Samedi 7 juin 6 07 /06 /Juin 20:30

Un soir de grève
Il est 18h00 ce soir là . Pour la 1ere fois  a Paris pour me rendre chez mon neveu , pas de chance grève dans le RER parisien. Après avoir attendu 20 minutes, je peux enfin atteindre le bord du quai et monter dans la prochaine rame. Les portes s’ouvrent, les voyageurs comprimés et compressés tentent de s’extirper vaille que vaille pendant que ceux qui veulent monter poussent pour être certains d’avoir leur 20 cm² dans cet enfer urbain.
Je me trouve propulser dans la rame, puis plaquer contre le poteau central, bloqué par ceux déjà dans le wagon et ceux qui continuent de monter en écrasant un peu plus ceux qui ont eu l’outrecuidance de monter avant eux.
Après 5 bonnes minutes de luttes, de râlements et de jurons en tout genre, les portes se ferment enfin. J’essaie tant bien que mal de me décoller de ce poteau métallique qui me comprime la hanche. Contre mon corps, je sens d’autres bassins qui eux aussi essaient de se libérer de la pression humaine.
J’ai 62 ans, je m’appelle Simon. Sans être un dieu vivant, je suis encore plutôt pas mal. Je fais attention à ma ligne et à mon corps, ni plus ni moins.
 Comme vous le savais déjà je suis  très attiré par les hommes.
La rame prend doucement son élan, comme si le train souffrait d’avoir à transporter plus de personnes qu’il ne devrait normalement avoir dans son sein.
40 mètres de fait et la rame s’arrête brusquement. Je sens contre mon ventre une main qui se plaque, pour se retenir de ne pas basculer. Une main ferme, virile, une main comme je les aime.
Je lève mon regard vers le propriétaire de cette main, et je croise le regard gris acier d’un homme d’environ 25ans, racé sans excès, avec une élégance et un sourire naturel et rassurant.
--« Désolé », me dit il en plongeant son regard dans le mien.

« Pas de problème », répondis-je en rougissant, « au contraire » dit ma bouche avant même que mon esprit n’ait eu le temps de filtrer ces mots ! »
Qu’est ce qui m’a pris de dire çà ! Il va me prendre pour qui ? Je détourne le regard, gêné de ma spontanéité.
Pourtant c’est vrai que j’ai aimé sentir ses doigts sur mon ventre. En un instant, j’ai même imaginé un million de choses.
 Mais bon, regarde le, il a la tête du parfait hétéro, et tu viens clairement de lui dire « j’adorerais que vous me caressiez » ! Quel idiot je fais…
Toujours à l’arrêt, la chaleur aidant, en plus de ma bêtise, je trouve le temps interminable. Mais quand va-t-il redémarrer ce train de malheur, quand vais-je pouvoir sortir pour me sauver ?
Pourtant, je sens comme un léger frottement contre ma chemise. Voilà que maintenant, je fantasme tellement fort que j’ai l’impression qu’on me caresse. Pour en avoir le cœur net, je tends mes abdos et là je me dis que je ne rêve pas. Quelqu’un est en train de me caresser le ventre. Je regarde en biais cette main qui, avec deux doigts, monte et descends lentement, sensuellement le long de ma chemise entre le nombril et la ceinture de mon pantalon.
Je remonte mon regard  Je l’ai déjà vue , Mon Dieu, c’est celle de mon voisin le beau minet.
Une fois encore, nos regards se croisent , à la fois de la gêne et du désir dans le mien, alors que le sien, les yeux légèrement plissés semblent délivrer ce message « laisse toi faire ».
Alors d’accord, de toute façon je ne peux pas bouger, me retourner. Même mes mains sont coincées par les autres voyageurs. Du regard, sans un mot , par un signe positive de la tête je lui fais comprendre que j’accepte sa caresse.
Je sens alors le contact plus insistant, plus ferme, plus viril. En un instant c’est sa main qui me caresse la chemise, le long de mes abdos loin d’être des plaques de chocolats. Je ferme les yeux, laisse échapper un soupir d’aise, puis regarde ce jeune homme qui m’inspire un désir grandissant. Il me sourit, avec une complicité dans les yeux qui m’indique que lui aussi aime cet instant.
Je n’entends plus les voix, le brouhaha autour de moi, je ne vois plus que lui et son sourire, je ne sens plus que sa main et sa caresse. Il me dit doucement
--« moi c’est Matthieu, et toi ? »
-- « Simon », dis-je dans un filet de voix étranglé par l’émotion et le désir .
D’un coup, violent, saccadé, le train redémarre. Le départ brutal projette Matthieu contre moi. Nos corps se touchent tout entier, son visage est a quelques centimètres du mien, et son corps, des épaules aux genoux, vient se plaquer contre le mien.
Je sens son parfum, sa chaleur a travers sa chemise, cette légère odeur de transpiration d’un homme qui manifestement s’entretient.
Mais je sens aussi son torse, ferme solide, dont la chemise moulante , laisse supposer qu’il est dessiné, sans graisse, lisse.
Et surtout je sens son bas ventre contre le mien et surprise, un sexe tendu contre le mien à travers nos pantalons respectifs.
