ma vie

Jeudi 17 septembre 4 17 /09 /Sep 15:27
SUITE des souvenirs

Tous deux attaché par les menottes , relié par un corde ,nous montions au grenier précédent Louis qui suivait en nous fouettant les fesses.

  • papa c’est nouveau le grenier dans tes rencontres ?
  • oui fils c’est nouveau et vous allez découvrir d’autre plaisirs
  • maman le sais ?
  • t’es malade , elle sais rien du tout , même dans le chambre….
  • Moins sure que toi , hier quand tu te faisais enculer par l’oncle de Simon elle semblais bien aimé…..
  • Quoi ….elle peut pas me voir dans ma chambre
  • Si papa on te vois c’est pour ça que je savais que tu étais PD
  • Pas possible
  • Oh ! que si papa
  • Je suis espionné a ce que je vois mais comment fait vous ?
  • Ça je ne te le dirai pas c’est un secret a moi et maman
  • Alors comme ça .. elle a aimé me voir se faire enculé
  • Oh !oui , elle était juste derrière , elle gloussait de plaisir ,elle avait même pris une de mes mains pour frotter son sexe
  • Et tu as rien dit ?
  • Ben non ça me faisait bandait encore plus..
  • Elle vas finir par demander a ce que tu la baises
  • C’est déjà fait …..
  • Et ta aimé sa chatte ?
  • Non je l’ai pas encore baisé , faut que tu m’apprennes…..moi par erreur, je chercher a avoir sa rondelle alors elle m’a dit que j’était comme toi , un PD
  • Si tu veux Julien je demanderai a ma sœur de t’initié
  • C’est une bonne idée Simon , tu crois qu’elle acceptera ?
  • Ne te fait pas de soucis , son ptit copain me dit toujours " ta sœur une vrais dévoreuse de bite "
  • Bon les gamins , vos histoire de fille j’en ai rien a faire ,moi je vais m’occuper de vous allez Hop ! ! ! en piste

Quand la porte du grenier se referma derrière nous , ce fut un grand silence , tout était capitonné ,seul un grand tableau de commande a l’entrée , Louis appuya sur un bouton ,une musique douce et des lumières balayées la grand salle.

  • Putain ….c’est super papa tu a fait ça quand ?
  • Pendant vos vacances de ta mère et toi
  • Whaaa… j’en reviens pas et qu’est-ce que l’on vas y faire ?
  • Ben vous allez découvrir , les minets , tiens Simon appuie sur le bouton " P " et " R "

Je m’exécuta , deux petites trappe s’ouvrirent au plafond et laisse tomber des sangles et sur un mur sortie une cordelette élastique..

  • 1er exercice pour Julien comme tu as déjà les menottes aux poignets , je vais les découpler et ensuite Simon les accrochera aux sangles et moi je vais t’accrocher la cordelette autour de tes couilles…
  • mais ça vas me faire quoi ? pas mal j’espère ?
  • mais non , bon Simon appuie maintenant sur le bouton " P2 " et " R2 ".

les sangles remontèrent vers le plafond , soulevant Julien à 1m du sol et la cordelette se rembobine tirant fortement sur les couilles de Julien qui lançait des injures a son père tout en hurlant de douleurs.

  • Mr Louis faut arrêter il a trop mal…..
  • C’est ton tour après je teste votre résistance…
  • Ah ! Non moi je veux pas ça
  • OK Ok , Simon appuie sur le bouton " P1 "

Je m’exécuta , une autre trappe s’ouvrit au plafond et laisse tomber une sangles et une cordelette élastique

  • couche toi par terre
  • vous allez me faire quoi ?
  • ferme un peut ta petite gueule compris ...et toi aussi Julien

il me ficela la bite et les couilles prenant soin de passer dans la boucle en bout de sangle , puis alla appuyer sur le bouton, je fut a mon tour suspendu par les couilles
 et me mis une balle dans la bouche maintenu derrière la tête par une sangle et fit de même a Julien.

 

  • comme ça j’entendrais plus vos gueules ptits cons.

Mr Louis se mis a poil et se masturbait devant nous , malgré la douleur on arrivait a bandé , et lui prenait un malin plaisir a nous taper sur le gland.

Le téléphone sonna.

  • ah ! c’est toi…
  • tu as vu Simon il m’avait laisser un mot sur la table pour me dire qu’il était partit voir ton fils ?
  • pas de soucis il est bien là ,je m’occupe d’eux
  • ok je sais qu’il est en bonnes mains , on se revois quand ?
  • tu ne peux pas dire mieux ils sont en bonne mains ,j’ai aimé hier tu peux venir j’en ai encore envie.
  • Ben j’arrive…
  • Ok , tu rentres directement et au lieu d’aller vers la chambre , monte les escaliers , tourne à gauche tu as une porte avec le sigle " radiation danger " tu me bip et je t’ouvre…
  • A tout de suite..
  • Bon les galopins on vas avoir de la visite , on passe a l’exercice suivant je vois que malgré la douleur vous restez bien bandé vous êtes à égalité….

Il appuya sur les boutons respective afin de nous libérer provisoirement , nous enleva les bayons l’un après l’autre , nous donnant sa bite à sucer en récompense. Ensuite fit descendre 4 sangles , et dit à Julien " couche toi sur le dos" , y accrocha les poignets et les chevilles ,puis fit remonter les sangles et de nouveaux Julien état suspendu comme en boule , il arrêta la remonter , quand son cul arriva a la hauteur de ma bouche en étant à genoux

  • bouffe lui le cul et les couilles , avec ta langue dilate lui la rondelle  et toi Simon  ce que je vais te mettre dans ton cul  devra rentrer  dans le sien comme dans du beurre.
  • Vous allez pas m’enculer à sec avec ce machin là
  • C’est rien ça… tu veux plus gros ? j’ai tu sais……
  • Pas à sec SVP.

Sa réponse il n’y en eu pas , il m’enfonça son gode de 20/4 sans ménagement , la douleur vive me fit gueuler mais la bite de Julien étouffait mes cris., je recevais des coups de fouet et Julien suçait son père et prenait des baffes quand il n’allait pas assez vite.

Un BIP retenti.

Mr Louis alla ouvrir.

  • entres tu vois ton neveu est bien sage..
  • je vois et toi déjà prêt
  • Oui ton neveu avait trouvé mon annonce sur la revue tous comme toi et m’avait fixé RDV.
  • Ça m’étonne pas hier soir il m’a fait une pipe magistrale et en plus il a tous avalé.
  • C’est ce que je pensais ,une petite salope comme moi
  • Mais c’est ton fils le pendu ?
  • Ouéééé je le savais mais il est PD comme moi
  • Tu vas pas te faire enculé devant eux ?
  • Trop tard il t’as déjà vu a l’œuvre hier
  • C’est pas possible dans ta chambre soit dis en hermétique
  • SI si et en plus sa mère était avec
  • Oh ! Oh ! le con tous le village vas le savoir.
  • Si elle chante ça aux autres , ben je dirai…..
  • Tu diras quoi ?
  • Ben quel branle son fils et qu’elle lui a demandé de la baisé
  • Oui mais moi ?
  • C’est pas un secret tous le monde le sais .

Mr Louis continua on passe à l’exercice 3 , il m’enleva le gode et le présenta a la rondelle de Julien ,força un peu et l’entra a fond.

  • bon travail Simon tu vas pouvoir le niquer
  • quoi lui mettre ma bite dans le cul ?
  • oui et après ça sera ton tour , faut pas de jaloux

Julien fut dépendu et obligé de se mettre a quatre pattes ,je me mis derrière , ma bite contre sa rondelle , je n’osais pas entrer , alors Louis pris sa ceinture , me cingla les fesses , puis passa celle –ci sous Julien , pris mes mains dans les siennes pour maintenir la ceinture et d’un coup sec tira , ma bite entra dans le cul de Julien , qui ne dit mots

  • vas y branle toi dans son cul fit mon oncle , doucement , puis de plus en plus vite , vas y remplis lui le fion
  • oui oui Simon continue je l’a veux a fond vas y c’est trop bon tu verras après je te remplirai aussi
  • allez Louis je te pend comme ton fils quand je suis arrivé
  • whaaa super pourvu que les sangles tiennent

tonton défonçait Louis et moi son fils et c’est dans un râle puissant que tout deux jouissons en cœur.

je changea avec Julien et pris a mon tour dans mes entrailles le précieux jus.

Nous allions prendre une douche collective , mais Louis avais pris soins de nous lécher nos petits culs.

  • faut pas gaspiller disait-il

depuis ce jour Julien et moi c’était comme Louis et tonton INSEPARABLE

je savais que j’etais GAY quand a Julien il dit

  • faut que j’essaye ta sœur pour voir la différence mais mon cul t’appartient


Quelque mois plus tard.

C’était un samedi , il était 10h30 du matin , quand je me réveilla ,comme à l’accoutumé je descendis l’étage entièrement nu pour prendre mon petit déjeuné.

Ma mère qui d’habitude me laisse faire , éleva la voie

  • Simon tu pourrai quand mettre ta robe de chambre
  • Mais maman je fait comme dab.
  • Je sais mais on a de la visite au salon
  • Ah ! bon et qui ça ?
  • Sylvain le copain de ta sœur
  • Pas grave , c’est un mec , on est tous pareil , le temps que tu chauffes mon chocolat , je vais le saluer..
  • Ah ! non pas comme ça ....

Mais je fis comme si je n’avais rien entendu et passa au salon

  • salut Sylvain , comment vas mon futur bof.
  • Salut simon , ça va ..whaaaa quel beau cul
  • Il te plait ?
  • Ouéééé bien foutu
  • Tu vois ma maman m’a bien fait
  • C clair j’ai la fille et presque le fils , bravo madame vous avez fait de beaux enfants
  • Merci Sylvain , mais excuse le pour sa tenue
  • Pas grave madame , je fais pareil a la maison
  • Décidément vous les mecs , il n’y en a pas un pour relever l‘autre , je te serre un chocolat aussi
  • Oui madame

Pendant ce temps j’avais fait le tour de la table , au passage Sylvain me caressa les fesses , qui déclencha une érection

  • putain tu as une superbe queue…

je suis devenu rouge de plaisir et j’ai juste eu le temps de m‘assoire , évitant a ma mère de voir la cènes.

Nous primes notre petit déjeuner ensemble , nos regards complice , je me lança ,

  • dit Sylvain j’ai un truc spécial a te demander , un petit service quoi ,
  • ben oui vas y dis voir , si je peu
  • j’ai fait un parie avec Julien , mon meilleur copain , que ma sœur se laisserai baiser par lui pour l’initié au fille car il voudrait savoir s’il en est capable et choisir son orientation sexuel
  • je peu pas faire grand chose , c’est a elle qui faut demandé….
  • Oui mais tu es son copain , et je sais que tu la baises souvent , alors je voulez te demander la permission comme un jour du m’avais dis " ta sœur il lui en faut de la bite pour la contenter "
  • C’est vrais , et c’est pour quand ton parie ?
  • Ça serai bien au grand WE du 11 novembre , son père est absent. On pourrai faire ça dans son grenier….
  • Il a quelle age ton copain ? et moi j’ai quoi ? en compensation….
  • Le même que moi , ben la compensation ….une petite suce ou si tu propose autre chose j’accepterai..
  • Affaire conclu ça marche…….j’en parle avec Emily quand elle sera levé et je te confirme
  • Maman viens de sortir pour allez chercher le pain , elle en a pour 1 heure ,monte la réveiller moi je vais prendre ma douche
  • Bonne idée Simon , surtout que tu m’as excité grave
  • J’en suis ravis , passe par la salle de bain , tu te dessappes et tu rentres tout prêt en plus tu gagne tu temps elle dors aussi a poil
  • Comment tu sais ça toi ?
  • Je la rejoint de temps en temps
  • Ah ! salop tu ne baise pas ta sœur quand même ?
  • Elle m’a initié une fois , mais moi je préfère les mecs non on discute un peut de tous et de rien
  • Ok Simon je te donne la réponse après
  • Merci , allez dépêche toi avant que maman revienne ……

Je pris ma douche , j’entendais les gémissements de la chambre voisine , je bandais a mort , tout en me branlant je m’imaginais déjà avec Sylvain pour la compensation promise ,j’étais sur un nuage , la jouissance proche , appuyé contre le lavabo , les yeux fermé , ma respiration augmentait , le venin allait sortir , je senti une bouche envelopper ma bite et une voie dire

  • vas y ptit frère , donne lui ce nectar et je baiserai avec ton copain Julien

je força sur sa tête , ma queue rentra jusqu’au couilles , et lui déversa ma semence , et Sylvain ne pu rien faire d’autre que d’avaler.

  • bravo frangin tu as rassasié mon mâle , promis je dépucellerai Julien le WE du 11 novembre
  • merci grande sœur et toi futur boff. Tu auras mon cul que tu cherche depuis si longtemps
  • mon mâle chéri...Lui.. BI ...?  j’y croirai que quand ça sera fait…

A SUIVRE

Par simon - Publié dans : ma vie
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Samedi 12 septembre 6 12 /09 /Sep 15:26
 SUITE des souvenirs souvenirs de ma vie d'ado que je gardais secret.
en publiant certain souvenirs je vais m'attirer la foudre des détracteurs qui voyent les choses de travers.
je suis contre les pédophiles et je les combatterai toujours.

 un soir....
" Tonton, je me couche je suis crevé ! je me met à droite ou a gauche dans le lit ? "

 Après ma douche je m’approchais du lit où il était couche sur le dos sur les bras derrière la tête
Je vis la serviette blanche au sol et lui demandais
"tu n’as pas de pyjama? "
" non jamais me dit il tu veux que je prenne un calçons ? "
" non mais moi non plus je ne porte rien la nuit alors fait attention a garder tes distances " nous avons bien rie puis éteint la lumière.

Nous étions tout les deux couchés sur le dos et quelques minutes après j’entendais sa respiration régulière.
Il se tournait et retournait dans le lit par mouvement brusque jusqu’au moment ou je sentis son corps près du mien, je sentais sa chaleur et sa jambe contre la mienne.
Dans un ultime mouvement je posa ma main gauche sur sa poitrine.
Dormait il ? bientôt je n’avais plus de doute , je fis glisser mes doigts sur sa peau en une caresse furtive.

