ma vie

Mercredi 21 novembre 3 21 /11 /Nov 18:02

 

Mon voisin 68 ans , petit, rondouillard, jovial et sympathique. Nous nous recevons régulièrement l’un chez l’autre avec nos épouses respectives.
Bien que je n’ai que 60 ans nous nous entendons parfaitement
.

Fin Juin, il nous annonçait qu’il recevrait, pour un mois, son neveu de 22 ans, habitant en hollande. Ce dernier se remettait doucement d’une déprime due soit disant à une peine de cœur.

En revenant de vacances fin juillet je constatais que la fenêtre de la chambre d’ami chez mon voisin était ouverte, je supposais que le neveu était arrivé.

En effet pendant que je déballais mes affaires de la voiture je vis un jeune homme blond comme les blés, torse nu que me regardait par la fenêtre. Je lui fis un salut de la main , qu’il me rendit en souriant.

Le sourire craquant de ce petit minou me fit un effet bizard.

L’après midi, alors que je lavais ma voiture mon voisin accompagné de son neveu vinrent me saluer et me le présenta " tient Simon voici Erick " .

Je le détaillais de la têt aux pieds, mince, 1m80, sans une once de graisse, bronzé, torse nu et serré dans un short en jean frangé.

Ses jambes étaient légèrement musclées mais lisses aussi. Son torse ne portait aucun poil mais deux petits tétons placés sur des pectoraux bien dessinés , ses yeux bleus intenses soutenaient mon regard avec l’impression de scruter mon âme. Surprenant et déstabilisant. Son visage poupon et rond avait un petit sourire permanent qui le rendait charmant et énigmatique. Le lendemain soir nous étions invités à l’apéritif chez mon voisin et Erick se montra drôle et intelligent parlant bien de son métier de décorateur d’intérieur qu’il exerçait en hollande avec un associé.

Je blaguais avec lui et il me répondait du tac au tac.

Une vraie complicité s’établissait entre nous et je ne pouvais détacher mon regard de ce superbe éphèbe. Au fil de la soirée j’avais l’impression que son regard était sur moi et, chaque fois que je levais la tête, je croisais son regard bleu intense.

Putain je me laissais troubler par un minou de 22 balais !

Le même soir, vers 23 h comme je rentrais dans ma chambre, je vis que la pièce d Erick était toute éclairée et les fenêtres ouvertes. Ma curiosité attisée, je me posais à ma fenêtre pour regarder les etoiles.

Quelques instants après je le vis passer devant sa fenêtre, nu comme un vers rangeant des bouquins sur une étagère. Je voyais ses fesses blanches merveilleusement rondes.

Merde ! je commençais à bander !

Tout à coup Erick se retournait, m’offrant à la vue une petite bite et deux valseuses bien collées le tout parfaitement rasé semble-t-il !

mon érection devint maximale.

Erick, sans l’once d’une gêne, me salua de la main et me lança "

"

Bonne nuit Simon ! tu voudrais faire du vélo avec moi demain vers 8 h ? mon oncle ne veut pas. "Putain ! Simon, quelle santé ! j’arrivais pas à suivre dans la cote ! Mais quand je vois ta musculature je comprends. "

J’acceptais la proposition "  lui donnant rendez vous devant mon portail  ".

Ma femme revenait de la salle de bain, nous nous couchâmes.

Dans le lit, je pensais à la vision de cette beauté que j’avais contemplée , fantasmant sur la possibilité de toucher un mec aussi beau que lui.

Le lendemain, dès huit heure l’un et l’autre étions au rendez vous. Nous avions lui comme moi, enfilé nos tenues cyclistes qui ont pour conséquence de mouler les bites sans pouvoir en cacher quoi que ce soit.

Je reconnaissais le corps moulé de mon minou et enfourchais rapidement mon vélo de peur qu’il s e rende compte de mon début d’érection.
Après une trentaine de kilomètre à un rythme soutenu, je décidais d’arrêter pour souffler à l ’ombre des arbres. Avec la chaleur nous ruisselions de transpiration qui plaquait encore plus nos shorts et maillots sur nos corps.

Joignant le geste à la parole, il me posait ses deux mains sur les pectoraux et me planta son regard bleu dans les yeux. Je ne bougeais pas, mais je sentais que je commençais à bander.

Erick me décocha son sourire désarmant, se recula d’un mètre, et posa son regard sur ma queue qui prenait du volume. Sans que je puisse esquisser le moindre mouvement, il posa sa main sur ma bite en frottant pour aussi me caresser les burnes. "
Tu es bien monté Simon, c’est moi qui te fais triquer ? " 000014-erick.jpg
" Tu veux que ce soit qui ? Les oiseaux ?
 " Erick éclata de rire, me prit la main et me montrant le bosquet derrière nous, m’invita à le suivre. Nous rangeâmes les vélos et comme un gosse je me laissais guider par ce petit monstre. Un instant après alors que nous étions dans le bosquet à l’abri des regards indiscret quoique dans la campagne où nous étions il n'y avait pas trop de risque.

Erick s’agenouilla devant moi et à travers mon cycliste, me mordait la queue, me suçait les burnes.

Ne tenant plus je baissais mon short. Ma bite avait pris toute sa dimension et se dressait fièrement face à ses lèvres. Erick commençait à lécher le gland, puis le sucer… il entreprit de le décalotter en serrant les lèvres ….

Putain c’était la meilleure pipe que je vivais.

Il me pelotait en même temps les fesses mai quand il voulut introduire un doigt dans mon cul je lui dit "  plus tard ".

Il arrêta sa pipe me regarda et me dit "J’adore et toi ? 
"OK mais moi je veux que tu me jouisses dans la bouche ! les deux sont incompatible ! .

" Continu donc " lui répondis-je.

Au bout d’un long moment je sentais la sève monter et comme je ne voulais pas jouir je lui proposais " arrête prend ma place  " . Il sortit sa petite bite rasée complètement débandée (ce fut ma grande surprise)une petite merveille. J’entrepris de lécher lentement le prépuce bien fermé puis commençais à sucer, je sentais doucement sa queue gonfler dans ma bouche et au bout de quelques minutes, elle me sembla à son maximum.
J’arrêtais de sucer pour le contempler pas si petite que ça elle devait faire 16/17 mais fine en diamètre. Je retournais mon minou pour lui lécher le fion rasé aussi. Erick lâchait de petits gémissements de plaisirs.

Je m’adressai à lui " Erick je veux t’enculer ! "

"Hummm!!mais pas le premier jour "

Nous convenons que nous aurons d’autres occasions et que j’acceptais qu’il me suce à fond et je l’enculerais une autre fois.

Il repris ma bite entre les lèvres et commençait à rejouer avec. J’étais aux anges

Soudain je regardais à deux mètres de nous à travers le buisson, et vis un jeune mec qui nous observait en se masturbant. Merde je ne l’avais pas vu venir, c’était un mec qui gardait son troupeau de vache dans le pré d’à coté. Après en avoir informé Erick, celui-ci s’arrêta de me pomper se leva et se dirigea direct vers le voyeur.

Très rapidement, Erick lui touchait la bite qui avait l’air d’une bonne taille. Puis revint avec le jeune mec vers moi. "

C’était le berger de la ferme voisine de notre domicile.

Simon je te présente Pierre qui veut bien participer avec nous

  

Bonjour Pierre tu es surement surpris de me trouver là "

.

Oui ,monsieur , vous ne direz rien à mon parton ?
 "

NON , t’inquiète mais toi aussi garde ta langue "

promis monsieur Simon "

Tu es toujours d’accord Simon? "

je détaillais le petit mec, 25 ans environ, brun, râblé, un visage rond Pierre.jpg


OUI je suis partant  "

Erick lui baissa le pantalon et slip sur les chevilles découvrant une bitte circoncise, droite d’un diamètre assez fort, mais courte , une toison noir entourait ce pieu et deux burnes pendantes semblaient bien pleines.

Erick repris la parole.
" bon  alors ne perdons pas de temps  , Simon, je tiens la quadrature du cercle, je suce Pierre qui me semble en avoir besoin et toi tu m’encules. 
"

Sitôt dit sitôt fait Erick se mit en position de ce fait, j’avais en face de moi le petit Pierre que je voyais râler de plaisir avec la pipe que lui pratiquait le beau blond. 
Pour ma part, ma bite devant le petit cul lisse d’Erick t trouvait son fion déjà ouvert. Ma queue appuyée sur la rondelle rose de mon minou , à la première poussée commençait à rentrer. Le corps souple d’Erick se lovait et ma bite rentrait à fond comme dans du beurre , mes couilles venant taper ses fesses rondes de mon éphèbe.

Je voyais le petit paysan aux anges en train de se faire sucer par un expert. 
Tout à coup il se mit à annoncer " 

"Je vais jouir ! "
  Erick le tenait par les fesses pour qu’il ne lui échappe pas voulant boire sa semence. Tout à coup par petit cri le jeune berger lâchait sa purée dans la gorge d’Erick. 
Sitôt qu’il eut déchargé, il remis ,son slip, son pantalon et partit précipitamment nous laissant Erick et moi ,poursuivant mon limage et Erick visiblement appréciait

A mon tour je déchargeais un flot de foutre qui lui rempli le cul et coulait sur mes cuisses et sur la raie de son cul.
Erick me reteint pour que ma queue débande doucement dans ses entrailles.

Quelques minutes après je retirais ma bite du fion de mon minou.

Erick se retourna pour me dire " 
" merci ,ça été formidable " 

il avait du sperme autour des lèvres, Pierre avait certainement un sérieux retard de vidage de burnes.

Nous reprîmes nos vélos et poursuivames notre route, mais, vous vous en doutez à un rythme de sénateur.

Pendant le mois ou Erick est resté chez son oncle nous avons plusieurs autres aventures

 

.






.
Julien nous avait annoncé un feu d'artifice après les fêtes de Pâques ( vous n'avez pas oublié sinon voir article précédent ).
Ayant de la place dans ma maison et ma femme Anita en vacances , j'avais accepté que Julien fasse et organise la fête chez moi.,pour cloturer l'année scolaire et arrosser la vie de garçon de l'heureu élu de sa soeur 
en remerciement Julien m'avait dit " Tonton tu y es invité aussi et tous le monde devra etre a poils "
Ok mais je fairais le service boisson 
" comme tu veus tonton ,je te donnerai les instructions sur le goût de mes copains a ce sujet "
je prevois des capotes (préservatifs) je pense que vous en utiliserez ?
" Tu es génial tonton tu pense a tous ! "
comme vous serez un bande de jeunes  ,je peus inviter un ou deux potes?
"
super tonton je sui ok et mes copains aprécieront "
 il invita des copains  , des jumeaux  , le charmand Joseph  qui devait épouser la soeur de son cousin Romuald avec qui il aime fourniquer et invité a la journée ,quand a moi j'ajouta trois amis  ; Willian 2005-william.jpg comptable dans mon anciene  entreprise et  Mikaël 2005-mikael.jpg  chauffeur de bus ma dernière conquète  ,et Vincent  j'eu la surprise de  voir qu'il vincent.jpg était venu avec son fils Hubert  18 ans.
ça  faisait du beau monde et si la journée commença au jus d'orange , coca, coupé par le wisky , tous a poils la fête battait son plein.
Julien me fit remarquer une absence prolongé " tonton le fils de Vincent et parti a la salle de bain il ne semblais pas bien "

T'inquiète je vais voir......
quand je poussa la porte je trouva dans la baignoire le jeune homme qui excité par ce beau monde se faisait un petit plaisir solitaire. Hubert.jpg

revenant a la fête je fit signe a Julien que tous aller bien.

tous en action dans le sallon ou dans les chambres le wisky avait été remplacer par le champagne.

l'odeur de sperme planait partout.

les Jumeaux lesjumeaux-PP.jpg  etudiant en médecine participaient en s'échangeant avec les autres jumeaux 2005-lesjumeaux.JPG infirmier au cabinet médical de la ville

















quand à Romuald il avait le parie avec Julien que son futur beau frère Joseph hétéro 100% ne lui resisterai pas.
dés l'arrivée Romuald , aide de Julien mettront Joseph a poil sous les applaudissements de tous.
je participa aussi par de savantes carresses sur ça partie intime qui n'arrivait plus a cacher.
il nous disait sans cesse " je suis pas PD " et tous en coeur on repondait " nous aussi on est pas PD ,on s'amuse entre homme la plus belle creature de la nature "
Romuald ajouta " craint rien ma soeur n'en saura rien "
__mais j'aime pas
tu as jamais sucer un mec
__Non
et à ma soeur tu lui bouffe pas la chatte?
__heeeuuuu !!! non .......heeeuuu  OUI
ah! bon elle m'avait dit qu'elle adorait
Joseph devenu rouge écarlate repliqua " menteur ça m'étonnerai qu'elle te l'ai dit "
en disant ça tu confirmes que c vrais
__OUI
Romuald se mis a carresser le sexe de Joseph qui prenait un belle empleur 2005-romuald.jpg et lui dit tu bais ma soeur alors si tu veus que je dise rien tu dois me baiser sous les yeux de nos invités.
__Je peus pas faire ça
de la manière que tu bandes , je sais que tu en crève d'envie
__j'ai jamais fait
et bien ça sera ta première et pense que c'est ma soeur que tu baises
Julien poussa même a dire "si tu le baises pas on t'attappe et c'est Simon , notre tonton, qui te baissera "
Joseph me regarda et lance " pas lui elle est trop grosse " 2005-romuald2.jpg
ah tu vois maintenant tu aimerai te faire enculer
__au point que j'en suis autant faire mon baptème complet
eh! bien tu choisiras celle que tu veus recevoir mais moi d'abord mon cul t'est ouvert beau frère
Joseph se décida et baisa Romuald 
il défoncait le cul de son future beau frère en disant " tu baisses aussi bien que ta soeur "
Romuald répliqua " tu vois c le bonheur , jute en moi ,dans mon cul, comme si tu etait dans la chatte de ma soeur  , si tu veus apres je serais ta pute"
__tu fairais ça?
OUI  mais qui vas te dépuceler le fion?
Joseph repondit "Hubert "
je jeune Hubert surpris dit " j'ai jamais fait ça "
alors Vincent ,son père,  le pris par la main ,l'approcha de la cible et dit "courrage fils pour toi aussi faut faire le baptème"
Hubert entra ça jeune bite dans le cul de Joseph et découvrit ce nouveau plaisir 
Julien et Romuald ravi de ette belle initiation lancèrent "Joseph tu fais  partie  de la grande famille n'est ce pas tonton "
je répondis "
OUI Joseph ,et toi Hubert c'est quand même mieu de se soulager comme ça au lieu de la branlette solitaire dans un baignoire "
Hubert rouge comme un coq répliqua " merci a papa de m'avoir pris avec lui pour cette sublime soirée et Joseph je te souhaite beaucoup de bonheur et ton cul est bien acceuillant"
la soirée se termina dans une orgie total ou personne ne pouvait dire qui baisait l'autre
Par simon - Publié dans : ma vie
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Mardi 20 novembre 2 20 /11 /Nov 15:30
2004-herve.jpg mon cousin polonais hétéro100% apres lui avoir bien vidé les couilles , buva une vodka et me vida les mienes en avalant tous et lanca " nie navodé" (c'est pas de l'eau).

2003

Je prendrai  ma retraite Joël m’avait convaincu…….ça sera apres les congés de fin d'année au plus tard en février suivant.

Je décidais de faire une fête j’ai invité tous mes amis et en plus

(photo marius)

Marius par la force de sa jeunesse et sa précoce expérience a enculé tous les invités sans exception et me dit " invite moi plus souvent pour entretenir ta retraite »

 Marius venait avec son copain Claude 2003-claude.JPG

Par le plus grand des hasards je retrouvais

Moussa un ami de longue date (je l’avais connu 10ans plutôt) en cette été 2003. Il est devenu un superbe père de famille malien vingt cinq ans, grand, athlétique, viril avec, "une grosse queue de 25 centimètres".

Je proposa a Moussa s’il voulait faire un plan cul avec mon ami Paul et moi.

Moussa ne fût pas long ni difficile à décider pour, moyennant finance (faut bien nourrir les petits), venir baiser

Monsieur Paul , la cinquantaine BCBG, est un ami de partouzes avec lequel je partage très souvent des gigolos.
 Il aime tout particulièrement se faire défoncer le cul par des grosses queues noires, surtout africaines ou par des arabes. Plus elles sont longues, épaisses et dures, plus il jouit de l'anus.

Une fois de plus, je me préparais donc tant à lui faire plaisir qu'à jouir moi-même de les voir, les entendre, les toucher.

Dans l'ascenseur qui montait chez Monsieur Paul, au huitième étage, le malien était impressionné par le luxe, mais pas au point de ne pas bander tandis que je malaxais son énorme queue a travers son vieux et moche pantalon classique de Tergal gris. Il souriait et fermait les yeux tandis que j'étais moi-même troublé et excité de sentir une si grosse bite grossir si vite.

Monsieur Paul, qui nous attendait, fut visiblement enthousiasmé par la vision qu'il eut de Moussa en nous ouvrant la porte. Après m'avoir déposé un léger baiser sur les lèvres, il tendit sa bouche à Moussa et lui mit à son tour la main au paquet. Je fus ravi de voir que Moussa répondait sans hésiter et sans pudeur à cette offre de baiser. La grande et belle bouche pulpeuse du malien engloba et suça les lèvres de Monsieur Paul. Je vis de très près leurs langues se chercher, se trouver, et même les belles et grandes dents de Moussa toucher celles de Monsieur Paul.

Nous étions toujours dans l'entrée , tandis qu'il s'embrassaient, j'aidais Paul à débraguetter Moussa. C'est moi qui défit sa ceinture et abaissai d'un coup le pantalon et le caleçon de l'africain. J'étais trop pressé de voir, sentir, toucher la grosse queue déjà bien malaxée à travers les étoffes.

De fait, elle me sauta tout à coup au visage, immense, épaisse, tendue, nerveuse, dégageant une bonne odeur propre et chaude de mâle excité.

Monsieur Paul , comme moi resta bouche bey en découvrant Moussa entièrement nu

2003-moussa.JPG

Je léchai le gros gland brun gonflé comme une balle de ping-pong puis, tandis que Monsieur Paul caressait doucement les grosses couilles du black qui allait l'enculer, j'avalai la très grosse queue en caressant les fesses chaudes, lisses et si douces de Moussa.

- Venez dans la chambre, dit Monsieur Paul en entraînant Moussa par la main vers la pièce où, tant de fois, devant les glaces qui entouraient le lit, il s'était fait défoncer devant moi.

Je les suivis naturellement caressant Moussa, en suçotant ses beaux tétons durs, en tâtant ses forts biceps, en léchant son nombril, ses aisselles, puis, quand il faut étendu nu, sur le dos, cuisses écartées sur le lit, à jeter nos vêtements en hâte pour venir sur lui nus et réunir nos trois bouches pour une pelle longe, profonde et baveuse.

Puis, Paul et moi lui dévorèrent à deux son immense pieu noir dressé, bien dur et bien droit, qui faisait effectivement au moins25 centimètres. Nous allâmes aussi tour à tour gober les couilles et faire vriller nos langues dans l'anus qui ne demandait que ça.

Car Moussa ne se contentait pas de se laisser dévorer; il participait activement, se tortillait, écartait ou relevait les cuisses, donnait sa bouche, suçait nos queues, s'écartait lui-même les fesses à deux mains en fonction des besoins de notre plaisir. Il nous caressait, nous branlait, touchait nos culs, glissait même un doigt de temps en temps dans mon anus et plusieurs, progressivement, dans le trou du cul de Monsieur Paul dont il savait et sentait bien qu'il n'attendait que ça pour se préparer à la saillie.

Dans les miroirs, le spectacle obscène de nos trois corps enchevêtrés était magnifique. J'en perdais le moins de miettes possibles. Moussa lui-même aimait se regarder prendre des poses pornos et bandait plus que jamais en contemplant son corps d'athlète entièrement offert à ces deux vieux pédés en rut.

Monsieur Paul, qui était bien équipé de ce côté là, saisit une capote extra large dans le tiroir de la table de nuit et la tendit à Moussa en relevant les cuisses et en disant " baise moi ! ".

Le beau grand noir sourit, sortit la capote de l'étui, nous laissa le sucer puis la lui mettre à quatre mains. Puis Monsieur Paul s'agenouilla, à quatre pattes sur le lit, cul en l'air et me dit :

- Ouvre lui mes fesses, guide sa queue dans mon trou je la veux vite.

