Samedi 26 janvier 6 26 /01 /Jan 14:09

Mon ange
Dimanche 13 janvier 2008 .
Il était près de minuit, et je jetais mon regard sur la froide plaine qui entoure ma petite maison isolée hors de la ville.
Au-delà de la baie vitrée s'étendaient devant moi les lumières allumées d’une ville moitié endormi.

Entièrement nu , ,comme j’adore l'être  , écoutant une musique douce tout en sirotant  un verre, la buée s’accrochant aux vitres à chaque expiration, dans la pré-ombre dont seul l’illumination du sapin de Noêl éclaire le salon ,  j’étais  calme lorsque soudain…….
 j’entendis résonner la sonnette  de la porte d’entrée.
"Mais qui est  celui-là, qui vient me faire chier ? ".
Je me précipitais à la porte et je l’entrouvrais pour voir ce qui été si urgent au point que l’on vienne sonner à ma porte à minuit par un soir d’hiver.
Devant moi se trouvait un type, un jeune homme, tout juste vingt ans, brun et des yeux d’un bleu magnifique. Il se précipite à l’intérieur avec pour seule justification un " ne dites rien! " et  part se cacher dans l’ombre du salon à côté de la baie vitrée.
Deux secondes après on re-sonne  à ma porte, , j’entrouve sans enlever la chaine de sécurité , un policier en uniforme se présente et me demande:
-- Police municipal -vous n’avez pas vu un jeune homme d’une vingtaine d’année, brun?
-non monsieur, pourquoi que se passe-t-il ?"
J’ai du mal à cacher mon appréhension et je sens mon cœur qui frappe comme un malade contre ma poitrine, il fait beaucoup plus chaud tout à coup.
-- nous avons tenté d’appréhender un suspect dans une affaire de vol, mais il s’est échappé et on nous a dit qu’il était rentré dans votre cour . Puis-je entrer pour vérifier s'il n’est pas là ?
-écoutez monsieur, qui aurai pu vous dire ça , il y a personne au alentour a moins de 500m et je suis pas habillé voire carrément pas, de plus s'il était vraiment entré chez moi, croyez-vous l’espace d’une seconde que je vous aurais ouvert ?
--alors vous ne verrez aucun inconvénient à aller vous rhabiller et à me laisser entrer
.
- me rhabiller ,ca vas pas la tête , mais pour rentrer il vous faudra un mandat. Bonsoir."
Lui claquant la porte au nez.
 Je sentais mon anxiété qui commençait à me donner des sueurs froides, je m’en retourne vers mon jeune homme planqué dans un coin.
Et là quelle ne fut pas ma surprise, de le voir en train de tenir à la main un de mes magazines gay, il m’entend arriver et jette le livre. Je fais comme si de rien n’étais.
-- bon alors il va d' abord falloir que l’on soigne la balafre que tu as sur la joue puis que l’on change tes fringues (son t-shirt noir était totalement déchiré dans le dos) ensuite tu me raconteras." lange.jpg
Je m’approchais de lui pour examiner ses blessures  ( ça vas c’est presque rien ) et j’en profitais pour le regarder de plus près, un visage juvénile, des yeux d’un bleu qui avec l’obscurité se teintaient de nuit, des mèches brunes lui tombaient sur le front. Et c’est en le détaillant un peu plus à chaque fois que je me rendis compte que j’étais toujours entièrement nu et que mon érection n’allait pas tarder a venir.
-" Donne moi tes vêtements, je vais t’en donner des miens."
Je l’aidais à enlever son t-shirt découvrant peu à peu un corps svelte légèrement sculpté des pectoraux bien formés et des abdos dessinés par un peu de sport.
Je m' extirpais a cette vision de rêve lorsqu' il planta  comme un éclaire son regard outremer dans mes yeux, une seconde passa qui semblait durer plusieurs minutes, alors il se décida a m' embrasser.
je sentis sa bouche effleurer mes lèvres, puis refermer tendrement leurs prises, je sentais la chaleur monter en moi pour mieux rendre l' instant unique, et je lui rendis ce baiser tout et touchant de mes mains les courbes de son corps, caressant le collier ou pendait un médaillon en forme d' ange  ailé que j' avais vu lorsqu' il avait enlevé son haut.
Mon ange à moi (ce minet) me caressait comme un dieu, il caressa ma poitrine et mon torse pour tourner vers mon dos et descendre le long de mes reins doucement cambrés.
Il cessa de m'embrasser pour me pencher en arrière, il commença a embrasser mon corps passant sur mes seins descendant lentement vers mon ventre, les vitres devenaient de plus en plus embuées, la ville s'effaçait peu a peu et l' on ne discernait que les contours de ce qui semblait être que la cité voisine. Seule restait la lumière du sapin éclairant nos corps enlacés embrassant tendrement mon bas ventre déjà dans une atmosphère très tendue, il ne dit pas un mot et moi je ne faisais que soupirer devant le plaisir qu'il me donnait.
Je me relevais, pour lui rendre de tout mon talent tout ce qu’il m’avait donné jusque-là.
Je pris en main l'objet de ce désir qui montait en moi, je caressais son corps pendant que ses mains se baladaient près de mes fesses rebondies.
Je sentais ce corps et cette chaleur vive au passage de chacune de mes mains, les soupirs qu’il lâchait de temps a autres ne cachaient rien de son plaisir, mon ange transpirait de désir et gémissait de plaisir.
Puis le désir monta en puissance je voulais ne faire qu' un, le sentir en moi, je me retournais face a la ville posant ma tête contre la vitre froide, le contacte me provoqua une onde de satisfaction et de calme tandis qu' une vague de plaisir me submergeait lorsque je sentis son corps transpirant se coller au mien.
Je sentais sa chaleur, j'entendais sa respiration et ses soupirs, ils approchait son sexe près de moi puis il força l'entrée d' un coup, c 'était ce que j' attendais, je sentis la douleur se répandre a travers moi, puis il commença des va et viens la douleur redoubla, la chaleur était intense, mes jambes allaient se dérober sous moi mon corps ne me supportait plus.
Je m'appuyais à la vitre froide, j'y collais mon visage mes mains puis mon corps (ceux qui ont vu Titanic savent ce que cela fait, et ceux qui l'on fait avant moi savent à quel point c'est bon).
La douleur se mua en plaisir, je le sentais en moi, son corps enlaçant mon corps, et la chaleur mêlée de nos âmes.
Soudain je le sentis se contracter, puis je sentis la chaleur se déverser en moi, au même moment le plaisir me renversa tout entier, mon corps se contracta pour annoncer la fin du rêve.
Nos corps s’entrelacèrent l' un l' autre, nous respirions à l’unisson ses yeux bleus plantés dans les miens pour mieux signifier à mon corps que le désir était partagé et bientôt consumé.

