Samedi 12 décembre 6 12 /12 /Déc 15:58

une histoire fiction , avec mon ami Pierrot , dit le vosgien , on avait fait le paris d'écrire chacun un fantasme sur le même thèmes "rencontre en forêt" sans se concerter avant:
voici ce que Pierrot à écris et vous aurai ma version dans l'article suivant , les 2 articles ayant été écrite parallèlement en même temps


Voilà son histoire.

Un jour, j’étais sur un sentier près du village ou je me promenais juste avec mes baskets, et je vois arriver une voiture en face moi. Je m’écarte et me cache un peu pour ne pas gêner le conducteur. Je ne veux pas choquer les gens qui ne sont pas adeptes de mon style de vie.

La voiture s’arrête, un homme descend la vitre de sa portière et m’appelle.

  •  
    • Tu fais quoi ici, me demande-t-il en me voyant a poil.
    • Rien, je me ballade.
    • Toujours a poil ?
    • Oui, Monsieur.

Il me fait signe d’approcher, je m’approche sans pudeur mais un peu étonné et je vois que l’homme qui avait un peu plus d’une cinquantaine d’année était entièrement nu dans sa voiture.

- Je m’appelle Simon, me dit-il, et tu vois que moi aussi je suis à poil.

Il avait une barbe blanche comme le père Noël et était assis très décontracté les jambes écartées dans sa voiture. moie1.jpg

  •  
    • Je m’appelle Pierrot.
    • Enchanté, tu n’as pas froid.
    • Jamais Monsieur, je suis un pur et dur.

Il regarde mon sexe au niveau de sa vitre. Je bande facilement et c’est vrai que de voir Simon aussi à l’aise sur le siège de sa voiture commençait à me faire avoir une érection.

- Bienvenu au club des vrais hommes, me dit-il. Appelle-moi Simon, y a pas de gène entre nous. Tu veux t asseoir dans la voiture qu’on discute un peu…

Je m’installais a coté de Simon. Je voyais qu’il bandait bien.

- Tu fais quoi dans la vie, mon garçon, me demanda-il ?

- Je suis horticulteur, je bosse dans les jardins, les parcs et les espaces verts. J’ai un C A P.

- Je vois que tu es un homme de la nature.

Il mit sa main sur ma cuisse. J’avais une super envie de l’embrasser mais je n’osais pas.

  •  
    • T’as un bel engin, me dit-il en tenant ma bite, on ne doit pas s’ennuyer avec ça. Ca te gêne pas que je te touche ?
    • Non, pas du tout.

Je commençais à toucher sa bite aussi. Il avait de superbes couilles qui lui donnaient l’air viril d’un homme sans complexe et fier de les montrer.

- J’ai du boulot pour toi dans ma grange, me dit Simon, plusieurs stères de bois a rentrer. Si tu veux, je t héberge quelques jours et tu pourras faire le travail. 30 euros de la journée, ça te va ?

J’étais super content. Mais je lui dis qu il fallait que je m’organise, que je laisse mon fils à la voisine qui habitait une maison à 800 mètres de chez nous. Pour 2 ou 3 jours, elle était d’accord.,

  •  
    • Pas de problème, je viens te chercher demain matin au même endroit.

Le lendemain matin, à 8 heures, j’arrivais sur le chemin a poil avec mon sac à dos. J’avais peur que Simon ne vienne pas, on sait jamais, un beau parleur qui m’avait promis du boulot.

Sa voiture m’attendait. Simon était bien sur a poil dans la voiture. J’étais rassuré et super content.

Pendant tout le trajet, il me racontait sa vie et moi la mienne. Il avait 55 ans et était déjà grand-père ; il vivait dans un chalet perdu dans la campagne, seul et a poil. Il était venu dans ma région pour chercher du bois à acheter.

Dans la voiture, on se regardait souvent nos bites et se les caressaient quand on avait envie, naturellement. J’avais envie de le sucer, mais je trouvais ça dangereux en voiture. Il me branlait un peu de temps en temps tout en regardant la route. Pour la première fois, je me sentais totalement à l’aise avec un homme même plus âgé que moi, il n’y avait pas de barrière.

On arrive dans son chalet. Un beau terrain avec pas mal de boulot. On descend de voiture et me fait visiter chez lui. On boit un café dans la cuisine. On était bien.

Je bandais un peu. Tu peux te branler, me dit Simon. J’avais en effet très envie.

  •  
    • Tu sais, c’est la maison de la liberté ici ; tu te branles quand tu veux, si tu veux me sucer, ne te gène pas, moi j’aime sucer, me faire enculer… on est entre nous.

Il se mit a genoux parterre et commença à me lécher le gland. Elle est bonne ta queue, me dit-il. Je bandais comme un âne. Je me laissais faire. Il bandait bien. Je peux goûter, je lui demande ? Bien sur. Il se lève, j’avale sa bite. Elle avait un bon goût de naturel, pas de savon, ni d’eau de toilette.

  •  
    • Tu t y prends bien, me dit Simon.

