Mercredi 10 octobre 3 10 /10 /Oct 15:50
Au vacances de Noél  mes neuveux Bertand et Antoine décident de cousiner. lasurprise-1977.jpg  "et oui tonton Simon tu nous donnes de tres bonne idées avec tes revues que tu as rangé au grenier ". me dirent-ils.

AH! c'etait donc vous!

OUI TONTON




1978

je retrouva 1978-paul.jpg Paul


Un copain de Cm2 je restais émerveillé de son corps velu et bien musclé ,mais sa bite était toujours resté petite ,je lui suça pour pouvoir la regarder grandir ,elle n’avait pas changé petite et fine comme au bon vieux temps.

pui en cours d'année un nouveau voisin Vincent Vincent-1978.jpg





1979

Chez le coiffeur

On est en juillet. Il fait chaud et je n'en peux plus d'avoir les cheveux si longs. Ca me tient trop chaud. Je prends le téléphone et je prends RDV chez un coiffeur à la mode. Je mets mon nouveau jean et mon p'tit t-shirt serré.

Arrivé chez le coiffeur, je suis accueilli par un homme charmant. Brun, la trentaine peau mat, 1.75 m environ.

- Bonjour monsieur, Vous avez rdv ?
- Oui à 17h45... C'est un peu tard...
- Non, vous serez juste le dernier client de la journée

Il se retourne et consulte le carnet.
- Julien, c'est pour toi !
Je vois alors au fond du salon, un jeune mec châtain foncé, très viril coiffait une vielle peau au brushing trop gros.
- Merci Kamel. Je finis avec Mme et je suis à vous !

"A moi ", si seulement !

Je m'installe et prends un magazine. Je m'aperçois qu'il y a une autre coiffeuse qui fait du rangement dans ses affaires. Sinon le salon est plutôt calme.

Kamel vient vers moi et me propose un café en me regardant droit dans les yeux avec un petit sourire étrange.
- Non merci, j'ai trop chaud.

Julien a fini avec la vieille dame. Il la remercie et vient vers moi.

Il me tends la grande blouse bleue et m'aide à la mettre.

Le shampoing commence par un massage divin. Ses mains sont fortes mais bougent avec sensualité.

J'entends la coiffeuse dire au revoir à ses collègues et la porte se refermer derrière elle.
 Julien me sèche les cheveux et m'installe sur la chaise devant un grand miroir. Il me coupe les cheveux, on discute de tout et de rien pendant que Kamel range un peu le salon. Il s'approche et me regarde toujours en souriant.
- Ca fait du bien un peu de fraîcheur, hein ! En désignant mes cheveux courts !
- Oh oui ! J'espère juste que je pourrais me coiffer demain !
- Mais oui me dit Julien. Je vais vous montrer...

il mets un peu de gel sur ses mains et me coiffe les cheveux en pétard.

Autant je n'avais rien remarqué pendant la coupe, autant là j'ai l'impression que ses mains me caressent plus qu'elle ne me coiffe.

Il est collé à mon siège et ma tête touche parfois son ventre ferme.
Kamel se met devant mon siège et observe mes cheveux.

- Attends ! Regarde on pourrait lui mettre les cheveux comme ça, non ?
Il avança mes cheveux vers l'avant et me demanda
-Vous en pensez quoi ?

Il est tout prêt de moi et j'ai juste son le haut de son jean devant le nez. Je sais pas ce qu'il m'a pris mais j'ai répondu les yeux fixés sur les boutons :
- Ca a l'air intéressant ! Je demande qu'à voir !
Plus un mot. Ce silence est gênant. Je regarde leurs visages dans le miroir. Julien sourit à Kamel qui va fermer la porte à clé.

Julien tire ma tête en arrière et me caresse. Il se baisse et m'embrasse. Kamel est revenu et me masse le sexe à travers le jean.
-T'as pas de slip, mec ?

- Non j'ai trop chaud !

Il ouvrit alors les boutons 1 à1 pour dégager ma bite déjà bien raide.

Julien m'embrassait de plus belle tout en baissant son pantalon de toile.

Kamel approcha sa bouche de ma bite et joua un peu avec avant de me lécher les couilles.

Julien laissa ma bouche un instant pour enlever son t-shirt et son pantalon de toile tombé sur ces pieds
1979-julien.JPG et passer devant moi rejoindre Kamel.

Ils se mirent à 2 sur ma queue. J'ai cru que j'allais exploser.

  Kamel  c'est  relevé pour se déssapper mes yeux sortirent de la tête a la vue de son engin.
1979-kamel.jpg Leurs corps étaient parfaitement comme je les aime. Kamel s'est approché et a joué un peu avec sa bite sur mon visage avant de me laisser le pomper comme une bête assoiffée. J'ai tiré Julien vers moi pour avoir leurs 2 bites dans la bouche.

Celle de julien était plus épaisse. Ils se roulaient une pelle, pendant que Julien massait les fesses de Kamel.

J'aventurais alors mes doigts dans leurs raies jusqu'au trou.

Kamel écarta légèrement les fesses m'invitant ainsi à entrer.

Julien était apparemment plus retissant et se laissait juste masser le trou.
Mes coups de langues étaient plus assidus que jamais et suivaient le rythme de mes doigts dans le cul de Kamel. 
J'ai senti alors que le corps de Julien était tendu. 
Il se retira de ma bouche pour cracher tout son jus sur ma figure. 
J'en étais tout excité. Kamel aussi puisqu'il la suivi de près.
 Julien s'est alors approché de mon visage pour lécher son foutre pendant que Kamel se soustrayait à mes doigts pour me tailler une pipe que je n'allais pas tenir longtemps.
 J'essayai de me retirer mais Kamel m'en empêcha et se prit tout mon foutre la bouche. Il s'approcha alors de nos bouches et on se roula une pelle à trois pleine de foutre.
 J'étais vidé mais complètement excité.

On s'est lavé dans le bac à shampoing et on a fini la soirée au ciné et en boite.

deux mois plus tard.

je finirai l'année avec 1979-marco.jpg  qui apprécie mes venues fréquantes en disant a Marco " tu aurais du trouver ce copain beaucoup plus tôt "

1980

Ce soir la  Paolo 1980-paolo.jpg ,il n’a peu résister a la tentation de sentir en lui mon chibre de même calibre mais plus longue . dépucelé il ajouta « pourquoi avoir attendu si longtemps , c’est si bon » mais n’oublia pas de me défoncer …….