Le contact de sa barre de chair, même indirect, m’électrise et je ne peux réprimer l’envie de me frotter à lui, un peu bestial
Il ne recule pas. Nos corps se frottent l’un contre l’autre lentement au rythme de tortillard de ce RER. Je sens son sexe qui grossit encore, qui tente de se dresser prisonnier dans son pantalon et son sous-vêtement. Le mien est déjà bandé au maximum, tentant vainement de déchirer mon boxer par la tension extrême que m’inflige l’excitation de cet instant.
Pendant que le train fait un stop and go qui d’ordinaire m’aurait exaspéré, je sens la main de Matthieu qui peu à peu glisse de mon ventre vers mon pantalon. Il passe doucement sur mon aine et je sens alors ses doigts se rapprocher de la bosse formé par mon sexe en émoi.
Du bout du majeur, il effleure cette bosse et je tressaille, stupéfait de son audace et ravi à la fois. Il me caresse doucement le gland à travers le tissu. Ma respiration s’accélère, mon excitation monte encore d’un cran.
 Mon Dieu, il est en train de me peloter dans le train avec 1 million de personnes autour de nous. Et si la vieille à côté s’en rendait compte ? Quelle honte, non tu ne peux pas le laisser faire…
Au moment où j’essaie de dégager une main pour retenir la sienne, je le sens descendre encore ses doigts et les glisser entre mes cuisses, me malaxant doucement les testicules à travers mon pantalon. Je ne peux retenir un « aaahh » de surprise.
A ce moment là, nous arrivons à la station. Je ne dois descendre qu’au terminus de la ligne mais lui, jusqu’ou va-t-il ?
 Pendant que le sempiternel ballet des entrants et sortants se fait, Matthieu en profite pour me pousser vers la porte et me plaque dos a celle-ci. Déjà je vais encore avoir au moins un trajet inter stations pour profiter de ses caresses. Profitant du flot entrant, il se colle à moi. Je sens un pieu massif se plaquer contre mon ventre et sa main se plaquer sur mon sexe. Mon excitation est à son comble quand il commence une lente sensuelle et insupportable masturbation a travers le tissu.
Le train redémarre, et reprends ses stop and go chaotiques. Il nous a déjà fallu 5 mm pour faire une station là ou il en faut 1 seule d’habitude, mais là je ne suis pas pressé d’arriver, je voudrais que ce voyage n’en finisse plus.
La lente caresse de Matthieu sur mon sexe me plonge comme dans un état second. J’oublie le monde, seul compte Matthieu.
Je sens d’un coup ses doigts qui quittent mon sexe, et doucement s’emparent de ma braguette et tire lentement mais inexorablement la languette vers le bas.
 Mais il est fou ! Là dans le RER.
D’un regard sans doute affolé je regarde précipitamment autour de moi ! Non ce n’est pas bien, il y a du monde. Je murmure un « non » timide à son oreille.
« Laisse toi faire » me répond-il dans un souffle. J’essaie vainement de retenir ses doigts mais déjà je les sens écarter mon pantalon et se glisser sur mon boxer. Sa main dans mon pantalon glisse doucement et me caresse le pubis puis rejoint mon sexe tendu à l’ extrême. Il reprend sa lente masturbation. Elle est encore plus intense, car avec une couche de tissu en moins.
De mon côté, je remonte ma main sur son pantalon et la glisse entre ses cuisses. Mes doigts trouvent son entrejambe et lentement je lui caresse. Il gémit d’aise lui aussi.
Tout à coup je vois apparaître les lumières de la station.
Un instant de panique, et si la porte contre laquelle je suis plaqué et en train de me faire masturber était celle qui s’ouvrait sur le quai.
 Non heureusement.
Matthieu profite du mouvement de foule pour se replacer face a moi et me dissimuler au regard des autres. Je le regarde avec tendresse, avec passion. Je ne le connais pas mais j’ai une folle envie de passer plus qu’un trajet de RER avec lui.
Enfin le train repart et Matthieu reprend ma lente masturbation. Je sens ses doigts chauds contre le tissu humide d’excitation de mon boxer. Soudain j’ai envie de plus que cette caresse, j’ai envie qu’il me fasse l’amour, j’ai envie qu’il me mette nu et me possède.
Comme s’il avait lu dans mes pensées, je sens Matthieu qui glisse ses doigts sous la ceinture de mon boxer, qui s’immisce dans ma toison intime et qui plonge sur mon sexe. D’un coup je sens sa main en direct sur ma verge tendue. Ses doigts se resserrent et il entame une masturbation plus franche.
Je ne sais plus où j’habite, qui je suis.
Je suis entrain de me faire masturber en plein RER un soir de grève et j’aime ca…qui n’aimerai pas ?
L’excitation est a son comble je sens que s’il continue ainsi je vais jouir…
« Arrête Matthieu, je vais jouir, arrête pas la, sil te plait » lui dis je sans grande conviction, trop excité par sa main experte qui m’astique avec force mon sexe soumis.
« Non, je veux sentir ton sperme jaillir dans mes doigts » me dit il en plongeant son regard gris dans mes yeux.
Et au même moment, je sens monter les spasmes incontrôlables de l’orgasme. Mon sexe se contracte entre ses doigts et j’éjacule 3 longs jets dans sa main et dans mon boxer, en laissant échapper un petit cri de jouissance.