Je fus trop heureux de m'exécuter et d'écarter les deux fesses du vieux sur la raie peu poilue et l'anus rose, bombé, déjà ouvert par les doigts de Moussa. 
Celui-ci cracha dans sa main puis sur le trou du cul et y remit un, deux puis trois doigts.
 J'empoignai la grosse queue noire plus raide que jamais et posai le gros gland sur l'anus rouge. Moussa prit Monsieur Paul par les hanches et l'enfila doucement.
 Des souffles et des sons gutturaux sortaient de la gorge du prof quand il n'articulait pas des " oui baise moi " ou des " défonce moi " qui m'excitaient autant que lui. La sueur perlait à son front mais aussi au mien et sur celui de Moussa, sur ses épaules aussi et son superbe dos lisse et musclé lorsqu'il se mit à pilonner de plus en plus vite le cul de Monsieur Paul 

Pendant la saillie je caressais longuement Moussa partout; je lui donnai plusieurs fois ma bouche en le regardant dans les yeux et il mordait à chaque fois mes lèves avec plaisir, me donnant sa langue à sucer. Je pétrissais aussi parfois ses tétons durs et saillants, car j'avais observé qu'il jouissait par là aussi.

Surtout, je touchais régulièrement l'endroit où la bite pistonnait l'anus écartelé; je vins même à plusieurs reprises, par-dessous, lécher la  grosse pine noire et le cul qu'elle comblait, à l'endroit même de la saillie, après m'être idéalement rincé l’œil sur Moussa vu par derrière, son beau cul bombé et écarté, ses grosses couilles agitées et son bel anus qui se fronçait chaque fois qu'il donnait un coup de rein au fond des boyaux de Monsieur Paul pour se détendre ensuite, s'offrir à ma vue, à ma langue de temps en temps et même à mon index.

Oui, le magnifique père de famille malien adorait que je lui doigte le cul pendant qu'il défonçait Paul. " Vas y " me disait Moussa, " vas y " lui disait Paul 
: c'était magnifique à vivre comme à regarder dans les glaces. J'évitais de me branler pour ne pas jouir immédiatement.

" Baise moi, vas y " lui disait Monsieur Paul.

Moussa me dit tout à coup à l'oreille" Baise moi en même temps, vas y ".

Je fus stupéfait qu'un mâle aussi viril, aussi bon baiseur de femmes et d'hommes, aussi bien monté, me demande de l'enculer. Mais je ne me fis pas prier et commençai d'abord par dévorer le bel anus rose et imberbe entre les fesses noires qui s'offraient à moi. Il était bon, chaud, souple sous ma langue puis sous mes doigts. Je me levai un instant prendre et me mettre une capote et admirai le couple en rut et en nage sous mes yeux. Moussa avait retourné Monsieur Paul et lui avait relevé et écarté les jambes pour l’enculer face à lui.

Le prof délirait de plaisir : "oui baise moi je suis ta pute, vas y, plus vite, baise ta pute.". Moussa rit quand il vit que j'avais la capote et que j'allais le baiser. C'est quasiment lui-même qui vint s'enfiler sur mes honnêtes dix huit centimètres hyper tendus, sans qu'il d’écule pour autant du trou de Monsieur Paul. Le rectum chaud et que je sentais humide de Moussa avala ma bite sans problème et profondément; il se mit à le serrer et le desserrer au rythme de mes coups de queue qu'il répercutait dans le fion de Paul. Visiblement je n'étais pas le premier à la mettre au fond du trou de l'africain et il adorait ça.

Notre plaisir et le spectacle étaient exceptionnels.
- Je vais jouir, dit Moussa, à un moment.
- Moi aussi répondis-je.

- D’éculez, dit Monsieur Paul, et venez m'arrosez la gueule de foutre chaud.

Nous ne nous le fîmes pas dire deux fois et je savais que Monsieur Paul adorait qu'on lui jouisse sur le visage. J'aidai Moussa a sortir de l'anus béant et je quittai moi aussi son bon cul désormais bien ouvert et qui ne se referma pas tout de suite non plus.
 Je retirai la capote de Moussa d'une main et la mienne de l'autre. Nous vînmes nous agenouiller sur le lit de part et d'autre de Monsieur Paul et nous branlâmes sur lui. Il caressa et lécha nos queues, nos couilles, nos trous du cul quelques instants puis nous dit :
- Regardez moi dans les yeux, videz vous, arrosez moi je vais jouir aussi.

Moussa fut le premier, en le fixant, à lâcher des longues giclées blanches, chaudes, crémeuses, abondantes sur la face et dans le cou de Paul. Celui-ci jouit immédiatement à son tour, ainsi que moi. Nous beuglâmes comme les chiennes que nous étions.

Paul, hyper gluant, nous quitta pour aller se laver.

Moins d'une demi-heure après, il était de retour et me regardait assis à mon tour sur l'énorme bite noire rebandée qui me transperçait et me touchait presque l‘estomac.

Le plaisir était en moi cela faisait plus de 10 ans que Moussa et moi nous ne l‘avions plus fait.
 Moussa était ravis et dit :" monsieur Paul ça fait 50€ et Simon pour toi c’est du bonus ",
Monsieur Paul lui tendit un billet de 50€ en disant " ça vas c'est pas chère ,on  se revoir  plus souvent. ? quand a toi Simon pour toi ça sera le meme tarif la prochaine fois "  
Moussa reondit " une fois par mois ça te vas? "
Oui si tu me fait une carte de fidélité..........
un coup gratuit par trimestre ça vous ira monsieur Paul

Mais ça sera une autre histoire.........

En cour d'année  je passa quelques jours à Remiremont (Vosges) ou je rencontra Hakim 2003-hakim.JPG







les accords passés avec le D.R.H Joél arrive a son terme et a quelque jours de Noél 2003 la bonne nouvelle arrive.
 "   VOUS SEREZ EN PRE-RETRAITE EN FEVRIER.  "

Mais ne voulant pas reprendre apres les vacances de fin d'année pour 2 mois a peine je n'égosier donc avec le D.R.H. Joël  et trouva un compromis.
tous les matins a la prise de mon service  et le soir a la fin de celui ci , je passais a son bureau
prendre ses vitamines qu'il me donnait dans la bouche ou au fond de mes entrailles , j'étais en fin de compte devenu sa pute de service. 8314.jpg


je vais devoir changer mes habitudes.

 

dans les premiers temps je me consacrais a mes enfants , qui quittaient la maison , poussé par les études .quand a leur mère Anita la routine commancait a s'installer. 

Les sorties se faisant un peu plus  rare . 

Un soir je recherche sur le net un mec qui voudrait bien fourniquer avec moi , je trouva après sélection différents profils de tout age et commence a envoyer des invitations ,le jour même 2 réponses

Je répond afin d’établir les premiers contacts.

Petit message de Maxime un ardennais de 36 ans qui suce et se fait enculer et rien d’autre 2004-maxime.JPG

Il me le montre sur le net en direct par la caméra mais une queue pas terrible ça gêne pas il veut pas que je lui suce….

 

,aime s’habiller en femme , par contre la sienne est une vraie saloppe et a essayé de me détourner 2004-sophie.JPG

Je ne sais si je l’enculerai mis je lui adresse des photos pour l’exciter(les 2)

Comme celle ci par exemple: 2004-simon.jpg

La semaine suivantes, un rendez vous 1er contacte.

Je devais voir un mec lisant une revue devant un demis de bière.

Je rentra au mac do pour prendre un café ,dans un coin de la salle un mec d'environ 35/40ans plutôt pas mal , genre 1m80, mince, , les cheveux mi long légèrement grisonnants, attira mon regard.

C’était la description qu’il m’avait fait sur le net.

Moi a quelques jours de mes 59 ans ….

Je me dis « lui il me le faut ! ».
je vint s'asseoir au fond, à gauche en le regardant du coin de l’œil.
Ma queue se dressait déjà dans mon pantalon de velours sous lequel je ne portait que mon petit string.

Je fus agréablement surpris le voyant discrètement lire un magazine de cul gay en étant à son aise .
Je me levais alors et m'assis sur le siège opposé à lui et le voyant surpris je me mis a caresser ma teub lentement et le regardant avec insistance.
 Il rangea son magazine et vint s'asseoir à coté de moi.
Il se dégrafa le jeans et me présenta son sexe .

Il me demande d’aller avec lui en voiture vers un endroit où il serait plus à l'aise .

Nous partîmes vers un petit sous bois quelques km plus loin.

Arrivé sur place son sexe plus

que raide, bien large et dont le gros gland rose vif était un appel à la bouche
Ma bouche ne résista ni à son chibre ni à sa paire de couille et je me mis à mon aise en pompant, suçant, léchant, pendant que lui, d'une main experte travaillait ma queue au bord de l'éruption...
Tu en veux plus me dit il.

Hummm! Dis je ……pour m'enculer.

Oui si tu veux….
Je m'exécutais aussitôt,couché sur le capot de la voiture

il enfila un préservatif; tant bien que mal il me pénétra après m'avoir doigté avec quatre de ses doigts afin de me préparer le cul.
Je trouvais excitant de se faire prendre comme ça sans l’avoir prévu
Ma queue malaxée par une main agile , je sentais sa paire de couille frapper à l'entrée de mon cul.
Je sentis soudain ses mouvement accélérer, son sexe se contracter et se dégageant d'un coup rapide et discret il enleva sa capote et me lâcha son foutre dans le creux de mes reins .
 Il frotta ensuite de ses larges mains le sperme autour de mon sexe et me branla la teub au point de me faire jouir.
Il recueillit le jus dans ses mains déjà salies par son propre sperme et me dis " léche ", ce que je m'empressais de faire docilement. en se rhabillant il me dit " tu es devenu mon amant " .
 Et moi je suis ta pute…….repliquais-je.

Un mois après avoir trouver Patrick un meusien a 10km de la maison c’est très rare ,oui il a fallu 1 mois pour arriver a lui sucer la bite et sans rien d’autre car Patrick un hétéro tente une expérience ,il a encore beaucoup de chemin a faire pour une réussite.

Je l' aurai bien enculer mais j’ai senti qu’il n’était pas prêt . A voir plus tard si………je le revois.

Ce jour de st Nicolas je dialogue  sur le net avec kouros , lui c’était ce soir ou rien et bien ce fut rien

 

Anita ( ma femme ) me laissait vivre comme je l’entendais

,je vivais a l’intérieur nu mes enfants n’y trouvaient d’inconvenant ou ne le disent pas ,

je sortait parfois dehors en string  ou shorty ,pour moi les vêtements c’était superflu ……

J’espère tenir encore longtemps avec les mêmes excitations

….

Grâce a Internet je me mis a la recherche d’homme toujours a poil….

Malgré mes 59 ans mes érections me poussent a retrouver de nouveaux amis car a la maison  il faut que je comble le vide créé par la mère de mes enfants.

 pour asservire ma passion

Cette première année de pré-retraite pass trop vite .

Mon neveu Julien décida  de faire de cette nouvelle année

 il invita pour la fête des rois les 2 frères voisin de chez lui

le gagnant de la fève faira l'amour au mec de son choix 2005-bertand-gilles.jpg  c'est le plus jeunequi gagna et choisi son grand frère

Julien renouvela l'opération a la chandeleur il invita ses cousins Bertand et Gilles et moi j'invita mon frère  Firmin qui a ma grande surprise etait accompagné de son fils Benoit
celui qui ne retourne pas la crêpe baise le mec a son choix le perdant sera Bertrand  qui aprés un lutte acharnée arriva a baiser  gilles son cousin 100% hétero et qui apres loupera le retournement de sa crêpe pour reprendre ça revanche sur mon neveu Julien.



Soudains je senti une nouvelle présence, nous relevons la tête .

OH ! surprise Firmin le père de Bemoit  venu nous rejoindre a l'improviste était a poil a se branler devant nous!!

Il était super bien foutu pour son age!! Une vraie montagne de muscle!!

Il approcha sa bite devant ma bouche donc je lui fis une bonne fellation pendant que son fils  suçait mon neveu Julien  que Firmin  palpait lee petit cul. de celui-ci

Tu as déjà été sodomisé ? " lui demanda-t-il 

Faisant l'ignorant  Julien  répondit"   NON c’est quoi ? "

Je vais te monter " répliqua-t-il  2005-firmin-benoit.jpg

Firmin décida d'enculer son fils pour démonstration (a 1ère vu il adorait car il n’a pas refuser ), il lui lécha le cul puis d'un coup il lui rentra son engin dans le cul et commença des vas et viens, sous notre  regard ébahi .

Une dizaine de minutes après il ressorti sa grosse queue qui jouissait sur son cul et le sperme coulait vers ses couilles.

Moi par contre je me précipita pour lécher son beau fruit gluant. 

Au vacances de Pâques ça sera le baptème du feu pour Pascal , Julien  me donna  la primeur pour le  dépuceller






















j'attend juilllet avec impatience il parait que ça sera un feu d'artifice .

que mijote mon neveu Julien ??

 

  une année spéciale jeunes pour combler son tonton

Par simon - Publié dans : ma vie
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Dimanche 4 novembre 7 04 /11 /Nov 13:45

2003

Un après midi de juillet je rentrais a la maison avec un jour d’avance sur la date prévue.

Tous le long de la route , j’avais une envie de baiser Anita (ma femme) , car mes réserves étaient a ras bord , donc une vidange s’impose.

Quand j’arriva a la maison les volets étaient baissés (normal il faisait chaud) , j‘entrais , il semblait y avoir personne tant le silence régné.

Mon idée fut « elle est sûrement sortie chez les enfants ».

Je décida de me mettre a l’aise par cette chaleur , donc je me dirigea vers la chambre pour me mettre a poil.

Arrivant devant la porte entrebâillé j’entendis des chuchotements et des gémissements.

Je passa dans la salle de bain , me mis a poil ,et je reviens devant la porte de la chambre.

Ma queue avait réagit elle se mis a bander dur comme fer , je compris que la derrière la porte il se passait quelque chose.

Poussant légèrement la porte juste pour passer la tête et jeter un coup d’œil.

Que vois-je ?

Anita les jambes écartées se faisant baiser….

Je ne voyais que le cul du mec son anus bien exposé.

Je décidais de m’approcher sans faire de bruit pour ne pas les déranger , et de passer ma langue sur sa rosette , quand ma langue le toucha il tourna la tête , je fit « Chut.. » en mettant un doigt sur ma bouge.

Le mec compris et continua a limer ma femme qui ne sait aperçu de rien , lui par contre appréciait mes coups de langues. Son cul bien salivé je le travaillais avec un doigt , puis deux ,il ne dit rien seule les coups de butoir dans la chattes s’intensifiaient.

J’étais au bord de l’explosion il fallait faire quelque chose.

Je présenta ma bite devant son anus qui était légèrement dilaté par mes doigts et d’un coup brusque je défonçais son cul .

Il hurla comme un diable et Anita s’aperçu de ma présence , elle attrapa sa tête et lui roula une pelle pour le calmer.

Il continua a la limer et ses va et viens se répercutaient sur moi et je lui balança tous mon jus en plusieurs jets dans ses entrailles.

Lui remplissait le préservatif.

Lui comme moi la teub ramollie se dégagea et je vis que le mec qui baisait ma femme et que j’avais sodomisé , c’était Marc le mari de la meilleur copine de ma femme.
2003-marc.JPG

Il avait 51 ans et dit « ta femme baise comme un dieu ,mais se faire dépuceler le cul a cet age la il faut être con d’avoir attendu aussi longtemps pour se faire défoncer le cul ,, je croyais que c‘était réservé au pédé , pour moi hétéro j’ai aimé car c’est sublime  ».

Tu as aimé lui dis-je l‘air surpris!.

Prêt a recommencer dit -il

Quand tu veux je suis a ton service…….et en prime Anita

 

 

 

 

 

Il me pris au mot et deux mois plus tard.

On sonne a la porte vers 17 heures, j’ouvre et la devant moi Marc une bouteille de champagne a la main ,vêtu d’un simple jogging .

Moi j’étais simplement vêtu d’un thy short long sans rien en dessous.

Tu es seul ? me dit il

Non répondis je Anita est sous la douche.

Entre , mets toi a ton aise .

Tu permet que j’aille lui frotter le dos ? me dit il

Vas y monte les escaliers ,et a droite.

J’entendis un hurlement ,il lui avait fait peur car elle ne s’attendait pas a lui.

Je monta une demi heure après , sur le sol gisait son jogging , il était dans la salla de bain allongé a même le sol sur une serviette, Anita la pine de Marc dans la bouche , elle le suçait avec amour alors qu’ avec moi elle ne voulait jamais. Elle arrêta un moment pour me dire « excuse moi ,mais la sienne et plus fine et je n’ai pas résisté ».

Tu a raison profites en pour une fois lui dis je.

Je passa ma main entre les jambes de Marc , attrapa ces couilles et mis mon pouce dans son cul , ça lui procurait du plaisir et se mis a faire des va et vient dans la bouche d’Anita.

J’embrassa Marc sur la bouche et lui murmure dans l’oreille « continu comme ça et donne ton jus , elle ne veux jamais du mien alors essaie!

Marc lui pris la tête et accentua les mouvements moi j’activais toujours et sentais ses frissons de plus en plus rapprochés, et d’un coup Marc gémissait avec rage et éjaculait dans sa bouche qu’elle ne pouvais bouger vu la pression des mains de Marc sur sa tête.

Elle avala le précieux nectar .

Elle nous gifla tous les deux en criant « vous êtes des salops » et ajouta " c‘est pas si mauvais que ça après tous j‘ai peut être perdu de bonne occasions ".

Nous allâmes dans la chambre et je m’allongea sur le lit , je bandais a mort alors Marc lu dit « Anita baise avec ton mari , je vous regarde ».

Elle me chevaucha et enfonça au plus profond ma bite dans sa chatte, je posais sur ces fesses mes mains et tout en les massant j’écartais pour faire découvrir sa rosette a Marc.

Il compris le message , s’approcha et commença a lui passer la langue dessus.

En principe quand je touchait cet endroit elle gueulait « NON pas ça » et la elle ne dit rien , elle semblait même apprécier.

Marc avait retrouvé son érection maximum et dit « je peux ».

Elle ne répondit pas , mais moi j’esquissais de le tête que « Oui ».

Je lui donnais le tube de gel (toujours dans le tiroir de la table de chevet) il lui badigeonne l’anus , elle ne dit pas mots ses petits coups de reins me disent qu’elle en a envie.

Et Marc présente sa bite , frotte le gland sur l’entrée ,elle se cabre , je vois sur son visage que cette queue qui pénètre est un peu douloureux , elle se mit a gémire , au fur et a mesure que cette queue rentrait en elle , elle m’enfonçait ses ongles dans ma poitrine a en faire péter le sang.

Elle entra en trans. Elle se soulevait gueulant « Non ..Non » , faisant presque sortir ma bite puis c’était des « Oui ..OUI encore plus fort » en se renfonçant sur mon mat. 1fille-5.jpg

Plus d’une demi heure ce fut ainsi , je jouissait un flot de jus dans son vagin et Marc fit de même dans son cul.

Nous avons bu la bouteille de champagne et Marc repartit sans avoir eu ce qu‘il venait chercher (une pine dans le cul) mais il n‘avait perdu au change..

Elle venait a 49 ans de vivre en 3 heures (sucer, avaler, enculer) ce qu’elle m’avait toujours refusé en 34 ans de mariage.

Je lui posa la question « ça ta plus  ? »

Elle répondit « J’aurais aimé le faire plus tôt avec toi si tu avais une bite fine comme Marc car toi elle est trop volumineuse » .

Excuse moi lui dis je , ma mère ma faite comme ça et je suis heureux avec toi , je te laisse la liberté de ton corps.

Si elle a envie d’un autre mec qu’elle fasse comme moi …….

2004

Mes voisins avaient deux fils. André, 22 ans, passionné de moto et de foot, et Serge, 18 ans, plutôt artiste, passionné de littérature. André était très bien bâti, musclé, une haute stature. Serge était plus frêle, mais non moins dénué de charme, en particulier dans le regard que lançaient ses yeux bleu acier et dans la clarté de son teint. Tous deux plaisaient énormément aux filles.

André était un de mes meilleurs amis, mais nous avions une relation un peu particulière depuis ce jour où nous nous étions retrouvés seuls dans les douches de la salle de sport du quartier. Mon voisin m'avait alors fait goûter une queue épaisse et vigoureuse. J'avais ainsi découvert le plaisir de sucer et de me faire sodomiser par un jeune qui pouvait être mon fils. Dès lors, nos entrevues avec André prirent une tournure tout à fait différente. Estimant que les filles ne satisfaisaient pas toutes ses envies, André me recevait régulièrement dans l'intimité pour me rappeler qu'il était l'homme et que j'étais sa pute.