" Simon, tu dors ? je ne suis pas ta copine , c’est ton tonton qui est à coté de toi "

" je sais lui dis-je " et sans hésiter je glissa ma main vers mon pubis puis sur sa queue qui commençais à gonfler. Tendrement je posais un baisé sur son épaule, puis glissait ma tête sous le drap en direction de sa bitte qui cette fois était tendus à mort. il sentait ma langue sur son corps puis la douceur de ma bouche qui enfournait sa queue.

Putain que c'est bon ! " TU me fais une des meilleure pipe que je n’ai eu à subir… "

au bout de quelques minutes il sentait le flot de son foutre prêt à gicler. " attention Simon je jouis " à sa surprise je ne me dégageais pas et avalais son sperme crémeux avec de grand bruit de succion. je sortis enfin la tête de dessous le drap et vint poser ma bouche pleine de jus sur ses lèvres.

Nous partagions la semence jusqu'à la dernier goutte. Epuisé nous reprenions notre position sur le dos " putain Simon je ne m’attendais pas à cette surprise !
 Ma réponse fut sans détour " il faut bien commencer un jour"

Depuis je jour je suis accro du nectar des mecs.


Au petit matin , quand je me réveilla mon oncle était déjà parti au champs.


Je monta faire un tour dans le grenier voir ce qui pouvait traîner comme vieux brique à braque , dans un vieux coffre , à l‘abri des regards , je découvris une revu porno récente (elle datait de la semaine), au regard des photos je me mis a bander à mort , puis soudain dans une rubrique " petites annonces " je remarqua cette annonce entouré au crayon bic " meusien BM , recherche jeune mec pour l’initier aux plaisirs entre H , tel 03296500 pour RDV ". à coté de l’annonce une adresse y avait été ajouté c’était justement dans le même village ou résidait mon oncle.

Je décidais de tenter le coup , je téléphona et pris rendez-vous cet après midi 16h , c’etait la dernière maison a la sortie du village dit le vieux moulin.

Quand j’arriva à l’heure précise , je sonna a la porte , mon cœur battait à cent à l’heure , avais-je raison ? ,trop tard pour changer d’avis la porte souvrit.

A ma grande surprise , c’était Julien un copain de cathé.

  • salut Simon , qu’est-ce qui t’amène ici ?
  • salut Julien , ben…. Heu…j’ai du me tromper je devais rencontrer Louis
  • Louis c’est mon père
  • Ah ! bon j’ai du faire erreur….
  • Il m’avait dit qu’il devait voir un mec cette après midi à 16h et je devais lui dire qu’il serait en retard d’une 1/2h
  • Ben c ‘est a moi qu’il a dit ça…..
  • Dans ce cas rentre , je m’attendais pas à cela
  • A quoi ?
  • Ben que Toi…. tu soi un client a mon PD de père.
  • Je voulais voir …….j’ai répondu juste à son annonce…..
  • Eh ! bien viens dans la chambre ou il rencontre , on vas se mettre a poils tous les 2 , comme il aura la surprise , je pourrai pour une fois participer aussi
  • Ok Julien c’est une bonne idée.

Une fois dans la chambre Julien me proposa de faire un inventaire de ce que son père utile avec les mecs qu’il rencontre (fouet , gode de différente taille ,menotte , harnais) .

Tu vois tu as le choix me dit-il

  • comment tu sais ce qu’il fait ?
  • ma chambre est juste à côté tu vois derrière le miroir , lui me vois pas mais moi si…..
  • il reçoit souvent ?
  • parfois une fois par mois , mais là, deux jour de suite , il a du aimé hier il s’en ai pris plein le cul par ton oncle
  • Quoi mon oncle le baise….j’y crois pas
  • Si si , c ‘est un régulier , mais là… tu me surprends , j’aurai jamais cru qu‘il reçoive un jeune de notre age…
  • Normal il sait pas , je lui ai dis que j’en avais 19 et que j’aimerai être initié….
  • OU là là .......je vais lui demandé pour moi aussi , j’en prend le risque.

Pendant notre discution on s‘était retrouvé a poils , sans même le voir ,je matais le cul de Julien et lâcha

  • " oh ! putain quel cul bien modelé "
  • pas mal non plus et tu as vu nos bites , presque jumelle

Nos bites , droites comme des " i " , c’etait la première fois que l’on se retrouvait face à face nu.


Il me poussa avec force sur le lit , enfourcha mon corps et présenta sa bite da ma bouche

  • suce là Simon , ça te fera une répétition avant que mon père te le demande
  • mais s’il arrive…..
  • ta gueule PD suce moi ou je t’encule

sa queue bien en bouche , je m’activais autour de son gland , Julien donnant de petits coups reins pour rentrer plus , je lui maintenais les couilles , mais il eu une éjaculation précoce , et m’envoya la sauce dans la bouche , j’ai du avaler car au même moment Julien avait forcé , sous le coup de fouet de son père arrivé entre temps.

  • je t’avais dis de faire patienter le mec , pas de lui bourrer la gueule
  • mais papa je l’entraine
  • vous n’avais pas honte c’est qu’un gamin….mais c’est quoi ce délire vous avez pas 19ans
  • Non…. monsieur Louis je suis un copain à Julien et on voudrait tous les deux être initié par vous

Il ne répondit pas et pris Julien dans ces bras , le serrant très fort.

  • mon fils PD ah ! j’y crois pas
  • si Papa depuis le temps que j’attend ce moment….
  • Et toi Simon tu veux être PD aussi ,
  • Ouiiiii , vous ne serez pas le premier , j’aime sucer
  • OH ! oui papa il suce bien

Louis prit le menotte attacha son fils sur le lit ,

quand a moi il me mit assis sur une chaise apres m’avoir mis un gode dans le cul , attaché par des sangles , prit de la cordelette et attacha ma queue fortement et me bayonna la bouche .
















Il se mit a fouetter Julien et moi je regardais , bandais a mort j’ai cru mourir tellement je bandait par la douleur.

  • ah ! mes petits vous vouliez etre initié et bien voilà seulement un avertissement

il détacha Julien du lit et moi de la chaise ,enleva le gode
et dit
"  tu vois mon fils son cul bien ouvert "

  • oui oui papa
  • c’est comme ça que tu l’auras maintenant quand je le déciderai
  • et Simon tu vas le baiser aussi , maintenant qu’il est ouvert ?
  • pas encore tout d’abord vous allez commencer par me sucer la tige



*  whaaa , vous faite ça comme des pro...... bon comme ta mère est absente pour la journée suivez-moi au grenier

* ah! bon au grenier et pour y faire quoi?

* ben initier mes petites lopes......



A SUIVRE

Par simon - Publié dans : ma vie
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Jeudi 10 septembre 4 10 /09 /Sep 23:15

Aire du Relais des côtes de Meuse

C’était les premiers jours de septembre, sur l’aire " Relais des côtes de Meuse " quand me voilà décidé à me faire 1 ou des routiers mais.…..voilà a bientôt 64 ans j’aime toujours en prendre une petite dose.

Je commence à tourner autour des camions mais rien ne se passe. Quand tout à coup ,dans le fond du parking le moins éclairé , une voiture , style mini est garé, et 2 gars en sortent et là je m’aperçois qu’ils sont plutôt jeunes ,surtout un , … . Ils mirent la main au paquet en s’approchant de moi et me disent :
*Et ben MEC ? Tu veux sucer de la vraie bite?

*Elle est bien juteuse au moins répliquais-je

*A moins que tu en veux plus Papy lâcha le plus jeune

Je fis signe de la tête oui et là ils baissent leurs pantalons et leurs boxers, le plus agé me pris par les cheveux en me disant :
"Et ben aller vas-y suce " je découvre une bite de 17 sur 5 ou 6 et l’autre aussi longue mais plus fine.bonne suceuse et de vieille pute 

J’engloutis la plus grosse pendant que l’autre essaie de la mettre en bouche aussi mais là impossible alors j’alterne à genoux d’une bite à l’autre avec un rythme d’enfer. Ils me défoncent à grand coup de reins en fond de gorge à m’en étouffer, j’en prends plein la gueule sans se soucier de moi et ce pendant une bonne ½ heure, et à vrai dire j’aimerai que ça ne cesse plus tellement ces queues sont bonnes, le plus jeune des 2 commence à m’insulter en me traitant " 

  bonne suceuse et de vieille pute 

".je ne peus que je lui réponde que oui !par signe de la tête .

il ajoute "hein grand frère c’est bon ….ho putain !!!

" Ouaiii pas mal tu suce bien mec vas-y continu tu es une vrai chienne devant de la bite hein ?

*T’es une bonne salope toi t’aime la bite hein ?

Je lui réponds " oui " avec la bouche pleine, et le plus jeune ajoute " 

*"dit fréro ,je lui aurais bien défoncé la chatte…
*Tu en as envie ? Alors vas y baise du vieux 

Ils m'enlèvent mon jean pendant que je les pompe et je me retrouve à poil car je n’ai rien dessous, ils s’écrièrent ".regarde la salope il n’a rien mis dessous comme une pute. Tu aimes ça allez donne toi fais ta pute !

*Ouaiii aller vas-y suce ! Hummmm

*"Bouffe ça salope et applique toi !

  • Vas-y continue salope, prends bien nos bites dans ta bouche
  • Ouaiii c’est bon ça !!

Puis tout en me laissant sa bite dans la bouche il se pencha pour me tâter le cul et sentit que je mettais graissé. Etonné il me dit : mais t’aime aussi te faire enculer "

je fais un signe de tête approuvant !

 

 

, " J’vais t’enculer ma salope j’vais t’en mettre plein le cul car tu m’as l’aire d’être une bonne petite chienne qui aime se faire mettre, on va te dresser à toi !

Celui avec la bite la plus fine commença à me limer après leurs avoir tendus des capotes il me baisa d’un coup sec comme on baise une pute et moi me voilà encore plus acharné sur la bite de son grand frère, alors là les insultes fusent de tous les cotés " Enfourne moi ça dans ta gueule et ton cul salope, et applique toi!

 

Le jeune minet qui m'enculait jouit enfin dans un râle en me claquant les fesses il se retira me donna sa bite à nettoyer, l’autre s'empressa de prendre sa place de nouveau dans mon cul dilaté , il a eu dû mal a passer, mais je m’écartais bien les fesses car j’en avais trop envie de sa grosse bite.

Je me fais déchirer en deux littéralement, il me dit ‘t'aimes ça te faire mettre par un gros membre "

je réponds ouiiiii

il s’appuie sur moi m’obligeant à offrir un peu plus mon cul, je me tiens aux épaules de l’autre tout en le suçant et pendant qu’il me malaxe les seins il me susurre " t’es bon à baiser avec un cul pareil ". Je suis en transe… Son frère me tire par les cheveux en arrière et me dit " t’aime de faire baiser comme une pute hein dis le ? "

Je me sens transpercé et transporté par les va et viens et je gémis comme une chienne et je réponds en remuant mon cul et m’empalant encore plus vite sur ça bite " Oh oui défoncez moi baisez moi, enculez moi fort, je suis une salope, une pute!!! J'aime ça défoncez moi encore"

Il jouit dans un râle en m’insultant encore plus fort ,enleva la capote, me tendit sa bite et me dit ; "

Lèche, bouffe mon jus salope, nettoie ma bite "

Et moi aussi je jouis en m’effondrant à poil par terre, je n’avais plus de jambes, mal à la mâchoire et ma rondelle complètement éclatée !!!

Ils se rhabillèrent et l’ainé me dit " T’aime ça te faire mettre par un gros membre "

je répondis OUI avec un grand sourire de béatitude!!!

*

Alors t’inquiète sur ce parking reviens samedi on sera encore là…..

Je ne pu répondre car je recevais une claque sur les fesses en entendant une voie me dire

*Ben dis donc t’es un sacré baiseur papy

"Ah bon ?"

Il s'aperçoit que je le regarde de la tête au pied, et remarque que je fixe sa braguette un moment

Il est de taille moyenne, 1,75m, bel homme, des lunettes et une fine moustache lui donnent une allure respectable, et a un peu d'embonpoint.

*

Tu veux faire un tour dans ma cabine je suis routier international ,Hétéro , 30ans, attiré par les hommes mûrs, , j'imagine souvent des scénarios dans lesquels je suis leur jouet sexuel

"Ah bon ?"

*Actifs ?

*Plus passif que actif

*

Ah ! pas grave on passe dans ma cabine, nous verrons cela..."

Je ramasse mes vêtements et a poils je monte dans la cabine de son énorme camion

*

Entre, ferme la porte s'il te plaît..."

j'entre dans sa cabine, et affiche un regard un peu intimidé lorsqu'il me dévisage à son tour

*

vous êtes vieux , mais encore très mignon", glisse-t-il en se retournant pour voir ma réaction...
et il me surprend encore en train de regarder sa braguette, puis de fuir son regard en regardant le sol...

"... alors on peut sûrement s'arranger" poursuit-il.

En terminant sa phrase, il s'approche de moi, et commence à passer sa main dans ma barbe.
Je ne dis rien, et me laisse faire.
Ce qui l'incite à poursuivre sa démarche, et à passer ma main gauche sur son pantalon, pour carrément aller baisser sa braguette.
Il en sort son sexe, à moitié dur, et devine ma surprise en voyant la mini bite , a peine 14 sur 3

"wkaaa j’aurai cru plus gros..." lui dis-je à la fois avec un ton rassurant, mais en même temps, dominateur.

Il approche son sexe de mon visage, et commence à me caresser avec.
Je ne bouge pas, mon regard rejoint le sien, et évoque à la fois mon étonnement, mais aussi ma soumission...
Il s'en aperçoit et poursuit sa conquête.
Ses caresses se concentrent maintenant sur mes lèvres, que je maintiens fermées, jusqu'à ce qu'il s'y enfonce en ayant à peine forcer...
Il voudrait bien me faire une gorge profonde, et me regarde avec insistance, pendant que je sens légèrement son sexe finir de gonfler dans ma bouche.
"

Hummmm... c'est bon, vas-y... suce moi bien..." m'intime-t-il.

Il est en train de voir la salope , que je suis , et moi ,la pute mais mâle mûr, et je vais devoir le satisfaire...

