ma vie

Samedi 31 janvier 6 31 /01 /Jan 19:10

2009 une année qui semble bien commencée ,mon petit fils qui vous a raconté son histoire est venu passer le we chez moi ,je lui demandai de faire sur le net des recherches de photos pour agrémenter ma prochaine histoire , en cours d'écriture et que je vous dévoilerai prochainement.
sur un site de rencontre il entra dans un dial avec un garçon.
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Salut
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Salut
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j'ai 28 ans , grand,cheveux blond et toi?
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moi18ans depuis 6 mois ,brun taille moyene , yeux bleu
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humm!! tu aimes quoi?
la question qui tue ! apres un temps de reflexions
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un peux tous
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oui comme moi , tu es actif , passif ou les 2?
--je suis novice , mais a deja pratiqué les 2
--tous comme moi , tu dois etre imberbe?
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oui et toi?
-- aussi mais un peu poilu sur le torse
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whaa j'aime quand il y a des poils
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tu es bien monté je veus dire ta bite comment elle est?
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ben disons dans la moyenne 16cm/4,5 environ
--tres bien pour ton age moi 18cm/3 environ
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humm!!! une longue et fine miam miam.....
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je vois tu est deja connaisseur ça te dirai une rencontre?
--ça dépend
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ça dépend de quoi?
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ben si la distance n'est pas trop éloigné .........tu es ou?
--à Etainsse en lorraine
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ben moi aussi de passage chez mon grand père
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ah ! bon on est presque voisin alors.. quelle rue?
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rue du Bojolais ,lot des plantes
--wha..génial je suis  dans la rue des vosges  a 300m de la tienne.
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tu connais peut etre mon grand père
--je pense oui dans cette rue , le vieux Simon un super barbu c'est ça?
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oui tu as vu juste
--putain moi il me fait bander quand je le croise dans la rue il est super beau pour son age
--merci pour le compliment je lui transmettrais.
--pas de soucis, avec plaisir , alors je peux venir te voir quand? heu....ton prénom c'est quoi?
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moi Joël et toi?
--
enchanté Joël moi c'est Dominique alors quand?
--
attend faut que je demande a mon grand père
--tu sais il peut etre là, j'adore les vieux et je sais que souvent il recois des mecs chez lui , il doit surement etre un peu homo
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tu a vu juste ok pour demain apres midi
--A quel heures?
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apres 15h
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Ok je viendrai avec tous ce qu'il faut (capotes et boissons)
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ok a demain ,grand père est d'accord
--bisous a tous lesdeux
--merci bisous
Joël quitta le dial et me dit "grand père demain apres midi je t'ai pris un rendez-vous"
Je resta sans voie , avec un grand sourir et lui dit " tu as trouvé des photos pour mon histoire"
--
ben non grand père on les faira demain

le lendemain matin , je parti chercher mon pain comme dabitude  , en revenant je croisa comme souvant un jeune homme , qui a l'ordinaire disait rarement bon jour , c'est des chose qui arrive fréquament de nos jours .

--Bonjour monsieur  Simon , vous aller bien ?
--bonjour jeune homme repondis-je surpris et toi?
--ça vas merci alors je peus passez chez vous cette apres midi?
--Ah! c'est toi Dominique j'aurai jamais pensé que tu étais gay
--A vrais je ne pensais pas du que vous aimiez les mecs , depuis le temps que l'on se connait de vue.....
--Oui on a peut etre passé sur de bonne occasions mais tu préfère surement plus les minets que les vieux?
--A vrais dire je prefère les hommes de votre age mais un ptit minet qui m'invite je ne refuse pas
--OK OK ben a tout a l'heure alors.....
--OUI  OUI vers 15h comme promis a Joël

--de toute manière , moi  je ne serais là qu'aprés 16h 

--je peus venir plus tard si vous voulez?

non viens comme prévu , Joël sera a la maison , il peut recevoir sans moi c'est un grand garçon , aprés tous c'est lui qui t'as invité , non.....
--heu..... oui

Aprés le repas Joêl fist la vaisselle comme tous les jours ,quand il vient me rendre visite et me dit :
--tu crois qu'il va osé venir?
--Ne stress pas d'avance , tu as accepter , donc c 'est a toi de prendre le cours des choses
--j'ai jamais recu un mec c'est une première pour moi
--il faut un début a tous , n'oublie pas je suis là qu'apres 16h pour te conseiller si besoin est......
merci grand père , je vais me faire beau , 15h c'est bientôt
--oui petit va et bien propre partout
viens avec moi sous la douche , toi aussi tu doit y etre , il m'avais dit qu'il aimait aussi les vieux.....
--AH ! bon il a dit ça

nous primes notre douche ensemble , je voyais sa joie en lui , il me fit choisir son boxer , sa tenue , c'etait comme un petit prince et pour moi il prit soin de bien brossé ma barbe me fit mettre le boxer transparent qu'il m'avait offert a mon anniversaire , "il te va si bien et moule bien tes fesses et ton sexe , il va etre seduit de suite "dit -il
--c'est pour toi qu'il vient
--oui grand père pour nous deux aussi
je parti de la maison faire des courses, comme j'avais prévu , laissant mon petit fils seul a la maison.
Pendant ce temps là:(raconter par Joël)
J' étaist excité comme une puce à l'idée de faire ma première rencontre .
Seul les grincements du lit , confirmaient mon besoin de jouïr en solitaire ( n'ayant pas de petit copain. , un  petit coup de ça va ça vient le soir avant de fermer les yeux , ou le matin au réveille avec la bite dure comme un morceau de bois mort.)  comme tous mecs c'est naturel......
Soudain la sonnette retentit

je vais ouvrir...

il était là dans l'embrasure de la porte, les mains posées sur le haut de la porte
-- whaaa!! salut , t'es pile a l'heure
--salut petit eh! oui j'aime pas etre en retard
-- rentre, et je te sers un verre, , en attendant grand père , tu veus quoi bièrre, coca ou wisky?
--allez pour une fois wysky
je lui servi donc un verre et en pris un egalement (apres tous pour quoi pas) on commence à parler, un peu plus intime qu'on avait pu le faire sur le chat. Et alors, il s'approche et me roule une pelle d'enfer incroyable, il a assurément beaucoup d'expérience. Je commence à lui enlever son T-shirt, il est musclé, mais sans trop


Puis je descendit le long de ce corps d'Athlète, et commença a lui retirer son fut, puis le boxer, qui libère son paquet ,  l'objet de mes désirs, et je commence à le sucer.

 Je prends d'abord le gland en bouche, puis je fais des vas et viens sur toute la longueur de sa queue, difficilement d'ailleurs
.
Il était près à gicler dans ma bouche, mais je voulais le meilleur pour mon cul, alors je me suis arrêté là.
Il passe sa main entre les boutons de ma chemise, me déboutonne lentement et commence à me caresser, c'était excitant. Il me l'enlève, il me serre dans ses bras, et commence une longue série de baisers, il commence par le nuque puis descend, jusqu'à mon jean. Là, il commence par me déboutonner, laissant apparaître un boxer bien serrer.
Il commence à me masser la queue à travers, l'effet fut immédiat.
Il descend mon boxer et commence à le prendre en bouche, oh putain quel plaisir, il suce tellement bien, j'ai faillit exploser au bout d'5 minutes.

 

Il se retire, prends une capote et me la mets. Sans un mot, il se retourne et me présente son joli petit cul. Je pose mon gland à l'entrée et appui.
 Elle rentre doucement, mais entièrement. Dominique pousse des gémissements de plaisir. Je fais des vas et viens à l'intérieur de son cul de plus en plus rapide. Et là, une idée me vient, je me cale bien à fond et je bascule sur le dos entraînant Dominique avec moi, je me retrouve donc sur le dos sur le canapé en train de prendre Dominique qui est allongé sur moi.
Cette position me permet de le branler en suivant mes mouvements de bassin. On reste comme ça seulement une dixaine minutes, puisque, n'y tenant plus, je largue tout mon foutre dans la capote, on reste comme ça quelques minutes et puis je me retire.

 Il me tend une autre capote, je lui mets et sans se faire prier, il me l'enfonce directement en levrette, j'ai faillit hurler de douleur,mon cul n'étant pas habitué et sa bite plus grosse que celle de mon cousin qui m'avait dépuceler, mais très vite la douleur laisse place au plaisir, il se couche complètement sur moi, la rentrant toute entière, il ne lui fallut pas longtemps pour éjaculer, il resta dans mon cul , on s'était assoupi  tout de suite après
quand mon grand père rentra il nous trouva ainsi ce fut quand il dit
-- je vois l'affaire a été bonne
 

 

 


 

--Ah ! vous êtes de retour……

--Oui j’ai ramener des fruits , je vais vous préparer un cocktail

--Votre petit fils m’a bien reçu , c’est un vrais gentleman

--ah !bon il vous a offert quelques choses au moins

--whisky et son petit cul

--oui j’ai vu ça en entrant

--c’est un super étalon aussi mon cul a aimé

--je vois je vois ,je vous prépare mon cocktail et je suis a vous

Moi je ne l'écoutais plus je flashais sur son corps, son torse, ses biceps veineux, ses très larges cuisses, ses pectoraux bien dessinés, les tétons biens pointus, et je dois l'avouer sa bite orientée sur le gauche qui me fascinait.
Quand je pris les bananes il se mis à me brancher:

--elle sont grosses hein les bananes, j'en ai mis une fois dans la chatte à ma copine, elle a pas aimé...

--il fallait retirer la peau... ça fait moins mal , lui dis-je

--ah bon comment tu fais? , me dit-il
Rouge de honte, je ne répondais pas à ses allusions...

--pff il me dit " fait chaud ici ", je peux te mettre à l'aise ?

--Oui lui dis-je si ça peux te faire plaisir !

Quand il retira mon pantalon, je vis sa bite se dresser comme un sabre, mais je coupais les oranges sans rien n'y faire paraître...
et je retournais à la pelure de mes pommes...
soudain il me rejoint et se colla à mon dos en m'enlaçant, je stoppais net mon travail car je sentais sur ma raie une énorme bite qui palpitait...
la tête en feu, je la rejetais en arrière pour sentir son souffle chaud, avec mes mains je caressais son bassin,

Je sentis encore plus précisément cette masse de chair palpitante contre mes fesses.
Il pris une banane, l'éplucha et sans rien dire me la mis dans la bouche, j'ouvrais ma gueule et au lieu de manger un morceau commençais à sucer le fruit.
Lui de son autre main, saisi la bouteille d'huile d'olive qui était sur la table et en reversa entre mes fesses...
il jeta la banane, et me pencha en avant. Il sorti d'on ne sait ou une capote qu'il enfila...je n'osais bouger, j'avais poussé le saladier de salade de fruit, et j'avais le nez dans les épluchures.
Avec deux doigts il me pénétra pour me préparer à l'assaut.
L’huile facilitait son travail je gémissais.
Je pris l'initiative de branler un peu sa grosse bite et la présenta devant ma rosette...

je pris appui sur la table, il me pris par les épaules et commença le travail d'enculage.
La douleur plaisante au début fut intense quand son énorme gland franchit mon sphincter...

Je vis des étoiles, par correction il ressortit, ce fut un bruit de bouteille qu’on débouche tant sa bite était massive... je fut soulagé.

Il prit le pot de crème fraîche et le sucre et badigeonna ma bite

--Joël mon petit viens sucer papy

--avec plaisirs hummmm c’est bon manque un peus de jus….

puis m'enduisit largement le cul et sa bite .d’huile d’olive..
sans me toucher, il m'encula d'un coup. Je sentais sa bite qui avançait dans mon rectum inexorablement, la base de sa grosse bite plus large me fit relever la tête dans un feulement de douleur et de plaisir à la fois.
J’avais l'impression qu'il distendait en longueur mon rectum, ses couilles enfin touchèrent les mienne.
Il me dit "tu es à moi maintenant"

je ne pus lui répondre tellement essoufflé.
Puis m'écarta les fesses avec force et se mit à me labourer puissamment? J’avais l'impression qu'il m'arrachait les intestins à chaque retrait, mais j'avais le sentiment de sa puissance derrière moi.
Ce gars de 22 ans me possédait comme une bête !
Ma prostate en vracs, mon anus dévasté, je jouissais dans la bouche du petit fils qui n’en perdit pas une gouttes, les resserrements de mon anus, lui fit gonfler encore plus sa bite et il poussa un cri étouffé. Ses jets de sperme contenus dans la capote furent nombreux.
Il se coucha sur moi, sa queue me possédant encore.
J’aimais cette position de soumission, sa transpiration se mêlait à la mienne,.
Il ne débandait pas, alors que la mienne continuais ses mouvement dans la bouche tout en se ramollissnt;
il me dit "t'as une bonne chatte, ma salope, t'es une vraie chienne !"
(Je me dis chatte et chienne à la fois, quel bonheur)
puis il décula toujours bandé à mort, il me retourna et me dis, je retire la capote et tu me nettoies.
Ce que je fis, son sperme avait un goût sucré, les veines de sa queue me déliraient, ses couilles pendaient maintenant, il avait un bas de corps très poilu et ça m'électrisait

J’étais là assis contre le pieds de la table, le cul sur le carrelage froid, avec l'impression qu'il était encore en moi

Je me remis a faire mon cocktail aidé par le petit fils et notre nouveau ami

Apres plusieurs verres , une bonne douche , Joël se mis a l’écart et nous regardait , trouvant ce moment un peux court.

Dominique le vis et lui dit

--t’inquiètes petit on se reverra car tu est un bon baiseur et ton grand père une bonne chienne

--tu crois ?

--oui j’y crois mon cul te réclame déjà

--ben alors viens j’ai encore envie de te défoncer a nouveau

--viens ,mets toi la capote , je suis a toi

--ouéééé super ouééé

et d’un coup sec sa jeune bite entra a fond ,quand Dominique ouvrit la bouche pour lancer son cri de jouïssance je lui  enfourna la mienne

quand Joël senti monter la sauce se retira brusquement , pris un verre , enleva la capote , et en deux secondes y versa son nectar

il pris un autre verre et branla Dominique pour faire de même et idem pour moi

les 3 verres ainsi préparé furent complêtés par du cocktail ,Joël les mélangea

tous 3 les yeux  fermés, prenions un vers  et chacun bure sans savoir a qui appartenais ,le précieux nectard

plusieurs heures après

- tu sais, me dit-il, je ne peux pas rester trop longtemps avec vous ce soir mais j’ai vraiment envie de se revoir.

  • OK, nous aussi et pour une première fois j’aime prendre le temps

 

 

Dominique reparti

Nous somme resté tous les deux , pris une douche , et la surprise continua Joël me dit

--grand père le dicton dit jamais deux sans trois

--pourquoi tu me dis ça ?

et sans répondre je sentis en moi sa bite explorer mes entrailles

Dominique deviendra mon amant et peut être la pute de mon ptit fils

 

Par simon - Publié dans : ma vie
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Jeudi 4 décembre 4 04 /12 /Déc 15:28
Quarante ans plus tard , à 63ans , mon coeur bat toujours pour toi Gérome , et pour prouver  a tous les lecteurs de mon blog que l'amour entre homme ,reste tres fort malgres que je suis marié , père de 3 enfants et grand père de 6 petits enfants.
 j'ai décidais de publier les quelques poêmes que Gérome m'ecrivait de temps en temps pendant la période ou nous partagions notre amour avant cette accident stupide.
Ces poêmes que je relis souvent et que j'ai agrémenté de photo du net rien que pour vous

Le jour ou l'on s'est vu
Tu m'as tout de suite plu,
Derrière mon comptoir
Je te servais a boire
Ton regard , ton sourire
Mon coeur  chavire
Au début , ça n'a pas été facile
J'avais peur , et toi tranquile
J'ai souffert , prisonnier de mon boulot
J'avais peur , comme un "addo"
Tu m"as mis en confiance
Je me suis laissé tenter
Certes avec prudence
Lorsque tu m'as aimé








Ton sourire est comme une fleur    
Ton coeur une source de chaleur
Ta bouche est si jolie
Ton sourire aussi
T'es comme un arc-en-ciel
Qui brille comme un soleil
Allez , viens , je t'attends!
Aujourd'hui , jai du temps
A ton envie  , je répond présent
Mon coeur je suis impatient
De te voir enfin
Un jour , le matin
En me rêveillant
Dans tes bras tendrement










Tu es mon étoile
Chaque soir je pense a toi
Et ça ma fait mal
De savoir que des filles , et pas moi
T'ont déja embrassé
Alors que moi tu m'as seulement rêver
Je voudrais pouvoir te serrer dans mes bras
Ne t'avoir rien que pour moi
Je ne sais comment te le dire
A quel point tu m'attires
Tu as des yeux révolver
Un sourire de rêve
Qui me fait craquer
Qui me fait rêver
Tu me fait fondre de joie
Tu es mon choix
Tu me fait fondre de tendresse
Dés que tu poses tes mains sur mes fesses






d'un amour caché      
secret et merveilleux
lorsque l'on se retrouve
nous ne formons plus qu'un
nos corps nos coeurs
tout s'enflamme
comme un brasier
je t'aime sans pouvoir le montrer
toi aussi
c'est difficile mais tellement fort
nos rendez vous
nos coeurs qui battent
par l'angoisse
la peur
tout cela c'est notre histoire
c'est notre bonheur
nos instants à nous
à nous seuls
je t'aime.






Ne pas être avec toi
C'est comme

_Une nuit sans lune
___Un stylo sans encre
___Une musique sans melodie
__Une rose sans petale

___c'est comme
_Un ecrin sans bijoux
___Une etoile sans lumiere
__Un paradis sans bonheur
____Ne pas être avec toi
__C'est comme

__Si je n'etais plus moi



Je sens tes yeux sur mon corps                                           

Je sens tes mains le long de ma joue puis de mon cou

Elles parcourent , mon ventre

Pour enfin trouver refuge entre mes cuisses

Tes mains quitte leur cachette

Nous somme la, nu, dans le lit

Assise sur toi je te contemple,

Je bouge pour que l’envie reste la.

Je me sens si bien avec toi ne me quitte pas

Je serais toujours la pour toi.

Je t’aime mon amour





Je t’aime  toujours mon amour






comme toi la 1ère fois ou tu m'as fait l'amour , la souffrance à vite laissé la place au bonheur , tu vois quarante ans apres c'est comme si c'était hier
là ou tu es tu repose en paix ,toujours dans mon coeur tu es.....
Par simon - Publié dans : ma vie
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Mardi 4 novembre 2 04 /11 /Nov 19:08

HOMME a tous faire

Voisins de quelques maisons , un couple soit disant hétéro , qui après une dizaine années de mariage semble a le dérive Hervé m’avait démontrer depuis le début qu’il aimait les mec mur comme moi.

