Après un mercredi classique de vœux , chez Ludo un de mes grand frère, le jeudi m’a réservé une belle surprise ou plutôt Veronique , dont je n'avais plus de nouvelle depuis de longues années. je l'ai retouver sur le net , elle n'était pas si loins de moi en fin de compte , elle réside à Givay dans le 08 à peine 100 borne de chez moi , et m' a invité chez elle.
J’arrive vers 16h30. Elle m’attend.
J’entre dans sa cour. Il fait très froid (-14°),.
Je suis frigorifié, replace ma bite qui transi a bien raccourci et la rejoint vite,
Dès la porte passée ,au bout d’un long couloir ,la grande surprise ,
elle m’attend nue de l’autre coté de la porte vitrée le froid n’est plus qu’un souvenir, le chauffage doit tourner à fond, il fait au moins 25°, tant pis pour la planète !
Je quitte rapidement mes fringues glacé et en shorty, me colle à son corps chaud
Je ne sais pas ce qu’elle faisait avant le jeudi après midi mais là , ce Jeudi 07/01/2010 c’est avec moi qu’elle le passe
.
Quand je passe une cuisse entre les siennes, c’est même brûlant que je devrais dire. Elle est toute mouillée d’excitation. Elle me roule un pelle formidable.
Je lui pelote ces seins ( mes mains son pas assez grosse) ,je glisse à genoux lentement en baisant son corps sous la pression de ses mains sur ma tête pour coller mes lèvres aux siennes de sa chatte poilu
De la langue je les écarte à la recherche du clitoris, ce petit truc qui agit aussi bien comme starter que comme accélérateur.
Elle prend appui contre le mur, ma langue lêche avant lui pénétrer le vagin.
En apnée, je ne tiens pas longtemps et reprend le suçage du clito.
Elle jouit une première fois debout. Ses cuisses se serrent et ma tête se trouve prise comme dans un étau ! je dois m’aider de mes mains pour m’en sortir.
Quand je me relève, je me retrouve avec une sangsue. Elle me ventouse la bouche et nous nous roulons une pelle. Collée à moi elle ne peut que sentir ma bite
gonflée.
Accrochée à mon cou, elle passe une puis les deux jambes autour de la taille.
Elle n’est pas lourde et j’écarte juste les pieds pour assurer notre stabilité.
En appui sur mes hanches et mes épaules, elle se soulève pour faire glisser ma queue sous elle. Dans l’opération mon gland glisse sur son sexe vers son anus.
Je choisi son sexe et m’enfonce avec délice entre ses lèvres gonflées. Je sens son vagin mouler ma tige et comme elle appui de tout son poids en fin de course mon gland bute sur ce que je pense
être le col de l’utérus. Son clito se trouve écrasé contre mon pubis.
Je réalise soudain que je suis tout nu, sans kpote !!
Nous nous embrassons, point fixe alors que mon bassin s’agite en cadence.
Je glisse mes lèvres vers ses seins et lui mange les tétons. Surtout le gauche qui est un petit peu plus petit que l’autre. Elle monte vite. Je sens son vagin se
contracter sur ma bite. Ce massage m’excite au plus
haut point et je le lui défonce sans retenue. Elle commence à jouir. Ses contraction sont encore plus fortes, je ne tiens plus et j’éclate Comme nous sommes seuls dans cette grande maison, nos
cris n’ont alarmé personne. Nous restons 5mn accrochés l’un à l’autre.
Avant de débander complètement, je me retire. Nous allons à la cuisine. Véronique me propose un remontant avant de continuer nos ébats.
Nous discutons de chose et d’autre, c’est surtout moi qui parle !
Elle m’ébouriffe les quelques cheveux (je suis presque chauve). J’aime et j’aime pas ça. C’est très sensuel et en même temps ça ……. !
Je l’ai prise dans mes bras et l’ai embrassé comme je ne l’avais encore jamais fait. Ça nous a excité.
Comme je bandais de nouveau, j’ai senti monter en elle une vague de plaisir. Deux doigts dans sa chatte me donnèrent plus de précision. Elle était de nouveau
brûlante et ruisselante d’excitation.
Je la plaquais contre la table, d’un genou je lui écartais les cuisses et en pliant la jambe je plaçais sa chatte à cheval sur ma cuisse. Je sentais ses lèvres s’écraser dessus.
J’étais peau contre peau.
A genoux , j’ai écarté ses cuisses et lui ai bouffer la chatte. Entre ma salive et sa lubrification, un bon filet s’est insinué vers son anus.
Pour éviter de salir la table, j’ai été obligé de le rattraper avant qu’il n’atteigne la nappe brodée. Du coup bien placé devant son petit trou, je me suis attelé à un bon anulingus.
De la langue puis des doigts, je me suis évertué à ce que tout ce qui coulait de son vagin entre dans son anus. Ça l’a rendu bien glissant.
Du coup, quand je me sui relevé je l’ai pénétrée directement par la rondelle.
Elle aime bien se faire enculer aussi, la stimulation est différente et elle tient plus longtemps.
Chacun de mes coups de rein la faisait glisser sur la nappe
Quand j’ai commencé à sentir des crampes aux mollets, je l’ai achevé debout, elle les seins écrasés sur le table
Le cuisine étant super bien chauffé, nous avons sans problème baisés sans compter. Quand j’ai rempli ses entrailles, elle avait déjà jouit deux fois.
Nous sommes retourner à sa chambre et allongé sur le lit ou nous nous somme endormi
soudain un bruit de portière.
J’ai juste eu le temps de remettre mes fringues et Véronique de passer un peignoir que son fils Claude le petit dernier etait juste derrière la porte vitré….
il devint rouge écarlate , regarda sa mère et balbutia
Véronique nous servit du whisky tous en écoutant les conseils prodigués à Claude.
Sous l’influence de l’alcool ,Claude m’embrassa sur la bouche , et commença a me déshabiller ,il prit ma bite en bouche et commença a me faire une belle fellation sous le regard de sa mère , qui le déshabilla a son tour et se mis a sucer son fils. Elle pris même le plaisir de jouer avec sa rondelle , Claude semblait aimé a voir son corps onduler .Claude avait une bite fine et longue (19/3 environ) , sous les massages que lui prodiguait sa mère , Claude en pleine excitation me fit basculer sur la table du salon et se plaça pour me défoncer , mais arrêta net
Sans aucune préparation Claude entra sa bite sans forcer dans mon cul bien ouvert., il se déchaîna sans retenu , je sentais en moi la longueur de son sexe taper ma
prostate , sa mère lui lêchait son petit cul ,effet immédiat des coups de reins de plus en plus fort , je gémissais lui aussi , Véronique créa la surprise , ayant pris un gode électronique , une
bonne dose de gel sur la rondelle de son fils , et d’un coup enfonça le gode Claude hurla de douleurs
le vibro-masseur en marche Claude entra en trans. Et me dévida des flots de spermes dans mes entrailles.
Avant de repartir, je me suis occupé de mon neveu Claude. Je lui ai fait prendre un bain. A genoux à ses coté, armé qu’un gant de toilette je le massais doucement.
Je lui demandais comment il avait trouvé cela lui qui n’osé pas.
Il me dit qu’il avait pris un super pied et qu’il avait jouit avec bonheur.
Quand je lui demandais (pour la forme)
dit
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