Peu à peu la complicité s'installe, et les règles s'établissent

Je ne dis toujours rien, mais ma respiration trahit l'excitation que ce mâle est en train de m'infliger.

A sa demande les rôles s’inversent , arriverais-je a redevenir le mec actif que j’étais a son age….

Il me regarde avec insistance, pendant que je sens mon sexe finir de gonfler dans sa bouche.

Ceci fait, il entame de lents vas-et-viens

Ma main gauche rejoint la droite, et je saisis sa tête avec les deux pour la maintenir immobile, pendant que je lui lime doucement la bouche.

"Hummmm... c'est ça, laisse moi faire..."

Il accélère...
"

Hummmm... c'est bon, vas-y... suce moi bien..."

"T'aime ça finalement hein... cochonne..."lui dis-je avec un ton d'une étonnante courtoisie qui rend l'insulte douce et excitante...
Du coup, il met davantage de cœur à l'ouvrage, et essaie de s'appliquer à me satisfaire

il est en train de devenir ma salope ,moi le mâle mûr

J’ai vite pris en compte sa docilité, et ne manque pas d'en profiter.

Sentant monter mon plaisir, je me retient, et sort de sa bouche.
Assis face à ma hallebarde, il me regarde, impuissant

Je lui donne quelques coups avec mon sexe sur sa bouche.
"Cochonne...T'aimes ça…. hein..."
il ne dit rien, je continue.
Puis je me lève, le retourne.
"Allez, mets toi à poils maintenant, que nous fassions un peu plus connaissance..."
Il obéit rapidement, et se retrouve de dos devant moi.

Je lui prend la tête de sorte qu’il se trouve les coudes sur le siège.
Fesses en l'air.
"Hummmm... Cambre moi ce joli petit cul..."
Il obéit.
"Mieux que ça !" lui mettant une claque sur le cul.

Mon geste provoque un petit gémissement de sa part.
"Ah... mais t'as l'air d'aimer ça aussi..."
Sans qu’il ai le temps de répondre, je lui inflige une série de douces fessées.
Toujours avec courtoisie, je continue sa punition et mes commentaires...
"Tiens vilaine... prends ça!... Eh ben ma salope..." dis-je gentiment.

je laisse exprimer ma soif de mâle dominant.
Je s'abandonne d'autant plus qu'il montre bien qu'il s'agit d'un jeu entre nous...
il prends un plaisir à couiner, et se retourner de temps en temps pour me regarder le fesser.
je marque une pause, le temps d'enfiler un préservatif.
Et je le fixe, s'apprêtant à prendre possession de son cul.
Nos regards se croisent et se "parlent"...
"Ohhhhh... oui... vas-y...possède moi"...
"Donne moi ce petit cul de salope, je vais t'apprendre un peu..."

J’ entre difficilemnt, ma queue est de bonne taille, ce qui ne lui convient qu ‘ a moitié.
Mes gestes sont très lents, mais je prend bien soin de l'enculer à fond.
Je marque bien mon territoire, d'autant que je continue de le regarder et lui aussi.
Je cherche sa soumission dans son regard, et il est satisfait.
Abandonné à mon plaisir, j’ en profite et le ramone jusqu'à plus soif.
Il couine de plus en plus, ce qui intensifie mes allers-retours

Pour accentuer davantage sa cambrure et sa soumission, je lui attrape les cheveux à la base de la nuque et applique une légère traction.
L'effet est immédiat et saisissant.
Puis je ralentit, le lève, le retourne, et l'allonge sur le dos sur sa couchette.
J’ installe ses jambes sur mes épaules, et le reprends avec encore plus de frénésie...
Cette fois je n'en plus plus.
"Huuummmmm...... Que t'as un bon cul, ma salope!!!"
Nos respirations s'accélèrent, et alors qu’ il devine que je vais jouir, il s'empare de sa bite, et lui imprime de rapides mouvements afin de m’accompagner.
"Hummmmmmmmmmmmmm........"

Je ressort, enlève vite la capote, et lui jouit sur le ventre.
Je reprend ma respiration, mais comme il n’a pas fini, je lui glisse vite deux doigts, et tout en continuant à le branler, commence à lui fouiller l'anus.
Il maintiens de lui même ses jambes en l'air, m’ offrant mon trou.
Et bien qu'ayant fini, je réussi à continuer de l'inspirer une incroyable sensation de soumission.
Son cul offert à mes doigts frénétiques, et lui me regardant droit dans les yeux, son plaisir lui appartenant...
IL ne tarda pas à jouir aussi.
Le temps s'arrête, Il reprends aussi sa respiration.
"Hummm.... et bien ma cochonne...."
"Merci", me dit-il.

Je me rhabille.
"

N'hésite pas à repasser, me dit-il..."
Je ne réponds pas, mais mon regard suffit.
Je rejoins ma voiture.
Un peu plus tard dans la nuit, je retourne sur le parking , le camion est toujours la , je tape à la portière , il ouvre la porte de la cabine.

*Je peux te tenir compagnie
Il reconnais ma voix :

"Bonsoir, je ne t’empêche pas de dormir ?" demandais-je en m'approchant.
Je m'assoie sur la banquète, il passe la main sur mon pantalon, et commence à masser mon sexe à travers.
Il est déjà bien dur.
Contrairement à notre première rencontre il y a quelques heures, il sait que je suis à lui, il se sert...
Il sort rapidement mon engin de son étui, et commence à le pomper goulument.
Il n'y a plus personne sur le parking , nous ne nous connaissons pas, alors il se laisse aller et s'exprime comme la salope qu’il a toujours rêvé d'être dans ses fantasmes.
Lui en profite, toujours avec respect et complicité, je le baise sans retenue...
et lui d'ailleurs me baisera aussi plusieurs fois avant la levé du jour...

nous échangeons nos portables dans l’espoir de revivre ce bon moment lors d’un prochain passage sur l’A4 au Relais des côtes de Meuse

A suivre

 

 

 

 
Par simon - Publié dans : ma vie
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Samedi 5 septembre 6 05 /09 /Sep 08:54
voila bientot 2ans que je vous raconte ma vie a travers divers histoirs
a l'aproche de mes 64 ans et pour remercier tous les fifeles lecteurs qui grace a eux m'ont bien classé , je vais me découvrir un peu plus avec une serie  souvenirs souvenirs de ma vie d'ado que je gardais secret.
en publiant certain souvenirs je vais surement  m'attirer la foudre des détracteurs qui voyent les choses de travers.
je suis contre les pédophiles et je les combatterai toujours.

voici  mes souvenirs d'ado

-a 15 ans je me promène en forêt , je tombe sur un mec assis au pied d’un arbre complètement à poils, quand il s’aperçu que je le mâtais grave , il me dit

-tu as jamais vu un mec a poils ?

-heu si mon frère , mon père, mon oncle et aussi des copains

-ben moi j’aimerai me faire un ptit gars comme toi

-ah ! bon, t'as envie de quoi mec,
- de jouir
oué mais je suis pas pd …..moi
moi aussi , je suis normal

-alors pourquoi tu as envie de moi ?
- moi je m'en fous si c'est une fille ou un mec pourvu que je jouisse
- ah bon ? Tu jouis avec des gars ?
- ouai et je fais tout ce qu'ils veulent
- tout ?
- ouai mec
- putain, je n'ai jamais essayé ça
- tu veux essayer là ? Te vider les couilles avec moi ?

Je baisse la tête comme si j'étais timide

- ben... je sais pas ? On commence comment ?

Le mec s'approche et s'accroupi, il prend ma pine et se la cale dans la bouche il me la suce et j'aime ca il suce bien ce putain de mec. Je me laisse faire en disant

- putain je fais quoi ? Je suis dingue ou quoi ?
Il sort ma queue de sa bouche et me dit
- tourne toi je vais m'occuper de ton cul

- je me fais pas enculer, eh je ne suis pas pd moi !
- je ne vais pas t'enculer, je veux te bouffer la rondelle.

Je me retourne et je m'appuie contre un arbre. Il écarte mes fesses et passe sa langue dans la raie, je sens son menton râpeux qui me fait du bien sur la rondelle, il ronge littéralement mon anus, j'en peux plus, j'écarte moi même mes fesses et je dis

- encule-moi, je te veux dans moi, mec. Baise moi le fion avec ta grosse queue raide, vas y avant que je change d'avis.

Il se relève et me caresse le torse il se penche a mon oreille et dit

Je vais t'enculer petit mec, tu vas sentir ma colonne de viande dans tes tripailles chaudes et humides.

Il crache sur mon trou et présente son gland devant mon entrée. Je pousse comme si je veux chier et il entre dedans facilement tellement j'en avais envie, 
depuis ce jour ...je veux me faire baiser, je veux de la pine dans le cul, je suis une pute à mec, j'aime la bite



 A 16ans

 

Dans mon petit village du nord meusien , à quelques pas de la maison des parents un homme fort âgé ( a l’époque 72ans si je m’en rappelle bien).

Cet homme bedonnant (109kg), pour une taille de 1,75m , très mûr et poilu m excite énormément quand je reviens des cours et que je l’aperçois a poil dans son jardin..
Et je fait tous pour l’exciter , un jour je me suis fait inviter chez lui sous condition…
Dune main il m'agrippe la tète et me colle sur son entre jambe .De l’autre main, il me malaxe les fesses à travers mon jean.
Hum regarde comment je te malaxe les fesses fillettes. (On me dit souvent que j’ai un beau cul, un cul de fille.)T’aimes ça être dans les mains d’un vieux pervers.
Il m’enlève mon jean et voit les dessous féminins. À savoir un string dentelle , des bas et une porte-jarretelle
À qui tu a piqué ces dessous de coquine ?
à ma grande sœur.
c’est une salope comme toi, elle en suce des bites ? elle t as déjà branlé ta sœur ?
non jamais !
Je sens sur ma bouche que son sexe a prise du volume, il commence à respirer plus fort.
Enlève moi mon pantalon me dit il.

Il retire sa chemise et laisse apparaitre son gros ventre poilu.

---tu sais ce qu’il te reste à faire.
J'hésite, mais je me rends compte que ma bite est sortie du string en dentelle que je porte tellement elle est dure. Dune main je le branle alors que son gland touche mes lèvres.
ouvre me dit il tout en se relevant. Sa bite rentre doucement dans ma bouche.

Ouf.. ça y ai j’ai enfin sa bite dans la bouche, et quel bite.
allez, SUCE ! Suce… suce !

Il me baise la bouche en me maintenant la tête entre ces deux mains imposantes.
Ouvre plus grand. Avale à fond. Fais tourner ta langue. Tu aimes ça salope ? Réponds-moi !
oui.
t’aimes ça sucé des bites de vieux hein ! C’est bien ça ! T’avais vraiment envie de sucer toi !



J’enlève mon polo et me met en position à 4 pattes. Il passe sa bite sur tout mon corps, mon dos, mes bas, entre mes fesses et mon string, dans le cou, partout. Il tapote sa bite sur mon visage.
Allez reprend ton boulot et suce-moi à fond pétasse.
J’aspire son gland, lèche sa bite et l’enfonce au plus profond de ma gorge.
Je sens son gland toucher le fond de ma gorge.

Sûrement pas assez pour lui vu qu’il force et me baise la bouche. Il va de plus en plus vite je sens qu’il va jouir, il me tient fermement la tète alors que j’essai de retirer ça bite
Tiens salope, prends mon nectar chienne. Ooooohhhh avale avale. T’aimes ça le sperme sale pute

Il me tient le haut de la tête et le menton. Et me force à avaler.

Il me représente sa bite.

--- Nettoie la salope.
Je m’exécute et lèche son gland et le sperme qui resté. Elle est toute propre.
Tu vois que tu aimes ça, tu bandes comme une salope.

je me lève et commence à remettre mon jean.
Tu ne crois pas que tu vas partir maintenant je n’ai joui qu’une fois.

Je pourrai dire à ta mère ou ton père, que tu passes toutes les soirées à ma regarder a poil avec tes jumelles ,qu’en dis-tu ?
Non s.v.p. ils ne savent pas que je suis gay, j ai honte.
Viens là à quatre pattes ton cul contre mes jambes salope chienne. Regarde comment ma bite coulisse entre tes fesses sale suceuse de bite. Tu la veux dans ton petit trou de vierge salope ? Je ne bande rien qu’à imaginer que je vais te dépuceler le cul pétasse. Dis-moi que tu la veux ?

---Je ne veux pas, lui dis-je. On s'était mi-d'accord sur une pipe c’est tout et vous êtes déjà allé trop loin. Je dois m'en aller je suis désolé '.
non, non, avaleuse de sperme, tu veux que je dise a ta mère , comment t’avales? quand elle viendra prendre sa dose .

---pas vrais

---oh ! si .. car elle aime ma bite aussi ,elle fait ma lessive toutes les semaines et se fait payer en nature

---alors tu dit plus rien et je t'encule contre mon silence. Prends ce coussin, mets-le par terre, et pose ta gueule de pute dessus.
Je m’exécute il tire mes fesses vers lui et pose du lubrifiant sur ma rondelle et sur son pénis long de 18 cm (pas de capote a l’époque). Il pose son gland sur mon anus et attend quelques secondes. Il regarde mon bas ventre et voit que le string est tendu à son maximum.
Ça te plait même si tu ne veux pas l’admettre. ..ça t’excite

Alors que je lui réponds un NON-svp étouffé par mon cousin ,il pousse un grand coup, son gland et une partie de sa bite rentrent dans mon trou vierge. Je cris en relevant la tète il me gifle et me renvoie la tête contre le coussin. Il continue à pousser pour faire rentrer ses 18cm dans mon trou. Après de nombreux vas et vient je sens son ventre sur mon cul. L’enfoiré a glissé ses 18 cm en entier dans mon trou sans mon véritable accord.
Hum t'es toute serrée salope, j’adore dépucelé des petites pédales comme toi. Je suis bien au chaude j’ai envie de rester là sans bouger. Tu aimes avoir une grosse bite au trou ?
ça fait mal.
mais tu bandes dur pédé.