Un samedi après-midi, nous étions seuls dans la chambre d'André.

2004-le-baiseur.JPG Je recevais mon lot de coups de queue hebdomadaire.

J'étais à quatre pattes sur la moquette, le dos fortement cambré. André était accroupi derrière moi et faisait glisser son sexe dans mes entrailles lubrifiées. 
Soudain, nous entendîmes un bruit.
 Serge était planté sur le seuil de la porte.
 Il semblait horrifié par le spectacle qui s'offrait à lui.
 André ralentit brusquement son va-et-vient dans les profondeurs de mon anus. « Allez, frérot, ne t'effraie pas d'un rien, faut au moins essayer ça une fois dans sa vie ! »
 André se mit alors à nouveau à me labourer le cul tandis que Serge s'empressa de baisser son jean puis son slip pour se branler.
 La queue de André était très épaisse à la base et légèrement courbée vers le haut. Celle de Serge était très longue, fine et droite. Je me demandais ce que cela pouvait faire de voir son frère en train de sodomiser un mec plus âgé . « Tu vois, notre voisin, c'est une vraie pute ! », lança André, ce qui eut l'effet de me faire bander encore plus.

Serge, n'en tenant plus, s'approcha de moi et introduisit sa longue verge jusqu'au fond de ma gorge. Au moment où j'allais éjaculer sans même me toucher, André se retira pour souffler.

Visiblement, la capote était pleine. Serge imita son frère. Nous nous assîmes pour discuter

-Hé, frérot, t'aurais jamais cru ça de moi ! fit André.
-Ben non, répliqua Serge.
-Il aime ma bite, notre voisin.
Je ne pouvais qu'acquiescer discrètement.
-Je n'ai jamais osé te le dire, répondit Serge, mais si nous n'étions pas frères, il y a longtemps que je te l'aurais sucée pendant ton sommeil.
ben tu aurai du!

L'aîné commença alors à se malaxer le pénis et les couilles, se tourna vers moi et me dit : « Vas-y, lèche ! ». Je m'exécutai tandis qu'il continuait à se caresser et à me guider la tête de l'autre main.
 Le cadet s'approcha et se mit lui aussi à lécher son frère, tandis que nos deux langues prenaient un malin plaisir à entrer en contact l'une avec l'autre. J'étais terriblement excité par cette idée que deux frères si bien bâtis puissent se satisfaire mutuellement sans aucune gêne apparente. Les premières inquiétudes de Serge semblaient déjà surmontées. 
André me repoussa violemment puis prit entre ses deux mains la tête de son frère, l'entraînant à le sucer plus profondément encore. « J'ai envie de te la mettre, frérot ! ».

Pendant ce temps-là, je suçais Serge sans retenue. Ce dernier ne tarda pas à interrompre sa fellation et à se mettre à quatre pattes en tournant le dos à son frère. André plongea un index humide dans le cul de son frère.
-Aïiiiiiieeeeee ! Serge souffrait, visiblement.
-Ta gueule, où je dis à Maman que tu lui as piqué cinquante euros !
-Salaud !

André enfila une autre capote et introduisit sans détours sa grosse verge dans l'anus maintenant dilaté de Serge. Je n'avais jamais vu deux frères baiser entre eux et je crois bien que j'aurais pu atteindre le 7e ciel rien qu'en les regardant.
 Je me faisais sucer par Serge tandis que l'aîné labourait cul de son frère comme il n'avait jamais osé le faire avec moi.
 Serge gémissait d'une façon qui aurait sûrement fait douté un observateur étranger. Plaisir intense et douleur semblaient se mêler au cours de cet acte sauvage qui avait la saveur exquise d'un tabou transgressé. « Toi aussi, t'es une vraie pute, frérot ! ».

A ces mots, je sentis Serge sursauter et gémir encore plus fort, comme si l'insulte de son frère était la cause d'un regain d'excitation.

 Mon sexe frappait régulièrement le fond de la gueule de Serge.

 André explosa soudain dans un râle prolongé et saccadé tandis que son corps se secouait de spasmes violents. En se retirant, il vida le préservatif d’une crème épaisse sur le dos de son frère en lui frappant les fesses avec un bruit sec.
 Je ne tardai pas à jouir en envoyant dans la gorge de Serge une quantité impressionnante de sperme ,que mon jeune voisin avala presque entièrement, avant de nettoyer ma bite à grands coups de langue avides et pressés. Serge nous remercia. Son frère ajouta : « Un seul mot à Maman, et je te ridiculise devant tous tes potes ! ».

 le jour suivant Je me rend  chez mon médecin généraliste
2004-georges.JPG
Après son touché anal (avec sa queue) c’est quand même mieux……

George me recommande son ami

 

Jeanot 55ans pharmacien marie 4 enfants Hétéro ?
 
2004-jeanot.JPG
 




















par la grande chaleur du mois d"aout le fils de mon voisin  Julien se désaltère 2004-julien.JPG  et a la salle de sport on parlerai plutot dopage 2004-bertrand.JPG




En fin de soirée du 5 novembre , les pompiers passent proposer leur calendrier.

Il était déjà tard ce soir là, et, après une journée de travail bien remplie.

Je sortais de la douche et, comme je n'attendais personne, j'étais resté avec une serviette autour de la taille .

C'est au moment où je choisissais mon film que la sonnette retentit.

Un rapide coup d’œil par la fenêtre ,surprise ! un magnifique pompier se postait devant ma porte !

J'ouvre et reçois ce bel étalon avec mon plus beau sourire.

Surpris par ma tenue, il se confond en excuses et me propose de passer un autre jour. 
Je vois cependant que mon accoutrement ne le laisse pas indifférent étant donné la bosse qui apparaît entre ses jambes, bien moulée dans son treillis bleu foncé.
Je lui réponds " cela ne me dérange pas ", lui propose d'entrer pour ne pas prendre froid

Poussé par ce que je viens de voir gonfler dans son pantalon, j'en remets une couche, précisant que, n'attendant personne ce soir-là, surtout pas un si vaillant soldat du feu, courageux et bien foutu, je me suis laissé aller dans cette tenue légère.
Il me répond " cela ne me choque pas du tout, j'ai l'habitude d'en voir bien d'autres tous les jours à la caserne dans la même position, et parfois pire ".

Je lui demande " tu veus dire quoi par pire ".

Il s'approche alors de moi, tire sur ma serviette : je me retrouve entièrement nu devant lui, la queue déjà bien raide, presque au garde à vous...

Il me dit alors :
"C'est dans cette tenue que je vois la plupart de mes collègues ! Et avec certains, j'explore bien plus que l'épiderme..."
Sans attendre, je plaque ma main sur son sexe raidi par l'excitation de la situation, je constate sans tarder que le volume et la longueur de celui-ci dépasse de loin ce que j'ai déjà pu expérimenter jusqu'alors...
En déballant son matériel, je constate en fait qu'il ne s'agissait que d'un début d'érection : le plus impressionnant était donc à venir !

Le beau gaillard est plutôt entreprenant :

Il se met à genoux face à moi et gobe d'emblée ma bite qu'il lèche et aspire dans un mouvement lent et ample. 
Je me laisse aller au rythme de sa respiration ; ce mec est fait pour ça : pomper des queues ! Il se relève ensuite, se met devant moi, de dos, et se travaille la rondelle pour mon plus grand plaisir. Rapidement, deux puis trois de ses doigts sont enfournés dans son anus ;

Je me lève et lui fait comprendre que ma main aussi a envie de visiter ce lieu exquis. Je n'ai aucun mal à pénétrer son trou du cul dilaté.

C'est sans aucune résistance que mon sexe s'installe en lui. Il commence alors sa danse du bassin jusqu'au moment où je le préviens que mon foutre est prêt à inonder son rectum.

Il se retire lentement, se remet à 4 pattes et recommence sa fellation : il ne lui faut que quelques secondes pour me faire cracher mon jus. De longs jets bien fournis viennent envahir sa bouche, et, pas avare, il vient partager cette semence avec ma langue, me roulant une pelle mémorable.

Il se relève ensuite, se place au-dessus de moi et entame une masturbation langoureuse qui aboutit à une pluie de sperme sur mon visage et sur mon torse. Nous nous embrassons longuement, mêlant ainsi son laitage à nos deux torses.
Après une douche bien chaude (et pas que sur le plan de la température de l'eau...), je l'aide à remettre son beau costume de pompier, en lui faisant promettre de m'inviter dans sa caserne, à la rencontre de ses amis pompiers.

Il a tenu sa promesse

Mon "pompier" clement.jpg

Par simon - Publié dans : ma vie
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Samedi 3 novembre 6 03 /11 /Nov 16:41

 

2002

comme tou les ans a la même époque mon épouse part en vacances et je reste en raison de mon travail car , c'est l'été et comme je travaille dans une coopérative agricole
la saison bat sont plein avec la moisson.
Malgrés la journée bien remplie ,

il devait être 2 heures du matin, et je me mis en quête d'un mec pour agrémenter ma nuit. Je prends donc ma voiture et j'entreprends d'aller  à la ville voisine ,directement au rempart (haut lieu des rendez-vous nocturnes homo). Ce lieu ne me plait pas vraiment mais il se peut qu'on tombe sur un mec mignon à qui je proposerai systématiquement d'aller chez moi car je n'aime pas trop faire l'amour en plein air, exposé à tous les mateurs.

Seulement, ce soir là, il n'y a désespérément rien,
Dépité, je rentre donc en voiture et je croise une silhouette assez petite et brune, un petit mec d'allure jeune qui marche sur le trottoir dans l'autre sens. Visiblement pas motorisé, il remonte l'avenue, déterminé à rejoindre son logement à pied. Seulement voilà, je ne suis pas dans le bon sens pour lui proposer (non sans arrière-pensée) de le ramener ou de l'avancer. J'attends donc de m'éloigner puis, je manœuvre et remonte doucement dans le même sens que lui. J'allais ralentir à sa hauteur quand, divine surprise, il tend le bras et le pouce pour faire de l'auto-stop.

Je m'arrête un peu plus loin, il court vers ma voiture, Ses traits sont juvéniles (il me dira plus tard avoir 17ans) Il est pas très grand, 1m65, il ne doit pas peser plus de 55kg tout mouillé !

S'engage la conversation, je lui indique avoir fait un tour « au rempart » et qu'il n'y a rien ce soir... Surpris il me demande naïvement ce qu'il y a d'habitude au rempart. Je lui réponds l'air faussement confus que je suis hétéro et gay a la fois et que j'étais venu chercher un mec, tout en m'excusant de la situation. Pas le moindre du monde gêné, il m'indique être en fac de médecine et commence à débattre sur l'homosexualité tout en reconnaissant ne jamais avoir essayé.

Tu n’a jamais essayé ……?..

Alors je me lance et lui propose de l'initier, ce qu'il refuse ,mais ne s'insurge pas contre ma proposition pourtant directe.
 Arrivé en bas de l'endroit indiqué, il s'apprête à prendre congé quand, en guise d'aurevoir, je lui mets (je ne sais pas comment j'ai osé) ma main sur son paquet en lui disant que c'était dommage de se quitter comme çà. Il me dévisage un instant puis approche sa tête puis ses lèvres, me roule une pelle mémorable, puis y prend visiblement goût en passant sa main sur la bosse de mon jean.
 Vite, je dois faire en sorte qu'il ne se ravise pas, alors je redouble mes ardeurs, lui malaxant gentiment le sexe et en introduisant mon doigt entre les boutons de son pantalon jusqu'à sentir le bout de son gland gonflé sous mes titillements.

La partie n'est pas encore gagnée.
 S'arrêter là serait pour moi frustrant. Mais pour autant il est hors de question de nous désaper dans la voiture, l'heure tardive n'empêchant pas que nous soyons surpris par quelques passants noctambules. Mais c'est lui qui me demande " ta proposition tient toujours ".
 __ bien sur on vas chez moi bien au chaud et je te redescend  aprés , je ne suis pas a 20km pret.
Alors que je conduis dans la direction de mon appartement, je maintiens ma main sur son paquet pour m'assurer qu'il ne change pas d'avis, ce qui ne sera pas le cas, bien plus, il me caresse de son côté.

Arrivé chez moi, je prends la peine de lui offrir à boire, " met toi a laisse on va prendre une douche pour enlever la sueur de la journée " . 
Afin qu'il se familiarise avec le corps d'un mec, je suis le premier à être entièrement nu. A la sortie il remis son slip par pudeur.
2001-inconnu.JPG

puis je l'invite directement en lui tenant la main à l'étage au dessus ou le lit, déjà défait accueil nos deux corps enlacés. Je ne perds pas de vue que je dois impérativement songer à lui procurer du plaisir, plus qu'à moi même de façon à ce que son expérience soit suffisamment agréable pour y revenir (et de préférence chez moi !).

J'ondule mon corps sur les draps sous ses caresses un peu hésitantes tout en l'encourageant de ma main à travers son slip gonflé.

Je lui r’enlève rapidement le slip pour éviter un geste de recul de sa part due à une appréhension quelconque.
 Mais je n'oublie pas que c'est moi l'initiateur.
 Alors, j'attrape à présent son sexe (qui me semble grand par rapport à lui) dressé avec ardeur, recouvert à demi par un prépuce régulier, je ne manque pas de lui dire ce que je fais en détail. 
Il semble autant apprécier que être intéressé. Les travaux « pratiques se succèdent », sa langue fouille la mienne, nous sommes en tailleur face à face, il calque ses gestes sur les miens tout en se roulant des pelles sensuelles, je lui masse ses frêles épaules, assis sur moi, les jambes entourant mes reins, nous conservons suffisamment d'espace pour rouler nos glands entre nos doigts. Ses pieds nus sont croisés dans mon dos. Des épaules, je descends sur ses hanches, je le porte sous les fesses, nos sexes l'un contre l'autre entamant un mouvement de va et viens.

Je sens qu'il peut jouir d'un moment à l'autre. Je ne le souhaite surtout pas : On a vu souvent des jeunes mecs, assouvissant une expérience nouvelle, se rhabiller illico et partir sans crier gare. mais bon il est a 20km de chez lui aors je pense que ça sera pas son choix. 
Je lui apprends donc à sucer en me mettant sur le dos dans une position qui ne laisse aucun doute sur ce que j'attends de lui. Timidement d'abord, un peu maladroit, il m'embrasse le gland, puis prend ma hampe toute entière. Je crois que c'est ses gestes maladroits, plus sa douce chaleur de son gosier qui commence en fait à me donner un plaisir sans limite.
 Pris à mon propre jeu, je dois déployer tout mon self control pour ne pas jouir. 
De mon côté, je me garde bien de le branler, le frétillement de son chibre ne me laissant aucun doute sur son état. Je me contente donc de pincer affectueusement ses couilles tandis que, à quatre pattes, les jambes écartées, il continue à s'exécuter. 2001-inconnu2.JPG

Ne sachant pas s'il serait plutôt actif ou passif, ne souhaitant pas le traumatiser avec une sodomie, je souhaite simplement lui faire découvrir à présent les sensations qu'il pourrait tirer de sa rosette. 
Sa position en levrette étant idéale, je lui lèche le cul tout en le branlant doucement pour que son attention ne soit pas focalisée. Je le rassure en lui disant " je ne te prendrai pas ce soir, sauf si tu le souhaite  " (sait-on jamais !). Je lui dis tout de même " je vais te goder gentiment  ": Je lui montre l'objet de dimension très modeste. 
Alors ça te dit?
" oui je veus bien essayer " dit-il timidement.
L'enfilade se fait moins d'une minute après,  sur le dos, ses jambes relevées, de façon à ce que je puisse à la fois enfourner du gode, lui rouler des pelles et le branler. 
Toutefois, la surprise lui a fait débandé légèrement le chibre et je sens son inquiétude même si...... il donne par ses gémissements des indications de plaisirs.

Pour le soulager, j'arrête la séance en lui annonçant  " tu viens de te faire dépucelé ", ce qui est une agréable surprise pour lui puisqu'il ne l'avait pas envisagé ,mais lui précisant  " qu’une bonne pine c’était. meilleur " Rassuré, il se remet à l'ouvrage de la branlette. Moi je n'en peu plus. Il rebande de nouveau

je lui enseigne le 69 que nous exécutons avec un style différent. Je sens là son manque d'expérience mais cette jeune bite tendue peu poilue vers ma bouche gourmande me régale de sa liqueur naissante au bout de son gland. Il doit sentir la même chose de moi car il ponctue sa pipe de bruits de bouche, manifestement il apprécie.

Les soubresauts de sa queue m'indiquent qu' un flot de liqueur risque de m'inonder le gosier.
 Moi cela me plairait mais lui, je ne suis pas bien certain ,le novice accepterai-t-il d' absorber le sperme chaud.
 Donc je pris un parti classique : Je lui propose " je te suce afin que tu jouisses dans ma bouche, et toi  tu me branles jusqu'a ma jouissance ".

Tête-bêche je m'appliquais à honorer sa belle bite, déployant tout mon art, décalottant, repositionnant, suçotant l'objet de ma convoitise, ce qui ne pris pas bien longtemps. Il était essentiel que je me lâche en même temps, tandis que ses vas et viens se font de plus en plus saccadés, tant dans ma bouche que le mouvement de sa main sur mon chibre. Je reçois son premier flot dans ma bouche pour me libérer de mon côté et cracher dans sa main mon jus d'amour tandis que je m'enivrais du sien. Je ne sais lequel des deux hurlait le plus fort en explosant littéralement.

Il  sendormit dans  mesbras ,passa la nuit et le matin ,au réveil comme tout homme bien constitué les mats se dressaient." Tu as bien dormi "  me dit-il?

Extra et toi ?

Je me suis assoupi très vite comme toi , puis se me suis réveillé et comme la veilleuse était resté allume j’ai admiré ton corps , je n’avais jamais été allongé prés d’un mec.

Avec un grand sourire ,il ajoute « mais tu bande en dormant ».

Normal quand un jeune minet approche sa bouche au dessus et souffle de l’aire chaude.

Gêné il balbutia « je ne voulais pas déranger » et " j’ai eu une trique d’enfer et cela m’a permis de comparer avec toi ".

Puis je me suis endormis .j’ai rêvais…….

Explique , dit moi tout ……

Il porta ma bite a sa bouche et me dit " la leçon était bien mais elle n‘était pas fini ".
Il enjamba mon corps et présenta son cul au bout de ma bite .

" Tu en veux " lui demandais-je . C’est ça ton rêve?….Alors vas jusqu’au bout….

Oui c’est pas ce que tu voulais en m’en menant ici ?

je lui répondis par un sourire.

Je lui dit  " prend le tube de gel sur la table de nuit et donne moi le ", je lui  en mis sur sa rosette en la travaillant avec un doigt pour la préparer.

Maintenant c’est a toi !

vas y laisse toi descendre doucement

2001-inconnu3.JPG

mon gland franchit le passage ,il se cabre hésitant d’aller plus loin , 
il transpire respire très vite mais n’ose plus bouger alors je prend en main ses couilles et les sert avec force , il se met a hurler et s’empale ma queue jusqu’au fond de lui, se penche sur moi et me roule une pelle, puis se redresse et commence des va et vient ses mains sur ma poitrine il malaxe mes tétons comme un dieu 
, je ne peu résister et lui déverse mon sperme dans ces entrailles ce qui lui fit prendre encore plus d’ardeur.
 je le branlais et m' éjacula sur moi ,il fut gêné 
" ce n’est rien " lui dis-je  " maintenant avec ta bouche ramasse ce jus et garde le dedans en suite tu me roulera une pelle pour que je puisse goûter , moi aussi a ton nectar ".
 C’est ce qu’il fit et ajouta « exactement comme dans le rêve! ».

Nous primes un petit déjeuné et repartit .

Tout d'abord sans nouvelle de lui, je me demandais pourquoi ce silence…

il revint tout penaud quelques jours plus tard, m'avouant ""j' avais essayé de voir au rempart et un bourrin m'a abordé et sauvagement enculé sans autre forme de procès ".

Les jours qui suivirent furent merveilleux. . Depuis ce jour, je pris plaisir à le « clouer » sur le lit tandis que, ses petits cris étouffés dans l'oreiller, les hanches relevées, il accompagnait de ses mouvements de sa croupe , le mouvement de mes reins au plus profond de son intimité.

Un jour je pourrais le faire avec toi ?

Faire quoi ! Dit….

Ben! te défoncer par

dit…

.

Pas de problème je suis a toi quand tu veux………mais quand ? 


