ma vie

Mercredi 10 octobre 3 10 /10 /Oct 15:50
Au vacances de Noél  mes neuveux Bertand et Antoine décident de cousiner. lasurprise-1977.jpg  "et oui tonton Simon tu nous donnes de tres bonne idées avec tes revues que tu as rangé au grenier ". me dirent-ils.

AH! c'etait donc vous!

OUI TONTON




1978

je retrouva 1978-paul.jpg Paul


Un copain de Cm2 je restais émerveillé de son corps velu et bien musclé ,mais sa bite était toujours resté petite ,je lui suça pour pouvoir la regarder grandir ,elle n’avait pas changé petite et fine comme au bon vieux temps.

pui en cours d'année un nouveau voisin Vincent Vincent-1978.jpg





1979

Chez le coiffeur

On est en juillet. Il fait chaud et je n'en peux plus d'avoir les cheveux si longs. Ca me tient trop chaud. Je prends le téléphone et je prends RDV chez un coiffeur à la mode. Je mets mon nouveau jean et mon p'tit t-shirt serré.

Arrivé chez le coiffeur, je suis accueilli par un homme charmant. Brun, la trentaine peau mat, 1.75 m environ.

- Bonjour monsieur, Vous avez rdv ?
- Oui à 17h45... C'est un peu tard...
- Non, vous serez juste le dernier client de la journée

Il se retourne et consulte le carnet.
- Julien, c'est pour toi !
Je vois alors au fond du salon, un jeune mec châtain foncé, très viril coiffait une vielle peau au brushing trop gros.
- Merci Kamel. Je finis avec Mme et je suis à vous !

"A moi ", si seulement !

Je m'installe et prends un magazine. Je m'aperçois qu'il y a une autre coiffeuse qui fait du rangement dans ses affaires. Sinon le salon est plutôt calme.

Kamel vient vers moi et me propose un café en me regardant droit dans les yeux avec un petit sourire étrange.
- Non merci, j'ai trop chaud.

Julien a fini avec la vieille dame. Il la remercie et vient vers moi.

Il me tends la grande blouse bleue et m'aide à la mettre.

Le shampoing commence par un massage divin. Ses mains sont fortes mais bougent avec sensualité.

J'entends la coiffeuse dire au revoir à ses collègues et la porte se refermer derrière elle.
 Julien me sèche les cheveux et m'installe sur la chaise devant un grand miroir. Il me coupe les cheveux, on discute de tout et de rien pendant que Kamel range un peu le salon. Il s'approche et me regarde toujours en souriant.
- Ca fait du bien un peu de fraîcheur, hein ! En désignant mes cheveux courts !
- Oh oui ! J'espère juste que je pourrais me coiffer demain !
- Mais oui me dit Julien. Je vais vous montrer...

il mets un peu de gel sur ses mains et me coiffe les cheveux en pétard.

Autant je n'avais rien remarqué pendant la coupe, autant là j'ai l'impression que ses mains me caressent plus qu'elle ne me coiffe.

Il est collé à mon siège et ma tête touche parfois son ventre ferme.
Kamel se met devant mon siège et observe mes cheveux.

- Attends ! Regarde on pourrait lui mettre les cheveux comme ça, non ?
Il avança mes cheveux vers l'avant et me demanda
-Vous en pensez quoi ?

Il est tout prêt de moi et j'ai juste son le haut de son jean devant le nez. Je sais pas ce qu'il m'a pris mais j'ai répondu les yeux fixés sur les boutons :
- Ca a l'air intéressant ! Je demande qu'à voir !
Plus un mot. Ce silence est gênant. Je regarde leurs visages dans le miroir. Julien sourit à Kamel qui va fermer la porte à clé.

Julien tire ma tête en arrière et me caresse. Il se baisse et m'embrasse. Kamel est revenu et me masse le sexe à travers le jean.
-T'as pas de slip, mec ?

- Non j'ai trop chaud !

Il ouvrit alors les boutons 1 à1 pour dégager ma bite déjà bien raide.

Julien m'embrassait de plus belle tout en baissant son pantalon de toile.

Kamel approcha sa bouche de ma bite et joua un peu avec avant de me lécher les couilles.

Julien laissa ma bouche un instant pour enlever son t-shirt et son pantalon de toile tombé sur ces pieds
1979-julien.JPG et passer devant moi rejoindre Kamel.

Ils se mirent à 2 sur ma queue. J'ai cru que j'allais exploser.

  Kamel  c'est  relevé pour se déssapper mes yeux sortirent de la tête a la vue de son engin.
1979-kamel.jpg Leurs corps étaient parfaitement comme je les aime. Kamel s'est approché et a joué un peu avec sa bite sur mon visage avant de me laisser le pomper comme une bête assoiffée. J'ai tiré Julien vers moi pour avoir leurs 2 bites dans la bouche.

Celle de julien était plus épaisse. Ils se roulaient une pelle, pendant que Julien massait les fesses de Kamel.

J'aventurais alors mes doigts dans leurs raies jusqu'au trou.

Kamel écarta légèrement les fesses m'invitant ainsi à entrer.

Julien était apparemment plus retissant et se laissait juste masser le trou.
Mes coups de langues étaient plus assidus que jamais et suivaient le rythme de mes doigts dans le cul de Kamel. 
J'ai senti alors que le corps de Julien était tendu. 
Il se retira de ma bouche pour cracher tout son jus sur ma figure. 
J'en étais tout excité. Kamel aussi puisqu'il la suivi de près.
 Julien s'est alors approché de mon visage pour lécher son foutre pendant que Kamel se soustrayait à mes doigts pour me tailler une pipe que je n'allais pas tenir longtemps.
 J'essayai de me retirer mais Kamel m'en empêcha et se prit tout mon foutre la bouche. Il s'approcha alors de nos bouches et on se roula une pelle à trois pleine de foutre.
 J'étais vidé mais complètement excité.

On s'est lavé dans le bac à shampoing et on a fini la soirée au ciné et en boite.

deux mois plus tard.

je finirai l'année avec 1979-marco.jpg  qui apprécie mes venues fréquantes en disant a Marco " tu aurais du trouver ce copain beaucoup plus tôt "

1980

Ce soir la  Paolo 1980-paolo.jpg ,il n’a peu résister a la tentation de sentir en lui mon chibre de même calibre mais plus longue . dépucelé il ajouta « pourquoi avoir attendu si longtemps , c’est si bon » mais n’oublia pas de me défoncer …….

 

en juillet

Didier et moi étions partis en vacances tous les deux pour faire de la randonnée dans les gorges du Verdon. ( nos femmes étaient parti a la plage)

Il connaissait mon penchant pour les mecs, mais cela ne le gênait pas.

Pour lui, nous étions amis et c'est tout.

Son hétérosexualité me désespérait, mais j'avais appris à vivre avec.

Il est vrai qu'il m'était arrivé à plusieurs reprises de le caresser pendant son sommeil lorsque nous passions des soirées arrosées et qu'il s'endormait sur mon canapé.
Une fois, je l'ai même sucé.

Mais c'est frustrant.

J'avais envie de le sucer avec son consentement, qu'il prenne ma tête entre ses mains et me caresse les cheveux pendant que je lui gobe les couilles.

J'avais surtout envie de goûter sa semence qu'il lâcherait dans un râle de plaisir.

Enfin bref, quoiqu'il en soit, je devais faire contre mauvaise fortune bon coeur, et ne rien attendre de plus que son amitié.

Pour nos randonnées, nous avions loué un petit studio où nous nous rendions tous les deux jours, les autres nuits étant passées sous une tante.

Les premières nuits, nous tombions épuisés par notre journée et dormions à peine la tête posée sur l'oreiller.

Nous avions des lits superposés et je dormais en bas.

Le surlendemain, au moment du coucher, je lâchais sur le ton de la plaisanterie que j'allais probablement avoir recours à la masturbation très bientôt.

Cela nous a fait rire, mais Didier ne tarda pas à m'avouer " depuis 6 mois maintenant (sa femme évitait de baiser) ",de ce fait il relâchait régulièrement la pression de ses couilles par la branlette.

Je lui expliquais " pour moi, c'était idem ", et que je me branlais au moins une fois par jour.

A tout hasard, je lui dis " si un soir tu as envie de plus qu'une branlette, ou une fellation te manque vraiment, tu n'as qu'à descendre de ton lit, sans rien direpour me rejoindre ".

Il pris cela comme une plaisanterie, et repoussa cette éventualité « je ne suis pas pédé moi, désolé » me dit-il.

Une demi-heure plus tard, après que l'idée ait fait son chemin,

Didier descendit de son lit totalement à poil, sa queue raide lui touchant presque le nombril !

Je m'attendais à ce qu'il ne dise rien et vienne près de moi pour que je le suce mais il me regarda et me dit :
- " j'ai bien réfléchi à ce que tu m'as dit  ".

Mais je veux que tu saches "  je ne suis pas homo  ".

Mais après tout, " si tu as envie de moi, et que moi j'ai envie de sexe, j'accepte ta proposition jusqu'à ce qu’on retrouve nos gonzesses " .

" Que tout soit bien clair ".

J'acquiesçais dans un hochement de tête et ouvrit mon lit à l'homme que je convoitais depuis si longtemps
1980-didier.JPG Il est superbe. Son torse est bien velu de poils blonds et roux comme le pain bien cuit.. Ses tétons sont petits et fermes mais très érectile.

Son sexe s'érige fièrement au dessus de la plus belle paire de couilles qu'il m'ait été donné de voir, de toucher, de gober, de lécher.

Non pas par la taille, mais par leur forme, leur douceur.

Maintenant je le sais, je suis fou amoureux de lui.

Je prends son sexe dans ma bouche et en savoure le moindre endroit.

Cette bite !.

Elle est si bonne. Je joue avec son prépuce, son méat et le branle lentement.

Je ne veux pas qu'il jouisse trop vite, je veux profiter longtemps de lui.

Quand ma bouche quitte son sexe, c'est pour parcourir le reste de son corps.

Son ventre, son nombril, ses seins. Même ses aisselles m'excitent. Je lui lève les bras et commence à lui lécher les poils.

J'entends des râles de plaisir m'indiquant que c'est probablement la première fois que quelqu'un lui fait ce traitement.

Il aime, il adore.

Je lui ai fait l'amour comme ça pendant plus d'une heure.

Il a lâché son doux sperme dans ma bouche et je le nettoyais complètement avant de quitter son sexe à grands regrets.

Il resta quelques longs instants sans bouger puis me dit :
- " Jamais je n'avais joui de la sorte ".

Et il parti dans son lit en me souhaitant bonne nuit.

J'étais aux anges. C'était notre première avec son consentement , et déjà il semblait conquis.

Les autres nuits n'ont pas tardé à s'enchaîner en évoluant.

La suivante, il resta près de moi après qu'on ait joui pour discuter avant de remonter. Celle d'après, il s'endormit près de moi et y passa la nuit.

Celle d'après, il m'embrassa. J'ai bien cru fondre sous ses baiser.

Maintenant, il passe des nuits entières avec moi, et je l'initie doucement à la sodomie.

Pour lui montrer mon attachement je l’oblige a me défoncer le cul.

Il le fit et une fois a l’intérieur de moi , il y pris plaisirs ,me bourrant a des rythmes plus ou moins régulier jusqu’à la jouissance totale dans mes entrailles.

Il se retira quand sa queue fut mole et sortie d’elle même et dormit ainsi contre moi toute la nuit.

Celle d'après , il me demande « vas y baise moi » car j’ai découvert la jouissance masculine avec toi et pour t’en remercier je t’offre mon cul pour une première.

Je ne me fis pas prier .

Je le pénétra lentement faisant de petite pose pour soulager la douleurs , râlant étouffant ses cris dans l’oreiller, mes sur ses reins mes pouces massant son bas du dos le faisait vibrer et ses mouvements permettaient a ma bite d ‘aller plus au fond encore , de plus en plus vite , toujours plus fort je ne résista plus longtemps et éjacula en lui et ce soir c’est moi qui me retira , quand ma queue fut mole et sortie d’elle même .

" Que c’est merveilleux je n’ai jamais jouis de la sorte  " dit-il

Depuis …..

Il aime me prendre et se faire prendre .

Peut être qu’une prochaine il me dira qu'il m'aime ?



Apres ces bonnes vacances

 



J'avais alors 35 ans et j'étais en déplacement dans une ville bretonne.
Malgré le fait que je sois marié j'étais quand même fortement attiré pare les hommes plus âgés , mais un plus jeune j‘aimais aussi.

Je m'ennuyais ferme le soir seul dans cette ville ou il y avait vraiment peu d'activités. Mon hôtel était à une quinzaine de kilomètres de la ville pour bénéficier d'un bord de mer on ne peut plus agréable.

Le soir après le boulot j'allais faire un peu de sport mais pas de rencontre, bref je trouvais les semaines très longues.

Un soir que je traînais dans la principale rue marchande, je  rentrais dans un magasin de journaux et pour passer une soirée agréable à l'hôtel je me cherchais une revue X. 
Je choisissais une seconde revue d'ordinateur pour cacher mon premier achat et me dirigeais vers la caisse.

Un homme d'une quarantaine d'année   1980-guy-copie-1.JPG  trônait derrière la caisse, il prit mes revues, pris un mail plaisir à mettre la revue X sur le dessus, en me souriant, et me fit payer.

je rentrais directement à ma chambre et durant toute la route je repensais à cet homme.
Je m'allongeais en rentrant et très excité, je me masturbais en regardant ces photos très chaudes, mais là je fixais plus les sexes tendus que les attributs des miss se faisant câliner.

J'allais manger, seul, et en revenant à ma chambre, je pris une douche et recommençais ma petite séance de plaisir solitaire en pensant à cet homme qui m'avait excité rien que par son sourire plein de sous-entendus

Au matin, ma décision était prise j'y retournerais le soir même. Autant vous dire que la journée fut longue. Je me baladais 2 heures dans cette ville et vers 19 H je me décidais enfin et rentrais dans la boutique.
Je fus accueilli par un " bonjour " du patron auquel je répondis, un peu gêné, il enchaîna en disant bien fort dans le magasin qu'il allait fermer et qu'il demandait aux personnes présentes de bien vouloir hâter leur achat.
Les quatre rangs de rayonnages se vidèrent, et moi, j'étais toujours devant le rayon des revues X en train de mater et essayer de choisir ou d'attendre.
Il rentra les présentoirs et passait dans les rangs pour vérifier l'absence de client.

Il arriva derrière moi ,silencieusement et me dit :

- je peux vous aider ?
- heu, excuser moi je vais faire vite,
- prenez votre temps ce n'est pas grave, je reviens de suite.
Alors la j'étais vraiment dans tous mes états : inquiet, excité, Je l'entendis fermer la porte et revenir vers moi.

Je me retournais et me trouvais face à lui.
- vous voulez une revue comme hier ? Elle n'était pas bien ?
Et là je ne sais pas comment j'ai réussi à lui sortir cette phrase :
- si mais il n'y avait pas beaucoup de photos d'hommes
- je vais vous en trouver des mieux, mais venez par ici car le magasin est fermé , mon patron  est parti aussi et je voudrais éteindre.
Je le suivais dans son arrière boutique : il y avait juste un bureau dans cette pièce.

Je restais devant le bureau et le suivais des yeux alors qu'il fermait sa boutique.
Il revint avec des revues homos " soft ", il me les posa sur le bureau et me dis de choisir.

Je commençais à les feuilleter et j'étais au comble de l'excitation.
Je le sentais derrière moi, regarder mes réactions par-dessus mon épaule.
- je vais t'en chercher d'autres
Je profitais de son absence pour replacer mon paquet bien tendu dans mon slip.
La seconde série était, cette fois-ci très hot, on voyait tous les actes possibles entre hommes et  cela m'excitait énormément.

Je n'étais pas le seul :
- tu aimes ?

Et en disant cela il se colla à moi, je le sentais dur contre moi mon pantalon en toile ne faisait pratiquement pas barrage.

Il commença à m'ouvrir ma chemise en m'embrassant dans le cou.

C'était merveilleusement bon, je me laissais faire et j'aimais ça.
Il retira ma chemise, je voulu me retourner mais il m'obligea à rester dans cette position et me dit :

" laisse toi faire, pour une fois je vais m'occuper de toi ".

Je devais vraiment être gauche pour qu'il le devine de suite.
Ces mains se posèrent sur mes pectoraux et ses doigts jouaient avec mes pointes de sein.

Je gémissais de plaisir.

Sa main droite descendit et s'attaqua à la ceinture et au bouton qui retenait mon pantalon.

Ce ne devait pas être une première pour lui car en peu de temps je me retrouvais en slip.

Mes mains cherchaient son corps mais il me les repoussait, sous le charme je me laissai faire.

Sa main droite caressait mon slip, je la sentais et la regardais aller et venir le long de mon sexe tendu, partir vers mes couilles, les caresser, les faire rouler et repartir vers mes fesses pendant que ses lèvres effleuraient mon cou.
Il m'embrassa dans la nuque et je sentis ses baisers descendre le long de ma colonne alors qu'il retirait en même temps mon slip.
J'étais nu avec un homme entrain de me faire l'amour et j'aimais cela.
Il se releva, me fit retourner et m'embrassa sur la bouche. Jamais je ne m'aurais cru capable d'embrasser un homme que je ne connaissais pas et pourtant je le faisais et j'aimais ça.
Tout en m'embrassant, il repoussa les revues et me fit asseoir sur le bureau.

Sa bouche descendit le long de mon cou alors que ces mains me torturaient toujours délicieusement les pointes de sein.

Sa bouche remplaça ses mains, je pensais que j'allais jouir sous l'effet de ses caresses.

Il me prit les couilles et recommença à me les malaxer sa bouche était maintenant sur mon nombril, sa langue virevoltait dedans, son autre main titillait mes seins : que de bonheur.
Il s'arrêta quelques secondes pour me regarder offert et tendu, il retira sa chemise, me dévoila un beau torse poilu et me demanda " allonge toi ", je ne pouvais rien lui refuser.

Il me décalotta doucement de ses lèvres et commença un lent va et vient je sentais la chaleur de sa bouche autour de moi ses mains se posèrent à nouveau sur mes couilles alors que sa bouche montait et descendait lentement, je n'en pouvais plus, et il le sentais,

je commençais à me tordre pour éviter de jouir et retarder cet instant,

il accéléra en me serrant encore plus fort les couilles, c'était plus que je ne pouvais en supporter et je ne pu me retenir et jouissais au fond de sa bouche, c'était l'extase, je me sentais vidé, heureux et, le temps de reprendre mes esprits, tout honteux et gêné.

Il me fit me remettre assis et m'embrassa, força ma bouche et je me retrouvais à partager mon sperme avec lui, et le pire de tout c'est que je n'étais pas dégoûté mais au contraire très excité.
Doucement il me fit me relever et me demanda de me mettre a genoux devant lui les mains derrière le dos.

Après ce qu'il venait de m'offrir je ne pouvais pas lui refuser.
Il retira son pantalon et debout devant moi, le slip tendu il me dit " tu vas  t'occuper d'elle. "

J'y suis allé à l'instinct, ce slip tendu me cachait un sexe que j'avais envie de sucer à mon tour. J'approchais mes mains mais il me les repoussa, je compris qu'il voulait ma bouche.

Cette situation m'excitait, je sentais mon sexe durcir à nouveau.

Je commençais à le mordiller à travers son slip et pris l'élastique dans mes dents pour lui retirer.

 

Je me sentais maladroit mais je sentais que cela l'excitait il m'aida à le retirer et

un beau sexe tendu s'offrait à ma vue.

Je me mis à téter le bout du gland, l'effet était prodigieux, doux, chaud, vibrant, le décalottais et l'enfonçais dans ma bouche.

Ma langue jouait avec le frein, avec le petit trou, enfin je suçais un homme !!!

Je montais et descendais le long de son sexe tendu je l'entendais gémir.

Il me demanda d'arrêter et me releva.

Nous nous sommes embrassé, les deux sexes tendus l'un contre l'autre, il les prit et commença à les masturber en même temps d'une main.

Il me demanda si je souhaitais aller plus loin.
Oui j'en avais envie, il avait pris possession de mon esprit et de mon corps, je ne vibrais plus que pour le sexe.

Il me fit allonger sur le bureau et il reprit mon sexe tendu en bouche.

Il me fit poser mes jambes sur ses épaules et je sentais ses mains caresser mes couilles, puis doucement sa bouche s'empara de mes couilles alors qu'il commençait doucement à me caresser entre les couilles et l'anus.

La pression augmentait doucement alors que ces doigts maintenant commençaient à caresser les contours.

Sa langue vint se poser sur mon anus et commença à me titiller de façon délicieuse, je ne pensais pas que cela serait si bon.

Elle fut vite remplacée par un doigt qu'il fit entrer et sortir doucement.

Il s'arrêta et me demanda de me caresser pour lui.

Je ne pouvais rien lui refuser, mais alors que je prenais mon sexe en main il me précisa qu'il voulait me voir jouer avec mon cul.

Je passais doucement la main sur mon cul légèrement ouvert et humide et commençais en entrant un doigt au plus profond de moi.

Il appréciait de me voir ainsi et me demanda en s'approchant du bord du bureau de le sucer sans m'arrêter.

Son sexe était très tendu et je voyais de la mouille au bout du gland, je le happais avec gourmandise. Au bout de plusieurs va et vient il se retira et me dit " continue a jouer avec ton cul, je vais chercher ce qu'il faut  " .
Ce ne fut pas long et je le vis revenir et se remettre entre mes jambes.
Je retirais ma main et sentis un doigt froid sur mon anus (je compris un peu plus tard que c'était le gel).

Il rentra facilement deux doigts , les retira et fut suivi d'une seconde rentrée.

Pour une première fois, je tombais sur un homme patient attentionné, tout ce qu'il me fallait.
Il me préparait doucement en faisant de lent va et vient de ses deux doigts, je me tordais de plaisir et lui demandais de me prendre.

Il retira ses doigts, et je sentis son sexe contre mon anus, il poussa doucement, cela me faisait un peu mal et il le senti, il ralenti et d'un coup la douleur disparu, le gland était passé.

Il resta quelques instants immobile, le temps que je puisse m'habituer et il s'enfonça à fond doucement. La nouvelle sensation de son sexe contre ma prostate me mettait au bord de la jouissance.
Il commença alors à entrer et sortir en accélérant doucement, il m'attrapa les couilles te les malaxa d'une main alors que de l'autre il me branlait au même rythme que ses pénétrations.

Au moment je jouissais pour la seconde fois je le vis se tendre, lui aussi, de plaisir, il jouissait en moi.

Soudain une voie se fit entendre derrière nous « alors papa on fait du rab ».

L’homme sursauta et dit « Oui mon fils ce jeune homme avait besoin de conseils alors je lui expliqué ».

Je vous observais depuis une demi heure et regardez dans l’état que je suis?.

Il enleva sa chemise et laissa tomber son pantalon.
1980-inconnu-2.JPG Devant nous une queue raide comme du bois il dit alors « père donne ton cul au client »

L’homme se pencha sur le bureau et me tendait son cul.
ce que je fis , mon sexe pénétrant ainsi le vendeur. qui cria a son fils

« et toi qu’est ce que tu attend pénètre le »  celui ci se présenta derrière moi , son gland touchait mon cul encore distendu et m’enfonça son pieux (19 cm) , pris en sandwich je ne pouvais que suivre le mouvement ,tout en branlant l’homme je jouissais en lui et son fils en moi.

J'étais crevé, et eux aussi, l’homme se colla contre moi et m'embrassa tendrement, je sentais la bite du fils mollir et ressortir de mon cul nous restâmes un bon moment ainsi, à nous caresser et embrasser, j'étais aux anges.
Ils me disent qu'ils devait rentrer chez eux et nous nous séparâmes après une douche pleine de caresses et tendresse dans l'arrière boutique. Il me restait une semaine et demi de déplacement dans cette ville

Le fils passa deux fois a l’hôtel ,sous le bras quelques revues X , pour mieux se faire pardonner de son intrusion dans ma vie , mais j’avais bien compris que seul mon cul l’intéressé .
1980-inconnu-3.JPG








1981

1981-Louis.JPG
une visite inatendue , mon fils éligitime Louis (souvenez-vous Joseph et Fatima en 1960)
maman m'a dit la verité a mon sujet alors je suis venu voir mon "papa".

il me dit " je suis comme toi j'aime les mecs et les nanas "

" c'est bien fiston  " répliquais-je  " et que toi tu pourras procréer ta succession "

"j'espère bien que oui "

" tu ne trouvera pas d'inconvéniant que je  te pompe à chaque visite " .

" je te doit bien ça "

Sylvain me pompe comme un Dieu et joue avec ma pastille .
 
dans ma tête  je pensais  " me demandera-t-il un jour de m’enculer? ".

Moi je l’espère…….et que lui aussi acceptera de ce faire baiser par son père créateur malgré mes 36 ans


je décida quelques moi apres a me lancze dans l'informatique et je parti en formation une semaine a Nancy.

mon stage est terminé je rentre

Cela faisait 3 jours que je passais toutes les fins d'après-midi sur ce programme que je devais rendre le lendemain. Je regardai les lignes défiler sur l'écran sans comprendre ce qui clochait l soudain l'écran afficha le message tant redouté : « Index out of range ». 
Je tapais sur la table en lâchant un soupir d'exaspération. Dans une demi-heure, la salle d'informatique allait fermer et ce foutu programme ne fonctionnait pas.

Au fond des rangées d'ordinateurs, il y avait le moniteur de la salle d'informatique penché sur son écran.

Je contemplai désespéré mon écran tentant d'analyser ces vicieuses lignes de codes et de comprendre mes erreurs.
 J'entendis derrière moi une voix qui me demanda « tu veux que je t'aide ». Je me retournai et je vis le moniteur qui s'était approché sans que je m'en aperçoive. Il était chargé de surveiller le bon usage des ordinateurs et nous prodiguait des conseils.

Il devait avoir entre 25 et 30 ans, athlétique, brun, avec des yeux noirs, très beau avec ses traits affirmés et volontaires. Beaucoup de charme. J'acceptai son aide avec ferveur.