Alors la sonnette de la porte retentie,

-putain c’est pas vrais , balance tes fringues sous le lit et couche toi
d’un pas chancelant je me levais pour avancer, et ouvrir.
-encore vous , faite chier ! !
-.police ,je vous somme d’ouvrir !
-oh, allez au diable !"

Deuxième claquage de porte.

La sonnette de la porte retentie de nouveau

--je suis désolé, je ne voudrais pas vous forcer la main mais pour le bien de l’enquête il faudrait vraiment que je rentre
-faite chier je ne suis qu’avec mon frère qui dort et moi je voudrais bien y aller aussi.

--je regarde vite fait si vous n’avez rien a cacher et je vous laisse tranquille..
-bon allez vite entrez.
--vous pourriez cacher votre queue semi-bandante.

-si ma tenue vous plait pas faite comme moi foutez vous a poil comme ça on sera deux.
Le flic fit le tour de la maison et arriva a la chambre .
-vous voyez bien que  mon frère dort.
-je dois contrôler , il souleva le drap et vit je jeune homme a poil (faisant semblant de dormir) et ajoute « beau petit cul le frangin ». bopetitcul.jpg
-comme vous lui dis-je en passant mes main sur ses fesses.
-ah ! bon c’est la première fois que l’on me le dit.
-déshabillez vous et regardez dans le grand miroir.
-vous croyez que je peu ?  lepolicier_22.jpg

