Mercredi 12 septembre 3 12 /09 /Sep 18:28

fin 1961
 c'est moi


simon-1961.jpg


1962

 

Depuis le bisutage a la fromagerie

Je ne porte plus de slips sous mon jean, j'ai l'impression d'avoir les fesses à l'air. Surtout quand je marche dans la rue.

J'avais 16 ans et demi . Un soir vers 23 heures de la deuxième semaine de fevrier, alors que nous faisions la pose casse-croute , travaillant de nuit pour le nettoyage de matériel de fabrication du fromage ,2 mecs super baraqués ont déboulé et choppé trois d'entre nous (les derniers embauchés), dont moi ,ils etaient acompagné d'une nana avec apareil photo

Il était évidemment parfaitement inutile de résister.

Ils nous ont bandé les yeux et entraîné de force: comme mes deux autres camarades, je me suis retrouvé torse nu, mains attachées en l'air, bras écartés, et bâillonné !

Les mecs se marraient, et moi. Eh bien ! Je dois avouer que cette situation m'excitait, même si la trouille était plus forte que cette excitation, obscure, inavouable, qui avait commencé en moi lorsqu'ils m'avaient enlevé chemise et t-shirt.

Qu'est-ce qu'ils allaient bien pouvoir nous faire subir ?

Nous n'avons pas tardé à le savoir !

Un type de première a dit : " Bon alors les gars, on va pouvoir vérifier si vous êtes de vrais mecs ! " Je ne savais pas pour les deux autres, mais moi, ma trouille a monté de deux crans !

J'ai alors senti un mec derrière moi, il était torse nu aussi puisque j'ai senti sa peau poilue sur mon dos quand il s'est collé à moi ! J'ai senti alors aussi qu'il passait ses bras autour de ma taille, et qu'il commençait à ouvrir lentement, ma ceinture.
 J'ai perçu une lueur brusque à travers le bandeau : ils nous photographiaient ! Ces flashes se sont répétés à chaque étape de la mise à l'air : bouton par bouton, le mec ouvrait la braguette. Il a fini par baisser le jean à mes genoux et l'enleva . La sueur me coulait le long des aisselles, je sentais ma queue mouiller !

D'une main il a commencé doucement à me caresser la bite et les couilles . Se décollant de mon dos, il a glissé doucement l'autre main derrière et commencé à me peloter le cul ! Incroyable ! Je me sentais basculer dans un autre monde : de l'humiliation, oui, mais, plus forte, cette excitation de se sentir exhibé aux regards, tripoté au plus intime. Un de ses doigts me caressait la rondelle.

Alors je me suis mis à bander, irrésistiblement ! Et les flashes continuaient. Et il se marrait.

Le mec qui me tripotait ma queue raide .

Maintenant, attaché bras en l'air écartés, bâillonné, yeux bandés, queue raide et fesses à l'aire, je fus attaché par les chevilles et suspendue au dessus du bac de fabrication ou il y avait de l’eau bouillante avec des produit acides utilsés pour le nettoyage , le mec a commencé à me branler. Il accélérait, ralentissait, il me décalottait, s'attardait sur mon gland, je m'entendais gémir doucement dans mon bâillon, je me tortillais dans les liens. Je sentais mon bassin accompagner instinctivement ses mouvements malgré moi, il me caressait toujours le cul et, là, j'ai explosé quand  son doigt mouillé a quitté mon cul pour etre remplacé par un objet tres dure..

Il ne me lâchait pas, fouillant mon cul, avec ce manche en bois m'extirpant les dernières gouttes des couilles, avec acharnement.

Mes cris étaient étouffés par le bâillon.

Enfin, le mec m'a lâché, je me sentais sali, humilié, honteux, mais jamais, jamais je n'avais encore joui avec cette intensité ! les flashes incessants s’arrêtèrent quand le plus grand dis "bon c’est Ok on se barre"

Nous laissant ainsi Mes deux camarades et moi avaient subi le même sort.