Pendant les vacances d’été Monique etait parti seul en vacances et Hervé m’avait demander si je pouvais passer de temps en temps chez lui pour passer de bon moments.

C'était un vendredi soir , fin Aout , lorsque je décide de retourner voir mon ami Herve ,.
Je rentre avec les clefs qu'il m'avait prêtées pour faire son ménage, arrivé dans son salon, OH ! surprise ,je retrouve sa femme qui lisait un livre à poils sur son canapé ,je n’en suis pas surpris de la trouver ainsi ,l’ayant déjà vu lors de soirée bien arrosée chez eux..
Salut Martine
- Ah ! Salut Simon comment vas tu ?
- Bien et toi, déjà fini tes vacances ?
- Oui, il y a déjà une semaine, c'était génial, soleil, chaleur et surtout je n'étais pas avec mon con de mari.
Je me rends compte que les choses ne se sont pas arrangées.
- Tu ne vas pas me dire qu'il ne t'a pas manque un peu ?
- Alors là pas du tout, lorsque je suis rentrée, il était avec 2 potes devant un match de rugby, tous les 3 affales sur le canapé, avec une bière à la main et des chips plein le sol.
- Il a du s'ennuyer et donc il a appelé ses potes !
- C'est ce que j'ai cru, mais lorsque je suis rentré dans la maison, je lui ai souri et j'ai voulu l'embrasser, il m'a regardé et a juste dit " Ah tu rentres déjà ? "
- Ah mince ! Dans mon fort intérieur, je rigolai.
- Il paraît Simon que tu es venu lui donner un coup de main ?
- Oui oui !
- Pour faire quoi déjà ?
Sa question me parut un peu bizarre.

-Il paraît que tu l'as aidé à la maison mais je n'ai pas vu de changement.
- J'étais juste venu faire un peu de ménage la première semaine.
- Et tu as lâché l'affaire, je te comprends, moi j'en ai eu marre lorsque j'ai vu l'état de la baraque.
- Non mais j'avais des autres choses à faire, alors je ne suis pas revenu, et il est ou là ?
- Il est parti a la pèche dans une cabane qu'un pote lui a prêté.
- Et tu n'es pas allé avec lui ?

-ben non et j’ai eu raison vu que tu es venu

-ah ! bon tu attend quoi de moi ?
-que tu me baises a sa place , tu te souviens a mon anniversaire.
-Heu ! ! ! oui mais j’avais un peu bu ce jour là
-eh ! bien , pas grave si tu as pas bu , moi j’ai envie d’une bonne bite et ça sera mieux qu’avec mon CON de mari.

En un retour de main je me retrouvais a poils , ma bite dans ça bouche , elle eu vite fait de me mettre en condition , me bascula sur le canapé et s ‘empala sur ma bite me branlant dans sa chatte bien chaude ,avec ma main je me mis a jouer avec sa rondelle , elle semblait aimer.

--tu le voudrais bien mon cul… hein hein Simon

--heuuu , peut etre mais si Herve apprend ça

--fait pas chier Simon , fait pas le difficile encule moi

-oui mais si Hervé…
- ce CON ne sait rien faire, je le vois comme un CON devant la porte sa canne a pêche, avec une clope au bec, nous admirer ,le rendre jaloux à crever allez encule moi Simon montre moi que tu n’est pas comme lui " un CON ".
je lui bourra le cul , la chatte , la bouche , elle me vida les couilles comme jamais

épuisé tous les deux , elle me servit une vodka tonic

Apres un café ou elle repartait à déblatérer sur lui... je partis en disant

- Et elle est où cette cabane ?
- Pourquoi tu veux aussi pêcher ?
- Non mais je vais passer lui dire bonjour.
- J'en sais rien, mais il a son portable, peut être qu'a toi il va répondre.
.

Il était déjà 20 heures.
- Allo !
- Salut c'est Simon !
- Ahh salut comment tu vas, alors tu m'as lâché la dernière fois.
- Oui je sais, excuses moi mais j'avais des trucs à faire, tu es où là ?
- A la pêche.
- Et tu pêches où ?
- Près d'un étang.
- Non mais où exactement que je vienne te voir.
- Ahhh...
Il m'indiqua la route et au bout d'une heure environ je débarquai dans un bois privatise et je vis au loin une petite lumière brillai.
Toc Toc
- Rentres nouinouille, ça caille dehors.
Il était là assis sur un fauteuil près d'une cheminée, avec une clope presque terminée.
- Coucou
- Tu vas bien ?
Il s'approcha d'un pas lourd. Il était encore plus beau que la dernière fois. Mal rasé, mal coiffé, un pantalon vert proche du corps marquant des cuisses puissantes, un pull noir en laine moulant son torse et délimitant à merveille ses pectoraux, des grosses chaussures noires. Ses yeux brillaient par la fumée de la cheminée, ce qui ravivait le vert de ses yeux.
L'hésitation dans notre poignet de main, le fit rire et il m'entoura de ses bras muscle et me mit une petite tape dans le dos.
- Tu sais tu vas te les cailler habille comme tu es !
J'avais juste un jean bleu clair moulant mes fesses à merveille, un petit pull marron en laine fine sans rien de dessous.
- Je sais, j'ai déjà froid, j'avais pas prévu la pluie qui tombe ce soir.
- Attends j'ai peut être un autre pull ou une veste !
Il se baissa vers son sac et me présenta son cul.
Ce cul, super beau,  une bombe, a tomber par terre.
Il se retourna et sorti un pull super grand, vert chasseur, horrible.
- Tiens, mets ça !
- Merci, en plus c'est trop beau !
Il passa ses bras dans le bas du pull et me dit :
- Viens là !
Il passa le pull sur ma tête, je glissai mes bras.
Il baissa le pull jusqu'en bas, passant ses mains sur mes hanches.
- Fais voir un peu l'allure que tu as avec ce pull ?
Alors avec une main sur la hanche, je pose comme pour un photographe.
- Retournes toi  voir?
Sans réfléchir de suite, je me retourne et lui fais voir de dos.
- T'es canon comme ça !
- J'imagine oui !
- En tout cas le jean il te va bien !
- Ah, vas-y mattes mon cul ! pendant qu tu y es !
- Chacun son tour !
Il me dit cette phrase en me faisant un clin d'œil.
On se met à rire fort.

- Tu veux boire quelque chose, j'ai des bières, évidemment, du coca, de l'eau, en tout cas je n'ai rien à t'offrir à manger, je pensai pêcher un poisson mais bon je ne suis pas très doué !
- Non mais figures toi mon p'tit pêcheur du dimanche, j'ai pris du café chaud dans un thermos et des trucs à manger !
- Alors là tu es trop fort, je crève la dalle t'imagines même pas.
- Je m'en doutai que tu partirais sans rien, petit assisté !
- C'est trop trop bien !
Tout en disant cela, il me met une main dans le dos pour accompagner mon pas pour me diriger vers la table, arriver a la table, il retire sa main vers le bas et frôle mes fesses.
- Alors le thermos, tu as des tasses ?
- Euh, ouais !
- Des pates à la carbonara, un camembert et des yaourts.
- Trop trop bien, un festin de roi, tu es génial, en fait c'est toi que j'aurai du épouser il y a quelques années.
- J'étais trop vieux, tu t'es marié quand ?
- Alors j'ai 32 ans, donc ça fait 8 ans.
- J'avais 55 ans, super.
- T'es con.
- En plus tu sais j'ai toujours été un bon mâle !
- Je sais bien ça, n'empêche, tu es super cool, tu penses a moi pour des petits trucs qui font super plaisir, tu sais que j'aime les pates...
- Et le café !
- Ouais.
- Mais bon, on n'aurait jamais niqué.
- Alors là, si tu crois que je t'aurai épousé sans te baiser après.
Nous pouffons de rires.
En plaisantant, il me pelote une fesse et me dit :
- Ce petit cul qui aurait été mon petit cul, tous les soirs dans mon petit lit, hummmmm.
A pleine main, je lui mis une main au paquet et dit :
- Et cette queue qui aurai été mienne.
Lorsque ma main était sur sa queue, je cru rêver, j'avais l'impression qu'il avait mis une andouillette directement dans le caleçon. Une masse de chair, un paquet de vrai mec.

-Bon ce n'est pas tout ça, mais j'ai trop faim, de parler de cul m'a ouvert l'appétit.
- Moi  aussi d'avoir senti et touché m'ai ouvert l'appetit.
- Arrêtes papy ! Viens on mange.
On s'installe a la table, il me servi un coca et moi je lui donnai des pates.
- Encore un peu. Merci !
- Tu es vraiment un glouton, tu manges trop vite.
- C'est juste parce que c'est trop bon et que ça fait plus de 12 heures que j'ai rien mangé.
Le repas termine, je lui demande de me faire visiter cette cabane.
- Tu sais on va vite faire le tour. Alors là c'est la pièce principale, là c'est une petite salle de bain avec lavabo et toilette, et là...
Il descendit une échelle du plafond.
- Grimpes, c'est la chambre.
Je monte l'echelle doucement en me cambrant un peu pour faire ressortir mon petit cul car je sais qu'il me suit de près.
- Il doit y avoir un bouton sur le sol pour allumer la lumière.
Arrive en haut je me baisse en avant pour essayer de trouver l'interrupteur.
Il est derrière moi.
- Je ne trouve pas !
- Attends.
Il monte un peu plus si bien qu'il se retrouve juste derriere moi, c'est alors qu'il me tient les hanches alors que je suis toujours pencher en avant et se baisse également pour trouver le bouton. Je sens sa queue sur mes fesses.
- Tu trouves ?
- Non.
- Attends.
Je bouge un peu mes fesses pour qu'il ait plus de place pour étendre ses bras et trouver cette lumière. Il me tient toujours par une hanche et tâtonne le sol.
- Je ne trouve pas cette lumière de merde !
- Tu veux que je bouge un peu plus.
- Attends.
Il déplaça sa main sur ma fesse gauche pour m'écarter un peu plus les fesses en passant sa main a l'intérieur de ma cuisse, mais le jean qui est quelque peu serré empêche une grande ouverture, alors il prit les passes ceinture et remonta mon jean au maximum, si bien que mon jean rentra dans ma raie. Et il m'écarta au maximum les jambes.
La masse de son torse et sa main sur ma hanche gauche me fit me cambrai le dos et il passa son bras droit au dessus de ma tête et trouva enfin ce bouton.
Lorsque la lumière s'illumina, je découvris une chambre avec un matelas au raz de sol avec sur plein de couvertures, d'oreillers.
- C'est chouette !
- Quelle aventure pour cette putain de lumière, regardes nous un peu !
- C'est vrai que c'est position fait un peu levrette et si tes potes nous avaient surpris ainsi ils rigoleraient bien.
- C'est clair, ça fait un peu levrette !
Il passa sa main sur mes fesses avec insistance.
- Tu as quand même un joli petit cul !
- Merci, je suis content qu'il te plaise.
- Ouais, c'est très excitant tout ça.
- Ah ouais ?
- Ouais.
Je le fixai du regard, lui aussi, je passai ma langue sur ma lèvre supérieure. Je me retournai si bien que je me retrouvai sur le dos avec lui au dessus de moi.
- Je rêve de t'embrasse là papy !
- Te gènes pas.
Il se baissa complètement sur moi. Moi les jambes écartées avec une main sur ses fesses musclées, lui au creux de mes jambes, passant une main dans mes cheveux pour me tenir la tête et l'autre passant sur ma fesse.
Il me déposa un baiser endiablé.

Je vibrais de plaisirs pour l’exiter

- Putain !!! T’es une sacré chienne toi… tu vas m’sucer la bite maintenant.

Je lui dégrafais donc son pantalon et sortis sa bite déjà raide que j’engloutis dans la bouche.
- Ouai…hummmm… vas-y papy… pompe moi bien comme ça… ouai… t’es une sacré salope c ‘est pas la Martine qui fairait ça……

Je sortis la bite de ma bouche pour laisser échapper " pourtant elle fait ça bien "

Il répliqua :

-le jour de son anniversaire ah ! oui mais elle avait trop bu…

-peut être mais elle fait sa bien

- allez vas-y continue ouéé… hummmm… c’est bon… ouéé… t’aime la bite hein salope… ouééé… comme ça vas-y… allez… avale bien ma teub vieille pute… allez…


Puis âpres ½ heure de suce il m’ordonna.

-Vas-y tourne toi… fais moi voir ton trou de chienne… hummmm… j’adore… j’vais t’enculer salope…

-tu n’osera pas

-tu vas voir ; allez viens t’asseoir sur ma queue… ouééé… comme ça vas-y… enfonce toi bien sur ma bite… hummmm putain… ouéé… allez vas-y… prend tout dans ta chatte salope… bouge bien ton cul salope… allez !!! Bouge… défonce toi le trou comme une bonne putain… ouééé comme ça… hummmm… c’est bon chienne…ho putain !!!... ouééé … allez vas-y…comme ça… ah !…ah ! la Martine jamais elle veut que je touche a son cul…..

-ah ! si tu savais mon Hervé murmurais-je dans ma tête

Comme une putain que j’étais devenu, je montais et descendais sur sa pine me défonçant le trou, puis il me baisa dans toutes les positions qu’il imaginait. Debout, a 4 pattes, couché sur le ventre, sur le dos etc...
il me baisa ainsi pendant une bonne heure alternant ma bouche et mon fion, il aimait bien sortir de mon cul pour se refaire sucer et re-rentrée dans mon cul ensuite.
Mon trou était tellement bien ouvert qu’il pouvait y rentré son chibre à fond, sans difficulté.

Puis enfin, il me largua tout son foutre au fond de mon cul, tien prend ça papy la Martine n’en a pas besoin et il y resta un moment planté dedans.

-et dire que la Martine ne veut pas que je lui baise le cul
-vaudra que je lui demande
-tu me le dira quand tu voudras je lui foutrais une bonne cuite avant
-pas la peine elle m'as toujours dit depuis son anniversaire " a toi je te donnerai tous"
-ben tu a de la chance toi
-comme toi aujourd'hui en lui faisant un gros clein d'oeil
Je le laissa dans sa cabane et repartis chez moi .

Le soir je m’endormi en me disant la Martine et Hervé    un bon petit couple ou j’ai ma place d’homme a tous faire

A SUIVRE

Par simon - Publié dans : ma vie
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Lundi 4 août 1 04 /08 /Août 08:03

voila bien longtemps que je n'ai plus eu d'aventure pour des raisons de santé , apres un long sejour en hospital ,je decide d'aller prendre quelques jours de repos dans le Loiret ou depuis un moment j'ai découvert un AMI ,  que dis-je plus que ça un AMANT .  Nous irons nous promener dans le bois pas trés loin de son village , voici en image le reci de cette ballade....
Apres un bon moment , marchant main dans la main comme de jeunes amoureux .
Laurent ('c son prénom) profita de mon envie de pisser pour se prendre dans les bras , quelque bisous et mes mains se mirent a le deshabiller















découvrant son torse inberbe ,  Laurent dit :
___ ah! tu veus jouer a c petit jeu et bien Ok

ouiiii depuis le temps que je te veux

alors Laurent commença  a enlever  mon polo ,  je me mis a lui mordiller les tétons et tout en lui faisant des bisous sur son torse je descedais vers son nombril et avec mes dents fis sauter la boucles de la ceinture













le pantallon tomba a ces pieds , il portait slip noir


   

que je fit sauter rapidement  , je ne perdit pas de temps pour gober sa belle bite déja bien bandée 













___ Ouuuéé  hummmm

il semblait apprécier et ma défoncer la bouche et ajouta

___ AH ! AH !
tu l'as veus Cheri

_ OUi mon Lapin je le veus oh! OUIIIIII

___mais moi aussi je veus te sentir en moi couler ta sève

_ OK mais moi dabord....

Laurent inversa les roles , enlevant mon pantallon me laissant que le slip ,
se
releva
 pour me rouler une superbe pelle














puis comme des enfants qui ne savent pas ou commencer
, acroupi nous masturbant reciproquement                               quelques embrassades














comme pour se donner un peu de courage

_ Allez Laurent .......lui dis en lui montrant mon cul  ......il est a toi
comme un peu timide Laurent hesitais un peu , je le sentais

_ allez Laurent  , c bien continue

Arqueboute sur mon baton , je sentais sa bite enter en moi 


___ ah! tu a voulu jouer la salope

_OUIIIII

___ Prend ça vieux con

_AH! continue j'aime Laurent quand tu me dis ça








me tenant par les hanches Lauent me pillonait avec force

___ putain t'as un bon cul

_ oui cheri remplie moi

__fout toi a quatr pattes salope


_ vas y  OUIiii j'en veus

___ T'es vraiment un pute moi qui croyais que c'etait moi la salope

_ t'inquiete tu y passera apres

___tu me remplira aussi , j'adore et en plus ta bite est plus grosse tu vas m'exploser le cul

_ j'y compte bien

Laurent repris sonlimage de plus en plus vite et avec force
me tenant par les épaules le sentais la bite au plus profond de moi
quand soudain s'éleva un grand   cri
OUIIIII AH! PUTAIN  C , c BON AAAAAHHHHHHH!!!!! OUII OUIII

 Laurent venait de sécrouler sur mon dos en sueur

apres quelques instant il s'écria

__ trop bon..... oh ! oui .... tu viens pour me baiser et c moi qui t'ai baisé vielle salope....

_whaaaaa ça ete super e ton tour maintenant


' a suivre....

Par simon - Publié dans : ma vie
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Samedi 7 juin 6 07 /06 /Juin 20:30

Un soir de grève
Il est 18h00 ce soir là . Pour la 1ere fois  a Paris pour me rendre chez mon neveu , pas de chance grève dans le RER parisien. Après avoir attendu 20 minutes, je peux enfin atteindre le bord du quai et monter dans la prochaine rame. Les portes s’ouvrent, les voyageurs comprimés et compressés tentent de s’extirper vaille que vaille pendant que ceux qui veulent monter poussent pour être certains d’avoir leur 20 cm² dans cet enfer urbain.
Je me trouve propulser dans la rame, puis plaquer contre le poteau central, bloqué par ceux déjà dans le wagon et ceux qui continuent de monter en écrasant un peu plus ceux qui ont eu l’outrecuidance de monter avant eux.
Après 5 bonnes minutes de luttes, de râlements et de jurons en tout genre, les portes se ferment enfin. J’essaie tant bien que mal de me décoller de ce poteau métallique qui me comprime la hanche. Contre mon corps, je sens d’autres bassins qui eux aussi essaient de se libérer de la pression humaine.
J’ai 62 ans, je m’appelle Simon. Sans être un dieu vivant, je suis encore plutôt pas mal. Je fais attention à ma ligne et à mon corps, ni plus ni moins.
 Comme vous le savais déjà je suis  très attiré par les hommes.
La rame prend doucement son élan, comme si le train souffrait d’avoir à transporter plus de personnes qu’il ne devrait normalement avoir dans son sein.
40 mètres de fait et la rame s’arrête brusquement. Je sens contre mon ventre une main qui se plaque, pour se retenir de ne pas basculer. Une main ferme, virile, une main comme je les aime.
Je lève mon regard vers le propriétaire de cette main, et je croise le regard gris acier d’un homme d’environ 25ans, racé sans excès, avec une élégance et un sourire naturel et rassurant.
--« Désolé », me dit il en plongeant son regard dans le mien.