En moins de deux notre flic etait a poil , admirant son corps dans le miroir sous mon regard et du jeune mec qui ne manquait rien du spectacle



ah! oui je n'avait jamais regardé que j'etais si sexi !!!! 
-bien sur de toute manière vous avez bien vue que l’intrus  n’est pas chez moi.
--vous avez raison après tout.
.
-whaaa ! un beau paquet là devant lui dis-je
-vous aussi
-je peus toucher ?
--oui mais moi je suis pas PD
-les hétéros adorent se faire sucer

--ah ! bon ben allez pour une fois je vairais la différence
je m’approcha  de lui , un bisous dans le cou , me laissa glisser et mordilla les tétons au passage , puis un coup de langue au nombril et enfin la bite qui s’etait  dressée bien dur , très fine que j’entrepris d’engloutir dans ma bouche.
--aaaahh ! que c’est bon  , oh ! ouiii    disait le flic
me tournant légèrement sur le coté afin de voir le jeune dans la chambre , je lui fis signe de venir participer.
Tout en suçant sa queue je lui massais les fesses et l’effet escompté arriva , le flic se pencha au dessus de moi pour caresser mon cul.
-si vous voulez me sucer ? vous genez pas
-- j’ai jamais fait
- ben c l’occasion on se fait un 69 je vous suce et vous faite de même et vous pourrez caresser mon cul…...

je m’allonge sur le dos et l’invite a venir au dessus de moi  ,il prit ma queue en bouche et moi avec mes jambes j’encercla son torse pour le faire prisonnier.
Je jeune homme sortit de la chambre et arriva en douceur derrière lui, et sans prévenir enfonça son pieu dans le cul du flic.
Un cris de douleur retentit , mais n’arriva pas a se dégager étant  bloquer par ma position.
Le jeune homme se défoulais et l’enculait en profondeur , je ressentait dans la bouche les vibrations de l’excitation du bon flic qui commençait a y trouver du plaisir.
--ouiii ouiiii c bon encore les mecs c’est délicieux
le jeune mec se cabra et envoya sa semence dans les entrailles du flic alors que celui-ci remplissait ma bouche.
Sous l’emprise de sa joissance le flic ne vit pas que le jeune homme avait disparue dans les secondes suivantes.
quand il se rhabilla le flic dit «  putain c’est vachement bon »
-tu vois ,tu as pas le voleur mais lui t’as eu….
--QUOI ? QUOI c’est lui qui ma enculer ?
- OUI  le voleur
--ou il est que je l’embarque ?
-eh t’es pas sympas avec lui , il t’a quand même permis de passer un bon moment
-oui  oui , mais en plus je vais lui coller un viol a ce petit con
-désolé mais il c’est envolé et en plus avec mon camescope ,que j’avais mis en fonction , donc en plus il a la preuve que tu etait consentant.
--a merde merde et merde que je suis con......
-t’inquiète si tu repasses viens me voir pour un extra.
--bon  , mais que ça reste entre nous …..ben au revoir
-au revoir

La première chose que je ressentis en revenant dans le salon ce fut le froid, un froid intense qui me mordait la chair, la fenêtre était ouverte et les rideaux blanc flottaient lentement dans la pièce.
je me précipitais au balcon et regardais dans le vide, rien, absolument rien, la neige avait commencé de tomber, couvrant la plaine d' une ombre pâle, je rentrais en ferment la fenêtre, il ne restait rien, aucun vêtement, a part un éclat d' argent sur le sol, le collier du jeune homme, deux ailes d’ ange graver JM.
mon ange, qui s'était envolé un 13 janvier, reviendra-t-il ? ?.

Deux jours plus tard , je retrouva mon camescope  dans la boite a lettre avec un petit mot
 «  MERCI MONSIEUR ? JE NE SUIS PAS UN VOLEUR ? J’AI JUSTE FAIT UNE COPIE DE LA CASSETTE , SECURITE OBLIGE CAR CE FLIC MINICIPAL ME POURCHASSE CAR JE BAISE SA FEMME »


j’aurai pourtant aimé le revoir pour lui redonner son collier…………..

Par simon - Publié dans : ma vie
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