C’est le veilleur de nuit qui nous délivra trois heures plus tard…

QUELQUES MOIS PLUS TARD :

Un jour de septembre je rencontra part hasard le beau René ( le remplaçant de l’instit ) ,je ne pouvais pas m’empêcher de le mâter lui qui avait participé a ma dernière

punition scolaire il était accompagné de


__ " Tu as revu " monsieur " ? Me demanda -t-il..

__ NON !…

__ Et bien je t’invite dimanche chez moi ,c‘est notre anniversaire

__Ah! Bon !!……combien alors?

---" monsieur " 31 et moi 28 ans

--- ah! Ouééé déjà

---OUI et pourtant toi tu ma fais vibré lors du remplacement de " monsieur "

__MERCI .. Ok Pas de problème !…. Je viendrais

 

 

 

Le dimanche Richard et moi sont venus déjeuner. On a bien mangé.... On a bien bu…. Comme dit la chanson….

__ Ce n’est pas tous ça…dit René , on a oublié de vous dire que Simon a invité un petit camarade pour le café sans vous en parler…..

Car le petit copain , c’est bien sûr , le joli Alain , alain-1962.JPG le rouquin heu! ..non c’est son cousin lui est blond

il sonna à la porte d’entrée…..

Le bouquet c’est qu’il n’est pas seul , il a amené son cousin ,le rouquin aussi ,au grand yeux vert .

__ Je m’excuse … dit-il ..

C’est Alain qui ma dit qu’on allait en surboum.j‘espère que ça vous gêne pas!.

Il est impressionné de rencontrer les vieux qui frisent la trentaine (René et monsieur) et qui le regardent avec curiosité.

__ Mais je vous en prie , mon petit….. Comment ?

bernard-1962.JPG __ Bravo… charmant prénom….

Eh bien , Bernard et Alain , vous êtes les bienvenus… dommage que vous ne soyez pas venus déjeuner avec nous.

__ Bernard et Alain disent en cœur " Le dimanche , c’est sacré , faut qu’on bouffe avec les vieux… " 

Le père de Bernard, c’est le directeur de la banque , alors il invite toujours des notables (capitaine des pompiers ou le chanoine etc.….) Qu’est-ce qu’on peu s’emmerder !

__ Excusez mon camarade ! Dit Simon ,il est un peu gauchiste !….

__ Aucune importance !

Ils prendront bien une petite liqueur ? Ces petits

__ NON ! un coup de rouge ! Dit Alain

__ Parfait ! Et monsieur Bernard ?

__ Euh ! Appelez-moi Bernard , j’suis pas un croulant encore…

__ Qu’est-ce que vous prendrez donc , Bernard ?

__ Un coup de rouge , comme mon cousin !

Un coup de rouge ,deux ,puis trois ,on ne les compte plus , voilà nos jeunes gens de la meilleure société qui n’ont plus à se forcer pour ce donner des aires de voyous, car ils sont un peu schlamms…..

__ T’as fini de me peloter , eh cochon ! Dit le charmant Bernard à Simon qui lui passe une main légère sur ces cuisses .

René , lui se contente de remplir les verres , et cherche à imaginer la suite

Richard rencontre les doigt de " monsieur " sur la braguette d’Alain , qui bande comme un cerf.

__ Encore ! Murmure Richard à Alain…. Branle -moi mon petit…..

__ Caresse-moi aussi ! Lui chuchote " monsieur "

__ Branle-moi ! Supplie-Richard , pendant qu’il lui triture la bite à pleins doigts , branle -moi jeune homme… j’ai envie de jouir….

.Richard , a fini par se laisser toucher le cul par le copain de son ami ,le beau Simon.