 

en juillet

Didier et moi étions partis en vacances tous les deux pour faire de la randonnée dans les gorges du Verdon. ( nos femmes étaient parti a la plage)

Il connaissait mon penchant pour les mecs, mais cela ne le gênait pas.

Pour lui, nous étions amis et c'est tout.

Son hétérosexualité me désespérait, mais j'avais appris à vivre avec.

Il est vrai qu'il m'était arrivé à plusieurs reprises de le caresser pendant son sommeil lorsque nous passions des soirées arrosées et qu'il s'endormait sur mon canapé.
Une fois, je l'ai même sucé.

Mais c'est frustrant.

J'avais envie de le sucer avec son consentement, qu'il prenne ma tête entre ses mains et me caresse les cheveux pendant que je lui gobe les couilles.

J'avais surtout envie de goûter sa semence qu'il lâcherait dans un râle de plaisir.

Enfin bref, quoiqu'il en soit, je devais faire contre mauvaise fortune bon coeur, et ne rien attendre de plus que son amitié.

Pour nos randonnées, nous avions loué un petit studio où nous nous rendions tous les deux jours, les autres nuits étant passées sous une tante.

Les premières nuits, nous tombions épuisés par notre journée et dormions à peine la tête posée sur l'oreiller.

Nous avions des lits superposés et je dormais en bas.

Le surlendemain, au moment du coucher, je lâchais sur le ton de la plaisanterie que j'allais probablement avoir recours à la masturbation très bientôt.

Cela nous a fait rire, mais Didier ne tarda pas à m'avouer " depuis 6 mois maintenant (sa femme évitait de baiser) ",de ce fait il relâchait régulièrement la pression de ses couilles par la branlette.

Je lui expliquais " pour moi, c'était idem ", et que je me branlais au moins une fois par jour.

A tout hasard, je lui dis " si un soir tu as envie de plus qu'une branlette, ou une fellation te manque vraiment, tu n'as qu'à descendre de ton lit, sans rien direpour me rejoindre ".

Il pris cela comme une plaisanterie, et repoussa cette éventualité « je ne suis pas pédé moi, désolé » me dit-il.

Une demi-heure plus tard, après que l'idée ait fait son chemin,

Didier descendit de son lit totalement à poil, sa queue raide lui touchant presque le nombril !

Je m'attendais à ce qu'il ne dise rien et vienne près de moi pour que je le suce mais il me regarda et me dit :
- " j'ai bien réfléchi à ce que tu m'as dit  ".

Mais je veux que tu saches "  je ne suis pas homo  ".

Mais après tout, " si tu as envie de moi, et que moi j'ai envie de sexe, j'accepte ta proposition jusqu'à ce qu’on retrouve nos gonzesses " .

" Que tout soit bien clair ".

J'acquiesçais dans un hochement de tête et ouvrit mon lit à l'homme que je convoitais depuis si longtemps
1980-didier.JPG Il est superbe. Son torse est bien velu de poils blonds et roux comme le pain bien cuit.. Ses tétons sont petits et fermes mais très érectile.

Son sexe s'érige fièrement au dessus de la plus belle paire de couilles qu'il m'ait été donné de voir, de toucher, de gober, de lécher.

Non pas par la taille, mais par leur forme, leur douceur.

Maintenant je le sais, je suis fou amoureux de lui.

Je prends son sexe dans ma bouche et en savoure le moindre endroit.

Cette bite !.

Elle est si bonne. Je joue avec son prépuce, son méat et le branle lentement.

Je ne veux pas qu'il jouisse trop vite, je veux profiter longtemps de lui.

Quand ma bouche quitte son sexe, c'est pour parcourir le reste de son corps.

Son ventre, son nombril, ses seins. Même ses aisselles m'excitent. Je lui lève les bras et commence à lui lécher les poils.

J'entends des râles de plaisir m'indiquant que c'est probablement la première fois que quelqu'un lui fait ce traitement.

Il aime, il adore.

Je lui ai fait l'amour comme ça pendant plus d'une heure.

Il a lâché son doux sperme dans ma bouche et je le nettoyais complètement avant de quitter son sexe à grands regrets.

Il resta quelques longs instants sans bouger puis me dit :
- " Jamais je n'avais joui de la sorte ".

Et il parti dans son lit en me souhaitant bonne nuit.

J'étais aux anges. C'était notre première avec son consentement , et déjà il semblait conquis.

Les autres nuits n'ont pas tardé à s'enchaîner en évoluant.

La suivante, il resta près de moi après qu'on ait joui pour discuter avant de remonter. Celle d'après, il s'endormit près de moi et y passa la nuit.

Celle d'après, il m'embrassa. J'ai bien cru fondre sous ses baiser.

Maintenant, il passe des nuits entières avec moi, et je l'initie doucement à la sodomie.

Pour lui montrer mon attachement je l’oblige a me défoncer le cul.

Il le fit et une fois a l’intérieur de moi , il y pris plaisirs ,me bourrant a des rythmes plus ou moins régulier jusqu’à la jouissance totale dans mes entrailles.

Il se retira quand sa queue fut mole et sortie d’elle même et dormit ainsi contre moi toute la nuit.

Celle d'après , il me demande « vas y baise moi » car j’ai découvert la jouissance masculine avec toi et pour t’en remercier je t’offre mon cul pour une première.

Je ne me fis pas prier .

Je le pénétra lentement faisant de petite pose pour soulager la douleurs , râlant étouffant ses cris dans l’oreiller, mes sur ses reins mes pouces massant son bas du dos le faisait vibrer et ses mouvements permettaient a ma bite d ‘aller plus au fond encore , de plus en plus vite , toujours plus fort je ne résista plus longtemps et éjacula en lui et ce soir c’est moi qui me retira , quand ma queue fut mole et sortie d’elle même .

" Que c’est merveilleux je n’ai jamais jouis de la sorte  " dit-il

Depuis …..

Il aime me prendre et se faire prendre .

Peut être qu’une prochaine il me dira qu'il m'aime ?



Apres ces bonnes vacances

 



J'avais alors 35 ans et j'étais en déplacement dans une ville bretonne.
Malgré le fait que je sois marié j'étais quand même fortement attiré pare les hommes plus âgés , mais un plus jeune j‘aimais aussi.

