Jeudi 31 juillet 4 31 /07 /Juil 08:15
voila plusieurs mois que pour raison de santé je n'ai pas ecris de nouvelles histoires , mon cousin Romain , 36 ans est venu me rendre visite a l'hospital et ma raconter cette histoire , lui qui se dit Hétéro a 100% , je n'aurai jamis cru qu'il aurait franchi le pas car il a été longtemps a critiquer mes envies d'aimer les hommes , alors je vais vous la raconter.

Ma femme est heureuse, moi, beaucoup moins. Marié depuis dix ans maintenant cela fait bien cinq que je la côtoie, la supporte plus que je ne vis avec, en tant qu'homme je veux dire !

Ceci me pose comme chacun peut le comprendre des problèmes intimes difficiles à gérer. Je pourrais aller aux putes, elles me répugnent. Je pourrais prendre une maîtresse mais cette perspective ne m’ attire pas. Je pourrais aussi demander le divorce mais je ne me sens pas assez fort pour vivre la confrontation, la situation qui s'en suivrait. Et puis, il faut le dire, je ne me sens plus le goût pour chercher une autre femme

Un terrain de camping, un mobil-home, la plage : les vacances enfin ! Depuis huit jours ma femme et moi sommes sur ce petit terrain à ……………. La mer est à côté mais il y a un monde fou. Pour avoir une place pour mettre sa serviette il faut faire un vrai parcours du combattant et encore ! Pour aller de cette place si difficilement acquise à l’ eau, c’est une nouvelle course d’obstacles !. Donc, j’évite les vagues et voilà pourquoi aujourd’hui seul sur cette plage, perdu parmi la foule des estivants, je regarde la mienne se baigner. Elle est heureuse, elle me fout la paix !

Sur le terrain, près de notre mobil-home, il y a un monsieur seul, d’un certain âge, charmant dans ses manières et ses propos dont nous avons fait connaissance. Il n’est pas très grand, un peu bedonnant, le teint clair, un peu dégarni, toujours jovial et souriant. Il plaît énormément à ma femme avec laquelle il a de longues conversations. Moi, bien que je n’aie rien à lui reprocher objectivement, il me met mal à l’aise. Envers lui j’ ai des sentiments très partagés. Si d’un côté il m’ exaspère, d’un autre je suis malgré moi, incompréhensiblement, attiré vers lui. Quelque chose qui ressemble à de l’affectif. Un peu comme s'il était un père encombrant.

Chaque fois qu’il me regarde, il me sourit et ce sourire me déplaît. Et puis Comment dirai-je ? Trop beau pour un homme, très âgé , en petite tenue, négligé, décontracté.

Mais il plaît à ma femme ! Alors il passe beaucoup de temps en notre compagnie, ne rate pas une occasion de venir nous voir. Il faut dire que du matin au soir, il est alongé sur son fauteuil de toile à regarder les gens aller et venir. A croire qu’il ne fait rien d’autre durant ses vacances. Cela fait plus d’un mois qu’il est là ! Il connaît tout le monde, tous les petits cancans qui circulent. Il ne se prive pas de les diffuser !

Le camp est endormi maintenant et moi j’ai envie d’aller pisser. Je me lève sans bruit, enfile un short tout simple et sort pour aller aux toilettes. J’aurai pu pisser dans le mobil-home ; il y a un cabinet. Mais j’ai envie de sortir, de respirer l'air frais, de regarder les étoiles. Je sais d'autre part que je ne me rendormirai pas rapidement. Surprise ! Il est là, sur son fauteuil, vêtu d’une belle robe de chambre bleu ciel avec un parement blanc qu'on croirait de soie tellement elle brille et est légère.

Quelle aubaine pour lui, quelle catastrophe pour moi ! Je ne peux l’esquiver. Il me souhaite le bonsoir, me demande où je vais à une heure si tardive et ajoute, taquin, que c’est gentil de lui rendre visite, qu'il ne va pas me laisser aller seul à une heure pareille. D’ailleurs ça tombe très bien lui aussi a envie de pisser. HORREUR !!!.... Comment refuser sans être le dernier des grossiers personnages !

Nous voici donc déambulant de concert dans ce terrain où tout le monde est endormi. Arrivés aux urinoirs, il se met à côté de moi et ouvre en grand sa robe de chambre. Il ne porte qu'elle !