Il s'assit à coté de moi et me demanda ce que je devais faire et quel était le problème. Il était souriant et disponible. Très pédagogue, il m'expliqua et corrigea mes fautes. De temps en temps, par inadvertance, nos mains se touchaient  provoquant autant de décharges électriques qui me troublaient. 
Son parfum léger et agréable arrivait jusqu'à mes narines. Je fis semblant d'écouter car j'étais subjugué par ses mains et son visage.

Le programme fonctionnait. Maintenant il était l'heure de sortir. Le moniteur éteignit les ordinateurs et la salle. Nous nous retrouvâmes dans le couloir. Il ferma la porte.
 Je ne sus pas pourquoi je l'attendis. Il se tourna et me demanda « tu vas bouffer maintenant ? » 
Je lui répondis « oui je vais au Mac Do voisin de mon hôtel. ». 
« Tu permets que je t'accompagne ? Je n'ai plus rien dans le frigo ».
 J'acquiesçai, enthousiaste.

Pendant le repas, on a discuté de tout. J'appris qu'il était a part informaticien, assez sportif, célibataire, qu'il habitait le vieux Lille.
 A chaque fois, qu'il plongeait ses yeux noirs dans les miens,ou qu'il me touchait la main pour prendre du pain ou du sel je rougissais.  J'étais sous le charme. Comment  ne l'avais-je pas remarqué avant ? 

il me demanda doucement « alors qu'est-ce qu'on fait ? » en me regardant droit dans les yeux.
Je m'entendis lui dire avec stupéfaction « je t'offre un café  dans ma piaule ? ». Il me décrocha avec un sourire ravageur..Je pris 2 grands café a emporter  et On sortit du Mac Do.

Nous nous rendîmes presque muets, dans ma chambre d'hôtel, qui était proche du restaurant .
 En ce début de soirée, le calme régnais . Ma piaule, 4ème étage  numéro 403. Il y avait  un lit double, un bureau, une armoire, une douche. Comme je suis ordonné, je pouvais l'inviter sans honte. J'avais mis quelques photos de ma femme et de ma fille dans un coin du bureau auxquelles il jeta un coup d’œil.
 Il s'assit sur le lit. J'allumai les deux lampes qui dispensèrent une lumière douce plus douce que celle, blafarde du plafonnier. Je lui donna le  café et je m'assis à coté de lui. Il me regarda et je fus captivé par son regard.
nous bumes le café tranquilement en parlant de tous et de rien.

Il approcha sa main et m'effleura le visage. Je ressentis sa chaleur. Il m'attira et déposa sur mes lèvres un doux baiser. Je le lui rendis tout en plongeant dans le lac noir de son regard.
 Il me serra contre lui et m'embrassa fougueusement. Je sentis sa chaude langue caresser la mienne. Ses mains parcouraient mon corps et retirèrent ma chemise de mon pantalon. Tout en continuant à m'embrasser, il la déboutonna et me l'enleva. Je sentis mon tricot de corps se soulever et ses mains brûlantes touchèrent ma peau. Des décharges électriques parcouraient mon dos et je sentis monter en moi une chaleur bienheureuse. Il retira mon sous-vêtement puis ôta rapidement son pull et son tee-shirt. Il me serra à nouveau dans ses bras et me coucha sur le lit. Nous étions peau contre peau, langue contre langue, nos mains cajolant nos corps embrasés.

Il cessa de m'embrasser et défit ma ceinture. Il déboutonna mon jean pendant que je le caressai à travers son pantalon. Sa main se glissa entre le jean et mon slip. J'étais en pleine érection. Il me caressa le sexe en m'embrassant à nouveau. 
Je défis sa ceinture et je déboutonnai son pantalon. La braguette glissa et je sentis également sa verge en érection, bien dure et bien imposante. Sa bouche descendit sur ma gorge puis sur son mon torse pour atteindre les tétons qui étaient eux aussi très durs. Il lécha et les mordilla alors que ses mains s'affairaient à enlever mon jean.
 Sa bouche descendit sur mon ventre vers mon pubis. Il embrassa ma verge à travers le tissu très fin et soyeux de mon slip. Il termina de m'enlever mon pantalon qui rejoignit la chemise sur le sol. Il se leva et retira son jean. Il avait un boxer noir qui moulait son sexe tendu et gorgé de promesses.

Je m'approchai de lui et pris ses fesses entre mes mains. J'embrassai sa barre à travers le boxer et impatient je le fis glisser. La verge jaillit.
1981-herve.JPG Elle avait une odeur agréable et musquée.

Il me caressa le visage avec son chibre.

J'ouvris la bouche et l'enfourna goulûment.

Il me tint la tête en faisant courir ses mains dans les cheveux.

Son membre allait et venait tandis que mes mains emprisonnaient ses fesses très fermes et musclées. Puis, je le branlai alors que ma bouche voyageait de ses testicules au bout du gland. J'entendis ses râles de plaisir et je fus complètement noyé dans des ondes de chaleur lubriques.

Il se retourna et s'appuya sur le bureau, les jambes légèrement écartées. Je baisai ses fesses en les massant délicatement puis je les écartai. Sa rosette m'apparut comme un soleil. J'enfouis mon visage dans ses chairs et ma langue lécha rapidement sa fente. Il poussa à nouveau un râle de plaisir. Je déambulai, de haut en bas et m'attardai sur sa rondelle du bout de la langue. J'écartai encore plus ses fesses et j'introduis ma langue dans son trou.

Je mis mes deux mains sur son sexe et je le branlai en cadence.

Au bout d'un moment, il se retourna et me coucha sur le dos sur le lit. Mes jambes étaient en dehors et écartées. Il m'embrassa sur la bouche puis chercha son pantalon. Il en sortit un préservatif. Il déchira d'un coup de dents l'enveloppe, prit le caoutchouc et le déroula rapidement sur mon sexe. Cela me déconcerta un peu, je n'en avais jamais mis.

Il se retourna et je le vis s'asseoir sur mon chibre. Il se laissa pénétrer sans problème et je sentis ma verge être enserrée dans une gangue chaude.
 Une déferlante de plaisir m'envahit et j'eus un petit hoquet.
 Il se souleva et s'abaissa dans un lent va et vient. Il me caressa les couilles et je sentis qu'il se masturbait également. Une de ses mains fouilla mon entre jambe et un doigt atteint ma rondelle. Il me la massait alors que j'étais dans la sienne. Je caressai son torse musclé et j'étais perdu dans une mer très agitée de volupté.

Il accéléra le rythme. Il s'accrocha à mes jambes. Sa respiration se fit plus rapide. Des ondes de plaisirs intenses partirent de ma verge et déferlèrent dans  mon corps et mon esprit. Je sentis monter l'orgasme avec la puissance d'un raz-de-marée. Je poussai un petit cri et je sentis ma semence jaillir. 
Il décéléra. Il se leva et se retourna. Il se masturba rapidement et ne tarda pas à m'envoyer son foutre sur mon ventre dans un cri libérateur.

Il m'enleva le préservatif plein de ma jouissance et le jeta à la poubelle. Il prit un mouchoir dans la boite sur le bureau et me nettoya. Puis il se coucha sur moi et m'embrassa en souriant. Nous nous regardâmes dans les yeux et je me perdis une fois de plus dans ses yeux noirs. Nous câlinions tendrement en silence.

La vigueur revint dans nos deux membres. Nos caresses se firent plus sauvages. Il descendit vers mon sexe et l'emboucha. Je m'abandonnai les yeux fermés à ses caresses buccales. Je sentis qu'il introduisit un doigt dans ma rondelle après l'avoir caressée. Ce n'était pas très agréable mais l'idée qu'il me pénétrait me fit oublier la sensation douloureuse et cela m'excita. Il me masturba pendant que je sentis son doigt aller et venir et qui tentait de desserrer mon anneau . Chaque partie de mon bas ventre fut une source de plaisir. La douleur disparut, et il introduisit un deuxième doigt, cette fois plus facilement. Je jouai avec ses cheveux pendant que sa bouche s'activait sur mon chibre.

Il chercha son pantalon et sortit un nouveau préservatif. En un tour de main, il enfila la capote sur son membre. Il me mit sur le ventre. Il écarta mes fesses et sa bouche vint se poser sur mon anus. Sa langue parcourut rapidement ma raie provoquant un plaisir intense qui partait du creux de mes reins. J'ondoyais au gré de ses coups de langue et de ses caresses. Il mit son membre caoutchouté sur ma raie et m'effleura la rondelle. Il écarta mes fesses et présenta son pénis à mon anus en me tenant par les hanches. Je savais ce qu'il allait me pénétrer j'espérais que mon corps se souviendrait d'une lointaine première fois.

Je sentis une douleur dans le bas du dos et son chibre entra en moi. Il s'inséra précautionneusement dans mes tendres chairs.
 J'étais écartelé, empalé, ouvert 
. Il s'arrêta et je m'habituai à la douleur. Puis il reprit la pénétration avec des pauses par intermittence. Je sentis son pubis se frotter sur mes fesses, mon corps avait avalé complètement son sexe. D'un déhanchement souple, il commença à aller et venir très doucement. La douleur s'estompa et fit place au plaisir. Mon anus lubrifié et préparé me dispensa une jouissance jusqu'alors inconnue.
 Mon sexe frotta sur la couverture au rythme du balancement de son corps. Nous ne faisions qu'un. Je le sentis en moi, je le sentis autour de moi. Ses bras parcouraient mon corps au rythme de nos respirations haletente. Il accéléra puis décèlera puis recommença. J'étais sur des montagnes russes dont son chibre était le sommet.

Il se retira et me mit sur le dos. Il prit mes jambes dans ses bras, me les souleva et les posa sur ses épaules. Il me pénétra d'un coup.
 Nous pouvions voir sur nos visages le plaisir que nous ressentions. Il me pinçait légèrement les tétons pendant que je me masturbai alors qu'il allait et venait en moi. Il accéléra et maintint une cadence élevée. Je ne savais plus qui, j'étais entièrement engloutit par la jouissance qui explosait comme mille soleils. J'entendis deux cris, deux hurlements et une lave bouillante jaillit sur mon ventre.

Il sortit de mes fesses et retira le préservatif qui était rempli de sa substance. Il s'allongea à coté de moi et joua avec mon sperme tout en m'embrassant. Il déposa un baiser sur mon ventre et trempa ses lèvres dans le liquide. J'étais exténué. Il me caressait le torse, la nuque et le visage. Nous restâmes un moment comme cela, tendrement enlacés.

Il se leva et me dit qu'il devait rentrer. 
J'aurais voulu qu'il reste avec moi. 
nous allons sous la douches en quelques calins et Il s'habilla et moi je restai nu allongé sur le lit avec une vague douleur dans le bas du dos. Sans un mot, il m'embrassa encore une fois et sortit de la chambre.

 J'avais un peu mal à l'anus mais j'étais heureux et j'ai l'impression de flotter au dessus du sol.

Le lendemain, à part des sourires amicaux et socialement corrects, l'assistant ne m'adressa pas beaucoup la parole et je sentis qu'il m'évitait dans la salle informatique. Je restai jusqu'à la fermeture.
 Un peu gêné, je lui demandai " on se voit se soir ".
 Il me dit " non  ce soir tu as pas eu de panne  ". 
Sur mon insistance, il m'expliqua sur le même ton qu'il avait employé pour m'aider dans la programmation, " je ne t'avait rien promis , même si cela avait été super,, qu'il n'était pas un bon mec de toute façon ", 
. J'appris plus tard qu'il était de la race des prédateurs

J'ai aujourd'hui 34 ans Il est vrai que je n'ai pas toujours voulu faire face à mon homosexualité, que je cachais comme un mal honteux à tout mon entourage.

Cela étant, il est d'autant plus difficile d'avoir des relations quand vous voulez cacher votre véritable nature.

Puis un soir, nous voilà invités, des amis et moi-même, chez Pascal, un voisin de mes amis et cousin de ma femme (j'habitais à 10 kilomètres de leur village).

Nous étions 5 à arriver dans son appartement : deux couples mariés, et moi sortit en célibataire(ma femme n‘aime pas son cousin Pascal), !

La soirée se déroule à merveille.

Des discussions animées et drôles qui prêtent toutes à boire un verre de plus.

Tellement de verres que je ne me sentais pas de reprendre ma voiture, et c'est tout naturellement qu'au terme de la soirée (vers 3h00 du matin tout de même), que Pascal m'invite à rester dormir sur son canapé.
Nous raccompagnons donc les 4 autres invités et Pascal me propose un autre verre. Étant donné que je n'avais pas de route à faire, j'acceptais volontiers.

Puis Pascal me dit " mon canapé n'est pas très confortable je te propose de partager mon lit ", insistant sur le fait qu'il sait très bien que je suis un hétéro pur et dur et que je ne risque rien (et oui, avec des années de pratique, on arrive à bien cacher les choses.).

Ce qui me laisse très grandement imaginer que lui même n'est pas très hétéro.

Je lui réponds " je suis d'accord ", tout en le laissant croire que je suis effectivement hétéro. Nous passons donc dans sa chambre.

Il passe dans la salle de bain. 1981-pascal.JPG

Puis me laissa la place ,pour aller ce coucher…..

de retour dans la chambre,

il est sous les draps et rien ne laisse entrevoir que quoi que ce soit va se dérouler entre nous.

Au moment où je soulève le drap pour me glisser à côté de lui, je découvre que son sexe est plutôt en forme.

Il éteint vite la lumière.

Je n'ai pas le temps de poser la tête sur l'oreiller que je me retrouve avec la langue de Pascal dans la bouche.

Il se glisse sur moi et non seulement je le laisse faire, mais surtout je le prend dans mes bras et cherche sa langue avec la mienne.

Ma queue s'est subitement gonflée, et sort du string que je ne tarde pas à enlever, pour le plus grand plaisir de Pascal.

Nos bites sont l'une contre l'autre pendant que nous nous embrassons et nous caressons à en perdre haleine.

Je le pousse sur le côté afin de me retrouver sur lui.

Ma langue quitte la sienne pour descendre lentement le long de son cou , jusqu'à ses seins.

La, je m'attarde sur ses tétons qui sont incroyablement érectiles.

Je continue mon chemin de langue jusqu'à son nombril. ses poils pubiens, noirs et drus comme j'aime me chatouille le menton.

Je lui repince délicatement les tétons, ce qui lui retire des râles et gémissements.

Pendant tout ce temps ……

Pascal frotte sa cuisse contre ma queue au bord de l'explosion.

Décidément, je l'aime de plus en plus ce mec.

Après avoir bien léché son ventre, ma bouche se dirige vers son gland, gros et bien décalotté, afin de le gratifier d'une fellation dont il gardera un souvenir mémorable.

Sa bite était très épaisse et très droite. A sa base, ses couilles étaient lourdes et rasées de frais, ce qui augmenta mon excitation.

Je le suçais comme j'avais toujours rêvé de le sucer.

Et il ne s'en plaignis pas un seul instant.

Je sentais qu'il était au bord de l'éjaculation.

Même si j'avais envie de goûter sa semence, je voulais absolument le sentir en moi avant.

Je montais donc sur lui et m'asseyais sur son dard.

Une brûlure vive fit vite place à un plaisir intense.

Nous jouions tout les deux à faire des mouvements qui décupleraient notre mutuel plaisir.

Nous avons fini dans un 69 qui ne dura que quelques instants, tant nous étions excités.

Lui et moi n'en avons pas perdu une seul goutte.

Son sperme était doux et salé, et je l'avalais comme j'aurais avalé de l'ambroisie (sa boisson favorite).

Je suis reparti au petit matin, le corps léger d'avoir passé une nuit de sexe intense, et avec l'intime conviction qu'une nouvelle vie commençait pour moi : une vie où l'homosexualité n'était plus une honte.

Les années défilaient à vitesses grand « V ».dans ma vie de couple

Nous recherchions Anita et moi le pourquoi nous n’arrivions pas, a avoir un autre enfant.

Après de multiples examens médicaux ,un grand professeur strasbourgeois nous remis en confiance mais il fallait passer par plusieurs opérations chirurgicales.

Enfin  nous avons réussi à procréer notre deuxième enfant

…..

1983

Une nouvelle  petite fille agrandissait la famille .


1984-j--remy.JPG Mon beau frère Jérémy s'occupe d'une association sportive. Il organise des soirées (repas dansant, loto, etc...) et je vais l'aider de temps en temps. C'est souvent convivial, il y a une bonne ambiance entre les bénévoles.

Le lendemain, il faut faire les comptes. D'habitude, Jérémy s'en charge avec le trésorier mais il a eu un empêchement et il m'a demandé d'y aller mais sans me préciser d'heure.
Je me préparais pour aller faire un footing avant et je comptais aller chez le trésorier un peu plus tard.

J'étais en short noir et j'avais un tee-shirt jaune quand j'entends une voiture devant chez moi. C'était le trésorier qui s'appelle Alain qui venait me chercher.

Il me dit qu'il m'attendait depuis un certain temps, Jérémy ne m'avait pas dit que je devais y aller à 14h.
Je lui réponds que j'étais désolé mais que je ne savais pas que c'était à 14h qu'on avait rendez-vous. Je lui dis de patienter, que je vais changer d'habits et que je suis à lui dans quelques minutes.

Il me dit : « tu peux venir comme ça, on n'est que tous les deux, ma femme est chez ses parents depuis une dizaine de jours ».
J'avoue que ça m'arrange, car il fait très chaud. Il habite à 1 km de chez moi, il m'emmène dans sa voiture. On arrive chez lui, on s'assoie l'un à côté de l'autre, on commence à faire les liasses de billets tout en discutant. Il me demande si je fais souvent des footings, si je fais des autres sports, bref quelques banalités d'usage. Il me propose de boire un verre et en s'asseyant à nouveau, il se rapproche de moi, et je sens ses genoux qui touchent les miens. J'ai l'impression d'avoir de plus en plus chaud, et je commence à être excité. Il ne faut pas que je montre que je suis troublé. Il est marié, 4 enfants et il ne faut pas que je me fasse d'illusion. Il a beaucoup de charme, il a 48 ans, châtains aux yeux bleus, sportif.
Tout en continuant les comptes, je me demande s'il ne fait pas exprès de me coller de plus en plus. Je décide alors de me frotter un peu plus à lui et sa réaction ne se fait pas attendre.

Il ne se recule pas, au contraire. Il a un grand sourire, il me fait un clin d’œil complice, et pose sa main sur mes genoux comme s'il me faisait une tape amicale. Mais ensuite, il me caresse la cuisse, remonte tout doucement et mon sexe commençait à se raidir. Il me dit qu'il a envie de m'embrasser. Il approche ses lèvres des miennes, il m'embrasse délicatement, il me roule une superbe pelle, tout en continuant à me caresser les cuisses. Je commence pendant ce temps là à lui enlever les boutons de sa chemise, à passer ma main sur ses pectoraux et lui caresser les tétons.
Il me dit : « j'ai envie que tu me suces, viens t'occuper de ma queue ».
Je lui descends sa braguette, son pantalon et caresse sa bite à travers son boxer, elle commence à prendre du volume. Je lèche sa queue à travers son boxer, j'ai envie que son boxer soit tout mouillé. Il me caresse les cheveux et me demande de continuer, qu'il aime ça.

Son gland dépasse du boxer, et j'en profite pour le lécher. J'enlève son boxer délicatement, je vois enfin sa queue toute entière. 1983-alain.JPG

Elle est de bonne taille mais bien épaisse.

J'espère qu'il voudra bien bourrer mon petit cul.

Je lui lèche les couilles, remonte le long de sa queue avec ma langue pour arriver à son gland qui est bien décalotté , qui est de plus en plus rouge , de plus en plus humide et de plus en plus gonflé.

Il me dit : « tu sais que tu suces super bien, tu m'as l'air d'être une bonne garce, il faut pas t'en promettre à toi ».
Quand on me parle comme ça, ça m'excite encore plus et je continue de lui avaler sa queue. Il veut me limer la bouche avec sa bite, il me prend par la nuque et m'enfonce sa queue au fond de la gorge en me traitant de salope. Il me dit : « tu vas voir ce que tu vas te prendre, j'ai envie de m'occuper de ton petit cul, j'ai envie de te le faire mouiller, tu vas dérouiller
Je lui réponds que j'en ai vraiment envie aussi, je veux qu'il me défonce avec sa queue bien lubrifiée.
Il me demande de me mettre à quatre pattes, il me caresse les fesses, il me doigte pour bien dilater ma rondelle.

Il me traite de chienne et ça m'excite encore plus.

" Tu vas t'en prendre plein le cul, ça fait plus de 10 jours que je n'ai pas baisé ma femme ".
Il me tient par les hanches, je sens son gland contre mes fesses, il me pénètre d'un seul coup, ça me fait mal, mais ensuite, il me lime mon petit cul délicatement, je sens sa queue qui glisse entre mes cuisses, je sens son souffle dans mon dos, je sens qu'il prend vraiment son pied et moi aussi.

Il va tellement profond que je sens ses couilles qui tapent contre mes fesses.
Il accélère la cadence, je gémis de plaisir, ça le motive encore plus pour continuer à me limer.
Il me dit " jai envie de te prendre par devant ".

Il retire sa queue, je me mets sur le dos, je mets mes jambes sur ses épaules, il me roule un patin, il me pénètre à nouveau, je lui caresse les pectoraux, je lui caresse les reins.

Il me lime bien le cul et je sens qu'il ne va pas tarder à envoyer la sauce.

Il accélère la cadence, se retire et m'envoie son sperme sur tout le corps.
Il s'allonge sur moi, nos corps se colle l’un a l’autre aidé par son jus, m'embrasse, et me dit " ça fait longtemps qu'il n'a pas baisé comme ça ".,et ajoute "  ma femme n'aime la sodomie et  n'aime pas trop sucer non plus ".

ma femme est pareil " lui dis-je  "le cul interdit de toucher ,elles sont toutes les mêmes ces femelles ".

" Ça c’est bien vrais " ajouta Alain et si j’ai besoin pour compter la caisse  "tu seras disponible j‘espère? ".

……" car ton beau frère lui pas possible de toucher ".

" Je sais  " dis-je , il refuse toutes mes propositions

Ah! Maintenant je comprend mieux quand il me dit « t’a qu’a voir mon beau frère Simon  le pédé ».

Je ne fus pas surpris.

Et j’ajoutais «  Il est encore vierge a 38 ans… »

Il faudra bien qu‘un jour , a nous deux ,arriver à le dépuceler !!!!.


Je n'ai pas voulu partir comme ça et j’ai bien nettoyé la queue d‘Alain.


Je n'ai pas fait mon footing mais j'ai quand même fait un peu de sport !

Un troisième enfant s’annonçait….. Et nous étions récompensé par la venu d’un fils .

Note vie devenait de la routine …. On baisait de temps en temps…..

Je l’aimais tellement que ….. Je ne voulais pas l’abandonner

 

 

 

 

Mes envies de male me permettaient de vivre discrètement et devenir un homme BI a la recherche de bons moments

1985-christoph.JPG

Il me pris avec douceur , nos corps l’un contre l’autre, après qu’il eu remplis mes entrailles de son jus ,je lui demandais si je pouvais moi aussi profiter de son cul.

Il me répondit « demain si tu veux je viendrais au même endroit avec un neveux de 16 ans »

Le lendemain comme prévu ils étaient là……..

Nous avons dépucelé le cul du neveux a tour de rôle puis je m’occupa de celui de Christoph mais le petit neveux ne perdit pas le nord et me défonçait le mien sauvagement ,heureusement qu’il avait une bite fine et courte sinon il aurait explosé mes entrailles. 1985-maxime.JPG

Par simon - Publié dans : ma vie
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Dimanche 30 septembre 7 30 /09 /Sep 17:08

1973

Au mois d'août, ça fera 1 ans que j'habite dans cette petite ville bien agréable.

Depuis la première fois où j'ai rencontré mon voisin, Ewan, je suis dingue de lui et ça va bientôt faire 1 ans ! J’adore me branler en pensant a lui ou en imaginant des histoires. 
Je crois qu'a force il a du commencer a se douter de quelque chose. 
Il ne s'est malheureusement encore rien passé , mais il y a de ça à peu près 2 moi:
 J'étais seul chez moi et je me branlais tranquillement devant des photos de mecs nus dans une revue. Je bandais comme un dingue, quand j'entendis la sonnette. 

Ewan-1973.JPG

J' enfile un peignoir et dissimule tant bien que mal ma trique.
Je vais voir qui cela peut bien être .
C'était... mon voisin Ewan!
J’ouvre et lui dis d'entrer.
Je voulais voir ma femme ?

.Pourquoi tu as rendez vous?

Tu sera toujours aussi con réplique-t-il!

mais je lui dit " je suis seul ,tu montes a la cuisine prendre un verre? ". 
Il accepte et je lui sers une bière. 
Moi j'étais toujours en peignoir et je commence a défaire un peu ma ceinture style de rien. Je me lève et mon peignoir s'ouvre juste devant son nez, exactement ce que je voulais. Là je ne vous explique même pas dans l’état d'excitation dans lequel j'étais.

Je me suis mis à bander deux fois plus. Il me regarde surpris et me dit:

" Putain mais tu bandes ! C’est moi qui te fais ça? "

Je lui réponds " oui  "et il ouvre sa braguette, découvrant une queue pas trop grosse mais magnifique. Il l'a prend dans sa main et commence a se branler.
 Il me demande "'approche ". Je viens, il prend ma queue dans sa main (aaaah le rêve!!), se met a genoux et la met dans sa bouche chaude et humide. Il me suce et me branle en même temps pendant une bonne dizaine de minutes.

Je lui dis de se lever et je me mets a genoux a mon tour, je mets son chibre tout entier dans la bouche et il gémit de plaisir. Je joue avec son gland et il se met à hurler " c'est trop bon!!!  " Il reprend ma queue dans sa bouche, mais mon niveau d'excitation ne me permet pas de tenir très longtemps.
 Je lui dis " je vais jouir  "
 il me répondit " vas-y jouis dans ma bouche! "

Oh le pied! Je déverse une bonne quantité de foutre dans sa bouche et il avale tout le salaud! 
Je lui demande " fait la même chose pour moi. " Dès que sa queue est entrée dans ma bouche, il a  craché sa purée.
On est resté comme ça allongés par terre pendant 5 minutes puis il s'est rhabillé en me remerciant pour ce petit moment.