« Pas de problème », répondis-je en rougissant, « au contraire » dit ma bouche avant même que mon esprit n’ait eu le temps de filtrer ces mots ! »
Qu’est ce qui m’a pris de dire çà ! Il va me prendre pour qui ? Je détourne le regard, gêné de ma spontanéité.
Pourtant c’est vrai que j’ai aimé sentir ses doigts sur mon ventre. En un instant, j’ai même imaginé un million de choses.
 Mais bon, regarde le, il a la tête du parfait hétéro, et tu viens clairement de lui dire « j’adorerais que vous me caressiez » ! Quel idiot je fais…
Toujours à l’arrêt, la chaleur aidant, en plus de ma bêtise, je trouve le temps interminable. Mais quand va-t-il redémarrer ce train de malheur, quand vais-je pouvoir sortir pour me sauver ?
Pourtant, je sens comme un léger frottement contre ma chemise. Voilà que maintenant, je fantasme tellement fort que j’ai l’impression qu’on me caresse. Pour en avoir le cœur net, je tends mes abdos et là je me dis que je ne rêve pas. Quelqu’un est en train de me caresser le ventre. Je regarde en biais cette main qui, avec deux doigts, monte et descends lentement, sensuellement le long de ma chemise entre le nombril et la ceinture de mon pantalon.
Je remonte mon regard  Je l’ai déjà vue , Mon Dieu, c’est celle de mon voisin le beau minet.
Une fois encore, nos regards se croisent , à la fois de la gêne et du désir dans le mien, alors que le sien, les yeux légèrement plissés semblent délivrer ce message « laisse toi faire ».
Alors d’accord, de toute façon je ne peux pas bouger, me retourner. Même mes mains sont coincées par les autres voyageurs. Du regard, sans un mot , par un signe positive de la tête je lui fais comprendre que j’accepte sa caresse.
Je sens alors le contact plus insistant, plus ferme, plus viril. En un instant c’est sa main qui me caresse la chemise, le long de mes abdos loin d’être des plaques de chocolats. Je ferme les yeux, laisse échapper un soupir d’aise, puis regarde ce jeune homme qui m’inspire un désir grandissant. Il me sourit, avec une complicité dans les yeux qui m’indique que lui aussi aime cet instant.
Je n’entends plus les voix, le brouhaha autour de moi, je ne vois plus que lui et son sourire, je ne sens plus que sa main et sa caresse. Il me dit doucement
--« moi c’est Matthieu, et toi ? »
-- « Simon », dis-je dans un filet de voix étranglé par l’émotion et le désir .
D’un coup, violent, saccadé, le train redémarre. Le départ brutal projette Matthieu contre moi. Nos corps se touchent tout entier, son visage est a quelques centimètres du mien, et son corps, des épaules aux genoux, vient se plaquer contre le mien.
Je sens son parfum, sa chaleur a travers sa chemise, cette légère odeur de transpiration d’un homme qui manifestement s’entretient.
Mais je sens aussi son torse, ferme solide, dont la chemise moulante , laisse supposer qu’il est dessiné, sans graisse, lisse.
Et surtout je sens son bas ventre contre le mien et surprise, un sexe tendu contre le mien à travers nos pantalons respectifs.
Le contact de sa barre de chair, même indirect, m’électrise et je ne peux réprimer l’envie de me frotter à lui, un peu bestial
Il ne recule pas. Nos corps se frottent l’un contre l’autre lentement au rythme de tortillard de ce RER. Je sens son sexe qui grossit encore, qui tente de se dresser prisonnier dans son pantalon et son sous-vêtement. Le mien est déjà bandé au maximum, tentant vainement de déchirer mon boxer par la tension extrême que m’inflige l’excitation de cet instant.
Pendant que le train fait un stop and go qui d’ordinaire m’aurait exaspéré, je sens la main de Matthieu qui peu à peu glisse de mon ventre vers mon pantalon. Il passe doucement sur mon aine et je sens alors ses doigts se rapprocher de la bosse formé par mon sexe en émoi.
Du bout du majeur, il effleure cette bosse et je tressaille, stupéfait de son audace et ravi à la fois. Il me caresse doucement le gland à travers le tissu. Ma respiration s’accélère, mon excitation monte encore d’un cran.
 Mon Dieu, il est en train de me peloter dans le train avec 1 million de personnes autour de nous. Et si la vieille à côté s’en rendait compte ? Quelle honte, non tu ne peux pas le laisser faire…
Au moment où j’essaie de dégager une main pour retenir la sienne, je le sens descendre encore ses doigts et les glisser entre mes cuisses, me malaxant doucement les testicules à travers mon pantalon. Je ne peux retenir un « aaahh » de surprise.
A ce moment là, nous arrivons à la station. Je ne dois descendre qu’au terminus de la ligne mais lui, jusqu’ou va-t-il ?
 Pendant que le sempiternel ballet des entrants et sortants se fait, Matthieu en profite pour me pousser vers la porte et me plaque dos a celle-ci. Déjà je vais encore avoir au moins un trajet inter stations pour profiter de ses caresses. Profitant du flot entrant, il se colle à moi. Je sens un pieu massif se plaquer contre mon ventre et sa main se plaquer sur mon sexe. Mon excitation est à son comble quand il commence une lente sensuelle et insupportable masturbation a travers le tissu.
Le train redémarre, et reprends ses stop and go chaotiques. Il nous a déjà fallu 5 mm pour faire une station là ou il en faut 1 seule d’habitude, mais là je ne suis pas pressé d’arriver, je voudrais que ce voyage n’en finisse plus.
La lente caresse de Matthieu sur mon sexe me plonge comme dans un état second. J’oublie le monde, seul compte Matthieu.
Je sens d’un coup ses doigts qui quittent mon sexe, et doucement s’emparent de ma braguette et tire lentement mais inexorablement la languette vers le bas.
 Mais il est fou ! Là dans le RER.
D’un regard sans doute affolé je regarde précipitamment autour de moi ! Non ce n’est pas bien, il y a du monde. Je murmure un « non » timide à son oreille.
« Laisse toi faire » me répond-il dans un souffle. J’essaie vainement de retenir ses doigts mais déjà je les sens écarter mon pantalon et se glisser sur mon boxer. Sa main dans mon pantalon glisse doucement et me caresse le pubis puis rejoint mon sexe tendu à l’ extrême. Il reprend sa lente masturbation. Elle est encore plus intense, car avec une couche de tissu en moins.
De mon côté, je remonte ma main sur son pantalon et la glisse entre ses cuisses. Mes doigts trouvent son entrejambe et lentement je lui caresse. Il gémit d’aise lui aussi.
Tout à coup je vois apparaître les lumières de la station.
Un instant de panique, et si la porte contre laquelle je suis plaqué et en train de me faire masturber était celle qui s’ouvrait sur le quai.
 Non heureusement.
Matthieu profite du mouvement de foule pour se replacer face a moi et me dissimuler au regard des autres. Je le regarde avec tendresse, avec passion. Je ne le connais pas mais j’ai une folle envie de passer plus qu’un trajet de RER avec lui.
Enfin le train repart et Matthieu reprend ma lente masturbation. Je sens ses doigts chauds contre le tissu humide d’excitation de mon boxer. Soudain j’ai envie de plus que cette caresse, j’ai envie qu’il me fasse l’amour, j’ai envie qu’il me mette nu et me possède.
Comme s’il avait lu dans mes pensées, je sens Matthieu qui glisse ses doigts sous la ceinture de mon boxer, qui s’immisce dans ma toison intime et qui plonge sur mon sexe. D’un coup je sens sa main en direct sur ma verge tendue. Ses doigts se resserrent et il entame une masturbation plus franche.
Je ne sais plus où j’habite, qui je suis.
Je suis entrain de me faire masturber en plein RER un soir de grève et j’aime ca…qui n’aimerai pas ?
L’excitation est a son comble je sens que s’il continue ainsi je vais jouir…
« Arrête Matthieu, je vais jouir, arrête pas la, sil te plait » lui dis je sans grande conviction, trop excité par sa main experte qui m’astique avec force mon sexe soumis.
« Non, je veux sentir ton sperme jaillir dans mes doigts » me dit il en plongeant son regard gris dans mes yeux.
Et au même moment, je sens monter les spasmes incontrôlables de l’orgasme. Mon sexe se contracte entre ses doigts et j’éjacule 3 longs jets dans sa main et dans mon boxer, en laissant échapper un petit cri de jouissance.
Matthieu a les doigts maculés de ma semence. Il caresse encore un peu mon sexe, me presse le gland pour en faire sortir les dernières gouttes puis doucement, m’enduit le sexe, les testicules et mes poils de mon sperme, l’étalant lentement partout, comme un vernis protecteur. Il se sèche un peu les doigts dans le tissu de mon boxer.
Délicatement il retire sa main de mon pantalon, me laissant tout pantelant de plaisir. Il sort un kleenex de sa poche et s’essuie les doigts sauf le majeur qu’il lèche devant moi avec délectation. Tout a mon plaisir, j’en ai oublié de m’occuper de lui. !!! Aurais je simplement osé faire le quart de ce qu’il m’avait fait…je n’en suis même pas sûr
La station suivante arrive, il me remonte ma braguette et me dit, avec une nuance de regret dans la voix : « c’est la que je descends ». Je le regarde affolé. Non pas déjà ! Comme le dit Piaf, je maudis d’un coup la foule qui m’arrache à lui et qui m’avait jeté dans ses bras.
Il se retourne et quitte le wagon. Je ressens un vide immense, inconnu jusqu’alors, une profonde tristesse alors que deux minutes avant j’étais au Paradis !
Il se retourne une fois sur le quai, et pendant que la porte se ferme, me fait un signe, et approche ses doigts de la bouche et de l’oreille, me signifiant « on s’appelle ».
Mais comment ? Je ne sais que son prénom, je ne sais même pas d’où il vient et ou il va…Pourquoi cette cruauté alors que justement avant il m’avait apporté tant de bonheur et de plaisir.
D’un denier geste, il me montre la poche de ma veste, comme s’il y glissait quelque chose. Le train démarre, prend de la vitesse, et je perds Matthieu de vue.
Je sens des larmes qui me montent aux yeux et je ne peux pas les empêcher de couler, rempli d’un chagrin soudain. Je plonge ma main dans la poche de ma veste pour en sortir un mouchoir.
Mais il y a autre chose, un carton, mieux que cela, une carte de visite, avec un nom que je ne connais pas mais un prénom qui me ramène deux minutes en arrière « MATTHIEU ».
Tout y est, son adresse, son portable, son email, son nom ! Je comprends mieux le geste final. Mais comment a-t-il fait ? Je n’ai rien senti ! Enfin je m’en moque, parce que maintenant, je sais que je vais le revoir.
Enfin le terminus. Il faut dire que je n’ai rien vu du voyage, tout à mon souvenir de ce que je venais de vivre avec Matthieu. J’ai trouvé une place assise, et mes yeux sont restés rivés sur sa carte de visite. Comment ai-je fait pour qu’un homme, en si peu de temps, me laisse sa carte comme ça, dans ma poche. Il m’a fait un effet bœuf (et mon boxer tout humide de ma semence me le rappelle à chaque mouvement), mais qu’ai-je fait pour qu’il me laisse toutes ses coordonnées en cadeau ?
C’est l’esprit agité de cette question que je chemine vers le domicile de mon neveu Norbert.
--salut tonton , t’as fait bon voyage ?
--salut Norbert ,extra malgrès les grèves ….
--désolé j’ai pas pu me libérer au boulot
--pas grave ça m’a permis d ‘avoir une  aventure INOUIIIIII
--vas y raconte tonton
--si ça te dérange pas avant je voudrai prendre une douche.
--ok je te prépare l’apéro en attendant.

Une fois dans la salle de bain, je me glisse sous la douche, histoire de remettre un peu d’ordre dans mes idées et effacer (a regret) les traces de notre rencontre.
Pourtant, en sortant de ma douche, une seule idée m’obsède : revoir Matthieu, et vite.
 Je me précipite sur mon portable, saisit la carte et commence à composer son numéro. Mais juste avant le 10ème chiffre, ma main s’arrête net !!!
« réfléchis avec ta tête imbécile !!! Pas qu’avec ta queue !!! Il est chez lui, en famille, tu vas le déranger, le gêner ».
Je termine quand même le numéro pour l’enregistrer dans mon répertoire. Voilà, maintenant, je pourrai l’appeler quand je le souhaite.
--alors tonton ça fait du bien
--super tu aurai pu venir me frotter le dos (hihi)
--fallait demander tonton…….
--je pensais que tu serai venu de toi même pour mâter ce que tu voudrai goûter !
--j’ai pas osé , tonton , mais regarde l’effet que tu me donnes !
--hummm ! ! je vois , j’espère que je passe les nuits avec toi ?
--oui tonton et tu vas pas beaucoup dormir !
--c’est ce que j’avais compris lors de ton invitation.
Après un diner frugal, je pars dans la chambre, et je me suis encore endormi comme une masse.
 La nuit est agitée de rêves tous plus érotiques les uns que les autres, et je me réveille pleins des mille et unes caresses que Matthieu m’a fait dans mon sommeil.
 Norbert m’avais laissé récupérer ma longue journée d’hier sachant que j’etais là pour une semaine. Il m’attendait nu dans la cuisine pour prendre le petit déjeuner.
-- bonjour tonton , ben dis donc ta nuit a bien été agité ?
-- bonjour , je sais pas si c’est toi mais putain je n’ai pas arrivée a débander.
-- oui j’avais remarqué et j’ai même léché ton gland
--quoi tu as voulu me sucer ? pendant mon sommeil
--je faisais ce que tu me demandais dans ton rêve et tu as même joui sur ton ventre
--pas vrais ?
-- si tonton et j’ai tous léché …. Que c’etait bon ! !
-- bon on verra ce soir si tu es prêt  a consommer plus ?
-- Oui tonton ce soir , depuis le temps que je t’attend….dit tonton tu fais quoi ce matin ?…….. tu peus te servir de l’ordinateur si tu sors pas.
--ok a tout a l’heure.
Après une douche rapide et un petit déjeuner expédié, Norbert  cours vers le RER , ce matin , il n’est plus en grève.


Tournant en rond dans la pièce , je me mis a penser a Matthieu , mis en marche l’ordinateur