Matthieu a les doigts maculés de ma semence. Il caresse encore un peu mon sexe, me presse le gland pour en faire sortir les dernières gouttes puis doucement, m’enduit le sexe, les testicules et mes poils de mon sperme, l’étalant lentement partout, comme un vernis protecteur. Il se sèche un peu les doigts dans le tissu de mon boxer.
Délicatement il retire sa main de mon pantalon, me laissant tout pantelant de plaisir. Il sort un kleenex de sa poche et s’essuie les doigts sauf le majeur qu’il lèche devant moi avec délectation. Tout a mon plaisir, j’en ai oublié de m’occuper de lui. !!! Aurais je simplement osé faire le quart de ce qu’il m’avait fait…je n’en suis même pas sûr
La station suivante arrive, il me remonte ma braguette et me dit, avec une nuance de regret dans la voix : « c’est la que je descends ». Je le regarde affolé. Non pas déjà ! Comme le dit Piaf, je maudis d’un coup la foule qui m’arrache à lui et qui m’avait jeté dans ses bras.
Il se retourne et quitte le wagon. Je ressens un vide immense, inconnu jusqu’alors, une profonde tristesse alors que deux minutes avant j’étais au Paradis !
Il se retourne une fois sur le quai, et pendant que la porte se ferme, me fait un signe, et approche ses doigts de la bouche et de l’oreille, me signifiant « on s’appelle ».
Mais comment ? Je ne sais que son prénom, je ne sais même pas d’où il vient et ou il va…Pourquoi cette cruauté alors que justement avant il m’avait apporté tant de bonheur et de plaisir.
D’un denier geste, il me montre la poche de ma veste, comme s’il y glissait quelque chose. Le train démarre, prend de la vitesse, et je perds Matthieu de vue.
Je sens des larmes qui me montent aux yeux et je ne peux pas les empêcher de couler, rempli d’un chagrin soudain. Je plonge ma main dans la poche de ma veste pour en sortir un mouchoir.
Mais il y a autre chose, un carton, mieux que cela, une carte de visite, avec un nom que je ne connais pas mais un prénom qui me ramène deux minutes en arrière « MATTHIEU ».
Tout y est, son adresse, son portable, son email, son nom ! Je comprends mieux le geste final. Mais comment a-t-il fait ? Je n’ai rien senti ! Enfin je m’en moque, parce que maintenant, je sais que je vais le revoir.
Enfin le terminus. Il faut dire que je n’ai rien vu du voyage, tout à mon souvenir de ce que je venais de vivre avec Matthieu. J’ai trouvé une place assise, et mes yeux sont restés rivés sur sa carte de visite. Comment ai-je fait pour qu’un homme, en si peu de temps, me laisse sa carte comme ça, dans ma poche. Il m’a fait un effet bœuf (et mon boxer tout humide de ma semence me le rappelle à chaque mouvement), mais qu’ai-je fait pour qu’il me laisse toutes ses coordonnées en cadeau ?
C’est l’esprit agité de cette question que je chemine vers le domicile de mon neveu Norbert.
--salut tonton , t’as fait bon voyage ?
--salut Norbert ,extra malgrès les grèves ….
--désolé j’ai pas pu me libérer au boulot
--pas grave ça m’a permis d ‘avoir une  aventure INOUIIIIII
--vas y raconte tonton
--si ça te dérange pas avant je voudrai prendre une douche.
--ok je te prépare l’apéro en attendant.

Une fois dans la salle de bain, je me glisse sous la douche, histoire de remettre un peu d’ordre dans mes idées et effacer (a regret) les traces de notre rencontre.
Pourtant, en sortant de ma douche, une seule idée m’obsède : revoir Matthieu, et vite.
 Je me précipite sur mon portable, saisit la carte et commence à composer son numéro. Mais juste avant le 10ème chiffre, ma main s’arrête net !!!
« réfléchis avec ta tête imbécile !!! Pas qu’avec ta queue !!! Il est chez lui, en famille, tu vas le déranger, le gêner ».
Je termine quand même le numéro pour l’enregistrer dans mon répertoire. Voilà, maintenant, je pourrai l’appeler quand je le souhaite.
--alors tonton ça fait du bien
--super tu aurai pu venir me frotter le dos (hihi)
--fallait demander tonton…….
--je pensais que tu serai venu de toi même pour mâter ce que tu voudrai goûter !
--j’ai pas osé , tonton , mais regarde l’effet que tu me donnes !
--hummm ! ! je vois , j’espère que je passe les nuits avec toi ?
--oui tonton et tu vas pas beaucoup dormir !
--c’est ce que j’avais compris lors de ton invitation.
Après un diner frugal, je pars dans la chambre, et je me suis encore endormi comme une masse.
 La nuit est agitée de rêves tous plus érotiques les uns que les autres, et je me réveille pleins des mille et unes caresses que Matthieu m’a fait dans mon sommeil.
 Norbert m’avais laissé récupérer ma longue journée d’hier sachant que j’etais là pour une semaine. Il m’attendait nu dans la cuisine pour prendre le petit déjeuner.
-- bonjour tonton , ben dis donc ta nuit a bien été agité ?
-- bonjour , je sais pas si c’est toi mais putain je n’ai pas arrivée a débander.