Tu dira a ta femme que je suis passé?

Oui … OK….je lui dirais qu’on a baiser ensemble!

Il est parti en disant « ça m’étonnerai beaucoup car je sais que tu en voudra encore dans ta petite gueule » 

1974 

Quelques semaine plus tard:


Nu dans ma cuisine ,enfin en string, je vaguais a préparer un petit dessert  pour ma cherie Anita qui était au travail et en cas ou…..de la visite arriverai.....

Soudain , apparu dans l’entrée Jérôme le fils du docteur voisin de quartier.

Jérôme cherche depuis de long mois a vouloir me baiser ,comme il disait «  ton cul je l’aurai »et comme un jour pour le narguer j’avais répondu « chiche »l’écart d’age n’est pas un handicap et j’aime du jeune coq.

Il prit le courage de relever le défis.

Il était là dans l'embrasure de la porte, les mains posées sur le haut de la porte, les poils noirs de ses aisselles découpaient son tee-shirt blanc immaculé, son jean bleu délavé était retenu par un énorme ceinturon. Il était pieds nu et la bosse de son pantalon en disait encore plus.

Il me parlait de sa voix rauque et virile, pendant que je préparais une grosse salade de fruit. 
Sa copine venait de le quitter depuis 15 jours et il se refusait à la remplacer.
Moi 39 ans je ne l'écoutais plus , je flashais sur son corps, son torse en v, les poils qui sortaient du haut de son tee-shirt, ses biceps veineux, ses très larges cuisses bien serrées dans son jean, ses pectoraux bien dessinés, les tétons biens pointus, et je dois l'avouer la bosse de sa bite orientée sur le gauche qui me fascinait.
Quand je pris les bananes ...il se mis à me brancher: " elle sont grosses hein les bananes, j'en ai mis une fois dans la chatte à ma copine, elle a pas aimé."..

je lui dis "  fallait retirer la peau... ça fait moins mal."

Il me dit…." ah bon comment tu fais? "

Je ne répondais pas à ses allusions...
 Pff .....il me dit  " fait chaud ici », je peux me mettre à l'aise ? "

Oui  Anita ne rentreral qu'aprés 19h lui dis-je  !

" OUI je savais " j 'ai parlé avec ce matin.

Il retira son tee-shirt , et j'eus le souffle coupé, son torse viril était magnifique 
J--rome-1974.JPG

Un filet de poils drus noirs partait de sa ceinture vers le nombril, puis une forêt épaisse de poils noirs tapissait ses pectoraux... ses abdos étaient secs et sexuellement attirants.
Il me dit   " je peux me mettre en caleçon? "

Houé… hésitai-je. Ai-je le choix?  
Moi même , je commençais à me sentir mal dans mon string, un peu trop serré .

Quand il retira son pantalon, je vis bien la masse de sa bite provoquer une bosse dans son caleçon, ses longues jambes poilues et viriles, mais je coupais les oranges sans rien n'y faire paraître...
Un peu d’eau fraîche sur mes avant bras me calma un peu, et je retournais à la pelure de mes pommes...
soudain il me rejoint et se colla à mon dos en m'enlaçant,
 je stoppais net mon travail car je sentais sur ma raie une énorme bite qui palpitait...
la tête en feu, je la rejetais en arrière pour sentir son souffle chaud, avec mes mains je caressais son bassin, il me baissa mon string d'un coup sec...

Je lui baissais son caleçon, et je sentis encore plus précisément cette masse de chair de 23cm ,épaisseur de 5cm environs ,(un bite de cheval ) palpitante contre mes fesses.
Il pris une banane, l'éplucha et sans rien dire me la mis dans la bouche, j'ouvrais ma gueule et au lieu de manger un morceau commençais à sucer le fruit.
Lui de son autre main, saisi la bouteille d'huile d'olive et en reversa entre mes fesses. et sur son sexe..
il me pencha en avant.

Il sorti d'on ne sait ou une capote noire extra large qu'il enfila...

je n'osais bouger, j'avais poussé le saladier de salade de fruit, et j'avais le nez dans les épluchures et la banane toujours dans la bouche.
Avec deux doigts ,puis trois il me pénétra la rondelle pour me préparer à l'assaut.
L'huile facilitait son travail , je gémissais.
Je sentais ses jambes poilues contre les miennes, je pris l'initiative en tendant un bras derrière moi ,de branler un peu son énorme bite et je la présenta devant ma rosette...
je m'allongeais complètement sur la table,

il me pris par les épaules et commença le travail d'enculage

.La douleur plaisante au début fut intense quand son énorme gland franchit mon sphincter...

Je vis des étoiles, par correction il ressortit, ce fut un bruit de bouteille qu'on débouche tant sa bite était massive... je fut soulagé.

Il prit le pot de mayo et m'enduisit largement le cul et sa bite...
puis sans me toucher, il m'encula d'un coup.

Je sentais sa bite qui avançait dans mon rectum inexorablement, la base de sa grosse bite plus large me fit relever la tête dans un hurlement de douleur étouffé par la banane et de plaisir à la fois.
J'avais l'impression qu'il distendait en longueur mon rectum, ses couilles enfin touchèrent les miennes.

Il me dit " tu es à moi maintenant "

je ne pus lui répondre tellement j’étais essoufflé

Puis m'écarta les fesses avec force et se mit à me labourer puissamment?

J'avais l'impression qu'il m'arrachait les intestins à chaque retrait, mais j'avais le sentiment de sa puissance derrière moi.

Ce gars de 22 ans me possédait comme une bête !
Ma prostate en vracs, mon anus dévasté, je jouissais contre la table, les resserrements de mon anus, lui fit gonfler encore plus sa bite et il poussa un cri étouffé.

Ses jets de sperme contenus dans la capote furent nombreux.
Il se coucha sur moi, sa queue me possédant encore.
J'aimais cette position de soumission, sa transpiration se mêlait à la mienne, ses poils drus me grattaient le dos.

Il ne débandait pas, alors que la mienne toute molle pendait lamentablement;
il me dit   " t'as une bonne chatte, ma salope, t'es une vraie chienne ! "
(Je me dis ? chatte et chienne à la fois, quel bonheur)
puis il d’écula toujours bandé à mort, il me retourna et me dis ", je retire la capote et tu me nettoies ".
Ce que je fis, son sperme avait un goût sucré, les veines de sa queue me déliraient, ses couilles pendaient maintenant, il avait un bas de corps très poilu et ça m'électrisait.
Quand j'eus fini, il me dit   " putain 15 jours de sperme dans la capote tu vois ça en fait quand même!!! "
Il prit la capote et me la versa sur la gueule et dit   " la prochaine fois c’est dans la bouche "

J'étais là assis contre le pieds de la table, le sperme dégoulinant sur ma poitrine, le cul sur le carrelage froid, avec l'impression qu'il était encore en moi, je me délectais de son rhabillage, virilement, avec méthode... il eut du mal à fermer sa braguette, il me sourit, me tapa sur la tête et me dit  " à dans 15 jours, mon pépé  " et s'éclipsa.
Le cul sale de mayo et d'huile ,je pris une douche très chaude.
Quand je le croisait dans la rue, il tournait la tête, mais 15 jours après il fut exact au rendez vous, en short satin rouge, avec son maillot de l'OM, et ses baskets.
Ce fut pire que la fois précédente j'avais l'impression que sa bite avait encore grandie, mais c'étaient les traces de la 1ere fois .et j’ai avalé une quantité énorme de son sperme légèrement sucré.
Je ne l'ai plus revu.
Il m'a ouvert le cul depuis il ne me faut que des gros calibre! Il m'a dépucelé et fécondé, le salop !


1975 

trois mois plus tard
 :

Mon travail m’amène dans le ville de Troyes ,pour deux jours et deux nuits ,je pris une chambre d’ hôtel formule1.

Vers 22 heures je désire prendre une bonne douche (elle est en bout de couloir) , je noua une serviette autour de mes hanches et sortie de la chambre pour mis rendre.

Dans le couloir je fut bousculé par le voisin d’en face (un jeune et beau mec) qui lui aussi une serviette autour des hanches , lors de la bousculade nos serviettes tombaient et on se retrouvait nu tous les deux .

" Oh! Pardon  " dit-il

" Excusez moi  " répondis-je

Arriver devant les douches une seule cabine était libre , alors je lui dit  " on c’est déjà vu a poil  alors prenons notre douche ensemble ".

" Pas de problème " dit il allons y…..

Une fois dans la cabine nous mations nos corps lui imberbe et moi  légèrement poilu et on se présenta.

Je lui dit « Simon 30ans marié 1petite fille de 1 ans je suis la pour mon travail ».

Moi dit-il « Stevy 17ans étudiant de passage pour un examen »

Nous étions tous les deux sous l’eau ,se savonnant mutuellement ,

Nos mains caressaient dans la mousse nos queues qui pour moi (pour une fois) se semblait pas vouloir bander juste un peut gonflée , la sienne aussi mais par contre il avait une paire de couilles énormes.

Nos bouches se rejoignirent et nos langues s’entre mêlèrent ,corps contre corps entre lassé par nos mains baladeuses.

Je me laissa glisser pour me mettre a genoux ,suçant au passage ces petits tétons , puis m’ a tardant sur son nombril avant d’atteindre son pénis que je mis dans la bouche , la mâchonnant , pompant sa bite qui avait enfin bandée.

Mes mains caressaient ses fesses en passant un doigt dans sa raie ,lui appréciait et maintenait ma tête sur son sexe pour que je continue a pomper son dard .

Je sentais sa bite gonfler dans ma bouche ,il donnait de petit coup rein , sa bite touchait le fond de ma gorge ,son gland pris entre mes hamydales , j’accélérais le pompage ,il se cabrait et m’envoyait une telle quantité de foutre que ma bouche ne pouvait contenir , le surplus coulant sur ma poitrine.

Je me relevais et lui fit lécher ma langue et ma poitrine jusqu’au nombril recouverte de son sperme.

On termina de se laver et repartir dans nos chambres.

Allongé nu sur mon lit je pensais a Stevy …..

Un heure plus tard ,on frappe a ma porte….

" Entrez c’est ouvert  "dis-je.

C’était Stevy …..

" Je ne t’ai pas remercié  " dit-il  "je m’en excuse et je voudrais réparer "

Il s’allongea prés de moi et se mis a me caresser tout en me racontant sa vie
St--vy-1975.JPG

Tout en parlant il m’avait fait bander et se mis a me pomper , il me pénétra un doigt, puis deux dans mon cul il m’excitait. Sa tête posée sur bas ventre tout en suçant devait ressentir que ma respiration allait de plus en plus vite et ma jouissance proche ,j’éjaculais dans sa bouche.

On s’entre lassait ,s’embrassait comme deux fous et l’un contre l’autre nous nous sommes endormi.

Au réveil il me dit « dommage on a pas été jusqu’au bout »

" Au bout de quoi  " répondis-je.

" J’avais pensé que tu m’obligerais a me faire enculer par toi pour que je puise te répondre comme j’avais fait a mon père " me dit -il

" Moi aussi " dis-je , " mais mon principe je le fais que si on me le demande ".

" Je te le demande "  dit-il sèchement.

" Ok je suis d’accord mais tu vas déja passer ton examen et retrouve moi ici , je serais dans ma chambre après 18 heures ".

" Il faut que je passe a la réception reprendre une chambre je n’avais pas prévu 2 nuits ".

" T’es fou "  lui dis-je.

Il me regarda avec un petit souris.

" Oui t’es fou ce soir tu dors avec moi et allez vas passer ton examen."

" Ok! Ok!  " Dit -il  et ajoute " alors ce soir je t’invite au mac do……"

Il partit la journée et fut de retour après 18 heures..

Il frappa a la porte et rentra sans que lui réponde , je lisais sur son visage la joie il me sauta au coup et m’embrassa goulûment comme de vieux amants.

Il était heureux et me dit " mon examen lui avait été plus facile , sachant que tu ne m' avais pas  refusé d’aimer un autre mec que son père ".

Moi j’étais heureux de lui faire plaisirs a ce jeune , avec sa gueule d’ange triste , a croire que j’en venais amoureux.

Nous allâmes donc manger au mac do.

Toute la soirée nous avons discuté de nos goûts des hommes ou femmes a qui , il n’osait pas faire d’avance.

Mais il était très surpris de voir que j’étais marié avec une petite fille et que j’aimais les hommes autant que lui.

Nous rentrions a l’ hôtel vers minuit la soirée avait passée tellement vite.

A peine entré il était nu et me déshabilla pour me basculer sur le lit.

Je lui dit  " " calme toi on a toute la nuit ".

" Excuse  " dit il   " j’en ai tellement envie  ".

Je l’embrassais , le caressais , nos corps entre lassés ,un fois dessus ,une fois dessous , nos queues l’une contre l’autre , dures comme du béton , j’écartais les jambes pour les croiser au dessus de ses reins et lui dit « quand tu veux ».

Je senti entrer en moi son membre de bon calibre , je cabrais il l’avait mis a fond et a chaque mouvement ses grosses couilles tapaient mes fesses , puis soudain lâcha « mais c’était toi qui devait commencer ».

" Pas grave on recommencera ".

Et ces coups devenaient de plus en plus fort , se retira soudainement et dit « non , non pas maintenant , prend moi d’abord »

Il bascula sur le dos ,je lui enfonce mon pieu ,il hurle «  putain plus grosse que mon père ».

Prisonnier entre ses jambes , ses mains sur mes fesses ,ses doigts dans ma raie titillaient ma pastille , et il forçait  ,mes coups reins pour sentir en lui ma bite au plus profond , avec sa bouche le arrivait a me sucer les tétons , je devenais comme fou de rage , mon corps trempé de sueur ,haletant ,au bord de l’évanouissement , sa respiration de plus en plus rapide , nos ventre l’un contre l’autre , je ressentais les coups de butoir que je lui assénais ,plus il me serrait ,plus je hurlais de plaisir et je lui éjaculer dans son intérieur tous mon foutre.

je m’effondra sur lui ou sa bouche rejoignit la mienne , il attendit que ma bite ressorte d ‘elle même alors que la sienne restait raide comme une barre de fer.

Soudain il me retourne et me met a quatre pattes et me pénètre avec rage ces couilles claquent contre mes fesses ,mais dans cette position je ne peux que le laisser se défouler sur mon cul , il ressort sa queue et remet sur le dos ,m’écarte les jambes si fort que mon cul se soulève et la sa queue repart en moi ,toujours prisonnier de sa position ,j’arrive a me dégager un bras et lui prendre ses valseuses énormes et mon index dans le cul il me donne un coup de collier si fort que j’ai cru sentir sa queue dans l’estomac et il éjacula des litres se sperme en moi en lâchant un hurlement de plaisirs et retombe sur moi épuisé.

Nous avons passé la nuit ainsi comme des amoureux le soir de noce.

Nous allâmes prendre une douche ensemble avant de se séparer chacun avec son adresse dans l’espoir de revivre ces bon moments.

 

 

 

La semaine suivante….

J’ allais retrouver Hector lors d’un déplacement a Sedan ,le mail laissé sur mon pc me disait tant de choses….

espérant passer une bonne nuit.
Hector-1975.JPG

Lui tant que l’on lui suce sa bite !….ça lui suffi

Mais moi ce jour la j’en voulais plus ,son jus dans la bouche , aujourd’hui …..Non .

c’est en moi qu’il me le faut.

La partie est dure car il ne garde pas l’érection dés que sa bite touche mon anus elle ramollie .

Je due abandonner mon projet ,sa queue n’est jamais rentrée………

Alors je lui bourra le cul sans aucune préparation

Il hurlais de douleurs ,plus il gueulait ,plus je forçais ma pénétration. Puis le plaisir repris le dessus.

Il s’était mis a bander dure , je déculais vite fait et lui présentais mon cul.

Hélas pas de succès au contacte sa queue redevenait molle…….

Je le défonçais a nouveaux et le quittais a mon grand regret……

Je ne retournai  jamais le voir……..


1976

 

Les années passaient à une rapidité éclaire , je ne voyais plus tous mes amis avec qui j’avais passé d’agréables moments…..

, Anita perdit son papa , Je perdais mes cheveux , Anita me demande souvent de garder la barbe , pour lui faire plaisirs je la laissais pousser……………
Notre petite fille avait déja 4ans

. quelque mois plus tard ………… j’avais encore changer de boulot……..

Six mois après

un après-midi , je rentrais chez moi avec un copain de travail  Hubert ,
  1976-hubert.jpg nous discutions devant une bière tous en nous rappelant notre jeunesse ,nous avions beaucoup de points commun….. Tout en discutant on ne s’était même pas aperçu que l’on se mettait a poils , lui hétéro à 100% sur le lit , allongé il me suçait.

quand soudain , Anita rentra du travail ,un peu surprise elle ne dit rien , je demande à Hubert si ça lui dirait de baiser ma femme….

Je n’oserais pas …mais pour une fois si elle veut !…..

Après âpre discutions ,elle finit par accepter, quand elle fut déshabillé , 1976-simon.jpg

Et lui dit tu peux y aller , sa bite très fine entra sans forcer , je me mis a sucer le clitoris de ma femme , passant un coup de langue sur les couilles pendante ,parfois je lui mordillait , ils jouissaient tous les deux , Anita me suçait le gland ,poussait des gémissements de plaisirs , les va et vient d’Hubert se faisaient de plus en plus rapide ,quand il senti partir en lui le foutre montait ,il se retira brusquement et le jet tiède de sperme arriva sur ma poitrine accompagne du foutre de femme qui sa chatte bavait…….

Il s’excusa de l’avoir baiser si rapidement…..

Anita répondit qu’elle avait pris plaisirs ,car sa bite fine lui faisait plus de bien que la mienne(.trop grosse)……
1976-hubert-2.jpg


quelque mois après Hubert déménage en Moselle pour son nouveau travail et moi je quittais a nouveau mon travail , en retrouvant un autre assez vite , je déménageais pour allez vivre dans une petite ville a 20km ou nous avions acheter une petite maison a rénover , et notre petite fille rentra a l'école.







Je retrouvais du travail dans une coop. Agricole , je partie en région parisienne pour une formation pendant trois jours…… tous les soirs je sortais avec d’autres amis qui faisaient la formation avec moi et en particulier le beau black Moîse ,magasinier comme moi , mais lui dans une coop agricol du Cher.

Apres avoir passé la soirée dans les rues de Paris et en particulier Pigalles ,dans ce dédalle de boites de nuits qui nous échauffé l'esprit.



Mo--se-1976.jpg

Avec un beau petit cul , et devant une queue qui…hummmm!!!

je demandais à Moïse si demain soir il pouvait venir me retrouver dans ma chambre d’hôtel car j’aimerais le connaitre mieux et en toute intimité……

OK me répondit-il ..avec un grand sourire sur sa belle frimousse….

Le deuxième soir vers 20 heures Moïse arriva , accompagné à ma grande surprise d’un de ces amis black , " ça ne te dérange pas que Mohamed soit venue avec moi car je n’ai pas de voiture et c’est lui qui m’a amené "…..

Je répondis , n'ayant pas le choix…." Pas de problème ….je vais me régaler avec deux doigt de chocolat…"..

Nous éclations de rire tous les trois la soirée commençait ,connaissance et bla-bla allaient bon train

nous nous sommes retrouvé tous les trois la bite en érection .

nous amusions comme tous les mecs……

Mohamed s’ayant rappelé de la phrase que j’avais dite à son arrivée dit:

__ maintenant ta va manger deux doigts de chocolat !…

Mohamed me met sur le dos en travers du lit ,demande à Moïse " leve lui ses jambes et pose les sur tes épaules ".
 je sentais déjà sa bite prêt de ma rosasse .
Mohamed si mis genoux pour que la sienne se trouve en face de ma bouche, puis lança …." On y va…". Les deux sexes pénétraient en même temps …. La queue de Mohamed longue de 22cm s’enfonça dans ma bouche jusqu’à la glotte ,j’en perdais le souffle , remuant la tête de droit a gauche pour le reprendre , excitait encore plus Mohamed qui me défonçait la bouche de plus en plus fort Moïse en faisait de même dans mon culs ,sa queue fine mais longue également me faisait jouir ,mais les coups de butoir des deux blacks ma faisaient souffrir….. De plaisirs…… ils lançaient en cœur leur bouillant liquide crémeux l’un à l’intérieur de moi , l’autre au fond de la gorge …….

Mohamed me dit :

__" ça c’est du chocolat au lait !… ".
Je me dégageais ,prenais les deux pines en main , je léchais les gouttes qui perlaient dans la fente des glands……..

Je les remerciais de m’avoir fait passer une soirée INOUBLIABLE !!!!!

 

Les jours suivants ..ce faire du bien c‘est aussi du repos………….alors repos……

je rentrait a la maison heureux de retrouver mes deux amours à qui j’avais manqué …….fatigué des deux nuits passés a Paris…….

Le soir je ne manquais pas de faire l’amour avec Anita,

et après notre jouissance ,je léchais sa chatte avec ma barbe naissante jusqu’à ce que son foutre m’arriva dans la bouche…….

Ce soir la elle me mordilla les couilles en remerciement……

 

. Mais je ne lui avais pas raconter mes folles nuits Parisienne.

En Février je parti en voyage à Venise gagné et organisé par un fournisseur.

Je passais les deux journées à marcher , visiter toutes les splendeurs de cette ville dans l’eau……..quand je rentra à l’ hôtel le premier soir épuisé ,je monta dans ma chambre , me déshabilla pour prendre une bonne douche…. Je me délassais sous l’eau quand soudain un mec se glissa prés de moi sous la douche….

je ne dis mot….

sa langue sur mes petits seins d’homme poilus …..ses deux mains posées sur mes fesses , qu’il massait de ses longs doigts il descendait avec sa langue le long de mon corps, s’arrêta un instant sur mon nombril …. Puis sur le gland de ma queue qui n’avait pas perdu de temps pour se mettre au gard-à-vous…..malgré l’eau qui coulait …il me pompait ,aspirait mon gland ……avalait la bite….

Puis ce fut le tour des couilles une à une il les mâchonnait dans sa bouche…..

J’étais dans un état de sur-excitation , je faillis m’évanouir et je me retrouvais assis sur le fond de la douche haletant de désirs ….

Mais il m’abandonna en disant :

__ Il faut que j’aille bossé car le patron  c'est le propriétaire de l'hotel si tu veus demain vers 19h place saint Marco je suis sur la gondole 13!……… 1977-vitali.JPG

Puis sortie de la chambre ….restant ainsi sous la douche , je me branlais jusqu’à éjaculation ……….

Le lendemain soir je décidais de renter en gondole …..

je rechercha la fameuse gondole 13

Le gondolier un grand , bien élancé , se tenait debout une grande cape sur les épaule ,avec un grand sourir me dit " installe toi on vas a l'hotel st Pietro comme prévu ".

ça voie me fit penser a l'homme de la douche à l'hotel hier soir.

Une fois installé je pouvais distinguer sous sa cape sa bite, garnie de deux énormes couilles .

il prit le large vers la lagune ,immobilisa la gondole et venu vers moi.

il ne tarda pas à fouiller dans ma braguette ….

" J’ai envie de toi " me dit-il…..il m’enleva le pantalon….la surprise fut-elle que je me laissais faire….

je senti ses cuisses contre les miennes," tu bandes dur " me dit-il…

.OUI  Comme moi !!..

" alors je vais te baiser comme j’en ai envie…mets toi a quatre pattes ".

Et soudain un énorme pieu me défonce le cul , tous en suçant ses gros doigts qu’il avait mis dans la bouche

Pendant que mes yeux suivaient le mouvement des vagues sur la lagune éclairée par une belle lune…..

 

Il m’avait fait jouir …….

 

Je rentrais de ce voyage avec plein de souvenirs dans la tête , je racontais à Anita et à ma fille les

beautés de la ville…… 1977-venise.JPG



,mais je ne dit mot de mon escapade……

Quelque mois plus tard……..

Matinée inattendue et en plus jour de repos.

La journée avait bien commencée : je m'étais réveillé avec une trique d'enfer que j'avais honorée d'une branlette torride en me remémorant les scènes torrides que j'avais joué la veille au sauna avec quatre mecs super chauds ... Après une bonne douche, je commençais ma journée .

Sur mon répondeur, une jeune femme Virginie (copine de la mienne) me demandait de venir chez elle passer un agréable moment avec elle. Comme elle vivait non loin de là, je décidais de commencer ma journée avec elle.

En arrivant, je sonnais à la porte , que fut ma surprise : un jeune gaillard (21 ans environ) vint m'ouvrir..

 " bonjour Virginie ma demandé de passer ! "

" Guillaume , 22 ans, son mari   depuis 3 mois ".dit-il ,

 " Enchanté de te connaitre Guillaume ! "

Un large sourire illuminait son visage ; il étais très légèrement vêtu : un boxer blanc et un tee-shirt sans manches.

Il me dit « entre je t’attendais ».

D'habitude, je parviens à contrôler mes réactions face aux beaux mecs , mais cette fois-ci, la réaction de ma bite m'a trahi et, gêné, je faisais tout pour masquer la bosse entre mes jambes.

Il s'en est bien vite aperçu :

il était comme absorbé par ma queue !

Son regard ne parvenait pas à quitter cet endroit.

J'avais beau lui parler pour reprendre le dessus, il gardait les yeux fixé sur ma braguette.


De deux choses l'une : ou bien ce mec était un mateur (et rien qu'un mateur) ou bien il était bi et il m'envoyait un message...

Je décidais de prendre les devants : « tu as un problème ,m’a vue t’excite ,tu en veux »

Il ne me parut pas gêné par ma réflexion ; bien au contraire, je voyais devant moi son sexe se raidir et envahir progressivement son caleçon ...

Il me fit entrer dans sa chambre ,la Virginie (sa femme 24 ans) était a poile , ligotée et bâillonnée sur un chaise .

" Tu baise ma femme alors aujourd’hui c’est moi qui te baise "  me dit-il sèchement.

" Je n’ai jamais baisé ta femme  " répondis-je.

" Si mon copain d’en face (en montrant la fenêtre ) me l’a dit ,il t’a vu avec les jumelles ".

" C’est un menteur et tu le crois  " dis-je.

 " Oui et fait ce que je te dit!… "… Hurla -t-il !

