MON CHOIX de VIE
Moi, c’est Damien, tout juste 18 ans, je suis de ces garçons qu’on ne remarque pas. Toujours puceau, mais des fantasmes plein la tête. Je ne sais pas encore si je suis gay ou hétéro, mais j’ai envie de sexe.
En vacances de Févier chers mon grand père Simon ,ou je retrouve mon cousin Claude , Parisien , de quelques mois mon aîné , un superbe rouquin , très timide , nous parlons souvent entre nous de sexe en regardant le collection de photos de mecs a poils que mon grand père possède sur son ordi.
Je lui raconta que dans ce petit village , il y a une fille , Martine ,grande rouquine a peut près notre age, et que c’est une vraie salope. Lors d’une soirée, elle a sucé plusieurs garçons dans le vieux hangar de grand père . Je les avais suivi et maté le spectacle discrètement en me branlant, jusqu’à en gicler dans mon slip. Je ne sais pas si c’est de voir les queues bandées de ces garçons, ou de la voir les sucer qui m’avait excité.
Ca fait plusieurs jours qu’on en parle , puceau tous les deux, on a envie et aimerai bien se faire sucer aussi.
Il faut qu’on aille voir cette fille et qu’on lui demande de nous sucer. On lui filera un peu de notre argent de poche pour qu’elle accepte.
Alors hier après-midi, on a osé. On était super excité. On a bafouillé mais on lui a demandé. On était flippé, mais elle a accepté.
Elle nous a donné rendez-vous, aujourd’hui à 13h00, dans le vieux hangar , où personne ne va jamais , omis mon grand père ,
-- " ça tombe bien il sera absent cet après-midi. " me dit Claude
-- " T’inquiète ,même s’il avait été là , il est Bi , il comprend "
-- "
on a de la chance , d’avoir quelqu’un qui nous comprenne "
-- " c’est claire "
Avec Claude, on a rien bouffé a midi. On n’arrêtait pas de regarder nos montres.
A 12h45, on était déjà devant la porte, à attendre. On ne savait pas trop si elle allait venir.
--" Qu’elle vienne ou pas, il faut que je me vide les couilles ".
-- "
Ouéééé ça fera du bien "
A 13h00, elle arrive. Elle rentre dans le hangar ,comme si elle était chez elle , monte a l’échelle , soulève la trappe. On la suit. Elle s’installe sur un vieux canapé qui dort derrière un mur de paille. On reste là comme deux cons.
-- "
Alors, vous venez ? Y a de la place ici, on sera plus à l’aise. "
On se regarde. On a l’air vraiment de deux cons.
--: " Ferme la trappe derrière toi Damien "
Je bredouille un " oui ", et je m’exécute.
Martine dis-je " On a emmené de l’argent si tu veux "
-- " C’est pas la peine, on va faire ça à ma façon. Alors vous voulez que je vous suce les
cousins ?? Vous êtes encore puceaux ? Vous ne vous êtes jamais fait sucé ? "
Nous répondions en cœur : " heu… "
-- " Pas la peine de répondre, je sais que j’ai raison. Bon, si vous voulez que je vous suce,
vous allez devoir faire tout ce que je vous demande.
---- " oui "
-- " Déshabillez vous. "
Alors, je commence à ouvrir ma chemise, Claude, a viré son tee-shirt.
-- " Stop !! Vous ne m’avez pas bien compris. Déshabillez-vous l’un l’autre. Le sexe c’est un
partage. Je vais vous déniaiser. Il n’y a pas que moi qui donne. Vous allez donner aussi, c’est pas juste moi qui vous suce pour votre petit plaisir, je veux m’amuser aussi. On va faire ça à
trois, suivant mes règles ".
Je commence à flipper, mais ça m’excite grave, et je vois que Claude aussi. Il se rapproche de moi. Mon cœur bat la chamade. Il commence à déboutonner ma chemise.
-- " Caressez vous. "
Claude passe ses mains sur mon torse, mes tétons. Il descend vers mon nombril et défait ma ceinture. Je vais exploser. Je suis gêné,
ça me fait bizarre mais j’aime ça. Je passe mes mains sous son tee-shirt, lui caresse le dos, le torse, et passe son tee-shirt par-dessus ses épaules.
-- "
Embrassez vous "
Claude ose tout, ses lèvres se rapprochent des miennes. On s’embrasse.
Je reviens pas je suis en train d’embrasser un autre mec !
Martine nous rejoint dans notre duo. Elle commence par embrasser Claude, puis moi.
En l’embrassant, je déboutonne son haut , a la vue des mamelons mon sang fait au moins du 130
. Claude lui caresse les fesses. Je sens une main sur les miennes. C’est Claude, une main sur ses fesses, l’autre sur les miennes. Je commence à lui caresser les
seins, puis je descends sur le paquet de Claude. , celui-ci glisse une main dans mon futal et l’autre sous la jupe de Martine. Elle se laisse faire, moi aussi. Elle continue à m’embrasser. Claude
s’agenouille, il lui caresse la chatte, et il me palpe le paquet.
--
" C’est bien Claude, tu as tout compris. Mais toi, Damien, tu es trop timide. Claude relève toi, et
toi, Damien à genoux, défroque ton pote et suce le. "
---- " Mais … "
-- " Si tu veux que je te suce, tu obéis.
"
Alors, je m’agenouille. Claude me regarde. Je défais sa ceinture, puis les boutons de son froc, qui sont sur le point d’exploser. Je
descends son pantalon sur ses chevilles. Son caleçon rouge est déformé. Sa bite n’attend qu’une chose, être libérée. Je glisse mes mains sous l’élastique du caleçon. Je le descends. Sa bite
surgit, et me cogne le visage. Une belle bite, au moins 20cm. Il est circoncis, son gland est tout mouillé par l’excitation. Je lève les yeux. Je sens dans son regard qu’il me supplie de le
sucer. Je la regarde.
-- "
Alors ..Vas-y, suce ton pote. "
Alors j’ouvre la bouche, je sors la langue, je la passe sur le gland humide de Claude, puis le long de sa queue.
-- " J’ai dit SUCE, pas Lècher.... ! "
Alors doucement, je mets la bite de Claude dans ma bouche et je commence ma première pipe. Je prends vite de l’assurance. Si au début
j’avais les yeux fermés, ils sont maintenant ouverts, et je lui caresse les couilles, les fesses. Je m’applique, et j’aime ça. Lui aussi, je l’entends soupirer. Je la regarde, Martine a ôté sa
culotte et se caresse son petit triangle poilu. Elle paraît satisfaite. Je crois qu’elle a compris que j’aime sucer. Je le découvre mais elle le savait.
-- "
Relève toi Damien. "
J’obéis avec regrets. Elle le sait. Claude n’attend pas les nouvelles consignes. Il s’agenouille. Il ouvre mon jeans, et descend mon froc et mon slip blanc en même temps d’un coup sec. Il s’empare de ma bite. Elle est plus petite, 18 cm. Et il l’avale direct. Il m’enserre les couilles de sa main gauche. Je sens son index droit glisser vers mon cul. La transpiration aidant, il le rentre facile. Je gémis.
Elle me sourit et me pince les tétons. Je gémis encore.
Claude fait des va-et-vient dans mon cul avec son doigt. Sa main gauche a lâché mes couilles pour caresser la chatte de notre guide. Je pose une main sur la tête de Claude, et l’autre explore le derrière féminin. C’est le moment qu’elle choisit pour s’agenouiller aux côtés de mon cousin.
Claude arrête sa pipe, mais laisse son doigt dans mon cul. Ils s’embrassent, elle me branle, puis commence à me sucer à son tour. Claude l’accompagne, ils se bagarrent ma queue. Elle fait glisser sa main gauche le long de mes fesses, puis plus prêt de ma raie et je sens un de ses doigts rejoindre celui de Claude dans mon cul. J’adore ça
Claude lui cède ma bite, et se relève. Elle continue à me branler mais suce Claude.
Sans qu’elle ne me dise rien, j’embrasse Claude.
Il me dit : "
Vas-y, doigte moi, toi aussi. "
J’ose une main sur ses fesses.
--: " Vas-y, Damien j’en ai envie "
Je rentre un doigt sans difficulté. En bas, elle passe d’une bite à l’autre. Toujours un doigt dans mon cul avec celui de mon cousin, et une main sur sa chatte. Puis arrête de sucer, et nous
regarde.
-- " Vous voulez jouir ? "
----- " Ouééééééééééééééé! "
-- " J’ai plusieurs solutions à vous proposer. Je veux que vous connaissiez le goût du sperme,
alors : soit Claude tu me jouis sur le sein droit en te branlant, et Damien tu me lèches le sein après, puis tu jouis sur le sein gauche, et Claude, ce sera à ton tour de lécher ; soit je
continue à vous sucer, jusqu’à ce que vous jouissiez dans ma bouche et je vous embrasse après ; ou la dernière solution ? "
Claude dit : " La dernière solution ? "
-- " Soit, Claude tu suces ton pote, il jouit et tu avales. Il en fera autant pour toi après.
Cette dernière solution comporte un bonus. "
-- " Quel bonus ? " dis-je
-- " Vous pourrez me bouffer la chatte après, et on se reverra par la suite, pour que vous
sachiez enfin ce que c’est que de pénétrer une femme. "
Alors, j’ai regardé Claude, et je lui ai dit : " je vais te finir à la bouche, tu vas me gicler à la gueule et je vais tout avalé. "
Et je me suis agenouillé de nouveau. Je m’en foutais de pouvoir pénétrer sa chatte par la suite, moi j’avais envie de goûter à la semence de mon cousin. Je savais aussi, que les couilles vides,
ce serait plus difficile pour Claude d’en faire autant pour moi, mais ce n’était pas important. Je voulais le faire jouir et sentir sa sève couler dans ma gorge. Alors, je l’ai sucé jusqu’à ce
qu’il râle et qu’il jouisse. J’ai tout avalé, j’ai bien nettoyé sa queue, et son gland, j’ai bien passé ma langue sur mes lèvres pour ne pas perdre une goutte de son jus.
En me relevant, il m’a sourit, puis est descendu me rendre la pareille. Je savais que ça lui demandait un effort, l’excitation commençant à retomber. En me suçant, il jouait avec deux doigts dans mon cul. J’ai jouis, et il a tout avalé aussi, puis tout nettoyé. Il bandait toujours. Elle s’est approchée de Claude. Sans rien demander, il a commencé à lui bouffer la chatte, en se branlant. Je les regardais faire. Je la voyais gémir.
Il m’a tiré par le bras pour que je le rejoigne. Je n’en avais pas très envie. Il m’a guidé, et j’ai goûté à sa chatte. Puis je lui ai cédé la place , je préférais une bite…., il a repris sa lèche en se branlant. Alors, j’ai eu envie de le sucer de nouveau. Et pendant qu’elle gueulait de plaisir, Claude se vidait de nouveau dans ma bouche.
Elle s’est agenouillée, on s’est embrassé.
-- "
Voilà les garçons, vous avez tenu parole, j’ai tenu parole. Vous saurez à qui penser en vous branlant
la prochaine fois. Une dernière chose, faites moi plaisir, je sais que maintenant, vous avez envie de pisser, je veux vous regarder faire ".
Claude dit : " Ok, allez Damien. "
Alors, on s’est rapproché de la fenêtre et on a pissé dehors. Quand on a eu fini, elle avait disparu. J’ai vite refermé la trappe. Je me suis rapproché de mon cousin et je l’ai embrassé.
-- " T’étais pas obligé, elle est partie "
-- " Je sais mais j’en avais envie. "
Après cette aventure, on s’est souvent branlé ensemble avec Claude. Bien sûr, à chaque fois, on se suçait.