-- oui j’avais remarqué et j’ai même léché ton gland
--quoi tu as voulu me sucer ? pendant mon sommeil
--je faisais ce que tu me demandais dans ton rêve et tu as même joui sur ton ventre
--pas vrais ?
-- si tonton et j’ai tous léché …. Que c’etait bon ! !
-- bon on verra ce soir si tu es prêt  a consommer plus ?
-- Oui tonton ce soir , depuis le temps que je t’attend….dit tonton tu fais quoi ce matin ?…….. tu peus te servir de l’ordinateur si tu sors pas.
--ok a tout a l’heure.
Après une douche rapide et un petit déjeuner expédié, Norbert  cours vers le RER , ce matin , il n’est plus en grève.


Tournant en rond dans la pièce , je me mis a penser a Matthieu , mis en marche l’ordinateur

Et me voila devant mon écran.
« Et si je lui envoyais un mail, comme ça, il aurait mon adresse ».
Ni une ni deux je retrouve la carte de visite, et je saisis l’adresse avant de lui envoyer ce message
« Bonjour, suite à notre rendez vous d’hier, je vous confirme tout l’intérêt que nous portons à l’avant projet que vous m’avez présenté, projet visant à rapprocher les hommes de façon significative dans la jungle urbaine des transports en communs. Signé Simon… »
Je clique sur Envoyer, et soupire d’aise et de crainte à la fois, espérant qu’il lira et comprendra mon message.
 Dans la seconde qui suit , retentit la sonnerie qui m’annonce un nouveau mail. Je clique sur Ouvrir et découvre un message de Matthieu !!!
« Monsieur,
Je suis ravi que ma prestation d’hier vous ait convaincue d’aller plus avant dans notre collaboration. Afin de pouvoir approfondir le sujet, je vous propose de me contacter au 06…… afin que nous convenions d’un rendez vous dans les meilleurs délais et dans des conditions plus confidentielles.
Dans cette attente, Matthieu T
. »
Là, le doute n’est pas permis, il me donne rendez vous, et seul à seul. Mon cœur bat la chamade, je sens des bouffées de chaleur qui montent, et cela doit se voir ,heureusement personne pour le voir.
Je prends ma veste et sors rapidement de l’immeuble. Je saisis mon téléphone, et le cœur battant, j’entends la sonnerie sur le téléphone de Matthieu.
« Matthieu T., bonjour !!! »
« Bonjour, je suis Simon., nous nous sommes rencontrés hier dans le… »
« Oui, je me souviens particulièrement bien de vous. Alors ce rendez vous, quand pouvons nous le fixer ? »
« Dès que tu veux » Le tutoiement est venu spontanément, aussi fort que le désir qui déforme mon boxer au son de sa voix.
« Disons ce soir vers 20h00. Je vous fais suivre l’adresse exacte par mail. Merci de m’avoir rappelé Mr J, et à ce soir. »
Il raccroche aussi vite qu’il a répondu. Mon Dieu, ce soir, mais je ne suis pas…enfin qu’est ce que j’avais de prévu…c’est rapide pour le coup….. Je m’assieds sur le trottoir tout chamboulé par ce rendez vous si rapide, histoire
de regrouper un peu mes esprits.
« Tu n’as rien de prévu ce soir, ah ! si Norbert, rappelle toi, et ce soir, tu as un homme de rêve qui te donne un rendez vous pour sans doute l’un des meilleurs moments de ta petite vie, alors, arrête de te prendre la tête et vas y….Et ramène une bouteille de vin, il aime peut être çà ». Ma voix intérieure est parfois très dure avec moi, mais je l’écoute souvent, parce qu’elle est de bon conseil en général.
Après cette mise au point interne, je remonte à l’appartement, trouvant sur le PC le mail de Matthieu avec une adresse et un code de porte. Je vérifie illico sur Mappy où cela se trouve et comment y aller. C’est sur ma ligne RER d’hier, et c’est une adresse privée !!! Il m’invite chez lui on dirait. Allez, calme toi, respire, voilà, maintenant tu verras bien ce soir.
La journée ne semble pas en finir. Je file chez un caviste que je connais et lui demande une bonne bouteille de blanc pour une soirée intime. Puis je vais prendre mon RER préféré, descend à la station indiquée dans le mail et me rends à l’adresse de Matthieu.
Je suis un peu en avance, et je vois sur le trottoir un monospace chargé de bagages, avec 2 bambins a l’arrière, et Matthieu et une ravissante jeune femme qui lui dépose un baiser sur la bouche. Je me cache derrière un arbre. Elle monte, démarre puis s’éloigne en faisant un signe de la main. Elle disparaît au coin de la rue.
Matthieu pousse la porte cochère et j’en profite pour le rejoindre.
«  Bonsoir »
Il se retourne, me gratifie d’un sourire ravageur « Bonsoir Simon, je t’attendais ».
« Ta famille est partie pour les vacances ? »
« Oui, mon épouse souhaite se mettre au vert dans la maison de mes parents en Sologne, elle part une semaine avec les enfants
« Ah si peu…oh excuse moi, je suis désolé »
« Allez, monte » me dit il « je crois que nous avons un dossier en cours que je dois reprendre en main ».
Dans l’ascenseur, Matthieu se tient sagement à mes côtés. Mais déjà son parfum m’entoure, et je sens mes sens s’animer sérieusement. Il me précède sur le pallier, ouvre la porte et me laisse entrer.