Et me voila devant mon écran.
« Et si je lui envoyais un mail, comme ça, il aurait mon adresse ».
Ni une ni deux je retrouve la carte de visite, et je saisis l’adresse avant de lui envoyer ce message
« Bonjour, suite à notre rendez vous d’hier, je vous confirme tout l’intérêt que nous portons à l’avant projet que vous m’avez présenté, projet visant à rapprocher les hommes de façon significative dans la jungle urbaine des transports en communs. Signé Simon… »
Je clique sur Envoyer, et soupire d’aise et de crainte à la fois, espérant qu’il lira et comprendra mon message.
 Dans la seconde qui suit , retentit la sonnerie qui m’annonce un nouveau mail. Je clique sur Ouvrir et découvre un message de Matthieu !!!
« Monsieur,
Je suis ravi que ma prestation d’hier vous ait convaincue d’aller plus avant dans notre collaboration. Afin de pouvoir approfondir le sujet, je vous propose de me contacter au 06…… afin que nous convenions d’un rendez vous dans les meilleurs délais et dans des conditions plus confidentielles.
Dans cette attente, Matthieu T
. »
Là, le doute n’est pas permis, il me donne rendez vous, et seul à seul. Mon cœur bat la chamade, je sens des bouffées de chaleur qui montent, et cela doit se voir ,heureusement personne pour le voir.
Je prends ma veste et sors rapidement de l’immeuble. Je saisis mon téléphone, et le cœur battant, j’entends la sonnerie sur le téléphone de Matthieu.
« Matthieu T., bonjour !!! »
« Bonjour, je suis Simon., nous nous sommes rencontrés hier dans le… »
« Oui, je me souviens particulièrement bien de vous. Alors ce rendez vous, quand pouvons nous le fixer ? »
« Dès que tu veux » Le tutoiement est venu spontanément, aussi fort que le désir qui déforme mon boxer au son de sa voix.
« Disons ce soir vers 20h00. Je vous fais suivre l’adresse exacte par mail. Merci de m’avoir rappelé Mr J, et à ce soir. »
Il raccroche aussi vite qu’il a répondu. Mon Dieu, ce soir, mais je ne suis pas…enfin qu’est ce que j’avais de prévu…c’est rapide pour le coup….. Je m’assieds sur le trottoir tout chamboulé par ce rendez vous si rapide, histoire
de regrouper un peu mes esprits.
« Tu n’as rien de prévu ce soir, ah ! si Norbert, rappelle toi, et ce soir, tu as un homme de rêve qui te donne un rendez vous pour sans doute l’un des meilleurs moments de ta petite vie, alors, arrête de te prendre la tête et vas y….Et ramène une bouteille de vin, il aime peut être çà ». Ma voix intérieure est parfois très dure avec moi, mais je l’écoute souvent, parce qu’elle est de bon conseil en général.
Après cette mise au point interne, je remonte à l’appartement, trouvant sur le PC le mail de Matthieu avec une adresse et un code de porte. Je vérifie illico sur Mappy où cela se trouve et comment y aller. C’est sur ma ligne RER d’hier, et c’est une adresse privée !!! Il m’invite chez lui on dirait. Allez, calme toi, respire, voilà, maintenant tu verras bien ce soir.
La journée ne semble pas en finir. Je file chez un caviste que je connais et lui demande une bonne bouteille de blanc pour une soirée intime. Puis je vais prendre mon RER préféré, descend à la station indiquée dans le mail et me rends à l’adresse de Matthieu.
Je suis un peu en avance, et je vois sur le trottoir un monospace chargé de bagages, avec 2 bambins a l’arrière, et Matthieu et une ravissante jeune femme qui lui dépose un baiser sur la bouche. Je me cache derrière un arbre. Elle monte, démarre puis s’éloigne en faisant un signe de la main. Elle disparaît au coin de la rue.
Matthieu pousse la porte cochère et j’en profite pour le rejoindre.
«  Bonsoir »
Il se retourne, me gratifie d’un sourire ravageur « Bonsoir Simon, je t’attendais ».
« Ta famille est partie pour les vacances ? »
« Oui, mon épouse souhaite se mettre au vert dans la maison de mes parents en Sologne, elle part une semaine avec les enfants
« Ah si peu…oh excuse moi, je suis désolé »
« Allez, monte » me dit il « je crois que nous avons un dossier en cours que je dois reprendre en main ».
Dans l’ascenseur, Matthieu se tient sagement à mes côtés. Mais déjà son parfum m’entoure, et je sens mes sens s’animer sérieusement. Il me précède sur le pallier, ouvre la porte et me laisse entrer.
C’est un appartement cossu, moderne, typique du jeune couple qui a tout de suite bien démarré dans la vie.
La porte se referme. « C’est pour nous la bouteille ? »
« Ah oui c’est pour toi et moi, maintenant ou quand tu voudras » dis je en lui remettant
Il se place face a moi et doucement mais surement se rapproche et me pousse contre le mur. Ne pouvant plus reculer, je le sens se plaquer contre moi et poser ses lèvres sur ma bouche. Ah mon Dieu qu’elles sont douces. Un baiser posé délicatement pendant que de ses mains, il enserre mon visage.
Je sens sa langue qui se glisse entre mes lèvres et j’ouvre les miennes pour l’accueillir. Le baiser se fait alors plus profond, plus intense, plus viril et dominateur. Il me fouille de sa langue, et je m’abandonne à son baiser plein de fougue.
Ses mains glissent de mon visage et me caressent de partout. Je pose les miennes sur ses hanches et le plaque contre moi, sentant sa virilité se dresser dans son pantalon, fière et puissante.
Tout en m’embrassant Matthieu commence à m’effeuiller. Ma veste tombe très vite et je sens que les boutons de ma chemise sautent les uns après les autres , les mains de Matthieu viennent me pétrir les pectoraux. Je gémis de plaisir, de désir quand il me pince les têtons dressés.
Ma chemise rejoint très vite ma veste sur le sol de l’entrée. Nous n’avons toujours pas fait un mètre depuis que je suis entré chez lui.
Je suis torse nu, le pantalon déformé par la plus grosse érection que je n’ai jamais eu jusqu’à présent. Il sait m’exciter, me stimuler. Sa main se plaque sur mon sexe raide et une lente caresse sensuelle, torride s’applique à me masser la verge a travers le pantalon.
Je sens contre moi son corps chaud à travers ses vêtements. Lui aussi a une érection magnifique dans son pantalon. J’ose ma main sur sa bosse et sens un sexe qui me semble énorme et tellement dur.
Pendant que je soupèse son sexe il défait ma ceinture dégrafe mon pantalon et baisse ma braguette. Il l’écarte et dévoile mon boxer complètement distendu. Mon pantalon glisse sur mes mollets, je vire mes chaussures, je suis presque nu, là, dans l’entrée. Matthieu glisse alors sa main dans mon boxer et s’empare de mon sexe, d’une poigne virile qui me fait comprendre qui sera le maitre dans nos ébats.
Il entame une lente masturbation, comme hier dans le train. Je ferme les yeux de plaisir tout en malaxant sa bosse. Sa main coulisse sans heurt sur ma verge. J’aime cette force mêlée de douceur sur mon sexe.
Je sens que mon boxer glisse sur mes hanches puis mes fesses et finit par choir sur le sol. Me voila nu, offert à son désir et son regard qui me transperce.
Il me prend par la main et m’emmène dans le séjour. Il s’installe sur le canapé, me laissant debout face à lui. Il se redresse, m’attire a lui en me prenant par les hanches. Je sens sa main qui doucement me caresse les fesses pendant que l’autre reprend la masturbation entamée dans le couloir.
Je me laisse totalement guider. Je suis un jouet entre ses mains. Il se penche alors vers mon sexe et le lape avec une sensualité jamais connue à ce jour. J’ai des frissons de plaisir partout dans le corps. Je gémis, caresse sa nuque et je sens mon gland disparaître dans sa bouche. Il commence à coulisser le long de ma verge, entamant une fellation de rêve.
Je plane complètement pendant que Matthieu s’active sur ma queue. Je sens monter la jouissance, je le ralentis. Il faut que cela dure toute la nuit.
Pendant qu’il me suce, Matthieu part explorer ma raie. Il immisce ses doigts dans ma raie et glisse vers ma rondelle. Je sens son majeur qui la caresse, la travaille un peu, puis me pénètre. Je pousse un râle de plaisir sous la caresse buccale et anale.
Sentant que je vais jouir s’il continue ainsi, Matthieu libère ma verge, et m’invite à m’agenouiller. Je m’exécute.
« Vas y, dessape moi » me dit t’il dans un souffle.
Alors sans retenue, je me jette sur ce corps tant désiré. Sa chemise vole en un instant, découvrant un torse dessiné, sans un poil, avec deux magnifiques petits tâtons bruns, gros comme une pièce de 2 centimes, mais avec une pointe ferme que mes doigts malaxent d’envie.
Ma bouche s’attarde sur ses pectoraux, ma langue ne se lasse pas de jouer avec ses deux pointes d’ébène au bout des têtons. Je respire à plein nez son parfum frais, citronné. Je glisse sur ses aisselles qui fleurent bon le déo de qualité mais également une légère pointe de transpiration, le rendant encore plus viril, excitant, désirable.
Mes mains glissent alors sur son pantalon et rapidement celui vole au milieu du salon avec ses chaussures.
Il est face à moi, juste en slip, un slip blanc a poche CK, le mettant magnifiquement en valeur avec son sexe bandé. Je glisse ma main dans la poche, cherchant la fente qui me fera accéder à son sexe. Je vais enfin pouvoir le toucher, le caresser.
Je rencontre sa touffe, drue, épaisse. J’ai toujours aimé les toisons pubiennes, puis rapidement je sens son sexe le long de mes doigts. Alors n’y résistant plus, je lui arrache le slip pour l’avoir nu devant moi.
Sa bite se dévoile d’un coup, claque sur ses abdos fermes et dessinés. Une bite superbe, de 19 cm, droite comme un I, un vrai pieu surmontant une paire de couilles lourdes, bien viriles, poilues, des vraies couilles de mec.
Je me penche alors sur ce sexe tant désiré et le prend en bouche pour l’honorer comme il se doit. Je suis agenouillé, entre ses cuisses et je pompe cette bite avec application et délectation. Je la fais coulisser dans ma bouche jusqu’à l’avaler toute entière. J’aime son gout légèrement salé, le parfum d’homme excité qui se dégage de sa toison. Je m’applique à lui donner tout le plaisir qu’il m’a déjà offert hier et ce soir.
Sa main se fait plus pressente sur ma nuque, il a la tête rejetée en arrière les yeux mi clos. Ma pipe lui plait dirait on. Il accompagne mon hochement de tête de sa main ferme tout en me caressant les cheveux. Je le suce à fond pendant 10 bonnes minutes, en alternant les gorges profondes, la pompe du gland, le léchage ou le gobage de ses deux grosses couilles. Il se détend de plus en plus gémissant de plus en plus fort, murmurant mon prénom avec une intensité grandissante.
« Arrête toi, je vais jouir sinon… » Me dit il le souffle court, luisant de sueur
Je lâche à regret cette verge luisante de salive. Il me relève et me retourne, empoignant mes fesses a deux mains et les écarte sans ménagement.
« Penche toi et montre moi ta rondelle ».
Aussitôt je m’exécute, offrant mon cul à sa langue experte. Elle pointe et commence un léchage de 1er choix. Je sens peu à peu mon petit trou se détendre et sa langue s’introduire plus avant dans mon intimité. Une fois encore, il sait me mettre en extase et je m’abandonne à lui.
Il se relève, la bite toujours raide, enfile une capote et vient se coller contre moi. Je sens son pieu le long de ma raie, il le fait monter et descendre, frottant parfois son gland sur ma rondelle sensibilisée par sa langue.
Ce frottement dure quelques instants quand sans me prévenir, il me transperce d’un coup de queue et me déchire le cul.
Une brulure insupportable m’envahit le ventre en même temps qu’un plaisir intense. Je crie de douleur et de surprise sous cet assaut anal brutal.
Il vient de m’enculer comme un mâle en rut, et me prend sans ménagement. J’ai mal mais j’adore sa bestialité.
Il me saisit les hanches et entame un limage profond et rapide, histoire de bien me chauffer le fourreau. Je cherche un point d’appui pour résister à ses coups de butoir dans mon cul et la seule possibilité, c’est la baie vitrée.
Je plaque mes mains sur la vitre et courbé en deux, pendant que je fais face à Paris, je me fais enculer par Matthieu comme un sauvage.
Lentement il ralentit la cadence de ses assauts, comme s’il avait voulu me montrer qui était le maitre du jeu et me soumettre a son bon vouloir. La douleur a fait rapidement place à un plaisir sans nom et sa queue me ramone divinement bien, tout en profondeur, en longueur et en volupté. Je le sens m’envahir au fond de mon ventre et son gland me frotte sur toute la longueur.
Il me lime lentement maintenant, profitant pleinement de ma croupe offerte et dédiée au plaisir. Dans le reflet de la vitre, je le vois prendre son pied à me caresser la nuque, le dos, à saisir ma queue pour la branler et la faire rebander.
Le temps est suspendu, et seul compte le mouvement de son corps contre et dans le mien.
« Tu aimes ? » me demande t’il en se couchant sur mes reins, « ca te plait de te faire prendre comme ca ? »
« J’adore ca Matthieu, j’aime qu’un homme me prenne virilement, comme tu l’as fait. »
« Alors viens sur le canapé, je vais te prendre par devant ».
Il m’entraine et me retourne, me jetant dos sur le canapé. Il me relève les jambes et sans ménagement, me pénètre directement. Mais là je suis prêt et son gland entre sans me faire souffrir.
Il reprend ses va et vient dans mon cul, joue avec son gland et ma rondelle. Je sens monter lentement mais surement un orgasme de folie en moi. Je n’ose pas me caresser de peur d’exploser de suite.
C’est lui qui prend mes « choses » en main et tout en me limant, il me branle avec une langueur insupportable presque sadique, sachant s’arrêter juste avant que je ne lâche tout !!!
Mais je sens bien que lui aussi est au bord de l’extase, les mouvements de son sexe en moi sont plus saccadés et d’un coup, je sens sa main se crisper sur ma queue et lui qui m’enfonce son pieu de chair au fond de mon cul. Aussitôt après, un flot de sperme jaillit et emplit sa capote, pendant que de ma queue jaillit un flot saccadé de semence chaude qui gicle sur son torse et le mien, aspergeant nos visages. Il se vide complètement dans un cri de jouissance intense et un dernier coup de butoir qui me transperce le ventre, avant de s’effondrer sur moi et de reprendre nos esprits.
Le temps semble suspendu, il n’y aucun bruit autour de nous hormis nos respirations qui retrouvent un rythme peu à peu normal.
Quand soudain ! !….mon portable sonne et brise ce silence
Il se retire lentement, me laissant comme un grand vide en moi. Il me sourit, tendrement, dégage une mèche de cheveux collés sur mon front par la sueur de nos ébats et me dépose un doux baiser sur les lèvres.
« Je vais remettre la bouteille au frais, histoire qu’elle se rafraichisse pendant que nous prendrons une douche ensemble » me dit il à l’oreille. « nous la boirons ensuite à nos amours … »
--tonton
--oui Norbert
--tu as vu l’heure je t’attendais , tu es ou ?
--chez Matthieu  , tu sais le mec qui ma branlé dans le RER
--oui je sais , c’étais pas prévu … une seconde Matthieu  me dit quelque chose
---Simon c’est qui ce Norbert ?
---Mon neveu chez qui je suis en vacances
---Ok ben demande lui de nous rejoindre ?
--Allo Norbert , tu veus bien nous rejoindre chez Matthieu  au 20 rue de la rose bleu ?
--Tu crois que je peu
--Bien sure , en plus demain c’est dimanche tu auras le temps de récupérer
--OK j’arrive
20 minutes plus tard , Norbert nous avait rejoint et que fut sa surprise de nous trouver a poils et tout autour de nous, le sol est jonché de nos vêtements jetés en vrac, témoins immobiles de la passion qui s’est emparée de nous.
--Bienvenue Norbert ,moi c’est Matthieu  tu as trouvé facilement
--enchanté , merci de votre invitation
--de rien ton oncle Simon devais te faire ta fête ce soir alors comme je l’ai retenu un vas la faire tous les trois.
--merci
--mets toi a poils et vient nous retrouver sous la douche
Norbert ne se fit pas prier et arriva sous la douche ,le regard de Matthieu voyant je jeune Norbert un mat de 20cm bien épais arrivé droit comme un pic cria « Putain ce que j’attend depuis des années  , je vais m’éclater le cul ce soir »
--Simon et ton neveu vous êtes bien monté
--Oui Matthieu et ce soir 2 pour 1
--Qui vas commencer ?
--Honneur au plus jeune
--Mais tonton tu as commencé continue le 1er
--Non ça sera toi et moi je m’occuperai de toi en même temps
--Dans ce cas…….

 

 


Pendant qu’il fait couler l’eau dans la cabine de douche Norbert et moi prenons le temps de l’observer.
Il est, sous ses traits fins et lisses, particulièrement bien proportionné. Rien n’est en trop, rien ne manque. Un grain de peau soyeux, une pilosité masculine, juste ce qu’il faut pour souligner son physique d’homme, mais qui laisse des larges espaces imberbes et lisses.
Il a aussi un fessier de rêve. Deux belles fesses fermes, avec cette fossette sur chacune d’entre elles qui me font craquer. Norbert ne peux résister à les toucher. Sa main se dirige vers ces deux bosses si excitantes et lentement en apprécie les formes, le toucher, la fermeté.
Matthieu semble aimer cette caresse, car j’entends un soupir d’aise. Il se laisse faire, et Norbert en profite pour m’approcher et se coller à lui. Il dépose sur ses épaules un doux baiser, pendant que ses mains enserrent ses hanches. Son dos se frotte à son torse imberbe, ses fesses frottent son sexe. Il ondule lentement, réveillant ses ardeurs au contact de sa peau et en respirant ses effluves de mâle après l’amour.
Norbert sent  son sexe qui se dresse entre ses fesses, et Matthieu de plus en plus insistant contre son pubis.
Soudain il bascule son torse en avant et lui présente son postérieur.
« Prends-moi Norbert, là maintenant » lui dit-il avec une force et un désir dans la voix qui me surprent.
Je vais pour lui préparer sa rondelle quand il me dit « Non Simon pas comme ça !!! A sec !!! Je veux sentir  Norbert m’enculer, me déchirer !!! »
« IL vais te faire mal » dis-je presque inquiet de sa demande
« Vas-y bon sang !! Encule-moi !!! Norbert »
Je dépose et étale un peu de salive sur son gland de nouveau gonflé de désir et le dirige sur sa rondelle poilue.
Il commence à le pénétrer quand il recule pour s’empaler sur mon sexe raide. Sa queue rentre toute seule dans son trou, presque trop vite, comme happée !!!
Il pousse alors un grand cri animal, primaire, de jouissance.
En deux secondes sa queue s’est enfoncée jusqu’au pubis dans son anus déjà frémissant, ne demandant qu’à être limé.
Alors il lui saisis les hanches et commence un limage en règle. Au début  pas trop vite, mais il en veut encore plus.

Je vois son regard dans le miroir et c’est celui d’un homme qui aime ce qu’il est en train de vivre. J’y vois toute sa jouissance, tout son plaisir à sentir une bite de mec dans son cul. A chaque fois qu’il s’enfonce dans ses entrailles, il pousse un « Aaaahhh » rauque de plaisir.
Il accélère le mouvement pour le satisfaire encore plus. Son sexe coulisse maintenant a merveille dans son ventre, et enchaine coup de bite sur coup de rein.
Ses fesses tremblent à chaque fois que son ventre les touches  .Je ma suis glissé dessous son ventre pour saisir sa queue Il s’agrippe a mes poigneés d’amour pour résister à ses assauts.
Je découvre un membre raide, dur comme la pierre !!! Il bande comme un fou pendant que Norbet l’encule.
Il aime se faire défoncer !!! Il m’a pris comme un dieu et il a un cul divin !!!
Je l’astique au rythme de son pilonnage et j’accélère encore mes va et vient. Les cris rauques sont remplacés par des « ouiii » saccadés et je sens d’un coup sa verge qui dans un dernier spasme se contracte et crache une purée chaude et épaisse dans ma bouche. Il avait encore de la réserve après m’avoir rempli le ventre sur le canapé !!!!
Un immense cri de jouissance jaillit de sa gorge, ce qui provoque l’ éjaculation  de Norbert dans son cul de rêve. IL lui féconde les entrailles en mêlant sa voix à la sienne.
Après ce second orgasme de folie, Norbert décule lentement, relevant Matthieu. Il sle retourne et le plaque au mur, lui roulant une pelle monumentale, pleine de fougue d’ardeur, de virilité, tout en le prenant les couilles et en les malaxant presque à lui en faire mal !!! Je le plaque contre moi et lui rend la pareille sur ses fesses encore chaudes de sa sodomie.
Il nous pousse alors sous la douche où nous sommes accueillis par un jet d’eau chaude.
Il continue malgré l’eau qui ruisselle sur nos visages et sur nos corps unis à nous embrasser à pleine bouche, couvrant nos corps, nos fesses et s sexes de caresses passionnées, comme s’il voulait profiter de chaque instant pour user et abuser de nous.
 Je me laisse entraîner par son désir, lui rendant caresse pour caresse, me frottant à lui avec la même passion dévorante. Il semble insatiable, comme s’il voulait rattraper un temps perdu ou profiter de cet instant pour faire provision d’amours masculines.
Malgré nos deux séances d’amour rapprochées, je sens que mon sexe entre ses doigts de Norbert ne demande qua repartir dans des entrailles. Mais auparavant, je vais l’honorer de ma bouche.
Je me dégage de son étreinte et glisse lentement le long de son corps, me retrouvant à genoux devant son sexe encore mou mais toujours gonflé de plaisir et de désir. Passant de Norbert à Matthieu
Je décalotte son gland lentement et le lape avec délice. Il sent l’homme, le mâle, la bête sexuelle. Je l’avale puis le suce avec attention, lentement, couvrant chaque parcelle de ce gland qui grossit encore dans ma bouche de baiser et coup de langue. Son sexe, pourtant épuisé par deux orgasmes successifs, se redresse peu à peu, m’obligeant à me redresser un peu pour suivre son ascension vers le nombril de Matthieu.
Et je pompe à fond son chibre énorme et dur une fois encore. Je pompe a fond cet organe qui m’a tellement donné tout à l’heure sur le canapé. Matthieu semble au bord de la crise cardiaque. Je sens toutes ses terminaisons nerveuses sur le point d’exploser, comme à vif sur son gland rouge et sa grosse queue qui me remplit la gorge.
Je suce sa bite avec délice, encore et encore. Je lui gobe ses deux couilles poilues pendant que mon majeur lui caresse et fouille l’anus de Norbert. Il essaie de me retenir. Je sens qu’il n’en peut plus de plaisir, mais je continue encore et encore à le sucer, jusqu’à l’extase.
Pendant 20 minutes au moins je le pompe à fond, et je sens là encore qu’il va jouir.
Mais dans un suprême effort, il réussit malgré tout à se dégager de mes caresses buccales. Je le regarde, presque déçu de ne pas l’avoir emmené jusqu’où bout, quand, sans ménagement, il me relève, oblige Norbert a ce courber pour que je l’encule a sec lui qui n’a jamais été sodomisé ,Norbert hurle  de douleur , Matthieu se positionne derrière moi, courber sur mon  dos , baillone  de ces mains Norbert et m’encule d’un coup, sans retenue, pour se livrer à une défonce comme rarement j’en ai connu.
Il me lime avec une telle vigueur et une telle violence que j’ai presque l’impression de me faire violer. Mais cette bestialité dans la sodomie me procure des vagues de plaisir anal sans précédent et je me soumets à son désir sans résistance.
Il m’encule comme un fou, me rentrant toute sa bite par grand coup dans le cul,et répercutant les mêmes mouvements dans le cul de Norbert  , défonçant littéralement 2 culs en une seul fois.
Cette sodomie sauvage ne dure que très peu de temps quand je le sens deculer d’un coup sec et venir gicler sur mes reins. Je fis de même dans la seconde . Aussitôt après, nous nous effondrons  de plaisir dans la cabine assis à terre la bite toute pantelante entre ses cuisses, le regard loin, le souffle court.
Norbert me tourne vers  nous et déverse après une courte masturbation ce qu’il me reste de foutre dans ses couilles, avant de glisser et de le rejoindre au sol de la cabine.
Je ne sais pas combien de temps nous sommes restés ainsi, l’eau coulant sur nos corps épuisés de tant de sexe, de jouissance et d’orgasme.
Au bout d’un moment, il me regarde enfin et me dit avec un grand sourire plein de tendresse et de complicité : « alors, on va la boire cette bouteille… »

Par simon - Publié dans : ma vie
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Mardi 25 mars 2 25 /03 /Mars 17:11

Ce matin , jour de Pâques malgré un temps incertain, j'ai décidé d'aller faire un jogging .