 

Alors qu’il avait toujours sa bite entière dans mes petites fesses de femelles il me branla quelques minutes. Je ne tardai pas à éjaculer. Il me fil lécher mon propre sperme
t es trop bonne chienne, j’adore tes fesses de fillettes.
Clap clap clap ses couilles tapaient sur mon cul.
arrêtez s.v.p. ça me brule.
c’est normal pour une première fois. Je te dépucelle avant que de nombreux hommes profitent de toi sale pédé..
Il continua à baisser " ma petite chatte " comme il disait durant des minutes qui me paraissaient interminables.
Il se branla sur mon visage et éjacula sur mon front, mon nez mes lèvres, mes cheveux. J'en ai partout.
tu vois que tu aimes le sperme pute. Suis-moi va te laver.
Il m’enleva mon string et mes bas et me fit mettre dans la baignoire.
Rince-toi.
Je pris le pommeau de douche et passa l'eau sur tout mon corps.
Il coupa l eau et m’attrapa l’épaule pour me mettre face à lui.
Ouvre la bouche et ferme les yeux.
Un jet de pisse chaude arriva sur ma tète, mes cheveux, j’en reçu dans la bouche. Je recrachai tout de suite. Il s’arrêta de pisser et me gifla.
tu dois avaler ma pisse comme une véritable salope le ferait.

Il pissa ainsi des petits jets en se retenant. Il veilla à ce que j’avale bien. Il eu vite fini heureusement, mais j’avais avalé toute sa pisse.
Il me laissa me doucher et partir.

Je fus dépucelé une seconde fois mais il ne su jamais que je n’attendais que ça et j’avais eu en prime une partie uro que j’affectionne encore de temps en temps

Je n’avais rien dit en partant, mais ce pervers ma lancer un " a bientôt salope" en me pelotant une dernière fois le cul

Oui j’y suis retourné quelques fois, et c’est lors d’une de mes rencontres que ma mère compris que j’etais gay quand le vieux lui dit

--- Marguerite arrête ton repassage et viens baiser avec nous

quand elle franchit la porte , elle me trouva la bite du vieux dans la bouche , elle ne dira rien (ce fut notre secret)

a suivre

Par simon - Publié dans : ma vie
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Dimanche 30 août 7 30 /08 /Août 10:54

Fidèle avant tous.

Alors que je me trouvais seul chez moi , ce dernier WE d’août et que l'ennui commençait à me gagner, je décidais, de regarder un DVD spécial SM

.A 64 ans je ne connais pas et n’ai jamais trouvé un partenaire qui m’a proposé ce genre

Les premières scènes commencèrent à m'exciter au point de me branler puis je fus pris d'une envie et j'éjaculais sur moi. J'éteignis la télévision retira le dvd et le foutre encore chaud sur mon abdomen je décidais de tenté une expérience SM. Je pris ma voiture et je me rendis à Metz dans une boite ou un lieu aménagé pour les plans cul SM, adresse trouvé sur le net..

Le personnel en moyenne la trentaine se rendit compte que c'était la première fois et un des mecs demanda a son pote , le plus jeune tous juste 20ans ( je crois) Benjamin tu seras son guide suprême et fait lui visité les lieux, mais, avant allais que je me mette en condition, car je n'étais pas habillé cuir, mais, survêt, t-shirt. Il ne prêtait aucun vêtement et le mec qui était avec moi me dit

Papy ,ici c'est cuir tu sais ont voit que c'est la première fois
oui j'en ai envie d’essayer

Pendant que je retirais mon T-shirt, il vit un peu de sperme séché et dit

tu t'es fait baiser papy?
non j'ai maté un DVD sm et ça m'a excité et j'ai joui
ce soir tu seras en réel mec ta quoi sous le survêt ?
rien
ok actif ou passif ?
passif
si tu veux je t'initie si t'aimes ont passe a la vitesse supérieure

Une fois nu je le suis et ont descend au sous-sol ou se trouve tout le matos pour une baise sm, pendant tout le trajet beaucoup de mecs mon regardé avec un grand intérêt.. Certains mecs n'hésitaient pas a se caressé la queue d'autres passaient leurs langues sur les lèvres. On entre dans un endroit ou se trouve un slang chose que j'avais dans le DVD et me faire baisé sur un slang était un de mes rêves il la vu a mon regard. Il s'aperçu également de mon érection naissante et il me sourie voyant que j'étais un peu tendu et il entama la conversation.

  • Ça te fait envie le slang ?
    oui
    alors, tu y passeras
    ---hummmm!!
  • déjà fisté ?
    non jamais
    tu veux essayer ?
    s’ai pas , on verra par la suite
    uro ?
    oui quelque fois avec des copains de Maxime
  • sperme ?
    oui
    t'avale ?
    oh ! ouiiiiii trop bon

Pendant tout son interrogatoire je m'aperçu de la bosse que fait ça bite et ne pu m'empêché de la caresser, il me laissa faire, tout en continuant mes caresses sur son slip je baisse son pantalon, mais, là il retint ma main. Alors il sorti sa queue de son slip une très belle bite pour son jeune age dont ont voyait les veines gonflée, tellement dressée 19 à 20 cm et pas loin de 6cm de diamètre ,elle était dure au touché, mais, ne tenant pu je m'engouffrais cette belle bite bien dure dans ma bouche et caressais ses couilles avec mon autre main.

Puis je mis ma main sur ses fesses que je commençais a caressé aussi c'est a ce moment que je mis un doigt dans son cul ce qui le fit gémir et n'eu aucun geste pour l'empêcher. Au contraire, il semblait aimer au point de jouir dans ma bouche avec une telle force qu'une partie coulait sur ma barbe et mon torse. La première fois que je voyais un mec jeune avec un sperme aussi abondant, épais et sucré, c'était délicieux et il le vit quand je léchais son gland afin de récupérer le reste de sperme. Puis avec sa queue il s'amusa un peu me donnant des baffes avec sa bite. Il a vite compris que j'aimais cela alors il me dit sur un ton bien différent qu'au départ.

allez sale pute monte sur le slang que je vois ton trou de chienne

Une chose que je n'avais pas remarqué, sur son t-shirt il y a écrit " MASTER ", mais, il était trop tard je lui avais montré ce que j'étais et il n'était pas près de l'oublier.

  • Putain ta la chatte bien ouverte pouffiasse je vais m'occuper de ton cul de lope
  • oh! ouiiiiii
  • dis très fort que t'est une lope une vide couille
  • oui je suis une lope, un vide couille
    dis-le plus fort , crie le j'ai dit !
    OUI JE SUIS UNE LOPE ET UN VIDE COUILLES

Tout les mecs entendirent cette phrase, certains venaient même jusqu'a l'endroit ou nous nous trouvions. Le master finit par entrer sa queue de force ce qui me fit crier

ta gueule salope c'est ce que tu voulais alors ferme là

Mais je criais a ses assauts alors il tourna la tête et demanda un des mecs de venir afin que je le suce. L'un d'eux monté de 19.5 me présenta ça bite et je commençais a le sucé, puis la douleur disparaissais concentré sur le plaisir que je donné au sucé et aussi aux miens que mon cul prenait une belle bite de 20 cm.

t'aimes la queue pouffiasse tu va en avoir dans ta gueule et ton cul
 je fis signe de tête montrant ma soumission

Puis il dit bien fort

CE MEC EST DÉSORMAIS MA PUTE TOUT LE MONDE PEUT LA BAISER COMME IL LE VEUT, MAIS PAS DE COUPS.

Je suçais de plus belle et mon maître éjacula dans mon cul et fit signe a un autre d'y aller. Celui que je suçais me remplit la queue de son foutre que j'avalais avec plaisir. Ce n'était plus une baise en duo, mais une touze que j'acceptais sans me plaindre. Mon maître s'en aperçut et me dit

allez putain suce bien et avale tout compris

Je fis un signe de tête il entendait mes gémissements et ne fit rien il voulait que je prenne mon pied et souhaité me voir jouir. Puis il s'adressa au mec qui m'encule

prends-lui sa bite et branle-le je veux le voir jouir

Il dit cette phrase assez fort pour que tout le monde comprenne. J'avais les jambes en l'air bien écarté en train de me faire enculer sans ménagement et j'aimais cela. Le mec qui m'enculait avait joui dans mon cul et mon maître le retint et lui dit

baise là encore jusque ce que cette femelle jouisse
j'viens jouir j'ai pu envie
suce là alors
non
suce je t'ai dit

Il attendit que je jouisse pour me faire descendre du slang.

Là un mec avec une queue bien raide s'allonger sur un matelas pendant que je m'empalais cette belle bite bien raide dans mon cul de pute. Puis il me pencha vers le mec que je chevauchais et un second mec fit entré sa queue dans mon cul pendant qu'un 3e se plaça en face de moi pour le sucer.

Alors salope t'aime sa hein ?
t'est une vraie pute te faire troncher ainsi
un trou a bite, un garage a bite une putain à remplir dans tout les trous
avec moi tu te feras baiser

Il regarda la scène et vit un mec prendre des photos de la baise , un super black qui attendais de m'enculer comme une pute et une chienne a bite, une salope qui veut sont foutre.

Le second mec qui m'encula se retira et désigna le un super black Mohamed quand celui-ci lui dit

--- lui je le prendre seul.

Le maître acquiesça et donna l’ordre de laisser la place à Mohamed.

Une fois les mecs parties Mohamed et mon maître qui se nomme George ou Maître George laissa Mohamed faire ce qu'il voulait de moi.

Il entra sa grosse et belle queue dans mon cul (un bite d’étalon)et m'encula sans ménagement puis il dit a Maître George

George va te faire sucer
oauisssssssssssssss ça  va lui plaire sale chienne
une bonne pute en tout cas
ouais et en chaleur en plus

Il parlait comme si je n'étais pas là, pour eux j'étais qu'un sac à foutre qui aimait se prendre des bites et avalé le jus quand Mohamed dit

alors putain t'aimes ma bite ?

Un signe de tête car occupé a sucé mon maître.qui me dit "  Réponds a Mohamed putain t'aimes sa queue ou pas ? " Je me suis retiré et j'ai dit " j'aime ta queue volumineuse , meilleur que les 2 précédentes ,défonce moi autant que tu veux et remplie moi, car je suis la pute de mon maître et je fais ce que l’on m'ordonne ". Surpris par ma déclaration Mohamed me défonça le cul lequel commença à gémir puis se mis à me remplir le cul. Il resta dans mon cul de pute pendant un certain temps et se retira. Son gland dégoulinant de jus bien chaud attendit que maître George est jouis et vint me présenter ça bite pour que je la nettoie. Je l'est tellement bien nettoyé que je me suis mis à sucer cette belle queue jusqu'à ce qu'il jouisse à nouveau.

  • putain ta une bonne suceuse et un garage à bite
    ouais pour cela elle aime ça la salope

    faudra que je lui présente mes potes
    Puis s'adressant à moi
    putain je vais te faire sucé tous mes potes et t'auras du boulot, une bonne suceuse comme toi ça s'arrête jamais
    la prochaine fois tu pourras voir tes exploits en vidéo tu reviendras n’est-ce pas ?
  • peut être
  • comment ça " peut être ? "

je ne répondis pas.

Puis il se mit à me remplir la bouche et j'avalais le tout. Je me levai sur son ordre il vérifia mon cul et vit qu'il était bien large de quoi faire entré encore deux queues. Mohamed et Georges se regardaient et il dit

une fois qu'il se sera empalé sur ma queue, encule-le
ouais la touche finale pour ta putain

de retour a la maison , le cul encore en feu et super bien ouvert , je trouva Maxime mon jeune amant en colère et jaloux de me voir dans cette état ,pris le fouet et me frappa en disant

___si ma bite te convient plus dis le moi salope

___chéri je ne le referais plus, punis moi……

___tu es a moi , je ‘taime tu comprend ça sale pute….

___ oui oui chéri moi aussi je t’aime et toi seul sera mon maître , je ne recommencerai plus.

après un long baisé , Maxime me pardonna et ma baisa en douceur comme il sait si bien le faire.

Conclusion :

être Fidèle avant tous

FIN

Par simon - Publié dans : ma vie
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Samedi 15 août 6 15 /08 /Août 15:27

Quelques jours apres le mariage

(voir  ma vie 30 -épisode précédente)


Sur la route du retour

Faisant escale a l’hötel à Dresden en Allemagne , après une bonne douche , suivi d’un diné bien arrosé

,de retour dans la chambre…..je fus surpris…quand le plus jeune me claqua les fesses

 

 

 oooh Papy  dit Fréderic

... Laisse-nous te caresser les poils de ton torse s'il te plaît...
- Oh oui, Papy ! Fais-nous plaisir !  dit Jérémy
- Jérémy va se faire un plaisir de t'embrasser... Pas vrai ?
- Mmmmh ! Puis-je te caresser ton torse en même temps, Papy ?
- Bien sûr ptit ! Toi et ton frère, ne vous gênez pas ! Je suis là pour vous satisfaire... "
-papy c 'est juste pour te remercier de nous avoir fait vivre ce mariage en Pologne ou l'on gardera un bon souvenir.

-Vous savez bien que je ne peux rien vous refuser, mes petitsx anges ! Je vous demanderai juste en échange de tendres baisers...

 

La petite séance de baise commençait sous les meilleurs hospices ! Comme d'habitude, mes deux fils aimants excellaient dans l'art de m'échauffer. J'étais assis confortablement entre mes deux garnements qui me prodiguaient les caresses les plus sensuelles et les plus entreprenantes.
À ma droite, j'avais donc Jérémy, mon plus jeune petit fils , que j'embrassais à présent. Son aîné âgé de dix neuf ans, à ma gauche, s'affairait pour le moment à me titiller mes tétons perdus dans ma toison grisonante.

Jéremy donna, le premier, des signes de grande excitation :
Papy ! Je dois absolument sortir ma bite de mon boxer... Je... Je n'en peux plus !
- Déjà ? Regarde donc ton frère ... Lui sait conserver son calme...
Son frère prit la parole à son tour :
_Plus vieux, oui ! Mais de quelques mois seulement ! Moi au moins, je ne suis pas un petit pisseux qui ne pense qu'à son plaisir personnel... Je pense à notre papy, figure toi
- Mais moi aussi, j'aime Papy ! Hein Papy , tu sais que je t'aime fort ?
- Oui, ptit ! Toi et ton frère m'aimez très fortement, je le sais bien !