C’est un appartement cossu, moderne, typique du jeune couple qui a tout de suite bien démarré dans la vie.
La porte se referme. « C’est pour nous la bouteille ? »
« Ah oui c’est pour toi et moi, maintenant ou quand tu voudras » dis je en lui remettant
Il se place face a moi et doucement mais surement se rapproche et me pousse contre le mur. Ne pouvant plus reculer, je le sens se plaquer contre moi et poser ses lèvres sur ma bouche. Ah mon Dieu qu’elles sont douces. Un baiser posé délicatement pendant que de ses mains, il enserre mon visage.
Je sens sa langue qui se glisse entre mes lèvres et j’ouvre les miennes pour l’accueillir. Le baiser se fait alors plus profond, plus intense, plus viril et dominateur. Il me fouille de sa langue, et je m’abandonne à son baiser plein de fougue.
Ses mains glissent de mon visage et me caressent de partout. Je pose les miennes sur ses hanches et le plaque contre moi, sentant sa virilité se dresser dans son pantalon, fière et puissante.
Tout en m’embrassant Matthieu commence à m’effeuiller. Ma veste tombe très vite et je sens que les boutons de ma chemise sautent les uns après les autres , les mains de Matthieu viennent me pétrir les pectoraux. Je gémis de plaisir, de désir quand il me pince les têtons dressés.
Ma chemise rejoint très vite ma veste sur le sol de l’entrée. Nous n’avons toujours pas fait un mètre depuis que je suis entré chez lui.
Je suis torse nu, le pantalon déformé par la plus grosse érection que je n’ai jamais eu jusqu’à présent. Il sait m’exciter, me stimuler. Sa main se plaque sur mon sexe raide et une lente caresse sensuelle, torride s’applique à me masser la verge a travers le pantalon.
Je sens contre moi son corps chaud à travers ses vêtements. Lui aussi a une érection magnifique dans son pantalon. J’ose ma main sur sa bosse et sens un sexe qui me semble énorme et tellement dur.
Pendant que je soupèse son sexe il défait ma ceinture dégrafe mon pantalon et baisse ma braguette. Il l’écarte et dévoile mon boxer complètement distendu. Mon pantalon glisse sur mes mollets, je vire mes chaussures, je suis presque nu, là, dans l’entrée. Matthieu glisse alors sa main dans mon boxer et s’empare de mon sexe, d’une poigne virile qui me fait comprendre qui sera le maitre dans nos ébats.
Il entame une lente masturbation, comme hier dans le train. Je ferme les yeux de plaisir tout en malaxant sa bosse. Sa main coulisse sans heurt sur ma verge. J’aime cette force mêlée de douceur sur mon sexe.
Je sens que mon boxer glisse sur mes hanches puis mes fesses et finit par choir sur le sol. Me voila nu, offert à son désir et son regard qui me transperce.
Il me prend par la main et m’emmène dans le séjour. Il s’installe sur le canapé, me laissant debout face à lui. Il se redresse, m’attire a lui en me prenant par les hanches. Je sens sa main qui doucement me caresse les fesses pendant que l’autre reprend la masturbation entamée dans le couloir.
Je me laisse totalement guider. Je suis un jouet entre ses mains. Il se penche alors vers mon sexe et le lape avec une sensualité jamais connue à ce jour. J’ai des frissons de plaisir partout dans le corps. Je gémis, caresse sa nuque et je sens mon gland disparaître dans sa bouche. Il commence à coulisser le long de ma verge, entamant une fellation de rêve.
Je plane complètement pendant que Matthieu s’active sur ma queue. Je sens monter la jouissance, je le ralentis. Il faut que cela dure toute la nuit.
Pendant qu’il me suce, Matthieu part explorer ma raie. Il immisce ses doigts dans ma raie et glisse vers ma rondelle. Je sens son majeur qui la caresse, la travaille un peu, puis me pénètre. Je pousse un râle de plaisir sous la caresse buccale et anale.
Sentant que je vais jouir s’il continue ainsi, Matthieu libère ma verge, et m’invite à m’agenouiller. Je m’exécute.
« Vas y, dessape moi » me dit t’il dans un souffle.
Alors sans retenue, je me jette sur ce corps tant désiré. Sa chemise vole en un instant, découvrant un torse dessiné, sans un poil, avec deux magnifiques petits tâtons bruns, gros comme une pièce de 2 centimes, mais avec une pointe ferme que mes doigts malaxent d’envie.
Ma bouche s’attarde sur ses pectoraux, ma langue ne se lasse pas de jouer avec ses deux pointes d’ébène au bout des têtons. Je respire à plein nez son parfum frais, citronné. Je glisse sur ses aisselles qui fleurent bon le déo de qualité mais également une légère pointe de transpiration, le rendant encore plus viril, excitant, désirable.
Mes mains glissent alors sur son pantalon et rapidement celui vole au milieu du salon avec ses chaussures.
Il est face à moi, juste en slip, un slip blanc a poche CK, le mettant magnifiquement en valeur avec son sexe bandé. Je glisse ma main dans la poche, cherchant la fente qui me fera accéder à son sexe. Je vais enfin pouvoir le toucher, le caresser.