__ Tu veux que je te tête un petit peu ! Glisse-t-il à l’oreille de Simon…..

__ Pas tout de suite ! Dit celui-ci. Tout le monde n’est pas encore dans le bain.

__ Qu’est-ce qu’il te faut ? Ils sont tous en train de se branler… il n’y a que monsieur René qui est là tout seul…….

Comme il se voit désigné du doigt , ce dernier s’approche du petit et s’assoit à ses pieds…

__ Je ne vous dérange pas …? Bernard

__Pas du tout… au point où on en est !

René passe une main sur ses mollets….. Monte jusqu’aux jarrets, marque un temps d’arrêt , puis s’aventure entre les cuisses……

Le môme la sent bien cette grosse main qui monte , qui monte , mais il est bien trop occupée à rouler patin sur patin à Simon sans opposer la moindre résistance.

D’abord , il n’a pas du tout envie de résister. Pourquoi faire ?

Sa petite bite ne demande que ça….

Oh là ! Il s’y connaît le vieux ,il écarte mes cuisses….laches Bernard a Simon

René fait des efforts désespérés pour arriver à ses fins ….

__Attendez ,monsieur René, comme ça , cela vous sera plus facile…

il reprend la langue de Simon tout en lui murmurant : "  il me branle le vieux cochon "…

René est a son affaire

,c’est extraordinaire. Il y enfonce un doigt dans le cul sans difficultés.

Monsieur René tient une de ses bandaisons qu’il n’a pas connues depuis longtemps.

Heureusement , sous la table Richard pied dénudé ,ces orteils rencontrent une bite bien dure. et se souvient d’avoir caressé un fille assise en face d’elle dans un train…..enfin c’est du passé… pour le moment il avait un pied qui masturbait une belle queue et avait une grosse bite en main…

La partouze démarrait gentiment ,mais un peu chaotique.

__ Écoutez les enfants! Déclare René , nous nous tripotons comme des bourgeois.

Il faut de l’ordre. Si j’ai invité Simon , c’était parce que je savais qu’il allait inviter Alain et que j’avais une petite idée derrière la tête. Maintenant qu’il ait amené son cousin ne change rien au programme.

En effet ,indifférent au discours, le beau Richard avait pris la queue de Simon et la branlait effrontément devant toute l’assemblée.

__ Donc ,enchaîna René si vous acceptez , suivez moi donc dans la chambre à coucher où nous serons plus à l’aise pour organiser les jeux en commun…. 

__Allez , Richard , debout , tu viens avec nous…..

__ MERDE ! Dit-il ,juste au moment où le vieux allait me faire jouir avec son doigt…

" monsieur " se releva tout penaud de dessous la table, sous l’œil goguenard de Richard ,qui avait pour sa part une main perdue dans la braguette du jeune rouquin.

Arrivée dans la chambre " monsieur " criait :

__ Tout le monde a poil !

Trois minutes plus tard , Je savais ce qu’il me restait a faire.

En accord avec " monsieur "  et René il avait promis de jouer avec le petit rouquin. Ils s’étendirent tous les deux sue le lit et commencèrent à se caresser. Ils frottèrent leurs jeunes ventres , mêlant leurs petites toisons intimes ,l’une brune et l’autre rousse ,en se suçant les pointes de leurs petit seins de mâles et s’embrassant à pleine bouche comme des amoureux. Leurs mains s’emparèrent de leurs sexes , commencèrent une masturbation lente en se tâtant les couilles réciproquement. Ils se frottèrent leurs pénis l’un contre l’autre ,gland contre gland qu’ils avaient humidifiés avec de la salive.

Pendant ce temps là " monsieur " et René mêlaient leurs langues tout au fond de leurs bouches en se caressant la bite. Le beau Bernard s’était mis a genoux pour avaler le braque nard de René qui lui avait joui à gros bouillons en pleine figure , juste au moment où il avait lâché la queue pour lui demande :

__ Ca vous plait , comme ça !… 

Allongé sur le dos

Je le baisais doucement . Je me donnais a fond , gémissant lorsque le gland de la pine le frappait trop fort .

__ " Tu es bien au fond ,mon chéri , tu baises bien…comme a ta punition de l’école " me disait " monsieur " ..

__ Mon amour……

Et je lui prenais la bouche pour un baiser sauvage.