On a même essayé d’autres choses. Je sais aussi que Claude a revu Martine pour " la pénétrer "
comme promis , et cela des le lendemain de notre première rencontre ,il continue a la voir tout en partagenat avec moi quelques bons moments.
Voilà comment j’ai franchis un cap et compris que j’aimais les mecs
Damien
.
prochainement je demanderai a mon grand père de pouvoir vous raconter la suite......Damien
OUI je suis fière de voir que ma succession est assurée , pour moi a mon age les aventures se font plus rare , mais je vous ai promis la suite quand mon ami (le fiston Pirrot dit le Vosgien) est
arrivé chez moi (pour résumer voir la fin de l'histoire 27) à bientôt............
Il est 21 h ,après une journée à Paris, sur le quai de la gare de l’Est avant de monter dans le TGV
Sur le banc du quai ,je feuillette la revue gay que j’ai acheté pour la soirée chez moi ,à ma gauche un mec
assis me regarde , la quarantaine ,je le regarde sans faire plus attention et replonge dans ma lecture, mais je m’aperçois qu’il me fixe avec insistance, je relève donc les yeux sur lui et lui
décroche un petit sourire en signe de politesse. De ce fait, le mec me fait un petit clin d’œil en se touchant le paquet d’un air de dire " t’as envie ?
"
quelle chance, car étant accros au zob je m’empresse de lui
répondre en passant ma langue sur mes lèvres, là il se lève me faisant un signe de tête m’invitant à le suivre m’indiquant les toilettes. Je le suis et nous nous enfermons dans les chiottes. À
peine la porte refermée il me dit direct.
— Suce-moi vieux …
Ni une ni deux je me fou à genoux, dégrafe son pantalon, baisse son slip et avale ça bite en semis érection. Je la sens grossir dans ma bouche qui prend une bonne ampleur (elle n’est pas bien
grande, mais bien épaisse) de ma main je l’astique en même temps pour le décalotté et le re-calotté Le mec prend son pied, car il me chuchote :
— Humm… ouai vas-y pompe moi bien… c’est bon… hummmm… putain…t’es un expert … ouai…
Le mec prend un putain de pied à se faire sucer, je sens sa sève monter
le long de sa bite, il me bloque la tête et m’envoie toute sa purée dans mon gosier ne me donnant pas le choix que de tout avaler. Il se retire de ma bouche, remballe son matos, se penche sur moi
et me dit a l’oreille.
— Merci, t’es une bonne suceuse.
Puis il sort du chiotte me laissant ainsi sans même avoir pris la peine de s’occuper de savoir si moi aussi j’avais envie de jouir.
Excité, je décide de me branler, mais le une voie annonce le départ prochain du TGV
Je ne me finis pas, range ma bite et retourne sur le quai.
Le train arrive à une gare, 5 mn d’arrêt, je monte je m’installe a ma place réserver coté couloir, je prends mon bouquin et le voyage commence pour une durée de 1 h 30 , en face le mec que
j’avais sucé est rejoint par un beau petit mec , beur ,la vingtaine , ils s’embrassent sur la bouche , apparemment son pote.
Le train redémarre, peut-être, 10minutes après revoilà le mec qui me regarde avec insistance me faisant le même
scénario que la 1ere fois, il se touche le paquet, me fait un clin d’œil et me fait un signe de tête en direction des chiottes, sans plus attendre je me lève le 1er et m’enferme dans le chiotte
bien décider a prendre ma revanche en me faisant moi aussi sucé. Quelques secondes plut tard j’entends frapper a la porte, j’ouvre et ho ! Surprise… ce n’est pas celui que j’avais sucé qui venait
me rejoindre, mais son pote.
— Y paraît que t’es une bonne suceuse ?
— Ouai…qui t'a dit ça
— Alors, vas-y… pompe-moi-la bite…
Il est très excité, car il bande dure, il a lui aussi une bite bien épaisse, mais bien plus longue que son
pote, il gémit sous mes coups de langue et après au moins 5 mn de suce il me demande :
— Vas-y… baisse ton froc j’ai envie de voir un vieux a poil…
Je me dis, cool… je vais enfin avoir le droit de me faire moi aussi pomper. Le Prob. est que
ça ne c’est passé comme je l’avais espéré, car le mec en avait après mon cul et il commença à me doigter, je le repoussais gentiment en lui disant " non mais ça vas pas le tête",
mais il se fâchât et me retourna brusquement me plaquant une main sur ma bouche, là il m’enfonça un doigt dans le cul en me disant :
— Ferme ta gueule salope… tu vas me donner ton cul sans broncher t’as compris ?
sa main sur ma bouche empêchant mes protestations
--- ta gueule j’ai dit… j’vais te baiser comme une pute ok ? et t’as pas intérêt à gueuler ou j’te fracasse ta petite gueule…
Son doigt me trifouillai le cul et en mis un 2e, là j’ai poussé un petit cri, mais il me flanqua une grosse
claque sur les fesses.
— Putain… j’tes dis de fermer ta putain de gueule salope…
Et il me remit ses 2 doigts dans mon fion.
— Écarte bien ton cul salope… hum… apparemment t’en es pas a ta 1ere bite a ce que je vois…
Avec ma tête je répondis par l’affirmative
---t’aime la queue toi hein ? t’as du déjà t’en prendre plein le fion… t’as un
trou on dirait un garage a bites… j’imagine que tu t’es déjà fait saillir a la chaine hein salope ?
Il me re-flanquas une claque sur le cul en me disant :
— Hey… réponde quand j’te pose une question salope… t’aimes la bite ?
— Oui…
— Oui quoi ?
— Oui j’aime la bite…
— Alors t’es une salope ?
— NON ..heu….Oui suis une salope…
— Et une pute ? me tirant par ma barbe
— Aiii Aiii ….Oui suis une pute…pitié…
— Et t’aime bien te faire défoncé le fion hein ma salope ? dis-moi que t’aimes ça…
—
Oui…j’aime me faire enculer…
— Putain… tu m’excites grave salope… j’aime les bonnes putes… et casser des culs de PD… j’vais te défoncé et te saillir comme une sale chienne t’as compris
?
— Oui …Ouiiii j’ai compris…
— Dis-moi que t’as envie de ma queue…
— Oui…mec j’ai envie de ta bite d’étalon dans mon trou de pute…
À ces mots il m’enfonça sa bite jusqu’aux couilles dans mon cul et me ramona comme une brute.
— Ouai… putain… t’as le cul large ma salope… ça se sent qu’ t’as déjà pris des coups de bites… tien prend moi ça sale pute… han… han…c’est bon ?
—
Oui c’est bon… vas-y défonce moi…encore plus fort
---Chienne , tiens prend ça
Je me suis fait baiser comme ça pendant 15 bonnes mn j’ai cru ma prostate explosée
avant qu’un coup de rein sec il m’envoie tout son foutre dans mon cul.
— Ouaiiiii…. Putain… c’était bon… mon pote avait raison t’es une bonne salope…
Il se rhabilla et reparti.
Epuiser je me suis également rhabillé, reparti a ma place ou les deux compères. rillaient en cœur avant de descendre a la gare de Reims.
Je finis mon voyage en pensant a ces rencontres furtives dans le TGV que prenais pour la 1ere fois .
Arrivée gare TGV-Meuse ,putain pas de navette bus , je suis a 40 km de chez moi
.
--- Oui monsieur mon service est terminé mais vus ce qu vous avez entre les jambe je peus faire un extra
Oooops Je m’apercevoir que ma bite pendait , ayant oublié d’avoir remonté la fermeture éclaire
--au point ou j’en suis , si vous voulez j’accepte tous ce que vous voulez….
-Ok monte
le chemin sembla beaucoup plus court que prévu , il me branlait tout en roulant , puis m’invite a la sucer
arrivée a destination , je l’invita a la maison
après quelque bières
Bon, pour cette nuit je peux vous trouver une chambre ici, mais ne vous attendez pas à du tout confort. Vous
repartirez demain matin.
- Merci beaucoup ! C’est très gentil de votre part ! "
. Arrivé au premier étage, J ouvre la porte d’une petite chambre.
- " Voilà, c’est là. Il y a une salle de bain derrière la porte à côté, à droite. Si vous voulez prendre une douche. Vous me direz combien je vous dois pour la course ".
- Entendu ! Encore merci ! "
En me couchant ce soir-là, je suis resté à poil et j’ai défait mes draps pour être entièrement découvert.
Quand la porte s’est ouverte ,il est entré, j’étais allongé sur le ventre, le cul cambré, le visage tourné vers lui, les yeux fermés évidemment. il s’est caressé juste au-dessus de mon visage. J’ai senti sa main gauche sur mes reins, puis sur mes fesses, j’ai légèrement écarté les cuisses, et ai repris mes murmures de plaisirs et mes "… Oui… Encore… ". Il a alors été jusqu’à enfoncer un doigt entre mes fesses, puis deux, puis me chevaucha ,je sentais son gland approcher de la cible, retira ses doigts et senti sa bite entrer en moi ou il se branla avec force , je sentais ses spames monter , se retira , présenta sa bite a ma bouche j’ai doucement sorti ma langue et il s’est branlé dessus, tout en me re-doigtant avec deux, puis trois doigts, un coup de rein il a enfoncé sa bite dans ma bouche jusqu ‘a la glotte et a soudain joui, m’inondant la gorge de son jus que j ‘avala., a mon grand plaisir.
Il est parti le plus silencieusement possible.
Quand je me reveilla au petit matin , au bruit du moteur
Il était parti laissant sur la table une facture " voyage gratuit ,trop bien rémunéré , merci ,son
tel 06.1...., sa photo
et rappelle moi quand tu as besoin de te
déplacer , bisous sur ton petit cul si acceuillant"
a poil dans ma cuisine je me préparai mon café , repensant à ma journée d'hier ,a mon age (63 ans) je ne pouvais m'imginer que mon corps pouvait plaire encore autant.
soudain la sonnerie du téléphone ma rappela a la réalite.
--Allo!!
--Salut papa c'est Pierrot
--Salut fiston quel surprise si
matinal?
--oui j'avais envie de toi alors comme je suis de passage par chez toi...
--Ah! bon et tu es ou ?
--La.....juste derrière ta porte , tu n'as qu'a ouvrir....
-- tu me fait marché.....la
--non papa ouvre
quand j'ouvri la porte il était bien la....avec un grand sourir il me sauta dessus , m'embrassa goulument et me dit
"j'adore te voir comme ça a poils , déssappe moi vite je veus etre à toi et vivre une journée d'enfer avec toi"
a suivre.......
2009 une année qui semble bien commencée ,mon petit fils qui vous a
raconté son histoire est venu passer le we chez moi ,je lui demandai de faire sur le net des recherches de photos pour agrémenter ma prochaine histoire ,
en cours d'écriture et que je vous dévoilerai prochainement.
sur un site de rencontre il entra dans un dial avec un garçon.
-- Salut
--Salut
--j'ai 28 ans ,
grand,cheveux blond et toi?
--moi18ans depuis 6
mois ,brun taille moyene , yeux bleu
--humm!! tu
aimes quoi?
la question qui tue ! apres un temps de reflexions
--un peux
tous
--oui comme moi , tu es actif , passif ou
les 2?
--je suis novice , mais a deja pratiqué les 2
--tous comme moi , tu dois etre imberbe?
--oui et toi?
-- aussi mais un peu poilu sur le torse
--whaa j'aime quand il y a des
poils
--tu es bien monté je veus dire ta bite
comment elle est?
--ben disons dans la moyenne
16cm/4,5 environ
--tres bien pour ton age moi 18cm/3 environ
--humm!!! une longue et fine miam
miam.....
--je vois tu est deja connaisseur ça
te dirai une rencontre?
--ça dépend
--ça dépend de quoi?
--ben si la distance n'est pas trop
éloigné .........tu es ou?