Je rencontre sa touffe, drue, épaisse. J’ai toujours aimé les toisons pubiennes, puis rapidement je sens son sexe le long de mes doigts. Alors n’y résistant plus, je lui arrache le slip pour l’avoir nu devant moi.
Sa bite se dévoile d’un coup, claque sur ses abdos fermes et dessinés. Une bite superbe, de 19 cm, droite comme un I, un vrai pieu surmontant une paire de couilles lourdes, bien viriles, poilues, des vraies couilles de mec.
Je me penche alors sur ce sexe tant désiré et le prend en bouche pour l’honorer comme il se doit. Je suis agenouillé, entre ses cuisses et je pompe cette bite avec application et délectation. Je la fais coulisser dans ma bouche jusqu’à l’avaler toute entière. J’aime son gout légèrement salé, le parfum d’homme excité qui se dégage de sa toison. Je m’applique à lui donner tout le plaisir qu’il m’a déjà offert hier et ce soir.
Sa main se fait plus pressente sur ma nuque, il a la tête rejetée en arrière les yeux mi clos. Ma pipe lui plait dirait on. Il accompagne mon hochement de tête de sa main ferme tout en me caressant les cheveux. Je le suce à fond pendant 10 bonnes minutes, en alternant les gorges profondes, la pompe du gland, le léchage ou le gobage de ses deux grosses couilles. Il se détend de plus en plus gémissant de plus en plus fort, murmurant mon prénom avec une intensité grandissante.
« Arrête toi, je vais jouir sinon… » Me dit il le souffle court, luisant de sueur
Je lâche à regret cette verge luisante de salive. Il me relève et me retourne, empoignant mes fesses a deux mains et les écarte sans ménagement.
« Penche toi et montre moi ta rondelle ».
Aussitôt je m’exécute, offrant mon cul à sa langue experte. Elle pointe et commence un léchage de 1er choix. Je sens peu à peu mon petit trou se détendre et sa langue s’introduire plus avant dans mon intimité. Une fois encore, il sait me mettre en extase et je m’abandonne à lui.
Il se relève, la bite toujours raide, enfile une capote et vient se coller contre moi. Je sens son pieu le long de ma raie, il le fait monter et descendre, frottant parfois son gland sur ma rondelle sensibilisée par sa langue.
Ce frottement dure quelques instants quand sans me prévenir, il me transperce d’un coup de queue et me déchire le cul.
Une brulure insupportable m’envahit le ventre en même temps qu’un plaisir intense. Je crie de douleur et de surprise sous cet assaut anal brutal.
Il vient de m’enculer comme un mâle en rut, et me prend sans ménagement. J’ai mal mais j’adore sa bestialité.
Il me saisit les hanches et entame un limage profond et rapide, histoire de bien me chauffer le fourreau. Je cherche un point d’appui pour résister à ses coups de butoir dans mon cul et la seule possibilité, c’est la baie vitrée.
Je plaque mes mains sur la vitre et courbé en deux, pendant que je fais face à Paris, je me fais enculer par Matthieu comme un sauvage.
Lentement il ralentit la cadence de ses assauts, comme s’il avait voulu me montrer qui était le maitre du jeu et me soumettre a son bon vouloir. La douleur a fait rapidement place à un plaisir sans nom et sa queue me ramone divinement bien, tout en profondeur, en longueur et en volupté. Je le sens m’envahir au fond de mon ventre et son gland me frotte sur toute la longueur.
Il me lime lentement maintenant, profitant pleinement de ma croupe offerte et dédiée au plaisir. Dans le reflet de la vitre, je le vois prendre son pied à me caresser la nuque, le dos, à saisir ma queue pour la branler et la faire rebander.
Le temps est suspendu, et seul compte le mouvement de son corps contre et dans le mien.
« Tu aimes ? » me demande t’il en se couchant sur mes reins, « ca te plait de te faire prendre comme ca ? »
« J’adore ca Matthieu, j’aime qu’un homme me prenne virilement, comme tu l’as fait. »
« Alors viens sur le canapé, je vais te prendre par devant ».
Il m’entraine et me retourne, me jetant dos sur le canapé. Il me relève les jambes et sans ménagement, me pénètre directement. Mais là je suis prêt et son gland entre sans me faire souffrir.
Il reprend ses va et vient dans mon cul, joue avec son gland et ma rondelle. Je sens monter lentement mais surement un orgasme de folie en moi. Je n’ose pas me caresser de peur d’exploser de suite.
C’est lui qui prend mes « choses » en main et tout en me limant, il me branle avec une langueur insupportable presque sadique, sachant s’arrêter juste avant que je ne lâche tout !!!
Mais je sens bien que lui aussi est au bord de l’extase, les mouvements de son sexe en moi sont plus saccadés et d’un coup, je sens sa main se crisper sur ma queue et lui qui m’enfonce son pieu de chair au fond de mon cul. Aussitôt après, un flot de sperme jaillit et emplit sa capote, pendant que de ma queue jaillit un flot saccadé de semence chaude qui gicle sur son torse et le mien, aspergeant nos visages. Il se vide complètement dans un cri de jouissance intense et un dernier coup de butoir qui me transperce le ventre, avant de s’effondrer sur moi et de reprendre nos esprits.
Le temps semble suspendu, il n’y aucun bruit autour de nous hormis nos respirations qui retrouvent un rythme peu à peu normal.
