation comme des fourmis qui envahi tout mon corps. Je ferme les yeux, je les ouvre. Je râle de bonheur.
Il a compris que j'étais en train de prendre mon pied. Son mouvement se fit plus pressant, plus rapide.
ça chauffait.
-"

Ma salope a l'air d'apprécier ?!"JM2010 214450
Je le regardais en souriant en tentant de dire un "
oui" approbateur.
Il m'embrassa à nouveau dans le cou.
La chaleur dans mon cul était là. Ma queue mi-molle s'était durcie.
Il me l'a pris d'une main et commença à me branler.
Je pensais que mes couilles étaient vides après avoir décharger tout à l'heure.
Mais j'ai pas mis longtemps.
-"
je vais jouir à nouveau, putain!"
Il me dit

"

Monsieur a encore les couilles pleines ? , j’en reviens pas…."
Il ralenti son mouvement dans mon cul, tortilla sa queue dans ma rondelle.
Mon yop gicla à nouveau. Des étoiles apparaissaient dans mes yeux, un spasme énorme dans le tout le corps.
Il sorti sa queue, me retourna, m'embrassa.
J'étais ailleurs dans un autre monde, il baissa ma tête, entra ma bouche ou sa purée giclait comme un torrent

Il avait pas du se vider depuis un moment.
Je ne pu avaler tous , le surplus de son jus dégoulinait sur ma barbe.
Il se baissa, et se mit à me téter.
Ma queue mi-molle n'en pouvait plus, j'en pouvais plus.
Il continua, mon cœur battait super fort.
Il dit en me regardant

-"

tu vas l'avoir ta troisième giclée".
Je lui dis d'arrêter sans trop y croire.
Il me branla énergiquement, j'avais mal, mon corps ne répondait plus, ma queue chauffait.
Il m'astiquait le manche, l'orgasme, le troisième arriva, celui sans jus ou presque celui qui nous fait basculer dans l'abandon total.
Il se releva, m'enlaça. Je le regardais droit dans les yeux, sans aucun mot, je pouvais plus rien dire, j'étais K-O.

On a fini la nuit l'un sur l'autre.

au petit matin Mon ami Kobi est en train de dormir dans mon lit. Je le regarde, le soleil commence a éclairer son corps dépassant des draps

Quand il a ouvert les yeux, il m'a demandé de le prendre sans capote Je me suis exécuté et j'ai trouvé de quoi gicler dans ses entrailles .
Tous les nuits suivantes durant mon séjour, on a remis ça à plusieurs reprises. On se baise comme des lapins...

.de retour en France Je suis là assis devant l'ordi à contempler son cul ,son corps ,sa bite (en photo) et me rappelle sa belle bite circoncit qui me fit monté au paradis.

Simon

Par simon - Publié dans : ma vie
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