Je prévois un circuit de 8 km qui devrait me permettre de rentrer assez tôt pour prendre une douche et préparer mon repas , mon épouse étant absente cause hospitalisation ,

Mes prévisions étaient erronées. Sur les coups de 10 heures, au retour j'était à près de 2 km de chez moi, il est évident que je ne vais pas tarder à me faire saucer copieusement. Comme je suis dans mes réflexions un autre mec me rattrape. A peine m'a-t-il dépassé que la pluie se met à tomber avec force, une vraie pluie d'orage, soudaine, violente. En un instant, je suis trempé jusqu'aux os. Mon compagnon de route est dans le même état que moi bien évidemment et me précède de quelques foulés..il ralentit et je me retrouve a sa hauteur

----  un petit effort la maison au bout du chemin , c'est chez moi !

--- merci monsieur  ,car courir sous une pluie battante, même si on aime , cela n'a rien d'agréable !

--- Mais aujourd'hui, on est  bénis  garçon

Bien que sa maison soit proche, nous arrivons trempés et frigorifiés car cette pluie est glaciale. Une fois à l’intérieur, je lui indique la salle de bain et lui prête un peignoir. De retour dans la salle commune je lui sert un thé bien chaud et le fait asseoir sur un confortable canapé. je le laisse  seul, confortablement installé, au chaud, au calme et va à mon tour me doucher. 

 

 Ma douche prise, je reviens, m’assied à côté de lui.

---C'est bon d’être au chaud !

---Oui, c’est clair ! Je me voyais mal faire le reste du parcours sous ce déluge !

---ton prénom c'est quoi ? moi c'est Simon 62 ans

--- enchanté moi j'ai 20 ans et mon prénom est Hérvé

----T'habites loin ? On peut se tutoyer ?

---Oui bien sûr. J'habite à la cité des claires chênes.

---Tu comptes rentrer comment chez toi ? Tu peux téléphoner pour qu'on vienne te chercher si tu veux car je ne pense pas qu'il soit prudent de rentrer avec ces vêtements trempés. C'est un coup à attraper la crève !

---C'est gentil mais il n'y a personne chez moi. Je suis étudiant a Metz la semaine et vit seul.

---Je vois. Reste à la maison, moi aussi je vis seul cette semaine mon épouse est hospitalisé. Tu ne me déranges pas et en plus, ça me fera de la compagnie.

---Je ne sais si je dois accepter.

---Bien sûr que si ! De toute façon je vais laver nos habits et demain matin ils seront secs et tu pourras repartir à moins que quelqu'un t'attende…

C'est avec un large sourire plein de sous-entendus que je lui avait dit  ceci.

 Il me confirme "  je vis seul et que personne  m'attends ni aujourd'hui ni demain pas plus qu'après-demain ".

  je me lève, va mettre la machine en route et chercher dans le frigo de quoi nous faire un repas à la bonne franquette.

Bien calé dans ce canapé, ses paupières se font de plus en plus lourdes. Je le sens épuisé et agréablement bien dans ce lieu serein, chaud et accueillant.

Attaché a faire la cuisine, je sens une présence près de moi.

C'est Hervé qui est venu sans que je l'entende. Il est vrai que pieds nus sur ces tapis de qualité, en peignoir de bain, il ne fait aucun bruit en se déplaçant.

Pris par mon occupation, il me faut un moment pour réaliser qu'Hervé est tout près de moi.
Sa main effleure ma cuisse, son bras est passé derrière mon cou et son visage touche presque le mien. Surpris, je sursaute, ai un mouvement de recul. Le rouge me monte aux joues. Dans ce mouvement brusque, spontané, irréfléchi, mon peignoir s'ouvre offrant à sa vue mon intimité.

 Je deviens pour le coup cramoisi, tente de parler, . Bloqué, aucun son ne sort de ma bouche tandis qu'Hervé se rapproche encore plus près avec ce regard propre au chasseur qui sait tenir sa proie.

Je tente de m'écarter un peu plus lorsque je m'aperçois que son zob est raide comme la justice, quasiment à la verticale. Il est clair que son corps a un grand besoin d'être calmé, aimé, satisfait.

 en plus Il y a une bonne semaine que je n'ai pas joui !

Hérvé ne peus cacher son mat qui pointe  et ma dit " je ne pratique la masturbation que lorsque je ne peux plus faire autrement, j'ai souvent des érections spontanées ,et lorsque comme aujourd'hui je suis en chaleur, il n'est pas rare que le frottement de mon zob entre mes cuisses, lance ma purée sans autre action. Je sais que c'est idiot et que c'est une façon déguisée de me masturber mais je trouve cela moins salissant moralement que de faire ma lessive à la main. Question d'éducation certainement ! Oui, j'ai envie de faire l'amour ! "

---Cela se voit, Hervé je  vois.

---Mais le faire avec un homme, cela m'a rarement traversé l’ esprit, et lorsque cela est survenu j'en ai rejeté l'idée, quoique parfois…

C'est dans cette confusion d'esprit que je le sens se coller à moi, approcher sa bouche de la mienne et y poser un bisou. Fatigué physiquement, épuisé moralement, confus, troublé et, je dois bien l’avouer, excité comme il n'est pas possible, je ne le repousse pas.

Sentant ma faiblesse, mon trouble, mon indécision, sa main se pose sur ma cuisse, sa langue force ma bouche qui ne présente aucune réelle résistance.

 Nos salives se mélangent alors que sa main gagnant de l’assurance s'insinuent dans mon dos, sur mes épaules, sous mon peignoir largement ouvert maintenant. L'autre main, sur ma cuisse  remonte pour atteindre son but : mon zob qu'il commence à caresser.

 Je me sens à la fois honteux et heureux a mon age avec Hérvé qui pourait etre largement mon fils.

J'en rejette l'idée mais son contact, cette douceur me plaist, me font un grand bien.
Cette main sur mon zob, son lent va-et-vient, me procurent des sensations divines. Je défaille presque tellement tout cela est bon. Il défait ma ceinture, dernier rempart de mon habit et me voilà nu entre ses bras. Il me caresse la poitrine, lâche ma bouche pour me mordiller les tétons, les lécher, les embrasser. Je ferme les yeux, la tête rejetée en arrière pour mieux respirer. Quand je les rouvre, il a enlevé son peignoir. Il se lève, m'attire à lui. Passif, obéissant, apathique, je me lève comme dans un rêve. Il me prend par les fesses, me plaque à lui.

Cette position debout lui redonne du tonus. Il me semble qu'il  vient d'accepter ce qu'il  considérait comme l'inacceptable : faire l'amour avec un homme !

 Je suis très chaud, en manque, mon corps exige ce que mon esprit a du mal à accepter encore totalement. Plaqué à lui, c'est moi qui approche ma bouche de la sienne pour l'embrasser. Puis je descends sur son cou, l'embrasse, le lèche. L'envie de lui, de n'importe qui peut-être me guide, me fait agir, réagir enfin ! Je me lâche, mon besoin brise mes dernières résistances. Je me penche alors, le lèche, l'embrasse sur la poitrine. Le bruit de nos respirations se fait de plus en plus sonore. Tandis que j'arrive à son nombril, je réalise que j'atteins la limite des jeux enfantins. Plus rien ne peut m'arrêter maintenant. Je suis en transe, en rut, c'est mon animalité qui prend le dessus ! Je me laisse tomber sur les genoux. Lui me laisse faire, savourant certainement mes caresses mais surtout sa victoire sur ma timidité, mes craintes, mes complexes, mes interdits. Je sens contre ma gorge, son zob dur comme de la pierre. Il est là, tressautant, une goutte de pré-sperme à l'extrémité du méat. Je le saisis et sans hésitation le prends dans ma bouche. Je le branle lentement. Je lève les yeux. Il me sourit reconnaissant, satisfait, heureux. Je lui caresse les bourses. Sa respiration s'accélère. C'est lui maintenant qui ferme les yeux, cherche un nouveau souffle. Je me relève, le prends dans mes bras et lui plaque un baiser tout aussi passionné que mon éreinte.

  • Je savais que tu étais un garçon merveilleux. Aime-moi fort. J'ai envie, très envie.

Soudain, il me semble aussi troublé que moi. Nous sommes sur la même longueur d'onde, en phase. Il connaît les mêmes problèmes que moi, les mêmes envies, les mêmes frustrations. J'en suis sûr ! Vivre seul, tout seul, n'est pas bon pour la santé. Ca peut rendre fou ! Comme nous par exemple en ce moment. Ma décision est prise,

                                                                          je vais faire l'amour avec un minet ! 

                      Il vas avoir un rapport sexuel avec un papy!

Il vais m'aimer pour de vrai ! Peut-être pas par sentiment, mais par un besoin naturel, irrépressible.

                          Toute son éducation, toutes ses résolutions, toutes ses expériences, plus rien n’existe.

 Faire tout ce dont son corps a envie, sans tabous, sans interdits.
                                                                                               Aimer simplement. Aimer et prendre son pied !
                                C'est un besoin, pourquoi pas avec un papy ?

IL redescends et s’agenouille. Prends mon zob, le lèche avec tendresse .

 Je tente de lui communiquer mon plaisir. Ensuite il s'occupe de mes glaouies, de mon gland sur lequel il dépose de tout petits baisers. Ses mains parcourent mes fesses, l’arrière de mes cuisses. Il revient à mon zob, l'avale, vais et viens, prend garde à ne pas lui faire mal avec mes dents. Il joue avec mon gland, ma hampe. Il s’efforce de garder un rythme régulier pas trop rapide.

Mes mains  caressent ses cheveux, lui prennent la tête, lui poussent plus avant. Il a du mal à avaler entièrement son zob et se branle dans ma bouche pendant de longues minutes avant d’exploser.

Son sperme chaud se répand sur ma langue, contre mes joues, coule au fond de ma gorge, déborde sur mon menton. J’avale. Nettoie son pieu, son gland méticuleusement. Il se laisse tomber sur le canapé. Je m'allonge à côté de lui, l’embrasse tandis qu’il me branle lentement. De sa main libre, il me caresse les fesses, se focalise sur l’entrée de mon anus. Après quelques minutes de ce traitement, je jouis à mon tour. Nous sommes épuisées, heureux, apaisés.

---J'ai adoré.

---Moi aussi.

---Tu sais ? C'était la première fois avec un papy !

---Vrai ?

---Vrai !

---Ca me fait tout chose. J'espère ne pas avoir été trop brutal, assez prévenant !

---Oui, t'as été super ! . Je suis heureux.

--- ah! putain j'avais vraiment besoin d'une bonne vidange

---Mais dis-moi, tu as déjà fait l'amour quand même ?

---Non !

---Mais les filles ?

---Non ! Des flirts, quelques pelotages de poitrines, quelques baisers mais rien de plus.

---Alors t'es puceau ?

---Oui, complètement. Et c'est toi qui m'a dépucelé.

---Oh, non ! Pas encore ! Mais si tu veux, ce sera avec plaisir !

---Tu m'as fait gerber, ce que personne ne m'avait encore fait. Pourtant…

---Oui, c'est vrai, mais dépuceler c'est plus que ça !

--- ...........… ?? (pas de réponse)

---Tu veux que je te montre, nous sommes dans une position idéale.

---Pourquoi pas ? Mais fais doucement, je suis vierge tu l'as compris ?

---Bien sûr ! Je vais te faire connaître un grand moment !

---Tu fais doucement !

---Oui

Sur ce "oui" dit dans un murmure je me dégage, le fait mettre sur le ventre commence à lui caresser le bas du dos, les fesses. 
 Je lui  introduit un doigt dans ma raie, presse légèrement sa rondelle tandis qu'avec ma langue je déclenche en lui une vague de plaisir aussi puissante qu’inattendue. Ma salive s’infiltre en lui.

 Mon doigt, si j'ose dire, creuse son trou en ce lieu qui se dilate lentement. Une érection un peu douloureuse se fait sentir sous ces sensations inconnues, intenses. mon doigt le pénètre.

 Quelque chose en lui refuse cette intromission, il se contracte.

 Alors Hervé, se retire, je lui dis "  décontracte toi,  ne pense à rien, laisse faire,  c'est normal la première fois et  nous avons tout notre temps. "
 --- si nous n'y arrivons pas maintenant, nous réessaierons plus tard.

 je fait preuve d'une patience exemplaire.
 Hérve fait des efforts pour être le plus décontract possible, car au fond de moi, de minute en minute, l'envie d'aller plus loin augmente. Mon doigt est maintenant entièrement dans son trou et mes mouvements de "crochet" contre la prostate sont des révélations de plaisirs jamais connus et fantastiques. j' entre, ressort, 'écarte les fesses et dans son trou  s'ouvre de plus en plus je crache ,huilant de plus en plus profondément.
C'est alors que lui dit "  Ne bouge pas, je reviens. "

Il est allongé sur ce canapé, détendu, décontracté, expectatif, en attente de la suite.

  herve_2008.jpg Jamais en entrant ici, il n'aurais cru faire autant de découvertes, avoir autant de plaisirs et surtout découvrir la joie de faire l'amour autrement qu'en solitaire. Durant cette pause, courte de fait, il medit "j'ai l'impression que mon corps s'ouvre de plus en plus . Je suis entre réalité et rêves, dans un monde fait de bien-être, de douceur, d'amour ".

 Tandis que  rêve éveillé Hervé  je reviens  et reprend son dépucelage où je l'avait laissé.
 Mais cette fois, c'est une pommade qui a remplacé ma salive et tout change du point de vue des sensations. mon doigt entre, ressort, tourne, coulisse dans ses boyaux sans aucun frottement. C'est délicieux ! Non ! Il n'y a pas un mais deux doigts maintenant qui font le voyage dans son intimité.
 De constater ceci me remplit d'une joie que je ne saurai décrire. C'est comme une victoire, une récompense pour tout le travail préparatoire que laisse  faire Hervé ,avec douceur et patience, la fin d'une attente quasi inconsciente . Longtemps encore je le doigte. Dans le silence, le calme de cette pièce, sous mes caresses intimes Hervé, petit à petit , perds la notion du temps, de la réalité. Je le baigne dans une douce euphorie. 

 

Soudain j'ai cessé de travailler sa rondelle. je me redresse, m’allonge sur lui.

Comme il réagis à ce changement qui le sort de sa léthargie, je lui lèche une oreille en lui chuchotant des mots doux, des injonctions à rester calme. je lui dis " je t'adore, tu es beau ,tu vas connaître les joies de ne  plus  faire qu'un avec moi.
Tout en disant ceci, je m'écrase un peu plus de mon poids et je sens distinctement mon zob prendre la place de mes doigts et commencer son intermission.

Première réaction : il serre les fesses.

D'autres chuchotements pour lui demander de rester calme, décontracté.

JE  fais ce que je peux, dit-il  mais c'est d'abord une douleur plus qu'un plaisir que je ressens. Je commence à regretter d'avoir accepté cette expérience que je désirai tant.

A peine ses pensées apparaissent que de nouvelles sensations viennent les chasser.  herve2_2008.jpg
Je m'enfonce en lui, ses boyaux s'ouvrent devant mon zob .

 C'est un feu d'artifice. Plus de douleurs, plus de regrets ! Hervé participe aux vas et vient avec moi , lentement, profondément, il ne sais plus où il  habite, et ce qu'i ressens précisément. 

 Je réagis bestialement. son corps  m'appartient . Nous ondulons en cadence. Nos respirations sont profondes, haletantes, en rythme l’une avec l’autre. Je glisse mes mains sous mon bassin, le relève et c'est en position de la levrette que je le baise. Il gémis de plaisir.

Je sens que ce plaisir augmente encore et encore tandis qu'Hervé complètement libéré me réclame plus en plus d'énergie. Je voudrai que ce moment ne s'arrête jamais.

