Une histoire  écrite par Julien Petit du Loiret fidèle lecteur de mon blog qui me rappelle  et tres proche d'un souvenir du mien alors  j’ai envie de vous la faire partager

J'avais, avec mon meilleur ami, des relations très étroites et même amoureuses. Nous n'avions que 16 ans mais notre vie sexuelle était relativement intense, il n'était plus pensable de se masturber en pensant aux filles qui nous paraissaient inabordables. Je l'appelais, nous nous retrouvions dans un parc ou un autre endroit discret, et soit que je le prenais, soit qu'il me suçait. Quand à moi, je me contentais de le sucer ou de le masturber, mais la plupart du temps, il éjaculait quand je le sodomisais. Tout se passait trop bien, et notre inexpérience allait nous jouer un tour, mais en fait un bon tour.

Un après-midi où nous étions seuls chez lui, nous nous comblions mutuellement, tout en pratiquant certains jeux parfois pervers. Joël me demandait de lui uriner dessus, alors nous allions dans la salle de bain, il s'allongeait dans la baignoire, et moi au dessus de lui, je lui pissais dessus en commençant par le visage puis tout le corps. Puis il me suçait jusqu'à ce que j'éjacule sur son visage et il se barbouillait tout le corps avec mon sperme.

Cet après-midi donc, nous étions sur son lit, lui à genoux et moi debout derrière lui en train de lui labourer les reins par de grands mouvements du bassin (et cela pouvait durer parfois 30 à 40 minutes avant que j'explose), la porte de la chambre s'ouvre violemment. Sa petite soeur (elle avait 15 ans) nous regardait stupéfaite, sans dire un mot, immobile. Je déculais de mon ami et lui dit de se rhabiller. Pendant ce temps, Lucette s'était enfuie dans sa chambre. Nous nous sommes dit qu'il fallait aller lui parler et surtout qu'elle nous promette de ne rien dire ni à ses parents ni à ses copines.

Nous avons frappé à sa porte et elle nous dit d'entrer.

- C'est dégueulasse ce que vous faite, nous dit-elle. C'est comme dans tes livres cochons! Dit-elle à son frère.
- Tu as fouillé dans ma chambre lui répondit-il?
- J'ai même pas eu besoin de fouiller, tu les laisses traîner partout, même maman sait où ils sont.

Joël était tout pale, il ne savait plus quoi répondre. Alors je me suis approché de Lucette, et calmement je lui ai dit que ce que nous faisions n'était pas sale, que les grandes personnes faisaient la même chose, mais eux le faisaient le soir dans leur chambre, quand nous étions couchés. Que nous ferons pareil plus tard, qu'elle aussi ferait ça avec le garçon qu'elle aimera. J'essayais de lui faire comprendre que nous n'étions qu'en avance sur notre âge. Et là, elle nous surprit Joël et moi en se levant brusquement et en nous disant:

- Moi aussi je suis en avance sur mon âge, alors je veux le faire avec vous.

On se regardait Joël et moi ébahi, nous ne savions plus quoi répondre.

- Oui, je suis déjà une femme, j'ai eu mes règles et je sais comment me faire plaisir le soir dans mon lit. De toute façon avec ma copine Agnès, on se touche quand on va à la piscine et un jour on a vu sa mère un matin où un prof était absent et qu'on avait pas cours, dans la chambre chez elle avec le monsieur de l'épicerie, ils étaient dans la même position que vous, il lui disait qu'elle baisait comme une reine, et elle n'arrêtait pas de répéter: "plus fort, encore, défonce moi, c'est trop bon", alors on est sorties discrètement de la maison et on est allées au parc.

- Lucette tu es ma soeur, je ne peux pas te toucher, ça ne se fait pas.
- Lui il n'est pas mon frère répondit-elle. Il peut me toucher.

Et sur ces paroles, elle commença à se déshabiller, elle retira son t-shirt; elle avait une super petite poitrine, avec des pointes toutes roses. Elle fit tomber sa robe et sa culotte, puis nue, nous regarde et dit:

- Ben alors qu'est-ce que vous attendez.

On s'est déshabillés aussi, en se demandant comment se sortir de ce pétrin. Lucette s'était allongée sur le lit et avec la main me disait de venir. Je n'avais jamais encore touché une fille de ma vie. Je m'approchai, elle me saisit par le bras et me dit:

- Fais moi tout ce que tu as fait à mon frère, et dit moi ce que tu as envie que je te fasse.
- Suce moi, lui dis-je, et je vais te lécher.