Quand soudain ! !….mon portable sonne et brise ce silence
Il se retire lentement, me laissant comme un grand vide en moi. Il me sourit, tendrement, dégage une mèche de cheveux collés sur mon front par la sueur de nos ébats et me dépose un doux baiser sur les lèvres.
« Je vais remettre la bouteille au frais, histoire qu’elle se rafraichisse pendant que nous prendrons une douche ensemble » me dit il à l’oreille. « nous la boirons ensuite à nos amours … »
--tonton
--oui Norbert
--tu as vu l’heure je t’attendais , tu es ou ?
--chez Matthieu  , tu sais le mec qui ma branlé dans le RER
--oui je sais , c’étais pas prévu … une seconde Matthieu  me dit quelque chose
---Simon c’est qui ce Norbert ?
---Mon neveu chez qui je suis en vacances
---Ok ben demande lui de nous rejoindre ?
--Allo Norbert , tu veus bien nous rejoindre chez Matthieu  au 20 rue de la rose bleu ?
--Tu crois que je peu
--Bien sure , en plus demain c’est dimanche tu auras le temps de récupérer
--OK j’arrive
20 minutes plus tard , Norbert nous avait rejoint et que fut sa surprise de nous trouver a poils et tout autour de nous, le sol est jonché de nos vêtements jetés en vrac, témoins immobiles de la passion qui s’est emparée de nous.
--Bienvenue Norbert ,moi c’est Matthieu  tu as trouvé facilement
--enchanté , merci de votre invitation
--de rien ton oncle Simon devais te faire ta fête ce soir alors comme je l’ai retenu un vas la faire tous les trois.
--merci
--mets toi a poils et vient nous retrouver sous la douche
Norbert ne se fit pas prier et arriva sous la douche ,le regard de Matthieu voyant je jeune Norbert un mat de 20cm bien épais arrivé droit comme un pic cria « Putain ce que j’attend depuis des années  , je vais m’éclater le cul ce soir »
--Simon et ton neveu vous êtes bien monté
--Oui Matthieu et ce soir 2 pour 1
--Qui vas commencer ?
--Honneur au plus jeune
--Mais tonton tu as commencé continue le 1er
--Non ça sera toi et moi je m’occuperai de toi en même temps
--Dans ce cas…….

 

 


Pendant qu’il fait couler l’eau dans la cabine de douche Norbert et moi prenons le temps de l’observer.
Il est, sous ses traits fins et lisses, particulièrement bien proportionné. Rien n’est en trop, rien ne manque. Un grain de peau soyeux, une pilosité masculine, juste ce qu’il faut pour souligner son physique d’homme, mais qui laisse des larges espaces imberbes et lisses.
Il a aussi un fessier de rêve. Deux belles fesses fermes, avec cette fossette sur chacune d’entre elles qui me font craquer. Norbert ne peux résister à les toucher. Sa main se dirige vers ces deux bosses si excitantes et lentement en apprécie les formes, le toucher, la fermeté.
Matthieu semble aimer cette caresse, car j’entends un soupir d’aise. Il se laisse faire, et Norbert en profite pour m’approcher et se coller à lui. Il dépose sur ses épaules un doux baiser, pendant que ses mains enserrent ses hanches. Son dos se frotte à son torse imberbe, ses fesses frottent son sexe. Il ondule lentement, réveillant ses ardeurs au contact de sa peau et en respirant ses effluves de mâle après l’amour.
Norbert sent  son sexe qui se dresse entre ses fesses, et Matthieu de plus en plus insistant contre son pubis.
Soudain il bascule son torse en avant et lui présente son postérieur.
« Prends-moi Norbert, là maintenant » lui dit-il avec une force et un désir dans la voix qui me surprent.
Je vais pour lui préparer sa rondelle quand il me dit « Non Simon pas comme ça !!! A sec !!! Je veux sentir  Norbert m’enculer, me déchirer !!! »
« IL vais te faire mal » dis-je presque inquiet de sa demande
« Vas-y bon sang !! Encule-moi !!! Norbert »
Je dépose et étale un peu de salive sur son gland de nouveau gonflé de désir et le dirige sur sa rondelle poilue.
Il commence à le pénétrer quand il recule pour s’empaler sur mon sexe raide. Sa queue rentre toute seule dans son trou, presque trop vite, comme happée !!!
Il pousse alors un grand cri animal, primaire, de jouissance.
En deux secondes sa queue s’est enfoncée jusqu’au pubis dans son anus déjà frémissant, ne demandant qu’à être limé.
Alors il lui saisis les hanches et commence un limage en règle. Au début  pas trop vite, mais il en veut encore plus.

Je vois son regard dans le miroir et c’est celui d’un homme qui aime ce qu’il est en train de vivre. J’y vois toute sa jouissance, tout son plaisir à sentir une bite de mec dans son cul. A chaque fois qu’il s’enfonce dans ses entrailles, il pousse un « Aaaahhh » rauque de plaisir.
Il accélère le mouvement pour le satisfaire encore plus. Son sexe coulisse maintenant a merveille dans son ventre, et enchaine coup de bite sur coup de rein.
Ses fesses tremblent à chaque fois que son ventre les touches  .Je ma suis glissé dessous son ventre pour saisir sa queue Il s’agrippe a mes poigneés d’amour pour résister à ses assauts.