René aurait bien voulu tripoter un peu les couilles qui suivaient le membre juvénile jusqu’à la porte de la caverne d’amour.

," monsieur " s’installa confortablement sur moi ,écarta bien ses cuisses et se prépare a recevoir mon sexe , ce fut lui qui guida l’introduction du membre raidi dans sa vulve.

Sur le fauteuil voisin , René ,avait sur ces genoux le petit Bernard Comme par hasard leurs bouches s’étaient rencontrées et leurs mains malaxaient les queues réciproquement.

René sa queue bien consistante , comme du bois ,se trouvait comme par hasard ,placé derrière Alain qui commençait à sentir les effets de cette superbe érection à la proche de ses fesses. De lui même il recula un peu pour que son derrière fût en contact plus étroit avec cet épieu menaçant .

René , reconnaissant , passa un bras autour de sa hanche droite et sa main recueillit le membre bandé de l’adolescent :

__ Branlez-moi ! Murmura-Bernard dans un souffle , tout en tendant ses fesses un peu plus vers le pénis agressif qui s’était infiltré de lui même dans la raie de son cul.

Il sentait l’adulte , collé contre son dos , respirer de plus en plus fort , tandis qu le gland se frayait un chemin jusqu’à sa petite entrée secrète.

__ vous pouvez y aller ! Chuchota-Bernard….. J’aime ça !

Alors le beau René y alla , un peu de salive pour faciliter l’intromission et toute sa tige s’enfila dedans comme danse motte de beurre , jusqu’au entrailles du jeune homosexuel

 

.

__ C’est bon ta grosse bite ! …

Défonce-moi chéri , pousse plus fort… encule -moi à fond…. Soupirait le jeune Bernard……..

__ Tiens , tiens , disait René , on forçant plus fort tout en branlant le jeune vit bien gonflé

.Son jeune cousin , de son côté , avait largement écarté les cuisses et se faisait caresser la pine par René.

__ Branle-moi …. A ton tour ,petit cochon e , tu m’as mise dans un tel état… regarde… sens comme je bande…. C’est un vrai désastre….

__ Tu veux que je te suce un peu ? Demanda innocemment le jeune homme…..

__ OUI !…. OH oui !…. Suce-moi….

Mais Simon était bien près de l’orgasme. Cela faisait presque quinze minutes qu’il se retenait de jouir pour bien bourrer à fond se grand cochon de " monsieur " qui délirait tranquillement :

__Tu baise comme un dieu , mon trésor ! Enfonce ta bite……

ta pine…tes couilles… prends mon cul…. Oui…

Vas-y… plus fort… défonce-moi ce cul…. Pousse… enfonce….

__ Tiens ! Cochon..

Je vais te décharger dedans…

tu vas te régaler avec mon sperme…

tu aimes te faire emmancher par un jeune…dégueulasse que tu es , tiens le voilà mon foutre……..

__ Je te sens… ça me coule de partout… c’est trop…

Aa ah !

Je voudrais que ta bite me donne du foutre sans arrêt…….

Pendant qu’ils s’abandonnaient ainsi , la pine de René continuait son excursion dans la sombre caverne du beau Alain qui en gloussait d’aise :

__ Emmanche-moi… mon amant.. C’est bon… je vais jouis …..c’est bon….Ah !….

Décharge-moi dans le cul……

Celui-ci ne débandait pas et son cousins allongé le cuisses écartées lui lançait :

__ Viens terminer avec moi !…..viens me baiser…

Il se penchait par dessus son cousin et enfonçait son pieu

Qui aurait pensé cela de le petit Bernard qui nous annonçait que ce jour était celui de son anniversaire " 16 ans " pouvait faire jouir autant d’adultes……….

.C’est quand même beau l’amour véritable ?

1963

J’arrivais a mes 18 ans. simon-1963A.jpg

Cette année la je perdais ma MAMAN la personne qui me donnait des conseils ,elle qui s’avais que j’aimé les garçons et qui avait compris que je n’etais pas comme mes autres freres .C’est elle que j’aimais le plus au monde.