- Ben oui, je sais mais Frédo a toujours su garder son self control...Moi pas ! Et puis, il est plus vieux que moi ! "

 Donc, ce n'est pas faire preuve d'égoïsme de ma part d'avoir envie de sortir ma queue pour me caresser un peu ?
- Non, ptit ! C'est même moi qui vais t'enlever ton boxer qui te serre de trop, je le vois bien ! "
 
Joignant le geste à la parole, je retirai prestement le petit boxer noir de mon rejeton. Une belle bite rosée et délicate fit alors son apparition. Maintenant soulagé, mon plus jeune ptit fils me regarda d'un air malicieux

Je devinais, à son air, ce qu'il avait en tête. Incapable de résister à son sourire enjôleur, j'acquiesçais.

_Tu veux téter la bite à Papy, on dirait...
- Oh Papy ,oh ! oui !
- Fais comme il te plaira, mon chéri ! Pendant ce temps, je vais m'occuper de ton frangin ! "
En signe d'assentiment, je posai ma main sur la tête de Jérémy. Ce dernier enleva mon boxer à son tour (identique, en tout point au sien à l'exception de la taille) et s'attaqua à ma verge. Je sentais sa langue remonter le long de ma hampe jusqu'au gland et s'arrêter sournoisement juste avant celui-ci

Pendant ce temps, ma langue et celle de Frédéric, mon ptit fils aîné, se livraient à un échange salivaire des plus savoureux.

Quel bonheur d'être ainsi le centre de toutes ces attentions !
Je ne savais ce qui me faisait le plus plaisir... Le contact de la langue de Jérémy sur mon gland ou bien le baiser passionné que je partageais avec Frédéric.
À dire vrai, peu m'importait ! Peut-être la conjugaison des deux ?

Tel un sultan dans son palais, mes deux mignons s'attachaient à me rendre mon statut de grand père des plus agréables. Quel grand père n'a pas rêvé d'avoir deux tendres éphèbes, prêts à toutes les folies, pour lui procurer un maximum de plaisir ?

Quel amour pouvait surpasser celui que nous partagions, tous les trois, dans le secret le plus absolu ?

Vraiment, j'étais un grand père comblé ! Je laissais ainsi faire mes deux ptits fils, sûr de leur tendresse et de leur amour infini.
" Oooh ! Mes amours..."
murmurai-je lorsque Frédéric, à son tour, vint prendre en bouche mon gland dégoulinant de flot d'argent...

Plus expérimenté dans l'art de la fellation, Frédéric avait en effet tout pour me faire parvenir rapidement au septième ciel. Je ne faisais cependant pas paraître trop mon émoi, afin de ne pas peiner Jérémy.

Mais, discrètement, je caressais la nuque de l'aîné pour prolonger la pipe. Instruit de cette soudaine connivence, Frédéric accentua la sensation de succion en refermant ses lèvres tout autour de mon gland. Par instant, sa langue glissait sur mon frein, m'arrachant, à chaque fois, des soupirs d'extase.

Il allait et venait de la sorte et descendait parfois jusqu'à mes lourdes couilles remplies de jus. Ses mains me caressaient mes jambes poilues et bronzées. Parfois même, l'une d'entre elles s'aventurait entre mes cuisses, dans les replis de mon cul. Je frémis au contact de ses doigts juste au bord de mon antre duveteuse.

" Oh ptit !, pensai-je avec bonheur, tu sais si bien y faire avec ton grand père... "

Je décidais, moi aussi, de prendre un peu les choses en...bouche.

Abandonnant mon sexe à l'appétit vorace de Jérémy, je goûtais à la pine de son frère. Tout en la prenant au fond de ma gorge, je ne pouvais m'empêcher de comparer la bite de Frédéric à la mienne. Bien que plus jeune que moi, mon ptit fils aîné avait une queue plus grosse que la mienne. Blanche et rosée, comme son frère, mais nettement plus imposante. Je n'avais de cesse de lui flatter ses bourses pleines ce qui lui arrachait des gémissements excitants.

" Comme cela, oui... Continue Papy ... Je... Je t'aime... "

Je le regardais un instant tout en continuant à m'activer sur son sexe. Il gardait les yeux fermés, tressautant au moindre mouvement de langue que j'intensifiais. Je conservais néanmoins un oeil attentif sur Jérémy. Ce dernier prenait visiblement son pied à me pomper le noeud.


Véritable trait d'union entre mes deux ptits fils, je constatais, avec un amusement certain, qu'ils gardaient bien de se frôler. J'en déduisais donc qu'ils ne l'avaient jamais fait ensemble, leur attirance étant exclusivement dirigée vers moi. pour m'exciter
Du coup, j'étais partagé entre le bonheur immense d'être le centre de leur désir et de  pouvoir assister à un ébat fraternel.







Les voir, tous les deux, en train de se baiser  mutuellement... Quel spectacle, tout de mêmeMais mes ptits fils semblaient préférer visiblement partager leur papy plutôt que de se livrer à un corps à corps entre eux.

Allongé sur le canapé, je ramenais mes jambes vers moi tout en pompant à fond Frédéric. Sa queue droite et épaisse me déformait la bouche tant il me ramonait la gueule. Jérémy prenait, pour sa part, de plus en plus d'assurance et commençait à me faire mouiller sérieusement du gland.
Je n'osais imaginer une fellation pratiquée par ces deux jeunes gars en même temps.

Comme si ce n'était pas suffisant, Jérémy me branla soudainement. Un véritable expert de la masturbation, me semblait-il ! Entre son frère doué pour les pipes et lui, maître en branlettes, que d'orgasmes en perspective !

Je me laissais faire, redevenant, à nouveau, dépendant de leur bon vouloir. Je sentais au fond de moi que ma relative passivité n'était pas sans leur déplaire. J'étais un peu comme un jouet entre leurs mains.

Frédéric me pinait consciencieusement la bouche et ne se privait pas pour me dire combien il appréciait mes coups de langue :
" Continue à bien me lécher, Papy ... As tu remarqué combien ma pine, dans ta bouche, était si grosse ? C'est parce qu'il n'y a qu'un Papy pour faire autant de bien à son ptit fils... "

Aussitôt ces mots prononcés, Jérémy suspendit la masturbation :
" Papy ? Moi aussi j'aimerai bien mettre ma bite en toi ! C'est pas juste que Frédo soit le seul à en profiter... "

Soucieux de lui faire plaisir, à lui aussi, je décidais de lui abandonner mon second orifice.
" Encule-moi, ptit ! "

À l'instant même où je donnais mon autorisation à Jérémy, je sentis Frédéric me lâcher une petite salve de foutre. Je craignis un instant qu'il allait jouir mais ce n'était qu'une fausse alerte, heureusement !
Une fois encore, je m'amusais de la compétition à laquelle se livraient mes deux ptits fils. À croire que c'était à celui qui serait le plus imaginatif, le plus aimant, le plus pervers aussi...

Au moment où Jérémy approcha sa bite de mon cul, j'entendis alors, non sans une certaine appréhension, des mots dont je n'aurai jamais cru Frédéric capable de dire :

" Vas-y mon frérot ! Commence à bien l'enculer... Puis ce sera mon tour... Et là, je vais bien le faire crier, cette pute !...
- Oui, Frédo, on va lui déchirer le cul !
- Tu entends, salope ? Tu as beau être notre Papy, on va t'éclater la rondelle ! "

Jérémy, avec toute la fougue de la jeunesse, violenta mon anus et entra en moi brutalement.
Ce fut à cet instant que je jetais mon premier cri de douleur" Aaah ! "
hurlai-je tandis que Jérémy me forçait l'anus brutalement.

Ce petit salaud n'y alla pas par quatre chemins ! Il enfonça dans mon cul sa tige fine mais assez longue tout de même pour me faire amplement mal.

Je me décrispais cependant. Pendant ce temps, Frédéric revint à la charge de son côté et exigea de moi une totale docilité :
Suce-moi sale pédé ! "

Surpris une nouvelle fois par la véhémence de ses propos, je laissais Jérémy m'enculer de façon fort peu délicate. Je voulus me redresser pour l'écarter mais il pesa de tout son poids sur moi, aidé en ce sens par son frère aîné. En représailles, je fut sauvagement ramoné par la bouche et par le cul.
" Bouge-pas, Papy ! Tu ne voudrais tout de même pas que tes deux ptits fils ne prennent pas leur pied, n'est-ce-pas Papy?
- Mmmmmh !
- On dirait qu'il veut nous dire quelque chose...
- Lâchez-moi ! Ça suffit maintenant !
- Ta gueule ! Tu croyais peut-être que tu étais le centre de nos vies, pas vrai ? Quelle incroyable suffisance de ta part... "

Je compris alors mon erreur. Bien loin de me considérer avec toute la bienveillance et la bonté dont je les croyait capable, ces deux-là ne me voyaient que comme un objet sexuel, un joujou tout juste bon à épancher leur soif de jouissance.
Ils m'avaient bien leurré, moi qui croyais qu'ils ne faisaient rien en mon absence... Que de parties fines, ils devaient s'être rendus coupables !
La pine paternelle ne leur suffisait plus, c'était évident ! Déjà, Frédéric me surpassait en longueur de queue. Expert en pipe, il devait rendre fou son plus jeune frère. Et Jérémy, moins bien monté, en avait une assez longue tout de même, suffisamment pour exciter son frangin.

J'essayais de nouveau de me relever mais peine perdue ! Mes deux ptits fils , dans la pleine force de leur âge. Ma position allongée ne facilitait pas les choses non plus. Bref, j'étais coincé entre eux deux !

Je décidais, provisoirement, de ne pas lutter et de me laisser faire. Je changeais de position et me fit prendre en levrette par Jérémy, de plus en plus outrancier dans ses propos :
_As-tu vu, Frédo, comme je le pine bien ? Il en avait envie, non ?


- Sûrement ! Vois avec quelle avidité il avale ma bite ! Maintenant que nous le supplantons en tout, il doit se sentir bien diminué ! "

Diminué, rabaissé, je l'étais en effet !
Je me sentais dans la position peu enviable d'un vieux lion qui voit les prétendants au trône se liguer contre lui. Frédéric avait parfaitement raison ! J'étais totalement dépassé par mes deux ptits fils, véritables mâles en devenir... Mais, s'ils prenaient ma place, qu'allais-je bien pouvoir devenir, au sein de notre trio ?
Frédéric sembla lire dans mes pensées et me dit, fort à propos :
_Tu te demandes quelle est ta place à présent, hein ? Je vais te le dire, Papy ! Tu vas devenir notre vide-couilles, à mon frère et à moi ! Pourquoi crois tu que nous ne nous touchons pas en ta présence ? Tout simplement parce que nous ambitionnons tous les deux la place de mâle dominant... Toi, tu ne l'es plus ! Nous allons nous servir de toi, de tes deux orifices, pour savoir qui de mon frère ou de moi est le véritable mâle de la famille... Tu peux donc crier, tes souffrances ne nous serviront, au mieux, que comme des indicateurs sur la fougue que nous ferons preuve tous les deux.. Sens tu les coups de boutoirs que Jérémy inflige à ton cul ? Ou bien plies tu sous la douleur de ma pine qui te ramone la gorge ? "

Baisé de la sorte, je ne pouvais répondre à la double interrogation.
Je ressentais de la douleur par les deux trous mais, je dois bien l'avouer, une extraordinaire jouissance interne.
En effet, le petit discours de Frédéric provoqua en moi, à ma grande honte, une gaule du tonnerre !
Dans ce double viol, j'accomplissais pleinement mon rôle de Papy : celui de transmettre à mes ptits fils des choses aussi essentielles que la virilité, l'autorité et la vigueur.
Je me dépossédais, certes bien involontairement, de tous ces attributs mais c'était pour le bonheur de mes ptits fils chéris.
Alors, oui, j'allais supporter sans coup férir le double assaut !

Les deux bites me fourrageaient de part en part. Soumis, je glissais une main sous les grosses couilles de mon ptit fils adoré. Plus je recevais des insultes, plus je me faisais délicat dans la manière d'ouvrir la bouche et de serrer tendrement mes lèvres autour du gland rougissant. Plus ils me faisaient mal et davantage j'écartais mes cuisses pour faire entrer un peu plus profondément cette fine tige indécente d'orgueil.

" Suce-t'il bien au moins ? s'enquit Jérémy derrière moi.
- C'est selon..., répondit Frédéric.
- Comment cela ?
- C'est bien simple : Plus tu lui pilonnes le cul et plus il me pompe bien ! C'est à croire que mon plaisir dépend de la vigueur avec laquelle tu lui bourres le cul !
- Si ce n'est que ça, compte sur moi pour t'amener jusqu'à l'orgasme ! Je vais le piner à fond ! "

Leur échange verbal, bien loin de me faire débander, m'excitait énormément. Je n'étais plus leur Papy mais leur "pute", leur "pédé", leur "vieux salaud."
J'en rajoutais aussi en me cambrant de façon outrageuse...

" Bon, maintenant, à moi de l'enculer à sec ! "

Je frémis. Comment ! Voilà donc que Frédéric, mon ptit fils à la bite si imposante désirait me prendre...

_Oh, vas-y mon chéri... Papy va se laisser enculer pour ton bon plaisir...

Jérémy se retira de moi. Il comprit à ce moment qu'il ne pourrait pas rivaliser avec son frère aîné. Du moins pas encore. Pas aujourd'hui.
Le rôle de mâle dominant était attribué, à l'unanimité à Frédéric.

Ce dernier vint se place de façon victorieuse derrière moi et, sans coup férir, m'encula d'un coup sec

Les larmes embuèrent mes yeux. Pour la seconde fois, je lâchais un cri de douleur.
Mais celle-ci était combinée à un véritable plaisir... Celui de l'outrage, de la domination et du viol.
Mon trou allait être baisé, fouillé en profondeur, saccagé.

Tout cela pour le bien être de mes ptits fils...

Jérémy se positionna à mes pieds et pris en bouche ma verge entière.


De sa main gauche, il vérifia que la bite de son frère coulissait parfaitement dans mon anus dilaté.
Quant à moi, j'essayais de contenir, tant bien que mal, l'assaut de Frédéric.