Je m'ennuyais ferme le soir seul dans cette ville ou il y avait vraiment peu d'activités. Mon hôtel était à une quinzaine de kilomètres de la ville pour bénéficier d'un bord de mer on ne peut plus agréable.

Le soir après le boulot j'allais faire un peu de sport mais pas de rencontre, bref je trouvais les semaines très longues.

Un soir que je traînais dans la principale rue marchande, je  rentrais dans un magasin de journaux et pour passer une soirée agréable à l'hôtel je me cherchais une revue X. 
Je choisissais une seconde revue d'ordinateur pour cacher mon premier achat et me dirigeais vers la caisse.

Un homme d'une quarantaine d'année   1980-guy-copie-1.JPG  trônait derrière la caisse, il prit mes revues, pris un mail plaisir à mettre la revue X sur le dessus, en me souriant, et me fit payer.

je rentrais directement à ma chambre et durant toute la route je repensais à cet homme.
Je m'allongeais en rentrant et très excité, je me masturbais en regardant ces photos très chaudes, mais là je fixais plus les sexes tendus que les attributs des miss se faisant câliner.

J'allais manger, seul, et en revenant à ma chambre, je pris une douche et recommençais ma petite séance de plaisir solitaire en pensant à cet homme qui m'avait excité rien que par son sourire plein de sous-entendus

Au matin, ma décision était prise j'y retournerais le soir même. Autant vous dire que la journée fut longue. Je me baladais 2 heures dans cette ville et vers 19 H je me décidais enfin et rentrais dans la boutique.
Je fus accueilli par un " bonjour " du patron auquel je répondis, un peu gêné, il enchaîna en disant bien fort dans le magasin qu'il allait fermer et qu'il demandait aux personnes présentes de bien vouloir hâter leur achat.
Les quatre rangs de rayonnages se vidèrent, et moi, j'étais toujours devant le rayon des revues X en train de mater et essayer de choisir ou d'attendre.
Il rentra les présentoirs et passait dans les rangs pour vérifier l'absence de client.

Il arriva derrière moi ,silencieusement et me dit :

- je peux vous aider ?
- heu, excuser moi je vais faire vite,
- prenez votre temps ce n'est pas grave, je reviens de suite.
Alors la j'étais vraiment dans tous mes états : inquiet, excité, Je l'entendis fermer la porte et revenir vers moi.

Je me retournais et me trouvais face à lui.
- vous voulez une revue comme hier ? Elle n'était pas bien ?
Et là je ne sais pas comment j'ai réussi à lui sortir cette phrase :
- si mais il n'y avait pas beaucoup de photos d'hommes
- je vais vous en trouver des mieux, mais venez par ici car le magasin est fermé , mon patron  est parti aussi et je voudrais éteindre.
Je le suivais dans son arrière boutique : il y avait juste un bureau dans cette pièce.

Je restais devant le bureau et le suivais des yeux alors qu'il fermait sa boutique.
Il revint avec des revues homos " soft ", il me les posa sur le bureau et me dis de choisir.

Je commençais à les feuilleter et j'étais au comble de l'excitation.
Je le sentais derrière moi, regarder mes réactions par-dessus mon épaule.
- je vais t'en chercher d'autres
Je profitais de son absence pour replacer mon paquet bien tendu dans mon slip.
La seconde série était, cette fois-ci très hot, on voyait tous les actes possibles entre hommes et  cela m'excitait énormément.

Je n'étais pas le seul :
- tu aimes ?

Et en disant cela il se colla à moi, je le sentais dur contre moi mon pantalon en toile ne faisait pratiquement pas barrage.

Il commença à m'ouvrir ma chemise en m'embrassant dans le cou.

C'était merveilleusement bon, je me laissais faire et j'aimais ça.
Il retira ma chemise, je voulu me retourner mais il m'obligea à rester dans cette position et me dit :

" laisse toi faire, pour une fois je vais m'occuper de toi ".

Je devais vraiment être gauche pour qu'il le devine de suite.
Ces mains se posèrent sur mes pectoraux et ses doigts jouaient avec mes pointes de sein.

Je gémissais de plaisir.

Sa main droite descendit et s'attaqua à la ceinture et au bouton qui retenait mon pantalon.

Ce ne devait pas être une première pour lui car en peu de temps je me retrouvais en slip.

Mes mains cherchaient son corps mais il me les repoussait, sous le charme je me laissai faire.

Sa main droite caressait mon slip, je la sentais et la regardais aller et venir le long de mon sexe tendu, partir vers mes couilles, les caresser, les faire rouler et repartir vers mes fesses pendant que ses lèvres effleuraient mon cou.
Il m'embrassa dans la nuque et je sentis ses baisers descendre le long de ma colonne alors qu'il retirait en même temps mon slip.
J'étais nu avec un homme entrain de me faire l'amour et j'aimais cela.
Il se releva, me fit retourner et m'embrassa sur la bouche. Jamais je ne m'aurais cru capable d'embrasser un homme que je ne connaissais pas et pourtant je le faisais et j'aimais ça.
Tout en m'embrassant, il repoussa les revues et me fit asseoir sur le bureau.

Sa bouche descendit le long de mon cou alors que ces mains me torturaient toujours délicieusement les pointes de sein.

Sa bouche remplaça ses mains, je pensais que j'allais jouir sous l'effet de ses caresses.

Il me prit les couilles et recommença à me les malaxer sa bouche était maintenant sur mon nombril, sa langue virevoltait dedans, son autre main titillait mes seins : que de bonheur.
Il s'arrêta quelques secondes pour me regarder offert et tendu, il retira sa chemise, me dévoila un beau torse poilu et me demanda " allonge toi ", je ne pouvais rien lui refuser.

Il me décalotta doucement de ses lèvres et commença un lent va et vient je sentais la chaleur de sa bouche autour de moi ses mains se posèrent à nouveau sur mes couilles alors que sa bouche montait et descendait lentement, je n'en pouvais plus, et il le sentais,

je commençais à me tordre pour éviter de jouir et retarder cet instant,

il accéléra en me serrant encore plus fort les couilles, c'était plus que je ne pouvais en supporter et je ne pu me retenir et jouissais au fond de sa bouche, c'était l'extase, je me sentais vidé, heureux et, le temps de reprendre mes esprits, tout honteux et gêné.