Le service militaire arrivait

je fut déclaré .BON pour le SERVICE

depuis 3 mois Je travaillais en usine la majorité été des femmes mûres .

Marcel un mec d’une cinquantaine ,chauffeur livreur , toutes les semaines pour charger son gros cul (camion) me demande si j’étais vierge

Je devenais rouge comme les écrevisses sans jamais répondre…

Alors il me bloquais contre un mur et passait sa main dans mon slip , il faisait durcire mon sexe comme du béton , il faisait un va et vient jusqu’à ce que jaillisse ce liquide et léchais ces doigts

ça le rendait heureux……

Un jour pour la fête dans son village Marcel m’invita chez lui avec mon copain Joël du même age que moi Quand nous somme arrivé , Marcel nous présenta Louis son fils , ouééé ! très beau lança Joel. Louis-1963.JPG

.

Après le repas et une soirée bien arroser avec du wiski .

Marcel nous proposa le jeu du poker

.

Nous nous retrouvions tous vite a poile , alors Marcel nous demanda de faire des gages

Louis excitais Joël en lui faisant passer son sexe entre les fesses .

quand a Marcel allongé sur la table , il me demandait de lui lécher la bite qu’il avait enduit d’une bonne couche de confiture a la fraise…j’approchais ma tête commença a lécher les couilles en remontant vers le gland que je mis de suite dans la bouche ,Marcel appuyait sur ma tête pour que je ne me retire pas ,un goût sucré me faisait lécher encore plus vite

,je ne maîtrisais plus mon corps ,mon sexe dur comme du béton ,les couilles gonflées a bloque .

Nous étions Joël et moi en éruption ,alors Marcel dit a Louis, on peut y aller .

Marcel me demanda de renter mon sexe dans son cul , ce que je fis ,il se mis a provoquer un va et vient en criant enfonce ,encore enfonce plus fort , nos corps

transpiraient .Joël faisait de même avec Louis . Cela dura un bon moment , et notre jeune ages nous ne savions pas encore nous contrôler ,alors de nos sexes jaillie le liquide précieux , Marcel et Louis criaient des HA ,HA que c’est extra nos garçon son dépucelés…els ne savaientt pas que nous y étions depuis longtemps…!

Quelques semaines plus tard

 

 

 

 

Un jour chez moi un installateur de chauffage devait venir vers 9 heures.

A 9 heures pile, on sonna à la porte. J'ouvris sans enthousiasme, et là que vois-je un super beau mec d'environ 22 ans.

Il était brun 1m82 à peu près super mignon et bien musclé. Je suis resté un peu surpris quand il me dit qu'il venait réparer la chaudière et qu'il représentait la maison XXX.

Je le fis entrer et dans les cinq minutes il avait commencé à préparer ses outils, pour contrôler l'installation.

Je n'en revenais toujours pas, il me faisait craquer tellement.

J'étais en jean et tee short, lui aussi. Il fallait que je tente quelque chose. Au bout d'un quart d'heure je me mis en short car il faisait très chaud, nous étions en été. Je commençais à bander ferme et mon short laissait deviner ce qui se passait.

Cependant, l'installateur continuait son travail comme si de rien était.

Quelques minutes plus tard, je décidais d'entamer la conversation en lui offrant un café.

Il accepta et nous avons pris le café dans la cuisine.

Je m'étais assis sur le plan de travail et laissait entrevoir ma bite en écartant légèrement les jambes.

Il me dit qu'il s'appelait Fabrice et qu'il avait 23 ans depuis 3 mois. Fabrice-1963.JPG

Il semblait un peu amuser par mon manège et me demanda :
- Vous avez quel âge ?
18 et mon prénom est Simon.
- Vous êtes seul toute la journée ?
- Ouais, mes parents sont partis bossés et mon frère est à la fac.