Dans les semaines  en mai le 17  ( je m'en rappelerai longtemps  ) dans une soirée dansante je remarqua 2002-sebastien.jpg  son regard me fit bander immédiatement et n'hésita a venir me voir et m'invita a boire un verre ,puis 2 , puis 3 , et la soirée se termina dans mon lit un baiseur hors norme qui donnait autant qui'il recevait. toutes les semaines on se retrouve depuis un lien fort entre nous.



Juillet 2002

J'aurai 57 ans a la fin de l'année , mon trip c'est les hommes très jeune , l‘adolescence ,de la perversion la plus totale envers ces jeunes corps (un don de la créature).

Mon domaine quoi !

Ma meilleur amie s'appelle Sara, on fréquentait la même école primaire, une fille très gentille, elle a le même age que moi, c'est la première personne à laquelle j’ai avoué mon homosexualité.
Un jour elle décide de m’inviter ,et a une copine Nadia du même age que nous, chez elle, dans une somptueuse villa au bord d'une plage réservée au militaires, car son mari est dans l'armée

Nous arrivâmes vers 20h30 ,Nadia et en plus mon  neveu Fernand 17 ans qui était en vacances chez moi (ne voulant pas le laisser seul) sachant que Sara avait chez elle son petit fils Serge.
2002-serge.JPG Alors que je garais la voiture, un grand jeune homme , dans les quinze ans , cigarette à la bouche, chemise ouverte venait nous accueillir , avec un regard très vicieux .

(Sara nous a racontera qu'il amenait des jeunes filles à la maison pour les baiser)

- Bonjours . vous êtes les amis de Sara , ma mère ,n'est pas ?

Bienvenus je suis son petit fils Serge ,16 ans!

__- Merci Serge enchantés.

__Voici Nadia une amie d’enfance de ta mère et Fernand mon  neveu a moi.

Par besoin de dire que Mr (Serge) m’a tapé toute de suite dans l'œil.

Mais apparemment lui était plus attiré par notre amie de classe « Nadia » (normal pour un Hétéro !), et Nadia, allumeuse comme elle est (malgré son age), n'arrêté pas de le fixé du regard.

Après un Bon dîné arrosé, ( sans le mari de Sara bien sur) une ambiance très détendue s'est installée, vers 01h00 du matin, on a commencé vraiment a être fatigués et soûls en plus, Nadia nous a quitté pour sa chambre, Fernand et Serge aussi.

Une demi heure plus tard…

J'ai souhaité bonne nuit à Sara avant de rejoindre ma chambre au 3eme étage. Lorsque j'ai entendu un bruit étrange dans une chambre pas loin de la mienne, j'ai décidé alors de jeter un coup d’œil, vue que la porte été ouverte, le bruit se transformait en gémissements.

Et là je découvris un spectacle inattendus :

Mr (Serge) entrain de défoncer à quatre pattes chatte de Nadia,
 j'y suis resté bouche bée il n‘avait pas perdu de temps! . 
Je me croyais entrain de regarder un porno ! Nadia, la poitrine entre les mains d’un hommes très jeune , la jupe en l'air, avait l'air de bien prendre son pied, la situation commençait a m'exciter grave ! Je sortis ma bite et je commençai a me masturber, Nadia soûle comme jamais, criait :

« Va s'y Baise ma petite chatte, mon minet . Éclate moi je suis ta salope !!! » 1fille-10.jpg

Ça a duré comme ça pendant quelques minutes, quand soudain Mr (Serge) m'a aperçu,
 il a murmuré des mots à l'oreille de Nadia qui à son tour me regarda.
 Mais bizarrement ils n’ont pas arrêté de baiser. Mr (Serge) me lança un regard viril et chaud.. .il continua à la baiser en me fixant du regard, c'était une invitation claire, alors j'avance un peu à l'intérieur et je lui montre que je me masturbe en me doigtant le cul. Il me fait signe alors de m'approcher, je m'exécute, et je me dis, enfin je vais passer un bon moment.

Nadia est encore a quatre pattes quand j'arrive, lui il me prend par la nuque, et il sort sa queue de la chatte dilatée de Nadia, sa queue était fine, avec une grosse tête de Zob (inhabituel a son age), il prend sa bite puis il crache dessus, et me demande le sucer :

. Allez va s'y mon PD, avale cette bite de cheval !

Je prend alors sa queue entre mes deux mains, et je commence à la dévorer comme si c'était ma première pipe, je montais et je descendais toute au long de sa long tige comme un excité, .

Si tu veux je te la fais entrer dans ton cul après, alors ?

Il se retourne vers Nadia, et lui demande de m'aider a sucer sa queue, elle crache sur elle, et tout les deux nous commençons a le pomper a fond, elle léchait la tête, et moi je m'occupait des ses grosses couilles.
 Le (jeune Serge) nous doigtait le cul et la chatte. Après une bonne pipe, il nous met tout les deux à quatre pattes devant lui et nous demande d'écarter nos fesses.

. Allez mes Salopes, maintenant vous allez découvrir la jeunesse !

Il commença par la chatte humide de Nadia, elle hurle de plaisir, quand il la pénètre à fond

. Oh Mon Dieu ! Cette queue est gigantesque !!!

Il la baise pendant 5 longues minutes, après il se retourne vers moi, pour me mettre son arme de destruction massive dans mon petit trou d‘homme mur, et il commence à me baiser. 
C'était l'extase, je sentais une long tige franchissant le trou de cul, je commence à sentir le plaisir envahir mon corps, je crie comme un malade, quand il commence à me donner des gifles au fesses.

Nadia était entrain de lui lécher les couilles, il décule et se retourne vers elle pour l'enculer a nouveau elle aussi. il nous a baisé et enculé dans toutes les positions pendant 2 heures, il ne m’a même pas laissé me masturber, une vrai machine à sexe a 16ans.

Alors qu’ il me défonçait comme une bête, il a vite sorti son engin, et nous demandé de recevoir son foutre. Nous avons exécuté vite les ordres du (jeune Serge) en se plaçant au dessus de sa queue qu'il masturbait, pour enfin envoyer sur nos visages des giclés de spermes chaudes et crémeuses, il criait comme un fou !

Après avoir nettoyer sa queue et couilles des restes de spermes, notre maître s'est rhabillé vite pour rejoindre sa chambre.

Passant sur la pointe des pieds devant la porte de la chambre de sa mère , restée entre ouverte. il y entendit des gémissements , il poussait la porte et devant lui sa mère se faisait bourrer le cul par mon  neveu Fernand.

Il entra , se positionnant devant sa mère , lui dit « c’est bon la jeunesse , alors bouffe ça » et sa queue entra dans la bouche de sa mère , tout en limant Fernand d’une main experte fouinais la chatte et Serge sa bouche les deux jeunes s’embrassaient goulûment.

Une semaine après,
 Nadia sous le poids du remord, raconta a Sara " j'ai couché avec ton petit fils " sans aucun détaille ,mais heureusement pour moi, elle ne lui a pas dit  que j'avais participer..
 Sara sous le choc dit « et moi donc le  neveu de Simon » , 
Nadia ajouta "pour son age ,il baise aussi bien que Simon "
Sara répliqua " ah! bon Simon te baise aussi
OUI 
on a au moins garder un point commain (baiser avec notre meilleur copain d'école)
heureusement André mon mari n'en sais rien


moins sure, mais ça, …………….c'est une autre histoire.

A la fin de l’été

En sueur, je me déshabille et entre dans la douche.
Il est 17h30, mon fils vient de partir à l'entraînement de foot, et reste à la maison son pote Victor qui joue sur la playstation, et qui l'attends pour aller au ciné avec leurs deux copines à 22 heures.
Ma femme est partie chez des copines pour une soirée entre gonzesses.
Je me retrouve donc seul avec ce jeune mâle de 18 ans.
 En me savonnant je pense à lui, à son corps bien sculpté par le sports, à ce sourire ravageur, à ses poils bien noirs, à ses bras puissants.
Je l'imagine allongé sur le lit de mon fils absorbé par un jeu débile.
Puis soudain, on frappe à la porte de la salle de bain :
- c'est Victor «  m'sieur quelqu’un vous demande au téléphone » .

_Vous pouvez venir ?

Avec un peu de vergogne, je décide de le mettre mal à l'aise, je sors de la douche et tout nu comme un vers je me dirige vers le salon pour prendre mon correspondant.
Je vois bien que Victor devient rouge de honte et se détourne de ma nudité, mais bizarrement il reste là au lieu de retourner dans la chambre de mon fils.
Pendant que je discute avec mon correspondant je me touche le sexe ce qui a pour effet de le faire grandir rapidement.

Je fais mine d'avoir oublié le jeune Victor qui ne sait plus quoi faire.
Je vois que son jean prend des volumes au niveau de son bassin.

Une barre maintenant traverse sa braguette de part en part.
La conversation téléphonique s'éternise et mon jeune ami est de plus en plus mal.

Il décide de se mettre torse nu et retire ses chaussettes.

Je le regarde avec un air sévère pour le décourager, mais Victor reste en jean et s'étire vers l'arrière faisant jouer ses abdos et tous ses muscles.

Un filet de poils bien noirs part de sa braguette et s'arrête juste en dessous du nombril. Le filet est court mais très fourni.
Ma bite est maintenant à l'horizontale, battant lourdement au rythme de ma conversation.

Elle a des dimensions correctes 18 cm sur 6. Mes couilles à cause du froid se sont resserrées sous ma queue et la chair de poule envahit mon corps.
Victor a retiré son jean et reste en boxer short bien entrebâillé au niveau de la braguette.

Avec indécence je prends ma bite et la tape sur la table de la salle à manger, mon interlocuteur va terminer et je raccroche assez essoufflé.
Victor s'approche de moi et introduit ma bite dans son boxer en rejetant sa tête en arrière. 
Je sens la chaleur de son corps sur ma bite et ses poils soyeux chatouillent mon gland décalotté !
Je ne touche ce jeune mâle qu'avec ma bite mais cela me procure des sensations extraordinaires.
Je m'appuie en arrière sur le buffet et décide de rester passif !
Victor commence à me pincer les seins, et à introduire un index dans ma bouche pour l'humidifier ; ce mec est dingue parce qu'il pose de suite son doigt mouillé sur son anus pour le pénétrer sauvagement.
J'écarte mes cuisses pour lui faciliter le travail, maintenant il me pistonne avec son index et ça commence à me chauffer le cul.
Je l'entends   marmonner «  sale pédé, je vais t' en donner moi de la bite » .
Il se relève descend son boxer et m'appuies sur la tête pour que je le suce.

Sa bite est plus grande que la mienne, ce qui me complexe par rapport à mon âge, mais ses bras puissants m'obligent à le sucer jusqu'au bout !
Ce jeune gars est viril au possible.

Il bouge son corps pour me pénétrer la bouche comme si s'était une chatte baveuse.
De temps à autre il ressort sa queue et me flagelle le visage avec.

Mais j'ai décidé de ne pas me laisser faire par ce type bien trop présomptueux.
Je me relève brusquement, le retourne et me mets à lui bouffer son petit cul bien serré.

Il est vraiment bien velu et entre les couilles et le cul, une forêt de poils sentent fort la transpiration.
Ma langue force le passage de son anus et il commence à haleter fortement, j'introduis un doigt, il pousse un petit cri, je tourne le poignet et ressortant mon doigt pour bien le travailler, il crie à nouveau et j'introduis deux doigts.

Il essaye de retirer ma main, mais je ne cède pas et travaille son cul.
Ses muscles jouent sur tout son corps il est magnifique, la sueur perle partout et son corps luisant va me pousser à l'enculer.
Je crache sur mon gland une salive bien épaisse et en lui écartant les fesses, je lui demande : tu es bien majeur Victor ?

Quand il me réponds oui, je force le passage de son anus serré et d'un coup l'encule jusqu'à la garde.

Il panique, il me dit « arrête j'ai trop mal » ,

je lui dis «  panique pas je vais te niquer » ,

Ce jeu de mot me fait rire, lui non,

après 1 minute, je le prends par les épaules et je me mets à l'enfiler avec rythme.
Il beugle tout ce qu'il sait mais ses plaintes se transforme rapidement en gémissements, du liquide coule le long de ses cuisses poilues, ses cuisses sont bandée à mort, il est beau dans l'effort et la soumission, je caresse son torse mais refuse de toucher à sa bite qui bat contre le dossier du canapé ;
Je sens le sperme qui effectue son trajet je long de mon corps, j'étouffe un cri et balance toute la purée dans ses entrailles jusque ici vierges.
Il pousse un OOOOHHHHHH! et je vois du sperme couler le long du canapé.
Je me retire lentement de son cul, il beugle encore une fois , se retourne et me décoche un direct à la mâchoire.

Victor s’excuse aussitôt et retombe sur le dos

Il est la sur le lit , bandant comme un cheval 2002-victor.JPG En me disant « putain c'est la première fois mais qu'est-ce que c'est bon et  Je ne suis pas pédé mais franchement c'est extra» ..
Je me relève, lui prend sa bite dans la main et ainsi le tire vers la douche
Pour le laver entièrement, j'insiste sur son petit trou qui me paraît bien ouvert.
Épuisé , nous avons remis nos vetements ,on s'installe avec des bd sur le canapé du salon et on attends mon fils et les deux copines comme si de rien n'était.


En partant

ce vicieux Victor me mets la main au paquet discrètement en me clignant un oeil.

 


Pas mal ce petit mec hétéro et sa copine est mignonne 2002-lacopinedevictor.JPG

en octobre
 je fis convoqué au bureau du DRH   2002-joel.JPG en vue d'un entretien pour la retraite apres de longue négociations ,allongé sur le burau je pompais le DRH en lui doigtant le cul , en suite il me defonça la rondelle en me disant 'OK t'es bon je te mets en retraite a condition que tu viennes dans le mois avec ton remplaçant un bon baiseur de préferance"
_ok je vous prend au mot je reviens dans un demi heure avec le candidat.
_si tu dis vrais je te met une prime supplémentaire.
comme convenus je reviens avec Eric il aura ma place et moi la prime. 2002-eric.JPG

Par simon - Publié dans : ma vie
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Dimanche 28 octobre 7 28 /10 /Oct 14:55

1999

sur mon répondeur

« Bonjour, je me présente .

Je suis brun, j’ai la peau mate, je mesure 1.80m, pèse 82kg.
. Je suis photographe et j’étais chez ton ami Matthieu hier soir. Il m’a montré ses photos de vacances sur lesquelles tu apparais. Il m’a semblé que tu pourrais être un modèle très intéressant pour le travail que j’effectue actuellement : je fais du noir et blanc, je travaille avec des modèles débutants virils. Il faudrait que tu poses en sous-vêtements. Est-ce que ça te brancherait, c’est rémunéré ?
»

1999-romain.JPG

J’ai tout d’abord été très surpris. Je suis plutôt joli garçon et bien fait (malgré mes 54 ans), mais on ne m’avais jamais fait ce genre d’offre

. Cependant, intrigué par cette proposition et par la voix chaude de Romain j’ai finis par accepter. Ce n’est que ce week-end que nous avons pu nous voir.

Samedi, 15h, boulevard Raspail
Je sonne à la porte du studio de Romain. Je me demande vraiment à quoi il peut ressembler…
Ca y est, il ouvre. C’est d’abord un sourire éclatant que je remarque. Il est brun, à les yeux verts et une très belle silhouette Il porte un T-shirt blanc moulant qui le met en valeur et un jean déchiré mais qui révèle un beau cul. Je suis sous le charme.
Après quelques phrases de politesse, nous commençons à travailler.
« Voyons voir, ce que je pourrais te faire porter… Tiens, mets ça »
Il me tend avec un air malicieux un classique slip blanc CK taille basse.

« T’occupe pas de moi, je change ma péloche. Et puis, on est entre mecs ».
Je finis par me désaper complètement. Je sens qu’il me mate du coin de l’œil. 
J’ai un début d’érection. 
« Mais dis moi, tu es en forme ! ». 
Je me tourne pudiquement vers le mur. Il rigole.

« C’est pas grave tu sais, j’ai l’habitude de ce genre de spectacle ».

Et voilà, c’est parti. Il me fait prendre différentes poses.

« Pourrais-tu te mettre face à la fenêtre maintenant s’il te plait ? »
Il se rapproche de moi. Je regarde dehors et je sens de mains puissantes qui se posent sur la cambrure de mes reins et son souffle chaud dans ma nuque. 
« Cambres toi, il faut mettre en valeur ce joli petit cul ! ». Il me positionne et il me donne une tape sur le cul.
Mais il me semble qu’il s’était un peu attardé.
Il prend quelques clichés.
« Ca te ne te déranges pas si je te demande de baisser un peu ton slip ? ».
La proposition me surprend et de nouveau, j’ai un début d’érection. 
Et le fait de me tortiller devant lui en faisant un début de streaptease n’est pas là pour me calmer.
Surtout que Romain me siffle et me dis :
« T’as fais ça toute ta vie allumeur ! On va continuer alors ».

Et avant que je n’aie eu le temps de réagir, il me baisse entièrement le slip qui retombe sur mes chevilles. 
Me voilà donc la bite à l’air, maté par un mec qui me prend en photo et devant une fenêtre (heureusement, on est à l’avant dernier étage) .
 Je remarque un autre mec en peignoir en train de me regarder depuis l’immeuble en face. J’ai grave la gaule, je mouille, c’est intenable. Les 18 cm de ma bite frotte contre la fenêtre, ce qui m’excite le gland encore plus.

Et ce n’est pas fini ! Romain m’empoigne la bite et commence à m’astiquer violemment.
Il frotte sa bite contre ma rondelle. Il a enlevé son T-shirt et je sens un torse poilu se frotter contre mon dos. Je vais cracher la purée dans deux secondes s’il continue ,me dis-je.

Il s’arrête, mais il m’appuie complètement contre la fenêtre et commence à me lécher le cul.
De l’autre côté de la rue le mec a ouvert son peignoir. Il est jeunes ( tous juste la vingtaine ) et gros. 
Il commence à se branler ! Ce côté voyeur m’excite encore plus. 
J’ai envie de lui faire profiter au max. de la situation.

Pendant ce temps, Romain me détend la rondelle. Il fait pénétrer sa langue dans ma raie. Il me masse les couilles et l’espace entre elles et l’anus. 
Je me retourne,et  le relève.
Il est vraiment canon. Je défais son pantalon.
 Sa bite jaillis dès que j’ai ouvert les 1ers boutons : il ne porte rien en dessous. 
C’est un bel engin. 
Elle ne dois pas être beaucoup plus longue que la mienne, mais qu’est-ce qu’elle est épaisse !
Je me jette dessus, je l’avale entièrement. Il donne de bons coups de rein et je manque de m’étouffer à chaque fois ! Je me retourne et m’appuie sur la fenêtre.
Il commence à m’enfoncer sa bite dans le cul, d’abord doucement, puis d’un coup sec, il me la rentre entièrement. Je pousse un cri de douleur et de plaisir mêlés. Il s’active pendant 10 bonnes minutes comme un malade derrière moi.


Il masse mon cul et mes cuisses poilus, s’attarde sur les tétons de mon torse…
Pendant ce temps, le mec en face est toujours en train de se branler.
Romain finis par lâcher son foutre dans mes entrailles et un ultime coup de rein qui me fit jouir à mon tour. J’évacue mon sperme violemment et celui -ci vient s’éclater contre la vitre !

En face, le mec se finis. Il n’a pas perdu sa journée le salaud !
La séance de photos s’est achevée par une petite douche à deux…
Et Romain m’a proposé de faire des clichés érotiques ou pornos ici la 1ère 1999-simon.jpg








Pendant les vacances Romain le jumeaux ( vous en souvenez 1969 mes amis Joseph et Fatima , sinon allez relire....) est vevu passer quelques jours et n'oublia pas de me rappeler  que c'etait moi son créateur. 1999-romain2.JPG




2000

 pour la nouvelle année mon neveux a invité tous ces copains (voir les copains 2000)

2000-nouvelan.JPG

Que la nuit n’avait toujours pas épuisé.
mais noublia pas de leur donner rendez vous en novembre pour mes 55 ans 

Novembre arriva vite Ah! oui mon anniversaie.
A cette occasion j ‘ai invité toute la jeunesse avec qui je fornique souvent , ils sont tous venus , certains ont pris plaisirs d ‘amener des copains et des copines comme dit mon neveux Thierry « pour un papy baiseur , plus on est de fous plus on en prend dans le cul » et il ajoute « a 55 balais il n’est pas a une bite prés ,son cul a n’a vue de toutes les couleurs et son copain Nicolas ne me contre dira pas! ». 2000-nicolas.JPG

Cette soirée là nous nous retrouvions plus de 30 invités allant du plus jeune 16 ans a 50 ans.