Mon short est un simple short à élastique. Je n'ai pas mis de slip. Je dois donc passer l'élastique de mon short sous mon sexe pour pouvoir pisser. Il me mate sans aucune gêne. Moi je suis tellement gêné que je ne peux pas pisser et lui pisse me montrant ostensiblement son engin. Il me regarde et me demande pourquoi je ne pisse pas aussi. J’ai envie de lui foutre mon poing sur la gueule et en même temps cette situation imprévue ne me déplaît pas autant que je le prévoyais! Après quelques efforts je pisse enfin et lui me dit sa satisfaction de me voir me débloquer. Il ajoute - pour m'être agréable ?

* bel engin, quelle chance , avec ça vous devez rendre votre femme bien heureuse. ! !

* "Regardez le mien, voyez comme il est petit ! C'est pas drôle, croyez-moi ! "

Comme si rien ne s'était passé, il referme sa robe de chambre et me convie à faire le tour du camp au lieu de rentrer directement me coucher.
Je devrais lui refuser. Mais comment le lui dire ?
Quel prétexte inventer pour ne pas être blessant ? Car je ne veux pas le blesser, alors que je devrais lui mettre ma main sur la figure à ce vieux vicelard !

Nous faisons donc le tour du camp. Nous parlons de choses et d'autres, du ciel surtout, chapitre sur lequel il est à l'aise et dont il a une bonne connaissance. Il est gentil, disert, blagueur. Le temps passe avec lui, comme toujours, agréablement.

Arrivés à nos mobil-homes, je lui souhaite le bonsoir. Il s'offusque et me dit "  nous n'allons pas nous quitter ainsi et vous prendrez bien un petit quelque chose avec moi ? " .

Je ne sais pas dire NON et donc entre dans son mobil-home. Il me fait asseoir et me prépare un tilleul qui va m'aider à me rendormir. Il a bien vu que j'étais nerveux.

Moi je vois un exemplaire du journal "Tétu" sur son buffet. Que dois-je en conclure ?

* Ah ! C'est un journal que j’ai acheté dernièrement , je ne connaissais pas et j ‘ y ai lu des articles intéressants sur les rapports entre hommes.

Il me sert ma tisane et me déclare, ce qui n'est pas faux, "  fait bien chaud dans ce mobil-home ". Comme j'acquiesce, il ôte sa robe de chambre et se retrouve donc en tenue d'Adam. Voyant mon air surpris, il me dit :

  • Je ne vous choque pas au moins
  • Non !
  • Ah, j'ai eu peur ! Mettez-vous aussi à l'aise !
  • Non, ça va, je suis bien.
  • Je ne vous crois pas ! Vous êtes en sueur, je le vois bien !"

Il est vrai que, mal à l'aise comme je suis, je sue par tous mes pores de ma peau. Il s'approche de moi, me passe la main dans le dos et me la présente trempée. Je ne peux que satisfaire à sa demande. Nous voilà nus l'un en face de l'autre, lui toujours à l'aise ; moi toujours coincé. Contrairement à ce que l'on pourrait penser, cette situation ne me déplaît pas vraiment. Je suis intrigué, me demande comment agir, pourquoi j'accepte tout ceci, où cela va me conduire. C'est la première fois que je la vis. Je l'aurais jugée des plus dégradante si j'avais pu la concevoir auparavant. Au lieu de cela, je bois ma tisane me sentant de moins en moins gauche face à cet individu. Il me parle toujours de tout et de rien, me commente les derniers potins, se déplace dans la pièce très naturellement, fait notre petite vaisselle. Puis il vient se placer près de moi :

  • Tu sais que tu es très beau ?
  • Vous exagérez !
  • Non je t'assure. Et puis bien monté !

Joignant le geste à la parole il me prend la bite. Je me contracte immédiatement, me lève spontanément, le regarde d'un air furibard, ai un geste comme si j'allais le gifler, mais n'ose continuer mon geste.

  • Allez rassieds-toi, nous sommes entre hommes ! On peut parler franchement, librement. Nous sommes seuls. Que crains-tu ? Que je te viole ? Tu es bien plus jeune et plus fort que moi ! Ne sois pas bête, je ne te veux aucun mal, simplement parler
  • Oui, mais c'est la première fois que quelqu'un me fait ça !
  • Parce que ta femme ne te branle jamais ? Ca m'étonnerait !
  • Mais ma femme, c'est pas pareil ! C'est une femme !
  • Tu t'entends bien avec ta femme ?
  • Oui bien sûr !
  • Je pensais qu'il y avait comme un problème entre vous. Oh, tu sais, tu ne serais pas le premier ! Vous êtes mariés depuis combien de temps ?
  • Dix ans.
  • Et vous vous aimez comme au premier jour ?
  • Non bien sûr, mais...
  • C'est pour ça que tu va pisser dehors la nuit.
  • …"

Alors une petite discussion argumentée commence au cours de laquelle il reprend les choses en mains, ma bite surtout. Et comme je me mets à bander sérieusement sous ses caresses, il commence une gentille branlette, comme ma femme en effet ne m'en a pas fait depuis bien longtemps.

