Samedi 10 janvier 6 10 /01 /Jan 15:52
                                                                                                            vers une nouvelle année

a 63 ans , les aventures se font plus rare , et mon petit amant fidele viens me rendre visite tous les 2 mois en raison de son travail , il a du s'éloigner  dans le Nord 500km nous sépare.

si vous avez bien lue mes histoires , j'ai le bonheur de partager mon plaisir avec des cousins , neveux et même un ptit fils (hé oui ,il est majeur) car je ne suis pas un pédofile , loins de là je combatterai toujours ces pervers qui agissent avec les enfants.... cela dit ...mon ptit fils est majeur depuis quelques mois , mais s'avait qu'il avait un grand père BI -homo depuis longtemps et j'etais le seul a savoir que lui aussi était comme moi.
alors dernièrement il ma raconté cette histoire. que j'ai mis en page et avec des photos du net , elle sera en 3 parties

1er partie

Après le permis de conduire

Ayant obtenu mon bac et mon permis de conduire juste avant la fin vacances, je suis descendu dans le Bordelais chez mon oncle et ma tante que je n’avais pas vu depuis au moins cinq ans, pour les aider aux vendanges.

Je savais qu’ils avaient deux enfants une grande fille et un garçon que je me rappelle avoir vus alors qu’ils avaient respectivement dix sept et quatorze ans, je me souviens que mon cousin était roux, qu’il s’appelle Bertrand et ma cousine Marie -Lou était blonde.

Devant traverser la France en diagonale, mes parents m’avaient donné l’autorisation de m’y rendre en voiture à condition que je fasse une halte pour dormir à moitié chemin. Je réservais donc une chambre , à mis chemin , sur Guéret , dans un formule1 pour y passer la nuit. J’étais assez excité de faire ce long voyage seul et de retrouver libre de mes déplacements.

Le jour du départ, ma voiture était prête, le plein, propre comme un sou neuf, je posais mes sacs dans le coffre, je gardais près de moi mes cd, à boire et la bouffe que m’avait préparée ma mère, sandwich, chips, gâteaux et friandises.

Je m’installais au volant, ma mère un peu inquiète me demanda de l’appeler depuis l’hôtel.

Je roulais depuis quelques heures vers le Sud Ouest, le soleil m’accompagnait, ainsi que la musique de mes cd. Je savais que dans mes bagages j’avais emporté quelques revues gays (ma lecture préféré) pour la soirée à l’hôtel.

Midi arrivait et la faim commençait à se faire sentir, je cherchais un coin tranquille pour pique niquer, je remarquai un chemin qui traversait un bosquet d’arbres, je le suivis, au bout d’un kilomètre je trouvais un coin sympa à l’entrée d’un champ en plein soleil pour déjeuner et une petite cabane genre abri de berger pour me protéger du vent un peu frais qui me rappelle que l’automne est proche..

J’entre dans la cabane une petite cheminée garni de brindille et du bois sec qui n’attendait qu ‘à être allumé ,ce que je fit , je pris dans mon sac ma serviette de bain que j’étalais sur sol, mes victuailles à portée de main, j’enlevais mon t-shirt pour exposer mon torse aux rayons de la flambée , c’était super, un air de début de vacances, je me sentais enfin libre sans contrainte.

Je mangeais de bon appétit dans le calme de la campagne.

Me disant qu’à cet endroit personne ne pouvait me voir, j’allais a la voiture prendre une revue, une envie de me dessaper , j’enlevais mon jean, restant un caleçon ( Cela ne m’empêcha pas de caresser mon chibre ) au cas où …quelqu’un viendrait dans les parages, laissant ainsi tous mes vêtement dans la voiture portière ouverte afin d’entendre un CD. De retour sur ma serviette ,tout en feuilletant la revue, je commençais à sentir une excitation montante . qui était assez dur, descendant ma main sur ma verge ,puis vers les couilles ,en décalottant le gland, passant entre mes cuisses remontant mes boules pour investir le début de ma raie.

L’excitation augmentant, je m’assurai d’être seul en regardant par une petite lucarne pour enlever mon caleçon et me retrouver entièrement nu, le feu caressait mon corps, cette sensation que je ne connaissais pas m’enivrait au point de ne plus être attentif au danger d’être vu, je me masturbais de plus en plus fort, je sentais monter la sève, je me suis relevé et couru vers la porte pour éjaculer en longues giclées dehors en plein aire.

Au moment où je terminais, j’entendis une voix proche de moi qui me dit :

- alors on se soulage dans mon champ ?

Je sursautais, en tournant ma tête vers la gauche , je vis un homme d’une soixantaine d’années mal rasé, vêtu d’un polaire semis ouvert , sur un torse extrêmement velu, d’un jean un pas très propre portant à la main un appareil photo avec un grand téléobjectif.