Il me fit me remettre assis et m'embrassa, força ma bouche et je me retrouvais à partager mon sperme avec lui, et le pire de tout c'est que je n'étais pas dégoûté mais au contraire très excité.
Doucement il me fit me relever et me demanda de me mettre a genoux devant lui les mains derrière le dos.

Après ce qu'il venait de m'offrir je ne pouvais pas lui refuser.
Il retira son pantalon et debout devant moi, le slip tendu il me dit " tu vas  t'occuper d'elle. "

J'y suis allé à l'instinct, ce slip tendu me cachait un sexe que j'avais envie de sucer à mon tour. J'approchais mes mains mais il me les repoussa, je compris qu'il voulait ma bouche.

Cette situation m'excitait, je sentais mon sexe durcir à nouveau.

Je commençais à le mordiller à travers son slip et pris l'élastique dans mes dents pour lui retirer.

 

Je me sentais maladroit mais je sentais que cela l'excitait il m'aida à le retirer et

un beau sexe tendu s'offrait à ma vue.

Je me mis à téter le bout du gland, l'effet était prodigieux, doux, chaud, vibrant, le décalottais et l'enfonçais dans ma bouche.

Ma langue jouait avec le frein, avec le petit trou, enfin je suçais un homme !!!

Je montais et descendais le long de son sexe tendu je l'entendais gémir.

Il me demanda d'arrêter et me releva.

Nous nous sommes embrassé, les deux sexes tendus l'un contre l'autre, il les prit et commença à les masturber en même temps d'une main.

Il me demanda si je souhaitais aller plus loin.
Oui j'en avais envie, il avait pris possession de mon esprit et de mon corps, je ne vibrais plus que pour le sexe.

Il me fit allonger sur le bureau et il reprit mon sexe tendu en bouche.

Il me fit poser mes jambes sur ses épaules et je sentais ses mains caresser mes couilles, puis doucement sa bouche s'empara de mes couilles alors qu'il commençait doucement à me caresser entre les couilles et l'anus.

La pression augmentait doucement alors que ces doigts maintenant commençaient à caresser les contours.

Sa langue vint se poser sur mon anus et commença à me titiller de façon délicieuse, je ne pensais pas que cela serait si bon.

Elle fut vite remplacée par un doigt qu'il fit entrer et sortir doucement.

Il s'arrêta et me demanda de me caresser pour lui.

Je ne pouvais rien lui refuser, mais alors que je prenais mon sexe en main il me précisa qu'il voulait me voir jouer avec mon cul.

Je passais doucement la main sur mon cul légèrement ouvert et humide et commençais en entrant un doigt au plus profond de moi.

Il appréciait de me voir ainsi et me demanda en s'approchant du bord du bureau de le sucer sans m'arrêter.

Son sexe était très tendu et je voyais de la mouille au bout du gland, je le happais avec gourmandise. Au bout de plusieurs va et vient il se retira et me dit " continue a jouer avec ton cul, je vais chercher ce qu'il faut  " .
Ce ne fut pas long et je le vis revenir et se remettre entre mes jambes.
Je retirais ma main et sentis un doigt froid sur mon anus (je compris un peu plus tard que c'était le gel).

Il rentra facilement deux doigts , les retira et fut suivi d'une seconde rentrée.

Pour une première fois, je tombais sur un homme patient attentionné, tout ce qu'il me fallait.
Il me préparait doucement en faisant de lent va et vient de ses deux doigts, je me tordais de plaisir et lui demandais de me prendre.

Il retira ses doigts, et je sentis son sexe contre mon anus, il poussa doucement, cela me faisait un peu mal et il le senti, il ralenti et d'un coup la douleur disparu, le gland était passé.

Il resta quelques instants immobile, le temps que je puisse m'habituer et il s'enfonça à fond doucement. La nouvelle sensation de son sexe contre ma prostate me mettait au bord de la jouissance.
Il commença alors à entrer et sortir en accélérant doucement, il m'attrapa les couilles te les malaxa d'une main alors que de l'autre il me branlait au même rythme que ses pénétrations.

Au moment je jouissais pour la seconde fois je le vis se tendre, lui aussi, de plaisir, il jouissait en moi.

Soudain une voie se fit entendre derrière nous « alors papa on fait du rab ».

L’homme sursauta et dit « Oui mon fils ce jeune homme avait besoin de conseils alors je lui expliqué ».

Je vous observais depuis une demi heure et regardez dans l’état que je suis?.

Il enleva sa chemise et laissa tomber son pantalon.
1980-inconnu-2.JPG Devant nous une queue raide comme du bois il dit alors « père donne ton cul au client »

L’homme se pencha sur le bureau et me tendait son cul.
ce que je fis , mon sexe pénétrant ainsi le vendeur. qui cria a son fils

« et toi qu’est ce que tu attend pénètre le »  celui ci se présenta derrière moi , son gland touchait mon cul encore distendu et m’enfonça son pieux (19 cm) , pris en sandwich je ne pouvais que suivre le mouvement ,tout en branlant l’homme je jouissais en lui et son fils en moi.

J'étais crevé, et eux aussi, l’homme se colla contre moi et m'embrassa tendrement, je sentais la bite du fils mollir et ressortir de mon cul nous restâmes un bon moment ainsi, à nous caresser et embrasser, j'étais aux anges.
Ils me disent qu'ils devait rentrer chez eux et nous nous séparâmes après une douche pleine de caresses et tendresse dans l'arrière boutique. Il me restait une semaine et demi de déplacement dans cette ville

Le fils passa deux fois a l’hôtel ,sous le bras quelques revues X , pour mieux se faire pardonner de son intrusion dans ma vie , mais j’avais bien compris que seul mon cul l’intéressé .
1980-inconnu-3.JPG








1981

1981-Louis.JPG
une visite inatendue , mon fils éligitime Louis (souvenez-vous Joseph et Fatima en 1960)
maman m'a dit la verité a mon sujet alors je suis venu voir mon "papa".

il me dit " je suis comme toi j'aime les mecs et les nanas "

" c'est bien fiston  " répliquais-je  " et que toi tu pourras procréer ta succession "

"j'espère bien que oui "

" tu ne trouvera pas d'inconvéniant que je  te pompe à chaque visite " .

" je te doit bien ça "

Sylvain me pompe comme un Dieu et joue avec ma pastille .
 
dans ma tête  je pensais  " me demandera-t-il un jour de m’enculer? ".