  • C'est bon, hein !
  • Oui.
  • Je ne vais pas trop vite ?
  • Non !
  • Tu dis si tu veux que j'aille plus vite.
  • Oui.
  • Tu veux ?
  • Oui.

C'est la première fois qu'un homme me caresse et si j'étais rétif au début, je comprends mon trouble en sa présence maintenant que le premier pas est franchi. J'avais envie de faire l'amour et si les femmes ne m'attirent plus (pourquoi en changer ?) les hommes par contre deviennent des partenaires possibles. Où celui-ci va-t-il m'entraîner ?

Je suis bien avec cet homme qui me branle. C'est nouveau pour moi, c'est agréable. Je me laisse faire de plus en plus à l'aise, de plus en plus décontracté. Quelque chose en moi s'écroule. Toute une bande de vieux préjugés vole en éclats. Une autre vision des rapports entre hommes se fait jour dans mon esprit. Une autre forme des plaisirs corporels se dévoile à moi. La morale que l'on m'a enseignée jusqu'alors vacille.

  • Comment t'appelles-tu ?
  • Hein ?
  • Tu dors ?
  • Non !

En fait, je flotte entre deux mondes. L'ancien qui disparaît, le nouveau que j'entrevois. Pour la première fois je vis quelque chose d'inattendu, que je ne pouvais encore envisager sereinement il y a quelques instants et que j'accepte et apprécie maintenant. Je découvre des sensations nouvelles et même ce type qui me branle me fait connaître des sensations que ma femme n'a jamais su réellement me faire ressentir. Il y a branlette et branlette ! Celle-ci est vraiment bonne, faite par un connaisseur, mais les hommes ne sont-ils pas tous des spécialistes de cet art purement masculin ? Je rêve…

  • Comment t'appelles-tu ?
  • Ah oui ! Romain !
  • Tu ne me demande pas mon nom ?
  • Euh, oui ! Comment t'appelles-tu ?
  • Oscar.
  • Comme le petit canard ?
  • Si tu veux.
  • Oh ! excuses–moi, je ne voulais pas te vexer.
  • Alors branle-moi aussi au lieu de dire des bêtises.

Comment le branler ? Comment ne pas être maladroit ? Oh, et puis merde ! Tu veux que je te branle ? Eh bien, je te branle, salopard !

A partir de là, tous mes interdits tombent définitivement. Je lui prends la bite, cette bite déjà à demi érigée et l'emprisonne de ma main la branlant comme je me branle usuellement et le miracle se produit. Je le sens, je le ressens comme si je me branlais moi-même. C'est le pied ! Sans avoir appris, je sais branler un mec.

Tandis que je suis dans ces pensées, je sens une langue s'introduire dans ma bouche. Il me roule un patin. Il s'est approché de moi, tout près. De ses bras m'a enlacé. Ainsi étreint, ainsi baiser, j'entre enfin dans le jeu et lui rends son palot comme aux plus beaux jours où je les roulais, affamé, à mes conquêtes d'un jour. Je lui rends son palot et mes bras malgré moi l'enserrent rendant notre contact plus complet, plus fort, plus intime. C'est lui le meneur, le professeur, le maître et c'est en élève appliqué que je suis et essaie de faire de mon mieux pour apprendre cette leçon qui m'est donnée, que d'emblée j'apprécie, qu'inconsciemment j'attendais.

Nous sommes étroitement enlacés, nous branlant réciproquement, bouche à bouche. J'ai fermé les yeux pour mieux ressentir toutes les sensations que me procure cette union nouvelle. C'est alors qu'il lève son cul de sa chaise et sans me lâcher, quitte ma bouche et commence à me lécher sur les joues, derrière les oreilles, puis me tête leur lobe, avidement les noyant dans un flot de salive. C'est bon, très bon de se sentir aimer, caressé, cajolé. Toujours les yeux fermés je fais réserve de toutes ces caresses nouvelles.