--à Etainsse en lorraine
--ben moi aussi de passage chez mon grand
père
--ah ! bon on est presque voisin alors..
quelle rue?
--rue du Bojolais ,lot des
plantes
--wha..génial je suis dans la rue des vosges a 300m de la tienne.
--tu connais peut etre mon grand
père
--je pense oui dans cette rue , le vieux Simon un super barbu c'est ça?
--oui tu as vu juste
--putain moi il me fait bander quand je le croise dans la rue il est super beau pour son age
--merci pour le compliment je lui transmettrais.
--pas de soucis, avec plaisir , alors je peux venir te voir quand? heu....ton prénom c'est quoi?
--moi Joël et
toi?
--enchanté Joël moi c'est Dominique alors
quand?
--attend faut que je demande a mon grand père
--tu sais il peut etre là, j'adore les vieux et je sais que souvent il
recois des mecs chez lui , il doit surement etre un peu homo
--tu a vu juste ok pour demain apres
midi
--A quel heures?
--apres 15h
--Ok je viendrai avec tous ce qu'il faut (capotes et
boissons)
--ok a demain ,grand père est
d'accord
--bisous a tous lesdeux
--merci bisous
Joël quitta le dial et me
dit "grand père demain apres midi je t'ai pris un rendez-vous"
Je resta sans voie , avec un grand sourir et lui dit " tu as trouvé des photos pour mon histoire"
--ben non grand père on les faira demain
le lendemain matin , je parti
chercher mon pain comme dabitude , en revenant je croisa comme souvant un jeune homme ,
qui a l'ordinaire disait rarement bon jour , c'est des chose qui arrive
fréquament de nos jours .
--Bonjour monsieur Simon , vous aller bien ?
--bonjour
jeune homme repondis-je surpris et toi?
--ça vas merci
alors je peus passez chez vous cette apres midi?
--Ah! c'est toi Dominique j'aurai jamais pensé que tu étais gay
--A vrais je ne pensais pas du que vous aimiez les mecs , depuis le temps que l'on se connait de vue.....
--Oui on a peut etre passé sur de bonne occasions mais tu préfère surement plus les minets que les vieux?
--A vrais dire je prefère les hommes de votre age mais un ptit minet qui m'invite je ne refuse pas
--OK OK ben a tout a l'heure alors.....
--OUI OUI vers 15h comme promis a Joël
--de toute manière , moi je ne serais là qu'aprés 16h
--je peus venir plus tard si vous voulez?
non viens comme prévu , Joël sera a la maison , il peut recevoir sans moi c'est un grand garçon , aprés tous c'est lui qui t'as invité , non.....
--heu..... oui
Aprés le repas Joêl fist la vaisselle comme tous les jours ,quand il vient me rendre visite et me dit :
--tu crois qu'il va osé venir?
--Ne stress pas d'avance , tu as accepter , donc c 'est a toi de prendre le cours des choses
--j'ai jamais recu un mec c'est une première pour moi
--il faut un début a tous , n'oublie pas je suis là qu'apres 16h pour te conseiller si besoin est......
merci grand père , je vais me faire beau , 15h c'est bientôt
--oui petit va et bien propre partout
viens avec moi sous la douche , toi aussi tu doit y etre , il m'avais dit qu'il aimait aussi les vieux.....
--AH ! bon il a dit ça
nous primes notre douche ensemble , je voyais sa joie en lui , il me fit choisir son boxer , sa tenue , c'etait comme un
petit prince et pour moi il prit soin de bien brossé ma barbe me fit mettre le boxer transparent qu'il m'avait offert a mon anniversaire , "il te va si
bien et moule bien tes fesses et ton sexe , il va etre seduit de suite "dit -il
--c'est pour toi qu'il
vient
--oui grand père pour nous deux aussi
je parti de la maison faire des
courses, comme j'avais prévu , laissant mon petit fils seul a la maison.
Pendant ce temps là:(raconter par Joël)
J' étaist excité
comme une puce à l'idée de faire ma première rencontre .
Seul les grincements du lit , confirmaient mon besoin de jouïr
en solitaire ( n'ayant pas de petit copain. , un petit coup de ça va ça vient le
soir avant de fermer les yeux , ou le matin au réveille avec la bite dure comme un morceau de bois mort.) comme tous mecs c'est naturel......
Soudain la sonnette retentit
je vais ouvrir...
il était là dans l'embrasure de la porte, les mains posées sur le haut de la
porte
-- whaaa!! salut , t'es pile a l'heure
--salut petit eh! oui j'aime pas etre en retard
-- rentre, et je te sers un verre, , en attendant grand père , tu veus quoi bièrre, coca ou wisky?
--allez pour une fois wysky
je lui servi donc un verre et en pris un egalement (apres tous pour quoi pas) on commence à parler, un peu plus intime qu'on avait pu le faire sur le chat. Et
alors, il s'approche et me roule une pelle d'enfer incroyable, il a assurément beaucoup d'expérience. Je commence à lui enlever son T-shirt, il est musclé, mais sans
trop
Puis je descendit le long de ce corps d'Athlète, et commença a lui retirer son fut, puis le boxer, qui libère son paquet ,
l'objet de mes désirs, et je commence à le sucer.
Je prends d'abord le gland en bouche, puis je fais des vas et viens sur toute la longueur de sa queue, difficilement
d'ailleurs.
Il était près à gicler dans
ma bouche, mais je voulais le meilleur pour mon cul, alors je me suis arrêté là.
Il passe sa main entre les boutons de ma chemise, me déboutonne lentement et commence à me caresser, c'était excitant. Il me l'enlève, il me serre dans ses bras, et commence une longue série de
baisers, il commence par le nuque puis descend, jusqu'à mon jean. Là, il commence par me déboutonner, laissant apparaître un boxer bien serrer.
Il commence à me masser la queue à travers, l'effet fut immédiat.
Il descend mon boxer et commence à le prendre en bouche, oh putain quel plaisir, il suce tellement bien, j'ai faillit exploser au bout d'5 minutes.
Il se retire, prends une capote et me la mets. Sans un mot, il se retourne et me
présente son joli petit cul. Je pose mon gland à l'entrée et appui.
Elle rentre doucement, mais entièrement. Dominique pousse des gémissements de plaisir. Je fais des vas et viens à l'intérieur de son cul de plus en plus rapide. Et là, une idée me
vient, je me cale bien à fond et je bascule sur le dos entraînant Dominique avec moi, je me retrouve donc sur le dos sur le canapé en train de prendre Dominique qui est allongé sur
moi.
Cette position me permet de le branler en suivant mes mouvements de bassin. On reste comme ça seulement une dixaine minutes, puisque, n'y tenant plus, je largue tout mon foutre dans la
capote, on reste comme ça quelques minutes et puis je me retire.
Il me tend une autre capote, je lui mets et sans
se faire prier, il me l'enfonce directement en levrette, j'ai faillit hurler de douleur,mon cul n'étant pas habitué et sa bite plus grosse que celle de mon cousin qui m'avait dépuceler, mais
très vite la douleur laisse place au plaisir, il se couche complètement sur moi, la rentrant toute entière, il ne lui fallut pas longtemps pour éjaculer, il resta dans mon cul , on
s'était assoupi tout de suite après
quand mon grand père rentra il nous trouva ainsi
ce fut quand il
dit
-- je vois l'affaire a été bonne
--Ah ! vous êtes de retour……
--Oui j’ai ramener des fruits , je vais vous préparer un cocktail
--Votre petit fils m’a bien reçu , c’est un vrais gentleman
--ah !bon il vous a offert quelques choses au moins
--whisky et son petit cul
--oui j’ai vu ça en entrant
--c’est un super étalon aussi mon cul a aimé
--je vois je vois ,je vous prépare mon cocktail et je suis a vous
Moi je ne l'écoutais plus je flashais sur son corps, son torse, ses biceps veineux, ses très larges cuisses,
ses pectoraux bien dessinés, les tétons biens pointus, et je dois l'avouer sa bite orientée sur le gauche qui me fascinait.
Quand je pris les bananes il se mis à me brancher:
--elle sont grosses hein les bananes, j'en ai mis une fois dans la chatte à ma copine, elle a pas aimé...
--il fallait retirer la peau... ça fait moins mal , lui dis-je
--ah bon comment tu fais? , me dit-il
Rouge de honte, je ne répondais pas à ses allusions...
--pff il me dit " fait chaud ici ", je peux te mettre à l'aise ?
--Oui lui dis-je si ça peux te faire plaisir !
Quand il retira mon pantalon, je vis sa bite se dresser comme un sabre, mais je coupais les oranges sans rien
n'y faire paraître...
et je retournais à la pelure de mes pommes...
soudain il me rejoint et se colla à mon dos en m'enlaçant, je stoppais net mon travail car je sentais sur ma raie une énorme bite qui palpitait...
la tête en feu, je la rejetais en arrière pour sentir son souffle chaud, avec mes mains je caressais son bassin,
Je sentis encore plus précisément cette masse de chair palpitante contre mes fesses.
Il pris une banane, l'éplucha et sans rien dire me la mis dans la bouche, j'ouvrais ma gueule et au lieu de manger un morceau commençais à sucer le fruit.
Lui de son autre main, saisi la bouteille d'huile d'olive qui était sur la table et en reversa entre mes fesses...
il jeta la banane, et me pencha en avant. Il sorti d'on ne sait ou une capote qu'il enfila...je n'osais bouger, j'avais poussé le saladier de salade de fruit, et j'avais le nez dans les
épluchures.
Avec deux doigts il me pénétra pour me préparer à l'assaut.
L’huile facilitait son travail je gémissais.
Je pris l'initiative de branler un peu sa grosse bite et la présenta devant ma rosette...
je pris appui sur la table, il me pris par les épaules et commença le travail
d'enculage.
La douleur plaisante au début fut intense quand son énorme gland franchit
mon sphincter...
Je vis des étoiles, par correction il ressortit, ce fut un bruit de bouteille qu’on débouche tant sa bite était massive... je fut soulagé.
Il prit le pot de crème fraîche et le sucre et badigeonna ma bite
--Joël mon petit viens sucer papy
--avec plaisirs hummmm c’est bon manque un peus de jus….
puis m'enduisit largement le cul et sa bite .d’huile d’olive..
sans me toucher, il m'encula d'un coup. Je sentais sa bite qui avançait dans mon rectum inexorablement, la base de sa grosse bite plus large me fit relever la tête dans un feulement de douleur et
de plaisir à la fois.
J’avais l'impression qu'il distendait en longueur mon rectum, ses couilles enfin touchèrent les mienne.
Il me dit "tu es à moi maintenant"
je ne pus lui répondre tellement essoufflé.
Puis m'écarta les fesses avec force et se mit à me labourer puissamment? J’avais l'impression qu'il m'arrachait les intestins à chaque retrait, mais j'avais le sentiment de sa puissance derrière
moi.
Ce gars de 22 ans me possédait comme une bête !
Ma prostate en vracs, mon anus dévasté, je jouissais dans la bouche du petit fils qui n’en perdit pas une gouttes, les resserrements de mon anus, lui fit gonfler encore plus sa bite et il poussa
un cri étouffé. Ses jets de sperme contenus dans la capote furent nombreux.
Il se coucha sur moi, sa queue me possédant encore.
J’aimais cette position de soumission, sa transpiration se mêlait à la mienne,.
Il ne débandait pas, alors que la mienne continuais ses mouvement dans la bouche tout en se ramollissnt;
il me dit "t'as une bonne chatte, ma salope, t'es une vraie chienne !"
(Je me dis chatte et chienne à la fois, quel bonheur)
puis il décula toujours bandé à mort, il me retourna et me dis, je retire la capote et tu me nettoies.