---arrete Simon je voudrais aussi te prendre

ma main pris la bite d"Hérvé et le branla energiquement pour la faire raidir comme de la pierre et dans une souplesse majestueuse je me retrouva sous Hérvé

  Hervé entre entièrement en moi et je voudrais qu'il y reste pour toujours ! 
il va éclater, il est énorme, immense, douloureux ! Nous sommes en sueur.
Je gémis sans retenue pousse des cris d'encouragement pour qu'Hervé me baise sans fin.
Qu'il tienne ! Mon dieu, qu'il tienne ! Que jamais ce plaisir, ce bonheur ne cessent ! Il dure, il dure, cesse quand Hervé pousse des cris sauvages, libérateurs et que je sens pour la première fois son liquide lancé avec force, par saccades se répandre en moi, prendre possession de mes boyaux, emplir mon ventre.
Il envoie son yop sans contrôle, sans retenue
 Ma réaction ne se fait pas attendre. . Je ne sais plus qui je suis, où je suis. Je ne suis que bonheur, plaisir, satisfaction, épuisement.
 Hervé se couche sur moi, nos corps se colle ,et me prend dans ses bras. Nous nous écroulons et restons  ainsi de très longues minutes enlacés, sans mot dire !

Ce soir je couche avec Hervé, nous dormirons ensemble.

A suivre…

Par simon - Publié dans : ma vie
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Mardi 18 mars 2 18 /03 /Mars 15:18
ce soir chez moi beaucoup d'invités , car  en ce jour de St Patrick  ,je suis entouré de ses meilleurs amis , lui qui a son anniversaire  ( 22 ans )et sa fête en même temps.

mais voila Patrick est sorti chercher son nouveua copain et n'est toujours pas revenu , ses 5 copains boivent les wisky  et la bièrre que je leurs ai mis a disposition ,les discussions vont bon train et les esprits  s'échauffent,




pokerboyz_1.jpg  

Claude 20ans  dit :

 -- et si on se faisait un petit poker ?,

 --ok mais on joue quoi? replique Alain tous juste 18 ans.
 -- le perdant se fait sodomiser
 --ok  je prend le risque










les trois autres passent dans la piece voisine   chezpapy.jpg    

Fabrice 23 ans demande a son ami Pierre 23ans

--et si on  dépucelé Gérome 25 ans ?, 

Gérome hétéro ,marié ,père de 2 jumeaux etait venu car Patrick était son meilleur copain.

-- essaye je te suis s'il marche   






Fabrice se leva et s'inclina pour descendre ouvrir la fermeture du pantalon de Gérome qui ne fit rien pour l'empècher   
chezpapy1.jpg

Pierre compris de suite que ça allait fonctionner et se mis a masturber Fabrice a travers de son pantalon tous en dégraffant la ceinture.




Sans un mot Gérome se laisse faire





pokerboyz_2.jpg   :


par contre Claude  au poker  ça marche fort
 

si ça continue  je vais etre a poil dit le jeune alain

a qui  une demi heure plus tard  il lui reste plus que le slip








ça commence a chauffer pour Gérome chezpapy2.jpg








Fabrice suce Gérome et celui-ci a pris volontier la bite de Pierre en bouche

pokerboyz_3.jpg  Alain vient de perdre son slip , intégralement a poil  il lance 
ben je sais pas c'est peut etre mon jour de chance Claude

--oui et tu sais ce qui t'attend ?

-- bien sure je vais me faire péter la rondelle

--tu as fais espret de perde?

--honêtemant OUI depuis que j'attend que tu me sautes

--salop et bien tu vas dérouiller.......


par contre Gérome   Y prend gout  , undefined  

Pierre et Fabrice ne pensaient jamaisqu'i etait un super suceur

pokerboyz_4.jpg   le gagnant  Claude prend sa récompense

ah! ouiiiiii encore tres bien encore encore tu ma dépucelé et j'ensuis fière dit Alain


chezpapy4.jpg
Gérome suplie  
alors vous allez me le donner votre venin?
passant d'une bite a l'autre sans relache








qui jutera le 1er?
les pantalons sont tombé chezpapy5.jpg
Gérome l'hétéro de service maintient la cadance


Fabrice prépare un préservatif  et dis a Pierre
-- il est bien chaud on le baise?

NON NON hurle Gérome pas ça.


--D'accord dit Pierre moi je veus bien me faire baiser
Fabrice encula Pierre  et Gérome viangea dans la bouche de Fabrice.

Gérome promis que la prochaine fois il essayera la sodomi car dit il

marié oui mais je crois que vous les mecs vous m"avait fait découvrir une autre manière d'aimer


chezpapy7.jpg

pokerboyz_5.jpg  Alain dit :
t'inquiete tu l'auras ta revanche.







Ca  a donner faim tous ça



alors le gateau d'anniversaire il arrive?
  
--ben oui mais Patrick n'est toujours pas de retour leurs dis-je
le portable sonne
--ah! c'est toi , mais qu'est-ce-que tu fou ça fait 2 heures que l'on t'attend?
--je suis de retour depuis longtemps
--tu te fou de la gueule de nous tous là
--Non tonton je suis passer par la porte de derrière pour ne pas déranger ils avait l'aire de bien s'amuser.
--et ton nouveau copain il est ou?
-- avec moi tonton
--ou avec toi?
-- DEVINE?
alors je dis a tous ces copains , la meilleur vous devinerez jamais ou est Parick ? suivez moi?
je me dirigea avec c petit monde a poil vers la chambre et en ouvrant la porte  je leurs cria  ' a l'abordage ' surpris_au_lit.jpg  et la fête repartit de plus belle.........
Par simon - Publié dans : ma vie
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Jeudi 13 mars 4 13 /03 /Mars 13:36

Plan à 3 avec un petit hétéro une idée de mon amant 

Ce week-end  9 mars jour d’élection municipal mon amant Sébastien me demande de l’accompagner chez son beau frère.

Quand nous arrivons, c’est Fabrice et chien qui nous accueillent.

Odile n’est pas c soir car elle est de garde toute la nuit.

Tant mieux  "  me dit Sébastien on va un peu pouvoir profiter de Fabrice, voir ce qu’il a dans le ventre, et qui sait, dans le pantalon ! et ajoute

Oui, je ne m’en cache pas, Fabrice me plait depuis la première fois où je l’ai vu. Physiquement il est exactement mon type (après toi bien sur ), plutôt petit, mince, les yeux bleus, les cheveux châtain clair, une vraie petite crevette ! D’ailleurs j’ai d’abord pensé qu’il ne pouvait pas être hétéro. Non pas qu’il soit efféminé, mais physiquement il a un truc qui ne colle pas avec son hétérosexualité… Et pourtant il parait que c’est un chaud et qu’il se tape tout ce qui a une chatte entre les jambes…même si maintenant qu’il est avec sa copine il est calmé parait-il ! "

--tu as raison Sébastien fait ce que tu as envie.

--merci Simon , tu es un amour ,donc, je vais en profiter pour en savoir un peu plus. Je suis sûr que Fabrice a déjà couché avec un garçon, ce n’est pas possible autrement ! Moi quand j’ai une idée en tête…

Nous prenons l’apéro et discutons de choses et d’autres. L’alcool facilite la conversation.

Oui il faut dire également que se Fabrice me plait beaucoup physiquement

C’est un petit " jocker " comme dit Sébastien, un petit plaisantin qui ne cesse d’amuser son monde et j’avoue que je n’aime pas trop ce type de mecs.

Après l’apéro, Sébastien profite pour s’isoler avec Fabrice dans la cuisine sous prétexte de l’aider à préparer le repas.

Moi je reste sur le canapé et observe tout en écoutant le débat.

Il le branche un peu cul et essaye de l’allumer pour voir comment le petit beau frère hétéro va réagir à ses assauts de prédateur.
-" Tu ne vas pas me dire, Fabrice, avec toutes les filles que tu t’es tapé, que tu n’as jamais pensé à essayer avec un mec ? Pour voir ?
- Non ! T’es dingue, je ne suis pas un PD moi !
- Mais personne a dit que tu étais PD, je te demande simplement si tu n’as jamais fait touche-pipi avec un garçon ??? -C’est pas pareil que d’être attiré par les garçons quand même !
- Pourquoi tu me demandes un truc pareil aujourd’hui ?
- Ben parce que je te trouve plutôt mignon , et que je pense que je ne dois pas être le seul mec à le penser !
- T’es con ! Je suis petit et tout maigre, exactement l’inverse des mecs qui font la couverture de Têtu et qui vous font rêver vous les PD !
- Parce que tu t’intéresse à Têtu toi ? Là t’es vraiment obtus ! Les mecs musclés moi ça me fait débander direct et je ne pense pas être le seul dans ce cas. Il faut arrêter avec les clichés…Enfin revenons à nos moutons et réponds plutôt franchement à ma question, tu as essayé avec un garçon ?
- Pfeu…
- Aller, avoue, au moins une petite branlette avec un cousin ou un ami quand tu étais ado ! Qui n’a pas fait ça !
- Non jamais, t’es obsédé ou quoi ?
- Bon bon, je te crois. Mais alors dans ce cas dit moi si tu as au moins déjà eu envie d’essayer ???
- Je couche qu’avec des filles bordel !
- T’énerve pas, si tu t’énerves c’est qu’il y a un truc pas clair dans ta tête ! Je suis bien placé pour savoir de quoi je parle, j’ai couché avec des filles pendant trois ans avec de décider que je préférais les mecs !
- Ah bon ??? T’as fait ça , toi ?
- Ben oui tu vois, on n’est pas si différent en fait !
- Sauf que moi je ne couche pas avec des garçons maintenant…et c’est vrai que puisque tu tiens absolument à le savoir, j’ai souvent eu envie d’essayer…Mais c’est juste parce que j’aime le sexe et que je suis curieux…
- Ben tu vois, ce n’était pas si difficile à dire. Et tu n’es pas le seul hétéro curieux, je te rassure ! La plupart des hétéros qui sont à l’aise avec leur sexualité ont été curieux un moment ou à un autre. Après ils n’osent pas tous passer à l’acte. C’est idiot ! "

Sébastien continue la conversation commence à bien chauffer Fabrice en lui parlant cul. Puis tente une approche plus directe. fabrice_1.jpg

Fabrice est devant la cuisinière à remuer la sauce des pâtes avec une cuillère en bois. Sébastien est juste derrière lui et pose une main sur ses hanches. IL s’attend à le voir sursauter, voir même s’en coller une !

Mais non au contraire, il se décale imperceptiblement pour coller son petit cul contre la bosse du pantalon de Sébastien bien visible.

Sébastien l’embrasse dans le cou. Il se laisse faire, c’est étonnant, il n’a bu que deux verres de Whisky pourtant !

Fabrice finit par réagir :
"-Et Simon ? S’il débarque dans la cuisine pendant que t’es en train de me ploter le cul !
- T’inquiètes pas pour lui, il est au courant que j’allais essayer de te dragouiller…mais je ne suis pas sûr qu’il puisse se douter que cela ait aussi bien marché !
- Putain mais c’était prémédité !
- Non Fabrice, Simon a toujours su que tu me plaisais, et ça depuis la première fois où je t’ai vu. Et il savait que si j’en avais l’occasion je tenterais ma chance !
- Putain vous les PD vous être sacrement gonflés quand même ! Tu me dragues quasiment devant ton mec !
- Ne t’inquiète pas, si tu as les couilles de passer à l’acte, là ce soir c’est le moment où jamais, Simon participera à la chose ! Je ne crois pas que tu sois son genre, mais t’inquiète, je m’occuperais bien de toi pendant que lui s’occupera de moi.
- Tu me proposes un plan à trois maintenant ?
- Aller ne fait pas ta vierge effarouchée ! Tu ne vas pas me dire que tu n’as jamais couché avec deux filles en même temps ?
- Et bien non jamais ! Je suis désolé de n’être qu’un pauvre petit hétéro un peu limité dans sa sexualité !
- Aller calme toi mon petit chat, tu mets le repas de côté et on y va pendant que t’es chaud ? Tu auras encore plus faim après, tu verras. "

Sébastien ne laisse même pas le temps à Fabrice de répondre .Il approche son visage du sien et lui roule une pelle bien virile pour qu’il sente que baiser avec un mec, c’est bien différent !
ILS reviennent au salon . Sébastien tient Fabrice par la taille.

Assis sur le Canapé, le regard lubrique j’ai compris qu’il avait gagné le challenge, on va se taper le petit Fabrice !!!

***
Nous montons tous les trois à l’étage dans la chambre du couple. Il ne faut pas trainer pour ne pas qu’il change d’avis. Nous allons bien nous occuper de Fabrice.

Sébastien continue de l’embrasser, fabrice_3.jpg il semble bien qu’il apprécie ce genre de baisers appuyés. Moi , je suis passé derrière lui, l’aide à retirer son tee-shirt puis ses mains glissent sur le corps de Fabrice pendant qu’il continue à l’embrasser.

Sébastien change de bouche et m’embrasse pendant que je caresse l’entrejambe de Fabrice qui m’a l’air en grande forme.

Sébastien se mets à genoux devant lui. Je dégrafe son pantalon, baisse un joli boxer noir, et découvre une belle bite bandée d’environ 18 cm. Sébastien la prends en bouche sans attendre. fabrice_4.jpg Il ne faut pas laisser refroidir le petit hétéro. Il le suce bien à fond. Son gland vient racler le fond de sa gorge pendant que je tripote ses couilles rasées. Quel petit cochon ! Un hétéro qui se rase les couilles !

Je me suis déshabillé et m’approche pour que l’on s’occupe un peu de sa queue. Sébastien la prends en bouche pendant qu’il continue à branler Fabrice avec une main.

Les deux queues en main qu’il branle en même temps., s’amuse à frotter les glands l’un contre l’autres et à les mettre ensemble en bouche.

 

 

Maintenant à son tour se déshabille. Nous allons sur le lit pour être plus à l’aise.

Sébastien s’agenouille devant Fabrice , lui faisant signe qu ‘il a bien envie de se faire sucer aussi.

Fabrice hésite.

Moi je commence à le sucer pour bien l’exciter.

Fabrice se décide enfin !.

Il s’y prend plutôt bien même si au début il n’ose pas se l’enfoncer très loin. Mais il prend confiance et se débrouille plutôt bien !

Fabrice se mit a parler tous haut "  Putain et dire que c’est la première bite je prend en bouche ! Je viens de me dépuceler la bouche C’est sûr que pour une première fois je suis gâté, sucer et se faire sucer en même temps, c’est quand même pas mal ! ".

Nous sommes plutôt bien partis mais Sébastien aimerait bien lui faire gouter un autre plaisir. Je le compris quand il me demanda de m’ allonger sur le dos, et dit à Fabrice de venir se mettre tête-bêche à quatre pattes au dessus de moi. un 69 parfait devant lui.

Je crois que décidément le petit Fabrice aime bien sucer. Sébastien ne reste pas spectateur bien longtemps. Il m’agenouille derrière Fabrice et commence à lui caresser les fesses et les couilles pendant qu’il se fait sucer par moi .

Tu as vraiment un joli petit cul même s’il a un peu de poils

Sébastien se décide enfin à lui fourrer sa langue entre ses fesses.

Je sens un frisson parcourir son corps.

IL commence à lui bouffer le cul. D’abord gentiment puis commence à se faire plus insistant en glissant sa langue au plus profond de son intimité. Une fois qu’il est bien humide, il risque très délicatement un doigt qui rentre sans problème…

Je crois que notre petit hétéro a envie de se faire péter le cul.

Et effectivement Fabrice libère ma bite pour mieux se cambrer et indique le chevet où se trouve une boite de préservatif.

Sébastien en enfile un rapidement , crache dans sa main pour lubrifier sa queue. Et positionne son gland entre ses fesses. IL rentre avec beaucoup de douceur juste le gland et fait de tous petits mouvements pour qu’il s’ouvre tout doucement. fabrice_6.jpg

Sébastien n’a jamais dépucelé un garçon lui qui en temps normal n’est que passif et pour ça première encule un hétéro alors il prend toutes les précautions possibles. Il rentre centimètre par centimètre, sans précipitation. Finalement c’est Fabrice qui d’un coup de rein se la rentre bien à fond.

Sébastien comprends qu’il en veut et se mets à l’enculer avec plus d’entrain.

Moi je continue a la sucer je lui griffe le bas ventre, lui bouffe les couilles

Sébastien l’embrasse dans le cou puis il tourne sa tête pour me rouler une pelle. Il gueule bien, il a l’air d’aimer ça.

Au bout de quelques minutes il pousse de grands cris et se contracte violemment. IL est en train de décharger dans ma bouche , et j’avale le flux abondant pour un hétéro marié.

Pas étonnant pour une première fois la stimulation de la prostate doublée de la fellation n’ont pas tardé à faire jouir notre petit hétéro. Sébastien décule tout doucement et retire le préservatif.

Nous laissons Fabrice reprendre ses esprits pendant que lui et moi continuons le jeu à deux. Il il me retourne et ma positionne a quatres pattes, depuis 3ans c’est la première fois qu’il me prend , fabrice_8.jpg lui qui me disait toujours " Simon je suis ta pute ". Pas besoin de préservatif avec lui, c’est quand même meilleur !

Mais d’habitude c’est lui qui en prend plein le cul , maintenant je sais que l’on vas pouvoir s’aimer autrement .

Fabrice nous regarde et ne dit rien. Il s’approche pour nous embrasser mon chéri d’abord puis moi. Il se met à me branler. Fabrice semble fasciner par le spectacle de la queue de son " boff " qui glisse entre mes fesses .

Fabrice mis un préservatif et nique ton beau frère en même temps lui dis-je

Pas ce soir j’ai une autre faim

Nous éjaculons alors tous les deux en même temps Sébastien dans son cul et moi entre les mains déjà expertes de notre petit branleur hétéro !

Quel super plan à trois ! Nous allons à la douche en silence, Fabrice d’abord puis mon chéri et moi ensemble. Fabrice ne s’est remis à parler qu’une fois à table. Pour lui qui parle beaucoup d’ordinaire…

Mais ce n’est pas étonnant Sébastien et moi pensons qu’il a bien pris son pied et imaginons dans sa tête le mélange d’interrogations coupables et de doutes.

Il nous prends dans ses bras et dépose un tendre baiser sur nos joue :
" - Ne soit pas triste bonhomme ! C’était pas bien ?
- Si au contraire, je crois que c’était même trop bien ! , , je vous réinviterai plus tard….. "

Nous rentrions a la maison , satisfait de notre soirée , bien excité , je baisa Sébastien toute la nuit

lui le super passif qui a progressé en se montrant mâle , lui dans le passé n’arrivait pas a garder une érection devant mon cul , maintenant il faut que je devienne sa femelle , je ne regrette pas j’adore……..