Oui, avec ma femme, j'ai fait l'amour souvent, surtout dans les premiers temps mais jamais elle ne m'a procuré ces sensations voluptueuses, cette sensation d'aimer mon corps comme lui le fait. Elle aimait se satisfaire dans mes bras, mais comment expliquer cela ? Elle prenait son plaisir en utilisant mon corps sans réellement s'occuper de mon plaisir comme lui le fait en ce moment. N'en faisais-je pas autant ?

Lui s'occupe de moi, est attentif à mes réactions, m'écoute réagir, gémir, haleter sous ses caresses, insiste juste ce qu'il faut sur les points sensibles, puis se déplace pour explorer d'autres zones érogènes. Maintenant il est à genou, à mes pieds et explore de sa langue mon abdomen. Sa langue fouille mon nombril. Sa langue y pénètre, en ressort, y revient. Elle tourne autour de ce point central pour y revenir tandis que ses mains descendent le long de mon dos, me caressent les reins et effleurent le haut de mes fesses où elles s'attardent de plus en plus longtemps et activement. Mon bassin comme doué d'une vie indépendante de ma volonté de contracte, ondule. J'ai toujours les yeux fermés goûtant cette série de caresses, de baisers, de coups de langues qui mieux qu'une main sait me faire réagir. Toujours en me léchant, il atteint mon pubis où sa langue s'attarde dans mes poils, déborde sur mes cuisses, effleure mes bourses. La base de ma bite se contracte avec violence, par saccades, de manière totalement incontrôlable. Ma bite est bandée à mort. J'ai la sensation que je vais jouir à tout moment mais rien de tel n'arrive alors que cette envie de jouir devient intenable. C'est alors que je m'entends, dans un souffle, le supplier " sucez moi ".

Oh, que j'ai envie qu'il me suce avec cette bouche experte, qui sait me rendre fou, me faire perdre toute pudeur, toute notion du bien ou du mal ! Doucement il s'en approche, la taquine à petits coups, à la base d'abord puis de plus en plus près de mon gland totalement dénudé, sensible à l'excès.

C'est à ce moment, où plus rien n'existe pour moi autre cette attente du plaisir qu'il se relève et m'invite à venir dans la chambre où nous serons mieux pour continuer à nous aimer. Comme un somnambule je me lève, le suis et m'allonge sur le dos comme il me l'indique du geste et de la voix. Lui s'allonge sur moi, tête bêche et commence à me piper en m'avalant, me lâchant, me léchant, m'aspirant le gland. Tous ceci sans hâte, sans violence. Moi sans qu'il ne m'y invite expressément, j'ai pris sa bite en bouche et à son instar essaie de lui procurer les plaisirs qu'il me donne le suivant dans ses pratiques. Nous n'en sommes pas au même point et bientôt je lâche mon foutre en jets violents.

Ai-je un jour joui aussi violemment, aussi intensément, aussi abondamment ?

Je n'en suis pas convaincu ! Cet homme est un expert à mes yeux, un maître auquel je suis en ce moment plein de reconnaissance. Je suis épuisé, heureux, le monde pourrait s'écrouler en ce moment que cela ne me ferait rien tellement j'ai cette sensation de plénitude que l'on ressent lorsque notre corps est ainsi satisfait. Je suis si bien que plus rien n'existe autre que mon plaisir. Je réalise pourtant que je viens de lâcher sa bite et que lui est loin d'être satisfait.

Petit remord, mais coquette est comme un limaçon et à moins d'un miracle elle n'est pas prête à relever la tête. Sans que j'en sois conscient, il s'est retourné, et couché sur moi, il me couvre de bisous en me demandant comment je vais. Je lui dis que je suis heureux et ajoute :

* "Mais toi ?"

  •  

  • "Rien ne presse." me répond-il. "Attendons que pierrot reprenne vie."
  •  

Moi je doute qu'il reprenne vie de sitôt et suis un peu inquiet de la suite des événements. La suite se passe en discutions sur le lit où côte à côte nous buvons un Coca qu'il est allé chercher au réfrigérateur. Je lui dis ma surprise de l'avoir suivi si facilement, de mes problèmes avec ma femme, du plaisir que j'ai d'être avec lui, de son intensité, de mon étonnement. A tout, il me fait des réponses apaisantes, me déculpabilise, me dit que je ne suis pas seul dans mon cas et que si l'homme n'était pas si contraint, si bloqué par un tas de préjugés, une morale castratrice, il pourrait comme nous satisfaire son corps et vivre pleinement sa sexualité avec des personnes de sexe opposé et du sien.