Je gémissais à présent de bonheur. J'étais humilié mais qu'importe ! Je sentais la verge de Frédéric dure comme de l'acier, prête à exploser dans mon fondement...
Pourquoi essayer d'échapper à ma nouvelle condition de vide couilles ?
Pourquoi me révolter contre l'inévitable ?

Comment ne pourrai-je pas accepter que le règne de mes ptits fils commençait dès aujourd'hui ?
Moi aussi, j'avais été comme eux, il y a longtemps de cela.
Moi aussi, j'avais soumis mon oncle de la sorte. Palier incompressible menant au statut d'homme que je revendiquais encore il y a de cela une heure à peine...

Je n'avais donc plus qu'à ravaler ma fierté et jouir dans la bouche de celui des deux qui me considérait, provisoirement, comme un Papy... Mais pour combien de temps encore ?

Combien de temps lui faudrait-il, lui aussi, pour me déclasser, comme venait de le faire Frédéric ?

Prêt à jouir dans mon cul, Frédéric gémit à l'attention de son frère :
_Fasse que tu deviennes toi aussi un homme, mon frère, pour que nous puissions enculer notre Papy en même temps... "

À l'idée d'une prochaine double pénétration, pratiquée par les deux êtres que je chérissais le plus au monde, je déchargeais à grands jets de foutre dans la petite gueule du benjamin.

Baisé ! J'allais l'être doublement !
Quel bonheur en perspective !
jérémy me suçait a merveille et dans un sursaut je gigla mon jus dans sa bouche en lui disant
_Bois mon sperme, avale mon ptit! Que cela te fortifie et fasse de toi un bel étalon comme ton frère aîné...
Qu'il me tarde d'être pénétré par vous deux
!

...avant de mourir….de plaisirs
[FIN]

Par simon - Publié dans : ma vie
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Lundi 13 juillet 1 13 /07 /Juil 18:50

une histoire (la 1ère partie) écrite par PAUL , que j'ai modifié et agrémenté de photos du net ,qui est sans le vouloir une de mes aventures vécu par moi je suis ravis de vous la faire partager







3 juillet 2009 ,je me rendais a un mariage en Pologne , accompagné de mes deux petits fils.

 

 IL M'A ENSORCELé 

 

La fête battait son plein , mes petits fils , ma lgrés la difficulté de la langue s ‘ amusaient à merveille avec leurs nouveaux cousins.

Vers deux heures du matin , je sortis pour prendre un peu l’aire et pisser un coup , je me dirigea vers un bosquet et la….. je trouva un jeune épris d’alcool.

_ Est ce que ça va ? T’as besoin de quelque chose ?
_ Tu m’invites à boire un verre ?
_ Quoi ? Tu penses pas que tu en as assé , tu devrais rentrer chez toi te coucher?

_ chez moi. , oui mais apres

_ Alors t’as soif, t’as faim ? tu veux quoi ?
Il me répond impassible :
_ Que tu m’encule.

Douche froide. J’en reste bouche-bée. Il a pas froid au yeux. J’esquisse un sourire mal à l’aise.
_ Pardon ? Ah ah ah… Dit moi, on s’est pas présenté encore… moi c’est Jean-Paul. Et toi ?
_ Appelle moi comme tu veux.
_ Hein? Mais t’as bien un prénom dit moi ?
_ J’en ai un. Mais ques ça peut te foutre ?
_ Okaaayyy. Bon ben je sens que ça va être sympa ce soir.
_ Sûr que ça va être sympa. Tu m’encules quand ?
_ Hum… Ecoute. T’es gentil. T’es mignon. Mais on va arrêter les conneries là. La plaisanterie a assez duré j’crois. Maintenant si t’as faim dit moi c’que tu veux. Si t’as soif pareil et quand t’as fini j’te ramène chez toi. Et basta.
Le gamin me regarde toujours avec ses grands yeux, impassible.

_ Pourquoi tu t’énerves ?
_ Je m’énerve pas… je suis pas énervé. Mais bon, j’espère que tu comprends qu’on ne dit pas ce genre de chose à un inconnu. Ça se fait pas et ça peut être dangereux. Tu sais pas sur qui tu tombes.
_ J’te connais maintenant tu t’appelles Jean-Paul. Jean-Paul… JP… J’peux t’appeler JP ?
Soupir. Mais qu’est ce que je fous ici moi. Mais c’est qui ce gosse ?
_ Fais comme tu veux…

une serveuse passa pas loin de nous et demanda :
_ Messieurs ? Vous voulez quelque chose ?
_ Une vodka ! Double…
_ Moi aussi.
_ Hors de question. Sans alcool pour lui.
_ Eh mais…bon…une petite , alors avec du coca.
_ Vous voulez manger aussi un peu ?
_ Non merci j’ai pas faim. (Ce gosse m’a coupé l’appétit) T’as faim ?
_ J’ai envie d’un truc chaud… J’aime quand c’est crémeux et blanc.
Je crois que le sang à quitté mon visage en 1seconde. J’me sens devenir blanc. La sueur commence à perler de mon front. Mais c’est pas vrai… Mais il va allez jusque où ce petit con ?

_ je vous met un petit assortiment de gateaux ?
_ Non, j’prendrais plutôt une saucisse, une grosse saucisse.
Ce petit con me nargue avec un sourire narquois. Mais à quoi il joue ?

_ Bon allez ça suffit Thomas ! T’arrête d’importuner la serveuse et tu fais ton choix…
_ Bon d’accord, saucisse.

Ouf, la serveuse est partie. Sans trop tilter.
_ Thomas hein?
_ Fallait bien que j’trouve quelque chose. Tu m’as pas dit ton nom.
_ Non mais ça va tu peux m’appeler Thomas si tu veux. C’est qui Thomas ?
_ Mon ptit fils
_ Ah… Il te plais ? tu l'as déja baisé?
_ Non mais ça va pas !
_ Tu ferez mieux de me donner un autre prénom alors…

_ Pfffff Il commence à m’énerver ce gosse. Nan mais c’est vrai. C’est quoi ce puceau, pd qui plus est, qui se jette sur le premier mec pour se faire enfiler.
_ Il a quel age ton ptit fils ?
_ 18…
_ Il est mignon ? S’il te ressemble, il doit être vraiment mignon. Mais je préfère les plus vieux. Il est encore au lycée ?
_ Non mais de quoi j’me mèle, touche pas à mon ptit fils. De toute façon c’est pas un p’tit pd comme toi. Il a une copine depuis longtemps, c’est pas un petit puceau.
_ Dommage, mais c’est pas grave… TOI Tu me suffiras amplement pour la soirée.
_ Ecoute petit, toi et moi… n’essaie même pas de l’imaginer. Ça n’arrivera pas.(dans ma tête je pense l’inverse)
_ Tu n’me laisseras même pas te remercier d’avoir venu au mariage de mon frère ?
_ tu crois que j’ai envie d’être remercier par toi ? Ta mère à la limite. Mais toi. Tu risques pas de m’faire bander. Je suis hétéro et marié.
_ Et alors ?
_ Ben alors je risque pas d’embrasser un mec.
_ Qui parle d’embrasser. J’te parle de vider tes couilles dans mon cul… ou dans ma bouche à toi de voir. Tu n’auras qu’à imaginer que je suis ta femme. Je dirais rien.

_ Mais n’importe quoi… T’es vraiment grave. Non c’est Non, on va pas revenir dessus. Je suis marié.
_ Et alors ? T’essaie de me faire croire que t’es fidèle. Mais même si… Avec un mec c’est pas pareil. C’est pas de l’infidélité. C’est comme une branlette sauf qu’au lieu de te vider dans les chiottes c’est dans un cul ou une bouche. C’est l’occasion de faire une nouvelle expérience.
_ Ce que tu peux être cru. A ton age c’est pas beau. Arrête de faire le malin. Je suis un adulte. J’vais pas m’emmerder avec un lycéen. T’as quel age d’abord ?
_ Qu’est ça peut faire l’age que j’ai… Si on te demande tu diras que tu sais pas.

Ce qu’il peut m’énerver…
_ Ah ah ah, la bonne blague, arrête ça tu veux. Tu crois pouvoir me faire de l’effet… laisse moi rire.


_ Je suis plutôt mignon. Et je suis pas un mauvais coup. J’ai beaucoup de succès avec les hommes…. Surtout ceux de ton age.
Il attrape ma main et commence à la caresser.
_ J’ai de l’expérience.
Son regard brille, ses yeux sont avides de sexe. Il ne sourit plus, son regard intense plonge dans le mien et j’peux plus m’en détourner. Il passe sa langue sur ses lèvres bien faites. Sa bouche humectée s’entrouvre comme un appel au sexe. Ce petit con commence à me troubler. Il lâche rien. Putain mais j’suis fou. J’suis pas en train de craquer pour un gamin bordel. Je retire ma main.
_ Arrête ça.
_ S’il te plait encule moi.
_ Non.
_ S’te plait… ça prendra qu’ ¼ d’heure. J’m’occuperai bien de toi.
L’expression timide et innocente qu’il prend lui donne l’air d’une victime et ça m’excite. Ce petit con...
_ Non j’te dit. Trouve toi une autre poire.
_ Qui c’est qui va s’occuper de mon cul maintenant ? Tu me dois bien ça !!!!
_ Pardon ?
_Si tu etais pas arriver , c’était 3 types qui allaient faire la fête à tous mes trous. Tu les as fait fuir. Alors qui va s’occuper de mon cul ? J’ai envie qu’on me baise.

Mon cœur s’arrête de battre. J’en mène pas large. Qu’est ce que c’est que ce truc de fou ? Dans quoi je me suis fourré encore ? Mais c’est qui ce gosse ? Il a le diable au corps. Putain c’est pas vrais

_ Laisse moi te sucer au moins, juste un peu. J’ai envie de prendre ta queue dans ma bouche. J’ai faim de sperme.

Je reste bouche bée. Je ne sais vraiment plus quoi dire. Mais lui sait quoi faire. En 2secondes Il commence à caresser ma queue.

Ça fait 3mois que j’ai pas baiser. A la maison c’est le festival du cul tourné. Y avait bien la petite stagiaire, Nathalie. le mois dernier, elle m’avait chauffé, mais au moment de passer à l’action… J’ai vu la tête de ma femme, j’ai pas pu. J’doit être vraiment fidèle. Quel con !!!
Mais du coup, ce môme pose à peine sa main  sur ma bite , que ça gonfle. Il commence à la sortir de mon pantalon. Il la renifle avec appétit. Et commence à la lécher.

_Wouah comme c’est bon. Ça fait tellement longtemps que j’ai pas été sucé.
_ J’aime l’odeur de ta queue. J’aime son goût.
_ Mais qu’est ce que tu fous!!! ça va pas la tête. T’es complètement taré.

Heureusement qu’on est à l’écart. Une petite palissade nous cache du regard des autres.

Merde la serveuse !!! Elle arrive avec nos consos…. Putain mais c’est pas vrai. Je suis livide.
_ Bouge pas et surtout fait pas de bruit.
_ Voilà pour vous monsieur

_merci poser sur la petite table

Et pour le jeune homme.
_Hin hin… Il est… Il est aux toilettes.

_tres bien , amusez vous bien…..je vous laisse la bouteille de vodka et de coca pour le ptit
_ merci

Ouf elle s’en va. Elle a rien vu (mais pas sure). Le gosse est toujours a genoux. Ma queue dans sa bouche. Tendue au maximum. Il fait jouer sa langue dessus. Il est bon ce petit con. J’en peux plus.
_ Arrête ça. Vite
_ Laisse moi encore la sucer un peu. J’aime ça.
_ Arrête j’te dit.
_ Alors baise moi.
Je suis trop excité maintenant. J’ai plus la force de lui dire non. Après tout. J’ai juste à me vider dans son cul. C’est pas comme si j’étais PD…. S’il est aussi bon qu’il le dit, ça passera très bien. J’abandonne.
_ C’est bon t’as gagné. J’te baiserai mais arrête.

Il enfonce une dernière fois ma bite dans la bouche puis la relâche et se relève.
_ Maintenant dépêche toi de finir ton assiette. Qu’on se barre d’ici et qu’on en finisse.
Son visage s’illumine. Il me regarde avec ses grands yeux reconnaissants.
_ Tu m’aides ?
J’avale deux verre d’une traite. Je suis bien excité maintenant. Il a réveillé le volcan qui sommeillait en moi. J’en peux plus. Ma queue bandée au maximum me fait mal coincée dans mon boxer. Je l’aide à finir son assiette.

En 5min on a torché son assiette.
_ Bon allez….. on se casse.

_ Suis moi, je sais où aller.
Il part devant, je le suis. On marche 3min. Sans un mot. Il m’emmène dans un vieil immeuble tout pourri. La porte est barricadée avec des planches. Mais y a un trou.
_ Ne me dit pas que c’est chez toi ici ?
_ Non c’est un squat… Je viens souvent ici pour baiser.
_ Comment ça souvent ? Tu veux dire que tu fais ça souvent, baiser des inconnus ??
_ On s’en tape suis moi.
On descend à la cave, Avec la lumière extérieure on distingue la pièce. C’est un peu le bordel. Ça schlingue. Au milieu y a un grand matelas pourri. Des vieux draps crasseux en boule. Par terre on trouve des bougies, des bouteilles, des tas de mégots et de capotes usagées.
_ C’est quoi ce taudis ?
_ ça feras bien l’affaire… Tu veux m’payer l’ hôtel ?