" déssappe toi en vitesse et allonge toi ..... plus vite que ça! ".

je ne traîna pas et me trouva allongé en moins de deux, la bite dressée en l'air !

Il s'excusa prétendant que c'était la première fois qu'un mec le mettait dans un tel état ,et ajoute « surtout quand ce mec baise celle que j’aime." .

Un grand silence et……

Je lui demandais franchement " tu es gay ? ".

Il me répondit sechement " NON !  ".

et avoua toutefois avoir déjà été troublé par des mecs ... comme c'était le cas aujourd'hui.

Je lui demandais " tu souhaite franchir le cap ou te venger ? " .

il répondit fébrilement

" oui" et « peut être les deux !  ".

Sous le regard de Virginie, avide de contempler le spectacle sans pouvoir dire un mot.

" Je n‘ai jamais baisé ta femme mais si tu veux me baiser pas de problème fait le ".

Il fit sauter son tee-shirt et retira son boxer blanc .

Il est alors totalement déshabillé 1977-guillaume.JPG

Nous étions tous les deux nus ;

je chopais alors son pic et, après l'avoir manipulé quelques secondes, l'enfonçais au fond de ma gorge...

Il se tortillait de plaisir : le jeune hétéro découvrait le plaisir entre mecs ... et il n'était pas au bout de ses surprises !

C'est alors qu'il me redressa, qu'il me leva, me laissant sur le bord de son lit, il s'approcha et m'embrassa avec fureur et vint tâter ma bite avant de l'engloutir dans sa bouche. Le salaud suçait comme une bête!

On aurait dit qu'il était maître en la matière ....

je lui faisais perdre le souffle en lui enfonçant au maximum!

 

 

Puis il retourna a ce que lui voulais (baiser mon cul), alors je lui dit  « ok je suis a toi pour que tu me défonces , mais libère Virginie ».

Ce qu’il fit aussitôt.

Il me défonça le cul sauvagement , elle……….

elle me caressait les cheveux comme pour atténuer ma douleur puis se positionne contre lui et d‘une main descend le long de son échine déclenchant en lui des frissons qui se traduisaient par de violents coups de butoir ,elle alla jusqu’à sa raie ou elle effleura sa rosace..

" Touche pas a ça il doit rester vierge! ".

Il me décharge son foutre, puis bascule sur le lit épuisé.

Virginie qui ne tarda pas à reprendre les opérations en main.

" Tu as dépucelé ma pastille hier soir ,et bien c’est a ton tour maintenant!  ".

elle se mis a califourchon dessus sa tête , ses jambes bloquant ses bras et lui fit une sorte de danse au dessus de sa bouche, jusqu'à ce que sa chatte vienne rencontrer celle-ci !

Quel plaisir !

elle avait envie de le faire prendre !

Elle attrapa ses jambes et les écarta en faisant pression pour que son petit cul me soit offert et lança « Simon il est pour toi »

Je chopais du gel dans mes affaires, lui travaillais un peu la rondelle et le pénétrais sans souci avant de le limer à fond

Il gueuler si fort qu‘elle étouffa ses cris avec son cul et lui profitait d‘y mettre la langue entre deux gémissements.

Il pris un plaisir infini à ce jeu en se tortillant et se cabrant il disait « plus fort ,vas y a fond ,je n‘aurai jamais cru que c‘était si bon ».

 

Nous avons jouis en cœurs : je crachais de longs jets chauds pendant qu'elle se délectait de sa substance qui avait jailli sur son ventre ,avec sa langue

Il n'a pas voulu en rester là.

Moi, j'étais mort !

ce début de journée m'avait pompé beaucoup d'énergie (et pas que ça ...)!

Nous avons alors repris nos activités : toutes les positions y sont passées !

Pour une première fois, il n'a rien manqué !

A quatre reprises, nous avons éjaculé. Son sexe moyen ,(enfin comme le mien)

a craché des jets longs et fournis de foutre que nous avons adoré lécher.

Quel pied j'ai pris à dépuceler le mari de Virginie, qui avoue apprécier les plaisirs homos et être prêt à recommencer .

Il dit alors « Virginie tu pourra baiser avec lui  ».

Tu devrais l’inviter plus souvent .

" Guillaume STP "…dit-elle :

Excuse moi de te le redire « je n’ai jamais baisé avec Simon  mais comme tu insiste  je vais commencer tous de suite

 

Moi j’étais allongé sur le lit en érection maximum .

Elle pris ma pine ,la suça pour lui donner la raideur , puis elle s’assit sur moi et ma queue pénétra sa chatte bien humide par l’excitation 1977-virginie.JPG

Elle se déchaîne sur mon sexe qui lui a bien du mal a résister et lâche le peux de jus qui resté en réserve.

Puis contente d’elle et lui cria  «  Guillaume  ,maintenant tu pourras dire  :  Simon  A BAISE MA FEMME            »

 

 nous resterons de tres bons amis

Et moi sans le vouloir je fus infidèle pour la première fois depuis 7 ans.

1977 1977-albert.jpg

Par simon - Publié dans : ma vie
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Mercredi 26 septembre 3 26 /09 /Sep 16:06

Les mois qui suivent deviennent très dur pour moi , .malgré la présence répétée de mes copains ,je n’arrive pas à reprendre le dessus et plonge dans l’alcool de désespoir ……

Plus aucune bites , malgré les efforts de mes amis….

Rien ne m’ intéresse plus je me laisse aller ,plus dégoût , comme si je voulais rejoindre celui que j’aimais

Les mois passaient six mois déjà sans pouvoir reprendre une vie normale ,l’alcool me ravageait ,je

perdait du poids ….ma gueule d’ange disparaissait   Simon-1968.JPG

 

puis un jour……

Un jeudi d’été je vaguais a mes occupations entièrement nu (comme toujours) ,toutes les portes de la maison grand ouverte , quand soudain un voie me dit " je peux entrer "

Oui bien sur répondis-je.

C’était le remplaçant du facteur Romuald-1969.JPG

A la vue de me trouver complètement nu il ne s’avais plus pourquoi il était rentré et devient rouge comme un coquelicot ,très gêné…..pardon dit-il

Oh excuse moi lui dis-je , je m’attendais pas a voir de la visite

Que vaut ta visite?

Les yeux rivaient sur ma teub ,il n’avait pas compris la question et dit  " Comment ? "

Je te demandais la raison de ta visite.

Ah oui balbutia-t-il " un recommandé " sans quitter l’objet de la convoitise.

Tu prends un apéro il vas etre boentôt midi?   lui demandais-je.

Oui merci !

Ricard ou martini !

Ricard sans eau !  répondit-il

Il avala d’un seul trait, se retourna en me passant la main sur les fesses et me dit "  merci a plus " ,puis repartit sans même donner le courrier.

Bon c’est pas grave il reviendra demain……..

Le lendemain vers midi ,toujours a poil , je vaguais en écoutant de la musique un peu fort quand on frappa a la porte.

Entre fait comme chez toi! J’arrive….

Quand je me présenta dans la cuisine je tombais nez a nez avec  une nana Arlette-1969.JPG  un vrais canon          
oooops!! excusez moi

je me trouvais fort géné ,n'ayant que ma main pour cacher ma virginité.

 au pardon je croyais que c’été le facteur.

C’est bien le facteur , ne vous en faite pas ,mon père est comme vous toujours a poil et ça ne me gêne pas ,

Je comprend mieux pourquoi Romuald a omis de vous donner la lettre hier il a du être rudement choqué de vous voir ainsi le petit.!.

Je vous donne tout de suite la lettre ,voilà signez ici !

Je m’approche prend le stylo , puis elle me demande " SVP je peux toucher? "

Ne vous en faite pas , c'est trés rare de trouver un client comme vous .

 

 Oui mais...
Je n’ai pas eu le temps de terminer , que sa main c’est pausé sur mes fesses en disant "qu’elles sont douces" .

Puis elle explore ma raie un doigt touche ma rosette elle en fait le tour et dit " déjà bien distendue je ne vois pas pourquoi Romuald n’en profiterai pas , lui qui adore ça"

J’étais resté fiché par sa réaction et dis-je " si Romuald a des projets et bien qu’il vienne ! "

et toi petite ?

Moi …. Hum … je la sucerai bien …..

Bon ok vas y , elle est a toi cette queue fait tous ce que tu veux avec , je suis ton esclave .

Elle se mis a genoux ,mon regard se focalisait sur la paire de nichons pas trop gros ni trop petit et ma queue qui depuis l’école primaire n’en avait pas revu mis deux secondes pour devenir droite et dure comme du bois , la petite l’avais déjà englouti dans la bouche.

Tu suce comme une reine ma petite , au faite tu m’a pas dit ton prénom ?

Elle dégagea la bite de la bouche , me dit " Arlette " puis re-engloutit l’objet aussitôt.

J’étais aux anges sa manière de pomper , digne d’une pro .

Je lui demandait " tu fait ça depuis longtemps ,qui t’a appris a le faire aussi bien a ton age ? "

Tout en pompant elle répondit " mon père….hum…depuis l’age de 12ans….hum et j’ai aujourd’hui 24ans….que c’est bon hum……. ".

Elle avait la manière tournant sa langue autour du gland , avec un doigt elle titillait mon anus qui n’en demandait pas temps et qui en plus m’excitait , ma pine gonflait ,elle le remarqua et me dit " ta vidange c’est dans la bouche que je la veux "

.soudain mon nectar jaillit en quantité industriel que sa bouche fut trop petite pour tout contenir ,le surplus coula sur ces seins , elle continuait a pomper et avaler sans relâche , quand elle eut fini elle me dit " fait le ménage avec ta langue ,enlève tous ".

Je lui enleva son corsage, dégrafa son soutient gorges , je prenais mon temps le sperme continuait sa descente vers son ventre , je fis sauter le bouton de sa jupe, celle ci tomba au sol et la devant moi un petit string en dentelle rouge laissait voir une masse triangulaire noire, mon jus continuait son chemin et arrivait déjà a la haute du string que j’enlevais rapidement.

Elle écarta les jambes ce qui me fit apercevoir cette petite fente rosée ou j’introduisis ma langue au même moment que mon sperme.

Je le ramassa et remonta en léchant tout son corps jusqu’aux seins que je pris dans mes mains puis redescendis entre ses jambes et suçait ,entrait ma langue a l’intérieur , elle se cabrait elle criait " ah que c’est bon continu ".avec ses main elle forçait ma tête a rester ,a continuer de sucer son clitoris qui avait gonflé de bonheur et m’éjacula tout son foutre de femme dans la bouche.

Je me relevais et l’embrassais goulûment pour lui faire sentir son foutre et l’odeur de mon jus que ma langue avait sagement gardé.

Je n’avais pas de petite amie alors je tente ma chance.

Tu as un petit ami ?

Oui et malgré ça je suis encore vierge et lui aussi d’après ce qu’il dit.

On arrive pas a franchir le pas ,il est peut être gai ?.

Il préfère peut être que les mecs, je ne sais pas……

C’est mon cas répliquais-je ,je ne sais quelle choix faire !

En bon samaritain que je suis je lui dit pour la réconforter " Je peut t’aider ,viens avec lui ,un samedi soir et je te ferais avoir le bonheur , fait moi confiance ".

D’accord je vais lui demander de venir.

Elle se r’habilla et parti toute joyeuse.

Quinze jours plus tard , le samedi vers 20h30 ,Arlette arriva avec son ami et quelle surprise ,son ami était Romuald tenant a sa main en bouteille de champagne qu’il me donna en disant " Arlette ma dit que ce serait un grand jour alors j’ai pensé au champ pour la fête ".

Merci c’est très gentille les amis !….

Moi j’ai préparé quelques amuses gueules et pris du whisky et vodka en plus des jus de fruits, j’espère que cela vous conviendra ?

 

Ce soir il fait chaud  je leurs dit "faite comme moi (toujours a poil) mettez vous a l’aise " 

Elle se dévêtit , prenant tous son temps ,sous notre regard ,pour mieux nous exciter.

Ma queue jouait du yo-yo ……ce corps magnifique sur une couverture qu’elle avait posé sur le sol , avec son sourire et sa langue qu’elle passait sur ses lèvres me rendait fou et je me tourna pour préparer quelques amuses gueule ( en vérité pour cacher mon érection précoce).

 

Romuald plus réservé fit descendre son pantalon et ne portait rient dessous

Romuald-1969-a.JPG

Une petite musique de fond , des bougies allumées , des brins encens qui brûlent et dégagent une odeur qui ne tardent pas a faire tourner les têtes aidé par le whisky .

Moi je matais les seins et l’entrejambe d’Arlette .

Romuald lui c’était ma teub , (je repensais a la confidance que Arlette m'avait dévoilé sur Romuald "est-il gay") .

Alette fixait a tour de rôle nos bites pour en connaître et voir les différences.

Nos discutions allaient bon train et nous apprîmes de la bouche d’Alette que mis a part les sucettes a son père ,elle était encore vierge (coté pile et face) à 24 ans et que ce soir elle compte bien tous changer.

Romuald dit timidement "les filles jamais touché et moi aussi 25 ans je suis toujours vierge des 2 cotés et je n’ai sucé que des mecs car j’aime boire le jus , quand a ma rosette elle n’a profité que de doigts qui s’égarent, ce soir moi aussi je veux tous changer".

Pour moi je n’avais baisé que 2 filles a 22 ans (la petite Jeanne et la copine de Joêl) ,par contre mon cul lui connaissait des queues de toutes les tailles et j’aime également avaler ces jus crémeux.

Nous éclatons de rire tous ensemble et en cœur nous dîmes  "  on commence par quoi ? "

Notre point commun : notre age et ne plus être vierge dans tous les sens.

alors la soirée commença……

Arlette avait constaté que la bite de Romuald 18cm (idem a la mienne) était beaucoup plus fine et que pour elle la première fois c’est peut être mieux.

Romuald dit alors " moi j’ai pas le choix il n’y a qu’un mec super monté ".

Bon dis-je " qui sera le premier de vous deux a ce faire dépuceler les deux faces ".

La logique c’est Romuald dit elle!

Et pourquoi? 

Et bien voilà……… Arlette-1969-a.JPG

Arlette sur le dos présente sa chatte a Romuald ,il approche sa pine bien raide et n’ose pas franchir le pas ,je le met en confiance en lui suçant et puis lui guide vers l’entrée bien humide, "vas y entre ton gland ,bien … entre plus…".Arlette gémis se serrant les siens pour mieux canaliser le plaisir et moi de l’autre main je travaillais la pastille de Romuald avec du gel, je me positionne et lui entre mon dard jusqu’au couille, hurlant de douleurs il se redressa brusquement et ses couilles a lui frappaient les fesses d’Arlette puis retomba sur son corps , elle lui mit un sein dans la bouche pour étouffer ces cris ,je me mis a faire des vas et vient dans son cul entraînant ainsi les même vas et vient dans la chatte brûlante, sentant la jouissance proche il se retira et je fit de même.

Arlette dit alors " Romuald tu es un vrais homme complètement dépucelé "

Il répondit "  a toi maintenant coté pile " .

Elle me mit sur le lit monta a califourchon en position 69 pour que sa chatte touche ma bouche et en même temps offrir sa croupe a Romuald qui devait déjà voir la cible ,il lui mis du gel et la sens hésitation la pénétra avec force elle avait pris ma queue entre ces seins me branlait et faisait entrer mon gland dans sa bouche je ne pu résister longtemps un énorme vague déferla elle pompait pour ne pas en perdre une goutte ,quand a lui il déversa son jus dans ces entrailles.

Ensuite nous nous sommes lavé au champagne ,nous sommes séparé tous heureux sauf moi je n’avais toujours pas baisé plus de 2 chattes de femme.

Le lundi Arlette passe me dire " j’ai été égoïste samedi ,je voudrais réparer peut tu venir chez moi ce soir ou mercredi? ".

Si ça te vas mercredi alors!

OK! à mercredi.

J’arrivais donc au environ de 21h , et que fut ma surprise de trouver Arlette et Romuald entièrement nu. Entre et met toi comme tu aimes (a poil).
Apres quelques verres de wisky.

Romuald était allongé sur le dos,

le mat en érection, Arlette l’enjamba a califourchon en position 69 en m’offrant une vue superbe sur une chatte bien échauffée et sa petite pastille , elle me dit " Simon a toi , au choix " , elle prit la queue de Romuald et le branla , lui passait des coup de langue sur sa chatte en attendant ce que j’allais faire.

Un choix pas évidant ,son cul non préparé ma queue occillait ente le deux cibles ,j’introduis  donc dans sa chatte , l’humidité et la chaleur faisait grossir ma pine de plus belle.

Voulant garder plus de plaisir je pénétrais et ressortais lentement , elle se cabrais avec mes mains je longeais sa colonne vertébrale du bas en haut , elle frissonnait et branlait Romuald avec plus de rage , lui en profitait pour me léchait les couilles en me mettant un doigt dans le cul , soudain il me tendit le tube de gel ,je compris et en mit sur la pastille de la belle Arlette qui semblait être de connivence avec lui.

Romuald alors me prit une couille dans sa bouche ,la sucé , puis prit les deux et serra très fort , je gueule un coup sec , me retire de la chatte brûlante ,et il me les remord et je donne un coup de rein brusque , ma pine pénétra le cul au lieu de le chatte , surprise Arlette avale la queue de Romuald et le mord tout en pompant ,lui avait lâché les couilles et sa langue fouillait mon cul.

L’envie de jouir me prit et me retirant brusquement le jet chaud de ma semence arriva sur la gueule de Romuald pendant que Arlette dégustait son jus.

Tous le monde était au même niveau ,tous dépucelé (pile et face)

Arlette demande un bonus elle s’empale sur ma tige et Romuald lui enfonce son pieu dans le cul. Arlette-1969-b.JPG

Avant de prendre congés de me amis je leurs dit " la poste est un bon service publique ".

A l’approche des fêtes de fin d’année la solitudes devenait encore plus grande et mon corps commençait a souffrire des doses d’alcool que j’ingurgitait…

Arlette qui avait été muté a 200 km me fit la surprise de passer me voir et dit " je vois que tu vie toujours a poil "

Pourquoi je changerai ma manière de vie ,je suis seul alors autant vivre comme on aime.

Tu as des nouvelles de Romuald , que devient-il ?

Hé! Oui depuis que tu lui a appris a baiser une femme il ne me quitte plus on vie ensemble et je suis venu t’inviter chez nous pour les fêtes.

Je refusa (Noël ou jour de l’an je n’aime pas) ,elle le comprit .

Mais je lui promis d’aller chez elle le 6 janvier le jour des rois.

Bon ok reprit-elle on t’attend………..

elle avait tant envie de nous pomper tous les deux en même temps

DEUX JOURS plus tard…… abel-1969.JPG

arrive a me faire reprendre la passion du sexe .

 

Il me fit connaître jean-pascal-1969.JPG

Grand sportif de planche a voile, un suceur formidable et qui aime aller jusqu’au bout de ce qu’il commence pour avaler le précieux jus que je luis éjecte dans la bouche ,
et  xavier-1969.JPG
Dont rien que le regard me faisait bander ,pour son jeune age il me défonça a merveille ne nombreuses fois…. Avec lui je crois pouvoir revivre la passion que j’avais avec Gerome 

pourtant celui-ci occupe mon exprit et reste graver dans mon coeur, Xavier le comprend et me demande de prendre de la distance avec le passé si je veus le garder ,lui qui me redonne tant de bien.....et c'est  avec Xavier que je passerai ces fêtes.

1970 

le 3 janvier je reçu la visite de Fatima (la femme de Joseph le black) que je n’avais pas revu depuis 8 ans qui venait me donner des nouvelle de son fils Sylvain (et un peu le mien aussi) .

Me demanda si je voulais bien lui refaire un enfant .

Joseph ne m’avait pas dit lors du rythmes de fécondité qu’il était stérile.

Fatima voulait a tout pris des enfants et comme j‘avais conçu Sylvain et voulais que je sois a nouveau le père car j‘étais le seul avec Joseph a l‘avoir baisée.

Je ne pus lui refuser….

Elle si heureuse de mon acceptation qu’elle me mis a poil en quelques secondes suçant ma bite pour me faire bander tout en se dénudant ,ensuite s’empala sur ma queue Fatima-1969-70-2.JPG

 

Elle se défonça la chatte avec une ferme conviction de la réussite en répétant  « pas besoin du rythme de fécondité ».

Joseph a grande confiance en toi il m’a dit « si tu veux des enfants ,fait les avec Simon »

 

Je vidais en elle toute la semence que j’avais en réserve ,après que ma bite ramollie soit ressortie , elle repris ma queue, me branla pour la durcire a nouveau et se mis assis dessus entrant cette fois dans son cul et disant « récompense » Fatima-1969-70-1.JPG ,elle m’embrassa fougueusement et repartit en disant « je viendrais te voir avec tes enfants »

 















6 janvier
Le grand jour arriva je me rendis chez mes amis

, ils habitaient une petite maison de campagne dans ce magnifique paysage vosgien , je sonne , elle me crie "entre n’ai pas peur!".

Elle était dans sa cuisine préparant une galette ,ma surprise fut énorme elle était nue.

Tien pour c’est pour toi ces fleurs et met le champagne au frais.

Tu es seul ?

Non !…. Romuald est dans la salle de bain dit-elle ,tu peux aller le voir et met toi a ton aise comme chez toi , ici ajouta-t-elle « c’est aussi toujours a poil ».
 Quand j’entra dans la salle de bain , le miroir me renvoyait la nudité de Romuald , il se retourna ,me prit dans ses bras et m’embrassa longuement sur la bouche et je sentis sa bite gonfler (la mienne aussi) , autre surprise c’est lui qui me déshabilla et me dit « j’arrive, je termine mon rasage »

De retour dans la cuisine Arlette assise sur un chaise me dit « vient approche » elle prit alors ma queue et se mit a me pomper ARLETTE-1969-70.JPG

L’Après midi nous discutions de tous et de rien ,

ils m’apprirent que prochainement ils se marieront et qu’il me voulais comme témoin.

Je ne peux vous refuser et ça sera avec joie.

Bon qui sera mon roi aujourd’hui? Lâcha-t-elle……

Puis découpe la galette , elle était délicieuse ,
 au premier passage personne n’avait la fève ,
au suivant non plus,
 j’avais remarqué qu’elle tenait et insistait pour que je prenne une part bien précise 
je ne l’a pris pas et Romuald ne put faire autrement .

C ’était lui le ROI.

En bon roi qu’il était je propose de le sucer pour obtenir un mat bien rigide .

Je le couche sur le dos ,demande en suite a Arlette de s’empaler en lui tournant le dos pour que je puisse voir les couilles du roi et la chatte en même temps.

Je me mis a genoux entre leurs jambes , une main malaxait un téton du roi ,l’autre celui de la reine , et ma langue léchait les couilles et le clitoris .
Ils se cabrent tous les deux ,les vas et viens de plus en plus vite, je sens en moi le bouillonnement de la semence qui monte , je me retiens il faut qu’ils jouissent avant moi,....
 le clitoris est gonflé elle gémit , se tortille sur le membre et lui dans un râle lance je…je..

Et un flot jaillie dans le fond du vagin de la reine , ma main posée sur son bas ventre ressentait les coups de bélier de la pine qu’elle avait en elle ,tous deux gémissaient ,elle se cabrait me tenait la tête pour que ma bouche suce son clitoris ,mon autre main un doigt dans le cul un autre excitant ses couilles Romuald donnait des coups de rein très fort et déversait sa semence sans relâche car sous la pression de ma bouche je l’avais empêchais de se retirer , moi j’éjaculais sur le parquet

nous restâmes ainsi un bon moment puis la queue de Romuald ressortit d ‘elle même toute molle ,j’en profitais pour lécher le surplus et mis ensuite ma bouche sur la chatte encore ouverte , passa un coup de langue et souffla a l’intérieur pour que la semence de Romuald reste bien au fond du vagin.

 

Puis buvant une coupe de champagne je dit en riant « majesté le roi a accompli son devoir en déposant sa graine …..heu…. Sa fève ! ».

 

Je repartis le lendemain

Début  fevrier










 

 

Dans les premiers jour de fevrier ,un soir , alors que mon état alcoolique était déjà bien avancé , un jeune fille … grande brune…..quitta le groupe de jeunes qui faisaient la fête s’approcha de ma table et me dit :

__ vous permettez ,monsieur , que je vous offre une petite chanson pour cette nouvelle année ?

__ si cela peut vous faire plaisirs , je veux bien …. Merci

Elle mit un pièce dans le juke-box ,choisie la chanson….

Quand la chanson démarra ,je plongea mon visage dans mes mains et me mis à pleurer…….

Cette chanson était du grand Johnny « que je t’aime ».

Elle revenue prés de moi , me dit :

__ c’est pour toi !… en prenant mes mains dans les siennes ,puis ajouta :

__ Rentre chez toi tu as assez bu pour aujourd’hui ,sans même m’avoir rendu compte qu’elle m’avait dit «  TU »….

__ merci pour cette chanson lui dis-je ,je partie en chancelant….. J’entendais les murmures de ses amis qui lui disaient « il tient une bonne cuite »…..il m’a semblé qu’elle se sentait gênée…..

Dans les jours suivants ,je la retrouvais dans ce bar , je l‘invitais a prendre un verre avec moi ,pour une fois je commandais un grand café , je lui dis et toi ?…

__ un cognac … re répondit-elle…..

On se présentait l’un a l’autre…..

__ comment t’appelle-tu? lui demandais-je

__ Anita….. Et toi ?

__ Simon…

__ je lui demanda «  Quelle age as-tu ? »

__ j’aurais bientôt 21 ans….. Et toi ?

__ 24 ans depuis novembre….

On discutait de tous et de rien…et ce jour là elle me fit comprendre qu’avec l’alcool je ne résoudrais pas mes problèmes..

Tous les jours on se revoyait….. Sa présence me faisait du bien….je ressentais des frissons chaque fois que je lui touchais les mains , puis en petit baiser sur la bouche me rendait nerveux ,je posais mes mains sur ces petits seins par dessus son corsage ,mon sexe alors se mis a bander comme s’il avait compris….

La semaine suivante a la saint Valentin je lui offre une broche avec quelques petits brillants dessus , elle m’embrassa goulûment , tout en égarant une main sur ma braguette…. Elle devait avoir sentie mon érection , mais ne lâcha pas un mot , sauf "merci …cent fois merci"…..