Tous en discutant, il s'est rapproché de moi, me caresse, me bécote. Peu à peu je lui rends caresses et bécots et en moins d'une demi-heure j'ai le plaisir de voir coquette reprendre vie. Maintenant ma bite est belle, bien dressée, déjà palpitante sous les caresses de mon amant qui la flatte et me dit :

* "Tu vois, dans la vie il ne faut jamais désespérer et ne pas avoir peur de laisser au temps le temps."

Sur ce, je me tourne franchement vers lui, lui offre ma bouche et nous nous roulons un magnifique et long palot qui finit de nous faire revenir toutes nos ardeurs. Nous nous lâchons enfin, nous regardons dans les yeux, nous lançons un regard souriant et complice tandis qu'il prend ma bite et commence à la branler doucement.

Quand je veux lui rendre la pareille il me dit " attend ", se retourne, prend sur la petite étagère au-dessus du lit un petit tube qu'il ouvre et en sort une pommade presque liquide dont il se tartine la raie et l'anus. Puis il se couche en chien de fusil, me présente son dos après m'avoir demandé si l'introduire ne me gêne pas. Cela ne me cause aucun problème car sodomiser une femme est une chose que j'ai pratiqué assez souvent, alors avec un homme cela ne devrait pas être un problème. Effectivement je rentre sans difficulté dans ce trou graissé et qui doit être habitué à ce genre de pénétration vues la grandeur et l'élasticité de sa rondelle. J'avoue que pour moi, le plaisir n'est pas des plus importants. Dès que je me trouve en lui et que je commence à le limer, il manifeste des réactions de plaisir intense. Il vient à ma rencontre pour amplifier mes aller-retour, pousse des gémissements, même des cris de plaisir tandis que la cadence, sous sa demande, augmente. Mes mains l'ont agrippé fermement aux hanche et c'est avec toute ma force, avec une cadence qui devient infernale que je le défonce. Il est relativement vieux, du genre "peine à jouir". Je suis en nage, je m'épuise mais en même temps alors qu'il est maintenant déchaîné, qu'il crie" N'arrête pas, ça vient ! Oh oui ! Je vais jouir" et je sens en moi, qui me croyais vidé un besoin de plus en plus impérieux de jouir. Je dois maintenant me crisper pour ne pas partir alors que lui prétend toujours qu'il va inonder le lit d'un instant à l'autre. Je suis en sueur, j'ai mal dans tous mes muscles à tant me contracter et me déchaîner dans cette enculade qui n'en finit pas. J'ai mal à la tête, je suis comme inconscient, je perds la notion du temps, de ce que je fais. Je vais m'évanouir si cela continue encore longtemps !

Enfin un cri : "Haaaaaa…." Suivi d'un autre 'Ho ! Que c'est bonnnn…" Il jouit enfin ! Moi, sortant de ma demi-inconscience, je me relâche totalemnt et mon foutre retenu à grand peine et si longtemps explose jusqu'à la dernière goutte dans son fion, tout au fond de ses boyaux. La quantité m'en semble extraordinaire et jamais je ne me serais cru capable de jouir si abondamment et intensément en si peu de temps deux fois de suite. Je me relâche et ce n'est qu'au bout d'un certain temps que des baisers et des mots d'amour me réveillent. Je me suis endormi sitôt avoir joui. Jamais je n'avais atteins ce niveau de jouissance, jamais je ne m'étais donné autant avec une partenaire, jamais non plus je ne m'étais senti aussi jeune, aussi fort, aussi puissant. Je suis très fier de moi, je prends comme des marques de reconnaissances toutes les caresses, toutes les manifestations de plaisir que m'offre mon partenaire d'un moment. Je suis heureux, sans complexe, prêt à affronter le monde entier. Je suis un homme nouveau. Avant de nous quitter, il m'offre sa petite salle de bain où nous prenons une douche, puis un café fort avant de nous quitter sur un dernier baiser.

Les jours suivants, il sera très discret, évitera ma femme qui s'en étonnera. A elle, je ferai l'amour comme jamais pour lui montrer ma puissance. Elle criera grâce, mais je ne la lâcherai pas tout en me promettant d'aller voir du côté des garçons pour des plaisirs que seuls eux peuvent donner à un autre garçon. La vie et belle ! Ce vieux  OSCAR 74 ans m'a affranchi !!!…

Par simon - Publié dans : histoire racontée
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