J’ai même pas le temps de répondre que le petit affamé est déjà à genou devant ma bosse. Il sort délicatement l’engin de sa prison et commence à lui prodiguer tous les bons soins. Ce petit con sait vraiment y faire. Ma queue dégagée, il commence à lécher du bas de mes couilles jusqu’au gland. Après l’avoir bien mouillée de salive. Il passe sa langue sous le prépuce et dégage mon gland. Sa langue habile caresse mon bout en tournoyant sur ma queue. Avec sa main il tripote mes couilles, il les pelote comme des objets précieux. Son autre main caresse mon torse, ma hanche et mes fesses. Je retire rapidement sa main de mes fesses, faut pas qu’il aille trop loin, et elle retourne sur mon torse et remonte jusqu’à mon téton. Il se met à pincer mon téton, ce qui m’excite un max et fait grossir ma queue dans sa bouche. Il la prend désormais à pleine bouche, il me dévore de haut en bas. Il la prend en entier dans sa bouche. Ses lèvres se serrent sur ma hampe, mon gland tapote de fond de sa gorge. A chacun de ses vas et viens je sens ma bite coulisser sur sa langue douce. Il va de plus en plus vite et serre un maximum. C’est tellement bon que j’en ai la tête qui tourne, j’peux pas m’empêcher de gémir. C’est pas possible c’est un expert. Jamais de ma vie on m’avait sucé comme ça. Pourtant, j’peux pas dire que j’ai pas d’expérience. Ce gosse me rend fou. J’ai même pas besoin d’imaginer quoi que se soit pour m’exciter. Je me concentre juste sur sa bouche qui me dévore la queue, qui m’aspire, me pompe jusqu’à m’assécher. De temps en temps, il descend et me bouffe les couilles, ses lèvres gobent chacune de mes boules et les font tourner avec l’aide de sa langue. Son nez se cache dans mes poils et s’enivre de l’odeur de mon sexe.

Je me sens viril, beau, admiré, désiré. Comme c’est bizarre. Il me bade et apprécie tout ce qui fait de moi un mec. Sa bouche retourne sur ma queue et il se l’enfourne jusqu’au fond, puis reprend ses vas et viens. Mais cette fois je lui donne un coup de main. Je prend sa tête dans mes 2 mains et lui impose mon rythme, il ne proteste pas. Je donne des grands coups de rein en serrant bien sa tête. Je lui baise littéralement le gueule. Lui se contente de garder sa bouche ouverte, serrer ses lèvres et sa langue sur ma queue et caresser mes tétons avec ses mains. C’est tellement bon que j’ai envie de faire durer le plus possible. Mais je sens que j’vais éjaculer alors je le repousse. J’ai promis de le baiser. Et il à l’air d’avoir le feu au cul.
A peine lâché, il fait voler ses fringues et le voilà à poil allongé sur le matelas pourri. C’est un petit gabarit, une crevette. Il doit faire 1m65/70 et 50kg tout mouillé, mais il est quand même fin et musclé.

Il se met en levrette, mais au lieu de prendre appui sur ses coudes, il pose sa tête et prend appui sur ses pecs et ses épaules, il se cambre au maximum pour monter son cul le plus haut possible. D’une main il commence à se doigter le fion, de l’autre il attrape ses couilles et les cache pour ne pas me montrer qu’il est un mec. Comme c’est adorable. Il ne pense qu’à mon plaisir. Vraiment prêt à tout pour un coup de queue. Sa tête est tournée vers moi et il me regarde, je distingue ses yeux qui brillent, son regard de chienne est un appel à l’assaut. Dans cette position il m’excite un max, j’aurais jamais pensé bander sur un ado mais là j’en peux plus. J’ai envie de le sauter.
_ Baise moi… Prend moi…. Défonce moi le cul, enfonce moi ta queue. J’ai envie de ta queue, j’veux qu’elle me déchire l’anus…. Prend moi s’il te plait.
J’hésite, j’ose pas trop. J’ai pas souvent fait de sodomie dans ma vie, en principe c’est moi qui se fait enculé . Mais les seule fois où j’en ai fait, il avait fallut beaucoup de préparation. Son insistance me décontenance un peu.
_ Aaaaaaaahh…. Baise moi j’te dit.
_ Là comme ça, sans rien. T’es un affamé du cul toi. Une sacrée petite salope. J’ai même pas de capote.
_ J’m’en tapeMais si tu veux te protéger y en a dans le sac a dos ,contre le mur.

Je vais chercher dans le sac à dos. Au milieu des livres de cours traînent des boites de capotes, des tubes de gel et même un gode. Putain ce gamin c’est une vraie chienne en chaleur.
Je retourne vers lui, il se doigte de plus belle, son trou n’attend plus que moi. Je mets la capote et retire sa main. Il la met devant pour prendre appui sur son avant bras et pose sa bouche dessus. Il se prépare à l’assaut, et prend soin de boucher sa bouche pour étouffer ses cris éventuels. Toutes ses précautions m’incitent à y aller encore plus fort.
J’attrape son petit cul bien ferme avec mes 2mains, je m’accroche à ses hanches et lui donnant une petite tape et j’y vais d’un coup.

Son cul tressaute, j’entends un hurlement de douleur étouffé par son bras. Ma bite a forcé le passage mais maintenant je suis bien au fond. Et j’essaie d’aller le plus profond possible. Je sert ses hanches de toutes mes forces et l’attire vers moi. Ma bite est bien au chaud dans son petit trou serré. Il le ressert pour m’aspirer au plus profond. Moi je ressort et je commence à le limer sans ménagement. Je lui démonte l’anus. Il sert les dents.

Moi j’m’en tape. Il voulait que j’le baise. Ben j’le baise maintenant. Et s’il est pas content c’est pareil. Il m’a excité comme un fou maintenant faut assumer. Il assume, il bronche pas et subit mes grands coups de butoir.

_ ça va ? Tu te sens mieux avec le cul rempli ? T’aime ça au moins ? T’es une vraie chienne, toi… Tu prends ton pied en te faisant déchirer par des gros mecs bien monté ?
_ Ta gueule, baise moi !!!
Ah mais qu’est ce qu’il m’énerve. Il contrôle tout. J’ai beau être en train d’explorer le fond de ses entrailles j’arrive pas à le saisir. Il dresse un mur invisible entre nous. J’ai encore plus envie de le découvrir. Puisque c’est comme ça , je recommence de plus belle j’y vais de toute mes forces. Je lui défonce tellement le cul que j’le soulève à chaque coup de rein. Mes cuisses claquent contre ses fesses. Mes couilles tapent contre sa main. Il a sûrement mal mais il ne dit rien.

Il se laisse faire, il ne dit rien. Même pas un gémissement. J’ai l’impression qu’il se retient, que rien ne l’atteint.
_ T’aimes pas ?
_ Si
_ Pourquoi tu dit rien ?
_ Tu veux que je gueule ? alors je gueule….
_ c'est  plus exitant
_Ah… oui…. j’aime ça, continue… oui…
_ Mais qu’est ce tu fais ? Pourquoi tu gueule comme une meuf ?
_ J’croyais que tu voulais pas baiser un mec…

_ Mais tu crois que j’ai envie d’une allumeuse, d’une simulatrice ? C’que j’veux c’est qu’tu prennes ton pied. Je veux te voir jouir c’est clair. Si c’est pour t’entendre gueuler comme dans un porno c’est pas la peine. j’aime mieux qu’on s’arrête là.

Je commence à relâcher mon étreinte. Je ressors doucement ma queue.
_ Non, s’il te plait, j’prend mon pied, continue à me baiser comme ça s’il te plait, pars pas.
Ah, j’ai trouvé une faille dans son mur. J’aime le voir me supplier comme ça. J’ai l’impression qu’il est à ma merci. Même si j’avais pas l’intention de partir sans m’être vidé….

C’est bon de reprendre le pouvoir un petit peu. Je re rentre ma queue dans son fion. Ça rentre comme dans du beurre. Qu’est ce que j’aime son petit cul. Je glisse doucement jusqu’au fond. Je suis bien au chaud et j’aime sentir ses parois que se resserrent sur ma bite. Je fais jouer ma bite dedans. Après tout autant en profiter maintenant que j’y suis. Je la fait tourner au fond, je ressort doucement et je rentre d’un coup. J’alterne coup sec et coup profond. Cette fois je l’entend gémir doucement, pour de vrai. Plus de cinéma, il prend son pied. Tout son corps frissonne. Il se laisse complètement aller. C’est moi qui contrôle tout. J’adore cette impression. J’ai jamais été autant désiré qu’à cet instant. Ce gamin est prêt à tout pour que je lui donne un coup. Quelle sensation délicieuse. Même si je n’arrive toujours pas à l’atteindre. Je prend vraiment mon pied comme ça faisait longtemps que j’l’avais pas pris. Je mets pas longtemps à éjaculer. Ça fait au moins 4jours que j’me suis pas branlé. J’ai plus la forme de mes 20ans. J’en pouvais plus. Je sens le jus monter au bout de 20min de baise.

Ma queue se gonfle et dans un grand cri je déverse tout mon jus dans la capote. Wouah quel pied. Mes couilles étaient bien remplies. Je n’arrête pas de gicler. C’est trop bon. Après 4 bonne giclée je bande encore très dur, j’suis tellement excité.… mais j’me retire, trop dangereux vu comment j’ai rempli la capote. Lui n’a pas jouit. Quand je retire la capote, il se jette dessus et me supplie de lui donner.
_ Merci…. C’est bon, tu peux te casser si t’as envie, maintenant que tu t’es vidé. J’me débrouillerais tout seul. Merci de m’avoir baiser.

Il prend la capote remplie à moitié et le déverse sur son visage, le sperme coule sur ses joues, dans sa bouche, il avale tout ce qu’il peut. Il lèche ce qu’il reste et lèche ses doigts. En même temps il commence à se branler. Putain ce qu’il est bandant. Je suis excité comme un fou j’ai encore envie de l’enfiler. Je retire sa main de sa queue en tirant son bras.
_ Hop hop hop… qu’est ce tu fais là ? J’en ai pas fini avec toi. Maintenant que t’as réveillé l’ours tu crois pas que tu vas t’en tirer comme ça. J’ai encore envie de ton cul.
Il me regarde étonné. Et se remet à quatre pattes.
_ Nan, retourne toi, j’veux te voir jouir. Je veux voir ta tête quand t’éjaculeras.
_
Mais….
_ Quoi mais ? tu voulais que j’te baise… alors j’te baise. Mais on fera comme je veux et pas comme tu veux. Tu m’as excité à mort alors maintenant t’assumes. Tu croix que j’vais me laisser mener par un gamin comme toi….
Tu rêves.

Il se retourne et s’allonge sur le matelas. J’attrape ses jambes toutes maigres et les pose sur mes épaules et je ramène son petit cul vers moi. Après avoir remis une capote, je le pénètre doucement. Je regarde son visage, ses grands yeux qui brillent, à moitié fermés par l’état de transe dans le quel il se trouve. Il évite mon regard. Sa bouche entrouverte expire faiblement des petits gémissements. Je jubile, j’aime le voir dans cet état d’excitation. Ça me fait encore plus bander. Je le tiens par les épaules et je commence à le limer. Dans cette position je peux voir sa petite bite bien dure qui pointe vers moi. Je sens qu’il a envie de se toucher. Mais je lui bloque les bras. Je l’empêche car j’ai envie de faire durer. Il en peut plus, ses yeux me supplient. Je vois l’excitation grandissante dans son regard. Son visage se crispe et il commence à transpirer.

Voilà, là j’prends vraiment mon pied à le voir comme ça. Il est beau. Je continue mes vas et viens avec plus d’intensité. Il ne tarde pas à gicler. Il envoie sa purée sur son torse et poussant un cri de soulagement. Il ne s’est même pas touché. Je lui laisse un peu de répit mais j’en ai pas fini avec lui. Je le bloque toujours avec mes bras. Je le relâche pour attraper le sperme qui dégouline sur son torse avec mon doigt. Je lui met dans la bouche et il le lèche avec délectation. Il ne me fait plus face maintenant. Il a compris que j’me laissais pas faire. Il m’interroge du regard sur la suite. Il sait que j’vais jouir une seconde fois. Et qu’il faut qu’il me satisfasse. Après quelques instants de répit je reprends mes coups de butoir. Mais j’ai envie d’être gentil avec lui, je caresse son torse, je le câline, je le trouve adorable avec son air innocent. Il me regard avec incompréhension. Toujours cette expression enfantine. Je cherche à le découvrir un peu plus. A briser la glace qui nous sépare. J’ai envie qu’il prenne autant de plaisir que moi, alors je me décide à le réexciter.

Je crache dans ma main et je commence à caresser sa petite bite puis à le branler. Il apprécie : il ferme les yeux, il se lèche et se mordille les lèvres en signe de plaisir et il reprend sa respiration accélérée.
_ Te sens pas obligé…
_ J’ai envie.

Sa bite durcie vite dans ma main, stimulée par le plaisir anal. Son petit cul se resserre sur ma bite, je le sens palpiter. Il n’ose pas me regarder. Il est visiblement troublé par mes marques d’affection. La faille s’agrandirait t-elle ?
_ Pourquoi ? …Pourquoi tu fais ça ? … Pourquoi est-ce que … tu … fais pas .. comme les autres ? Pourquoi tu te vides pas…. les couilles …simplement ?
_ Désolé de te décevoir. Mais pour moi le sexe, c’est un partage. J’aime prendre du plaisir et donner du plaisir, j’aime découvrir la personne avec qui je suis. Si ça te plait pas tant pis. C’est moi qui décide.
Il détourne le regard, je l’ai déstabilisé. Mais je le tiens toujours. Je continue à le pénétrer…

J’ai envie de changer de position. Je veux pouvoir l’admirer quand je le baise. Je me retire. Je le prend dans mes bras, il frissonne mais se laisse faire.
_ Est ce que j’peux t’embrasser ?

Il me fait oui de la tête avec étonnement. Alors je le sers fort dans mes bras, je pose délicatement mes lèvres sur les siennes. Elles sont douces. Elles ont le goût de sperme. Il me rend mon baiser tendrement. Alors je passe ma langue sur ses lèvres et je force l’entrée de sa bouche. Ma langue caresse la sienne tendrement, je le sens frémir. Avec mes mains je caresse son visage, j’essuie la sueur qui perle sur son front et ses tempes. Et je lui roule une dernière pelle. Je sens son cœur qui bas, sa respiration s’accélère. Je m’allonge à côté de lui et je l’attrape pour le faire monter sur moi. Il a compris ce que je voulais. Il s’accroupit au dessus de moi et s’empale sur ma queue bien tendue. Il fait doucement glisser sa rondelle sur mon manche. En prenant appui sur mes abdos, moi je le tiens par les hanches et je le lâche plus. Une fois bien au fond de son cul, je commence à le limer avec force en faisant bouger mon bassin et en le soulevant à chaque coup de rein. Il est léger alors je ne force pas trop. Dans cette position je peux l’admirer, il est bien éclairé par la lumière extérieure.