Par simon - Publié dans : ma vie
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Vendredi 22 février 5 22 /02 /Fév 15:50

9 février 2008

Je venais de quitter Mehdi après ces 5 jours de vacance (voir article précèdent) la tristesse qui m’envahissait s’affichait sur mon visage …....
encore 15 min avant l'embarquement , de loins je ne quittais pas du regard Mehdi resté hors de la zone de sécurité et qui ne rentrera chez lui que quand l’avion aura décollé. Sur le banc je tournais et retournais la revue gay que j’avais prise pour le voyage , un mec en costard, s'assit à coté de moi, 2 min plus tard je remarque qu'il me mate avec insistance….avait-il remarqué ce que j’avais en mains..
Je le regarde il me demande " vous allez à Paris " .

Je répond " oui "' et me replonge dans mes journaux.
L'hôtesse annonce l'embarquement, on monte. Le vol est assez plein...

Dans l'avion.

Une fois ma ceinture bouclée je remarque que le mec est sur la même rangée que moi mais à l` opposé,
on est donc chacun côté hublot opposé... séparés par l'allée, centrale et des gens entre nous... je me baisse pour le mater, et je remarque que lui aussi...
Chaque fois que je regarde dans sa direction il me fixe

C’est excitant…..... mais je ne pense qu’a Mehdi qui me manque déjà.

Atterrissage à Paris.

Ma voisine attend a son siége pour descendre... je vois que le mec attends lui aussi alors que personne ne l'empêche de descendre, lui...
Ma voisine sort finalement dans l'allée. Il me fait signe de passer avec un petit sourire en coin...
Je passe donc devant lui il se colle ni vu ni connu derrière moi...
Je me dis "  je ne me suis pas planté ce mec me cherche:-)

On descend. Dans le hall , avant d’aller récupérer mon bagage , je fait un écart et rentre au toilette , il me suit, on pisse, l'un à coté de l'autre, je matte d’un œil sa bite toute mini et pourtant à demi bandée , on dirait........
Je regarde le liquide sortir, ça commence vraiment à m'exciter de voir un si beau mec , avec un coquillette , moi qui suis gourmand de belle bite.

2008_felix.jpg
IL me demande : "  on fait quoi ?"

Je lui répond: " sais pas "
Il me montre les chiottes derrière et m’invite à le suivre , avec un grand sourire.
Nous voila dans les chiottes (très propre par chance..) on sort nos queues,
il a une bite encore plus petite que je pensais probablement 12 ou 15 cm au plus
( j`exagère pas du tout, elle est aussi petite et fine comme mon pouce, ( je pensais pas que ça puisse exister..)

Je le regarde il a un sourire hallucinant... on se suce mutuellement...
J'arrive à prendre juste le gland et quelques centimètres au dessus ,je suis déjà aux couilles très lourdes..
C'est tellement mini, je le lèche, le branle avec deux doigt ,c'est tellement excitant,
Quand à moi je sais pas quoi faire pour me retenir, je vais venir...
Il me suce super bien aussi.
On s'embrasse...
Il me dit à l'oreille :  " I just come inside " je parle pas anglais mais j’avais compris.
Je lui dit "  vu la taille de ton truc c’était même pas la peine d’espérer dans ces chiottes …...ni même sans doute ailleurs, . "..
-- non non moi vouloir toi

Je lui dit "  désolé j’ai juste le temps de rejoindre la gare de l’Est pour reprendre le TGV

On a donc continué a se sucer, puis je me suis finit dans sa bouche, J'ai éjaculé en me retenant pour pas gueuler... Il m’a embrassé dans le cou m'a roulé une pelle d`enfer et m’a remercié .

Il est sortit le premier...

Quand je suis arrivé aux bagages il était déjà là et il n'y avait que nos deux valises qui tournaient en rond sur le tapis. Il m'a sourit encore... Et on s'est perdu de vu à la sortie...

OUF heureusement que Mehdi était dans mes pensées...je n’ai pas trouvé la fin du retour trop long……..

quelques jours aprés

Monsieur Paul est un vieux cochon voyeur et exhibitionniste comme moi.

Nous avons à peu près le même âge, 62 ans, BCBG, comme on dit et, sans être hideux, nous avions perdu l'un et l'autre le charme physique de la jeunesse.

Nous partagions en tous cas les mêmes fantasmes et, par voie de conséquence, bien souvent, les mêmes garçons.

Nous aimions par-dessus tout les jeunes et beaux blacks et beurs , bien pourvus entre les cuisses

Nous nous installons régulièrement sur la place face au lycée , faisons notre choix et si le marché était conclu dans de bonnes conditions, nous en ramenions un ou deux chez Monsieur Paul ou chez moi.

Nous aimions les accueillir gentiment, les regarder, 13775.jpeg les peloter, les déshabiller, en leur demandant de s'exhiber au maximum, les tripoter en nous roulant des pelles à trois ou quatre bouches, chaque fois que possible.

Ensuite, Monsieur Paul adorait qu'un jeune et bel athlète bien monté, arabe,ou noir, nu, l'encule sous mes yeux et sous mes caresses.

Sans compter qu'il se sentait davantage en sécurité, ça décuplait son plaisir que je sois là à les regarder, les flatter, à toucher de longues et grosses queues bien dures dans sa bouche ou son anus.

C'était aussi extrêmement jouissif pour moi quand, à cheval sur mon visage, le jeune étalon défonçait le cul de l'homme mûr qui jouissait de partout. Je contemplais leur plaisir, j'y participais, je voyais la saillie, la touchais, la léchais. Je gobais parfois les couilles; je mettais, d'autres fois, un doigt dans l'anus distendu de Monsieur Paul, le long du gros zob qui le faisait haleter et râler de joie.

Souvent les jeunes eux-mêmes se prenaient au jeu et, avec volupté, se regardant baiser dans les glaces que l'un et l'autre  avions autour de nos lits, ils adoraient s'exhiber à fond dans des positions vraiment obscènes pour contenter ces deux vieux pédés sympas et salopes qui étaient gentils avec eux et savaient faire se lâcher les mâles qu'ils étaient.

Le cul de Monsieur Paul était chaud, profond et serrait bien les grosses pines des maghrébins, ou africains qui se relayaient dans son trou, dans nos lits et dans nos bras. Les hétéros et les bisexuels qui se laissaient aller à le saillir devant moi comparaient toujours son fion aux chattes gourmandes de leurs  copines.

Chaque fois que possible, parce que j'adore ça, il était convenu que les jeunes mâles, au moment de gicler, sortent du cul de Monsieur Paul, enlèvent la capote et viennent m'inonder le visage de sperme chaud. Monsieur Paul y rajoutait souvent son propre foutre. En général, je jouissais alors bruyamment par moi-même, tandis qu'ils me caressaient tous deux les couilles, les fesses, le cul.

Quand nous prenions deux garçons, notre plaisir était aussi de les voir faire l'amour entre eux. 15042399.jpg

Nous adorions que, sous nos yeux, ils s'embrassent, se caressent, se mettent nus, se tètent, fassent des 69 bien exhibés, se bouffent bites et culs, se doigtent et naturellement qu'ils s'enculent. Voir de très près, guider, toucher, lécher leurs pénétrations ne tardait pas, en général à nous faire jouir comme des fous, à moins que ce soit eux qui se vident les couilles les premiers, dans l'anus de Paul ou sur mon visage, comme nous leur demandions.

Depuis mes vacances je n’ai plus qu’une envie Mehdi , c bel apollon , devienne mon amant

réguliers,
 je reve et ne pense qu' à Mehdi, ce magnifique jeune , algerien bisexuel avec une très grosse queue, je l'imagine   régulièrement me baiser sous les yeux d'autres vouyeurs. Outre qu'il y trouve son compte, qu'il adore se regarder niquer dans les glaces, qu'on l'admire, qu'on le caresse, qu'on lui lèche les couilles, l'anus, qu'on suce ses seins ou qu'on l'embrasse à bouche que veux-tu quand, dans plein de positions, il défonce inlassablement mon cul.

Hier , Monsieur Paul est parti, en retraite, vivre au Maroc. On devine pourquoi.

Seul (enfin non puisque je vie encore avec ma femme), je recherche d'autres hommes aimant voir et être vus pour mater, tâter, débraguetter, caresser, lécher, téter, sucer, bouffer ensemble, bites et culs de jeunes hommes bien montés.
pour compenser les longues semaines d'absence de Mehdi repartit au pays rendre visite a sa famille


Depuis une semaine je n'ai plus de nouvelles , Mehdi m'aurait-il déja oublié ?




a suivre.........

 

Par simon - Publié dans : ma vie
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Dimanche 10 février 7 10 /02 /Fév 09:20

A 62 ans ,J’avais depuis longtemps envie de me faire un plan avec un jeune rebeu... le fantasme 'un jeune arabe qui n’a pas froid aux yeux, la peau mâte et la bite circoncise toujours au garde à vous. Bien sûr comme je suis porté sur les minets plutôt minces et imberbes, j’orientais ma recherche en ce sens

Sur un chat, je tombais sur un certain Medhi qui semblait correspondre exactement à mon fantasme, photos à l’appui. 22 ans, 1m75 pour 60 Kg, musclé sec, torse et cul imberbe, cheveux courts un petit serpent tatoué dans le bas du dos…A en croire notre discussion, Medhi était une chienne passive qui adorerait se faire péter son petit cul, avec homme mur ,mais qui quand même préférait les relations suivies aux plans uniques.

Je donnais mon numéro de portable à Medhi qui bien chaud m’appela même pas 30 secondes après l’avoir reçu. Sa voix correspondait exactement à son physique et son accent à craquer.j’avais envie de répondre présent a l’invitation de Mehdi " qlq jours de vacances ça te dit "

 

Je le pris au mots et quelques semaines plus tard.:

le samedi 2 février vers 23 h, arrivée à l’aéroport , je me dirigeais vers la sortie des bagages pour récupérer le mien.

A cette heure tardive , dans un brouhaha total , j’entendis " Simon , Simon ".

Dans le foule je vis comme un ange voler au dessus de la foule , ses yeux brillaient comme des étoiles , et m’envoyaient des éclaires de bonheurs à voir le sourire illuminer son visage , c’etait lui Mehdi .

Il arriva et se jeta dans mes bras en disant " bienvenue Simon " et dans l’euphorie m ‘embrassa sur la bouche sans se soucier du monde qui passait autour de nous.

Ayant récupéré mon bagage , me tenant par la main comme deux amoureux , il m’emmena vers sa voiture ou avant de démarrer sa main sur mon entrejambe me roula une pelle majestueuse .

--L’hôtel n’est pas loin de chez moi , je reste a deux pâtés de là.

Nous sommes arrivés à hôtel club très chic c’est Mehdi qui avait réservé pour moi (ne connaissant pas son pays), du moment que j’avais une chambre seul pour moi......

à l’accueil , l’homme , la trentaine dit " bonsoir Mehdi , ah ! c’est pour la chambre de monsieur " je suppose…

--" Oui , chambre 69 avec salle de bain, wc , c’est bien ça ? "

--exacte je vous appel Karim il va vous y conduire..tout en donant la clé a Mehdi
--je vous régle manintenant si vous le voulez
--
vous réglerez tous en même temps , je vous fait confiance
--Merci , entendu

Le mec de l’accueil, appela Karim un jeune algérien et lui dit :

-- tu conduis cet homme dans votre bâtiment et tu lui donnes la chambre 69 qui est vide à côté de la lingerie.

Le jeune avait l’air étonné et nous dit "  suivez moi "

.

Je saluais et remerciais le mec de l’accueil , puis je suivions , Karim, sur le chemin nous dit " c’est étonnant car jamais on ne donne de chambre dans ce bâtiment " ,

 

On arriva au bâtiment qui se trouvait à l’écart de l’hôtel et on se dirigea vers ma chambre dans un dédale de couloir ou l’on croisa plusieurs jeunes beurs. Puis il entra dans une chambre, oh pour être simple c’était simple, un lit très bas, une armoire et une mini salle de bain avec douche et WC.

-- Installez vous, je repasserais te voir quand j’aurais fini avec les autres clients arrivés ce soir

-- Ok !

Mehdi me bascula sur le lit , sur le dos les bras en croix , ses mains rejoignants les miennes , allongé au dessus de moi , il m’embrassait , dandinait des reins pour que je sente son sexe gonfler de plaisirs contre le mien , alors je leva les jambes autour de sa taille pour qu’il reste mon prisonnier

--je viendrais demain vers 14h car j’ai cours de bonheur je ne peu rester plus longtemps.

--bien sur , mais je suis tellement crevé du voyage je vais faire une bonne nuit pour etre en super forme pour toi.

Mehdi repartit chez lui le cœur lourd , j’avais bien compris qu’il aurait aimé rester avec moi pour la nuit.

Puis je pose mon sac sur le lit , et me mis à torse nu et enlève mon pantalon pour me retrouver en boxer (j’aime être a l’aise ) .

Je rangeais mes affaires dans l’armoire quand soudain la porte s’ouvrit, c’était Karim qui revenait me voir.

- Alors ça va ? ton copain n’est pas resté ?

- Non

- Tu as l’air cool toi !

- Oui, je suis là et Mehdi mon copain m’avait dit " si tu viens en vacances on vas s’éclater " .

Puis on discuta un peu et Karim me souhaita bonne nuit et me quitta.

J’ai voulu fermer la porte après lui, mais il n’y avait pas de clé, Mehdi dans l'ephorie a du la garder dans sa poche ,tant pis.

Puis le lendemain matin je rejoins le salon pour le petit déj .

A 14h pile , portant un pantalon gris et un sweet capuche blanc très sexy ,

Mehdi était là , IL me dit: " j’ai juste une heure devant moi , mais je viendrais dîner avec toi ce soir"

je le prenais par la taille et lui roulais une bonne pelle bien baveuse. Il embrassait super bien et avait une haleine mentholée très agréable.

 

Je lui retirais son sweet capuche, il ne portait rien en dessous. Il avait des abdos parfait avec des tablettes de chocolats. Seulement quelques poils sur le ventre qui m’excitait et me donnaient envie d’en découvrir davantage.

Je mordillais ses tétons durcis par l’excitation. Medhi se laissait faire, apparemment il aimait que l’on prenne les choses en main, ce qui faisait très bien mes affaires. Je m’agenouillais devant lui pour lui embrasser le ventre et lui caresser la bosse qui s’était formée sous la ceinture. Je sentais sa bite bandée à travers le tissu. Je lui baissais son pantalon et son boxer noir pour découvrir sa queue. Environ 17/18 cm, plutôt fine comme j’aime, avec un joli gland bien dessiné. Je la pris en main tout en le regardant fermer les yeux pour mieux apprécier la caresse.

Je le branlais doucement pendant que je commençais à lui lécher ses couilles rasées. J’adorais son odeur de petit mâle.

Je remontais des couilles en lui léchant la base de la bite. J’adore lécher cet endroit et frotter la queue sur mon visage. Je remontais encore jusqu’au gland que je léchais délicatement, jusqu’à ne plus en pouvoir et le prendre complètement en bouche. Je le suçais alors en faisant pénétrer sa queue jusqu’au fond de ma gorge. Il me caressait la tête. Je sentais ses mains chaudes glisser sur ma nuque.

Je m’interrompis enfin pour qu’il termine de se déshabiller. . Je me relevais pour le serrer contre moi toujours habillés, son corps nu plaqué contre le mien, sa bite contre la mienne. Je libérais mon étreinte l’entraînant sur le lit où il s’allongea sur le dos pour me regarder me déshabiller.

Une fois complètement nu, je viens me coucher sur lui. Sa queue rendu humide par la fellation glissait contre la mienne et contre mon ventre. Je l’embrassais goulûment alors que nos deux corps se frottaient l’un à l’autre .

J’aurais presque pu jouir en me frottant à lui si j’avais continué ainsi, mais cela eut été un peu frustrant.

Aussi, je m’agenouillais à ses côtés et lui donnais ma queue à sucer. Sans se faire prier, il la prit en pleine bouche et me l’aspira jusqu’à la base tout en titillant mes couilles avec ses petits doigts fins. Pendant qu’il me pompait, je prenais sa queue dans ma main pour le branler. J’en profitais également pour caresser son entrejambe et ses fesses. Je commençais à avoir super envie de l’enculer.

Ecoutant mes désirs, je sortis ma queue de sa bouche. Je le gratifiais d’un baisé très humide et je lui fis signe de se mettre sur le côté, les jambes écartées. Il avait de petites fesses très jolies et une raie sans un poil. Je le caressais en faisant glisser de temps à autre un doigt humide le long de sa rondelle. Finalement je goûtais son cul avec ma langue, d’abord en la faisant courir sur ses fesses, puis en lui léchant son trou du cul et en pénétrant dans son intimité. Il poussait de petits gémissements complètement absorbés par le traitement que je lui infligeais. Ma main libre lui caressait les couilles et le branlait.

Je pris une capote sur le chevet et me la déroulait sur la queue. Je viens entre ses jambes frotter ma queue contre sa raie humide de salive. Mon gland glissait dans son cul chaud et je le pénétrais complètement sans effort. Je restais un moment sans trop bouger pour qu’il s’habitue à avoir ma bite en lui. Puis je commençais à la ramoner avec douceur. Je lui caressais la queue et les fesses pendant que j’augmentais progressivement la cadence.

Sans quitter la chaleur de son cul, je me couchais tout contre lui pour le prendre sur le côté. Je le pénétrais profondément, mes couilles contre les siennes. Il tourna la tête pour m’embrasser. Je pouvais ainsi faire glisser ma main sur son corps et le sentir vibrer sous mes assauts. Il bandait très dure et plusieurs fois retira ma main pour éviter de jouir.

Je changeais finalement de position pour le prendre de face. Ses jambes relevées reposant sur mes épaules. J’adore cette position qui me permet de regarder le mec les yeux dans les yeux. J’étais absorbé par le beau regard de Medhi.

Je le branlais énergiquement pour le faire jouir. Quelques secondes suffirent pour que je sente les contractions de son bassin et sa queue crachée un sperme abondant sur les doigts, son torse et son ventre. Je me penchais pour attraper sa bouche et l’embrasser tendrement.

Je sortais délicatement ma bite de son cul, retirait le préservatif et lui donnais ma queue à sucer. Sans tarder je déchargeais dans sa bouche en poussant des cris de plaisirs. Il en avalait une bonne partie avant de m’en faire profiter en me roulant une pelle bien juteuse.

J’attrapais une serviette pour essuyer son sperme puis je m’allongeais contre lui pour le prendre dans mes bras et pour le caresser avec douceur. J’aime bien ces moments de tendresses après l’amour.

mais voila l'heure de reprendre les cours etait déja arrivé.

il repartit en disant " a ce soir au diner "

 

Mehdi_2008_a.jpg

Dans l’après midi je revu Karim on discuta .