Aujourd'hui, je suis en récupe d’heures.
- Donc, vous êtes tranquille toute la journée.
- Ouais et je m'ennui un peu.

A ce moment là, il posa sa tasse de café et me frôla le short en me regardant avec un léger sourire au coin des lèvres.

Nos regards se sont prolongés quand il s'approcha de moi et soudain me roula une pelle avec beaucoup de tendresse.

Je ne rêvais pas……

il était à moi…..

Il me caressa le short, ma queue  n'en pouvait plus.

Il me dit :

-oui , on peut dire ça.c'est de la bite

T’inquiète moi aussi ,j'ai très envie de toi j’ai flaché tout de suis quand tu ma reçu et comme j'ai la matinée chez toi j'ai un peu de temps si tu veux bien.

Tu parles que je voulais bien.

A ce moment là je le pris par la main et l'emmena dans ma chambre.

Aussitôt arrivés, je l'embrassa avec fougue, et le déshabilla.

Tout d'abord, son tee short qui fit apparaître un super torse imberbe et musclé.

Je lui descendis son jean, il se laissait faire, laissant apparaître un boxer qui moulait sa queue comme j'en rêvais.

Je me dévêtit également et intégralement.

Ma queue de 18 cm était enfin libérée.

Elle n'attendait plus que çà.

A son tour maintenant et j'enleva son boxer.

Sa queue était magnifique, au moins 22 cm bien droite ,peu fournis de poils et un gland qui ne demandait qu'à être léché.
Il me dit :
- Suce moi tu verras elle aime ça.
Je ne me fis pas prié et je lécha puis suça sa bite énorme pour ma bouche. C'était délicieux. Je fis des va et vient et il gémissait.

Il me rendis la pareille et il suçait super bien. Il me mit un doigt, puis deux afin de dilater ma rondelle.
- Tu veux bien que je t'encule ?
- OK mais avec douceur.

Il me lécha légèrement la rondelle puis cracha afin de me détendre. Son gland rentra sans trop de problèmes car j'étais assez ouvert par mes nombreuses rencontres


- J'ai bien vu ton petit manège ,tu es gay ?.

Quand il rentra complètement j'étais aux anges. C'était tellement bon que je jouis sur moi. Après 10 minutes d'intenses va et vient il déchargea en moi et j'étais au 7ème ciel. J'en pouvais plus il m'avait tuer de plaisir. On s'embrassa longuement.

Malheureusement il devait terminer la réparation ce qui fût fait en fin de matinée. Avant qu'il ne parte nous avons encore baisé mais plus rapidement.

Depuis je le vois de souvent car il n'habite pas trop loin de chez moi chez ses parents également. Ma seule crainte c'est qu'il me laisse car il a une copine même si je suce mieux qu'elle d'après lui.

Je crois que je l'aime, et mon rêve serait de réaliser de plus en plus de fantasmes avec lui.
Le bonheur est peut être devant nous.

Dany viendra-t-il troubler notre bonheur? Dany-1963.JPG

La semaine suivante
 Joël (mon cousin)arrivait accompagné de sa copine Josette 19 ans.

Nous bûmes l’apéritive tous en racontant nos exploits de mecs .

Nos histoires semblaient émoustiller Josette ,le passage de sa langue sur les lèvres en disait long sur son imagination.

Soudain le téléphone sonne.

Je décroche et dit " c’est pour toi Joël ".

Il prit le combiné et discuta de longues minutes et lâcha " Josette je te laisse en bonne main ,je m’absente 1 heure ".

Je resta avec Josette , tout en buvant un autre martini ,elle parlait , parlait du sexe de Joël et ajoutait qu’elle n’en avait jamais vu d’autre.

Je ne perdis pas le nord et dit " tu veux voir le mien ".

Ah! Oui dit elle , comme ça je pourrais comparer.

Je me déshabillais lentement , ces yeux suivaient et brillaient de plus en plus au fur et a mesure de mon strip-tease.

Je libérais de mon string ,ma queue qui prenait du volume .