Ce que je fis, son sperme avait un goût sucré, les
veines de sa queue me déliraient, ses couilles pendaient maintenant, il avait un bas de corps très poilu et ça m'électrisait
J’étais là assis contre le pieds de la table, le cul sur le carrelage froid, avec l'impression qu'il était encore en moi
Je me remis a faire mon cocktail aidé par le petit fils et notre nouveau ami
Apres plusieurs verres , une bonne douche , Joël se mis a l’écart et nous regardait , trouvant ce moment un peux court.
Dominique le vis et lui dit
--t’inquiètes petit on se reverra car tu est un bon baiseur et ton grand père une bonne chienne
--tu crois ?
--oui j’y crois mon cul te réclame déjà
--ben alors viens j’ai encore envie de te défoncer a nouveau
--viens ,mets toi la capote , je suis a toi
--ouéééé super ouééé
et d’un coup sec sa jeune bite entra a fond ,quand Dominique ouvrit la bouche pour lancer son cri de jouïssance je lui enfourna la mienne
quand Joël senti monter la sauce se retira brusquement , pris un verre , enleva la capote , et en deux secondes y versa son nectar
il pris un autre verre et branla Dominique pour faire de même et idem pour moi
les 3 verres ainsi préparé furent complêtés par du cocktail ,Joël les mélangea
tous 3 les yeux fermés, prenions un vers et chacun bure sans savoir a qui appartenais ,le précieux nectard
plusieurs heures après
- tu sais, me dit-il, je ne peux pas rester trop longtemps avec vous ce soir mais j’ai vraiment envie de se revoir.
Dominique reparti
Nous somme resté tous les deux , pris une douche , et la surprise continua Joël me dit
--grand père le dicton dit jamais deux sans trois
--pourquoi tu me dis ça ?
et sans répondre je sentis en moi sa bite explorer mes entrailles
Dominique deviendra mon amant et peut être la pute de mon ptit fils
………………………………. apres une bonne nuit......................
En arrivant dans la cuisine pour le petit déjeuner, mon oncle nous dit " vous dormiez profondément car j'ai du taper fort et à plusieurs reprise pour vous réveiller" Cela devait être à cause de la dure journée d’hier.
Déguisé comme touts les jours, nous sommes retrouvés dans nos rangs de vignes à faire le même boulot. Thierry était en face de moi et son sourire me faisait oublier mes courbatures de la veille.
Il me semblait que Thierry bandait dans son fute, je lui dis carrément : " Tu bandes ou je rêve ? "
Il rosit et me dit " je repensais à la nuit dernière, oui tu vois juste ", jetant un coup d’œil à droite et gauche, il déboutonna son pantalon pour me montrer au grand jour son sexe raide comme un bout de bois.
" Ben dis donc mon cousin tu t’es vraiment dévergondé depuis hier ! "
" Tu m'as ouvert les verrous qui tenaient mes chaînes "
"
Et toi tu ne bandes
pas ? "
" Non regarde " et je descendis le haut de mon pantalon pour qu’il vois entièrement que je ne bandais pas, mon sexe bien recouvert de son prépuce, reposant sur mes testicules bien
pendantes.
"
C’est aussi joli
comme ça que raide " me répondit-il.
La journée s’écoulait avec le même rythme, pause, repas, pause de l’après-midi ce qui me permettait de
constater que le beau brun remarqué le premier jour était toujours dans l’équipe.
Après nous être changés, comme tous les soirs après le boulot, arrivé dans la cuisine, je dis : " prem’s pour la douche et montais " Thierry dit : " non c’est mon tour aujourd’hui " puis me rattrape dans l’escalier, j’avais déjà ôté mon t-shirt en arrivant presque sur le palier, la main de Thierry m’attrapa par le short qu’il fit descendre, je trébuchais avant de l’enlever entièrement pour ne pas tomber, j’entrais dans la chambre tout nu.
Thierry me suivait de près au point qu’au moment de fermer la porte de la salle de bain, il l’ouvrit brutalement et entra aussi nu que moi.
……………………………
Sans le vouloir j’etais rentré dans le jeux de Thierry………………….. il avait envie de prendre sa douche avec moi en imaginant un plan pour de pas éveiller l’attention de mes parents.
C’est la première fois que je voyais Thierry entièrement nu en pleine lumière, je pouvais admirer son sexe demi
mou fin mais long, garni d’une toison presque rousse qui recouvrait aussi ses testicules, il était super bien bâti et pas mal poilu pour son âge.
sous la douche Je prenais du plaisir, je me redressais pour mieux sentir son corps contre le sien.
Excité a mort ,Sentant la jouissance monter en moi, il pris en main mon sexe, le branlais a bon rythme, j’eus l’impression que nous avions joui ensemble, mon sperme se projeta sur la faïence, tandis que le sien se répandait sur mon dos.
Lorsque nous fûmes arrivés au bout de notre plaisir, nous nous sommes serrés l’un contre l’autre, bouche contre bouche pour un long baiser.
Nous avons fini de nous laver, sa mère nous ayant déjà appelés plusieurs fois.
Arrivés pour nous mettre à table, sa mère dit " je suis heureuse de vous voir tous les deux enjoué et gai " .
On se regarda les yeux dans les yeux , rouge tous les deux jusqu’aux oreilles la même question nous traversa l’esprit " connaissait-elle déjà notre secret ?, a-t-elle deviné notre homosexualité ? "
Apres le repas , nous remontions dans notre chambre , ou après quelques caresses et bisous
Sans que je m’y attende il se retourna brusquement se jetant sur moi me faisant basculer sur le dos, je sentais son sexe raide se frotter sur le mien dans un simulacre de lutte. A un moment je le laissais m’immobiliser sur le dos comme si je me rendais, il plaqua sa bouche sur la mienne, sa langue fouillant dans ma bouche, je me laissais faire, je le laissais m’explorer sentant sa nos bites collées l’une contre l’autre.
J’étais à sa merci, je le laissais descendre directement sur ma bite, la lécha, l’engloutit, la suça avec application, puis
Il me fit rouler pour que je me retrouve en dessous de lui, Thierry quitta mon sexe, écarta mes jambes pour me lécher les boules, puis sa tête remonta vers mes fesses, il léchait mon scrotum, puis m’écarta les fesses pour y enfoncer la tête afin que sa langue atteigne ma rondelle.
j’étais presque à la verticale, J’ était dans la meilleure posture pour écarter largement mes fesses, il avait une vue panoramique sur mon anus. Il l’écarta avec ses doigts pour y faire pénétrer sa langue, il y parvint en y mettant beaucoup de salive. Bien que je sois tendu, il y enfonça son indexe, je me raidis, mais sans douleur il faisait un mouvement de va et vient en mouillant son doigt. Comme je me détendais, il y mit deux doigts, il massait mon sphincter pour le dilater.
A un moment, je sentis le bout de son gland toucher ma rondelle bien mouillée,
Stop lui dis-je
Pourquoi ? je veux faire l’amour avec toi cousin et ensuite toi avec moi
Ok cousin mais faut pas oublier le préservatif
J’en ai pas encore utilisé ,je sais même pas comment ça se met ! ! !
T’inquiète pas j’ai ce qu’il faut
Je pris un préservatif dans mon sac et recouvris son sublime sexe
De nouveau , je sentis le bout de son gland encapuchonné toucher ma rondelle toujours aussi mouillée,
il poussa doucement ,
mais il y allait tellement avec douceur qu’après le passage du gland de Thierry, le reste pénétra sans difficulté. il augmenta ses mouvements ,
je sentis Thierry se crisper, et un liquide chaud envahit le latex dans mon ventre.
S’éffondrant sur moi avec un long baiser langoureux avant d’ajouter
Je suis a toi
Tu crois que je peux ?
Oui je veux perdre ma virginité comme toi la dernière fois a l’hôtel.
Mais cousin tu n’as que 17 ans , j’ai pas le droit…
Tu fais chier c’est aujourd’hui que je te veux , et je serai majeur dans 8 jours et tu sera plus là.
T’énerve pas cousin tu as raison la majorité elle est pas à 8 jours prêt alors enfile moi une capote
Merci cousin prend moi dans la même position que je t’ai pris
Sur le dos , les jambes sur mes épaules , sa rondelle bien travaillée avec du gel , ma bite touchait sa rondelle bien mouillée
je poussa doucement, il se détendait au maximum de peur d’avoir mal, j’ y allais tellement avec douceur qu’après le passage de mon gland , le reste pénétra sans difficulté.
J’allait et venait doucement, sentant qu’ il n’avait pas mal, j ‘augmentais mes mouvements. Au début il ne bandait plus, plus il me faisait jouir, plus il bandais, je le masturbais en même temps que je sentais ses couilles heurter mon bas ventre.
Soudain, je me crispais, et un liquide chaud envahit le latex dans son ventre en même temps que lui éjaculait une nouvelle fois en grande quantité sur son ventre.. m’écroulant sur lui ou nos corps avec l’aide du sperme se collèrent , basculant sur le côté
Nous sommes endormis dans les bras l’un de l’autre et curieusement nous nous sommes réveillés dans la même
position.
7H 30 le matin
Nous descendions pour prendre le petit déjeuner
-Ah !vous voilà enfin dit ma tante la
fatigue y est sure ment pour quelque chose , mais vous semblez tellement heureux tous les deux
Oui maman , dit Thierry il devrait venir plus souvent….
-La prochaine fois il reviendra , mais ce soir on fera une petite fête , et Joël pourra voir sa cousine Fanny qui revient pour le WE.
Ma chieuse de sœur j’espère qu’elle vient pas avec son copain Julien ?
-Si fiston faut que tu t’y habitues il fera bientôt parti de la famille.
T’inquiète Joël on va s’en occuper me dit-il tous bas
Nous partîmes travailler toute la journée ,Thierry me passer la main sur les fesses de temps a autre avec de grand souris , j’etais heureux de le voir ainsi et lui demanda " ta sœur elle vient dans ta chambre ? "
Oh ! oui elle rentre quand elle veut
On va pas pouvoir être a poils alors ?
Mais si , mais avant on lui rendra visite dans la sienne voir si elle est a poil comme dab.
Ta sœur vis a poil dans sa chambre ?
Et je pense que Julien le sera aussi , il est naturiste
Tu verras on vas s’éclater maintenant que te m’as fait sauter tous les vérous.
Le lendemain après encore une longue journée , aussitôt arrivé ma tante nous dit " tu vas pouvoir rencontrer ta cousine Fanny et son ami Julien ".
Thierry lança " ils sont ou ? "
" Dans leur chambre je suppose " dit elle
" bon Joël on va prendre notre douche , pour sentir meilleur et après on ira dire bonjour " dit Thierry
Nous montions les escaliers quatre a quatre et pris notre douche ensemble.
Apres , tous deux en boxer , devant la porte de la chambre , il frappa et ouvrit la porte sans attendre la réponse.
" Salut grande sœur , voici notre cousin Joël "
Ooooops la boulette , sa sœur était en train de faire une pipe a son petit ami
" Heuuu EXCUSEZ NOUS , je ne pensait pas vous déranger "
Fanny retira la bite de Julien ,dit " désolé pour vous mais je pouvais pas attendre " et repris sa suce.
Julien releva la tête pour dire a Thierry " tu vois l’avantage d’avoir une copine "
Thierry répliqua " quand vous aurai fini venez dans ma chambre je vous présenterai le cousin Joël "
Nous faisions demis tour et repartions vers notre chambre ,en nous enlevant mutuellement nos boxer.
il plaqua sa bouche sur la mienne, sa langue fouillant ma bouche, je me laissais faire, je le laissais m’explorer sentant sa nos bites collées l’une contre l’autre.