Le champagne coula a flot. Les langues se mélangèrent , les vêtements volaient dans tous les coins .

une vrais orgie .

Les jeunes avaient fait fabriqué un énorme gâteau en forme de bite avec des couilles magnifiques en moka et crème au beurre. 2000-micheline.JPG

Tous le monde en mangeait , certain le gâteau et une bite dans la bouche , d’autre se servait de la crème au beurre pour sadomiser le voisin peut importe l’age ils bouchaient tous ce qui ressemble a un trou ce jour la les 3 copines avaient connue le dépucelage .

j’avais le cul ouvert comme un garage tellement qu’a toutes les occasions une queue l’avait pénétré ,il mon même enculer avec une bouteille de champ. (elle ne rentre pas assez loin ,le petit Richard descendit a la cave chercher un bouteille de vin d’Alsace et me le fit entré presque entière ,lubrifié par la crème au beurre ,entrée puis ressortir plusieurs fois et quand ils la retirent définitivement mon cul resta ouvert ce qui les fit rirent aux éclats avant de me remplirent le cul a nouveau du reste du gâteau et avec leurs langues allèrent le récupérer.

Quel anniversaire !!!


Ce fut ainsi toute la nuit….

Au petit matin je retrouva
2000-lespetits.JPG
Tous le monde se quitta sauf que le petit Thierry était resté avec la copine Micheline pour partager avec moi d’autres plaisirs.

2001

René 30ans marié livreur mon neveux Cédric lui donne ses étrennes    





les mois passent  tres vite sans trop folie et a la veille de ma fête (déja)

En ce jour 27 octobre a 9 heure du matin je prenais mon petit déjeuner , on frappe a la porte ,sans ma soucier de qui ça pouvait être , je dis entrée.

Deux jeunes gaillards (la vingtaines environs) entrent , referment la porte et disent ensemble « c’est pour le calendrier des poubelles vous en voulez un? ».

__Oui bien sure , vous prenez un café avec moi?.

Le plus jeune des deux dit « je préfère un jus d’orange si vous avez » et l’autre ajouta « moi un café ».

__Ok! Je vous prépare ça.

Je me leva de la chaise pour les servir sans penser que ma nudité pouvait les gêner.

__Oh! Excusez moi , je n’ai pas pensé que j’étais a poil , maintenant vous avez vu il est trop tard.

Le plus jeune était devenu rouge et ne savait pas ou mettre les yeux.

Son copain que ça n’avait pas choqué lui dit «  alors petit t’a jamais vu un mec a poil ».

Non dit-il je suis fils unique et je ne connais pas mon père je vie avec seulement ma mère.

Ils étaient resté debout ,je leur dit « mettez vous assis je vous serre de suite » 
 Mais j’avais aperçue que le jeune avait la barre dans son jeans.

J’apporta le jus d’orange et m’approcha du petit ,en retirant ses mains de dessus la table me touche le sexe.

Excusez dit -il

__Pas grave tu peux toucher ,
Alors je prend sa main et la met sur ma queue , son copain se mis a rire et me dit « regardez comme il bande »

Je lui dit «  ta jamais touché un bite a tes copains d’école »

Non

Et tes copains ! …jamais touché la tienne et les filles.

Non …Si… mais je partais je ne voulais pas et les filles m‘attirent pas.

Tu as eu tord dit son copain de travail en lui ouvrant la braguette du jeans pour libérer le mat le temps que je préparais son café.

Son copain se mis a le sucer , alors j’approche ma bite de sa bouche et lui dit « fait comme lui » , ma queue entra dans sa bouche et se mis au travail ,un peu gauche au début mais il prit le rythmes

2001-guillaume1.jpg

Je voulu faire connaissance et lui demanda son prénom et son age.

Il me répondit entre deux Hummmm « Guillaume …… hummmm…..19 ans » et son copain fit de même « ah..hum….Gérard….hummm…..20ans dans huit jours ».

__Ta mère , elle ….tu la vois a poil et elle t’y a déjà vue?

Hummm…… bien sure quand je prend une douche Hummm…..elle me frotte et elle hummmm… rie quand je bande……mais sans plus…..

__Elle ne t’a jamais demandé de baiser avec elle?

Heu!….Non…..je n’oserai pas!

__Demande lui de t’apprendre a aimer une femme? Comme ça tu pourrais voir ce que c’est l’amour et je pense qu‘elle sera ravis de t‘initier.

Heu!… j’y penserai !…..hummm….extra …. Hum….

Je frotter ses cheveux il me pompais ,puis il lâchait son jet dans la bouche de son copain qui ne s’y attendait pas.

Gérard en avait plein la bouche , je lui dit alors «  boit ton café ça fera un café crème! ».

Je pris le verre d’orangeade et en versa sur mon ventre , le liquide descendait lentement et suivi la verge pour couler dans la bouche de Guillaume. Celui ci redoublait son pompage et voulais plus ses mains se promenaient sur mes fesses et ses doigts effleuraient ma raie ,j’écartais les jambes pour lui faciliter le travail et Gérard s’y mis aussi mon cul commençait a réagir sous tous ces doigts .

Gérard passa sa tête entre mes jambes et se mis a me bouffer les couilles ce qui déclencha mon éjaculation dans la bouche de Guillaume.

Bergue!!mais c'est tiède dit-il apréavoir avalé

__Excuse j'ai pas eu le temps de t'avertir

Pas grave mais putain c'est vachement bon

Nous finîmes de prendre notre petit déjeuner et leurs fixant rendez vous pour samedi soir .

Le jour arriva seul Guillaume était venu.

Nous parlions de tous et de rien jouant avec nos bites comme des enfants.

J’ai parlais avec maman dit il , elle voudrais bien te rencontrer car elle veux connaître celui qui m’a donné une idée pareil.

Puis il ajoute on parie « si tu baise ma mère je te donne 100 € ».

__Parie tenue et si tu a le courage de défoncer mon cul en même temps c’est moi qui te les donne 

Il hésita un peut puis dit « Ok » demain je reviens avec ma mère vers 17 heures.».

Le lendemain…

Je baisais sa mère .

Guillaume m’encula pour encaisser le fric et eu droit a un bonus le cul de sa mère.

Avant de repartir elle dit « les relations mère et fils seront meilleur grâce a vous ».

Au dernières nouvelles elle se fait baiser tous les semaines par son fils qui me l’ a raconter un jour ou venu pour m’enculer …..mais c’est lui qui fut enculer car pour moi le partage doit être équitable…….

depuis je revois régulièrement Guillaume et parfois accompagné de sa mère……



au vancances de Paques

Mes neveux, (Thierry 18a et Laurent 19 ans) en vacances pour 2 semaines .

je suis rentre chez moi, mais je ne pensais pas voir ce que j'ai vue.

J'ouvrais le portail et passait par le sous sol, après m'être mis a l'aise et déchaussé, j'entendis un peu de bruit, la télé sans doute, Thierry devait la regarder.
 Par la porte du salon entrouverte, je pus apercevoir qu'il regarder un film porno (ceux qui était caché derrière les autres), gêné de le surprendre, je me fis pas voir d'autant qu'il n'était pas seul, son copain Éric était assis sur le fauteuil d'a coté, me sentant de trop j'allais me retirer quand on sonna a la porte.

Thierry alla ouvrir c'était un autre de ces copains (Romain) :
- Salut ! Ça va ? Tu veux rentrer, je suis avec Éric on mate un film de cul...
- Ouaiii… sa me branche !

Après quelques mots le film reprend. Chacun fait des commentaires sur les position des actrices et acteurs, ils ce marrent.
- Oh putain c'est excitant, si on se branlait en regardant, ça me donne envie ? dit Romain.
- Pourquoi pas répond Éric !
- Ok pour moi (répond Thiery) mais il ne faut pas salir !

Ni une ni deux les voila entrain d'enlever leurs chaussures descendre leurs Jean'S et caleçon la bite à la main !

Quelle surprise pour moi de les voir ainsi , se branler la queue, ça commence a chauffer dure

- Regardez la nana comme elle suce bien les 2 mecs !

- Après ils vont sûrement la baiser par les 2 cotés !

- Oh la pipe qu'elle leur taille !

- Je vais vous en faire autant !

Le voila agenouiller devant Thierry qui lui attrape la queue et le suce comme l'actrice.

Je n'en reviens pas, mon neveux ce laisse faire même il encourage !

- Oh ouai !super continue c'est bon !

Éric lui se branlait et impatient il s'était mis carrément a poil ! Et il se rapproche.
Vas-y Romain suce un peu Éric, regard comme il bande !
Il obéit et attrapa la queue (bel engin) pendant ce temps mon neveux se mit a poil aussi et lui enlève son T-shirt.

Ils étaient tous les 3 a poil, le film continuait, mais ils étaient tellement occupé a se faire du bien qu'ils ne le regarder d'un oeil.
Romain suçait toujours Éric qui tendait son cul comme si il voulait autre chose, moi j'étais sidéré dans mon coin, mais le trouble du départ se transformait en excitation, je me surpris à bander, 
Thierry alla chercher quelque chose, il revint avec une boite de capotes au moins il était prudent !

Il s'en enfila une et glissa sa bite (de bel taille), dans le cul de Romain qui gémissait de plaisirs.

Je ne savais plus ou quoi penser ou de me mettre mais j'avais envie de les rejoindre.

Mon neveux enculait un de ces potes ! Jamais je n'aurais penser ni imaginer ça, il y allait... je vous passe le vocabulaire, son copain Éric voulu essayer aussi, Thierry se retira, mais là stupeur !

C'est Romain qui retourna Thierry et après s'être mis rapidement une capote le fit pencher et l'encula à son tour !

Quel spectacle pour un oncle ! Éric lui a quatre pattes se mis en 69 avec lui Thierry le gobât avec plaisirs.

C'est alors que Romain regarda dans ma direction, je mis un doigt sur ma bouche pour lui faire signe de se taire ! Je me tripotais a travers mon caleçon et je crue que j'allais décharger tellement que j'avais la gaule !

Romain ayant compris que ça m'excitait de les voir en rajouta !

- Oh Thierry ! C'que tu as un bon cul, ont dirait une chatte ! Vas-y ouvre-le bien ! T'en veux de la bite ? J'vais t'en donner du zob, trémousse- toi,

Thierry grimaçait un peu mais il gémissait et soupirait fort.
- Vas-y Romain bourre moi bien, attends on va changer de position.

Thierry sur le dos, Romain le reprend pendant qu'Éric lui était en 69.
Romain abusait de ma complicité.
- -Tu te rends compte si ton oncle nous surprenait !

-si mon oncle me voyait je crois que….

--Il a une grosse bite comme toi ton oncle ?
Je n'en pouvais plus je sortis ma Queue et me branlait fort !

- -Tu as déjà vue ton oncle à poil ?

-Oui bien sur……

-- Entrain de bander ou de se branler !

-fait pas chier avec tes questions…..

--Et toi il ta déjà surpris en pleine branlette ?

- Arrête de déconner occupe toi de mes fesses si mon oncle me voyait je crois que ….il participerait peut être avec nous, le sais pas qu’est-ce ça peu te foutre……..baise plutôt mon cul….

Changement de position Éric prend Romain et l'encule après ce fut Thierry qui l'encula ils étaient là tous les 3 emmanché les un avec les autre !

Moi je me paluchais de plus belle et ce farceur de Romain me regardait de temps en temps en me faisant des clins d’œil.

Puisqu'il avait posé des question dessus il pouvait voir de lui-même comment j'étais gaulé il avait l'air d'apprécier et son excitation se faisait ressentir dans le cul de mon neveux!

Après la fougue des premier assauts leur baise devint plus lascive le films était terminer mais pas le leur, a présent ils ce sont séparé, ils sont là tous les 3 sur le tapis, ils se sucent a qui mieux mieux, et je sens la tension monter les bassins bouger plus vite, la sauce doit être imminente.

- Ah les mec je vais jouir ouiiiiiiiiiii,
- Ça vient aussi
- Je vais décharger ah !

Et je vois leurs 3 belles bites juter comme des volcans en feux et dans un dernier râle en commun ils jouissent les un sur les autres. Ça coule sur leur ventre (et c'est très beau) ils se caressent, se marrent ! Ils disent " faudra refaire ça ! "

Et moi je me suis branlé et je jouis en même temps qu'eux dans le creux de ma main comme au beau vieux temps ! Ils se dirigent maintenant vers la salle de bain histoire de se rincer.

Moi je m'éclipse discrètement, je ferai mon retour plus tard !

Ah ! Thierry …(prenant un air surpris) ..tu étais la avec tes copains ?

Oui tonton. ! On révisait de la géographie

Très bien !…..pour une fois que vous pensez a vos études…..

Ils se séparèrent et Romain en passant devant moi , me serra la main en poussant jusqu’à ma queue et dit « a bientôt monsieur ».

Avouez que ça valait le coup de tomber sur un si joli spectacle qu'il aurait été dommage de gâcher en me montrant !
Non ?
De toute manière j'ai eu une explication avec mon neveux le lendemain mais ceci est une autre histoire

Romain venait souvent rendre visite a mon neveux dans l’espoir de me trouver seul a la maison ce qui se produis y un jour .

Après des heures ensemble a nous dévorer nos bites ,le jus coula dans nos entrailles .

et là dans la porte de la chambre !!!!!

Thierry dit « alors Romain on se paye du bon temps avec mon oncle ».

Je répondis en même temps que Romain « on attendait plus que toi pour recommencer! »

Et depuis ce jour mon neveux et moi …….étions devenu inséparable  

Par simon - Publié dans : ma vie
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Jeudi 25 octobre 4 25 /10 /Oct 21:37

1996
Cette année là en vacance dans le sud de le Pologne chez des cousins a la campagne je partageais la chambre avec leur fils. 1996-yanick.JPG

Il était encore sous la douche quand je lui répondis « je suis ton mec approche ».

Le bonheur n’était pas dans le près mais dans mon lit , son petit cul bien serré laissa passer ma queue …..et retourna la situation pour goûter au mien (très nerveux le petit)mon cul s’en souviendra , nous fîmes dérangé par une visite inattendue 

1996-romuald.JPG  par son petit cousin venu en vacance également.

Donnez lui de la vodka ……… sa petite queue accentue le plaisir ,

Yanick l’a compris ( c’est du poulet ) dit -il

pour moi j’ai aimé les voir se défoncer comme des chien enragés.

1997

1997-marcelin.JPG



1998

  moi Simon 53 ans, et Anita, 48 ans,
avions repéré Farid (c’est ainsi que l’appelait son épicière de patronne) , sans connaître encore son âge, 25ans. Sa peau mate, son sourire, ses fossettes, sa gentillesse, ses frisettes mais aussi le beau paquet qui gonflait la braguette de son jean, lorsque nous l’apercevions entre les pans de la blouse bleue, nous avaient tapé dans l’ oeil.
Il travaillait à la supérette prés de chez nous : manutentionnaire, livreur, étiqueteur… C’est Anita qui m’avait chuchoté la première « t’as vu comme il est mignon ! ».

Oui j’avais déjà vu et ressenti l’envie de l’avoir nu, au lit, entre nous deux.

Elle aussi.
Aussitôt que nous nous l’avouâmes, sans difficulté aucune, il ne restait plus qu’à mettre le plan à exécution.
Chacun de son côté ou ensemble, chaque fois que nous faisions des courses et qu’il était dans les rayons, nous le mations, le regardions, le saluions en souriant.

Il devait bien se douter de quelque chose… Il répondait gentiment, un peu interloqué, avec un grand sourire éclatant qui illuminait son magnifique visage, ses yeux noirs, et nous excitait encore plus.
Plus allumés que jamais à force de l’imaginer nous bourrant les bouches, les anus et la chatte d‘Anita, un lundi après-midi que nous ne travaillions ni l’un ni l’autre, nous décidâmes de passer à l’offensive. C’est moi qui fus chargé de l’approcher pour qu’il nous livrât le plein caddie que nous avions rempli de commissions. Comme il n’était pas le seul livreur, je dus insister auprès de lui :
« Dîtes Monsieur Farid, on a tout ça à se faire livrer ma femme et moi et on aimerait vraiment que ce soit vous qui veniez ; essayez d’avoir un peu le temps, on a plein de choses à vous dire, à vous demander et peut-être à faire ensemble… ».
« Venez vite, on vous attend », ne pût s’empêcher de surenchérir Anita.
Il parût plus interloqué que jamais et sourit comme à l’accoutumée en nous regardant intensément.
__Ah bon. Pourquoi moi ?

Je vais voir ça. Je vais demander à la patronne . Sans attendre de réponse à sa question il fila vers le bureau ou sa portugaise de patronne, comptait ses sous…
Il revint moins d’une minute plus tard. « C’est bon ; c’est calme cet après-midi, je serai chez vous dans une vingtaine de minutes… »
« Ou ah super ! ». le même cri de joie nous échappa, à Anita comme à moi.
« On a votre adresse, je crois », ajouta-t-il…
« Oui, c’est juste en face, au septième, avec ascenseur rassurez vous… On y va. On vous attend. Venez vite… ». Je lui donnai aussi notre nom de famille.
Sans m’en rendre compte je venais de lui parler les yeux dans ses beaux yeux noirs, avec amour, désir, chaleur et il s’en aperçut sûrement… Il me regarda encore puis fixa Anita qui le dévorait aussi du regard, prit le caddie et partit en souriant, l’air rêveur, le mettre de côté…

Nous contemplâmes une dernière fois sa silhouette, sa prestance, son cul qui faisait bouger sa blouse, puis nous rentrâmes l’attendre.
Anita était aussi excitée que moi quand il sonna à l’interphone. 
Je vins l’attendre sur le pallier et l’aidai à sortir le caddie de l’ascenseur, le matant comme toujours, lui aussi souriant que d’habitude.
Bienvenue Monsieur Farid ", lui dit joyeusement Anita quand il entra dans l’appartement, " ça fait tellement longtemps qu’on a envie de vous avoir un petit peu avec nous Simon et moi… ".

« Ah bon ? Moi…, ». Il faisait l’innocent, à moins q u’il n’ait pas encore vraiment compris où nous voulions en venir.
« Oui vous » , lui dis-je,
 « vous êtes vraiment le plus beau garçon qu’on connaisse et on voulait vous le dire, mais vous l’avez sûrement compris, vous nous plaisez beaucoup… »
« A tous les deux ? »
« Oui on a vraiment envie de vous tous les deux mais c’est comme vous voulez ; si vous n’aimez que les femmes ou que les hommes on peut s’arranger. On peut aussi ne rien faire. On vous respecte…. »
J’avais tout dit pour le mettre à l’aise.
« Restez au moins boire un verre », lui dit Anita en lui désignant qu’il pouvait s’asseoir sur le canapé .
Il accepta un Coca, nous nous rangeâmes à la même idée et je fis rapidement le service pendant qu’il échangeait une ou deux banalités avec Anita sur le charme de notre appartement.
« J’ai envie de vous sucer » lui dit directement Anita, avec sa précision et son culot habituels, quand nous eûmes trinqué et bu une gorgée…
« Devant votre mari, je n’oserais jamais… » risqua-t-il en se touchant quand même la braguette.
« Ca ne me gène pas du tout de regarder tu sais », lui dis-je en le tutoyant pour la première fois, on adore partager des beaux garçons Anita et moi.
« Elle te plaît Anita ? ».
« Oui beaucoup ! » dit-il en riant, nous autorisant ainsi virtuellement à aller plus loin.
« Je veux voir ta pine », dit Anita en venant s’agenouiller entre les cuisses de Farid. 
Elle pressa son paquet, fit saillir à travers le tissu la grosse queue qui avait déjà gonflé dans le slip puis porta ses mains sur la boucle du ceinturon.
Il quêta une dernière assurance : « ça ne vous dérange pas ? » me demanda-t-il en désignant Anita qui faisait déjà sauter un à un les boutons de sa braguette.
« Non j’adore, vas y, donne lui ta queue, tète la, baise la, fait ce que tu veux, j’adore regarder… »
A cet instant, c’est environ 20 centimètres de zob mis dur qu’Anita fit sortir par-dessus l’élastique du caleçon de Farid. Une bite énorme, oblongue, veinée, satinée, avec un beau gland brun décalotté. Elle l’avala immédiatement.
Je restai en face d’eux, assis dans mon fauteuil, me branlant doucement dans mon pantalon.
« Caresse lui les seins » dis-je à Farid pour l’encourager. De fait, il se décida à agir et ses belles et grandes mains se mirent à peloter les petits seins d’Anita par-dessus son pull de laine grise.
Anita savait la partie gagnée et mouilla encore plus quand elle sentit ses gros tétons rouler entre les doigts de Farid. Elle déglutit la grosse queue encore plus gonflée que tout à l’heure le temps de faire passer son pull gris par-dessus sa tête.
Comme d’habitude elle ne portait rien dessous. Pour exciter son amant, qui n’en avait nul besoin, elle pressa ses seins et ses tétons tandis que Farid, médusé, admirait sa poitrine, jusqu’à ce qu’il vienne la téter. Elle aida le magnifique jeune black à ouvrir son jean et guida ses doigts vers sa chatte déjà très mouillée.