Elle travaillait dan la zone à quelque centaines de mètres de chez moi ,et comme pendant son arrêt de midi , au lieu d’aller au bar manger son casse-croûte ,je lui avais demandé de venir partager cette pose avec moi. Elle y venait tous les jours , je l’attendais parfois en tenue très légère car j’avais pour habitude d’être toujours a poils chez moi ,mais pour elle je gardais le pantalon et ses yeux me dénudaient du haut en bas…. A quoi pensait-elle?

Le jour de son anniversaire (22 avril), elle me demanda si je voulais me marier .
je lui répondis :

J’espère bien un jour mais avant mes 25 ans sinon après je reste célibataire…

__ Tu voudrais bien te marier avec moi ?…. Me dit-elle……

__ Pourquoi pas !….tu me semble une fille idéale et j’aurais 25 avant la fin de l’année…….

___ Ce n’est pas un problème , je vais annoncer la nouvelle a mes parents ce soir ,puis m’embrasa ,je sentais dans ce baiser que quelque chose c’était passer en elle……

Le même soir ,je reçu la visite de mon copain Arnaud qui se mis à poil comme chaque fois qu’il venait me rendre visite , Arnaud-1970.JPG

On joua à se sucer , se défoncer comme on aimait le faire.

, après je lui racontait que j’avait rencontré un fille , et qu’elle voulait m’épouser….très surpris il m’annonçait :

je l’avais deviné ,ta passion avec moi ce soir n’était plus la même , comment elle est ?..

__ Grande brune,21ans…mai elle est tous l’inverse d’Arlette le sexe ne semble pas être une priorité pour elle….

Pourtant à chaque rencontre elle me fait jouir , même éjaculer dans mon slip tellement qu’elle m’excite….

__ Tant mieux pour toi , tu mérite de trouver le bonheur….. Me dit-il….

. Tu me tiens au courant, ainsi que les autres potes……

__ Bien sure !….

Anita veut aller très vite ,en ayant parlé a ses parents ,ceux-ci m'ont invité dimanche midi……

Le soir chez moi pour terminer tendrement notre dimanche…..

Dans nos bouches les langues s’en donnent à pleine joie ,mes mains étaient passées sous son chemisier et s’attardaient sur ces seins dont la douceur de sa peau me faisait frémir , je descendait une main vers le bas , rencontrait au passage son nombril et arrivait à la hauteur de l’élastique de son slip , je marquait un pose , elle ne dit rien , avec une de ses mains elle descendait la fermeture éclaire de sa jupe pour libérer de l’espace a ma main qui attendait a la hauteur du slip…..

Ainsi libre, ma main repris son exploration et touchait une petite touffe de poils, elle continuait et rencontrait une fente bien humide ou bandait un petit clitoris avec le quel je jouait et Anita se mis a jouir et déchargeait son foutre de femme sur mes doigts que je portais a ma bouche pour les lécher ….

.C’été la première fois que j’allais aussi loin dans mes avances…….

elle s‘exposa compétemment nue devant moi et resta ainsi plusieurs heures pour tester si je respecterais la promesse de ne pas la baiser

ANITA-1970.JPG

en restant sage comme elle le souhaitait……

Je la raccompagnais jusqu’à sa maison, un dernier baiser et je repris le chemin inverse , je n’arrivait pas à débander et mes couilles gonflées à bloque m’empêchaient de marcher rapidement ,arrivé a la maison je me mis a poils et me branlait jusqu’à jaillisse mon sperme sur mon nombril ,je passais ma main pour le ramasser et lécher mes doigt……..en pensant a elle…..

Le soir je n’arrivait pas à dormir tellement elle me manquait………………

Dans les semaines suivantes nous décidions de nous marier.

Nous fixons le mois de spetembre ,pour les invitations je lui dit " pour moi  un seul invité mon copain Arnaud qui sera mon témoin et personne d’autre" , elle fut très surprise de ma décision ,mais je lui confia " seul mes parents me manquent et que ma famille n’a jamais rien fait pour moi…"

Elle compris ma décision et me dit " de son coté il n’y aura que ses frères et sœur , que tous se passera chez ces parents……la femme d’un copain fera le repas".

ça sera le  samedi 5 septembre avant la rentrée scolaire.

Le 15 août ,nous  nous promenions sous un soleil très chaud , nous rentrions chez moi se désaltérer ,je me déshabillais tellement j’avais chaud et lui demandais d’en faire autant , ce-qu’elle fit volontiers , nos corps se touchaient ,nos mains caressaient le corps de l’un et l’autre …..on s’excitait ,nos cœurs battent la chamaille….. Je lui demande "viens faire l’amour"….. Elle est récalcitrante , elle refuse…"non pas avant le mariage".

Je lui rétorque " on n’est plus a quinze jours prés….j’ai envie de toi……."

OUI moi aussi j'ai envie de toi..

Elle retirait son slip et s’allongeait sur le lit….. Ma queue et mes couilles étaient à l’excitation maximum ….. Je la présenta devant ce petit carré de poils , ou on apercevait la fente rosée que j’écartais délicatement pour faire rentrer ma bite…..

Quand le gland commença à pénétrer elle murmura :

__ Soi prudent ! ……ça me fait mal…..

Je frottais son clitoris en y mettant de la salive ,elle bandait et eu un sursaut ,le coup de rein qu’elle donna ,fit rentrer ma bite au fond de son vagin, elle criait et tournait la tête de droit a gauche en poussant des Haaa..! Haaa….!

Je me retirait , m’enfonçait ,plusieurs fois , on jouissait ensemble ,je touchait le fond de sa matrice en même temps que le jet de sperme tiède sorti de mes entrailles, je n'avais pas arrivé a me controler ,je m’évanouissais quelques secondes sur son corps de bonheur.

Quand je repris mes esprits , elle me serrait ,en entourant ma taille avec ses jambes ,comme pour m’empêcher de me retirer….elle m’avoua :

__ C’était la première fois ,tu m’ pris ma virginité ,me dit-elle , elle avait une larme aux coins de ses yeux.

Elle m’embrassait sans relâche ,comme une chatte en folie.

Nous nous séparions le soir , nous étions de vrais adultes.

Nous marierons en septembre

 

 

Voilà 7 mois que je n’ai pas de nouvelles de Arlette et Romuald, je décide d’aller leurs rendre visite.

En cours de route

ALEX un auto stopeur…

C‘est comme cela qu‘il se présenta en montant dans la voiture , son regard asiatique en disait long en me regardant , fixant mon sexe que je me masturbais tout en conduisant.

Qu’elle age as tu ? Lui demandais je

21 ans répondit il

Le stop ça marche ?

Pas trop voilà presque 1 heure que je suis la.

Fixant ma queue , il ajoute ,"pour moi c’est une première… ." .

Une première quoi ? Dis je

Que je trouve une voiture avec un chauffeur a poil ! Ajouta-t-il….

Ça te gêne ?

 

Non bien au contraire ,vous pouvez même arrêter au premier bosquet si ça vous dit !.

Ok pas de problème...

Il me posa une main sur ma cuisse et un grand frisson me traversa le corps et a lui également.

Mon regard se posa sur sa braguette qu’il avait déjà entrouverte pour laisser apparaître son gland déjà gonflé par l’envie d’arriver vite a sa faim (me baiser).

Quelques Km plus loins. ALEX-1969-70-1.JPG





















                                                                    

MAIS JE NE LUI AI PAS DIT LA VERITE CAR J’EN AVAIS TRES ENVIE !!…. ALEX-1969-70-2.JPG

Puis je le laissa sur le bord de la route a la recherche peut être d’une autre aventure 

Avec Manuel ,origine brésilienne , que je défonça quelques centaines de km plus

loin le jour de ses 21 ans ,il est mignon le petit……… Manuel-1969-70.JPG

et me rendit la pareille en m’enfonçant sa bite très fine et longue dans mon cul pour me dire c’était la première fois qu’il le faisait et qu’il souhaitait me revoir une prochaine fois….. Je lui répondit qu’ il pouvait me retrouver au même endroit demain vers 16 heures.

Puis je repris la route pour aller chez mes amis Arlette et Romuald.

Il faisait encore très chaud en cette fin après midi ,je rentrais la voiture dans la propriété quand je vis Arlette allongée dans un hamac ,elle ne m’avait pas vue ,ni entendu arriver elle était là devant moi nue mais je compris vite elle attendait un enfant.

Je posa mes lèvres délicatement sur les siennes ,elle ouvrit les yeux et la joie se lisait sur son visage elle me prit la main la passa sur son gros vente et dit « la fève tu te souvient et bien voilà le résultat ».

Romuald comment a t il réagit?.

Oh ! Lui ..il s’est excusé et ma dit « Simon m’a bien eu , mais ce petit c‘est le mien je l‘élèverai avec toi». Il ajouta « Simon ,son cul va exploser quand il viendra alors attend toi a avoir une soirée difficile » .

Tu sais Alette si je ne l’avais pas forcer a prendre la part de galette, ce petit que tu portes en toi serait peut être le mien!.

En ce qui concerne l’envie de Romuald il peut , je serais toujours là pour lui,
 je me penchais jambes écartées pour embrasser son ventre quand je senti rentrer dans mon cul ( a sec) le pieu de Romuald , qui le matais depuis mon arrivée en voiture et toujours a poil.

il en fut ainsi pendant toute la soirée entre nous dans la bouche ,dans le cul a tour de rôle sous les yeux de notre reine. et reprit de plus belle lorsque je leurs annonça:

Arlette et romuald y a un grand changement dans ma vie "je vais me marier"

l'annonce fit reigner un silence de plomb.
et tous deux du font du coeur lachèrent "enfin une bonne nouvelle"
Apres leurs avoir donné toutes les infos possible Romuald dit "et mon cul t"en fait quoi? "
T'inquiete je m'en occuperai toujours.
 n'est-ce pas Arlette?
je n'en doute pas un instant répliqu'a-t-elle

Elle aimait nous voir ensemble jouer avec nos queues comme des chiots jouent avec une balle

Après une soirée et un nuit bien mouvementés

je repris le chemin du retour afin d’être au rendez vous avec Manuel comme promis

Ce fut le cas et nous primes beaucoup de plaisirs….

J’espère le revoir un jour…..

Dans les jours suivant je rencontra 2 copains a la recherche du bonheur le long d’un petit lac de Moselle ,ils étaient entièrement nu comme moi dans ma voiture , je leurs proposa de venir chez "Jojo " le sauna  de Metz afin de mieux se connaître.

Hubert un grand moustachu et une queue moyenne..

Julien grand également queue courte mais épaisse..

Ce fut sans refus et après avoir bu quelques bières nous primes une douche LETRIO-1969-70.JPG

Nos queues ainsi bien savonnées pouvaient pénètre celui qui était devant l’autre, me trouvant le dernier mon sexe dans le cul de Julien je branlais Hubert que julien avait enculé, l’après midi passa très rapidement……..

 

 

 

Octobre arriva rapidement Arlette accoucha d’un joli garçon de 4,8kg notre petit roi se nome LOUIS ,né le jour de la saint Juste(14 octobre 1970). LEROI-louis-1969.JPG




je dit a Arlette et Romuald «  sa promet  s'il est comme nous trois»

Cette année la était vraiment belle ,je recevais des nouvelles de Fatima la mère black de mon enfant illégitime (Sylvain 8 ans) qui m’avait demandé de lui en refaire un . Elle venait d’accoucher de jumeaux le même jour que Arlette , heureuse elle était , mais l problème il y avait un black et un blanc  elle voulait que je choisisse les prénoms.

Elle avais choisi Romain et Robert mais voulais mon avis.

Je lui indiqua Romain pour le black et Robert pour le blanc.

Romain-Robert-1970.JPG


que cette année fut tres bonne........
Par simon - Publié dans : ma vie
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Mercredi 19 septembre 3 19 /09 /Sep 21:50

Avril 1966 le quittais l'armée.

J’allais trouver beaucoup de changement ,tous n’était plus pareil.

Il me fallais trouver un endroit pour vivre ne désirant plus revoir mes frères qui ne m’avaient jamais donné de nouvelle pendant mes 18 mois de service militaire.

Je me rendit chez la mère Denise une femme veuve d‘une soixantaine année que j’appréciais beaucoup et qui élevait sa petite fille Jeanne et son petit fils Claude dont les parent avaient disparue dans un accident de la route.

Dans un premier temps je partagea le lit avec son petit fils Claude 16 ans que ma présence ,la nuit a ces cotés , (car je dormais nu et lui aussi) je sentais sa bite en érection me frôler mes fesses ou ses mains qui se perdaient sur mon sexe.

Pour son age il était bien monté une queue longue (environ18cm mais très fine et légèrement courbée).

Mère Denis me proposa un jour d’habiter dans une petite pièce aménagé prés de l’étable ou je serais plus libre de faire ce que je voulais car elle avait compris qu’a mon age j’avais besoin de vivre autrement.

J’avais repris mon travail a l’usine métallurgique de Longwy..

Un dimanche matin ,aprés avoir travaillé toute la nuit ,malgrés la fatigue je me mis a poils,fis chauffer de l'eau , la mis  dans un grand baquet de bois (car il n’y avait pas de salle de bain) et commança à me laver , une voie me dit " je peux te frotter le dos " et la devant moi nu comme un ver Jeanne 17ans (la petite fille de mère Denis qui etait entré dans la pièce avant que je rentre et s'y été caché).

La surprise fut elle que je répondit " si ça te fait plaisirs "sans même réflèchir.

Elle me lavait tous le corps en s’attardant sur ma queue qui gonflait a vue œil et me dit " allonge toi sur le lit ".

Ce que je fit et elle se mit en position 69 au dessus de moi , se mit a sucer mon gland , moi je me mis a la lécher sa chatte , des frissons traversaient nos corps.

Dans la pleine ombre de la chambre nous avions pas vu , ni entendu l’arrivé de Claude

Il s’était excité et s’était mis a poil ,il se présenta derrière le cul de Jeanne et de ma bouche , d’un geste rapide je pris sa bite et la porta a ma bouche pour lui sucer ,celle-ci devenait de plus en plus raide.

Quand je sortais sa bite de ma bouche avec ma main je la guidais vers la chatte ,puis vers la pastille de Jeanne qui frissonnait encore plus a se contacte humide de salive et elle me pompais de plus en plus fort , après plusieurs aller et retour (bouche ,chatte ,anus) je sentais Claude se cabrer et la jouissance monter en lui et d’un coup de rein brusque sa queue pénétra la pastille de Jeanne , son cri de douleur fut étouffé par mon gland dans sa bouche et accéléra sa succion en allant avaler mes valseuses

je me mis alors en transe, mon corps entier vibrait de plaisirs et j‘éjacula dans sa bouche , elle avala tous ,léchant ma bite jusqu’à la dernière goutte, de petits gémissements male me firent comprendre qu’il avait jouie dans ses entrailles .

Elle se dégagea et que fut sa surprise de voir que son cul venait être dépuceler par son frère , le gifla et se mis assis sur ma queue qui bandait encore et pénétrait sa chatte aidé de ses mains pour qu’elle rentre plus vite et dit a son frère " bouffe lui les couilles "

Celui ci s’exécuta , me mâchonnais les valseuses comme du chewing-gum ,moi avec une main je roulais entre deux doigts son clitoris de l’autre ses mamelons , aidé de ses bras elle se soulevait et s‘enfonçait en cadence sur mon pieux qui lâchas et inonda une nouvelle fois Jeanne de foutre .

Claude s’excusa prés de sa sœur.

Jeanne répondit  " c’est pas grave maintenant je ne suis plus vierge et c‘est pas ton cas" petit frère adoré, "Allez je vais vous sucer et vous branler tous les deux et merci pour mon plaisir" jeanne-1966.JPG

Et dans la foulé Claude se fit défoncer le cul

claude-1966.JPG

sous les yeux ravis de sa sœur qui lança "comme ça tu seras dépucelé aussi ".

 

Le samedi suivant

je décidais d’aller voir in match de foot a Metz ,

avant la rencontre , devant le but , je retrouvais ……..

Qui m’invita a sa manière chez lui pour une troisième mi temps sa femme et ses enfants etant partie pour plusieurs jours

"Tu ne le regretteras pas " dit il …..

Eh non! ….

je ne le regrette pas Lucien savait faire vibrer les amis qu’il recevait.

Il avait une bite extra , bien droite pas trop fine , pas trop grosse et quand elle dégorgeait son flux dans la bouche celle ci n’était jamais assez grande pour contenir le jus

Ou dans le cul suivant notre accord avec ou sans préservatif.

Moi je préférais sans car j‘aimais sentir dans mes entrailles ce nectar doux et tiède

Ce jour la j‘ai eu droit au deux!.

Vers 20 heures "tu viens on va en boite chez mon ami"

remy-1966.JPG

Ou ce répétait mais a trois la même ambiance que l’après midi sauf que Rémy sa bite était courte et épaisse comme la mienne qu’il apprécia lui aussi dans son cul sans capote comme il disait…….
LE MOIS SUIVANT:
je décida d"aller vivre  avec Gérome ma vie en restant aupres de lui g--rome-1966.jpg

une grande histoire d’amour

OUI une grande histoire d’amour

Nous partagion les mêmes gouts , les mêmes passions , après nos journées de travail reciproque , dans son petit appartement nous vivions NU et nos occupations ensemble  , comme de vrais couple hétéro ,nous vivions heureux , s'aimant  , se donnant l'un et l'autre.
nous avion pris l'engagement de s'aimer et si des amis nous voulais a eux ils devait prendre les deux car nous étions inséparable..
les années passaient tres vite  et souvent nous partagions les même copains.

1968

Un samedi soir de mars 1968 nous rencontrions Eric-monamour-1968.JPG

beau mâle ,1m,78 brun aux yeux bleu ,il ne regardais pas Gérome ,

c’était moi qui l’attirais

,alors je lui fis signe de venir nous rejoindre.

Prés de moi il se mis , nous prenions tous un whisky et nous fîmes les présentations .

Éric 24 ans et toi

Simon 23 ans ouvrier d’usine.

Éric dit a Gérome qu’il n’avait jamais touché une fille et posant sa main sur ma cuisse me dit « c’est les mecs que j’aime mais je n’ai pas encore franchie le pas » .

Pas de problème nous allons te former…….

OK ,OK mais on reboit un autre whisky avant .

Je répondis ,prend la bouteille et allons y .

Dans une petite chambre feutrée du château ,nous nous retrouvions tous les trois dénudés .

Gérome en présence de Éric n’arrivais pas a avoir son sexe raide alors je lui pris dans la main et je lui suça jusqu’à la rigidité maximum .

Éric s’allonge sur le dos , Gérome s’empressa de faire rentrer le sexe dans le cul de celui-ci

Surpris par la rapidité…..

Éric commença a faire des gémissements de bonheurs et semblais apprécier ce qui ne connaissait pas .

Moi j’avais le sexe et les couilles super gonflé par l’excitation qu’ils me provoquaient .

Je demandais à Éric s’il voulait pour sa première expérience se faire défoncer par deux bites en même temps……

Un long temps de silence avant de répondre….

Double whisky ?

Ok

Il l’avala d’un trait et dit :

Encore un double ?

Ok ! Mais garde s’en pour après…….

Il l’avala de nouveau d’un trait et dit :

Va pour deux queues……

Gérome se mis sur le dos une bite droite comme un mat de cocagne , Éric se mis a califourchon par dessus présentant sa vulve a peine remise…….et profita pour embrasser Gérome sur la bouche…..

Je me présentais derrière ,quand ma bite a la hauteur de celle de Gérome je badigeonnais la vulve Éric avec du gel afin de faciliter la pénétration des deux sexes…….

Plus de 30 minutes après nous retirions pour nous abreuver de ce jus d’homme que chacun désirait

Ce fut d’abord Gérome d’éjaculer le premier…dans ma bouche

ou Éric venait du bout de sa langue goûter à ce nectar ……..

Je jouissais a mon tour sur la poitrine de Gérome….

Éric remplie le nombril de Gérome de son jus blanc et onctueux

Éric n’avait jamais goûté à son liquide onctueux qu’il éjaculait a toute ces masturbations , alors il se penchait sur le ventre de Gérome et sur mes conseils , avec sa langue retirait du nombril tous la précieuse et crémeuse substance qu’il y avait mis , puis l’avalait…..

Puis il nous dit :

Ça s’arrose………. whisky SVP….

Je suis comblé revenez plus souvent , je suis a vous………la jouissance fut pour nous trois intense…….

Maculé de foutres d’homme que nous léchions

nous terminions la soirée ,mais aussi la bouteille……

 5 mois plus tard :

Un Dimanche de ce mois d’aout , il était venu me chercher a la sortie de mon travail pour se rendre chez ses parents.

Ce jour là fut pour moi une journée noire car un chauffard ivre venait percuter notre voiture nous projetant contre un arbre…..

Gérome fut transférée dans le comas a l’hôpital de Luxembourg .

Il repris connaissance le lendemain ,

j’étais dans un lit voisin les deux jambe fracturées ,les infirmières me rapprocha de lui pour que je puisse échanger quelques mots….

Dans sa souffrance il me dit :

__ Je t’aime  Simon ,je vais t ‘abandonner bientôt ,ne reste surtout pas seul…

__Fait moi le serment que tu ne restera pas seul…?

__j’ t’aime  Gerome et t’aimerais quoi qu’il arrive et je te promet de ne pas rester seul …lui dis je…et je m’effondra en pleur ….

Quelques heures plus tard……

il m’avait quitté………………..

 

Les mois qui suivent deviennent très dur pour moi , .malgré la présence répétée de mes copains ,je n’arrive pas à reprendre le dessus et plonge dans l’alcool de désespoir ……

TROUVERAIS-JE UN JOUR UN HOMME QUI POURRA ME DONNER AUTANT QUE TOI

 

MON AMOUR g--rome-1966a.JPG

Je n’arrive pas a oublier ce terrible accident qui nous séparera

TU m’as demandé dans ton dernier souffle de ne pas rester seul.

Ma vie a chamboulé et je suis perdu

Par simon - Publié dans : ma vie
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Jeudi 13 septembre 4 13 /09 /Sep 22:04

1965 - 1966

Le 5 janvier je rentre a l’armé

Je fis connaissance de nouveaux amis Nous partageons la même chambre avec

 

 

eric-1965-copie-1.JPG  

 

Et encore

David-1965.JPG  

Nous avons tous un point commun : VIVRE A POILE et aime le SEXE

gaetan-1965.JPG

Tous les jours dans notre chambre les soirées étaient des paries a qui avait la queue la plus raide le plus longtemps.

nous avions fait un tableau avec nos mensurations de nos sexes en érections……

Prénom en érection diamètre

 

Jean Marc 17 cm ,6 4 cm

Gaétan 16 cm ,3 3 cm ,4

David 17 cm ,8 3 cm ,3

Éric 19 cm 5 5 cm ,3

Loïc 19 cm 4 5 cm ,5

Et moi 19 cm 5 cm

Mais il y avait l’exception Vincent 20 cm 3 cm vincent-1965.JPG


La plus longue et fine de la chambre

Nous aurions bien voulu faire un tableau avec la quantité de jus sortie de nos queue mais nous n’avions pas de moyen de contrôle.

Après quelque mois de vie militaire nous avions droit a quelques jours de vacances.

Je rentrais chez moi en Meuse retrouver mes amis .

Je retourna voir mon copain Joël et nous allions rendre visite a Marcel et son fils Louis.

Nous fîmes la fête et on se retrouvait tous a poil Louis nous masturbais Joël et moi , il nous suçait a tour de rôle , des fois les 2 sexes en même temps

mon corps retrouvait les mêmes sensations que la première fois ,

en suite Marcel en quête de nouveauté voulu dans un premier temps que Louis le lèche pendant que je

défonçais celui-ci .

Mais Marcel voulait encore plus Alors Joël et moi exécutaient la mission demandée .

Nous décidions de nous défoncer en cœur et tous les trois comme uni par une seul bite……  1965-arm--e1.JPG

ce fut ainsi a chaque permission.

De retour a la caserne et pendant les mois qui suivie tous ensemble nous continuions a nous sucer ou nous enculer ,a qui ser le tour 1965-arm--e3.JPG


Sur un camp de manœuvre

nous avions même joué un match de foot tous a poil

1965-arm--e4.JPG

Match nul 0 à 0

Mais dans la chambre après une bonne douche les bites s’en donnèrent a pleine joies……… ce soir là

 

 

Gaétan me pris a califourchon sur lui mes couilles reposaient sur son ventre et me branlait

ma position beaucoup plus penchée avec le sexe de Gaétan resté bien en place dans mon cul , Vincent eu l’idée de vouloir me défoncer en même temps .

Vincent délicatement fit entrer son sexe dans mon cul déjà occupé par Gaétan ,la douleur était forte au moment de la pénétration mais…….ça me rappelais la soirée fondue de mes 16ans 1965-arm--e5.JPG

Alors je ne vous redit pas le bonheur que ça provoque d’avoir 2 queue dans le cul en même temps

Cela a été un grand moment dans MA vie de militaire.

Si dans le civil « monsieur » avait dépucelé mon sexe ,et Guy mon cul ,a l’armé grâce a Gaétan et Vincent , je pouvais recevoir deux queues (+grosses que la 1ère fois) en même temps…..

 

 

 

 

 

 

 

 

Elle  est  pas  belle   la  vie  ??

Comme j’ai été Heureux cette situation je ne la reverrais peut être jamais !

 

 

A l’armé quand Toutes les occasions étaient bonne comme ici Dominique et Julien tous deux de Paris

  1965-arm--e6.JPG

Ou Fabien de Lille qui découvre la sodomie le premier jour de son incorporation 1965-arm--e7.JPG

et Régis de Toulouse , des jeunes recrus qui se sont adapté très vite

…surtout quand on vous présente la chose…  1965-arm--e8.JPG

 

c’était ça la joie de l’armé pas une soirée sans nous éclater….. 1965-arm--e2.JPG

 

Puis comme tous a une fin je retourna au civil…reprendre mon travail ..

.

.