J’étais à sa merci, je le laissais descendre directement sur ma bite, la lécha, l’engloutit, la suça avec application, puis allonger sur le lit ,il fit demi tour pour me présenter sa bite, nous étions tête bêche s’activant l’un sur l’autre.
Nous n’avions pas entendu l’arriver de Fanny et Julien qui nous trouvèrent ainsi ,
ma position ne permettant pas de les voir entré.
nous arrêtions brusquement quand Fanny et Julien entièrement nu , lança " SUPER PETIT FRERE TU AS BIEN
PROGRESSE "
Heu.. ! ! oui voilà Joël notre cousin
Enchanté cousin ,bien monté en plus dit-elle
" Merci cousine je suis ravis de te revoir en bonne compagnie aussi "
je n’avais jamais vu de sexe de fille , n'ayant pas de soeur , mes yeux restaient fixé sur le petit triangle de poils ,c’ etait le premier sexe de fille sous mon nez
je fus surpris d’entendre Fanny , qui l’a deviner de suite , dire " cousin Joël en gâge de bienvenue tu peux toucher ? "
" oh ! cousine j’ose pas c’est à ton petit ami "
Julien répliqua " vas-y , tu peu même lécher , moi je vais m’occuper de ton petit cul " en passant derrière moi et me pris par les couilles.
Thierry fis de même avec ceux de Julien
Je lêchais la chatte de ma cousine d’ou une chaleur douce et humide m’enivrait ,elle aimait , les jambes écarté , sa chatte criait famine , je bandais tellement dure Julien comprenait mon excitation et dit a Fanny
" laisse toi baiser par Joêl il a une queue d’enfer presque le double de moi tu connaîtras un autre plaisir "
j’accepta la proposition avec plaisir ,mis une capote , ce fut sublime quand mon sexe entra dans la caverne humide.
Thierry se positionna derrière moi , pris une capote , et me sodomisa ,invitant Julien a lui faire de même ce qu’il ne refusa pas (étonnant pour un pur hétéro comme il dit)
Les mouvements de vas et vient de Julien sur Thierry , répercuté sur moi qui aidé par Fanny nous permis de jouîr tous en coeur dans une ambiance de fête ou fusait les gémissements.
Surpris par Fanny qui décida de comparer le contenue des capotes " celui qui aura le moins de jus devra se faire sodomisé par les deux autres le temps que le pomperai ". les trois garçons ayant confirmé par un " YES "
Apres contrôle c’est Julien qui en avait le moins. Il protesta " normal j’avais déjà éjaculé avec toi Fanny ".
Le jeu c’est le jeu , tu as dit " OUI , mais tu n’as pas tout a fait tors "
Je suis vierge de ce coté là dit-il je propose un compromis " je veux bien perde ma virginité , Fanny mais tu dois perdre la tienne aussi "
" OK chéri , mon cul est a toi et le tien a mon frère et au cousin "
" bon compromis " dit-il " que la fête commence "
c’est ainsi que TOUS en quelque jours ou quelques heures deviennent BI
Nous primes une douche collective et nous arrivions tous en retard au repas du soir
Ma tante dit " j’ai frappé a la porte plusieurs fois , vous aviez l’aire de vous amuser tous ensemble que j’ai pas insisté , ça ma faisait trop plaisir de vous vous tous ensemble si heureux "
Les jours suivants fut la répétition de ce bonheur et les vacances se terminèrent.
Joël tu crois qu’au prochaine vacances si je viens chez toi on pourra revivre ce bon moment ?
Oui Thierry mais ça sera pas chez moi , c’est trop petit
Ça sera donc pas possible ?
SI je vais demander a mon grand père Simon, il a de la place , il dira pas non
Oui mais tu crois que l’on pourra s’aimer
Tu le garde pour toi , comme un secret entre nous si je te dis
OUI cousin tu as fait de moi un homme responsable en brisant la chaine de ma vie dont j’etais prisonnier.
Alors t’inquiète pas grand père est comme nous et avec lui ça restera aussi un secret
Merci cousin de ces agréables vacances et a bientôt
A suivre…..
La vie est ainsi faites , ces jeunes s’aiment , il faut pas les banir ,être HOMO ou BI c’est une autre façon d’aimer
Après cette nuit d’hôtel inoubliable, je conduisais le cœur joyeux, d’une humeur particulièrement énergique, chantonnant la fenêtre ouverte laissant entrer les effluves de la mer qui approche.
Vers midi, je m’arrêtais dans un resto rapide pour me goinfrer d’un double hamburger frites, coca, j’étais installé sur la terrasse à l’ombre d’un parasol, mes pensées revenaient toujours vers ce garçon beau comme une statue, tout en douceur et virilité qui m’avait fait connaître le septième ciel pour ma première sodomie. Je regrettais de ne pas lui avoir demandé ses coordonnées.
Tant pis ce serait comme un rêve que je n’oublierai pas.
Plus j’approchais du domaine, plus j’étais entouré de vignobles, des rangs de vignes bien feuillues rangées comme des élèves. Je savais que mon boulot serait dans ses rangs à m’occuper de je ne sais trop quoi
Je cherchais ma route, il approchait les 18 heures, mais tout ce ressemblait, à force de chercher, je finis par demander à un passant où se trouvait le domaine de mon oncle. Il me l’indiqua avec un fort sourire, mais au bout du compte je me trouvais juste devant l’entrée du domaine. J’empruntais une longue allée de terre bordée de chaque coté de rangs de vignes avec des rosiers au début de chacun, j’étais émerveillé, un peu inquiet de tomber dans une famille très riche loin de mon niveau familial.
Au bout d’une allée interminable, j’arrivais dans une cour cernée d’immenses bâtisses, des engins agricoles, puis une superbe maison de pierres avec un étage. Un platane au moins centenaire ombrait la cour, une grande table de ferme, des fauteuils invitaient au farniente et la convivialité.
A peine entré dans la cour qu’un chien aboya pour signaler ma présence, j’arrêtais la voiture, il vint à ma hauteur, une femme d’une quarantaine d’année lui ordonna de se taire en s’approchant, je pouvais la détailler, elle était élégante, un beau sourire chaleureux invitant à l’affection.
-" Je suis ta
tante, tu es Joël, Tu as fait bon voyage ? Pas trop fatigué, range ta voiture et viens boire un coup ".
Je fus surpris de la ressemblance avec ma mère, sa sœur son aînée de deux ans.
Je rangeais ma voiture, dès que je fus sorti, elle m’enserra dans ses bras pour m’embrasser sur les deux joues, un baiser d’une tendresse que j’avais rarement ressentie.
Elle m’invita à pénétrer dans la maison, j’entrais dans une grande cuisine rustique une grande table me fit penser qu’il devait y avoir du monde dans cette demeure. Elle me proposa à boire, je choisis une bière bien fraîche, assis tous les deux, elle m’expliqua que mon oncle et mon cousin étaient encore dans les vignes, qu’ils rentreraient vers 19h que je dormirai dans la chambre de Thierry, qu’elle n’y rentrait jamais dans sa chambre sans sa permission, qu’il m’aiderait à m’installer dès son arrivée. En attendant elle me fit visiter la maison, j’entrais dans une grande salle à manger une grande et belle cheminée ornait un mur de crépis blanc un canapé et deux fauteuils étaient disposés devant comme pour profiter du spectacle magique d’un feu de cheminée. Des photos étaient posées sur un meuble, j’eus du mal à reconnaître les personnes, ma tante s’apercevant de mon interrogation me présenta les personnages. Il y avait mon oncle, un bel homme, frisant la cinquantaine, deux enfants aux alentours des dix ans, c’était ma cousine Fanny et mon cousin Thierry, je me rappelais vaguement de leur visage. Ma tante me dis qu’ils avaient bien grandis depuis que Fanny faisait ses études d’œnologue à Bordeaux pour s’occuper du domaine avec son père, qu’elle avait maintenant 20 ans et que Thierry avait maintenant 17 ans qu’il faisait des études de commerce, elle regrettais qu’il soit comme elle dit " réservé ", un peu trop timide à son avis, qu’il n’avait pas de copine. Mes yeux étaient rivés sur ce garçonnet aux cheveux presque roux aux yeux verts. J’étais admiratif devant ce décor luxueux et de grand goût. Une baignoire d’angle avec jets d’eau et deux lavabos meublait la salle de bain, un salon de télévision avec un écran plat suspendu au mur. Je n’avais encore jamais vu une telle demeure, je craignais de plus en plus d’être tombé dans une maison de bourgeois, pourtant ma tante me semblaient simple dans ses attitudes et ses vêtements.
Cette visite avait écoulé le temps sans que je ne m’en aperçoive, au point que ma tante me fit remarquer le bruit de la voiture de mon oncle qui entrait dans la cour, nous sommes sortis pour les accueillir.
Un superbe 4X4 venait de se garer à coté de ma petite voiture, j’étais presque gêné de ce décalage. Mon oncle descendit accompagné d’un grand et beau jeune homme que je reconnu tout de suite à sa couleur de cheveux. Mon oncle s’avança vers moi son sourire aussi chaleureux que celui de ma tante et sans retenu me serra dans ses bras pour m’embrasser, je sentis à leur accolade quel plaisir et joie ils avaient de me revoir, je me détendis en oubliant la différence de niveau de vie.
Mon cousin s’approcha pour me serrer la main, je sentis sa retenue de me faire la bise, même sa mère fut surprise " Thierry , ben tu n’embrassa pas ton cousin ? " ,se fut donc une bise de convenance que nous nous fîmes.
Ma tante lui dit " montre lui où il va dormir et y mettre ses affaires puis montre lui la salle de bain il prendra bien une douche avant de souper , ça le détendra du voyage ".
Thierry m’aida à prendre mes différents sacs et me précéda à l’étage pour me montrer sa chambre. Lorsque j’entrai, je fus surpris de voir une grande pièce sous les toits avec deux grands velux au dessus de deux lits d’une personne, il y avait un coin bureau avec tout son matériel informatique, dans un autre coin quelques appareils de musculation. Un immense tapis rouge séparait les deux lits.
Il me dit de prendre le lit de gauche, l’autre étant habituellement le sien, nous posions mes sacs. Il me montra une porte derrière laquelle se trouvait sa salle de bain avec baignoire lavabo et toilettes.
Thierry me montra les serviettes de toilettes et me dit de prendre ma douche en premier, car il devait finir du rangement avec son père.
Il redescendit pendant que je déballais mes affaires, au moment ou je retirai mon baladeur, une petite carte chue je la ramassais pour voir ce qu’il en était. C’était une carte de visite avec le nom de Nicolas Robinet agent commercial d’une société de machines outils, avec une adresse et un numéro de portable écrit à la main.
Je la retournais pour lire ces quelques lignes – "
merci pour cette nuit d’hôtel, ma carte de visite avec mon numéro personnel si des fois tu voulais passer un moment en ma compagnie "
Je relus plusieurs fois ces lignes avec une intense émotion qui me mit les larmes aux yeux, il ne m’avait pas oublié tout comme moi et me laissait ses coordonnées.
Je rangeais précieusement comme un trésor sa carte de visite dans mon portefeuille.
Comme j’étais seul dans la chambre je me mis à poil pour aller prendre une douche.
Cette eau tiède qui coulait sur le corps me délassa. Je pensais à Nicolas et notre nuit d’hôtel, tout ce que j’avais appris et ressentis, cela ne tarda pas à me faire bander, mais je n’osais pas me masturber dans la douche de mon cousin surtout le premier jour, je m’astiquai quand même un petit moment pour me calmer à la limite de l’éjaculation, mon excitation retomba.
Cette douche dura plus longtemps que prévu et au moment ou je sortais de la salle de bain pour mettre des vêtements propres, Thierry entra dans sa chambre et me vit nu, pas eu le temps de mettre mes mains devant mon sexe.