Karim m’a demandé ce que j’allais faire pendant ce temps, je lui ai dit :

-- profité et faire ce que je veux.

dans la rue voisine il y a une boite , ou un cinéma dit-il

--je verais bien je vais y aller faire un tour pour repairer

 

Le soir je me retrouvais seul à dîner à table, Mehdi avait un empêchement , viendra plus tard dans la soirée., le jeune serveur qui me servait me demanda :

- C’est toi Simon le mec qui est dans notre bâtiment ?

- Oui !

- Je suis juste à côté de moi.

Puis plus tard suis allé en boîte, mais je m’emmerdais , je décidais de rentrer dans ma chambre d’hôtel prendre une bonne douche et me coucher . Il etait pas plus de 22h En rentrant à ma piaule je rencontre Karim et le serveur du midi. On se salue et je rentre dans ma chambre.

La encore je me met à l’aise entièrement a poil soudain

Mehdi arriva essouflé s'excusant que ces vieux ne voulait le laisser ressortir

s'allongea pres de moi , me remercia de lui avoir fait l’amour,

Medhi m’ouvrit son cœur et me raconta sa vie :dans sa cité sa solitude de jeune gay dans ce monde hostile aux différences. Dans la cité, il était impossible d’avouer son homosexualité et il devait rester très discret. Ceux dont on découvrait les penchants étaient irrémédiablement cloués au pilori, bannis, chassés.

Medhi me raconta l’histoire d’un jeune garçon de 16 ans qui avait été aperçu par un grand frère de la cité en train d’embrasser un autre garçon dans les toilettes de son lycée. Il avait été pris à partie dès son retour dans l’enceinte de la cité, conduit dans une cave pour être déshabillé et fouetté à coups de ceinture. Non content de lui infliger une telle punition, il s’était fait enculer sans ménagement pas une dizaine de mecs, histoire de lui passer l’envie de se servir de son cul.

Les rares homos qui arrivaient à subsister en tant que tels dans la cité, se mettaient au service de grands frères qui les protégeaient en contrepartie de faveurs sexuel. En gros ils devaient servir de vide-couilles dès que le besoin s’en faisait sentir.

Medhi m’avoua qu’il craignait que l’on découvre ses tendances. Il se sentait surveillé. Il se demandait quand il pourrait quitter la cité avant d’y être obligé avec l’impossibilité pour lui d’y retourner pour voir sa famille. Bien sûr eux non plus n’étaient pas au courant de son homosexualité.

Medhi s’endormit dans mes bras soulagé d’avoir pu se confier, même à un presque inconnu.

vers une heure du mate Medhi reparti en disant "ah! le con je me suis endormis pourvu que les vieux m'entendent pas renter , m'embassa et ajoute " a demain chéri "

 

je me rallongea sur le lit pensant a ce que Mehdi m"avait dit.....et qui me perturbait......

Karim me parle, il était rentré dans ma chambre sans prévenir.

--whaaaaa ! beau cul mec

- hé que fais tu là ?

- Je m’emmerde à cette heures ci ,alors je suis venu discuter avec toi si t’es ok.

- Ouais cinq minutes  , pas plus , ok

il est en marcel échancré qui fait ressortir sa musculation et en pantalon survet, pied nu.

Je m’assois sur le lit face à lui et lui demande " pourquoi tu vas pas en boîte pour t’éclater "

il me réponds " pas le droit , en service , comme tous les employés d’ailleurs.

- Putain ça doit être mortel, que faite vous alors pour vous amuser ?

- Ho on a plusieurs trucs mais faut encore trouver un qui veux.

- Un quoi qui veux quoi ?

puis la il s’approche de moi se met devant moi et sors sa bite !

- un qui me la suce dit il

il me prends la tête et me la plaque à sa bite !

- Allez fait le moi j’ai très envie que tu me suces, et surtout je sais que si tu viens voir Mehdî , c’est que tu aime ça .

Je fait semblant de résister mais quand je veux dire quelque chose il en profite pour me la mettre en gueule bien a fond . J’ai failli dégueuler, mais il commence des va et vient. Elle est très brune et grosse.

- allez suce moi bien, tu va aimer tu vas voir.

Puis il continue à me limer la gueule et il va profond me toucher le fond de ma gorge.

- Tu sais j’aimes me faire sucer par des vieux blancs comme toi , allez suce mieux que ça.

Il me fit allonger sur le dos et m’enjamba ,me re-fourra sa bite en bouche , d’une main il me masturbait les couilles et ma bite

Je me mis a le sucer, et recevoir des ordres forcés j’aime ça. Il gémissais et me dit :

-- hoa t’est une bonne suceuse va y encore.

J’étais loin d’imaginer ce qui allait m’arriver. Il allait et venait, puis soudain il me pris la tête, la tenant bien et il allait et venait.

- Tu vas aimer tu vas voir t’auras une surprise

Puis d’un coup il a gémit et j’ai senti de longs jets chaud dans ma gueule.

J’ai voulu le repousser mais il me tenait si fort et il a poussé profond, j’ai du tout avaler pour ne pas dégueuler

- Hoa mec t es bonne pute alors c’était bon hein le bon jus chaud, putain moi j ai aimé. suce moi encore pour me nettoyer la teub.

Dans la chambre , alors que je ne l ‘avais pas vu entrer

Mehdi de retour (ayant changé d'avis) cria :

- pourquoi tu as fait ça, sale PD !

ton pd il ne demande que ça ! répliqua Karim

dans un éxé de colère Mehdi pris ses vêtements et les balances par la fenêtre.

Puis sortant nu comme un ver karim lança

- tu le dis a personne, sinon je dirais que c’est toi qui m’a proposé. allez bonne nuit.

Il est sorti traversant le couloir et la cour a poil pour aller récupérer ses fringues .

Mehdi dit " désolé c’est de ma faute , d"abors je viens pas dîner avec toi et je ne restaits pas en ta compagnie , viens je vais te laver  ".

Il me poussa sous la douche , et là j’en crois pas mes yeux , il entre nu comme un ver ,quelle beauté un corps de rêve , pas trop musclé comme j’aime et un tatouage sur le bas du dos.

On se lave mutuellement je me laisserai tomber a genoux pour lui sucer sa tige et m’invite a venir sur le lit

on sa coucha ,blotti l'un contre l'autre ,apres avoir mis son portable en fonction reveil a 6h du mat.

 

 

La nuit paisible ,mais courte , au petit matin, je fus réveillé par les mains de Medhi qui me caressait tendrement le dos et les fesses. Allongé sur le ventre j’écartais légèrement les jambes et je me laissais faire les yeux fermés. Ses mains chaudes glissaient à l’intérieur de mes cuisses, mes couilles et la raie de mes fesses. Il cracha dans sa main pour humidifier mon trou du cul et y enfonça un doigt m’arrachant un soupir de plaisir. Il joua un moment à m’exciter de la sorte avant de s’allonger sur moi.

Son corps plaqué sur le mien, je sentais maintenant son érection sur mes fesses. Il m’embrassa la nuque, attrapa mes mains comme pour m’empêcher de bouger tandis qu’il se frottait contre moi. C’est moi qui lui demandais "vas y fais toi plaisir mon cul est a toi".

Il se redressa, à cheval sur mon postérieur le temps d’enfiler un préservatif et de mettre un peu de gel sur sa queue. Il se glissa alors très doucement en moi. Complètement rentré il resta un instant sans bouger puis commença à faire glisser sa queue dans mon intimité. J’adore cette position où je me sens complètement soumis.

Il accéléra le rythme à mesure que je gémissais pour l’encourager. Ma queue bandée à fond écrasée contre les draps commençait à me faire mal. Je lui fis comprendre que je souhaitais changer de position. Je me mis aussitôt à quatre pattes, les jambes légèrement écartées pour qu’il puisse me prendre en levrette. Il ne tarda pas à me pénétrer dans cette position qui me permettait de sentir encore mieux sa bite dans mon cul serré. Ses mains libres jouaient avec mon corps, me caressant les hanches, le dos, le torse allant jusqu’à me pincer les tétons. Par moment il attrapait ma queue bien dure pour la branler mais j’étais obligé de l’arrêter pour ne pas jouir trop vite.

Il finir par jouir dans mon cul en poussant des cris de plaisir (comme tarzan dans la forêt). Je sentis tout son corps se contracter pendant l’éjaculation alors que je serrais les fesses au maximum pour le faire jouir encore plus fort. Il se retira de mon cul. Je me retournais pour lui retirer la capote pleine de sperme et prendre son gland en bouche pour nettoyer les dernières goûtes qui y perlaient.

Il me prit finalement en bouche pour m’arracher une jouissance bien méritée. Je jouis à grand traits jusqu’au fond de sa gorge lui remplissant la bouche.

Il me serra dans ses bras un moment sans rien dire. Après ce doux moment de torpeur il me dit " je dois partir ".

Comme inquiet il me demanda " je veus te revoir."

Je lui dis " bien sûr, c’ést évident ! reviens des que tu peus
Je le sentis rassuré. Il se rhabilla rapidement. Sur le pas de la porte, il me dit " je te rappellerai dans la soirée ".

 

 

2008_mehdi.jpg

. Puis je suis resté couché en suite je suis allé prendre mon petit déjeuner

Quand j’ai demandé un café au serveur, il m’a demandé avec un sourire, "  vous voulez un peu de crème chaude dedans..."

 

Putain Karim à du lui raconter...

Dans l’après midi je suis allé en bord de mer espérant que Mehdi vienne me rejoindre après ses cours car il habite a proximité.

je reçu plusieurs textos de Medhi me disant qu’il avait adoré faire l’amour avec moi et qu’il aimerait bien le refaire encore et encore et voir plus. Je lui proposais de repasser le soir même s’il le pouvait.

Hélas il ne viendra pas. Je rentre a l’hôtel.

Je ne m’étais pas trompé , tous les jeunes employés que je croisais me souriaient et me disaient bonjour par mon prénom alors que je ne les connaissais pas.

Puis a la fin de l’après midi, j’ai croisé Karim qui est venu me demandé " tu vas bien ",

je lui ai dit " tu es un salop d’avoir fait ce que tu as fait et  plus d' en avoir parlé ".

Il m’a dit qu’il avait dit à tous ses potes que j’étais une bonne gueule à bites et qu’il reviendrait ce soir,
 je lui ai dit NON, mais il a souri et a continué son boulot.

Comme la veille , je rentrais tôt , sans faire trop de bruit car ne voulais pas que Karim sache que j’étais rentré.

Mais quand suis rentré dans ma chambre il était allongé sur mon lit torse nu en pantalon de survêt...

- putain je t’attendais !

La je lui ai dit " Casse toi je veus pas refaire ce que tu as fais l’autre soir, alors casse toi "

Il a souri, s’est levé et en passant à coté de moi il m’a touché la bite en me disant " on se reverra ". Puis il est parti, j’ai poussé la porte sans la fermer à clé car pas de clé.

J’ai pris une douche et me suis pieuté tranquille.

Une demi-heure plus tard je suis réveillé... Quelqu’un enlevait mon drap ! J’ai voulu me lever, mais un mec me saisi la tête et ma flanqua une bite dans la gueule. C’était Karim qui était revenu, mais la il était venu avec le serveur de midi.

J’ai du le sucer, puis il a dit a Farid de prendre sa place, je l’ai sucer aussi puis comme j’étais nu, Karim m’a touché le trou du cul et a dit putain il est serré comme je les aime. J’ai lâché la bite de Farid et lui ai dit :

- non pas ça c reservé !

- pas pour nous mec !

Farid m’a remis sa bite en gueule. Karim m’a forcé à me foutre à 4 pattes sur mon lit et Karim a mouillé ses doigts de salive et m’a mouillé le trou du cul en disant " putain ça va être bon ".

 

Karim me tenait par les hanches , sa bite contre rondelle en disant à Farid " vas y lime lui bien la gueule ".

 

Soudain Karim poussa une gueulante " NONNNNN pas ça " sans avoir entrer dans mon trou

Farid retira sa bite en urgence et sans s’habiller quitta la chambre comme un éclaire.

Karim gueuler encore plus fort " NONNNNN pas ça pitier"

Je compris que Mehdi mon ange et sauveur venait d’arriver .

Tu as pas entendu tout a l’heure il t’a dit " c réservé "

--oui oui mais ….

--si tu touches encore une fois je te coupe les couilles.

Mehdi pris une ceinture lui infligea une bonne raclé , puis lui attachant les mains et les pieds le mis sous la douche faisant couler l’eau glacé ayant pris soin de le baillonner avant.

La colère de Mehdi fut de courte duré revenant vers moi dit

--on peu pas te laisser cinq minutes seul t’es une pute pas possible

--non Mehdi une salope OUI mais seulement que pour toi

.

Il enfonça d’un coup sec sa bite dans mon cul et commença son va et vient, j’avais le cul en feu

Il souriait et me disait :

- tu vas devenir ma bonne salope, comme j’ aime.

Mehdi me limait à grand coup.

Mehdi me lâcha son jus dans le fion

- Waou ! Je l’engrosse la salope putain qu’elle est bonne

je sentais son jus tiède remplir mon cul .

Apres avoir déculé Mehdi me suça , me bouffant les couilles jusqu’à je jouisse .

Je m’endormi et ne m’aperçu même pas que Mehdi était reparti et que Karim avait passé la nuit dans la douche .

 

J’aurais bien changé de chambre, mais il me reste qu’une nuit... Je ne dirais rien.

Le lendemain , Mehdi est arrivé, nous sommes allez sur la plage ensemble.

Il me fit un grand sourire charmeur et me dit qu'il n'avait pas trouvé d'autre moyen pour m'attirer jusqu'à la sue le sable fin . Il me prit par la taille et m'enlaça. Il était torse nu et en boxer.
Je sentais son membre au repos contre le mien. Je commençai direct à bander.
Avant de m'embrasser, il me dit " je veus encore essayer avec toi ".
Sa queue devenait de plus en plus raide au fur à mesure qu'on s'embrassait.
Nos lèvres humidifiées s'échangeaient de long baisers fougueux. Ses mains glissaient sur mon dos pour arriver à mon cul.

Il le caressa et le massa. Je sentis un doigt s'enfoncer puis deux. Mon cul s'ouvrait vite à lui.
Mes baisers étaient de plus en plus profonds qu'il me doigtait.
Je me suis détaché de lui. Ses yeux ne me quittaient plus.
 Il me dévisageait comme si je n'allais pas lui résister très longtemps. Il s'approcha de moi et me plaqua sur le sable ou venait mourir la mer. L'effet froid de l’eau et l'effet chaud de son corps contre moi me faisaient triquer entre plus. Il se mit à genoux et me pompa.
Je lui caressais sa tête, sa nuque et ses épaules. Avant d'éjaculer, je me suis retiré. Il me regarda droit dans les yeux d'un air déçu mais je lui ai expliquer que je voulais me finir dans son cul.

Il m'a dit qu'il n'avait jamais été pénétré sur une plage et qu'il voulait que ce soit bien fait. Pour le rassurer et lui donner un avant goût, je l'ai retourné, plaqué à mon tour contre le sable. J'ai caressé son cul et entrepris un anulingus.
Je léchais sa rondelle tendre. Je sentais qu'il se détendait car il écartait ses jambes afin que ma langue rentre plus.

Je lui ai écarté ses cuisses et j'ai commencé à le doigter.
Il pinçait ses lèvres de plaisir. Je sentais qu'il n'allait pas tarder à y passer. J'ai mis ses jambes sur mes épaules et j'ai guidé mon pénis vers son cul.
Il me dit d'y aller doucement. Je confirmais d'un sourire. Mon gland est rentré sans problème et je faisais de petits va-et-vient pour qu'il se détende encore plus.
Ma queue glissait de mieux en mieux. Je l'ai pénétré entièrement et une fois à l'intérieur de lui, je le regardais dans les yeux en commençant le bourrage. Il me fixait aussi et il avait l'air d'apprécier ma tendresse à son égard. Il me demanda d'y aller franco peu de temps après et je lui ai obéi. 0.gif

Ma bite s'enfonçait bien et mes couilles venaient percuter son cul. Il se masturbait en même temps, je me suis mis sur son coté pour le défoncer. Il avait une petite douleur de temps à autre mais il en redemandait encore. Je l'embrassais dans le cou pendant qu'il massait mon cul. Il n'avait pourtant pas l'air d'être novice en ce qui concerne la sodomie tellement il avait du plaisir.
Il m'a répondu " je me doigte régulièrement "et  me fit un clin d'oeil.
 J'allais bientôt venir.
Je me suis retiré, j'ai enlevé la capote et j'ai approché ma bite de sa bouche. Il l'a tout de suite attrapé et m'a sucé et pompé jusqu'à la dernière goutte. Il m'a dit que je lui avais fait du bien. Pour me remercier, il m'a expédié sa queue là où il faut et m'a défoncé avec force. Son excitation était telle qu'il a éjaculé peu après en moi.
On s'est emballé pendant plusieurs minutes comme si on était au début de la coït.
Après s'être remis de nos émotions, il m'a avoué que sa copine ne lui plaisait pas et qu'il était en fait attiré par les mecs.
Il m'a dit qu'il avait un copain depuis plusieurs mois et que sa dite copine lui servait d' " alibi ".
J'étais très étonné par ses propos et je ne trouvais pas ça déprimant de se trouver une copine pour " sauver "son image de mec viril moi je suis bien marié…...
nous rentrions a l'hôtel pour diner ensemble.

Puis à la fin du repas Kamel le serveur me dit:

- Soit ce soir a 23h dans ta chambre sinon tu sais ce qui t’arrive.

--Mehdi sourit et me dit " à demain je sais que tu es en bonne mains , mais voici la clé pour ta sécurité " , m’embrassa et partit car il avait encore son entrainement de hand ball..

Kamel arriva a l’heure dite

Désolé lui dis-je ce soir je dors.

Kamel m’embrassa et ajouta " excuses moi , je ne voulais pas te faire de mal , j’espérai juste me trouver l’homme avec qui j’aimerai vivre en France prochainement "

--je comprend Kamel mais hélas ça sera pas toi

--merci de ta franchise et bon retour chez toi

Apres une nuit longue et très calme je passa ma journée a préparer mes bagages tout en revivant comme un rêve " mes vacances "

dans la soirée Mehdi me raccompagne a l’aéroport

m’embrassa longuement ,dans ses yeux se lisait la tristesse ,

je le réconfortais en lui disant " mon amour ces moments que nous venons de vivre ne seront pas les derniers "

Quand ? ? tu vas vite m ‘oublier quand tu sera chez toi

NON Mehdi ne dit pas ça mon corps sera a toi chaque fois que l’on se rencontrera lui dis-je sans pouvoir cacher les larmes qui s’échappaient de mes yeux

A suivre……..

Par simon - Publié dans : ma vie
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