« Déshabille toi, je veux te voir nu » dit-elle à Farid en baissant elle-même son jean.
Farid, un peu éberlué, se tourna vers moi, l’œil interrogatif pour obtenir un nouvel encouragement.
« Vas y déshabille toi et baise la, ça fait des semaines qu’elle rêve de toi… Moi je regarde ». Pour le mettre encore plus à l’aise je commençai moi-même à me déshabiller.
Lui retira ses baskets, puis son jean, puis ses chaussettes puis son caleçon. Ensuite sa blouse et enfin son sweat-shirt. C’est alors que sa beauté magnifique nous submergea définitivement.

Son corps lisse, brun, plutôt imberbe et qui bougeait admirablement, ses muscles fins et bien dessinés saillirent quand il passa le sweater par-dessus sa tête. Ses petits tétons bruns apparurent. Il bandait a mort comme un taureau (au moins 23 cm)avec deux belles couilles lisses, rondes, ramassées en dessous de son zob. Juste quelques poils vrillés ornaient son pubis et montaient jusqu‘a son nombril.
  1998-farid.JPG Anita nue aussi vint se blottir dans ses bras et lui donner sa bouche.
Pendant qu ’ils se roulèrent une longue pelle en se caressant l’un et l’autre entre les cuisses je pus admirer aussi le dos et le cul superbes de Farid. Musclés, fesses rondes, reins cambrés, raie que je supposais imberbe. J’en eus la confirmation quand il s’allongea tête bêche au dessus d’Anita après que je leur ai demandé de faire « un 69 bien exhibé ».

Là je pus voir le bel œillet brun de l’anus de Farid caressé par les doigts d‘Anita, occupée par ailleurs à lui bouffer la queue pendant qu’il lui dévorait la chatte, toujours en tripotant les tétons durcis de ma femme.
Farid retira doucement la main d’Anita lorsqu’elle voulut lui doigter l’anus.
 Elle n’insista pas.
Désormais nu aussi je considérai que le moment était venu pour moi d’entrer réellement dans la danse. Je m’approchai du couple en rut, m’agenouillai près de lui, pris la main d’Anita et pétris de l’autre le téton que Farid venait de lâcher.
C’est sur l’autre sein d’Anita que je rejoignis et caressai la main de Farid, attentif à sa réaction. 
Il n’y en eut pas.
 Peut-être était-il trop occupé à aspirer et recracher sans cesse le gros clitoris bandé d‘Anita.
Je regardai ensuite, à nouveau, le cul exhibé de Farid et, entre ses cuisses écartées, par derrière, les deux belles couilles et l’énorme queue sans cesse aspirée par les belles lèvres d’Anita qui me regardait dans les yeux en souriant.
« Baisez moi, enculez moi ! », dit-elle. Je la connaissais si bien ! Elle paraissait délirer mais se souciait au contraire très intelligemment de signifier à Farid que c’est nous deux et non lui seul qu’elle voulait partout sur elle et en elle.
« On a le temps,  je veux voir d’abord Farid te baiser. Donne lui ta chatte je veux voir sa grosse queue te faire jouir comme jamais. Tiens Farid, il y a des capotes là », ajoutai-je en découvrant la bonbonnière qui était située près de nous, sur la table basse du salon.
Elle approuva, se dégagea, pivota, mais resta sur le dos et releva ses jambes en les écartant et en ouvrant sa chatte a deux mains.
« Oui Farid baise moi, je la veux ta grosse queue ».
Je me plaçai a genoux au dessus d’Anita qui avala ma bite. Je l’aidai à maintenir ses jambes écartées et en l’air. 
Là je vis le merveilleux Farid doigter la chatte, caresser aussi au passage l’anus bien rodé d’Anita puis se mettre en position. Bien raide, dans tous les sens, droit comme s’il faisait des pompes au dessus de la vulve en chaleur, il fit passer plusieurs fois son gros gland sur la chatte et l’anus. 
Je croisai son regard. Il me sourit. Je ne tiens plus. Je saisis moi-même Farid par les couilles et par la base de son zob et le guide tout doucement jusqu’au fond de la chatte.
Il commença à limer , Anita râle, souffle,  gémit .
Il allait plus ou moins vite selon les moments. Plusieurs fois je touchai la saillie en glissant un doigt dans le vagin d’Anita le long du gros pieu qui la pistonnait.
Une autre fois je laissai mon index caresser doucement l’anus de Farid qui ne semblait pas réagir.
Il baisait vraiment comme un Dieu, les yeux souvent fermés ou grands ouverts et se regardant, nous observant dans les glaces qui entouraient la pièce.

Il fit changer Anita de position, la força à se mettre à genoux à quatre pattes et à lui tendre les fesses ; ce qu’elle fit en s’écartant le cul à deux mains avec toute l’obscénité dont elle raffolait.
« Baisez moi, enculez moi » répétait-elle. 
Farid, après avoir re bouffé puis réenfilé sa chatte par derrière se mit à parler : « t’es chaude , une bonne ta chatte : ça te plait les grosses bites hein ? » 
«
ça te plait que ton mec te mate quand tu jouis ? »
 «qu’il te caresse ? »
 «qu’il touche ta chatte avec ma bite dedans ?
».
«t’es vraiment une salope toi ».
 OOUUUU I I I I i .....
Je me sentis autorisé par ces propos à glisser ma tête entre leurs cuisses, sous la saillie, pour tout voir, tout toucher, tout bouffer.
 Tandis que Anita me pompait, c’était super de voir la grosse queue faire dégouliner la chatte de mouille, la chatte rougie, distendue de ma femme. Génial de toucher ce coït puis de gober les couilles de Farid puis de lécher alternativement  la chatte et l'anus de Farid me restant visiblement interdit en se serrant à l’extrême quand mon doigt insistait un peu pour entrer dedans.
« Encule la Farid, je vais la baiser ». Je sortis doucement sa queue de la chatte en feu pour poser le gros gland brun très dur sur le trou du cul d’Anita .
Elle eut un râle profond quand Farid l’encula, doucement mais bien à fond, puis commença à limer. Je m’allongeai sous eux dans l’autre sens pour pénétrer la chatte d‘Anita, qui s'était empalé sur ma bite avec présipitation.
Ce fut un très grand moment de croiser la grosse queue de Farid dans le petit ventre chaud d’Anita ; c’est lui qui donnait le rythme à son enculade et à ma baise.

Seule une membrane séparait nos deux queues.

Anita jouissait énormément par devant comme par derrière.

« Farid ? ,  encule Simon, il la veut ta grosse queue ». dit tout à coup Anita
« Oui baise moi Farid, encule moi », confirmai-je.

Joignant le geste à la parole je m’étais mis moi aussi à quatre pattes à côté d’Anita et c’était mon tour de m’écarter les fesses à deux mains.
« Ah non c’est trop, tu  veus te faire enculer devant ta femme ! »dis Farid.

«C’est trop  top ça, ça va me faire jouir ».
Tout en continuant à défoncer l’anus d’Anita il avait commencé à me doigter délicieusement le trou du cul.

Je voulais vraiment qu’il m’enfile, sentir en moi ses 23 centimètres de jeune mâle, sa grosse queue épaisse qui allait me faire exploser le cerveau en même temps que la prostate.
Mais nous sentîmes qu’il allait jouir avant de m’enfiler

. Je dus reprendre le contrôle de la situation en voyant qu’il était sorti du cul d’Anita et se branlait, agenouillé sur le lit, en me doigtant toujours.
« Enlève lui la capote » , dis-je à Anita.

 « Il va nous jouir sur la gueule, on va le sucer à deux bouches… ».
De fait, j’eus juste le temps de me retourner pour venir lui gober les couilles, tandis qu’ Anita avait arraché, balancé la capote et ravalé sa queue.

Il sortit des lèvres de ma femme, se branla quelques secondes, le temps de durcir et bander tout son corps, de sentir monter en lui un souffle profond et des flots de sperme, puis de nous arroser les deux visages de foutre brûlant, abondant, crémeux. Sept ou huit giclées s’abattirent sur nous deux. Anita jouissait encore en se branlant la chatte.

J’éjaculai aussi brutalement dans des râles gutturaux. Mon sperme vola au dessus de moi qui m’étais renversé sur le dos. Anita vint en recueillir les dernières rasades sur son beau visage déjà superbement maculé par le sperme épais de Farid.
Lui et moi tartinèrent son visage avec nos queues encore a demi bandées.

Sentant la fête se finir, j’allai rapidement chercher dans la salle de bains une serviette de toilette qu’Anita utilisa pour sécher son visage et sa chatte.

Farid, encore en sueur, nu sur le sol, allongé sur le dos, cuisses écartées, essoufflé, exhibé, superbe, récupérait doucement, toujours souriant. Anita puis moi vinrent déposer un baiser sur ses lèvres et quelques dernières caresses sur sa peau, sa queue, son torse ses tétons.

Il nous rendit nos baisers avant de s’asseoir, se secouer, se relever et commencer à reprendre ses vêtements.
« Je dois y aller, j’ai du boulot », dit-il.
« Tu reviendras j’espère », lui dit Anita.
« Tu reviendras m’enculer j’espère », ajoutai-je.
« Bien sûr ,je n’ai pas fini mon travail »,  dit-il avec assurance, vous êtes super .
Un frisson parcourut ma prostate. Ainsi, j’y aurai droit. J’allai moi aussi bientôt jouir du fond du cul, assis sur la grosse pine du jeune africain, sous les yeux et les caresses d‘Anita.

Il est revenu effectivement, dès le lendemain soir et pris gout a notre avanture

Un fois par mois il prenait soin de nous livrer et de nous enculer

Un jour il nous dit « je revient ce soir pour la dernière fois »

Pourquoi la dernière fois? Lui demandais je.

La patronne m'a licencié !!

C’est pas vrais!

Hélas si.

Mais pourquoi ? Tu faisait bien ton travail…..

Oui mais elle a pas aimé que je la baise dans la réserve.

Vraiment elle est conne ,elle n’aura jamais une autre occasion comme ça.

Le soir nous avons baisé sans relâche tous les trois et arrosé son départ .

Le lendemain nous changions de commerçant………

Nous avons repris un nouveau livreur
1998-georges.JPG

Mais le service était loin d’être celui de Farid

Par simon - Publié dans : ma vie
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Mardi 16 octobre 2 16 /10 /Oct 17:16

1992 
une année extraordinaire pour moi je venais d'avoir ma première petite fille .Micheline
1991-bruno3.jpg  demanda ma fille en mariage et parti faire son service militaire.

en Aout

Je retrouve Louis (le roi souvenez vous Romuald et Arlette le jour de la galette des rois en 1969) en vacances sur une plage de Normandie quel bel homme a 23 ans
1992-louis.JPG

Nous partîmes tous les deux en maillot de bain vers une petite crique ou seul le bruit des vagues troublaient ce silence sous un soleil de plomb.

-" Tu es devenu un vrais mec tes parents doivent être fière de toi? "

__" Oh ! ça fait prés de 3 ans que je ne vie plus avec eux. " Répond-t-il

- "Tu vie ou? "

__" Ici dans le petit village de Pine LebŒuf avec ma copine ……. "

Je suis très surpris et mis quelques minutes pour lui dire « je ne savais pas….. elle est mignonne ? » .

Avant de me répondre « tu jugeras par toi même » il me sera dans ses bras et m’embrassa goulûment ,nos corps l’un contre l’autre un frisson nous traversa ,puis ajouta « j’ai besoin que tu m’aides comme tu avais aidé maman? ».

-Je t ‘aime comme mon fils je ferais tous ce que tu veux lui dis-je en le resserrant dans mes bras pour déclencher de nouveau frissons.

__Regarde ! Me dit -il en baissant sont maillot ,  " elle se réjouie d’avance……"….
1992-louis1.JPG

D’ou sortait un queue bien veineuse et plus belle encore que celle d’il y a 10 ans déjà. Il se mit a enlever quelques pierres en disant  " on va s’allonger ici et on va se sucer comme on le faisait quand j’étais plus jeune…"…..
1992-louis2.JPG On pris notre plaisirs et me dit «  es tu sure de me rendre service? »

" Bien sure  " je t’ai dis « tous ce que tu veux »

" Alors ce soir vient a la maison  " et je veux dit-il « que tu fasses exactement a ma copine ce que tu a fait a ma mère (obliger ma bite a éjaculer en elle le plus longtemps possible) pour qu’elle me donne un enfant. "

__ " Dit tonton comme tu me l’avais expliqué ".

_Mais elle ne me connais pas !

-Voudra-t-elle que je sois présent quand tu vas la baiser?

__Je lui ai déjà expliqué et  elle ma dit « je t’aime de trop je le ferais » .

__Dit tonton tu es toujours d’accord?

Je lui répondis « je n’ai qu’une parole! ».

Le soir venu il me présentais sa copine….Colette 25 ans
1992-colette.JPG une beauté sous un peignoir transparent on pouvait deviner de magnifiques seins et une chatte semi rasée , elle me mis alèse en disant « vous avez un corps magnifique pour votre age , Louis vous avez bien d’écrit » et m’embrassa sur la bouche .après le repas je dit si on allait sur la crique dans le sable chaud ici ou la bas t’en que l’on y met du cœur le résultat et le même.

Nous nous mimes entièrement nu tous les trois elle se mis entre nous ,les queues bandées a bloque , je suis a vous dit -elle !…..je lui dit « mets toi assis l dessus Louis en me regardant et fait entrer son mat dans ta chatte , le reste je m’en occupe »

 

Quand il la pénétra!
1992-colette1.JPG

je m’allongeais entre leurs jambes et je me mis a sucer sa queue (enfin ce qui n’était pas encore englouti) puis un coup de langue sur ces couilles je remontais vers le clitoris et le suça , elle se mis a vibrer ,de longs gémissements sortaient de sa bouche, je passe mon index dans la rosette de Louis il se cabre ,les va et vient sont plus rapide ,ils jouissent ….

je maintient la pression sur le clitoris empêchant Louis de se retirer, j’avais posé une main sur le bas ventre de Colette , je sentais les coups de pilons d’ou jaillissait le sperme précieux.

Puis je resta ainsi ma bouche sur leurs organes attendant que la bite ressorte bien mole récupérant le surplus et je souffla dans le vagin de la belle tout en le léchant.

Nous primes un petit bain de mer et rentrons a la maison pour une bonne nuit.

J’eu du male a m’endormir pourvu que sa fonctionne comme avec sa maman Louis le mérite tellement.

Louis qui me confie tous ses petits secrets comme si j’étais son père.

 

Dans les jours qui suivent Louis me présente un de ses amis dans un vestiaire de la salle de sport 1992-loic.JPG 1992-loic1.JPG  puis

Loïc 23 ans qui en me voyant avait compris que j’étais comme lui amateur de cul , enleva son pull et me montrait sa queue qui avait déjà bien gonflée

 

Entièrement nu le mat bien dressé …… 1992-loic2.JPG

Nous invita a le suivre dans la salle de bain du club
1992-loic3.JPG

Pour une partie de sucette a trois nous avions soifs de nectar et celui ci coula a flot.

La lendemain je reparti invitant Louis et Colette pour Noël ,ou le jour de l’an.

Ils me répondirent en cœur « NON plutôt le jour de roi ».

Je répondit «  Ok… Ok…. va pour ce jour la ».




1993 

Le grand jour arriva , Louis et Colette champagne et galette a la main.

Ils dirent ensemble « tonton il fait bon chez toi ,comme c’est un grand jour tous le monde a poil ».

-Comment un grand jour dis-je avec le sourire.

__"Tonton c’est le jour ou j’ai été procréer et en plus ta méthode a marché Colette attend un enfant grâce a toi ».

__" Colette veut te faire une surprise!…."

__" Allez Colette dit lui!… "

Elle se décida et dit « tonton en ce grand jour pour te remercier je voudrais deux choses ».

-Ah bon! Et quoi ? Dis-je…..

Elle repris « vous sucer le temps que Louis vous défonce comme vous lui avait appris quand il était plus jeune ».

-Je pense que je n’ai pas le droit de refuser…… alors je suis a vous…dans la soiré faisont déja la fête…

 Apres un apres midi agréable .
Elle se mis sur le dos son petit ventre déjà bien rond et me demanda "  met toi  en position 69 au dessus de moi comme cela je pourrais te sucer ta bite et les couilles de Louis en même temps qu’il te sodomisera. "

Ma position me permettais d’embrasser son petit ventre ou une vie se développait et je poussa même a lui lécher sa chatte bien ouverte comme si elle avait voulu manger une bite.

Colette me suçait merveilleusement , les mouvements répétés de Louis dans mon cul et cette chatte la devant ma bouche me firent jouire plus vite que prévus et malgré mes 48 ans je ne peu me retenir et un bouillonnant jet de mon jus remplit la bouche de Colette qui accéléra sa succion et avala tous , elle avait mis un doigt dans la pastille de Louis qui a son tour fit gicler en moi sa semence et fit un mouvement de recule ,sa queue imprégnée de sperme sorti et Colette s’empressa de la sucer.

Ce fut un moment merveilleux et Colette ajouta « il faudra le refaire c’était extra ».



QUELQUES MOIS PLUS TARD:

Le 13 mai 1993 elle donna naissance d’un petit homme : Jules 63 cm 3,9kg

 

Ce jour là je me levai très tôt car je devais me faire livrer et installer mon nouvel ampli home-cinéma commandé la semaine passée.

A 10H00, l’interphone sonna, le livreur était là.
 etant a poil ,j'enfila rapidement un t-shirt long sans rien dessous ce lui-ci descendant a mi- cuisses 

Lorsqu'il passa la porte avec le carton je crus rêver :

Un mec brun, avec des yeux bleus à faire craquer : ce que l'on appelle une belle gueule avec un sourire ravageur. Il était trapu, environ 1m70, les bras puissants et légèrement

poilus, un t-shirt blanc moulant qui me laissait deviner des pectoraux développés avec des tétons pointant.

Mais ce qui attira irrésistiblement mon regard et me frappa fut son Jean’S: un 501 bleu, un peu délavé, mais le moulant des chevilles à la ceinture comme un collant.

Sous cette ceinture, son paquet semblait vouloir jaillir hors de son corps tellement il était proéminent. Je remarquais même qu'un des boutons en métal dépassait de la braguette tellement celle-ci avait du mal à contenir son hôte gonflé et encombrant.

De chaque côté de cette proéminence, ses cuisses énormes étaient elles aussi moulées dans le tissu bleu, laissant apercevoir une musculature roulant sous le tissu.

Il parut agacé que je le laisse dehors : il est vrai que cela faisait une longue minute que je l'admirais sans lui dire de rentrer.

Il me dit : " c'est bien pour vous l'ampli ? "

Je revins sur terre : " Euh oui, vous pouvez entrer "

Il s'engagea vers le salon ce qui me permit d'admirer ses fesses bien serrées par le pantalon, avec la couture les séparant.

Ce que j'aime aussi avec les 501, c'est cette étiquette qui donne la taille du fut.

Pendant que je prenais place dans mon canapé pour le regarder travailler, il commença rapidement à s'activer avec les nombreux fils, à genoux et penché vers l’avant sur mon installation télé. Ses fesses en ressortaient encore plus, se dandinant à quelques centimètres de moi. S’interrompant, il me demanda " je peus allumer la TV et le lecteur de DVD pour tester l’installation ,j'ai terminé ".

Je lui répondis " OUI  " , en oubliant que j'avais regardé la veille un porno gay qui devait encore se trouver dans le lecteur DVD.

Lorsque l'image apparut, un type avec un énorme membre était en train de se faire goulûment sucer par un jeune mec...

Le rouge vint aux joues de mon installateur-livreur ... Mais ce qui me fit délirer, c'est le son de l'ampli qui faisait résonner dans tout l'apparat des gémissements à faire trembler les murs.

Il baissa le son et me regarda ...

Je me demandais quelle serait sa réaction.

Son 501 semblait répondre pour lui tant il avait du mal à contenir son excitation...

J'étais toujours assis sur le canapé, il vint vers moi et colla sa braguette sur ma bouche.

Je ne m'y attendais pas, mais je me mis à caresser son 501 et embrasser sa braguette qui grossissait de plus en plus.