Je découvre un membre raide, dur comme la pierre !!! Il bande comme un fou pendant que Norbet l’encule.
Il aime se faire défoncer !!! Il m’a pris comme un dieu et il a un cul divin !!!
Je l’astique au rythme de son pilonnage et j’accélère encore mes va et vient. Les cris rauques sont remplacés par des « ouiii » saccadés et je sens d’un coup sa verge qui dans un dernier spasme se contracte et crache une purée chaude et épaisse dans ma bouche. Il avait encore de la réserve après m’avoir rempli le ventre sur le canapé !!!!
Un immense cri de jouissance jaillit de sa gorge, ce qui provoque l’ éjaculation  de Norbert dans son cul de rêve. IL lui féconde les entrailles en mêlant sa voix à la sienne.
Après ce second orgasme de folie, Norbert décule lentement, relevant Matthieu. Il sle retourne et le plaque au mur, lui roulant une pelle monumentale, pleine de fougue d’ardeur, de virilité, tout en le prenant les couilles et en les malaxant presque à lui en faire mal !!! Je le plaque contre moi et lui rend la pareille sur ses fesses encore chaudes de sa sodomie.
Il nous pousse alors sous la douche où nous sommes accueillis par un jet d’eau chaude.
Il continue malgré l’eau qui ruisselle sur nos visages et sur nos corps unis à nous embrasser à pleine bouche, couvrant nos corps, nos fesses et s sexes de caresses passionnées, comme s’il voulait profiter de chaque instant pour user et abuser de nous.
 Je me laisse entraîner par son désir, lui rendant caresse pour caresse, me frottant à lui avec la même passion dévorante. Il semble insatiable, comme s’il voulait rattraper un temps perdu ou profiter de cet instant pour faire provision d’amours masculines.
Malgré nos deux séances d’amour rapprochées, je sens que mon sexe entre ses doigts de Norbert ne demande qua repartir dans des entrailles. Mais auparavant, je vais l’honorer de ma bouche.
Je me dégage de son étreinte et glisse lentement le long de son corps, me retrouvant à genoux devant son sexe encore mou mais toujours gonflé de plaisir et de désir. Passant de Norbert à Matthieu
Je décalotte son gland lentement et le lape avec délice. Il sent l’homme, le mâle, la bête sexuelle. Je l’avale puis le suce avec attention, lentement, couvrant chaque parcelle de ce gland qui grossit encore dans ma bouche de baiser et coup de langue. Son sexe, pourtant épuisé par deux orgasmes successifs, se redresse peu à peu, m’obligeant à me redresser un peu pour suivre son ascension vers le nombril de Matthieu.
Et je pompe à fond son chibre énorme et dur une fois encore. Je pompe a fond cet organe qui m’a tellement donné tout à l’heure sur le canapé. Matthieu semble au bord de la crise cardiaque. Je sens toutes ses terminaisons nerveuses sur le point d’exploser, comme à vif sur son gland rouge et sa grosse queue qui me remplit la gorge.
Je suce sa bite avec délice, encore et encore. Je lui gobe ses deux couilles poilues pendant que mon majeur lui caresse et fouille l’anus de Norbert. Il essaie de me retenir. Je sens qu’il n’en peut plus de plaisir, mais je continue encore et encore à le sucer, jusqu’à l’extase.
Pendant 20 minutes au moins je le pompe à fond, et je sens là encore qu’il va jouir.
Mais dans un suprême effort, il réussit malgré tout à se dégager de mes caresses buccales. Je le regarde, presque déçu de ne pas l’avoir emmené jusqu’où bout, quand, sans ménagement, il me relève, oblige Norbert a ce courber pour que je l’encule a sec lui qui n’a jamais été sodomisé ,Norbert hurle  de douleur , Matthieu se positionne derrière moi, courber sur mon  dos , baillone  de ces mains Norbert et m’encule d’un coup, sans retenue, pour se livrer à une défonce comme rarement j’en ai connu.
Il me lime avec une telle vigueur et une telle violence que j’ai presque l’impression de me faire violer. Mais cette bestialité dans la sodomie me procure des vagues de plaisir anal sans précédent et je me soumets à son désir sans résistance.
Il m’encule comme un fou, me rentrant toute sa bite par grand coup dans le cul,et répercutant les mêmes mouvements dans le cul de Norbert  , défonçant littéralement 2 culs en une seul fois.
Cette sodomie sauvage ne dure que très peu de temps quand je le sens deculer d’un coup sec et venir gicler sur mes reins. Je fis de même dans la seconde . Aussitôt après, nous nous effondrons  de plaisir dans la cabine assis à terre la bite toute pantelante entre ses cuisses, le regard loin, le souffle court.
Norbert me tourne vers  nous et déverse après une courte masturbation ce qu’il me reste de foutre dans ses couilles, avant de glisser et de le rejoindre au sol de la cabine.
Je ne sais pas combien de temps nous sommes restés ainsi, l’eau coulant sur nos corps épuisés de tant de sexe, de jouissance et d’orgasme.
Au bout d’un moment, il me regarde enfin et me dit avec un grand sourire plein de tendresse et de complicité : « alors, on va la boire cette bouteille… »

Par simon - Publié dans : ma vie
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