Je voulais chercher mes habits pour cacher ma nudité, mais trop tard , il les avait déjà pris.

 

Il me dit " c’est pas la première fois que des mecs ou des couples viennent s’envoyer en l’air dans ce champ, et j’ habite au dessus du chemin et dès que je vois une voiture s’engager sur mon chemin ,je prend son appareil photos pour prendre les gens en flagrant délit, ça me fait une sacrée collection pour passer les longues soirées d’hiver

 ".

 

Je voulu protester lui disant " vous n’avez pas le droit de faire ça, rendez moi rende mes habits ".

- " Pas avant que je fasses quelques photos de toi, si tu refuses, je garde aussi les clés de ta voiture "

Je commençais à comprendre que j’étais pris dans son piège et que je devais me résoudre à me soumettre.

-

 

d’accord lui répondis-je, mais promettez-moi de me laisser repartir.

-

 

Promis " dit-il, " mais tu dois m’obéir, sinon pas de clés. Tu vas commencer par te mettre debout face à moi les jambes écartées

 ".                                       

Je m exécutais.

-Tien pour rire tu vas prendre la pause des chauves souris.

Comment ça ?

-

 

tu vois cette corde qui relie les deux arbres et bien pends toi la tête en bas

mais j’y arriverai jamais…

IL s’approcha , en mois de deux il m’avais soulevé et m’accrocha sur la corde , pour prendre en gros plan mon appareil génétique qui ne bandait plus, dont le prépuce recouvrait le gland, les testicules pendantes.

Il me dit "  décalottes toi en plusieurs étapes et jusqu’au maximum , lorsque je te dirai stop du t’arrêteras pour que je prenne une photo ".

Je tirais un peu sur la peau montrant le bout du gland, il dit " 

 

stop " et je vis le flash de l’appareil, j’étais à moitié du gland, " stop "et encore un flash, juste arrivé après le gland, " stop

 " encore et flash , le gland était

complètement dégagé, cette manipulation commençait à me refaire bander. Il continuait ses prises de vues en disant whaa.. ça te fait  de l’effet , je vois que tu es docile alors je vais en prendre d’autres, tu vas te mettre à quatre pattes, le cul en l’air".

 

je me mis en position, il s’accroupit, m’écartant les cuisses pour mieux mater l’ensemble, il avait une vue panoramique sur ma raie poilue et mes couilles rasées.

Mets-toi sur le dos, relève les jambes et écartes tes fesses avec les mains, je veux avoir tout de ton intimité ". "  Ecarte encore plus ,je n’en vois pas assez " cria-t-il.

Cette injonction s’accompagna d’une claque sur les fesses qui me fit m’exécuter immédiatement. Maintenant j’étais tellement écarté que je sentais l’air frais me caresser la rondelle ce qui m’excita encore plus, maintenant je bandais dur.

Cette séance de photos m’a aussi excité que toi, aussi avant de partir tu vas me branler, n’oublies pas que j’ai toujours tes clés ".

Il enleva son polair et son jean, je n’avais jamais vu un mec aussi poilu, un vrai ours, sa queue était perdue dans une forêt de poils noirs, il en avait partout sur le corps. Sa bite était en proportion du mec, c'est-à-dire pas très grande mais très épaisse, il bandait comme un âne. Il se mit à quatre pattes et me dit " 

 

branle moi ", je saisis son membre, j’arrivais juste à en faire le tour avec ma main, je commençais mon va et vient, j’avais l’impression de traire une vache, il devait avoir les burnes pleines car en quelques mouvements il cracha sa semence, à chaque jets, il donnait un coup de reins comme pour envoyer le plus loin possible son sperme. J’en avais plein la main.

A la fin il se releva me lança mes frusques et mes clés, ramassa ses habits et disparut dans un petit raidillon que je n’avais pas remarqué dans le bosquet d’arbres.

Je remis aussi mes habits, rangeait mes affaires, pris le volant pour poursuivre ma route.

Cet entracte inattendu dans mon voyage me fit prendre du retard sur mon horaire.

En remontant dans ma voiture, je remarquais que l’herbe était plus verte.

Pendant le restant du chemin à faire pour arriver à l’hôtel, je repensais à mon pique nique et ce paysan et son énorme bite – je me demandais ce qui lui avait donné un membre aussi impressionnant - et dire qu’il se branlerait en matant toutes ses photos, je fantasmais en imaginant un tas de scènes plus érotiques les une que les autres

Et les miennes dont je me rappelai les différentes postures.

A SUIVRE
……….. Prochain épisode qui s’appelle A L’HOTEL

Par simon - Publié dans : histoire racontée
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