 

 

 

Par simon - Publié dans : ma vie
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Mercredi 12 septembre 3 12 /09 /Sep 18:28

fin 1961
 c'est moi


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1962

 

Depuis le bisutage a la fromagerie

Je ne porte plus de slips sous mon jean, j'ai l'impression d'avoir les fesses à l'air. Surtout quand je marche dans la rue.

J'avais 16 ans et demi . Un soir vers 23 heures de la deuxième semaine de fevrier, alors que nous faisions la pose casse-croute , travaillant de nuit pour le nettoyage de matériel de fabrication du fromage ,2 mecs super baraqués ont déboulé et choppé trois d'entre nous (les derniers embauchés), dont moi ,ils etaient acompagné d'une nana avec apareil photo

Il était évidemment parfaitement inutile de résister.

Ils nous ont bandé les yeux et entraîné de force: comme mes deux autres camarades, je me suis retrouvé torse nu, mains attachées en l'air, bras écartés, et bâillonné !

Les mecs se marraient, et moi. Eh bien ! Je dois avouer que cette situation m'excitait, même si la trouille était plus forte que cette excitation, obscure, inavouable, qui avait commencé en moi lorsqu'ils m'avaient enlevé chemise et t-shirt.

Qu'est-ce qu'ils allaient bien pouvoir nous faire subir ?

Nous n'avons pas tardé à le savoir !

Un type de première a dit : " Bon alors les gars, on va pouvoir vérifier si vous êtes de vrais mecs ! " Je ne savais pas pour les deux autres, mais moi, ma trouille a monté de deux crans !

J'ai alors senti un mec derrière moi, il était torse nu aussi puisque j'ai senti sa peau poilue sur mon dos quand il s'est collé à moi ! J'ai senti alors aussi qu'il passait ses bras autour de ma taille, et qu'il commençait à ouvrir lentement, ma ceinture.
 J'ai perçu une lueur brusque à travers le bandeau : ils nous photographiaient ! Ces flashes se sont répétés à chaque étape de la mise à l'air : bouton par bouton, le mec ouvrait la braguette. Il a fini par baisser le jean à mes genoux et l'enleva . La sueur me coulait le long des aisselles, je sentais ma queue mouiller !

D'une main il a commencé doucement à me caresser la bite et les couilles . Se décollant de mon dos, il a glissé doucement l'autre main derrière et commencé à me peloter le cul ! Incroyable ! Je me sentais basculer dans un autre monde : de l'humiliation, oui, mais, plus forte, cette excitation de se sentir exhibé aux regards, tripoté au plus intime. Un de ses doigts me caressait la rondelle.

Alors je me suis mis à bander, irrésistiblement ! Et les flashes continuaient. Et il se marrait.

Le mec qui me tripotait ma queue raide .

Maintenant, attaché bras en l'air écartés, bâillonné, yeux bandés, queue raide et fesses à l'aire, je fus attaché par les chevilles et suspendue au dessus du bac de fabrication ou il y avait de l’eau bouillante avec des produit acides utilsés pour le nettoyage , le mec a commencé à me branler. Il accélérait, ralentissait, il me décalottait, s'attardait sur mon gland, je m'entendais gémir doucement dans mon bâillon, je me tortillais dans les liens. Je sentais mon bassin accompagner instinctivement ses mouvements malgré moi, il me caressait toujours le cul et, là, j'ai explosé quand  son doigt mouillé a quitté mon cul pour etre remplacé par un objet tres dure..

Il ne me lâchait pas, fouillant mon cul, avec ce manche en bois m'extirpant les dernières gouttes des couilles, avec acharnement.

Mes cris étaient étouffés par le bâillon.

Enfin, le mec m'a lâché, je me sentais sali, humilié, honteux, mais jamais, jamais je n'avais encore joui avec cette intensité ! les flashes incessants s’arrêtèrent quand le plus grand dis "bon c’est Ok on se barre"

Nous laissant ainsi Mes deux camarades et moi avaient subi le même sort.

C’est le veilleur de nuit qui nous délivra trois heures plus tard…

QUELQUES MOIS PLUS TARD :

Un jour de septembre je rencontra part hasard le beau René ( le remplaçant de l’instit ) ,je ne pouvais pas m’empêcher de le mâter lui qui avait participé a ma dernière

punition scolaire il était accompagné de


__ " Tu as revu " monsieur " ? Me demanda -t-il..

__ NON !…

__ Et bien je t’invite dimanche chez moi ,c‘est notre anniversaire

__Ah! Bon !!……combien alors?

---" monsieur " 31 et moi 28 ans

--- ah! Ouééé déjà

---OUI et pourtant toi tu ma fais vibré lors du remplacement de " monsieur "

__MERCI .. Ok Pas de problème !…. Je viendrais

 

 

 

Le dimanche Richard et moi sont venus déjeuner. On a bien mangé.... On a bien bu…. Comme dit la chanson….

__ Ce n’est pas tous ça…dit René , on a oublié de vous dire que Simon a invité un petit camarade pour le café sans vous en parler…..

Car le petit copain , c’est bien sûr , le joli Alain , alain-1962.JPG le rouquin heu! ..non c’est son cousin lui est blond

il sonna à la porte d’entrée…..

Le bouquet c’est qu’il n’est pas seul , il a amené son cousin ,le rouquin aussi ,au grand yeux vert .

__ Je m’excuse … dit-il ..

C’est Alain qui ma dit qu’on allait en surboum.j‘espère que ça vous gêne pas!.

Il est impressionné de rencontrer les vieux qui frisent la trentaine (René et monsieur) et qui le regardent avec curiosité.

__ Mais je vous en prie , mon petit….. Comment ?

bernard-1962.JPG __ Bravo… charmant prénom….

Eh bien , Bernard et Alain , vous êtes les bienvenus… dommage que vous ne soyez pas venus déjeuner avec nous.

__ Bernard et Alain disent en cœur " Le dimanche , c’est sacré , faut qu’on bouffe avec les vieux… " 

Le père de Bernard, c’est le directeur de la banque , alors il invite toujours des notables (capitaine des pompiers ou le chanoine etc.….) Qu’est-ce qu’on peu s’emmerder !

__ Excusez mon camarade ! Dit Simon ,il est un peu gauchiste !….

__ Aucune importance !

Ils prendront bien une petite liqueur ? Ces petits

__ NON ! un coup de rouge ! Dit Alain

__ Parfait ! Et monsieur Bernard ?

__ Euh ! Appelez-moi Bernard , j’suis pas un croulant encore…

__ Qu’est-ce que vous prendrez donc , Bernard ?

__ Un coup de rouge , comme mon cousin !

Un coup de rouge ,deux ,puis trois ,on ne les compte plus , voilà nos jeunes gens de la meilleure société qui n’ont plus à se forcer pour ce donner des aires de voyous, car ils sont un peu schlamms…..

__ T’as fini de me peloter , eh cochon ! Dit le charmant Bernard à Simon qui lui passe une main légère sur ces cuisses .

René , lui se contente de remplir les verres , et cherche à imaginer la suite

Richard rencontre les doigt de " monsieur " sur la braguette d’Alain , qui bande comme un cerf.

__ Encore ! Murmure Richard à Alain…. Branle -moi mon petit…..

__ Caresse-moi aussi ! Lui chuchote " monsieur "

__ Branle-moi ! Supplie-Richard , pendant qu’il lui triture la bite à pleins doigts , branle -moi jeune homme… j’ai envie de jouir….

.Richard , a fini par se laisser toucher le cul par le copain de son ami ,le beau Simon.

__ Tu veux que je te tête un petit peu ! Glisse-t-il à l’oreille de Simon…..

__ Pas tout de suite ! Dit celui-ci. Tout le monde n’est pas encore dans le bain.

__ Qu’est-ce qu’il te faut ? Ils sont tous en train de se branler… il n’y a que monsieur René qui est là tout seul…….

Comme il se voit désigné du doigt , ce dernier s’approche du petit et s’assoit à ses pieds…

__ Je ne vous dérange pas …? Bernard

__Pas du tout… au point où on en est !

René passe une main sur ses mollets….. Monte jusqu’aux jarrets, marque un temps d’arrêt , puis s’aventure entre les cuisses……

Le môme la sent bien cette grosse main qui monte , qui monte , mais il est bien trop occupée à rouler patin sur patin à Simon sans opposer la moindre résistance.

D’abord , il n’a pas du tout envie de résister. Pourquoi faire ?

Sa petite bite ne demande que ça….

Oh là ! Il s’y connaît le vieux ,il écarte mes cuisses….laches Bernard a Simon

René fait des efforts désespérés pour arriver à ses fins ….

__Attendez ,monsieur René, comme ça , cela vous sera plus facile…

il reprend la langue de Simon tout en lui murmurant : "  il me branle le vieux cochon "…

René est a son affaire

,c’est extraordinaire. Il y enfonce un doigt dans le cul sans difficultés.

Monsieur René tient une de ses bandaisons qu’il n’a pas connues depuis longtemps.

Heureusement , sous la table Richard pied dénudé ,ces orteils rencontrent une bite bien dure. et se souvient d’avoir caressé un fille assise en face d’elle dans un train…..enfin c’est du passé… pour le moment il avait un pied qui masturbait une belle queue et avait une grosse bite en main…

La partouze démarrait gentiment ,mais un peu chaotique.

__ Écoutez les enfants! Déclare René , nous nous tripotons comme des bourgeois.

Il faut de l’ordre. Si j’ai invité Simon , c’était parce que je savais qu’il allait inviter Alain et que j’avais une petite idée derrière la tête. Maintenant qu’il ait amené son cousin ne change rien au programme.

En effet ,indifférent au discours, le beau Richard avait pris la queue de Simon et la branlait effrontément devant toute l’assemblée.

__ Donc ,enchaîna René si vous acceptez , suivez moi donc dans la chambre à coucher où nous serons plus à l’aise pour organiser les jeux en commun…. 

__Allez , Richard , debout , tu viens avec nous…..

__ MERDE ! Dit-il ,juste au moment où le vieux allait me faire jouir avec son doigt…

" monsieur " se releva tout penaud de dessous la table, sous l’œil goguenard de Richard ,qui avait pour sa part une main perdue dans la braguette du jeune rouquin.

Arrivée dans la chambre " monsieur " criait :

__ Tout le monde a poil !

Trois minutes plus tard , Je savais ce qu’il me restait a faire.

En accord avec " monsieur "  et René il avait promis de jouer avec le petit rouquin. Ils s’étendirent tous les deux sue le lit et commencèrent à se caresser. Ils frottèrent leurs jeunes ventres , mêlant leurs petites toisons intimes ,l’une brune et l’autre rousse ,en se suçant les pointes de leurs petit seins de mâles et s’embrassant à pleine bouche comme des amoureux. Leurs mains s’emparèrent de leurs sexes , commencèrent une masturbation lente en se tâtant les couilles réciproquement. Ils se frottèrent leurs pénis l’un contre l’autre ,gland contre gland qu’ils avaient humidifiés avec de la salive.

Pendant ce temps là " monsieur " et René mêlaient leurs langues tout au fond de leurs bouches en se caressant la bite. Le beau Bernard s’était mis a genoux pour avaler le braque nard de René qui lui avait joui à gros bouillons en pleine figure , juste au moment où il avait lâché la queue pour lui demande :

__ Ca vous plait , comme ça !… 

Allongé sur le dos

Je le baisais doucement . Je me donnais a fond , gémissant lorsque le gland de la pine le frappait trop fort .

__ " Tu es bien au fond ,mon chéri , tu baises bien…comme a ta punition de l’école " me disait " monsieur " ..

__ Mon amour……

Et je lui prenais la bouche pour un baiser sauvage.

René aurait bien voulu tripoter un peu les couilles qui suivaient le membre juvénile jusqu’à la porte de la caverne d’amour.

," monsieur " s’installa confortablement sur moi ,écarta bien ses cuisses et se prépare a recevoir mon sexe , ce fut lui qui guida l’introduction du membre raidi dans sa vulve.

Sur le fauteuil voisin , René ,avait sur ces genoux le petit Bernard Comme par hasard leurs bouches s’étaient rencontrées et leurs mains malaxaient les queues réciproquement.

René sa queue bien consistante , comme du bois ,se trouvait comme par hasard ,placé derrière Alain qui commençait à sentir les effets de cette superbe érection à la proche de ses fesses. De lui même il recula un peu pour que son derrière fût en contact plus étroit avec cet épieu menaçant .

René , reconnaissant , passa un bras autour de sa hanche droite et sa main recueillit le membre bandé de l’adolescent :

__ Branlez-moi ! Murmura-Bernard dans un souffle , tout en tendant ses fesses un peu plus vers le pénis agressif qui s’était infiltré de lui même dans la raie de son cul.

Il sentait l’adulte , collé contre son dos , respirer de plus en plus fort , tandis qu le gland se frayait un chemin jusqu’à sa petite entrée secrète.

__ vous pouvez y aller ! Chuchota-Bernard….. J’aime ça !

Alors le beau René y alla , un peu de salive pour faciliter l’intromission et toute sa tige s’enfila dedans comme danse motte de beurre , jusqu’au entrailles du jeune homosexuel

 

.

__ C’est bon ta grosse bite ! …

Défonce-moi chéri , pousse plus fort… encule -moi à fond…. Soupirait le jeune Bernard……..

__ Tiens , tiens , disait René , on forçant plus fort tout en branlant le jeune vit bien gonflé

.Son jeune cousin , de son côté , avait largement écarté les cuisses et se faisait caresser la pine par René.

__ Branle-moi …. A ton tour ,petit cochon e , tu m’as mise dans un tel état… regarde… sens comme je bande…. C’est un vrai désastre….

__ Tu veux que je te suce un peu ? Demanda innocemment le jeune homme…..

__ OUI !…. OH oui !…. Suce-moi….

Mais Simon était bien près de l’orgasme. Cela faisait presque quinze minutes qu’il se retenait de jouir pour bien bourrer à fond se grand cochon de " monsieur " qui délirait tranquillement :

__Tu baise comme un dieu , mon trésor ! Enfonce ta bite……

ta pine…tes couilles… prends mon cul…. Oui…

Vas-y… plus fort… défonce-moi ce cul…. Pousse… enfonce….

__ Tiens ! Cochon..

Je vais te décharger dedans…

tu vas te régaler avec mon sperme…

tu aimes te faire emmancher par un jeune…dégueulasse que tu es , tiens le voilà mon foutre……..

__ Je te sens… ça me coule de partout… c’est trop…

Aa ah !

Je voudrais que ta bite me donne du foutre sans arrêt…….

Pendant qu’ils s’abandonnaient ainsi , la pine de René continuait son excursion dans la sombre caverne du beau Alain qui en gloussait d’aise :

__ Emmanche-moi… mon amant.. C’est bon… je vais jouis …..c’est bon….Ah !….

Décharge-moi dans le cul……

Celui-ci ne débandait pas et son cousins allongé le cuisses écartées lui lançait :

__ Viens terminer avec moi !…..viens me baiser…

Il se penchait par dessus son cousin et enfonçait son pieu

Qui aurait pensé cela de le petit Bernard qui nous annonçait que ce jour était celui de son anniversaire " 16 ans " pouvait faire jouir autant d’adultes……….

.C’est quand même beau l’amour véritable ?

1963

J’arrivais a mes 18 ans. simon-1963A.jpg

Cette année la je perdais ma MAMAN la personne qui me donnait des conseils ,elle qui s’avais que j’aimé les garçons et qui avait compris que je n’etais pas comme mes autres freres .C’est elle que j’aimais le plus au monde.

Le service militaire arrivait

je fut déclaré .BON pour le SERVICE

depuis 3 mois Je travaillais en usine la majorité été des femmes mûres .

Marcel un mec d’une cinquantaine ,chauffeur livreur , toutes les semaines pour charger son gros cul (camion) me demande si j’étais vierge

Je devenais rouge comme les écrevisses sans jamais répondre…

Alors il me bloquais contre un mur et passait sa main dans mon slip , il faisait durcire mon sexe comme du béton , il faisait un va et vient jusqu’à ce que jaillisse ce liquide et léchais ces doigts

ça le rendait heureux……

Un jour pour la fête dans son village Marcel m’invita chez lui avec mon copain Joël du même age que moi Quand nous somme arrivé , Marcel nous présenta Louis son fils , ouééé ! très beau lança Joel. Louis-1963.JPG

.

Après le repas et une soirée bien arroser avec du wiski .

Marcel nous proposa le jeu du poker

.

Nous nous retrouvions tous vite a poile , alors Marcel nous demanda de faire des gages

Louis excitais Joël en lui faisant passer son sexe entre les fesses .

quand a Marcel allongé sur la table , il me demandait de lui lécher la bite qu’il avait enduit d’une bonne couche de confiture a la fraise…j’approchais ma tête commença a lécher les couilles en remontant vers le gland que je mis de suite dans la bouche ,Marcel appuyait sur ma tête pour que je ne me retire pas ,un goût sucré me faisait lécher encore plus vite

,je ne maîtrisais plus mon corps ,mon sexe dur comme du béton ,les couilles gonflées a bloque .

Nous étions Joël et moi en éruption ,alors Marcel dit a Louis, on peut y aller .

Marcel me demanda de renter mon sexe dans son cul , ce que je fis ,il se mis a provoquer un va et vient en criant enfonce ,encore enfonce plus fort , nos corps

transpiraient .Joël faisait de même avec Louis . Cela dura un bon moment , et notre jeune ages nous ne savions pas encore nous contrôler ,alors de nos sexes jaillie le liquide précieux , Marcel et Louis criaient des HA ,HA que c’est extra nos garçon son dépucelés…els ne savaientt pas que nous y étions depuis longtemps…!

Quelques semaines plus tard

 

 

 

 

Un jour chez moi un installateur de chauffage devait venir vers 9 heures.

A 9 heures pile, on sonna à la porte. J'ouvris sans enthousiasme, et là que vois-je un super beau mec d'environ 22 ans.

Il était brun 1m82 à peu près super mignon et bien musclé. Je suis resté un peu surpris quand il me dit qu'il venait réparer la chaudière et qu'il représentait la maison XXX.

Je le fis entrer et dans les cinq minutes il avait commencé à préparer ses outils, pour contrôler l'installation.

Je n'en revenais toujours pas, il me faisait craquer tellement.

J'étais en jean et tee short, lui aussi. Il fallait que je tente quelque chose. Au bout d'un quart d'heure je me mis en short car il faisait très chaud, nous étions en été. Je commençais à bander ferme et mon short laissait deviner ce qui se passait.

Cependant, l'installateur continuait son travail comme si de rien était.

Quelques minutes plus tard, je décidais d'entamer la conversation en lui offrant un café.

Il accepta et nous avons pris le café dans la cuisine.

Je m'étais assis sur le plan de travail et laissait entrevoir ma bite en écartant légèrement les jambes.

Il me dit qu'il s'appelait Fabrice et qu'il avait 23 ans depuis 3 mois. Fabrice-1963.JPG

Il semblait un peu amuser par mon manège et me demanda :
- Vous avez quel âge ?
18 et mon prénom est Simon.
- Vous êtes seul toute la journée ?
- Ouais, mes parents sont partis bossés et mon frère est à la fac.

Aujourd'hui, je suis en récupe d’heures.
- Donc, vous êtes tranquille toute la journée.
- Ouais et je m'ennui un peu.

A ce moment là, il posa sa tasse de café et me frôla le short en me regardant avec un léger sourire au coin des lèvres.

Nos regards se sont prolongés quand il s'approcha de moi et soudain me roula une pelle avec beaucoup de tendresse.

Je ne rêvais pas……

il était à moi…..

Il me caressa le short, ma queue  n'en pouvait plus.

Il me dit :

-oui , on peut dire ça.c'est de la bite

T’inquiète moi aussi ,j'ai très envie de toi j’ai flaché tout de suis quand tu ma reçu et comme j'ai la matinée chez toi j'ai un peu de temps si tu veux bien.

Tu parles que je voulais bien.

A ce moment là je le pris par la main et l'emmena dans ma chambre.

Aussitôt arrivés, je l'embrassa avec fougue, et le déshabilla.

Tout d'abord, son tee short qui fit apparaître un super torse imberbe et musclé.

Je lui descendis son jean, il se laissait faire, laissant apparaître un boxer qui moulait sa queue comme j'en rêvais.

Je me dévêtit également et intégralement.

Ma queue de 18 cm était enfin libérée.

Elle n'attendait plus que çà.

A son tour maintenant et j'enleva son boxer.

Sa queue était magnifique, au moins 22 cm bien droite ,peu fournis de poils et un gland qui ne demandait qu'à être léché.
Il me dit :
- Suce moi tu verras elle aime ça.
Je ne me fis pas prié et je lécha puis suça sa bite énorme pour ma bouche. C'était délicieux. Je fis des va et vient et il gémissait.

Il me rendis la pareille et il suçait super bien. Il me mit un doigt, puis deux afin de dilater ma rondelle.
- Tu veux bien que je t'encule ?
- OK mais avec douceur.

Il me lécha légèrement la rondelle puis cracha afin de me détendre. Son gland rentra sans trop de problèmes car j'étais assez ouvert par mes nombreuses rencontres


- J'ai bien vu ton petit manège ,tu es gay ?.

Quand il rentra complètement j'étais aux anges. C'était tellement bon que je jouis sur moi. Après 10 minutes d'intenses va et vient il déchargea en moi et j'étais au 7ème ciel. J'en pouvais plus il m'avait tuer de plaisir. On s'embrassa longuement.

Malheureusement il devait terminer la réparation ce qui fût fait en fin de matinée. Avant qu'il ne parte nous avons encore baisé mais plus rapidement.

Depuis je le vois de souvent car il n'habite pas trop loin de chez moi chez ses parents également. Ma seule crainte c'est qu'il me laisse car il a une copine même si je suce mieux qu'elle d'après lui.

Je crois que je l'aime, et mon rêve serait de réaliser de plus en plus de fantasmes avec lui.
Le bonheur est peut être devant nous.

Dany viendra-t-il troubler notre bonheur? Dany-1963.JPG

La semaine suivante
 Joël (mon cousin)arrivait accompagné de sa copine Josette 19 ans.

Nous bûmes l’apéritive tous en racontant nos exploits de mecs .

Nos histoires semblaient émoustiller Josette ,le passage de sa langue sur les lèvres en disait long sur son imagination.

Soudain le téléphone sonne.

Je décroche et dit " c’est pour toi Joël ".

Il prit le combiné et discuta de longues minutes et lâcha " Josette je te laisse en bonne main ,je m’absente 1 heure ".

Je resta avec Josette , tout en buvant un autre martini ,elle parlait , parlait du sexe de Joël et ajoutait qu’elle n’en avait jamais vu d’autre.

Je ne perdis pas le nord et dit " tu veux voir le mien ".

Ah! Oui dit elle , comme ça je pourrais comparer.

Je me déshabillais lentement , ces yeux suivaient et brillaient de plus en plus au fur et a mesure de mon strip-tease.

Je libérais de mon string ,ma queue qui prenait du volume .

Elle s’était déshabillé et se retrouvait en slip et soutient gorge.

Je l’invitais a aller dans la chambre sur le lit pour plus de confort.

A genoux derrière elle , je l’embrassais dans le coup , lui retirant son soutient gorge. josette-1963-1.JPG

Mes caressaient ses mamelons , puis descendaient vers l’élastique de son slip ,mes mains sentaient ces poiles ou l’humidité faisait son apparition , elle enleva son slip ,laissant ainsi apparaître ce petit triangle ou un doigt furtif pris position.

Elle se tortillait , elle frémissait , gémissait et me couchait sur le lit et s’empalait sur ma bite josette-1963-2.JPG

Nous étions en pleine jouissance nos gémissements ne nous avaient pas permis d’ entendre le retour de Joël qui était entré dans la chambre et nous regardait.

Il s’approcha se mis a sucer le clitoris de Josette et avec une main retira ma queue de son vagin et se mis a me pomper comme il aimait le faire joel-1963-1.JPG

l’autre main un doigt dans la chatte ,un autre dans le cul il masturbait sa copine.

J’éjaculais dans sa bouche et demande a Josette de l’embrasser sur la bouche pour partager avec elle ma semence.

Tous les trois sous la douche , nos caresses terminaient cet après midi.

Joël m’avoua plusieurs jours après que c’était un plan a lui pour montrer a sa copine son homo-hétérosexualité.

 

Mon cousin Joël (20ans ) profite de son passage pour me pomper et n’est pas encore dépucelé je vais m’en charger…….dans les minutes qui suivent…..

IL fut ravis , je reviendrais me dit-il…..

1964

 

pendant mes vacances dans le sud.
J’étais en voiture, je musardais à la recherche d’une crique pas trop peuplée afin de lézarder un moment au soleil et de me baigner un coup.
J’étais vêtu d’un T-shirt et d’un magnifique short Adidas en Nylon blanc avec les 3 bandes bleu-blanc-rouge des années 70-80 (mes préférés).
Je roulais donc, à vitesse modérée lorsque à la sortie d’un virage.
j'arreta pour prendre un auto-stopeur, je redémarrais et entamais la conversation. Éric 35ans me raconta qu’il était descendu sur la côte en stop depuis la Belgique. eric-1964-1.JPG Je lui proposai de se joindre à moi pour la partie de baignade. Il était d’accord.
Tout en roulant, je ne pouvais m’empêcher de regarder de son côté et plus particulièrement ses cuisses moulées dans son Levi’s. J’essayais de deviner ce qu'il pouvait bien avoir à l’intérieur. Je fantasmais de plus en plus sur l’objet de ma convoitise. Du coup, discrètement, je portais ma main vers la bosse que faisait ma teub dans mon short et essayais de la cacher du mieux possible car je ne connaissais rien de mon passager. Il aurait pu s’offusquer de voir mon état.

Je constatais également qu’il avait sa main droite sur son sexe et que celle-ci opérait discrètement des mouvement de masturbation sur le jeans.

Tout en discutant, j’essayais de remettre de l’ordre dans mon short car il commençait à ne plus avoir assez de place pour une queue qui continuait à prendre du volume.