Moi je l’espère…….et que lui aussi acceptera de ce faire baiser par son père créateur malgré mes 36 ans


je décida quelques moi apres a me lancze dans l'informatique et je parti en formation une semaine a Nancy.

mon stage est terminé je rentre

Cela faisait 3 jours que je passais toutes les fins d'après-midi sur ce programme que je devais rendre le lendemain. Je regardai les lignes défiler sur l'écran sans comprendre ce qui clochait l soudain l'écran afficha le message tant redouté : « Index out of range ». 
Je tapais sur la table en lâchant un soupir d'exaspération. Dans une demi-heure, la salle d'informatique allait fermer et ce foutu programme ne fonctionnait pas.

Au fond des rangées d'ordinateurs, il y avait le moniteur de la salle d'informatique penché sur son écran.

Je contemplai désespéré mon écran tentant d'analyser ces vicieuses lignes de codes et de comprendre mes erreurs.
 J'entendis derrière moi une voix qui me demanda « tu veux que je t'aide ». Je me retournai et je vis le moniteur qui s'était approché sans que je m'en aperçoive. Il était chargé de surveiller le bon usage des ordinateurs et nous prodiguait des conseils.

Il devait avoir entre 25 et 30 ans, athlétique, brun, avec des yeux noirs, très beau avec ses traits affirmés et volontaires. Beaucoup de charme. J'acceptai son aide avec ferveur.

Il s'assit à coté de moi et me demanda ce que je devais faire et quel était le problème. Il était souriant et disponible. Très pédagogue, il m'expliqua et corrigea mes fautes. De temps en temps, par inadvertance, nos mains se touchaient  provoquant autant de décharges électriques qui me troublaient. 
Son parfum léger et agréable arrivait jusqu'à mes narines. Je fis semblant d'écouter car j'étais subjugué par ses mains et son visage.

Le programme fonctionnait. Maintenant il était l'heure de sortir. Le moniteur éteignit les ordinateurs et la salle. Nous nous retrouvâmes dans le couloir. Il ferma la porte.
 Je ne sus pas pourquoi je l'attendis. Il se tourna et me demanda « tu vas bouffer maintenant ? » 
Je lui répondis « oui je vais au Mac Do voisin de mon hôtel. ». 
« Tu permets que je t'accompagne ? Je n'ai plus rien dans le frigo ».
 J'acquiesçai, enthousiaste.

Pendant le repas, on a discuté de tout. J'appris qu'il était a part informaticien, assez sportif, célibataire, qu'il habitait le vieux Lille.
 A chaque fois, qu'il plongeait ses yeux noirs dans les miens,ou qu'il me touchait la main pour prendre du pain ou du sel je rougissais.  J'étais sous le charme. Comment  ne l'avais-je pas remarqué avant ? 

il me demanda doucement « alors qu'est-ce qu'on fait ? » en me regardant droit dans les yeux.
Je m'entendis lui dire avec stupéfaction « je t'offre un café  dans ma piaule ? ». Il me décrocha avec un sourire ravageur..Je pris 2 grands café a emporter  et On sortit du Mac Do.

Nous nous rendîmes presque muets, dans ma chambre d'hôtel, qui était proche du restaurant .
 En ce début de soirée, le calme régnais . Ma piaule, 4ème étage  numéro 403. Il y avait  un lit double, un bureau, une armoire, une douche. Comme je suis ordonné, je pouvais l'inviter sans honte. J'avais mis quelques photos de ma femme et de ma fille dans un coin du bureau auxquelles il jeta un coup d’œil.
 Il s'assit sur le lit. J'allumai les deux lampes qui dispensèrent une lumière douce plus douce que celle, blafarde du plafonnier. Je lui donna le  café et je m'assis à coté de lui. Il me regarda et je fus captivé par son regard.
nous bumes le café tranquilement en parlant de tous et de rien.

Il approcha sa main et m'effleura le visage. Je ressentis sa chaleur. Il m'attira et déposa sur mes lèvres un doux baiser. Je le lui rendis tout en plongeant dans le lac noir de son regard.
 Il me serra contre lui et m'embrassa fougueusement. Je sentis sa chaude langue caresser la mienne. Ses mains parcouraient mon corps et retirèrent ma chemise de mon pantalon. Tout en continuant à m'embrasser, il la déboutonna et me l'enleva. Je sentis mon tricot de corps se soulever et ses mains brûlantes touchèrent ma peau. Des décharges électriques parcouraient mon dos et je sentis monter en moi une chaleur bienheureuse. Il retira mon sous-vêtement puis ôta rapidement son pull et son tee-shirt. Il me serra à nouveau dans ses bras et me coucha sur le lit. Nous étions peau contre peau, langue contre langue, nos mains cajolant nos corps embrasés.

Il cessa de m'embrasser et défit ma ceinture. Il déboutonna mon jean pendant que je le caressai à travers son pantalon. Sa main se glissa entre le jean et mon slip. J'étais en pleine érection. Il me caressa le sexe en m'embrassant à nouveau. 
Je défis sa ceinture et je déboutonnai son pantalon. La braguette glissa et je sentis également sa verge en érection, bien dure et bien imposante. Sa bouche descendit sur ma gorge puis sur son mon torse pour atteindre les tétons qui étaient eux aussi très durs. Il lécha et les mordilla alors que ses mains s'affairaient à enlever mon jean.
 Sa bouche descendit sur mon ventre vers mon pubis. Il embrassa ma verge à travers le tissu très fin et soyeux de mon slip. Il termina de m'enlever mon pantalon qui rejoignit la chemise sur le sol. Il se leva et retira son jean. Il avait un boxer noir qui moulait son sexe tendu et gorgé de promesses.

Je m'approchai de lui et pris ses fesses entre mes mains. J'embrassai sa barre à travers le boxer et impatient je le fis glisser. La verge jaillit.
1981-herve.JPG Elle avait une odeur agréable et musquée.

Il me caressa le visage avec son chibre.

J'ouvris la bouche et l'enfourna goulûment.

Il me tint la tête en faisant courir ses mains dans les cheveux.

Son membre allait et venait tandis que mes mains emprisonnaient ses fesses très fermes et musclées. Puis, je le branlai alors que ma bouche voyageait de ses testicules au bout du gland. J'entendis ses râles de plaisir et je fus complètement noyé dans des ondes de chaleur lubriques.