Puis, mes mains remontant le long de ses cuisses dont je pouvais à présent sentir les muscles sous mes doigts, j'ouvris un à un les boutons de sa braguette et fit jaillir sa queue luisante de mouille.

Après avoir senti ce membre prometteur et excité, ma langue se posa sur son gland et je lapais ce liquide si riche en saveur. Je me mis à engloutir son membre jusqu’à la racine et à le pomper à fond comme dans le film, et il se mit à gémir...

Après quelques minutes d’aspirations buccales prononcées et jouissives autant pour lui que pour moi, il se retira et me fit mettre à 4 pattes sur le canapé.

Comme je ne portais qu'un t-shirt , et ne portait rien dessous il eut vite fait de me déshabiller.

Il commença alors à me lécher le trou. Visiblement il n'avait pas l'habitude.

il laissa tonber son 501 sur les pieds et lui non plus ne prtais rien dessous

Je me levais et pris du gel, une capote, la lui passa et me mis à me doigter mais il me remit à 4 pattes et m'enfila sans attendre.

Malgré l’épaisseur de sa queue, il rentra sans problème, mais pas complètement sans douleur pour moi. Je sentais toute sa largeur m’élargir et me chauffer ; j’avais l’impression que mon anus, et mon corps dans son ensemble, n’était plus qu’une extension de sa bite chaude et massive.

Ce fut une chevauchée délirante, il hurlait et me défonçait comme une bête. Ses lourdes burnes frappaient mon cul à intervalle régulier et de plus en plus rapproché. Son gland titillait ma prostate avec force, j’en bandais de plaisir, ma queue balançant entre mes cuisses comme le battant d’une cloche, rythmée par ses coup de reins profonds.

Il me redressa alors de manière à coller mon dos contre sa poitrine. Il me pinçait les tétons, ou laissait sa main errer sur le gourdin se dressant maintenant au bas de mon ventre. Celui-ci laissait entr’apercevoir son excitation par les gouttes gluantes qui se formaient sur mon

gland. Mon beau brun vigoureux s’en engluât les doigts, les porta à ma bouche, puis à la sienne et, tournant la tête, nous suçâmes ses doigts parfumés avant de jouer un ballet fou avec nos langues.

Après quelques minutes de cet épique enculage, il gicla tout son foutre et retira sa belle queue ramollissant lentement, toujours imposante et couverte de sa crème.

Puis il vint me sucer, ça semblait être sa première pipe mais excité comme j'étais il ne tarda pas à me faire jouir entre ses lèvres.

Il se rhabilla ensuite très vite, enfilant ce si sexy 501 à même son corps nu, sa bite encore poisseuse se laissant deviner derrière les insolents boutons de métal.

Il me fit signer le bon : en commentaire je mis " excellente qualité de service : du jamais vu ! ".

Quelque temps plus tard, je recommandai un article chez eux, mais hélas ce ne fut pas lui qui livra...


le Wee-Kend suivant : 1993-veronique.JPG Il me demandera de l’aide pour les calmer !!!…..

La blonde Bernadette s’enfila la bite du jeune François dans le cul le temps que la brunette  Véronique se faisait bourrer la chatte par moi .

elle passait sa langue dans l’anus de François pour préparer sa sodomisation quand elle en aurait fini avec moi

Le deux femelles s’en donnèrent du plaisirs.

 

1995


une année merveilleuse ,Bruno et ma fille ainée me donnaient un petit fils Christophe un ptit bonhomme tres fragile qui démarra ces premier jours en soins intensif dals le grand hospital de Nancy.
derrière les vitres de protection stéril je le supplier de s'accrocher a la vie lui qui commencait ça vie comme moi je l'avais commancé 50 ans plutôt.
Par simon - Publié dans : ma vie
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Dimanche 14 octobre 7 14 /10 /Oct 13:45

1987-romain.JPG
1988

J'étais sur aire de repos dans les environs de Nancy a la recherche d‘un endroit pour pisser;

C'est alors que je l'ai croisé :un black entre 25 et 30 ans, une gueule avec des yeux persan, les cheveux crêpés, un sourire à tomber par terre, bref un vrai canon. Mais le plus surprenant était à venir...
Après s'être tourné autour plusieurs fois afin d'être bien sûrs que nous étions là pour la même chose, nous avons fini par nous retrouver nez a nez. En train de piser contre le même arbre

__Salut me dit-il  " tu vas vers la Belgique ? "

-Salut whai! C’est ma direction, pourquoi ?

__Je rentre chez moi à Arlon en stop, alors tu veux bien?

-OUI  ,j’espère que tu n’est pas pressé car par cette chaleur je ne roule pas je fais la sieste.

__J’ai pas le choix mes jambes ont besoin de repos et j’ai encore trois jours devant moi avant de reprendre le boulot .

__Au faite je suis Rachid 32 ans et toi?

-Simon 43 ans, toi tu fais plus vieux que ça!

__On me l’a déjà dit je vais finir par le croire!

-Bon on passe au Mac do prendre un peu de bouffe et boissons fraîche et je connais un petit endroit ou nous serons plus tranquille .

__Ok dit il,  " je prend mon barda et je monte dans ta caisse ", a peine installé il déballe le contenu de mon boxer et commençais à me masturber en me disant  " c’est un acompte ".

Je fus tellement surpris que je ne dit mot.

Nous arrivons par un petit chemin au bord d’un ruisseau, sortons une couverture et mangeons ce que nous avions acheté.

J’enlevais mon boxer ,mis les pieds dans l’eau et m’allongeais sur le dos, lui en fit de même mais restait dans son caleçon moulant.

Il avala ma bite d'un seul coup et, par de magnifiques coups de langue, parcourut mes 17 cm de bas en haut, puis dans tous les sens.

Je n'en pouvais déjà plus.

Rachid s'en ai appercu  se releva  et descendit son caleçon ...

Et là ... surprise ... du jamais vu :

1988-rachide.JPG

je n'avais jamais imaginé qu'on puisse porter entre les jambes un aussi gros morceau.

Ma main n'arrivait pas à en faire le tour ; une fois dans ma bouche, seul un tiers de son sexe entrait, me tapissant le fond de la gorge ...

C'est au moins 23 voire 25 cm de chaire épaisse qui allaient et venaient dans ma bouche encore tout étonnée d'avoir affaire à un tel engin ; quant au diamètre de son sexe, il devait largement dépasser les 6cm !

Quel bonheur de voir une telle merveille de la nature ! Et surtout, quel bonheur de pouvoir jouer avec ce beau joujou : mes mains, ma bouche, rien n'échappait à ce bel engin !

Ma tête posé sur son ventre ,j’écoutais sa respiration rapide ,une main sur ses couilles, ses jambes légèrement écartées ,j’en profitais pour aller passer un doigt dans sa raie et je sentis sa rosette petite et bien serrée.

Il sursauta et dit  " de ce coté la je suis encore vierge je ‘ai pas trouvé ce qui me convient!

Et toi? ".

-Moi j’ai étais dépucelé heu…je crois …la 1ère fois vers les 14 ans

Il partit dans un fou rire , ajoutant « il faut être con pour rester vierge quand on a un mec comme toi sous la main ».

Surpris

je lui demande « pourquoi c’est une proposition? »

__Bien sure que oui je ne pense qu’a ça depuis qu je t’ai vu.

. Hum ! Il avait eu raison de me réserver son petit trou pour un dépucelage en beauté...

Je crachai sur sa rosette et avec un doigt je commençai par titiller sa rondelle ,puis avec la pointe de ma queue jusqu'au moment où mon gland s'enfilait dans l'antre du plaisir !

Il gémissait : sa douleur mêlée au pied qu'il prenait augmentèrent mon excitation et, d'un seul coup, j'enfonçai ma bite dans ses entrailles...

Un cri rauque sortit de sa gorge puis le bruit de sa jouissance remplaça ce cri : il n'en pouvait plus.

Je ne le limai que très peu alors  il me demanda " plus rapidement !  inonde moi " .
mais je lui demandais d’attendre encore un peu , je forçais la cadence mes coups de butoirs mes couilles tapaient ses fesses. il criait " encore…. Encore plus vite "…,hurlait de plaisirs un coup de rein et mon foutre épais et abondant vint rejoindre ses entrailles ...

Je ne pouvais m'empêcher de m'activer encore dans son trou bien chaud et accueillant et bien huilé par le sperme..

Une voiture venait de débarquer .......

je lui dit «  ne bouge pas faisons semblant de dormir " après m’avoir laissé glisser sur le coté .

La voiture repartait , un petit coup de klaxon comme pour nous dire « profitez-en ».
Après m'être occupé du cul de ce bel étalon, je me laissais aller à ses attouchements : il suçait comme une bête et manipulait ma bite en feu avec une très grande expérience !

Je l'engloutis à nouveau (du moins, j'avalais le gland et les quelques centimètres que je pouvais placer dans ma bouche ...) et accélérais mes aller-venues jusqu'à sentir cette queue immense se raidir davantage.

Il allait jouir,

Il déchargea son foutre en de longs jets puissants.

Là encore, je n'avais jamais vu de telles projections, longues et fournies.

Je n'ai pas compté le nombre de jets, mais j'avais la sensation qu'ils étaient interminables ...

Le tout accompagné de gémissements profonds et d'un vocabulaire adapté aux circonstances !

J’avais la bouche remplie de son nectar que j’avalais lentement pour en garder sa saveur le plus longtemps possible

Il lécha le tour de mes lèvres et me roula une pelle pour mêler le liquide recueilli à nos salives.

Puis l’un contre l’autre nous nous sommes endormi sous ce soleil de plomb.

Plusieurs heures après nous re primes la route entièrement nu dans ma caisse .pour le remercier je l’en mena jusqu’à Arlon, nous avions passer la doine juste une serviette sur nos cuisse cachant ainsi nos trophés , il remis ses vêtements peu avant d’arriver ,se pencha sur moi ,repris ma bite dans ces mains et lui fit un suçon si fort que la marque resta plus de huit jour et ajouta « .merci Simon j’ai été comblé ,tu m’a si bien dépucelé A bientôt ! ».

1990-mesneuveux.JPG

mes neveux commencent a découvrir que leurs queues son un peu différente
 
et terminent leurs explorations dans le lit pour une nuit intime. 1990-mesneuveux2.JPG


1990

Mes enfants illégitimes ( avec Fatima  vous vous en souvenez sinon relisez l'article )me rendent visite et me montrent qu’ils sont comme moi amateur de culs tous comme Sylvain l’aîné (28 ans déjà) 1990-robert.JPG

ils aiment se défoncer entre eux , tous les trois (avec moi le père créateur ) jusqu’à épuisement…. 1990-romain.JPG

La préférence était pour ses copains mais changeait vite d’avis quand je lui présentais ma bite, dans sa bouche ou dans son cul la semence il aimait ……tous comme moi quand il me faisait bouffer sa teub avec les couilles entièrement dans ma bouche (je m’en lasse pas)et son long doigt dans mon anus il y entrait avec sa chevalière .et ça j’adorais

En fin d’année scolaire je récupère me fille aînée pour les vacances. Ce jour là elle me présente son petit ami Bruno 1,95 ,86kg , élancé genre sportif . 1991-bruno.jpg

Pendant les vacances il viendra a la maison ou il découvrit mon goût de vivre a poil ce qui ne le gênait pas , car il matait mon corps discrètement, par contre il avait un corps superbement musclé des pectoraux imberbe d’ou de détaché deux magnifique tétons ,son ventre une plaque de chocolat naissante pour un gamin de 19 ans.

Après la nouvelle rentrée scolaire a mi novembre ma fille annonçait quelle arrêtait ses études car Bruno lui avait fait un enfant. Elle revint donc a la maison et lui aussi me disant qu’il travaillerai pour payer sa nourriture. Ce fut le cas.

Un soir quelques jours avant Noël , dans la nuit j’entendis du bruit dans la cuisine , je me levais et descendait entièrement nu (car c’est comme ça que je dors) , je fus surpris de voir Bruno complètement trempé jusqu’aux os ,il me dit c’est un vrais déluge dehors car lui rentrait de son boulot.

Il grelottait je lui dit « déshabille toi je vais chercher une serviette pour te sécher et un peignoir ".

Quand je revins il était nu mais par pudeur avait gardait son caleçon trempé ,bien moulant ou laissait apparaître la forme légère de son sexe transi par le froid .

Je lui ordonne sèchement de l’enlever « tu vas attraper la grève , enlève ça , on est entre homme ….non! ».

Il ne s’était jamais montré entièrement nu devant moi et semblait gêné  " je ne suis pas pédé " me dit-il ." Moi non plus " répliquais-je , " mais un mec nu j’aime…".

Je te fais chauffer de l’eau pour une tisane pendent que je t’essuies ?

Il ajouta  " et une vodka STP ".

Je pris la serviette est frotter très fort sa peau ce qui semblait lui faire plaisir ,ma main passant sur son sexe plus que ramolli il eu un petit frisson lui traversa le corps..

Il s’aperçu que le mien gonflé légèrement mais ne dit mot

Alors je lui réchauffe ce bout congelé, qui reprend forme, son gonflement est rapide. Je me suis positionné derrière lui pour le frictionner avec mes deux mains ce membre dont j’ai envie.

Mais a queue qui se trouve a la hauteur de son petit cul ,se redit au maximum et touche sa rosette ,il se cambre et me redit « je ne mange pas de ce pain » 1991-bruno2.jpg

" T’inquiète j'y peus rien  c une reaction devant ta beauté , je veux seulement profiter de ta bite. "

La bouilloire s’est mis a souffler , je prépare la tisane et deux verre de vodka.

Il avala le verre d’un seul coup comme moi d’ailleurs et je resservis une tournée.

Il me pris dans ses bras nos queues se rencontrent, aussi dur l’une que l’autre et Bruno me pose en baiser juste au bord de mes lèvres.

Avec un main je lui serre ses couilles et progressivement je descente sur son torse non poilu ou ses tétons bien dure pointe ,je lui suce au passage ,son cœur bas très vite , je continue ma descente un coup de langue dans son nombril puis j’arrive a sa toison qui entoure cette bite que je tiens en plaine main.

Lui sans rien dire se contente de suivre ma progression en me maintenant la tête ,mais je pense que lui aussi entre dans le jeu.

Sa queue entre dans ma bouche, un ou deux va et vient sur son gland et j’entend ses râles ,il accélère le mouvement grâce au maintient de ma tête par ses mains , de plus en plus vite son gland me touche le fond de ma bouche ,je sens monter la sève ,je le serre très fort puis se retire pour me laisser reprendre mon souffle.

J’en profite pour lui dire  " j’en veut plus ".

Alors avec sa force d’hercule il me souleva et me coucha sur la table, j’écartais les jambes pour lui montrer ma pastille en écartant mes fesses a l’aide de mes mains.

Je lui dit " met du gel et vas-y. profites-en"

Il mit du gel sur sa queue et sur ma pastille, il présenta son gland l’entrée , puis stoppa net

" NON Je ne peux pas te faire ça! "

" Si vas y , c’est moi qui le désire je la veux cette bite! "

Alors il me pénétra je mis mes jambes autour de ses hanches pour qu’il ne se retire pas, il compris alors il me bourra le cul avec force je le sentais au fond de moi.

il se pencha vers moi et me dit « ça te plait »

" Oui vas y encore plus fort ".

il se reservit une wodka

Un coup de rein et sa bite entre au plus profond de moi , ressort , entre a nouveau ,ses couilles claquent sur mes fesses a chaque entrée, alors il me dit  « tu es comme ta fille, tu baise comme un dieu »

" Normal c’est de famille " répondis-je " et avec une arme comme la tienne dans le cul on ne peut refuser un tel plaisir "

Je lui demande  " embrasse moi en même temps  ",

il pris une gorgée de vodka dans la bouche sans l’avaler se coucha sur moi ma queue touchait son nombril , nos bouches se rejoignent nos langues se mélangent avec la vodka notre excitation arrivait a son comble soudain ma queue prisonnière entre les deux ventres lâchais son jus remplissant mon nombril de ce nectar crémeux et lui en moi je sentais la tiédeur de sa semence en quantité non négligeable…nous restâmes unie plus de 30 minutes écoutant mutuellement nos cœurs battrent a l’unisson .

 " Bon "  dit il , " faut aller se coucher  ",après m’avoir, a ma grand surprise ,embrassé ma bite et mis une petite tape sur les fesses

Bonne nuit Bruno! Et merci pour ce bon moment

Bonne nuit Simon …..tu ma fait vibré , je te revaudrais ça !

Par simon - Publié dans : ma vie
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Jeudi 11 octobre 4 11 /10 /Oct 19:32

1986

Me rendant chez mes amis Arlette et Romuald je découvris que leur fils Louis (le roi) aimait comme ses parents vivre nu sur un hamac fait avec un tronc d’arbre et des branches au fond du jardin. 1986-leroilois.JPG

quel corps il avait a 17 ans je restais de longues minutes a l’observer et je me mis a rêver «  Aimerait-il que je suce? ».

Mais il m’avait aperçu et dit « bonjour tonton (c’est comme ça depuis sa naissance) approche …..je connais ton penchant pour les hommes nus, maman le dit assez souvent. »

Ah! Bon elle te dit ça !.

__Oui chaque fois qu’elle me voit à poil et ça me fait très plaisir.

Elle m’a dit aussi " si je suis la c’est un peu a cause de toi lors d’une partie avec mes parents , c’est vrais aussi? ".

Oui bien sure ,si ce soir là je ne mettais pas dégonflé ton père ça serait moi! et je l’ai souvent regretté.

__Mon père m’a déjà pris mon cul il y a deux semaines pour que je sois un homme en échange il va me payer le permis de conduire , et depuis presque tous les jours ,dans la salle de bain je dois le sucer, qu’est ce que tu en pense?.

Je répondis « toujours le même ,il lui faut du jeune coq , mais c’est chèrement payé ».

__Et toi tu l’aurais fait?

Peut être ,mais plus tard, enfin plus âgé , tu comprend!.

__Hé bien les parents son absent jusqu’à 21 heures alors tonton c’est ton tour.

Je m’approchais de lui , ma queue gonflait de plus en plus dans mon string et son sourire m’indiquait qu’il s’en était aperçu car sa main se pausa directement dessus alors que nos bouches se rejoignaient

__Allez je suis a toi tonton

Rentrons a l’intérieur nous serons plus tranquille lui dis-je

__Ok on va dans ma chambre.

cela pourrait avoir l'air surprenant et étrange ,Louis avait fait sauter les boutons de mon pantalon et me l’enlevait en même temps que mon string
Je suis tout nu en moins de deux secondes .Tout en me parlant, Louis ne fait aucun mystère de sa fascination pour mon sexe, . D'ailleurs, devant tant de jeune beauté animale, ma queue a tendance à prendre du volume pour montrer sa satisfaction




Alors Louis ne se possède plus, il gémit et se tortille si bien que je ne doute plus des étourdissantes voluptés qui nous attendent.

Louis est tout à fait charmant, il sourit de façon enjôleuse. Ses lèvres pulpeuses malgré son jeune âge ses yeux cochons savent comment séduire un homme plus mûr.
 Il lit le désir dans mon regard fixé sur son corps et il semble en être excité. Je commence à bander parce que je trouve Louis très sexy. Je n'ai plus qu'une obsession : comment l’amener à s'étendre sous moi pour quelques heures de caresses, de baiser et de volupté.
Il a un beau corps lisse et finement musclé, des tétons alléchants comme des bonbons, une belle queue qui renfle doucement. J'aimerais bien la lui bouffer sa petite queue Quant à ses petites fesses blanches, fermes et lisses, elles sont faites pour l'amour et les plus tendres voluptés.
Justement, Louis s'étire pour atteindre deux verres sur la dernière tablette d'une armoire pour nous servir une boisson fraîche. Je me régale de la vue de son corps mince mais proportionné, et de ses fesses blanches aux lobes parfaits. Conscient que je le dévore des yeux, Louis pose un genoux sur le bord de la commode voisine , afin de se hisser, offrant à mes yeux lubriques une vue imprenable dans la raie de ses fesses écartées et sur son anus humide qui luit comme un bouton de rose.

maintenant. Je ne m'en cache pas et mon pénis se dresse en toute fièretéSoudain je n'ai plus qu'un but , enfoncer ma queue dans ce petit cul tendre et innocent et le fourrer jusqu'à l'extase .S'il a voulu me provoquer, il a réussi car je bande incontrôlablement..