-" excuse-moi " dit-il rouge comme une fraise des bois " je croyais que tu avais terminé, et j’ai tellement l’habitude d’être seul dans cette chambre que je n’y ai pas pris garde ".
Tout en me dirigeant vers mes habits, je lui répondis " ce n’était pas grave après tout nous étions deux garçons et qui plus est cousin ".
J’ôtais mes mains de devant mon sexe pour m’habiller, mais je sentais son regard fixé sur mon dos. Après avoir mis mon caleçon je me suis retourné, Thierry était là immobile, le regard figé sur moi, je lui demandais " ça vas ? ", il se ressaisit encore plus rouge en se dirigeant vers la salle de bain.
Après le souper, confortablement installés dans le salon mon oncle me parla du lendemain, le travail qui m’attendait, qu’il me présenterait les ouvriers, mais qu’il ne ferait pas de différence entre tous comme pour Thierry qui serait mon équipier
Notre travail consistait à éclaicire les pieds de vignes à la main pour laisser pénétrer le soleil afin de finir le mûrissement des grappes à l’intérieur du feuillage.
Décidemment cette famille me plaisait de plus en plus avec un accueil aussi chaleureux, et un cousin aussi mystérieux qu’attirant.
Mon oncle proposa de nous coucher tôt, car demain il fallait se lever de bonne heure pour ne pas cuire au soleil.
Thierry et moi montions dans sa chambre, comme il faisait encore chaud, nous décidions de laisser les velux ouverts, cela empêchait la fermeture des rideaux, mais le clair de lune était parfait pour laisser la chambre dans la pénombre. Je me mis en caleçon pour la nuit, tandis que Thierry mis un pantalon de pyjama par-dessus son boxer.
Je lui en fis la remarque " tu auras pas trop chaud ainsi ? ", sa réponse fut " j’ ai l’habitude de dormir comme ça ".
Je pensais qu’il voulait se protéger d’éventuelles pollutions nocturnes.
Allongés chacun sur notre lit, nous pouvions nous voir l’un et l’autre avec un tel clair de lune, je voulais entamer la discussion " je m’excuse pour ma sortie de douche et surtout de t’avoir mal mis à l’aise en me montrant nu ".
"
j’ai juste été surpris , j’ai pas l’habitude "
Je lui dis " si tu fais du sport , a la douche les copains sont à poil et toi aussi serait à poil devant eux ".
Il me répondit "
je suis très timide je m’arrange toujours pour prendre ma douche lorsqu’il n’y a presque plus personne, et je garde mon boxer. A chaque fois que je vois un copain tout nu ça me perturbe ".
Puis nous avons discuté du lendemain, comment je devais m’habiller Il me rassura me disant qu’on lui prêterait des vêtements appropriés.
Il me souhaita bonne nuit, le silence se fit. Le sommeil ne venant pas, je restais allongé sur le dos repensant à la carte de Nicolas, puis à ce que m’avait dit Thierry à propos de sa gêne vis-à-vis des copains.
Thierry aussi avait du mal à s’endormir, était-ce la présence d’un garçon couché proche de lui, aussi charmant que son cousin qu’il avait vu nu avec des fesses musclées, un dos qu’il aurait bien voulu caresser, embrasser ?..........................
………………………………chacun dans son lit
.........................................................
La nuit de Thierry fut interrompue à plusieurs reprises, il en profita pour aller faire pipi, il n’éclaira pas
la chambre, la lune suffisait, lorsqu’il revint des toilettes il me vit allongé sur le dos sans aucune couverture, mais les mains dans son caleçon entrain de me tripoter en gigotant de droite et
de gauche,
il ne fit pas de bruit, s’essaya sur le bord de son lit contemplant – sans être vu – le spectacle que son cousin lui
offrait.
Thierry se mis a faire un rêve érotique " ((Il s’arrêtait de respirer lorsque les mains de Joël s’introduisaient plus profondément dans son caleçon pour aller caresser ses boules, il écartait même les jambes pour plus de plaisir. Dans le boxer bien recouvert de son pyjama ,son sexe devenait de plus en plus raide et dur, cela ne le dérangeait pas puisque personne ne le voyait. A un moment Joël s’agita un peu plus et ses mains écartèrent l’élastique de son caleçon il pu apercevoir le début du sexe de son cousin, qu’il venait de décalotter dans un mouvement de va et vient. Il imagina le pire ou le scénario de rêve, pouvoir tenir ce sexe et le masturber)) "
mais la culpabilité l’envahit, il se recoucha et pu s’endormir jusqu’à la sonnerie du réveil et les tambourinements de son père sur la porte pour les réveiller.
Je m’étira en disant " j’ ai super bien dormi et fait des rêves supers bons, sûrement la fatigue du voyage ".
Thierry lui répondit " j’ai pas beaucoup dormi à cause de la chaleur et peut-être de ta présence presque nu à quelques pas de moi ".
La cuisine embaumait le bon café chaud, et le pain grillé, sur la table quatre bols du beurre, plein de confitures différentes.
Ma tante m’embrassa avec toujours autant de chaleur, elle me dit "
Thierry n’aimait pas ça ", alors elle en profitait avec moi. J’adorai quand elle m’embrassait.
Je me goinfrai de pain enduit de confiture que ma tante précisa qu’elles étaient d’elles. Je serais bien resté plus longtemps mon oncle Pierre vint me chercher pour aller au vignoble.
Affublé d’un pantalon, de chaussures de sécurité, d’un t-shirt à manches longues, le tout orné d’un chapeau – un vrai épouvantail – je montais dans le 4X4 où m’attendaient déjà Pierre (mon oncle)et Thierry dans le même accoutrement. Pierre me précisant en roulant que c’était nécessaire pour le soleil, les piqûres d’insectes ou rarement la rencontre de serpents. – Sympathique ambiance pensai-je !
Arrivé sur les lieux de travail, une quinzaine de personnes nous attendaient pour commencer. Pierre me les présenta, je serrai la main à chacun d’entre eux, je remarquai déjà un superbe mec brun, la peau bronzée un regard profond, mais une alliance à la main gauche.
Nous étions par deux de chaque côté d’un rang, Thierry me montrait comment enlever les bons pampres sans abîmer le pied. C’était un travail harassant pour le dos et les genoux, tantôt assis, tantôt accroupi, parfois plié en deux, je pensais qu’en fin de journée je serai épuisé.
Nous avions une pause de 10 minutes toutes le deux heures pour nous désaltérer et se reposer. Plus nous avancions dans la journée, plus Thierry se sentait à l’aise avec moi, parfois j’avais un large sourire lorsque je souffrais. A plusieurs reprises nos mains s’agrippèrent à la même banche dans un éclat de rire sans que cela ne nous gêne. Pendant la dernière pause, Thierry me proposa de finir mon verre, je le saisis avec un sourire équivoque.
J’étais vanné dans la voiture qui nous ramenait au mas. Mon oncle sourit en me disant que demain ce serait pire, mais qu’une bonne douche me remettra sur pied. A peine arrivé, juste le temps de faire une bise à ma tante et monter dans la chambre me mettre sous la douche. Thierry était déjà monté, attablé devant son ordinateur, il me dit " prends ta douche pendant que je consulte mes courriels. "
Je rentrais dans la salle de bain tout en laissant la porte ouverte – au cas où il devrait aller aux toilettes – rien ne se passa. Après avoir laissé couler l’eau chaude longuement sur mon corps, je m’essuyais, puis mis la serviette autour de ma taille pour aller mettre du linge propre.
Thierry était toujours devant sa machine, je m’approchais pour lui dire " la douche était libre ".
-" j’y vais " me répondit-il, " un instant je finis de vider ma boite de réception ".
- Je peux regarder ?
-Sans problème
Je m’approchais toujours ma serviette autour des hanches
Il jeta un coup d’œil discret vers moi pour constater mon costume.
-" bon j’y vais " dit-il, au moment où il fit pivoter son fauteuil l’accoudoir accrocha ma serviette qui tomba sur le sol. Je me retrouvais entièrement nu face à Thierry qui avait son visage juste à la hauteur de mon ventre, il baissa ses yeux comme gêné – mais je pense qu’il voulait voir ce que je cachais sous ma serviette.
Un court instant nous restâmes figés, puis d’un bond, il entra dans la salle de bain en fermant la porte.
Je mis une tenue légère et descendis au salon. Ma tante me dit " ta mère a appelé pour savoir si tu étais bien arrivé, tu dois la rappeler dès que
possible ", puis me demanda comment c’était passé cette première journée.
Ereintante répondis-je
Il faut quelques jours pour habituer son corps, un bon repas et une bonne nuit, cela devrait te faire du bien.
Thierry nous avait rejoint, le repas fut gargantuesque, terrine maison, rôti, pommes dauphines, fromage, tarte maison, un vrai festin.
Mon oncle voulu me faire goûter le vin du domaine, je n’y connaissais pas grand-chose, mais je reconnu qu’il était excellent.
Thierry était remonté dans sa chambre sur son ordinateur, pendant que nous discutions dans le salon. Je pris congé pour aller me coucher car demain commençait une nouvelle journée.
Thierry était toujours devant son ordi,
je lui dis " je vais me coucher ",
il me répondit " j’ en avait pour quelques minutes et j’ irai au lit
aussi "
Je me déshabillais à côté de mon lit tout en gardant mon caleçon, je vis un léger mouvement de tête de Thierry pour voir si j’enlevais tout.
J’était allongé sur le dos les mains sous la tête, je regardais la nuque de Thierry en commençant à me faire un cinéma.
Il éteignit son ordi puis commença à se déshabiller pour se coucher, je remarquais qu’il restait en boxer, je lui en fis la remarque " tien tu mets pas le pyjama ?", il me répondit "
la nuit dernière j’ai eu trop chaud ".
La lumière ne resta pas longtemps allumée, je tombais rapidement dans les bras de morphée.
Dans la nuit, je fus réveillé par des gémissements, je vis que le lit de Thierry était vide et la salle de bain allumée, je me levais pour aller voir ce qui se passait, Thierry était devant le lavabo, boxer sur les chevilles en train de se branler, je le surpris en lui demandant " ça vas bien Thierry ? ".
Il sursauta, sans attendre remonta son boxer et déguerpit dans son lit, se tourna vers le mur.
Il était prostré, je m’approchais de lui pour lui dire " il n’y a pas de honte à se masturber, que tous les mecs le font ".
il ne répondit pas.
je posais , alors ma main sur son épaule.
il ne bronchait toujours pas.
Je restais un long moment dans la pénombre de la chambre éclairée par un clair de lune, agenouillé près de son lit pour le raisonner et dédramatiser cette situation banale, au bout d’un moment il se tourna vers moi les yeux mouillés pour me dire " j’ai honte de m’être fait surprendre, c’est de ta faute si j’ai du le faire ".
Surpris, je lui demande " dis moi ,stp explique pourquoi ? ".
L’angoisse étant retombée, il me dit "
ben…. de t’avoir vu nu la première fois et hier de se retrouver nez à nez avec ton sexe, cela m’avait excité ,j’ avais du mal à m’endormir. alors j’ai attendu que tu dormes pour aller me calmer et tu m ‘as surpris juste à la fin ".
Je lui racontais mon permis de conduire (2) puis ma nuit d’hôtel en descendant chez lui.
Il se redressa vers moi et me demanda "
et toi aussi tu es attiré par les garçons ? "
Je lui répondis " oui cousin " .
J’ajouta " je t’avais trouvé très attirant dès le premier jour, mais avec un cousin je n’avais pas osé me dévoiler, par rapport à mon oncle et ma tante, je ne savais rien sur ta sexualité ".
A me surprendre, il se blottit contre mon torse m’enserrant le cou de ses bras, je n’osais plus bouger tellement cette situation était empreinte d’affection et de tendresse. Je lui caressais le dos, savourant la douceur de sa peau, il me serra un peu plus pour me donner un baiser sur la joue.