Éric constata l’ampleur du désastre et approcha sa main gauche de ma cuisse droite.
 Il se mit à me caresser l’intérieur de la cuisse avec une certaine prudence, ne connaissant pas mes intentions.
Mais voilà, il est tombé sur le Bi de service (moi) et voilà que je me laisse faire. Je pousse même plus loin ses investigations, je l’invite carrément a mettre la main sur ma bosse, ce qui me permet de reprendre le volant de la main gauche et de libérer la droite pour aller à la rencontre de ce magnifique ensemble Teub-Levi’s qui me met dans cet état depuis un bon moment. Il semble apprécier également mes caresses. De fil en aiguille, j’apprends qu’il est Bi comme moi, que les mecs le font plus bander que les femmes, tout comme moi, et qu’il goûterait bien ce qui se trouve à l’intérieur de mon Adidas blanc.

C’est toi qui voit! Répondis-je

Avec plaisirs ajouta-t-il!

J’arrêtai la voiture sur une aire de stationnement déserte.
De là partait un petit chemin dans les arbres et descendait vers la mer dans une petite crique qui aurait pu accueillir tout au plus 4 personnes sur les 3, 5 m2 de sable. Il y avait beaucoup de rochers qui permettaient de se mettre à l’abri des regards indiscrets.
Arrivés sur place, je n’y tint plus et je me jetai sauvagement sur ce Levi’s délavé, déchiré, et défit les boutons de la braguette.

Ici, m’attendait une surprise et de taille.

Sous son jeans, Éric cachait en plus un short de course Adidas rouge de la même époque que le mien.
C’est à ce moment là que tout à basculé.

Je commençai à lécher la bosse de son sexe au travers du short dans le jeans.

Il comprit mon problème et se mit en devoir de détacher le cordon qui tenait mon short en place et y introduisit une main fébrile à l’intérieur afin d’évaluer, en connaisseur, le volume qu’il aurait bientôt dans la bouche.

Il enleva son jeans short , le jeta sur le sable et partit en courant dans l’eau. Je le suivis. Je passe les détails sur le short mouillé avec une tige à l’horizontale.

Comme discrétion on fait difficilement moins bien ! Nous nous ébattions comme des gamins dans cette eau d’un bleu azur et d’une température plus qu’agréable.

Je m’approchai Éric et entrepris de lui rouler un patin tout en lui caressant le dos de haut en bas, jusqu’à l’élastique de son short.

IL fit de même avec moi et en plus entrepris de sortir ma queue de ce short qui l’emprisonnait.

Il plongea et se mit à me sucer sous l’eau. C’était divin.

Ne sachant pas bien retenir ma respiration sous l’eau (Je ne sais pas nager (Eh oui, çà arrive)), je me contentais de lui prodiguer des caresses afin d’entretenir sa magnifique érection.

Une fois sortis de l’eau, nous nous sommes allongés derrière un gros rocher

Là, j’entrepris de baisser son short et de saisir sa teub afin de lui rendre la pareille.

On se mit en 69 et commença à se sucer comme des affamés d’ice cream (en cette saison c’est normal non ?).
IL ne résista pas longtemps à mes caresses et à ma succion, il largua tout dans ma bouche

J’ai tout lâché immédiatement après lui.

Il en avait plein la bouche et débordait sur ces joues,

Je frottais mon short sur ce mélange et entrepris de le lécher (Le short bien sûr).

Éric enfila à nouveau son short, et récupéra la reste de foutre
avec ses doigts et les suça comme on se lèche les doigts trempés de sauce,
avec ce bruit de succion caractéristique.

Nous avons changé de place et nous sommes mis un peu à l’ombre des pins dans cette petite crique. Nous nous sommes caressés, embrassés et avons fini par nous assoupir.

Le vent s’était levé.

Le soleil commençait à décliner à l’horizon quand nous nous sommes réveillés.

Le sperme avait séché sur mon short et formait une zone un peu dure ainsi qu’une auréole explicite.

Nous sommes remontés à la voiture et je l’ai déposé au village.

Je lui ai posé
la question cruciale à savoir s’il allait s’arrêter quelques jours dans la région, et sa réponse fut affirmative. Je suis revenu plusieurs fois dans cette crique, durant mon séjour. Éric y est revenu une seule fois avec son short rouge

Nous avons passé un après-midi inoubliable

Quelque mois plus tard

gerome-1964.jpg

 mon père partie lui aussi je me retrouvais seul , sans parents au moment ou j’en avais le plus besoin.
 

Avant mon service militaire lors d’une sortie en boite au château de la tour en Belgique ; au bar le coup de foudre du barman GEROME

 

A la fin de l’année je reçue ma feuille de route pour le service militaire ,alors une autre vie allais commencée….

.

 

Par simon - Publié dans : ma vie
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Jeudi 6 septembre 4 06 /09 /Sep 22:38

Mon développement sexuelle va-t-il perturber la classe ???

Cette classe que je redoublais pour obtenir mon certificat d’étude……….

Nous avions une nouveau maître " monsieur " et dés le premier jour il me colla 4 heures de retenue ça vous apprendra à vous conduire comme un jeune coq .Monsieur était satisfait de l’effet qu’avait provoqué cette formule auprès des autres élèves qui riaient au éclats.

il n’avait pas entendu ce que j’avais murmuré entre mes dents :

Et ta sœur ?

Tout en extirpant de sa braguette un membre viril de bonne taille comme pour prouver aux autres qu’il n’était plus un tous petit garçon et qu’il continuât d’agiter sous son pupitre.

Ses voisins suivaient avec intérêt la progression de cette érection qui en faisait naître une dans chacune de leurs culottes.

Chacun des garnements se mettait à l’ouvrage , certains des glands , ainsi secoués , n’avaient pas encore trouvé leur décalottage définitif ,mais les petites bites n’en bandaient pas moins dur comme du fer .

Des gémissements ,des soupirs étouffés ponctuaient la première éjaculation de Jean-luc le petit requin suivi de deux autres giclées venant de Bernard et Richard .

le favori , c’était moi Simon la vedette qui prenait son temps ,polissant avec amour ma longue tige.

__ A moi ! Dit-il les dents serrées…et ,ce disant ,balança son foutre juvénile sur le parquet.

Cette exhibition déclencha quelques rires qui eurent le don d ‘attirer l’attention de " Monsieur ".

Lorsqu’il se rendit compte que tous les regards se portaient sous mon pupitre , il se fâcha tout rouge :

__"monsieur Simon ! Voulez-vous me donner ce que vous avez dans votre main droite !"

__Je ne peux pas ,monsieur , c’est ma bite !

" monsieur " ,un peu décontenancé , ne put émettre qu’un " OH! " d’indignation et après avoir tapé fortement sur son bureau pour faire taire les rieurs déchaînés ,il enchaîna habilement le reste de la leçon.

Lorsque le cours prit fin avec la sonnerie de 4 heures ,il interpella le grand Simon qui se faufilait vers la sortie :

__ Vous , j’ai deux mots a vous dire…..

__ Moi ? Pourquoi ?

___Venez ici , je vous prie . Fermez la porte .

Simon obéit et se présenta devant le bureau.

___Vous vous croyez malin ,n’est-ce pas , mais vous n’êtes qu’un pauvre imbécile. je devrais vous mettre à la porte sur le champ.
Je vais y réfléchir pendant que je corrige les compositions. Ainsi pour vous punir vous allez , monsieur Simon ,comme un toutou pas sage , à la niche ,allez a quatre pattes.

Un tantinet vexé ,Simon accepta la punition de bonne humeur ,accroupi dans le réduit étroit il examinait les longues jambes de " monsieur " dans un pantalon très serré.

il n’est pas si mal baraquée ce mec , se disait-il.

" monsieur " de son côté , n’était pas fâché d’exciter ce jeune prétentieux. il s’arrangea pour opérer quelques mouvements qui dévoila généreusement son sexe gonflé prisonnier dans ce pantalon.

Malgré la semi-obscurité dans laquelle je me trouvait ,mon cœur battant la chamade , je pouvait nettement détailler cette érection .

Le souffle coupé , je sortis ma quéquette et commença à me masturber.

Je pensais……((  Ce mec doit le faire exprès ! )).....(( Je lui mettrais bien la main dessus…..mais…..??? ))...(( Attendons tranquillement et branle-toi gaiement.  )) .....(( Ah !…Ah ! Que c’est bon ,mais il va me faire jouir …))

Les répercussions de ma branlette se faisaient sentir , à la façon d’un léger séisme sur la main de " monsieur " dont les mentions " bien " , ou " médiocre ", ou " très bien " en marge des copies s’en trouva toutes déformées.

" monsieur " à même des vibrations d’ordre intime aussi violente que celles dont le jeune Simon transmettait la furia au bureau tout entier.

La rigidité dans son slip révélait l’incapacité de maîtriser son excitation sexuelle ,il se leva brusquement :

___C ‘est terminé ! Dit-il , en voilà assez pour aujourd’hui.

Simon sorti de la niche , dissimulant tant que bien sa bite avec sa main gauche.

___Alors , Simon ,vous semblez avoir perdu votre langue. Êtes-vous décidé à vous tenir tranquille ?

___ Heu… Heu….NON monsieur

____ Vous feriez mieux Simon ,vous feriez mieux de vous mettre à étudier sérieusement , car j’ai constaté, hélas ! Que vous n’étiez pas particulièrement brillant en français. Il vous faudrait quelques leçons particulières.

Tout jeunot qu’il était , l’adolescent n’était pas tombé de le dernière averse. Aussi , en bon apprenti dragueur , il ne manqua pas de saisir la perche qu’on lui tendait.

___Si vous vouliez m’en donner quelques unes…..je ne demande pas mieux….

Le monstre , il regarde ma braguette ou ma queue ne débande pas comme s’il voulait l’ avaler ,pensait " monsieur " tandis que Simon continuait :

___Faudra que je demande de l’argent a mes parents ,ils ne refuseront certainement pas…..

___Ne vous inquiétez pas pour cela, je vous donnerai les premières leçons gratuitement. Voulez -vous que nous fixions le premier demain après-midi à 3 heures…

____ Mais demain , c’est mercredi et vous m’avez déjà collé 4 heures de retenue

___ Bon votre colle ! passez la chez moi .. en plus de la leçon particulière voici mon adresse…..

Le mercredi je me présenta au domicile de " monsieur ".

__Ha c’est vous Simon , asseyez-vous ,je vous prie !

__ Bien , Merci " monsieur " .

" monsieur " commença une dictée ,il passait et se penchait au dessus de la table pour regarder ce que j’écrivais .

J’étais gêné par l’importance soudaine qu’avais pris mon membre viril dans mon pantalon trop étroit, s’aidant de sa main gauche pour le placer dans sa position d’érection, c’est a dire dressée vers le nombril. Mais comme il le sentait toujours un peu compressé j' ouvris carrément ma braguette pour lui donner un peu d’espace tout en lui faisant une petite caresse pour en apprécier la raideur.

" monsieur " se rapprocha de nouveau prés de la table pour contrôler ce que j’écrivait : d’un seul coup j’ attrapa la main gauche de " monsieur " , toute en serrant très fort l’amena jusqu’à l’intérieur de mon pantalon entrouvert pour la mettre en contact avec sa bite toute dure.

___Mais…vous êtes fou ? Qu’est-ce qui vous prend ? Espèce de petit dégoûtant !…..

___ Voulez-vous bien me lâcher !

Comme il n’était pas manchot ,il m’ assénait une magistrale paire de gifles et parvint à se dégager , d’autant plus que je ne m’attendait pas à cette réaction.

___Je vous demande pardon " monsieur " .

" monsieur " de son côté ,avait une bonne envie d’éclater de rire .

Le contact de la virilité de Simon au creux de sa main lui avait fait passer le long de l’échine un frisson caractéristique. Commet se sortir de cette situation ?

" monsieur " avec son tempérament autoritaire suggéra une échappatoire amusante :

___ Ne restez pas planté devant moi comme un imbécile , et , puisque vous n’êtes pas maître de vos gestes je vais vous attacher la main gauche au dos de la chaise.

____ Alors ? On est calmé ? Qu’est-ce qui vous a donc pris ?

Horriblement vexé , je me taisais ,les yeux fixés vers le sol dan l’attitude du coupable pris sur le fait…….

___Allons , mon petit , détendez-vous !.. Je ne vous veux pas de mal… j’ai été surpris voilà tout… mais dites-moi , qu’est-ce qui vous plait en moi ?…

___ je ne sais pas … tout

___ tout …. C’est bien vague…..Ou en voir encore plus ? Petit monstre !

il commença à ouvrir sa braguette …et s’amusait de voir que j’ avais du mal à avaler ma salive.

___ tiens : regarde !

D’un geste brusque , il sortit sa bite dressé jusqu’au nombril

Une incontrôlable érection me tourmentait de plus belle.

" monsieur " s’en aperçut et interrompant sa séance d’exhibitionnisme , il s’empara d’un double décimètre de plastique posé sur son bureau , et l’introduisit par l’ouverture de la braguette pour taquiner le petit mât qui se dressait orgueilleusement :

___ QU’est-ce qui se passe là dedans ? Hein ? Voyons un peu…..

Sous la poussée de la règle ,apparut bientôt aux yeux de " monsieur " la queue toute entière qui s’évada de sa prison de toile comme un diable de sa boite.

C’est plus important que je ne le pensais…. C’est donc cela que tu voulais me mettre dans la main ? Dis… petit cochon !

Mais maintenant… c’est différent… a moi de jouer… tu veux , dis tu veux?

il approcha ses longs doigts du gland

___Hou ! C’est tout chaud ! Constata-t-il ….tout chaud…tout chaud " monsieur " riait nerveusement….puis il attrapa le beau membre rigide a pleine main ,le caressant doucement en un mouvement régulier de va-et-vient.___ C’est cela que tu voulais , dis ?

___Oui ! Balbutia Simon…

___ Tu bandes bien….elle est dure ta queue… tu aimes te faire branler ?

___ OUI !….

___Qu’est-ce que tu faisais hier soir sous ma chaise ? Hein ,petit cochon ? Tu te branlais en devinant mon sexe, dis ?, c’était bon ?

___OUI !…

___ maintenant , ça te plait comme ça ?

___OUI !…

De sa main gauche , il avait extrait les testicules velus et les caressait du bout des doigts pendant qu’il accélérait le mouvement sur la colonne de plus en plus gonflée….

____tu a joui dans ta main ,hier soir , hein ?

___ OUI !…

___C’était bon ?

___ OUI !…

___Tu dis toujours oui… Tu veux que je te fasse jouir ?

___OUI !…

___Tu n’as pas beaucoup d’imagination. Tu pourrais m’appeler " chéri " puisque je te branle……

___J’ose pas….

___ Ose ,mon grand chéri… Tu aimes qu’on te le fasse avec la bouche ?….

___OUI !…

___OUI qui ?

___OUI … "monsieur " …..

Cette belle queue toute neuve ,il la voulait dans la bouche …Je l’avait compris.

Il avança un bout de langue pointue pour en titiller la fente de gland ou perlait déjà une petite goutte

transparente ,il apprécia la saveur un peu salée, puis sa langue se fit plus molle ,enveloppant et parcourant le long de la tige jusqu’aux testicules biens durs.

Il passa brusquement aux choses sérieuses , engouffrant tout l’objet dans sa bouche et s’appliquant à réaliser une bonne pipe!!!.

Il faisait glisser entre ses lèvres le pénis gonflé , dont l’heureux possesseur commençait à faire entendre quelques gémissements.

___ C’est bon.. Mon petit ? S’inquiétait-il entre deux aller et retour.

___ça me fait du bien….. Répondait Simon.

Il masturbait encore la bonne pine , se penchant brusquement en avant il gobait de nouveau l’engin jusqu’à la glotte. Il se mit à accélérer sa succion et à l’accompagner de tiraillements ventouse , Simon soupira très fort et entre deux grognements de bonheur il laissa échapper :

___ Attention…. Je vais jouir….

___ Ah non ! S’exclama-t-il ….

Ramassant le double décimètre , il en donna un petit coup sec sur la queue pour modérer son exaltation.

___ Détachez-moi ….je vous en supplie…je suis trop excité…..je ne peux plus attendre j’ai trop mal……

La réponse se ponctua par un nouveau coup de règle sur la biroute.

___OUILLE ! Vous me faites mal….

___Tant mieux . Tu ne le mérites pas mais la fête continue.

Il fit sauter les boutons de sa chemise et l’enleva,puis ce fut le tour du pantalon qui laissa apparaître de belles couilles bandées par le désir sexuel.

Je salivais…. Sa queue toujours de plus en plus raide.

Il se tenait nu devant lui. l-instit-1960.jpg

___ je te plais ? …dit-il

___OUI !…. OUI !…. Pourquoi ne me détachez-vous pas ?

___Plus tard , mon petit ,plus tard j’ai envie de m’amuser avec toi….

Il s’approcha de moi :

___Regarde je bande comme ta queue….en passant sa langue sur sa lèvre supérieure.

___ Assez " monsieur " , assez ! Vous allez me rendre dingue….

___ C’est bien ce que je compte faire….n’oublie pas que tu est puni.

Il présenta le gland durci sous mon nez ….

___ Lèche mon petit ! Lèche et suce….

Je me le fit pas dire deux fois; je pris le gland entre mes lèvres et le mordilla puis me mis a le sucer doucement d’abord et gloutonnement ensuite..

Monsieur gémissait de plaisir…..

__ Tu m’excites trop chéri ,tu as une bonne petite langue de suceur….étonnant pour ton âge… Dis-moi ,tu n’aurais pas sucé la quéquette de quelques camarades , par hasard ?…

___Si !….

___J’en connais ?

___OUI ! ……… Alain ….

___le rouquin ?

___OUI !…et des fois Claude ……on fait ça tous les mercredi …

___Mais où ça ?

___Où on peut…..dans la prairie…ou dans les combles de la chapelle

___il te .. Il te jute… dans la bouche ?

___OUI c’est bon !….

___Cochon … tu avales tout ?

___ Parfois oui , parfois je lui recrache son foutre sur sa bite….

___ Et après ?

___ Après je la prends dans la main comme elle est toute gluante et je me frotte la mienne dessus jusqu’à temps qu’il rebande…on se baise comme ça queue contre queue, on se jouit dans les poils… on se défonce le cul.. C’est extra !.

___Cochon… Ah !tu me fait jouir avec tes cochonneries ,petit salaud…

OH ! C’est bon … j’en ai envie… !

___Regarde l’effet que tu me fais…Tiens…suce..

Pendant que je suçais , avec l’autre main libre il me branlait.

Je piaffait :

___Venez vous asseoir dessus " monsieur " .. Venez ! Venez ! Je vous en supplie…

___Tout à l’heure ! Continue à bander , ça m’excite de regarder ta belle pine.. Et ne continue pas à appeler " monsieur " un mec qui se branle devant toi.

Dis -moi que je suis un cochon de mec… allez ..vas-y !

___Tu est un vrai cochon de mec ! Dis-je.

___Un cochon de mec qui va jouir !…rugit " monsieur "…Aa ah ! Que c’est bon…ça vient…je décharge sur mes doigts …. Aaaah !…. Aaaah !….

C’est fini…. Le spasme à peine terminé ,il me tend sa main maculée

___Tiens , mange !

___A moi maintenant….. Fais moi jouir ! Crie-ai-je , la langue tout engluée de la substance …. Viens sur moi.. J’ai envie de baiser….

___Minutes ! Répond " monsieur " ,s’agenouillant devant moi la pine bandée a mort,qu’ il agite de haut en bas… c’en est trop pour moi , cette fois incapable de se retenir un seconde de plus, les écluses spermatique se son ouvertes sous la poussée irrésistible d’un geyser de foutre qui atterrit sous le nez de " monsieur "

___ Cochon ! Dit-il en essuyant de sa main les perles gluantes qui lui dégoulinent sur le buste.

Au bord de l’évanouissement je revient à moi que lorsqu’il lui a repris la queue dans sa bouche pour sucer les dernières gouttes.

___Maintenant je vais te sucer a nouveau pour que tu rebande….quand ta bite sera bien dressée je m’empalerai cul dessus et tu me jouiras dedans ,tout au fond de moi…. Tu veux ?…. Dis…..

___OUI !…. OUI …..

___ Bon alors vas-y ……. mais tu seras punis mercredi ….

___ OK !….chéri !

Le lendemain a l‘école tous les copains voulaient savoir si la punition avait été sévère.

___ Non !…"  monsieur " a été très agréable , mais je suis encore puni la semaine prochaine….. Si vous voulez en savoir plus faite vous punir comme moi en jouant avec votre sexe


 

La semaine passa très vite 

 le mercredi suivant j’arrivais avec un peu d’avance….

Je fus très surpris  quand la porte s'ouvri, c’était un remplaçant !!!!!

___ bonjour Simon installez-vous on va reprendre là ou "monsieur" a arrêté…

___ bien « monsieur »…c’était un remplaçant bien informé du suivi de l'instituteur.

___alors vous vous mettez a poil, assis sur cette chaise et je vous attache au dos….

___Ah non !…pas attaché

___Attaché ou je ne vous sucerai pas !….

___bon !…allez-y….

J’ étais ainsi encore un fois le prisonnier ,mon pénis à demi-mou et les couilles pendantes ne réagissait pas encore ,

Dans la salle voisine « monsieur » se déshabilla et avait revêtu une robe d’intérieur , laissée ouverte

pour me se montrer nu devant moi , instit2-1960.JPG

les effets ne tardent pas a faire réagir ma bite devenue dur comme du bois.

il tournait autour de moi quand un coup de sonnette vint nous interrompre cet exercice qui commençait.

Monsieur se dirigea vers la porte d’entrée

.

__ Entre mon petit René instit3-1960.JPG

quelle bonne idée tu as eu de venir aujourd’hui !

René était un grand garçon brun a la peau couleur bronzé par le soleil , ses yeux pétillaient de malice et tout naturellement ,il tendit sa bouche à « monsieur » qui y déposa un baiser très tendre , ils ont un point commun celui de gay . René ne tarda pas à montrer ,par les contorsions de son basin ,qu’il était prête à passer à une séance tout spéciale a deux.

Évidemment ,il ignorait la présence d’un troisième larron.

« monsieur» révéla à René qu’il était justement en train de violer un de ses grand élèves.

__ Une fille ? Demanda René ,soudainement alléché.

__ NON , un garçon !

Et monsieur ajouta :

__ Enfin , un garçon , si tu veux ,On va se le faire toutes les deux…

Ne t’inquiète pas…. Il ne risque pas de te sauter dessus, je l’ai attaché au dossier d’une chaise.

__Oh ! Fit René en voyant le tableau , car toutes couilles dehors , je continuait à bander comme un cerf.

__ Tu me l’avait bien caché celui la…..

__ Excusez-moi ! Dit -il .

__ Quelle belle queue ,murmura René.

__N’est-ce pas ! Répondit « monsieur » .

Les attouchements des mecs commençaient à me remettre en transe et de nouveau  je suppliais :

__ Vous m’excitez à me tripoter la bite…. Viens t’asseoir dessus , chéri , comme tu me l’avais promis.

__ Attends , mon coco… nous ne sommes pas pressés…

Prenant René par la taille ,le mis à poil en moins de deux , puis il se colle ventre contre ventre et passe la langue contre langue.

__Touche-moi ,chéri ! Dit-il ….

Les doigts de René se promènent sur son ventre en descendant pour y retrouver une bite raide comme un bout de bois.

__ Branle …chéri.. branle-moi… j’en ai envi !

__ Alors branle-moi toi aussi je suis venu pour cela.

Chacun leur tour ,il se livre à de savantes investigations …..

__ Ce que tu peux être cochon , de faire cela devant un de tes élèves… j’espère qu’il ne va pas baver……..

__ Il va baver du sperme ..ce cochon …. Laisse -le il s’excite pour l’instant à nous regarder …. Branle-moi bien et ne t’occupe pas de lui. Il est en train de distiller du bon foutre pour nous deux quand on aura fini de jouir ensemble….

Leurs langues se reprennent pour un nouvelle danse amoureuse à l’intérieur de leurs bouches.

Toutes les deux ensemble , se frottant amoureusement le ventre

il se palpent mutuellement les fesses

et « monsieur », le premier , introduit un doigt dans l’anus de René.

__ Tu es trop cochon , chéri , de m’enculer en me branlant… arrête… tu vas me faire jouir trop vite…..

Les doigts accélèrent leurs mouvements sur les boutons respectifs. ils se sucent la langue ,bouche soudées l’une à l’autre , aspirant mutuellement leur salive et leur envie de sexe.

Je deviens fou furieux :

__ Sal mec… bande de sal mec…. Vous allez me faire mourir à force de me faire bander… jouissez…. Bon Dieu…. Jouissez et venez vous emmancher sur ma pine si cela peu vous faire plaisir et que je décharge dans votre cul !

Ce fut « monsieur » qui partit le premier , dans un râle sauvage , tortillant sa croupe lourde et emprisonnant la main de son ami sur sa queue pour décharger dessus.

__ Tiens , cochon , mon foutre de mec…. Tiens…. Tiens… Rahh…. Rahhh… tu ma fais jouir cochon…. Aaaah !…..

__ Branle… branle encore … ne t’arrête pas… tu joui… je te sens jouir… Branle …. Plus fort…. Je viens aussi !…
Deux ou trois mouvements de son petit cul nerveux…. Et crac ! Voilà René qui s’envoie en l’air à son tour.

__ Aa ah ! Crie-t-il…. ….. Je meurs !…..

__ et moi , je vais décharger ! Hurlais-je dont la bite vient de laisser échapper une perle blanchâtre…. Venez que je vous baise…. Que je vous encule….. Asseyez-vous dessus…. Vite…. Vite …..

René se jette à califourchon dans les bras de « monsieur » cul bien ouvert pour s’empaler sur sa bite

Tendue instit4-1960-copie-1.JPG

pour mieux m’exciter

Ensuite René se met à califourchon par dessus moi attaché sur ma chaise et s’empale le cul sur ma verge tendue

D’un seul coup son cul à englouti le membre jusqu’aux couilles. Et ran et ran , il me chevauche comme un jockey au trot……

__ donne ton foutre , mon canard…..

Donne -toi a fond… tout entier.. je la sens bien ta pine de gamin toute raide…..

Emplis-moi de ton sperme ,chéri… Oh ! Que c’est bon !….

Mais « monsieur« , ce cochon… suce le petit trou de René… non ..arrête…lui dit-il en priant que cela continue ….