Louis est assis sur la commode me verse du jus orange et pour lui un verre de lait. Il me dévisage en souriant et promène son regard partout sur mon corps en prenant des poses lascives pour bien mettre en évidence tous les charmes de son jeune physique.
Je m'approche de lui et il place ses jambes autour de mes cuisses. Il regarde mon sexe vibrant avec fascination.
__Tu en as une crisse de belle chuchotte-t-il.
D'un doigt expert, il caresse délicatement mon gland

Le lait descend lentement entre ses pectoraux et coule vers son nombril.
__ Il ne faut pas laisser perdre ça, murmure-t-il, les yeux mi-clos.
Je réponds à l'invitation et pose mes lèvres sur sa poitrine et lèche la coulée de lait.

Il respire profondément, faisant gonfler sa cage thoracique et pressant son torse contre ma bouche gourmande.

Mes mains chaudes caressent ses cuisses qui enserrent mes hanches. Je perçois les battements rapides de son cœur.

Il effleure mon gland gonflé à bloc de ses doigts et murmure,
__ Les femelles donnent du lait, mais les mâles, de la crème !

Louis lève ses bras derrière la tête, m'offrant complètement sa frêle poitrine.

Ses petits seins durcissent entre mes doigts.

Je les caresse et les frotte avec insistance.

Le garçon ondule lascivement du corps, les yeux fermés et la bouche humide, ouverte.

Ses mamelons sont si durs maintenant que les pointes blanchissent , assez pour faire frissonner et gémir le garçon de plaisir.

En quelques minutes, j'ai développé une brûlante passion pour Louis il est si beau, si désirable et, de toute évidence, il ne répugne pas au plaisir charnel avec un autre mâle, alors à moi d'en profiter.

Je m’allonge sur le lit , sur le dos , Louis saute a califourchon ,
Louis est bandé raide maintenant et sa belle queue fine se dresse contre son bas-ventre. et ses couilles sur le mien.

Le gland humide atteint presque le nombril.

Alors je l'attire à moi et le serre contre mon corps haletant, je pose mes lèvres sur sa bouche et il s'abandonne aussitôt.

Pendant que nos bouches se dévorent, mes mains glissent le long de ses flancs étroits et s'emparent de ses fesses.
Ah! Les fesses d'un beau garçon quelle splendeur !

Quel régal!

Je les caresse, les pétris, les palpe amoureusement, puis Louis se positionne pour que nos queues dressées l'une contre l'autre se croisent et se frottent comme deux glaives glorieux, j'écarte ses fesses et effleure l'anus humide du bout du doigt.

Ce gentil garçon brûle de se faire fourrer  le cul, il désire se faire mettre et moi, j'ai le goût de le satisfaire. Louis est si excité ,

Je l'embrasse partout, affolé par l'odeur enivrante de sa peau en sueur.

J'ai très envie de me laisser aller et de rejoindre le garçon dans la volupté, mais je me retiens car son petit cul blanc est un morceau de choix et j'ai bien envie d'y goûter.
Empaler un oisillon frémissant sur ma queue rigide et pulsante et le conduire peu à peu au paroxysme de la volupté anale, rien de plus excitant.

La sensation de possession complète du jeune mâle est grisante et la jouissance tout au fond de son rectum chauffé à blanc n'en est que plus étourdissante.
Sensuel il s'offre à moi non seulement sans résistance, mais avec tout l'enthousiasme de sa jeunesse. 1986-leroilois-2.JPG .

Je prends plaisir à en enduire soigneusement son anus tiède, le pénétrant avec mes doigts, l'excitant jusqu'à ce qu'il me supplie d'assouvir son désir et de l'enculer.

Enfin, mon pénis s'enfonce entre ses petites fesses crémeuses comme un couteau chaud dans du beurre.
 Le garçon étouffe ses gémissements .Je le fourre longuement, lentement, amoureusement. Le garçon gémit et frétille de plaisir comme s’il voulait la faire rentrer encore plus

Manifestement, Louis a retenu les leçons de son père. Il s'ouvre lorsque je l'enfonce ressère son sphincter autour de mon pénis lorsque je me retire.

À plusieurs reprises, je me retire complètement pour reprendre mon souffle avant de replonger avec délices dans son rectum étroit. IL pousse un râle de volupté à chaque fois. Il aime se faire fourrer le cul, le petit cochon, et moi, j'aime ça encore plus que lui.

J'ai une main sur ses couilles duvetées et  joue avec , de l‘autre je le branle avec délicatesse.
 Louis se trémousse et se tortille si bien qu'il jouit avec profusion. Je sens son petit corps s'arc-bouter sous la force de son orgasme, il s'accroche à moi par les jambes, ses ongles m'égrafignent tellement il jouit avec ardeur. La pression de mes mains sur son sexe l'a fait éclater comme un gros fruit mûr En quelques secondes, Louis se cambre et jouit, le corps secoué de spasmes. Je sens son sperme chaud et gluant gigler sur mon ventre et mon torse.

Je lui demande « as-tu déjà goûter ton jus? »

__NON Jamais répondit il.
et soudain un raz-de-marée de plaisir me submerge alors que je décharge à fond dans son derrière de garçon. Salve après salve, mon pénis gicle mon sperme bouillonnant tout au fond de ce petit cul qui se trémousse. Notre volupté est totale et complète.
Nous restons un long moment immobiles, moi toujours étendu sous Louis, les bras et les jambes chaque côté de son corps, ma verge encore enfoncée dans son rectum. Déjà l'extase s'estompe et nous reprenons notre souffle. C'est si bon que je resterais toujours dans cette position, Louis et moi soudés à jamais.
je ne sais plus combien de temps nous sommes resté ainsi et je me mis a effleurer les pointes de ses petit mamelons durs.
__ Ouais, c'est bon...
- Je vois ça, tu bandes encore...
__ Mmm tonton frotte mes tits... plus fort... oui... comme ça! Whaaa!, tu as le tour de main pour me faire jouir des seins.
- Je pratique souvent sur les miens et je sais ce que tu ressens.
__C'est vrai que tu en as des gros. Je peux les sucer ,les mordiller?
-bien sur n'oublie pas que je suis a toi aujourd'hui
Il se jette sur mes mamelons avec avidité et je sens avec plaisir sa bouche mouiller mes seins, il les tète, les excite avec sa langue râpeuse, les mordille du bout des dents. Une onde continue de volupté irradie  mes tétons hypersensibles dans tout mon corps et se concentre dans mon sexe et mon anus
.
- Whaa!  que tu suces bien, mon beau Louis, aimerais-tu m'enculer maintenant?
__ Depuis le temps que j'ai envie de fourrer un mec…mon père ,lui ne veux pas il trouve que je suis trop jeune.

Alors tu fais quoi?
__C'est vrais tonton tu veus que je t'encule?
mais OUI sinon je te l'aurai pas proposé

__CHOOOUUUETTTTEE oh! merci tonton

Je lui offre mon cul à quatre pattes sur le lit.

Je ramassais ce nectar avec mes doigts et lui mis dans sa bouche
__ hummm! mais c'est bon  
vraiment?
__OH OUI tonton tu est génial
ce qui lui provoquait une sur excitation qui par sa jouissance se ressentait en moi

Aussitôt, je sens avec délices le dard vigoureux de Louis glisser entre mes fesses et s'introduire dans mon anus gourmand.
Je sens sa queue s'enfonce profondément dans mon cul.

L'ardeur de ce garçon compense son inexpérience et il me baise avec la vigueur de la jeunesse.
Son pénis insatiable me ravage le rectum, excité ma prostate, fait monter ma jouissance jusqu'à l'explosion de l'orgasme anal.
Cette fois encore, nous venons de jouir ensemble, lui dans mes entrailles et moi sur le drap, nos corps vibrant de plaisir sexuel.Son jeune sperme gicle et remplit mon cul de sa douceur crémeuse.

Je serre mon anus autour de sa queue que je voudrais garder en moi.

Tout au plaisir d'enculer un mec, Louis infatigable continue de se faire aller le bassin, son sexe coulissant dans mon trou comme un piston bien huilé
__Comme tu aime ça tonton, te faire fourrer le cul par un petit jeune ?
- J’ adore ça ! Continue ! Bourre-moi, Louis !
Louis est bien décidé à profiter au maximum de l'occasion et il me fourre dans toutes les positions sans débander,. Le garçon râle de plaisir, s'abandonnant totalement .

Épuisé et repu, Il se blottit dans mes bras et s'endort aussitôt comme un bébé.

Mon copain Romuald est bien chanceux d'avoir à sa disposition pour ses menus plaisirs un jeune fils si beau et dont le petit cul est si doué pour la baise mais devrais lui donner le sien.


Par simon - Publié dans : ma vie
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Mercredi 10 octobre 3 10 /10 /Oct 18:07
de retour en France    

Le 20 septembre 1985 je suis seul a la maison ma femme est parti en vacances trois semaines chez des amis , moi je suis resté pour soigner mes quelques animaux que nous élevons..

Soudain on sonne à la porte .
je cours ouvire OH! surprise c’est mon ami Herve qui rentre de 3 ans d’armée.

« Salut Simon »
_ Salut Herve 
« Tu peux me loger »
_ Oui
Je suis très surpris il est hagard viril presque fou un regard de tueur
Je lui demande " tu vas bien "
« Oui bien »
_ Ou étais tu ?
« Secret»
_ Bon ok
Et la a ma grande surprise il me prend dans ses bras et  me dit  "
’j'ai peur ! "
_
Mais de quoi ?
«
Rien laisse tomber »
Je lui fais un café ,il va prendre une douche
Je l’attends un peu perdu étant donne que je ne   connaissais  pas ce qui pouvait le perturber ainsi.
Il revient
_
Bon moi je vais prendre ma douche
Je lui dis "
va te reposer "
Je ressors de la douche et il dort nu sur mon lit
Ses fesses sont musclées son dos bronzé ses jambes gonflées
Je décide de m’installer par terre pour qu’il puisse dormir
2 heures plus tard je sens des mains passées sous mon dos et mes genoux
Il me porte et me dit " tu ne dois pas dormir par terre "
Je me couche a cote de lui , il a remis un caleçon
apres une bonne nuit.
Je me réveil le lendemain et je décide lui préparer un bon petit déjeuner
Il se lève ne dit rien il est  en caleçon montrant sa gaule matinale (laissant deviner un bite énorme)

Il s’assoit et me dit " merci "
_ De rien
Il bouffe réellement on aurait dit qu’il avait pas manger depuis 10 jours
Il se lève , se gratte les couilles et vient a cote de moi et m’embrasse sur le front et me dit  " c’était super bon ".
« Je vais à la douche
»
Pendant ce temps je refais le litIl ressort en levis bleu clair et tshirt blanc montrant sa musculature et ses fesses de rêves
Il dit  " je reviens tout l’heure "
_ Ok
Toute cette nuit j’avais rêve de son corps sur le mien alors je décide de prendre les choses en main et de me faire une mega toilette
Je commence a me rase au plus près tous en gardant mon petit bouc que Anita adore.
Je rentre dans la douche me lave
Ensuite je me met une crème a la banane je suis enduit de partout
Je met un string de soie blanc , un petit pantalon et un tshirt tout simple
Je l’entends arriver avec sa moto

Il sonne
J’ouvre il est là avec des fleurs
_ Oh merci Herve mais il fallait pas !
Je le sers fort contre moi et l’embrasse sur la joue
En bon hétèro il ne peut s’empêcher de mettre ses mains sur ma chute de rein je le sert encore plus fort
Il me sourit de ses belles dents blanches
Il me dit « ce soir je t’invite au resto pour le logement »
_ Ok
la journée passa trés vite et vers 19h
On descend et il monte sur sa moto
_ Tu sais que j’ai peur sur cet engin
« Tu as qu’a me serre de toute tes forces »
Je monte derrière lui et me serres contre lui
C’était super viril il me prend les mains et les poses sur ses habdos musclés.
Je lui demande " on va loin "
« Non pas très loin »
Il démarre sur les chapeaux de roues alors je le sers le plus possible
Je sens le vent traverse mon tshirt mon pantalon
Un feu rouge ouf je respire
Un gars en bagniole a cote me dit « garçon on voit ton string »
Herve se retourne et lui dit « eh! tu veux mes yeux pour regarder »
Herve me regarde et me dit « remet bien ton froc si tu veux pas avoir d’ennui avec les cons »
Je remonte mon froc il me recale bien contre lui et redémarre en trombe.
Nous entrâmes dans le restau , un appéro , puis un autre le menu est copieux.
Arrive la fin du repas il me demande " tu veus faire quoi? ".
« Rien de spécial c’est ta soirée tu choisis tout je suis a tes ordres »
 Il souris

« Ok on rentre de toute façon je suis naze et je veux dormir »

Arrive dans mon appart je lui demande " tu veus un café? ".
« Oui je veux bien »
Je reviens de la cuisine il est en caleçon et tshirt
« Il fait chaud et ce jean n’a pas suivi ma prise de poids »
_ Il t’allais très bien ce jean, c’est vrai qu’il était un peu serre mais …les filles n’adorent-elles  pas les jolis cul moule dans un jean?.
« Et toi Simon »
_ Pardon dis-je comme si je n‘avait pas entendu
« Tu aimes les cul de mecs moules dans un jean » reprit-il!
_ Oui
_ Et toi Herve qu’est ce que tu aimes?
« Un très beau cul de meuf dans un string et une bouche laissant paraître sa gloutonnerie »
On éclate de rire
Il boit son café et retire son tshirt il part pour la salle de bain tout en baissant son caleçon
Il me demande  " où le met le linge sale? "
Alors je rentre dans la salle de bain et lui montre le panier
Il s’approche pour mettre son caleçon dans le panier et je découvre sa queue à 20 cm de moi



























Elle doit être superbe en érection déjà qu’au repos qu’elle pendouille d’au moins 17 cm
Il se gratte les couilles comme ça devant moi
Il entre dans la douche alors moi j’en profite pour me déshabiller et enfiler autre chose que se string
Et j’entends « c con il te va bien » alors je me retourne et je vois qu’il est la en train de mater mon cul et il me dit « tu peux me frotter le dos stp? »
_Oui bien sur répondis-je 

Là j’arrive il se retourne et je suis devant son cul de dieu grec muscle ferme
Il me tend son gant et  je frotte un peu

 

Il se retourne et commence a rire et m’arroser avec la poire de douche alors il me choppa et me mis sous la douche
Je me débat (en frottant bien mes fesses contre sa queue qui gonfle sans qu’il le veuille).
whaaa!!! tu bandes?

« pencher tu as un cul de meuf .....alors j’ai bandé »
_ Bref c’est pas grave 
« Dit Simon tu ais gène d’avoir vu ma bite ? »
« Non c’est juste que j’aurai ….. »
« Aurai quoi !! , ben maintenant tu sais que ma bite contre ton cul ça me fais bander »
_ Ok! Ok!…
Il se couche avec son caleçon
Moi je part a la douche je revient après 10 min entièrement nu , protégé par une serviette , il ne dort pas il est la sur le dos les yeux en l’air les mains derrière sa tête
Je décide de faire ma salope
Je retire ma serviette et je m’allonge à cote de lui
Il me dit « tu va pas dormir comme ça ? »
_ Comment
« A poil »
_ Et pourquoi?
« Je sais pas ,hier tu étais bien en caleçon »
_Oui mais ce soir…… Non je reste comme ça 
« Ok »
Là il retire son caleçon et se met donc nu sur la couette
« Moi je dort toujours comme ça nu sans rien sur moi »
On éclate de rire d’entendre la stupidité de notre conversation
Mais on reste ainsi
Dans la nuit je décide de me venger
Je décide de le chatouiller
Je monte sur lui et commence à le chatouiller par les hanches
Il se réveille brusquement
Il est mort de rire il essaie de se dégager mais je tiens ses hanches et j’ai mis mes 2 jambes sur ses épaules si bien que mon cul est très près de sa tête
Il rigole il est vraiment mort de rire il me supplie " arrête "
En un coup il arrive à basculer si bien qu’il se retrouve sur moi
Je suis nez a nez avec sa queue et lui avec mon cul
Il dit « ha! tu veux jouer a se jeu la …»

Ses 2 genoux me bloquent les mains alors je me dit il ne reste qu’une seule chose a faire:
mettre des coups de langue sur sa queue
Dans l’euphorie du jeu il ne s'en rend pas compte de suite
Alors je gobe sa queue entièrement
Il arrête et se retourne et me regarde avec ses yeux de tueur et me dit
« Tu fais quoi la »
_ Je me défends 
« En me suçant le queue ! »
J’éclate de rire
« Rigole pas tu peux pas me sucer le dard comme ça »
_ Il y avait que ça a faire j’étais bloquer
« Oui mais tu me lèche la queue comme la pire des salope »
_ C’était ça ou j’avais rien pour me défendre
« Regarde c’est comme si moi je faisait ça »
Et là il se remet au dessus de moi nez a nez avec sa queue alors je lui gobe pendant qu’il lèche mon cul rasé qu’il a l’air d’apprécier
Je le suce et sa queue grossie de plus belle
Il arrête , essaie de se retourner mais je lui pompe tellement la queue qu’il a du mal a se dégager et quand il y arrive on entends un bruit de succion
Il me dit « putain arrête de me pomper la bite comme un malade  , je te montrer seulement ce que j’aurai pu faire »
_ Hervé arrête de me prendre pour un con je vois bien que tu aimes que je suce ta queue »
« C’est normal je reviens de 3 ans d’armée ou je n’ai eu que ma main pour me branler et toi tu met la bouche c’est extra mais je ne suis pas homo »
_Moi non plus mais Hervé arrête ...tu viens de me lêcher le cul»
« Oui mais je te montrai ce que j’aurai pu faire »
On éclate de rire
_ Ce que tu es hypocrite
« Non mais je suis un mec »
_ Et alors moi aussi
« Oui mais toi tu aimes les mecs moi non »
_ Ah oui
« Oui j’aime pas les mecs »
_ Regarde mon cul et dis moi ce que tu en pense?
« Je l’ai vu ton cul tout a l’heure je viens même d’y mettre la langue »
_ Et alors tu as pas envie d’y mettre ta queue?
« Excuse moi mais je ne peux pas faire ça avec toi c’est pas possible »
_ Et pourquoi?
«  T es mon meilleur pote »
_ Oui un pote qui vient de te proposer un plan cul

Il me met la main au cul et commence à me peloter comme un malade
Alors je me retourne  sur le dos , Hervé se mit sur moi
M’embrasse et me retourne sur le ventre il descend le long de mon dos avec sa langue

Je lève mon cul en l’air si bien qu’il voit que je suis entièrement a lui
Il commence a embrasser mes fesses et se met a lécher mon cul comme si c’était une chatte de meuf
Alors je me cambre a fond
Il met ses mains sur mes fesses et pelote virilement en profite pour mettre un doigt dans mon petit cul serre
Je me retourne  à nouveau et descends lentement vers sa queue
, je la gobe  je la suce comme un malade comme si c’était une glace a la vanille
Je l’entends gémir de plaisir
Il met ses mains sur ma tête pour que je continue a gober son démonte pneu
Il me retourne relèche ma rosette toute rose va même jusque cracher dessus
Il enfile une capote et commence à essayer d’introduire son dard
Voyant la difficulté à entrer ses 20cm
Il donne un coup sec et rentre entièrement sa queue
Aie…Aie criais-je de douleurs

Il bourre de plus belle ,encore et encore je suis assailli par ses coups de reins
Il tape de plus en plus fort sur les fesses , se retire et  me tourne d’un coup et  me pénètre en face a face,
 il me regarde me sourit et dit
« Tu as un cul fais pour ma queue »
Il m’embrasse
D’un coup il se retire et met sa queue au dessus de ma bouche ,retire sa capote et se branle frénétiquement
Il cri de plaisir et éjacule tout son foutre sous mon nez ,il étale bien son jus sur mes lèvre et entre dans ma bouche qui n’attendait que ça pour que je suce sa queue qui ramolli
Il se retire et se met a cote de moi il  reprend une bonne respiration
Il me regarde et éclate de rire
« Tu es plein de foutre mon petit , tu as aimé? »
Je souris
On s’endort
Le lendemain je me réveille tout collant  , je suis seul
Il y a un mot me disant « il faut que je réfléchisse »
Je pars sous la douche ,soudain le téléphone sonne
C’est lui
Il me dit « je revient ce soir » …….
Et depuis cette nuit il me baise quand il rentre en permission ,
il a même demandé a Anita " je  peus encore le baiser le beau Simon ".

 elle lui avait répondu " si ça lui plait , il fait ce qu'il veut "

j'ai recu des nouvelles des jumeaux Robert et Romain (souvenez vous Fatima le femme de Joseph) Robert-Rmoain-1986.jpg
Par simon - Publié dans : ma vie
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