Elle s’était déshabillé et se retrouvait en slip et soutient gorge.

Je l’invitais a aller dans la chambre sur le lit pour plus de confort.

A genoux derrière elle , je l’embrassais dans le coup , lui retirant son soutient gorge. josette-1963-1.JPG

Mes caressaient ses mamelons , puis descendaient vers l’élastique de son slip ,mes mains sentaient ces poiles ou l’humidité faisait son apparition , elle enleva son slip ,laissant ainsi apparaître ce petit triangle ou un doigt furtif pris position.

Elle se tortillait , elle frémissait , gémissait et me couchait sur le lit et s’empalait sur ma bite josette-1963-2.JPG

Nous étions en pleine jouissance nos gémissements ne nous avaient pas permis d’ entendre le retour de Joël qui était entré dans la chambre et nous regardait.

Il s’approcha se mis a sucer le clitoris de Josette et avec une main retira ma queue de son vagin et se mis a me pomper comme il aimait le faire joel-1963-1.JPG

l’autre main un doigt dans la chatte ,un autre dans le cul il masturbait sa copine.

J’éjaculais dans sa bouche et demande a Josette de l’embrasser sur la bouche pour partager avec elle ma semence.

Tous les trois sous la douche , nos caresses terminaient cet après midi.

Joël m’avoua plusieurs jours après que c’était un plan a lui pour montrer a sa copine son homo-hétérosexualité.

 

Mon cousin Joël (20ans ) profite de son passage pour me pomper et n’est pas encore dépucelé je vais m’en charger…….dans les minutes qui suivent…..

IL fut ravis , je reviendrais me dit-il…..

1964

 

pendant mes vacances dans le sud.
J’étais en voiture, je musardais à la recherche d’une crique pas trop peuplée afin de lézarder un moment au soleil et de me baigner un coup.
J’étais vêtu d’un T-shirt et d’un magnifique short Adidas en Nylon blanc avec les 3 bandes bleu-blanc-rouge des années 70-80 (mes préférés).
Je roulais donc, à vitesse modérée lorsque à la sortie d’un virage.
j'arreta pour prendre un auto-stopeur, je redémarrais et entamais la conversation. Éric 35ans me raconta qu’il était descendu sur la côte en stop depuis la Belgique. eric-1964-1.JPG Je lui proposai de se joindre à moi pour la partie de baignade. Il était d’accord.
Tout en roulant, je ne pouvais m’empêcher de regarder de son côté et plus particulièrement ses cuisses moulées dans son Levi’s. J’essayais de deviner ce qu'il pouvait bien avoir à l’intérieur. Je fantasmais de plus en plus sur l’objet de ma convoitise. Du coup, discrètement, je portais ma main vers la bosse que faisait ma teub dans mon short et essayais de la cacher du mieux possible car je ne connaissais rien de mon passager. Il aurait pu s’offusquer de voir mon état.

Je constatais également qu’il avait sa main droite sur son sexe et que celle-ci opérait discrètement des mouvement de masturbation sur le jeans.

Tout en discutant, j’essayais de remettre de l’ordre dans mon short car il commençait à ne plus avoir assez de place pour une queue qui continuait à prendre du volume.

Éric constata l’ampleur du désastre et approcha sa main gauche de ma cuisse droite.
 Il se mit à me caresser l’intérieur de la cuisse avec une certaine prudence, ne connaissant pas mes intentions.
Mais voilà, il est tombé sur le Bi de service (moi) et voilà que je me laisse faire. Je pousse même plus loin ses investigations, je l’invite carrément a mettre la main sur ma bosse, ce qui me permet de reprendre le volant de la main gauche et de libérer la droite pour aller à la rencontre de ce magnifique ensemble Teub-Levi’s qui me met dans cet état depuis un bon moment. Il semble apprécier également mes caresses. De fil en aiguille, j’apprends qu’il est Bi comme moi, que les mecs le font plus bander que les femmes, tout comme moi, et qu’il goûterait bien ce qui se trouve à l’intérieur de mon Adidas blanc.