Elle me saisit le sexe et l'approcha de sa bouche, je n'avais toujours pas d'érection, elle l'enfourna et commença à le sucer comme on suce un esquimau. Moi je me mis sur elle en 69, je lui écartai les jambes et entrepris de lui lécher son minou. Il était splendide, rose sans poil avec un bouton proéminent qui faisait bien un centimètre et demi de long. Mon sexe dans sa bouche avait pris des proportions raisonnable et je me disais qu'elle allait s'étouffer si elle voulait le prendre en entier. Joël pendant ce temps, lui donnait des conseils et me massait les fesses que j'avais bien ouvertes. Lucette râlait de plaisir, elle eut plusieurs orgasmes de suite dans ma bouche, elle dégoulinait de salive et de mouille. J'enfonçais un doigt dans sa chatte et je tournais de plus en plus vite, elle était très serrée, je lui léchais sa petite rosette, ce qu'elle semblait apprécier.

Elle me dit:

- Viens, je te veux dans moi, mais attention, ne me fait pas un enfant.

Joël aussi me dit de faire attention, de ne pas lui faire mal parce qu'elle était très étroite. J'allais dépuceler la soeur de mon ami, et me dépuceler aussi d'une certaine manière. Je me mis au-dessus d'elle, elle releva ses jambes pour me les placer sur mes épaules, et me dit:

- Viens.

Je pointais mon sexe sur son minou et doucement je fis pénétrer mon gland, elle sursauta et me dit de continuer tout en m'embrassant sur mon visage. Joël s'était mis derrière moi et guidait mon sexe dans celui de sa soeur, tout en me léchant l'anus. Je la pénétrai à moitié, je lui avais fait sauter son hymen et elle n'avait pas souffert, je rentrais et sortais maintenant à un rythme régulier et quand je sentis qu'elle était suffisamment mouillée, je m'enfonçais complètement en elle. Je n'imaginais pas qu'un si petit corps puisse me prendre complètement, elle râlait de plaisir, elle pleurait, me disait qu'elle m'aimait. Je la pratiquais comme j'avais pratiqué le cul de son frère. Je la burinais depuis une vingtaines de minutes et elle en revoulait encore et toujours plus fort, je sentais venir en moi les prémices d'une jouissance extrême.

Joël pendant ce temps continuait à me travailler l'oeillet de sa langue et avait réussi à me le dilater au point de pouvoir maintenant y glisser son majeur, drôle de sensation que je ressentais, épousant mon rythme, il entrait et sortait son doigt. Il y glissa un deuxième doigt, je me contractais instinctivement, il les retira, me mouilla encore plus de salive et replongea ses deux doigts d'un seul coup, tout en commençant à tourner avec sa main. Je ne ressentais plus de douleur, mais il me massait quelque chose dans mon ventre qui me donnait des décharges de jouissance, je ne savais plus si j'allais jouir par-devant ou par derrière.

Lucette ondulait de plus belle, elle feûlait tel une chatte, entrecoupé par de petit hoquet quand je la pénétrais complètement. Soudain, les doigts quittèrent mon anus et furent remplacés par autre chose, non, ça ne pouvait être Joël qui essayait de m'enculer, je voulais lui dire d'arrêter, mais sa soeur m'occupait en m'embrassant à pleine bouche, trop tard... Il me pénétra d'un seul coup, une douleur vive me figea sur place, puis doucement il se mit à aller et venir. Je commençais à ressentir le plaisir d'être pris, je me mis à buriner le petit corps de Lucette sans plus y prendre gare, Joël faisait de même avec mon cul.

L'orgasme nous prit tous les trois: Lucette hurlait de bonheur, j'étais obligé de lui mettre la main sur la bouche pour éviter que les voisins entendent, Joël déchargeait dans mon cul en me tirant vers l'arrière et en me disant:

- Pas dans sa chatte, pas dans sa chatte!

Oooops c’était juste je sortie et j'aspergeai Lucette de sperme sur tout le corps. Il s'était saisi de mon sexe et s'en servait comme d'un tuyau d'arrosage. On s'écroula tous les trois, Lucette et moi sur la lit, Joël sur la moquette, complètement épuisés. Elle se serrait contre moi, je pouvais sentir l'odeur de sa transpiration mêlée à celle de mon sperme.

Ce fut Lucette qui reprit vie la première, en disant qu'elle allait se laver. Dès son retour, elle nous annonça qu'il faudrait recommencer demain, qu'elle avait "pris son pied" mais qu'il fallait qu'on se presse parce que les parents allaient maintenant rentrer et qu'il fallait tout ranger. Elle reprenait son rôle de fille de la maison.

Epilogue (réelle): en rentrant chez moi, ma mère me dit:

- Tu as une drôle de tête toi, tu as dû jouer au foot tout l'après-midi avec tes copains et maintenant tu es crevé. Ca ne te réussi pas de faire du sport.