Vas-y mon canard défonce .. défonce…

Le gland ainsi malmené s’est enflé démesurément et remplit tout la cavité en fusion. Sous les contractions du muscle anal , il se tend à tel point qu’il en éclate…. Le sperme jaillit à gros bouillons .

__ Vous avez joui comme des cochon !

Crie « monsieur » en délire…. Et moi…. Et moi je suis en panne…..

__ Viens , mon beau Simon , viens me baiser !….

Il me détacha , épuisé…. je ne bande plus…. j’ai jeté tous mon jus. C’est fini pour le moment…. « monsieur » m’a pris par les épaule et me renverse sur une peau de chèvre qui sert de tapis. Il frotte fièrement la queue raide contre la queue ramollie qu’il écrase de tout son poids.

__ Bande ….

Vas -tu bander , oui ou non ,

salaud… j’ai envie de ta pine…

__ Laisse-moi respire un peu… je viens tout juste d’éjaculer !.. Je m’excuse ….

__ Rien à faire ?… Alors suce moi !… ordonne »monsieur » qui s’installe délibérément sur ma bouche….

Ah ! Comme c’est bon ta langue sur mon gland

je bande moi…tu sens ?

Dis , cochon…. Petit salaud….

Tu va me faire prendre mon pied….

Oh ! Que c’est bon… OUI … OUI

Pendant que je suce , René ne perd pas de temps il me lèche les couilles en me masturbant.

Le membre ainsi caressé reprend forme ,il le prend dans sa bouche en aspirant le gland de toutes ses force.

« monsieur » dit :

__ Laisse-le moi s’il bande !.. Je veux qu’il me la mette à fond , sa belle quéquette… donne… donne… je t’en prie René ,ne le fais pas jouir dans ta bouche…. Donne le moi….

__ Tiens ! Il est en état maintenant…. Baise-le ton gigolo !

« monsieur » délire sous les coups de butoir que le gamin que je suis , lui assène dans le cul. 
René s’agenouille derrière moi et prend mes couilles un peu pendantes dans sa main gauche ,tandis que la droite s’infiltre entre les cuisses pour attraper la base de ma pine qui s’enfonce en cadence dans le cul de « monsieur » et s’arrange pour caresser les lèvres de ma vulves en même temps , accompagnant les mouvements du baiseur et du baisé….

René ce disait :

Et si j’ enculais ce petit??? ....    dont il aperçoit le petit œillet brun entre les fesses en mouvement .En désespoir de cause , il m’ enfonce sa langue .

Je me retourne étonné et m’arrête un instant de limer.

 »monsieur » dit :

__ Ne t’occupe pas et pine -moi plus fort !

Le basin de « monsieur » ondule à la façon des danseuses du ventre, faisant subir à la petite bite des torsions savantes qui décuplent le plaisir.

__ Donne -moi ta langue , chéri , je vais jouir….

__ Moi aussi , chéri…

Bouche à bouche et sexe dans cul ,ils se donnent à fond à la joie de leurs corps…..

__ Hon !… Hon !.. Fis-je sans cesser de sucer la langue de « monsieur » qui fait han !… han !….

Ils jouissent comme des fous sous le regard de René qui se masturbe pour garder une érection maximum , alors….. Alors….

Il se plaça derrière moi et me défonça ce petit trou mis à sa porté… surprise.jpg

L’après-midi de retenue ne s’est après tout pas trop mal passé.

Dans les mois qui suivirent le jeune Simon eut en classe une tenue exemplaire.

Il réussit son CERTIFICAT d’étude

avec mention.

Par simon - Publié dans : ma vie
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Jeudi 6 septembre 4 06 /09 /Sep 11:33
1958 
suite le fils et le père
Ensuite je rentrai chez moi en espérant de me retrouver un jour seul avec son père………….



quelque mois plus tard..

donc je décidai d'aller voir le fils de mon voisin avec qui j’avais passer une bonne soirée (revoir 1ere partie).

Je vais chez lui et je sonne.

Apparemment il n y avait personne; je m apprêtais a partir quand qaund la porte s’ ouvrit

Quelle fut ma surprise c’était son père

bonjour monsieur "

" ah ! c’est toi  salut rentre " ,le fiston n’est pas encore rentré mais il ne tardera surement plus.

Il était torse nu une serviette autour de la taille , un peut gèné je lui dis "  je repasserai " .

Il me dit " non rentre boire un jus de fruit en attendant "j’ai fini de prendre ma douche.

je lui dit " oui avec plaisir ".

installe toi là sur le canapé " dit-il je vais chercher coca ou orange ou tu préfères une bière ?

" Baaa ! ! ! pour une fois je vais prendre une bière ".

De retour avec 2 bières sur un plateau , il se pencha vers moi en disant ‘tient serre toi mais c’est de la brune "

merci , c pas grave ça se boit ".

je n’avais pas eu le temps de terminer ma phrase que la serviette se décrocha et lui se retrouva a poil devant moi.

Excuse Simon c’était pas prévu " je suis désolé.

C ‘est pas grave je vous ai déjà vu a poil et ça me déplait pas , bien au contraire, vous avez un superbe corps pour votre age ".

" Dans ce cas je reste comme ça ".

J’etais venu en short bien moulant et il n’eu pas de mal a voir que j’avais une érection bien avancée.

Il posa une main sur ma cuisse en disant " c’est moi qui te fait bander comme ça ? ".

Oui monsieur "

arrête de dire monsieur  appelle moi Georges ".

" Ok Georges ".

Il avait du ressentir le frisson qui avait parcouru mon corps car il avait un large sourire en me disant tout en montant le long de la cuisse " ça te plais hein ça te plais ".

Oh ! oui monsieur heu ! Georges ".

Sa main passa par dessus mon short pour passer sous ma chemisette pour caresser mes petits tétons et ma poitrine ou perlais quelques poils, il redescendit lentement sur mon ventre et glissa sous l’élastisque de mon short ,puis de mon slip pour venir buter sur ma bite bander a mort.

Ma respiration c’est accéléré ,il pose sa tête sur mon ventre , avec deux doigts il décalotte ma bite et sa bouche l’avale complètement .

M’inclinant vers lui j’arriva a poser une main sur ses fesses, ça semblais lui convenir car il se replaça afin que le puisse lui caresser la raie.

Mon index passant sur sa rondelle s’y attardais, il aimais ça le père Georges , je le sentais par la sensation de sa bouche sur ma bite dés que mon doigt furtif chatouillait la cible.

Soudain Georges me dit " tu as déjà sodomisé un mec ? "

Oui , mon copain Guy quand j’avais 13ans " et en plus Guy m’avait enculé aussi , c’était notre première fois a tous les deux ".

tu as aimé Simon "

Oh ! Oui Georges , c’est trop bon "

Dans ce cas tu es un pro " veut-tu me baiser ? ".

Je devins rouge écarlarte et balbutia " c’est trop me demander Georges je sais pas si j’y arriverai ".

Sois pas modeste Simon je suis sur que tu peut faire aussi bien que mon fils René .

Tu a bien vue la dernière fois comme il aime ma bite dans son cul.

Moi aussi j’aimerai bien la votre " ajoutais-je.

"Et bien donnant ,donnant tu me baises et après c’est moi qui te baise".

 " Ok ! Georges " ajoutais-je en vidant le reste de ma canette dont l’alcool commençait a me faire tourner un peut la tête.

Il se leva , alla chercher deux autres bières , pendant ce temps là je me sui mis intégralement a poil.

Puis il me dit " mets un gorgé de brune dans ta bouche sans l’avaler " ,ce que je fis.

Il se mis a genoux sur le sol , le torse posé sur le canapé et ajoute " maintenant avec le contenue de ta bouche et avec l’aide de ta langue dilate moi c trou ".

Aidé de mes mains , je lui lava le trou , mon index y entrait comme dans du beurre et il me dit " allez vas y encule moi " sessin1.jpg

Avec cette préparation ma bite dur comme le fer se présenta , et lentement mon gland disparaissait dans ses entrailles jusqu'à ce que mes couilles butent sur ces fesses.

Georges gémissait et me demandait de faire des vas et vient de plus en plus vite ,ma jouissance arriva très vite, et je senti monter en moi le bonheur et dans un cris de bête sauvage je lui remplis le cul de mon jeune et bouillant sperme de ma jeunesse. je resta en lui jusqu'à ce que ma bite ressorte d’elle même toute baveuse alors Georges la repris dans la bouche pour bien la nettoyer et avala derrière un peu de bière.

Je suis comblé " a toi maintenant si tu le veut encore " ajouta-t-il

Je vais te préparer ce petit cul bien serré , allez mets toi a quatre pattes sur le canapé.

Il bu une gorgée de bière ,m’écarte les fesses ,ses gros doigt autour de ma rondelle, il y crache la bière , frictionne le trou, remet un peu bière et avec le goulot de la cannette me pénètre je gueule " ça fait mal "

Mais non attend laisse ton cul s’habituer, puis tournant la canette et l’enfonçant un peu plus ,la douleurs s’estompais et commençait a y prendre du plaisir.

Je me mis a lui dire "  encore , j’en veut encore "

Alors il retira la canette , et je senti son gland beaucoup plus gros rentrer , je voulais hurler de douleur , mais soudain ma bouche grande ouverte pour sortir le cris se trouva rempli par la queue de René que je n’avais pas entendu rentré , sessin4.jpg bien au fond de ma bouche, me tenant la tête, il me disait  " pompe moi " et son père Georges lui me limait a sa cadance tout en me branlant .

Je consommais par les deux bouts ,le père et le fis se roulant un pelle en même temps.

Soudain ma joissance fut telle que j’éjaculais sur le canapé et entrainant la jouissance de René qui me remplissa la bouche et du avaler le nectar quand a Georges il me remplie mes entrailles.

Le bonheur etait a son comble j’avais eu tous ce que j’avais venu chercher.

 

Après une nouvelles canettes ,je reparti chez moi et sentait couler le long de mes cuisses le trop plein du bon jus de Georges .

J’etais sous la douche ,quand sans l’avoir entendu rentré , René arriva et me dis " salope tu a baisé mon père, il t’a baiser  alors chienne c’est a mon tour ".

Je n’ai pas eu le temps de dire un mot je me retrouva empalé contre le mur de la douche, 
René comme jaloux me défonçait sans ménagement ,ces couilles tapaient me fesses , je sentais en moi au plus profond la chaleur de son jus ,il se retira , m’attrapa par les cheveux et m’obligea a le sucer pour lui faire reprendre une nouvelle érection , quand il fut a nouveau prêt il me défonça le cul a nouveau.

Je l’ai vidé trois fois de suite , et soudain il me dit "  tu es une vrais pute " mais moi aussi j’en suis une " alors a toi , vide toi en moi "

Je m’allongea sur le sol la bite bien raide et lui dis " allez chevauche moi ,rentre la dans ton cul et serre toi ". sessin3.jpg

Apres lui avoir donné sa ration , on se leva, s’embrassa goulument et reparti chez lui.

Il se retourne et dis " mon père et moi on t’attend dimanche ".

Mais j’y suis pas aller car d’autres aventures m'attendent…………….

 



Par simon - Publié dans : ma vie
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Mercredi 5 septembre 3 05 /09 /Sep 12:54

1957

 

 

Mes amis d’enfance école classe de CM2

 

 

Je savais déjà de quel bord j'étais. Je n'avais jamais rien fait mais mes désirs et mes fantasmes étaient clairement et sans aucun doute dirigés vers mes petits camarades. Malgré de discrets “ sondages ”, il me semblait que j'étais le seul pédé de mon entourage.

Dans Mon cours, j'avais un copain, Guy,13 ans , qui était assez chaud. Il parlait cul tout le temps, il se masturbait en classe et il avait constitué un classeur contenant des images pornographiques. Hétéro qu'il exhibait à la récré ou en salle d'études. Il n'était pas spécialement beau mais il était drôle et sympa.

Un matin, il dut aller à l'infirmerie car il avait mal au ventre. Le midi, j'allais le voir. Nous étions seuls car l'infirmière était partie déjeuner. Évidemment, la conversation a viré au cul. On s'est raconté comment on se masturbait (nos techniques différaient), et lui il m'a raconté les quelques expériences avec les filles. Cela ne dépassait pas le touche pipi. Et puis je dirigeais la conversation pour lui dire que je voulais tout essayer : les femmes et les hommes. Lui m'a raconté que le toucher rectal fait par son toubib ne lui avait pas fait du bien. Il n'avait a priori jamais envisagé de coucher avec des mecs. Je lui racontais que je voulais le faire une fois, pour pouvoir dire, “ j'ai essayé ”. Je lui demandais de but en blanc si dans ce cadre d'une simple expérience, il me laisserait le masturber et le sucer. Il me répondit que c'était envisageable. Je lui demandais s'il voulait me faire la même chose, il me répondit alors, un peu hésitant, “ oui, pourquoi pas, tant qu'on s'encule pas ”. Évidemment, il n'était pas question de faire cela à l'infirmerie, l'infirmière n'allait pas tarder à venir et lui était un peu perturbé par son mal de ventre même si celui-ci diminuait.

Il me proposait de venir chez lui , le soir même. Sa mère ne serait pas là et comme il disait, pour une pipe et une branlette, 2 heures sont largement suffisantes. Je lui demandais s'il s'était branlé pendant qu'il était ici. Il me répondit par la négative, il aurait donc les bourses pleines, ce soir. Avant de partir, je mis ma main sur sa couverture et lui caressait à travers la couverture. On se regardait en souriant. Je sentis une grosseur immédiatement. “ Ca promet, dit-il ”. J'arrêtai mon manège car le bruit de la porte d'entrée m'informait que l'infirmière revenait.

Guy revint en cours et nous passâmes l'après-midi comme si de rien n'était. Le soir, nous partîmes chez lui, il habitait à coté du collège. J'appelai mes parents d'une cabine publique pour leur dire que je rentrerais plus tard en prétextant un devoir à faire avec un pote.

Nous pénétrâmes dans sa petite maison et nous allâmes dans sa chambre qui se trouvait au dernier étage. Elle était propre et bien rangée. Il y avait un lit d'une personne, un bureau un peu encombré de livres de classe, de BD et de revues. Des étagères croulaient sous les nounours, les livres, les jouets divers.

On retira nos blousons et je m'assieds sur le bord de son lit. Il alla chercher en dessous, deux classeurs. Je reconnus le premier qui contenait ses photos pornos. Je lui demandais ce que contenait l'autre. Il y avait dedans des photos pornos, mais cette fois avec des photos homos, lesbiens, et avec des pratiques extrêmes (sado, uro.).
 Je lui dis “ Celui-là tu nous le montres pas ? ”. 
----“ Je préfère pas ” 
et où tu les as eu ? ” 
---“ Je les pique chez le marchand de journaux ”.

On s'allongeait sur le ventre ,sur le lit et on commença à feuilleter le deuxième classeur.
 Très vite, j'avais une érection d'enfer.
 Au bout d'une dizaine de minutes, je lui demandais s'il voulait qu'on commence. Il me répondit par l'affirmative.
 Il se mit sur le dos, défit sa ceinture et le bouton de son jean, ouvrit la braguette et sortit sa bite. Elle avait l'air assez petite et sa touffe pubienne était fournie. J'en fis de même. Nous commençâmes un va et vient sur nos hampes respectives, le classeur entre nous deux.
Alors que ma main gauche allait et venait sur mon chibre, je posais la main droite sur sa verge et remplaçait la sienne. Il croisa les mains et les plaça sous sa tête. Nous nous masturbions lentement. Au bout d'un moment, il prit ma bite dans sa main et on se masturbait mutuellement.
 “ Je l'ai déjà fait avec mon cousin ” dit-il. C'était divin. Les pages du classeur continuaient à défiler avec son cortège de pipes, de sodos, de cunnilingus et de cuir.

Puis, je me décidais et je lui passais une main au-dessus du pubis et je dégageais son nombril. Je me penchai vers lui et commençai à embrasser son nombril tout en caressant son sexe et son bas-ventre. Le jean m'embêtait un peu. Très vite, je descendais vers sa bite. Je lui jetais un coup d'oeil et il me regardait intensément. Je le décalottai doucement. L'odeur était forte, poivrée et musquée mais très agréable. Je donnais un petit coup de langue sur la base du gland et je sentis son sexe se tendre. Je fis le tour du gland puis je descendais vers les couilles. Je dus m'arrêter car le jean m'empêchait de les atteindre. Je remontais et pris sa verge en bouche. Nouveau spasme. Je commençai un va-et-vient avec ma main et ma bouche.

A chaque fois que j'accélérais je lui arrachais un râle de plaisir. J'adorais le goût de sa bite et je bandais comme jamais. Je lui ouvris complètement le jean et le fis glisser pour faire apparaître complètement son bas-ventre.

 

 

Cela me permit de faire des aller et retour vers ses couilles que je gobais avant de revenir avec la pointe de la langue vers le gland. Je réalisais enfin ce que j'avais rêvé. Cela lui faisait plaisir car je voyais qu'il fermait les yeux et il se tortillait. Il me caressait les cheveux en accompagnant mes caresses buccales.

Avec une main, je lui massais les testicules tandis que ma bouche et l'autre main s'activaient sur sa bite sur le point d'exploser. J'accélérais le mouvement.
 Il me dit “ je vais jouir ”. 
Je continuais. Je reçus alors son sperme au fond de la gorge ce qui me fit un peu suffoquer. J'avalai toutes les giclées et continuai à le sucer.
 Il poussa un “ ah ” de contentement et de soulagement. Son sperme était plus consistant et plus épais que le mien. Le goût était différent aussi.

Je repris ma place à ses cotés ma bite érigée. Il la prit dans sa main et me masturba.
 “ Tu veux goûter ? ” lui demandai-je.
 Pour toute réponse, il se releva et enfourna ma bite dans sa bouche. J'eus un hoquet. Même s'il n'était pas expert, je sentais les vagues de plaisir à chaque va-et-vient. 
Rapidement, j'eus envie de jouir. “ Fais gaffe ça monte ! ”. 
Il se retira immédiatement et continua à me branler. Un long flot de sperme sortit tandis que je poussais en “ han ” libérateur. Il prit le rouleau de sopalin et me le tendit. J'essuyai mon foutre. Heureusement, je n'en avais pas mis sur mes vêtements.

On se recouchait sur le dos, l'un contre l'autre, nos bites molles mais pas complètement. Je lui dit
- “ alors ? ”
- c'était super- Woooéééhhh, mieux que la grosse Julie, celle qui m'a pompé dans les toilettes de la piscine
- “  c'est vrai cela t'a plu ? ” , “  Même de me sucer? ”
- te sucer ? Ouais ... pas mal, c'est moins dégeu que ce je croyais. Je préfère être sucé tout de même.

Je recommençai à lui caresser la bite. Elle réagit immédiatement et reprit de la vigueur.
- tu veux qu'on recommence ? Lui demandai-je
- Woooéééhhh ,j'ai encore envie que tu me suces
- "pas tout de suite, j'ai envie d'autres choses, on n'a pas tout fait, ” lui dis-je en le regardant droit dans les yeux.
- Par exemple ?
- Ça par exemple:

J'approchais mes lèvres et l'embrassait. Il se laissa faire et je fis pénétrer ma langue. Nous échangeâmes un long baiser langoureux.

Puis, je me dévêtis complètement et je terminais de le déshabiller. Nous étions nus comme des vers, avec nos pénis dressés.
 Je m'allongeais sur le lui et l'embrassait de nouveau.
 Il me caressa les fesses. Il me mit sur le dos et il était au dessus de moi. dessin1.jpg
 Nos bites étaient l'une contre l'autre et il fit onduler son corps tout en m'embrassant. Je lui caressai le dos, les fesses et les cuisses. Après un moment, j'écartais les jambes et je les plaçais autour de lui. Il accéléra. Je lui glissais à l'oreille dans un souffle, “ je voudrais que tu me prennes ”. Il arrêta et me regarda. Il me dit “ tu es un vrai pédé, une vraie salope en fait ”.

Je ne dis rien.
Il me retourna et je me retrouvais sur le ventre. Je cambrais les reins comme sur une des photos du classeur et lui offrais mes fesses.

Il mit son sexe dans ma raie et allait et venait. Je sentais sa verge très dure qui me caressait l'anus. Après quelques instants, il essaya de rentrer mais à part un doigt, rien n'était jamais rentré et mon anus lui refusa le passage.
- "il faut lubrifier je crois", dis-je
- "avec quoi ?" Je vais voir ce qu'il y a dans la pharmacie

Il partit et revint 1 minute plus tard avec un tube de crème pour fesses de bébé. Il me tartina la rondelle avec cette crème et m'introduit sans problème un doigt.

Il essaya de nouveau. Cela me fit un peu mal. Il fit un va-et-vient et à force il commença à me pénétrer. La douleur n'était pas intense. une-premi--re.JPG Il resta sans bouger. Je commençais à m'y faire. Il poussa un peu et entra plus profondément. Après quelques aller et retour, il était complètement en moi. Il me lima doucement et la douleur fit place au plaisir. Aux bruits qu'il faisait, cela lui plaisait aussi. Il alla de plus en plus vite et je sentis monter notre jouissance. Arrivé à un sommet, nous criâmes tous les deux, je sentis son sperme dans mes entrailles et j'inondais ses draps.

Nous nous écroulâmes. Nous restons un moment comme cela, je sentais sa bite qui devenait flasque. Il finit par se retirer. Je me retournais sur le dos et je l'embrassais à pleine bouche. Je lui dis :
- "Merci pour cette 1ère"
- "Merci pour quoi ? Tu aime les bites alors tu demandes ", j’exécute .
- "  ça t'as plu? "
- " Extra "pour moi aussi c'est la première fois que je me faisais sodomiser " et en plus que je baisais un mec toi mon meilleur pote et c'est bon d'être dans un cul.
- Je suis désolé pour tes draps
- Ma mère croira que c'est à moi

Je voulus l'embrasser à nouveau mais il détourna la tête et me dit “ il va falloir que tu partes, ma mère va rentrer ”.

Nous nous rhabillâmes en silence. Il épongea mon sperme avec le Sopalin.

Il me raccompagna à la porte et me fit un signe d'au revoir.

Je retournai chez moi sur un petit nuage. Ca y était je l'avais fait ,mon cul était dépucelé .Et bien en plus les jours suivants, il me demandait juste de le sucer dans les toilettes du collège, il prétextait que sa mère était là ou son père.
 Nous n'avons jamais recommencé à faire l'amour. Comme j'en avais marre de le sucer, que son cul ! fallait pas toucher nous avons arrêté .
 Quelques temps plus tard, il sortait avec une fille qui allait au lycée. Sans doute que l'expérience ne lui avait pas plus, ou alors le remettait trop en question son hétérosexualité. En tout cas, il nous lâcha avec ses histoires de cul et son classeur. Il se comportait avec moi comme si de rien n'était mais je voyais dans ses yeux qu'il me traitait de pédé. Il alla dans un autre lycée que le mien et nous nous sommes perdus de vus.

Heureusement d’autres copains vibraient avec moi 

 

Comme Bernard qui m’avait lancé un défis “ sauter dans la marre des canards ”

 

 

Ce que je fis et pourtant je ne savais pas nager , Bernard du me faire du bouche a bouche et ma suça pour me remettre en forme……

 

 

 

Par simon - Publié dans : ma vie
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Mardi 4 septembre 2 04 /09 /Sep 14:34
1958

Le fils et le père

J’avais 18ans et je venais passer mon conseil de revision pour le service militaire, .donc je décidai d'aller voir mon voisin un bon pote d'enfance qui l’avais passer l’année précédente pour fêter ça

Je vais chez lui et je sonne.

Apparemment il n y avait personne; je m apprêtais a partir quand il vint m ouvrir il était torse nu bien foutu et tout transpirant, il me dit qu il faisait de la musculation et me proposa si je voulais en faire avec lui avant de faire la fête, je lui dit oui sans problème!!!!

On monta alors dans la salle de musculation improvisée située près de sa chambre, je me mis a l'aise c’est a dire torse nu laissant apparaître ma fine musculature. On commença donc par faire des altères puis on avait tellement chaud que nous nous sommes mis en boxer pour continuer.

C’est fou comme la musculation peut faire bander!!! On remarqua tous deux que nous bandions comme des dingues, son boxer dessinait un beau paquet.
Apres une bonne heure d'effort nous décidons d'aller nous doucher.

Mon pote me laissa aller me doucher en premier, une fois sous la douche je pus profiter de l'eau bien chaude pour enlever toute a transpirations soudain mon pote entra dans la douche a poil et me dit que c'était histoire d'être plus rapide!

La il commença a me nettoyer le dos (je précise que nous bandions toujours)
Puis il me plaqua contre lui, je sentais sa bite entre ma raie et il commença à me branler!

C’était trop bon!!

Il me retourna et il me lécha les tétons puis descendit au niveau de ma bite et commença une fellation il me lécha d'abord le gland puis se mis a tout engloutir!!

Je lui proposa de finir ça dans sa chambre ce qu'il accepta aussitôt.

Une fois sec nous allons à sa chambre et la nous nous sommes mis en 69 pour continuer les fellations!!!

Soudains je senti une nouvelle présence, nous relevons la tête .

OH ! surprise le père de mon pote était a poil a se branler devant nous!!

Il était super bien foutu pour son age!! Une vraie montagne de muscle!!

Il approcha sa bite devant ma bouche donc je lui fis une bonne fellation pendant que son fils me suçait et que lui me palpait mon petit cul.

Tu as déjà été sodomisé ? " me demanda-t-il 

Non répondis-je " c’est quoi ? "

Je vais te monter " répliqua-t-il 

Le père de mon pote décida d'enculer son fils pour démonstration (a 1ère vu il adorait car il n’a pas refuser ), il lui lécha le cul puis d'un coup il lui rentra son engin dans le cul et commença des vas et viens, sous mon regard ébahi  et mon pote me roula une pelle. sessin.jpg

Une dizaine de minutes après il ressorti sa grosse queue qui jouissait sur son cul et le sperme coulait vers ses couilles.

Je me précipita pour lécher son beau fruit gluant.

Après ça son père parti prendre une douche pendant que mon pote et moi nous finissons sur un 69.


Ensuite je rentrai chez moi en espérant de me retrouver un jour seul avec son père………….

Par simon - Publié dans : ma vie
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