Ca faisait tellement longtemps que je n’avais pas sucé. Je me branlais.

  •  
    • Putain, elle est grosse me dit Simon ; tu dois bien gicler. Tu veux bien me mettre un peu de crème dans le café.

Il me tendit son bol de café et je me mis a me branler plus fort. Apres quelques minutes, 3 bonnes giclées atterrissaient dans le café. Il reprit le bol et avalait son café jusqu’à la dernière goutte.

  •  
    • C’est bon, me dit Simon, j’ai mon plein de vitamines, on peut commencer a se mettre au boulot.

J’avais aussi envie qu’il éjacule, mais j’étais là pour travailler. Je me levais avec lui et nous allions dans la grange.

Il y avait beaucoup de bois en tas à ranger. D’autres bûches à couper.

Nous étions bien tous les deux dans le hangar a poil, comme si nous nous connaissions depuis des années.

Je commençais a fendre les plus grosses bûches. Simon ramassait et empilait du bois. Quand il se baissait, je voyais son cul devant moi. J’essayais de ne pas être troublé et je redoublais d’effort à fendre les bûches. Une heure après, je suais.

  •  
    • J’ai envie de pisser, je dis à Simon, je sors dehors.
    • Tu peux pisser là, me dit Simon, t’inquiète pas.

Je lâchais ma hache et commençais à pisser debout dans les sciures.

- Je vais en faire autant, me dit Simon.

Il s’approcha de moi et commença a pisser parterre, puis sur ma queue. Nous commencions à rire. On s’arrosait de nos jets de pisse. Elle était bien chaude. Simon en recueillit dans sa main et lécha. Elle est bonne. Je goûtais dans sa main et je re-pissais dans le creux de sa main que nous partagions dans nos bouches.

  •  
    • La vie est belle avec toi, je dis a Simon, on ne se prend pas la tête, on fait ce qu’on a envie sans problème.

L’après midi passa très vite. Je l’avais aidé a réparer un vieux moteur de tondeuse a gazon. On s’était sucé, branlé, joui, on rigolait, parfois on s’embrassait, on s’était roulé une superbe pelle avec son sperme dans la bouche. De temps en temps, je lui mettais un doigt dans le cul, ça lui faisait plaisir, moi, je bandais sans arrêt. Il avait vu que j’étais serré du cul mais lui avais demandé d’essayer quand même de rentrer des doigts s’il avait envie. Le bonheur.

Le soir, on avait mangé tranquillement dans la cuisine. Simon avait préparé une délicieuse omelette. En le voyant nu devant les fourneaux, je me disais que c’était les plus beaux moments de ma vie. Je me caressais les couilles, je mouillais un ou deux doigts que j’entrais profondément dans le cul de Simon. Il continuait a surveiller la poêle. Son trou était un délice, ça glissait tout seul. Son omelette était divine.

Apres dîner, il avait fait un feu de cheminée. On s’installait sur le canapé et profitait de la chaleur du feu. Simon nous avait servi deux digestifs. En voyant que ça me chauffait le gosier, Simon se leva et me pissa un peu dans la gorge. J’allais mieux. Je rebus une rasade de digestif.

Nous étions cote a cote allongés sur le canapé a regarder les flammes. Simon s’enfilait des doigts dans le cul, j’avais la bite toute raide. Puis il se leva et approcha son cul de mon gland. Je mouillais. Son trou devenait luisant. Lentement la moitié de ma bite rentra.

  •  
    • elle est vraiment grosse, me dit Simon, puis il s’enfonça entièrement jusqu’aux couilles, mais ç’est trop bon.

J’aurai pu rester des heures dans son cul. En faisant des petits mouvements de va et vient et en me caressant les couilles, je sentais mon sperme monter. Mes deux mains enlaçaient Simon ; Je lui pinçais un peu les seins. Ma sève montait et tout a coup, sans pouvoir me contrôler, mon sperme sortit comme un geyser dans le ventre de Simon. Il ne bougeait plus. Il savourait les giclées qu’il sentait envahir ses intestins. Nous sommes restés longtemps comme ça. Je débandais un peu mais nous étions l’un dans l’autre, en osmose. Je me mis à branler Simon. Il bandait dur. Puis il mit sa main devant son gland et de magnifiques jets de sperme rem plissèrent le creux de sa main. Il goûta d’abord, puis m’en offrit. Son nectar était délicieux. Il en reprit un peu, puis m’en redonna. J’achevais de lécher le reste de sperme. Je lui mis mes doigts dans sa bouche. Il se retourna légèrement et nous nous embrassions goulûment en entremêlant nos langues.

Puis Simon sortit de ma bite qui était encore dans son cul. De son trou bien dilaté, coulait mon jus en abondance. Je ne pus m’empêcher de lui lécher la rondelle et de récupérer un maximum de liqueur dans ma bouche. A nouveau, nous nous embrassions.

Nous sommes allés nous coucher. Serrés l’un contre l’autre dans son lit, je m’endormais très vite, heureux.

le lendemain matin

A suivre

Par simon - Publié dans : histoire racontée
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