Il se retourna et s'appuya sur le bureau, les jambes légèrement écartées. Je baisai ses fesses en les massant délicatement puis je les écartai. Sa rosette m'apparut comme un soleil. J'enfouis mon visage dans ses chairs et ma langue lécha rapidement sa fente. Il poussa à nouveau un râle de plaisir. Je déambulai, de haut en bas et m'attardai sur sa rondelle du bout de la langue. J'écartai encore plus ses fesses et j'introduis ma langue dans son trou.

Je mis mes deux mains sur son sexe et je le branlai en cadence.

Au bout d'un moment, il se retourna et me coucha sur le dos sur le lit. Mes jambes étaient en dehors et écartées. Il m'embrassa sur la bouche puis chercha son pantalon. Il en sortit un préservatif. Il déchira d'un coup de dents l'enveloppe, prit le caoutchouc et le déroula rapidement sur mon sexe. Cela me déconcerta un peu, je n'en avais jamais mis.

Il se retourna et je le vis s'asseoir sur mon chibre. Il se laissa pénétrer sans problème et je sentis ma verge être enserrée dans une gangue chaude.
 Une déferlante de plaisir m'envahit et j'eus un petit hoquet.
 Il se souleva et s'abaissa dans un lent va et vient. Il me caressa les couilles et je sentis qu'il se masturbait également. Une de ses mains fouilla mon entre jambe et un doigt atteint ma rondelle. Il me la massait alors que j'étais dans la sienne. Je caressai son torse musclé et j'étais perdu dans une mer très agitée de volupté.

Il accéléra le rythme. Il s'accrocha à mes jambes. Sa respiration se fit plus rapide. Des ondes de plaisirs intenses partirent de ma verge et déferlèrent dans  mon corps et mon esprit. Je sentis monter l'orgasme avec la puissance d'un raz-de-marée. Je poussai un petit cri et je sentis ma semence jaillir. 
Il décéléra. Il se leva et se retourna. Il se masturba rapidement et ne tarda pas à m'envoyer son foutre sur mon ventre dans un cri libérateur.

Il m'enleva le préservatif plein de ma jouissance et le jeta à la poubelle. Il prit un mouchoir dans la boite sur le bureau et me nettoya. Puis il se coucha sur moi et m'embrassa en souriant. Nous nous regardâmes dans les yeux et je me perdis une fois de plus dans ses yeux noirs. Nous câlinions tendrement en silence.

La vigueur revint dans nos deux membres. Nos caresses se firent plus sauvages. Il descendit vers mon sexe et l'emboucha. Je m'abandonnai les yeux fermés à ses caresses buccales. Je sentis qu'il introduisit un doigt dans ma rondelle après l'avoir caressée. Ce n'était pas très agréable mais l'idée qu'il me pénétrait me fit oublier la sensation douloureuse et cela m'excita. Il me masturba pendant que je sentis son doigt aller et venir et qui tentait de desserrer mon anneau . Chaque partie de mon bas ventre fut une source de plaisir. La douleur disparut, et il introduisit un deuxième doigt, cette fois plus facilement. Je jouai avec ses cheveux pendant que sa bouche s'activait sur mon chibre.

Il chercha son pantalon et sortit un nouveau préservatif. En un tour de main, il enfila la capote sur son membre. Il me mit sur le ventre. Il écarta mes fesses et sa bouche vint se poser sur mon anus. Sa langue parcourut rapidement ma raie provoquant un plaisir intense qui partait du creux de mes reins. J'ondoyais au gré de ses coups de langue et de ses caresses. Il mit son membre caoutchouté sur ma raie et m'effleura la rondelle. Il écarta mes fesses et présenta son pénis à mon anus en me tenant par les hanches. Je savais ce qu'il allait me pénétrer j'espérais que mon corps se souviendrait d'une lointaine première fois.

Je sentis une douleur dans le bas du dos et son chibre entra en moi. Il s'inséra précautionneusement dans mes tendres chairs.
 J'étais écartelé, empalé, ouvert 
. Il s'arrêta et je m'habituai à la douleur. Puis il reprit la pénétration avec des pauses par intermittence. Je sentis son pubis se frotter sur mes fesses, mon corps avait avalé complètement son sexe. D'un déhanchement souple, il commença à aller et venir très doucement. La douleur s'estompa et fit place au plaisir. Mon anus lubrifié et préparé me dispensa une jouissance jusqu'alors inconnue.
 Mon sexe frotta sur la couverture au rythme du balancement de son corps. Nous ne faisions qu'un. Je le sentis en moi, je le sentis autour de moi. Ses bras parcouraient mon corps au rythme de nos respirations haletente. Il accéléra puis décèlera puis recommença. J'étais sur des montagnes russes dont son chibre était le sommet.

Il se retira et me mit sur le dos. Il prit mes jambes dans ses bras, me les souleva et les posa sur ses épaules. Il me pénétra d'un coup.
 Nous pouvions voir sur nos visages le plaisir que nous ressentions. Il me pinçait légèrement les tétons pendant que je me masturbai alors qu'il allait et venait en moi. Il accéléra et maintint une cadence élevée. Je ne savais plus qui, j'étais entièrement engloutit par la jouissance qui explosait comme mille soleils. J'entendis deux cris, deux hurlements et une lave bouillante jaillit sur mon ventre.

Il sortit de mes fesses et retira le préservatif qui était rempli de sa substance. Il s'allongea à coté de moi et joua avec mon sperme tout en m'embrassant. Il déposa un baiser sur mon ventre et trempa ses lèvres dans le liquide. J'étais exténué. Il me caressait le torse, la nuque et le visage. Nous restâmes un moment comme cela, tendrement enlacés.

Il se leva et me dit qu'il devait rentrer. 
J'aurais voulu qu'il reste avec moi. 
nous allons sous la douches en quelques calins et Il s'habilla et moi je restai nu allongé sur le lit avec une vague douleur dans le bas du dos. Sans un mot, il m'embrassa encore une fois et sortit de la chambre.

 J'avais un peu mal à l'anus mais j'étais heureux et j'ai l'impression de flotter au dessus du sol.

Le lendemain, à part des sourires amicaux et socialement corrects, l'assistant ne m'adressa pas beaucoup la parole et je sentis qu'il m'évitait dans la salle informatique. Je restai jusqu'à la fermeture.
 Un peu gêné, je lui demandai " on se voit se soir ".
 Il me dit " non  ce soir tu as pas eu de panne  ". 
Sur mon insistance, il m'expliqua sur le même ton qu'il avait employé pour m'aider dans la programmation, " je ne t'avait rien promis , même si cela avait été super,, qu'il n'était pas un bon mec de toute façon ", 
. J'appris plus tard qu'il était de la race des prédateurs

J'ai aujourd'hui 34 ans Il est vrai que je n'ai pas toujours voulu faire face à mon homosexualité, que je cachais comme un mal honteux à tout mon entourage.