Ce moment de tendresse ne me laissa pas insensible, je commençais à bander dur dans mon caleçon.
Je lui dis " je dois changer de position, j’ai mal aux genoux ", il relâcha son étreinte pour que je me relève. Il constatât mon érection qui pointait dans mon caleçon,
Maintenant nous n’avons plus rien à nous cacher
lui répondis-je, et d’un geste j’ôtais mon caleçon pour me montrer entièrement nu dans une posture avantageuse.Il était comme hypnotisé devant ce spectacle, puis il se mit à genou sur son lit pour mieux regarder.
- Tu sais, tu peux toucher si tu veux lui proposais-je
Doucement il approchât ses deux mains pour entourer doucement ma verge tendue au maximum. Puis il décalotta doucement le gland. Je le laissais faire à sa guise, ses mains continuaient à explorer mon anatomie, caressant tantôt mes poils pubiens, tantôt glissant le long de mes cuisses puis remontant vers l’intérieur toucher mes testicules rasés de frais, comme pour profiter de quelque chose qu’il n’avait jamais osé faire.
Je distinguais son boxer éclairé par un rayon de lune, une protubérance ne masquait plus son érection, j’avançais mes mains vers sa bosse pour la caresser, il se raidit mais me laissa faire. Doucement le caressais son sexe, ses fesses à travers le tissus de coton, puis mes mains passèrent sous l’élastique pour sentir la peau de son cul revenant lentement vers son ventre pour constater une toison pubienne conséquente. Je fis glisser son boxer sur ses cuisses. Son sexe jaillit à l’horizontal sous lequel pendaient deux belles boules légèrement poilues.
Il était juste à la bonne dimension, 16 centimètres, bien droit, d’un diamètre plus gros que le mien, un prépuce plus long que le mien.
Il avait arrêté de s’occuper de moi. Je le fis se coucher pour lui enlever son boxer, il était complètement nu allongé sur le dos, les bras derrière sa tête, son sexe toujours aussi raide.
Je craignais qu’il ne retomba à la suite de sa masturbation, mais à son âge cela ne se repose jamais longtemps pour mon plus grand désir.
Il était prêt à pour le plaisir.
Mes mains parcouraient son torse, descendaient vers le ventre, contournaient son sexe, caressaient les cuisses qu’il tenait bien serrées cachant ses boules, je les écartais lentement, il ne résista pas, me laissant câliner, soupeser ces deux joyaux.
Je lui fis des bisous dans le cou, puis sur les tétons, ma langue tournant autour, pour se diriger vers son ventre dur comme de la pierre, tellement il était tendu.
Arrivé près de son pénis, ma main le rabattit en tirant sur le prépuce, ce qui le fit se raidir. Ma bouche ouverte attendait comme un oiseau la béquée.
J’avais accumulé assez de salive pour bien mouiller ce sucre d’orge. Je l’engloutis doucement, au début il avait un goût de sperme qui devait rester de sa branle, je l’enfonçais lentement jusqu’à ce que je touche ses poils avec mon nez, tout cela sentait bon.
Ma langue explora les moindres recoins, glissant sur le membre jusqu’aux couilles, puis remontait pour titiller le frein, enroulant le gland, puis engloutir de nouveau ce sexe neuf. Selon les endroits où je passais, son corps était pris de tremblements.
J’accélérais le va et vient, jusqu’au moment où je sentis Thierry se cabrer et retirer ma tête pour inonder de plusieurs jets son ventre d’un sperme translucide, puis sa queue retomba lentement sur le côté, son corps entièrement détendu. Il Ramassa son boxer pour s’essuyer, direction la salle de bain.
Même si je n’avais pas été au bout de mon plaisir, le fait de lui faire découvrir ce moment intense me satisfait, j’allais me recoucher. Attendant qu’il ait éteint la lumière, je m’étendis les bras sous la tête. La lumière s’éteignit, je vis son ombre se diriger vers mon lit, il déposa un doux baiser sur mes lèvres en soufflant un " merci ". Je m’endormis heureux…………………..
a suivre ......(au domaine 3)
J’arrivais à l’hôtel vers21 h, heureusement j’avais le code de la chambre, ce qui me permit d’entrer alors que l’accueil était fermé.
Je posais mon sac et mes affaires, sans attendre je voulais prendre une douche.
Je restais assez longtemps sous cette eau chaude pour me détendre de ce début de voyage.
Une fois pris ce moment de plaisir, je m’étendis à poil sur le lit lorsque le téléphone sonna, c’était ma mère qui s’inquiétait de ne pas avoir de nouvelle, " ha ! c’est toi maman , j’allais t’appeler , oui ça va j’ai juste été retardé par une déviation et qu’en suite je m’étais perdu, ….oui maman tous va bien,….j’ai diner ce que tu avais mis , hummm excellent ,je vais prendre une douche pour me détendre et une bonne nuit me ferait du bien , bisous maman ".
Je finissais de grignoter ce qui me restait de mon pique nique en matant un journal rempli de photos de mecs dans des positions plus suggestives les unes que les autres, je recommençais à bander tout en suçant un tube de lait concentré, lorsqu’une goutte tomba sur ma queue, je ne pouvais pas la lécher – ce n’est pas faute d’essayer, mais il manque quelques centimètres mon doigt essuya donc ce nectar.
D’un seul coup, la porte de ma chambre s’ouvrit, juste le temps de voir la tête d’un jeune mec, qui sans aucun doute m’avait vu à poil sur mon lit la bite recouverte encore de lait concentré, il referma tout de suite, puis ouvrit de nouveau la porte plus lentement, -j’ eus le temps de me recouvrir de couvre lit
–" Excuses moi mais je viens de pendre une chambre au distributeur automatique qui m’a délivré ce ticket ".
Il s’approcha pour me le montrer, en effet, c’était la même chambre mais un code différent.
" La réception est fermée à cette heure, il y a un lit au-dessus, si vous voulez l’utiliser, nous verrons demain " , lui dis-je.
" Merci " me répondit-il ,je suis Nicolas,25 ans, représentant "
" enchanté , moi Joël ,18 ans , édudiant "
" j’ai eu une journée fatigante, je peux prendre une douche ? "
" Sans problème, je viens juste d’en prendre une ".
Pendant qu’il commençait à de déshabiller, je pus le mater à loisir, les cheveux noirs et frisés comme un mouton, bien sapé, je dirai même assez chic, lorsqu’il enleva sa chemise, son tors recouvert d’une toison
clairsemée, j’attendais qu’il ôte son pantalon, ce qu’il fit pour laisser voir un caleçon impeccable, ce type était soigné.
Je me demandais si il allait enlever son caleçon avant d’entrer dans la minuscule douche.
Sans gêne et face à moi, il enleva l’écrin qui me montrait un sexe long, assez fin avec son prépuce, des testicules pendantes, un vrai modèle de sculpteur, le tout entouré d’une pilosité généreuse et super entretenue.
Il pénétra dans la douche, j’entendais l’eau couler et je l’imaginais se savonnant partout, partout.
Si il avait soulevé le couvre lit il aurait vu mon excitation maximum, d’ailleurs je l’entretenais avec ma main.
D’un seul coup la porte du cabinet de toilette s’ouvrit il me dit
" j’ai oublié mon shampoing dans la petite poche
,sur le coté de mon sac de voyage, vous pouvez le passer ? s.v.p ".
J’étais mal à l’aise de me lever à poil et bandé comme un arc, et puis je me dis tant pis on ne sait jamais si il apprécierait mon anatomie.
Je retirai le couvre-lit, me dirigeai vers le sac de voyage, pendant qu’il me
regardait le visage ruisselant. Au moment où je lui tendis son shampoing, il me dit :
" Merci ….. je vois que la chaleur dilate les corps, j’ai aussi très chaud
dans cette douche ",
En effet je pus constater que son sexe était à moitié bandé mais décalotté, superbe objet.
Je retournais sur le lit, mais cette fois je ne remis pas le couvre-lit en continuant de feuilleter mon magazine, certain que cela l’intéresserait.
Il sortit de la douche en finissant de s’essuyer, me tournant le dos, je pus voir ses fesses musclées, la raie poilue, il me fit face m’exhibant son membre dressé, je pouvais constater qu’il était plus long que le mien pourtant aussi raide.
" Je vois que nous avons les mêmes lectures, je ne vais pas dormir en haut, il y a de la place pour deux en bas ".
Sans attendre, il se jeta sur moi m’embrassant goulument, nos sexes serrés l’un contre l’autre, il continua de m’embrasser dans le cou, descendant doucement vers mes tétons, je commençais à geindre du plaisir que cela me procurait lorsqu’il les mordillait doucement.
Lorsqu’il descendait, je sentais son ventre frotter sur mon sexe ce qui le décalotta, , puis le calotta de nouveau en remontant, il fallait que je réagisse si je ne voulais pas éjaculer trop tôt.
Je le fis rouler pour le mettre sur le dos et me retrouver sur lui, il se laissa faire, je caressais son torse velu, avec ma joue, cela était doux et sentait bon, je descendis vers son nombril que ma langue explorait, puis ma bouche happa son gland turgescent, je le dégustais, l’enduisant de salive pour qu’il glisse encore mieux dans ma bouche, je voulais aller le plus loin possible, je le sentais se raidir, espérant qu’il n’éjacule pas tout de suite, je quittais ce sucre d’orge pour lui lécher ses couilles, il se laissait faire,
appréciant mes soins. J’écartais ses cuisses pour les butiner jusqu’à l’aine, c’était un vrai régal.
Il attrapa mes jambes pour me faire comprendre qu’il voulait me rendre la pareille, nous somme retrouvés tête bêche, chacun s’appliquant à la besogne.
A un moment, il me souleva le bassin pour aller titiller mon anus, je sentais sa langue explorer cette zone
" Hummm ! ! bien serré ce ptit cul ? " dit il
Sans réfléchir je lui dis " encore vierge ", mais devant une telle dextérité, je décidais l’aller jusqu’au bout. Il le devina, puisqu’il me fit mettre à quatre pattes, écartant mes fesses pour aller encore plus loin dans ses investigations, salivant suffisamment pour y enfoncer un doigt, ce qui produisit une sensation de plaisir intense, le deuxième doigt n’eut pas de peine à y entrer tellement il y allait avec douceur. Il massa mon sphyncter pour qu’il se détende.
IL se pencha vers son sac pour y récupérer un préservatif et le mis.
" tu veux rester vierge ou pas ? "
je bredouilla " heuuu.. non "
Je sentis son gland recouvert du préservatif toucher mon anus et doucement me pénétrer pour la première
fois.
Il s’enfonça doucement jusqu’à ce que ses poils touchent mes fesses, puis se retira lentement, puis recommença son va et vient de plus en plus rapide, Devant une telle sensation de plaisir,
je le laissais faire ce qu’il voulait de moi, parfois une main me saisissait mon sexe toujours aussi dur pour le branler.
Aie ! ! aiieee ça me fait mal……
" ne te raidis pas , laisse toi aller …. Oui comme ça …voilà c’est bien"
Ah ! oui c’est mieux hummm ! ! oui vas y tous doux…."
tu aimes hein tu aimes ? "
Ouiiiii
Et comme ça?
Oh ! ouiiiii je te sens en moi
Au bout d’un moment il se bloqua sur mes fesses, je sentis les contractions de son éjaculation.
Lorsqu’il se retira, mon anus était en feu, il le massa pour éteindre de feu du plaisir.
" voilà tu n’es plus vierge , ça ta plus hein dis moi ? ".
Extra Nicolas j’aurai jamais cru ça , que c’etait si bon….
Après sous la douche nous être lavés, nous nous sommes endormis dans les bras l’un de l’autre.