C’est toi qui voit! Répondis-je

Avec plaisirs ajouta-t-il!

J’arrêtai la voiture sur une aire de stationnement déserte.
De là partait un petit chemin dans les arbres et descendait vers la mer dans une petite crique qui aurait pu accueillir tout au plus 4 personnes sur les 3, 5 m2 de sable. Il y avait beaucoup de rochers qui permettaient de se mettre à l’abri des regards indiscrets.
Arrivés sur place, je n’y tint plus et je me jetai sauvagement sur ce Levi’s délavé, déchiré, et défit les boutons de la braguette.

Ici, m’attendait une surprise et de taille.

Sous son jeans, Éric cachait en plus un short de course Adidas rouge de la même époque que le mien.
C’est à ce moment là que tout à basculé.

Je commençai à lécher la bosse de son sexe au travers du short dans le jeans.

Il comprit mon problème et se mit en devoir de détacher le cordon qui tenait mon short en place et y introduisit une main fébrile à l’intérieur afin d’évaluer, en connaisseur, le volume qu’il aurait bientôt dans la bouche.

Il enleva son jeans short , le jeta sur le sable et partit en courant dans l’eau. Je le suivis. Je passe les détails sur le short mouillé avec une tige à l’horizontale.

Comme discrétion on fait difficilement moins bien ! Nous nous ébattions comme des gamins dans cette eau d’un bleu azur et d’une température plus qu’agréable.

Je m’approchai Éric et entrepris de lui rouler un patin tout en lui caressant le dos de haut en bas, jusqu’à l’élastique de son short.

IL fit de même avec moi et en plus entrepris de sortir ma queue de ce short qui l’emprisonnait.

Il plongea et se mit à me sucer sous l’eau. C’était divin.

Ne sachant pas bien retenir ma respiration sous l’eau (Je ne sais pas nager (Eh oui, çà arrive)), je me contentais de lui prodiguer des caresses afin d’entretenir sa magnifique érection.

Une fois sortis de l’eau, nous nous sommes allongés derrière un gros rocher

Là, j’entrepris de baisser son short et de saisir sa teub afin de lui rendre la pareille.

On se mit en 69 et commença à se sucer comme des affamés d’ice cream (en cette saison c’est normal non ?).
IL ne résista pas longtemps à mes caresses et à ma succion, il largua tout dans ma bouche

J’ai tout lâché immédiatement après lui.

Il en avait plein la bouche et débordait sur ces joues,

Je frottais mon short sur ce mélange et entrepris de le lécher (Le short bien sûr).

Éric enfila à nouveau son short, et récupéra la reste de foutre
avec ses doigts et les suça comme on se lèche les doigts trempés de sauce,
avec ce bruit de succion caractéristique.

Nous avons changé de place et nous sommes mis un peu à l’ombre des pins dans cette petite crique. Nous nous sommes caressés, embrassés et avons fini par nous assoupir.

Le vent s’était levé.

Le soleil commençait à décliner à l’horizon quand nous nous sommes réveillés.

Le sperme avait séché sur mon short et formait une zone un peu dure ainsi qu’une auréole explicite.

Nous sommes remontés à la voiture et je l’ai déposé au village.

Je lui ai posé
la question cruciale à savoir s’il allait s’arrêter quelques jours dans la région, et sa réponse fut affirmative. Je suis revenu plusieurs fois dans cette crique, durant mon séjour. Éric y est revenu une seule fois avec son short rouge

Nous avons passé un après-midi inoubliable

Quelque mois plus tard

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 mon père partie lui aussi je me retrouvais seul , sans parents au moment ou j’en avais le plus besoin.
 

Avant mon service militaire lors d’une sortie en boite au château de la tour en Belgique ; au bar le coup de foudre du barman GEROME

 

A la fin de l’année je reçue ma feuille de route pour le service militaire ,alors une autre vie allais commencée….

.

 

Par simon - Publié dans : ma vie
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