Cela étant, il est d'autant plus difficile d'avoir des relations quand vous voulez cacher votre véritable nature.

Puis un soir, nous voilà invités, des amis et moi-même, chez Pascal, un voisin de mes amis et cousin de ma femme (j'habitais à 10 kilomètres de leur village).

Nous étions 5 à arriver dans son appartement : deux couples mariés, et moi sortit en célibataire(ma femme n‘aime pas son cousin Pascal), !

La soirée se déroule à merveille.

Des discussions animées et drôles qui prêtent toutes à boire un verre de plus.

Tellement de verres que je ne me sentais pas de reprendre ma voiture, et c'est tout naturellement qu'au terme de la soirée (vers 3h00 du matin tout de même), que Pascal m'invite à rester dormir sur son canapé.
Nous raccompagnons donc les 4 autres invités et Pascal me propose un autre verre. Étant donné que je n'avais pas de route à faire, j'acceptais volontiers.

Puis Pascal me dit " mon canapé n'est pas très confortable je te propose de partager mon lit ", insistant sur le fait qu'il sait très bien que je suis un hétéro pur et dur et que je ne risque rien (et oui, avec des années de pratique, on arrive à bien cacher les choses.).

Ce qui me laisse très grandement imaginer que lui même n'est pas très hétéro.

Je lui réponds " je suis d'accord ", tout en le laissant croire que je suis effectivement hétéro. Nous passons donc dans sa chambre.

Il passe dans la salle de bain. 1981-pascal.JPG

Puis me laissa la place ,pour aller ce coucher…..

de retour dans la chambre,

il est sous les draps et rien ne laisse entrevoir que quoi que ce soit va se dérouler entre nous.

Au moment où je soulève le drap pour me glisser à côté de lui, je découvre que son sexe est plutôt en forme.

Il éteint vite la lumière.

Je n'ai pas le temps de poser la tête sur l'oreiller que je me retrouve avec la langue de Pascal dans la bouche.

Il se glisse sur moi et non seulement je le laisse faire, mais surtout je le prend dans mes bras et cherche sa langue avec la mienne.

Ma queue s'est subitement gonflée, et sort du string que je ne tarde pas à enlever, pour le plus grand plaisir de Pascal.

Nos bites sont l'une contre l'autre pendant que nous nous embrassons et nous caressons à en perdre haleine.

Je le pousse sur le côté afin de me retrouver sur lui.

Ma langue quitte la sienne pour descendre lentement le long de son cou , jusqu'à ses seins.

La, je m'attarde sur ses tétons qui sont incroyablement érectiles.

Je continue mon chemin de langue jusqu'à son nombril. ses poils pubiens, noirs et drus comme j'aime me chatouille le menton.

Je lui repince délicatement les tétons, ce qui lui retire des râles et gémissements.

Pendant tout ce temps ……

Pascal frotte sa cuisse contre ma queue au bord de l'explosion.

Décidément, je l'aime de plus en plus ce mec.

Après avoir bien léché son ventre, ma bouche se dirige vers son gland, gros et bien décalotté, afin de le gratifier d'une fellation dont il gardera un souvenir mémorable.

Sa bite était très épaisse et très droite. A sa base, ses couilles étaient lourdes et rasées de frais, ce qui augmenta mon excitation.

Je le suçais comme j'avais toujours rêvé de le sucer.

Et il ne s'en plaignis pas un seul instant.

Je sentais qu'il était au bord de l'éjaculation.

Même si j'avais envie de goûter sa semence, je voulais absolument le sentir en moi avant.

Je montais donc sur lui et m'asseyais sur son dard.

Une brûlure vive fit vite place à un plaisir intense.

Nous jouions tout les deux à faire des mouvements qui décupleraient notre mutuel plaisir.

Nous avons fini dans un 69 qui ne dura que quelques instants, tant nous étions excités.

Lui et moi n'en avons pas perdu une seul goutte.

Son sperme était doux et salé, et je l'avalais comme j'aurais avalé de l'ambroisie (sa boisson favorite).

Je suis reparti au petit matin, le corps léger d'avoir passé une nuit de sexe intense, et avec l'intime conviction qu'une nouvelle vie commençait pour moi : une vie où l'homosexualité n'était plus une honte.

Les années défilaient à vitesses grand « V ».dans ma vie de couple

Nous recherchions Anita et moi le pourquoi nous n’arrivions pas, a avoir un autre enfant.

Après de multiples examens médicaux ,un grand professeur strasbourgeois nous remis en confiance mais il fallait passer par plusieurs opérations chirurgicales.

Enfin  nous avons réussi à procréer notre deuxième enfant

…..

1983

Une nouvelle  petite fille agrandissait la famille .


1984-j--remy.JPG Mon beau frère Jérémy s'occupe d'une association sportive. Il organise des soirées (repas dansant, loto, etc...) et je vais l'aider de temps en temps. C'est souvent convivial, il y a une bonne ambiance entre les bénévoles.

Le lendemain, il faut faire les comptes. D'habitude, Jérémy s'en charge avec le trésorier mais il a eu un empêchement et il m'a demandé d'y aller mais sans me préciser d'heure.
Je me préparais pour aller faire un footing avant et je comptais aller chez le trésorier un peu plus tard.

J'étais en short noir et j'avais un tee-shirt jaune quand j'entends une voiture devant chez moi. C'était le trésorier qui s'appelle Alain qui venait me chercher.

Il me dit qu'il m'attendait depuis un certain temps, Jérémy ne m'avait pas dit que je devais y aller à 14h.
Je lui réponds que j'étais désolé mais que je ne savais pas que c'était à 14h qu'on avait rendez-vous. Je lui dis de patienter, que je vais changer d'habits et que je suis à lui dans quelques minutes.