Au petit matin, je me suis levé pour aller pisser, j’avais allumé une petite lampe pour ne pas le réveiller, au moment de me recoucher, je voyais son corps nu allongé sur le dos et son sexe dressé, je me suis allongé contre lui, caressant son corps, son sexe, ses couilles, tout me plaisait dans ce mec.
Je ne sais pas si il dormait ou faisait semblant, en tout cas il se laissait faire, je profitais de son corps. A un moment il se mit sur le ventre, je pouvais profiter de son cul que séparait une rangée de poils. J’écartais doucement ses fesses, je voyais sa raie touffue, je la trouvais attirante, j’arrivais jusqu’à sa rondelle rasée juste autour, je me surpris à y mettre ma langue, essayant d’y pénétrer comme il me l’avait fait. Il remonta son bassin, je lubrifiais de ma salive cette rosette, puis mon sexe encapuchonné le pénétra sans difficulté. Je le limais, je l’entendis gémir me laissant faire à ma guise, nos couilles parfois se heurtaient.
Après plusieurs va et vient, je jouis dans ses entrailles, je retirai le préservatif, m’allongeant sur son dos. A ce moment je l’entendis dire : " Super merci "
Je restais un moment dans cette position.
Le jour se levait, il se leva le premier investit le cabinet de toilettes en ressortit rasé parfumé, en un mot superbe.
J’investis à mon tour la douche, en ressortant il était habillé, m’attendant pour aller petit déjeuner et régler le problème de la chambre.
A l’accueil on nous expliqua qu’une erreur informatique était la cause de nos désagréments, nous reçûmes des excuses et le remboursement du trop perçu.
Il me donna la somme en me disant
" t’inquiète je me
ferait rembourser par ma boite ".
Nous nous sommes quittés sur le parking de l’hôtel, j’aurai bien voulu l’embrasser avant de reprendre la route, mais trop de monde.
J’eus juste le temps de lui dire " ce fut une nuit de conte de fée, que j’aimerais bien te revoir un jour ".
Il me répondit : " qui sait, au hasard ", me fit un beau sourire et un clin d’œil, s’engouffra dans sa voiture et disparu.
J’était à la fois joyeux et triste en reprenant ma route.
A suivre.......
La suite s’appellera : Au domaine
Après le permis de conduire
Ayant obtenu mon bac et mon permis de conduire juste avant la fin vacances, je suis descendu dans le Bordelais chez mon oncle et ma tante que je n’avais pas vu depuis au moins cinq ans, pour les aider aux vendanges.
Je savais qu’ils avaient deux enfants une grande fille et un garçon que je me rappelle avoir vus alors qu’ils avaient respectivement dix sept et quatorze ans, je me souviens que mon cousin était roux, qu’il s’appelle Bertrand et ma cousine Marie -Lou était blonde.
Devant traverser la France en diagonale, mes parents m’avaient donné l’autorisation de m’y rendre en voiture à condition que je fasse une halte pour dormir à moitié chemin. Je réservais donc une chambre , à mis chemin , sur Guéret , dans un formule1 pour y passer la nuit. J’étais assez excité de faire ce long voyage seul et de retrouver libre de mes déplacements.
Le jour du départ, ma voiture était prête, le plein, propre comme un sou neuf, je posais mes sacs dans le coffre, je gardais près de moi mes cd, à boire et la bouffe que m’avait préparée ma mère, sandwich, chips, gâteaux et friandises.
Je m’installais au volant, ma mère un peu inquiète me demanda de l’appeler depuis l’hôtel.
Je roulais depuis quelques heures vers le Sud Ouest, le soleil m’accompagnait, ainsi que la musique de mes cd. Je savais que dans mes bagages j’avais emporté quelques revues gays (ma lecture préféré) pour la soirée à l’hôtel.
Midi arrivait et la faim commençait à se faire sentir, je cherchais un coin tranquille pour pique niquer, je
remarquai un chemin qui traversait un bosquet d’arbres, je le suivis, au bout d’un kilomètre je trouvais un coin sympa à l’entrée d’un champ en plein soleil pour déjeuner et une petite cabane
genre abri de berger pour me protéger du vent un peu frais qui me rappelle que l’automne est proche..
J’entre dans la cabane une petite cheminée garni de brindille et du bois sec qui n’attendait qu ‘à être allumé ,ce que je fit , je pris dans mon sac ma serviette de bain que j’étalais sur sol, mes victuailles à portée de main, j’enlevais mon t-shirt pour exposer mon torse aux rayons de la flambée , c’était super, un air de début de vacances, je me sentais enfin libre sans contrainte.
Je mangeais de bon appétit dans le calme de la campagne.
Me disant qu’à cet endroit personne ne pouvait me voir, j’allais a la voiture prendre une revue, une envie de me dessaper , j’enlevais mon jean, restant un caleçon ( Cela ne m’empêcha pas de caresser mon chibre ) au cas où …quelqu’un viendrait dans les parages, laissant ainsi tous mes vêtement dans la voiture portière ouverte afin d’entendre un CD. De retour sur ma serviette ,tout en feuilletant la revue, je commençais à sentir une excitation montante . qui était assez dur, descendant ma main sur ma verge ,puis vers les couilles ,en décalottant le gland, passant entre mes cuisses remontant mes boules pour investir le début de ma raie.
L’excitation augmentant, je m’assurai d’être seul en regardant par une petite lucarne pour enlever mon caleçon et me retrouver entièrement nu, le feu caressait mon corps, cette sensation que je ne connaissais pas m’enivrait au point de ne plus être attentif au danger d’être vu, je me masturbais de plus en plus fort, je sentais monter la sève, je me suis relevé et couru vers la porte pour éjaculer en longues giclées dehors en plein aire.
Au moment où je terminais, j’entendis une voix proche de moi qui me dit :
- alors on se soulage dans mon champ ?
Je sursautais, en tournant ma tête vers la gauche , je vis un homme d’une soixantaine d’années mal rasé, vêtu d’un polaire semis ouvert , sur un torse extrêmement velu, d’un jean un pas très propre portant à la main un appareil photo avec un grand téléobjectif.
Je voulais chercher mes habits pour cacher ma nudité, mais trop tard , il les avait déjà pris.
Il me dit " c’est pas la première fois que des mecs ou des couples viennent s’envoyer en l’air dans ce champ, et j’ habite au dessus du chemin et dès que je vois une voiture s’engager sur mon chemin ,je prend son appareil photos pour prendre les gens en flagrant délit, ça me fait une sacrée collection pour passer les longues soirées d’hiver
".
Je voulu protester lui disant " vous n’avez pas le droit de faire ça, rendez moi rende mes habits ".
- " Pas avant que je fasses quelques photos de toi, si tu refuses, je garde aussi les clés de ta voiture "
Je commençais à comprendre que j’étais pris dans son piège et que je devais me résoudre à me soumettre.
-
d’accord lui répondis-je, mais promettez-moi de me laisser repartir.
-
" Promis " dit-il, " mais tu dois m’obéir, sinon pas de clés. Tu vas commencer par te mettre debout face à moi les jambes écartées
".
Je m exécutais.
-Tien pour rire tu vas prendre la pause des chauves souris.
Comment ça ?
-
tu vois cette corde qui relie les deux arbres et bien pends toi la tête en bas
mais j’y arriverai jamais…
IL s’approcha , en mois de deux il m’avais soulevé et m’accrocha sur la corde , pour prendre en gros plan mon appareil génétique qui ne bandait plus, dont le prépuce recouvrait le gland, les testicules pendantes.
Il me dit " décalottes toi en plusieurs étapes et jusqu’au maximum , lorsque je te dirai stop du t’arrêteras pour que je prenne une photo ".
Je tirais un peu sur la peau montrant le bout du gland, il dit "
stop " et je vis le flash de l’appareil, j’étais à moitié du gland, " stop "et encore un flash, juste arrivé après le gland, " stop
" encore et flash , le gland était
complètement dégagé, cette manipulation commençait à me refaire bander. Il continuait ses prises de vues en disant " whaa.. ça te fait de l’effet , je vois que tu es docile alors je vais en prendre d’autres, tu vas te mettre à quatre pattes, le cul en l’air".
je me mis en position, il s’accroupit, m’écartant les cuisses pour mieux mater l’ensemble, il avait une vue panoramique sur ma raie poilue et mes couilles rasées.
"
Mets-toi sur le dos, relève les jambes et écartes tes fesses avec les mains, je veux avoir tout de ton intimité ". " Ecarte encore plus ,je n’en vois pas assez " cria-t-il.
Cette injonction s’accompagna d’une claque sur les fesses qui me fit m’exécuter immédiatement. Maintenant j’étais tellement écarté que je sentais l’air frais me caresser la rondelle ce qui m’excita encore plus, maintenant je bandais dur.
" Cette séance de photos m’a aussi excité que toi, aussi avant de partir tu vas me branler, n’oublies pas que j’ai toujours tes clés ".
Il enleva son polair et son jean, je n’avais jamais vu un mec aussi poilu, un vrai ours, sa queue était perdue dans une forêt de poils noirs, il en avait partout sur le corps. Sa bite était en proportion du mec, c'est-à-dire pas très grande mais très épaisse, il bandait comme un âne. Il se mit à quatre pattes et me dit "
branle moi ", je saisis son membre, j’arrivais juste à en faire le tour avec ma main, je commençais mon va et vient, j’avais l’impression de traire une vache, il devait avoir les burnes pleines car en quelques mouvements il cracha sa semence, à chaque jets, il donnait un coup de reins comme pour envoyer le plus loin possible son sperme. J’en avais plein la main.
A la fin il se releva me lança mes frusques et mes clés, ramassa ses habits et disparut dans un petit raidillon que je n’avais pas remarqué dans le bosquet d’arbres.
Je remis aussi mes habits, rangeait mes affaires, pris le volant pour poursuivre ma route.
Cet entracte inattendu dans mon voyage me fit prendre du retard sur mon horaire.
En remontant dans ma voiture, je remarquais que l’herbe était plus verte.
Pendant le restant du chemin à faire pour arriver à l’hôtel, je repensais à mon pique nique et ce paysan et son énorme bite – je me demandais ce qui lui avait donné un membre aussi impressionnant - et dire qu’il se branlerait en matant toutes ses photos, je fantasmais en imaginant un tas de scènes plus érotiques les une que les autres
Et les miennes dont je me rappelai les différentes postures.
A SUIVRE………..
Prochain
épisode qui s’appelle A L’HOTEL
d'un amour caché
secret et merveilleux
lorsque l'on se retrouve
nous ne formons plus qu'un
nos corps nos coeurs
tout s'enflamme
comme un brasier
je t'aime sans pouvoir le montrer
toi aussi
c'est difficile mais tellement fort
nos rendez vous
nos coeurs qui battent
par l'angoisse
la peur
tout cela c'est notre histoire
c'est notre bonheur
nos instants à nous
à nous seuls
je t'aime.
Ne pas être avec toi
C'est comme
_Une nuit sans lune
___Un stylo sans encre
___Une musique sans melodie
__Une rose sans petale
___c'est comme
_Un ecrin sans bijoux
___Une etoile sans lumiere
__Un paradis sans bonheur
____Ne pas être avec toi
__C'est comme
__Si je n'etais plus moi
Je sens tes yeux sur mon corps
Je sens tes mains le long de ma joue puis de mon cou
Elles parcourent , mon ventre
Pour enfin trouver refuge entre mes cuisses
Tes mains quitte leur cachette
Nous somme la, nu, dans le lit
Assise sur toi je te contemple,
Je bouge pour que l’envie reste la.
Je me sens si bien avec toi ne me quitte pas
Je serais toujours la pour toi.
Je t’aime mon amour
Je t’aime toujours mon amour
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