Il me dit : « tu peux venir comme ça, on n'est que tous les deux, ma femme est chez ses parents depuis une dizaine de jours ».
J'avoue que ça m'arrange, car il fait très chaud. Il habite à 1 km de chez moi, il m'emmène dans sa voiture. On arrive chez lui, on s'assoie l'un à côté de l'autre, on commence à faire les liasses de billets tout en discutant. Il me demande si je fais souvent des footings, si je fais des autres sports, bref quelques banalités d'usage. Il me propose de boire un verre et en s'asseyant à nouveau, il se rapproche de moi, et je sens ses genoux qui touchent les miens. J'ai l'impression d'avoir de plus en plus chaud, et je commence à être excité. Il ne faut pas que je montre que je suis troublé. Il est marié, 4 enfants et il ne faut pas que je me fasse d'illusion. Il a beaucoup de charme, il a 48 ans, châtains aux yeux bleus, sportif.
Tout en continuant les comptes, je me demande s'il ne fait pas exprès de me coller de plus en plus. Je décide alors de me frotter un peu plus à lui et sa réaction ne se fait pas attendre.

Il ne se recule pas, au contraire. Il a un grand sourire, il me fait un clin d’œil complice, et pose sa main sur mes genoux comme s'il me faisait une tape amicale. Mais ensuite, il me caresse la cuisse, remonte tout doucement et mon sexe commençait à se raidir. Il me dit qu'il a envie de m'embrasser. Il approche ses lèvres des miennes, il m'embrasse délicatement, il me roule une superbe pelle, tout en continuant à me caresser les cuisses. Je commence pendant ce temps là à lui enlever les boutons de sa chemise, à passer ma main sur ses pectoraux et lui caresser les tétons.
Il me dit : « j'ai envie que tu me suces, viens t'occuper de ma queue ».
Je lui descends sa braguette, son pantalon et caresse sa bite à travers son boxer, elle commence à prendre du volume. Je lèche sa queue à travers son boxer, j'ai envie que son boxer soit tout mouillé. Il me caresse les cheveux et me demande de continuer, qu'il aime ça.

Son gland dépasse du boxer, et j'en profite pour le lécher. J'enlève son boxer délicatement, je vois enfin sa queue toute entière. 1983-alain.JPG

Elle est de bonne taille mais bien épaisse.

J'espère qu'il voudra bien bourrer mon petit cul.

Je lui lèche les couilles, remonte le long de sa queue avec ma langue pour arriver à son gland qui est bien décalotté , qui est de plus en plus rouge , de plus en plus humide et de plus en plus gonflé.

Il me dit : « tu sais que tu suces super bien, tu m'as l'air d'être une bonne garce, il faut pas t'en promettre à toi ».
Quand on me parle comme ça, ça m'excite encore plus et je continue de lui avaler sa queue. Il veut me limer la bouche avec sa bite, il me prend par la nuque et m'enfonce sa queue au fond de la gorge en me traitant de salope. Il me dit : « tu vas voir ce que tu vas te prendre, j'ai envie de m'occuper de ton petit cul, j'ai envie de te le faire mouiller, tu vas dérouiller
Je lui réponds que j'en ai vraiment envie aussi, je veux qu'il me défonce avec sa queue bien lubrifiée.
Il me demande de me mettre à quatre pattes, il me caresse les fesses, il me doigte pour bien dilater ma rondelle.

Il me traite de chienne et ça m'excite encore plus.

" Tu vas t'en prendre plein le cul, ça fait plus de 10 jours que je n'ai pas baisé ma femme ".
Il me tient par les hanches, je sens son gland contre mes fesses, il me pénètre d'un seul coup, ça me fait mal, mais ensuite, il me lime mon petit cul délicatement, je sens sa queue qui glisse entre mes cuisses, je sens son souffle dans mon dos, je sens qu'il prend vraiment son pied et moi aussi.

Il va tellement profond que je sens ses couilles qui tapent contre mes fesses.
Il accélère la cadence, je gémis de plaisir, ça le motive encore plus pour continuer à me limer.
Il me dit " jai envie de te prendre par devant ".

Il retire sa queue, je me mets sur le dos, je mets mes jambes sur ses épaules, il me roule un patin, il me pénètre à nouveau, je lui caresse les pectoraux, je lui caresse les reins.

Il me lime bien le cul et je sens qu'il ne va pas tarder à envoyer la sauce.

Il accélère la cadence, se retire et m'envoie son sperme sur tout le corps.
Il s'allonge sur moi, nos corps se colle l’un a l’autre aidé par son jus, m'embrasse, et me dit " ça fait longtemps qu'il n'a pas baisé comme ça ".,et ajoute "  ma femme n'aime la sodomie et  n'aime pas trop sucer non plus ".

ma femme est pareil " lui dis-je  "le cul interdit de toucher ,elles sont toutes les mêmes ces femelles ".

" Ça c’est bien vrais " ajouta Alain et si j’ai besoin pour compter la caisse  "tu seras disponible j‘espère? ".

……" car ton beau frère lui pas possible de toucher ".

" Je sais  " dis-je , il refuse toutes mes propositions

Ah! Maintenant je comprend mieux quand il me dit « t’a qu’a voir mon beau frère Simon  le pédé ».

Je ne fus pas surpris.

Et j’ajoutais «  Il est encore vierge a 38 ans… »

Il faudra bien qu‘un jour , a nous deux ,arriver à le dépuceler !!!!.


Je n'ai pas voulu partir comme ça et j’ai bien nettoyé la queue d‘Alain.


Je n'ai pas fait mon footing mais j'ai quand même fait un peu de sport !

Un troisième enfant s’annonçait….. Et nous étions récompensé par la venu d’un fils .

Note vie devenait de la routine …. On baisait de temps en temps…..

Je l’aimais tellement que ….. Je ne voulais pas l’abandonner

 

 

 

 

Mes envies de male me permettaient de vivre discrètement et devenir un homme BI a la recherche de bons moments

1985-christoph.JPG

Il me pris avec douceur , nos corps l’un contre l’autre, après qu’il eu remplis mes entrailles de son jus ,je lui demandais si je pouvais moi aussi profiter de son cul.

Il me répondit « demain si tu veux je viendrais au même endroit avec un neveux de 16 ans »

Le lendemain comme prévu ils étaient là……..

Nous avons dépucelé le cul du neveux a tour de rôle puis je m’occupa de celui de Christoph mais le petit neveux ne perdit pas le nord et me défonçait le mien sauvagement ,heureusement qu’il avait une bite fine et courte sinon il aurait explosé mes entrailles. 1985-maxime.JPG

Par simon - Publié dans : ma vie
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