Je peux voir son corps fin se trémousser sur ma queue, son visage crispé par l’excitation, son regard de petite chienne en chaleur. Sa bouche qui exprime son plaisir par ses petits cris et ses gémissement. Il se lâche complètement. Il est magnifique quand il prend du plaisir. Il illumine le taudis dans lequel on baise. Plus rien ne compte à par lui, je ne vois plus les ordures qui nous entourent. Je ne sens plus l’odeur de renfermé, mais seulement la sienne et la mienne. La sueur et le sperme. Il prend son pied, et j’ai enfin l’impression d’avoir fait tomber le mur entre nous. Il se dévoile enfin à moi. Quel instant sublime. Il saute sur ma queue, moi je caresse son torse. J’ai l’impression de baiser pour la première fois. Je découvre un nouveau corps. Ma main passe son sur torse imberbe, ses pecs, ses petits tétons durs, puis elle se fraye un chemin jusqu’à sa bouche. Je lui caresse les lèvres avec mon pouce, il gémit. Puis je lui met mes doigts dans la bouche et il les suce et les lèche comme sa glace préférée. Il m’appartient.
_ Putain ce qu j’aime ton petit cul…. Tu me fait prendre mon pied…
Lui aussi prend son pied, sa respiration s’accélère de plus en plus. Il ne contrôle plus rien.

Un dernier râle de plaisir, son cul palpite et se resserre sur ma bite, sa queue gonfle et se tend une dernière fois. Il lâche sa purée une deuxième fois sur mon torse. Il tombe d’épuisement dans mes bras. Son cœur bat fort sur mes pecs. Il tremble encore. Je le sers dans mes bras. Je caresse ses cheveux humides de transpiration. Il pose sa tête dans le coin de mon épaule. J’embrasse son cou, son oreille.
_ Est ce que tu vas finir par me dire comment tu t’appelles ?
Il me répond encore essoufflé dans un murmure :
_ Ja… cob…
_ Dis moi Jacob, tu veux bien que te je pénètre encore ?
_ Oui

_ revient demain j’aurai un cadeau pour toi
Je rentre une dernière fois ma bite dans son petit cul bien dilaté. Je suis excité comme jamais. J’en aurais pas pour longtemps. Je le lime doucement pour ne pas lui faire mal. En même temps, je le serre dans mes bras, je le caresse et l’embrasse dans le cou. En 2min, j’en peux déjà plus. J’éjacule une deuxième fois dans son trou. Il resserre son anus pour que je prenne encore plus de plaisir. C’est trop bon….

_ ok pour demain ici vers 23h et se lève d’un bond, il enfile ses vêtements

Je le serre une dernière fois dans mes bras et l’embrasse tendrement. , je glisse dans la poche de sa chemise un billet de 50€

Il tremble encore, sa respiration est saccadée. Je caresse son visage et je sens des gouttes qui perlent le long de ses joues.
_ Mais tu pleures ?
A ses mots il se détache de mon emprise et file avant que j’ai le temps de réagir. Il s’est enfui.
_ Jacob??


je retourna a la fête ,mon absence n'avait semble-t-il pas trop été vu , sauf par mes deux petits fils.
_papy ça va?
_oui mes enfants
_on te cherchait partout.....mais tu es toute drôle papy ,
_j'étais pas perdu , j'etais juste avec le frère du marié avec qui j'ai passé un peu de bon temps
_ du bon temps papy, avec un gamin de mon age ? c'est pour ça que ta braguette est ouverte ... dit le plus jeune
_Oooops   ....eh! oui.......
_vas-y raconte papy
_on va finir la fête , aprés on ira dormir , on a tous notre temps.....mais je vous direz...

_ok papy allez viens , la cousine ma donné un bouteille de vodka pour nous trois on se l'enfile......
_non juste un verre
_on boit encore un ptit verre papy
_bien sur un ptit dernier faira pas de mal


Le lendemain  soir Jacob n’est pas venu il me reste que son boxer qu’il n’avait pas pris le temps de remettre la veille


 Tout à coup, ma vie me paraît loin, si loin de moi….

le sur lendemain  sous la pressions de mes ptits fils je leurs raconta mon aventure
ils me répondirent en coeur
- nous aussi on T'aimera
je ne repondit que par un sourir




A suivre......
Par simon - Publié dans : ma vie
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Dimanche 3 mai 7 03 /05 /Mai 09:29
apres mon retour en TGV , puis le chauffeur de taxi (voir épisode 27 si vous ne l'avais pas encore lu)
Pierrot , mon fiston vosgien comme il aime que je l'appelle quand nous dialons sur le net
est de passage par chez moi.........

On frappe a la porte,

" Tu es déjà là. "
" Oui, papa. "

" Désolé, Pierrot ,de te recevoir ainsi , déjà à poil "
"

Pas grave , Mais "
" Mais quoi ? Vas-y, dis-le. "

Je ne suis pas seul , pour visiter j’ai pris mon ami Djamel , .il attend dans la voiture….. "

ben… vas le chercher , je suppose que tu lui a dit a notre sujet "

je savais que je pouvais compter sur toi , tu verras un petit beur de 19 ans , TBM ,très chaud "

vas le chercher ,il risque de refroidir "

"

Tu en as envie, n’est-ce pas ? "
" J’ai envie de te sucer, j’ai envie que tu me baises. "

super , tu en aura deux "

Quelques instant plus tard.

bonjour , monsieur , enchanté de vous connaître , vous êtes comme Pierrot toujours a poil ? "

"OUI , bonjour Djamel , enchanté , il ne tient qu’a toi d’en faire autant "

De ces bras, il m’attire vers lui, il m’enserre, se colle contre mon torse, sa main descend directe sur mes fesses.

Pierrot en resta baba mais ajouta :

"

Je savais que te faire patienter ainsi réveillerait la petite salope qui est en toi. papa "

oui fiston depuis le temps que tu me disais en dial. que tu voulais me baiser… "

"

Tu en as envie, n’est-ce pas ?..papa "

Djamel a raison, je sens déjà lui appartenir entièrement, il peut me prendre ici, je me laisse faire "

"

Ici, dans le couloir ??? "

J’hésite. " Si tu veux. ".

ben écoute papa Simon " me dit Pierrot " je te laisse Djamel le temps que je vais faire quelques courses pour la journée , comme je ne t’avais pas prévenu a l’avance ".

ok Pierrot tu as une grande surface a 10km "

oui je l’avais vu en passant devant , mais comme j’etais pas sure que tu sois a la maison……. "

ok mais fait pas de folies……. "

Les doigts de Djamel caressent toujours mes fesses nues. Ils glissent le long de ma raie. Son majeur cogne ma rondelle. Je me laisse faire. D’un coup, son doigt prend possession de mon cul.

J’étouffe un petit cri de plaisir. Mes yeux sont pleins d’envie.
Djamel me sourit.

Il enfonce son doigt encore un peu plus. Je gémis.

Ma queue bande à mort.

Djamel joue avec son doigt, il le fait coulisser en moi.
" T’es bien chaud ? "
"

Oui. Pierrot m ‘a chauffé tous le long du parcourt "

" Mais Tu bandes aussi ? "
"

Oui. "
Je viens plaquer ma main contre sa braguette., je sens a travers le tissus du pantalon sa queue est énorme.
" Ta bite a déjà goûté à un cul ? "
"
Non, pas encore. "

écoute , maintenant, laisses-moi, j’ai du travail. "
"

Mais … "

T’inquiète , mon cul tu l’aura…. "

"

Je sais , que tu as envie de ma queue "

je l’aurai plus tard et en présence de Pierrot. "

"

Mais… "
" Ne discutes pas, Fais moi confiance ".

Pour l’instant, regarde un dvd pour attendre tranquillement. Je te ferai signe le moment venu. "

Pierrot ne tarde pas à arriver.
"

Tu es déjà là. "
tu es seul ?complètement a poil , mais ou est papa Simon ? "

il fait son petit boulot habituel et m’a promis son cul après "

ok ok ,je sens qu’il va être notre bonne pute "

je le crois aussi "

Djamel se lève. Il fait face à Pierrot, il se rapproche de lui. Pierrot se recule, il touche le bureau, il ne peut pas reculer plus.
Djamel pose ses mains sur les épaules de Pierrot et le force à s’agenouiller. Il l’attrape par les cheveux et vient coller sa tête contre son entrejambe.

"

Elle te manque, Pierrot ? "

"

mais , Djamel…. "

"

Chut, un gentil garçon ne parle pas la bouche pleine,. Tais toi et suce. "

Toujours caché, je vois mal mais je devine que mon Pierrot s’active sur la bite de Djamel , qui pivote un peu, entraînant Pierrot avec lui. Je vois maintenant distinctement la queue de Djamel coulisser entre les lèvres de Pierrot.

Ce spectacle est des plus excitants, je ne peux m’empêcher de tenir ma bite et de me branler. Jamais je n’aurai supposé que Pierrot aimait la bite autant que moi.
Maintenant, Djamel force Pierrot à se relever. Il le retourne et le plaque contre le bureau.

"

Bouge pas. "

Pierrot attend sagement.

Djamel passe de l’autre côté du bureau, enlève la ceinture du pantalon de Pierrot , lui passe autour du cou et la coince dans le tiroir et le referme.

. Djamel passe sa queue sur le visage de Pierrot, puis lui enfourne de nouveau.

Les bruits de succion reprennent. Je suis obligé de ralentir les mouvements de ma main sur ma bite, je suis prêt à gicler.
Djamel repasse derrière Pierrot . Il le défroque et passe sa chemise sur sa tête. Je découvre que Pierrot aussi est adepte du jock-strap. Il a un cul bien rond. Djamel lui caresse les fesses, celui-ci gémit , s’accroupit et bouffe le cul rond. Pierrot n’en peut plus de gémir.
"

Vas-y, baise-moi ! "
"
tu en veux ,du gros calibre ? "
" Oui, je la veux, je veux que tu me baises. "

Les supplications de Fabien m’électrisent. Djamel couvre sa queue d’un capote et la fait coulisser dans la raie de son passif. Il m’aperçoit’ et me fait signe. Je m’approche en silence. Pierrot n’a pas détecté ma présence.

Djamel me tend un préservatif. Je suis surpris, mais je le déroule sur ma queue. Il se retire et m’incite à le remplacer.

Sous les yeux, Djamel , j’enfonce mon pieu dans le cul lisse et bien ouvert de mon Pierrot

Pierrot pousse des petits cris de plaisir. je décule d’un coup ,renfonce ma queue avec brutalité jusqu’aux couilles , et commence à pilonner le cul bien chaud sans retenu.

Pierrot grogne des " encore , oui encore plus fort "

Djamel s’excite , me prend par les hanches et entre doucement mon cul est bien ouvert

Je sens le plaisir envahir tout mon corps

Djamel me glissa a l’oreille " .

C’est la première fois que ma queue s’immisce dans un cul. "

continue j’en veux "

Je vais te baiser papy  , te mettre mes 19cm bien à fond "

vas y petit je la veux ta queue bien épaisse "

 

il s’enfonce doucement ,il la rentre à fonds.

Que c’est bon oui encore "
Djamel me dit " 

. . J’y vais doucement. Je matte ma bite entrer et sortir de ton cul si appétissant. J’accélère, puis je ralentis, je veux que ce moment dure ".

Le travail de sa bite dans mon cul , fait gémir Pierrot
Djamel au bord de la jouissance quitte mon cul , enlève la capote et repasse devant le bureau et lui présente de nouveau sa queue. Pierrot a un geste de recul. Il vient de comprendre la situation même s’il ne sait pas qui lui pilonné les fesses.

Djamel l’immobilise et lui enfonce son dard dans la gueule. Soumis, Pierrot suce. De mon côté, je m’applique à bien le défoncer, pour son plaisir et pour le mien.
Bientôt, je sens la sève monter, mon visage se crispe, j’essaie de me retenir mais Djamel me fait signe que je peux lâcher la purée.
Un dernier va-et-vient dans le cul de Pierrot, et je gicle en gueulant comme jamais. Je reste dans son cul quelques instants, puis je me retire doucement, la capote emplie de ma semence. Je suis exténué.
De son côté, l’ultime plaisir se dessine sur le visage de Djamel, sa respiration devient plus rapide.

"

Allez, Pierrot, avale, c’est tout pour toi. "

Djamel libère Pierrot.

putain que c’était bon, maintenant mes salops c’est moi qui va vous en donner.. "

pas de soucis fiston " dis-je

Apres une courte pause , quelques verres de vodka , Djamel lui qui en buvait pour la première fois se trouva super excité ,Pierrot me baisa comme une chienne en chaleur Djamel entretenais son érection dans ma bouche puis profitant que Pierrot me baisait pour le prendre de force..

Quand tous deux sentir monter la semence c’est dans ma bouche bien a fond que chacun vidange ,m’obligeant a avaler, épuisé a même le sol ils me rincèrent la bouche en pissant .

Le journée passa très vite une bonne douche collective et nous allions nous coucher pour être en forme le lendemain .

Djamel dans la nuit passera me voir ,  , je le suce  puis il me remercia de lui avoir donné l’occasion de baiser un bon cul pour la 1ere fois et me demanda de lui dépuceler la rondelle.

tu es sure de ce que tu me demande "

OUI papy je veux goûter ta bite en moi. "

tu sais fiston la goûter c’est l’adopter , après on en redemande et toujours plus "

c’est toi que je veux en premier "

c’est gentil fiston "

comme ça je pourrais contenter Pierrot depuis le temps qu’il me le demande….. "

alors dans ce cas……vas y fait moi bander a mort et empale toi dessus "

en quelques minutes Djamel m’avais mis en condition maximum , je resta sur le dos le mat dur comme du bois

J’ai envie de ton cul ma petite salope, viens sur moi.. " Alors il chope un préservatif, le déroule sur ma queue bien dure, ajoute un peu de gel et hop, Djamel se laissa glisser dessus , il se tortillait sur ma queue pour bien sentir ma tige au fond de lui. , " 

Hmmm, ouiiii ! C’est trop bon ta queue, mec " je le prend par les hanches , il ondule ainsi pour bien se niquer bien à fond. criant des mots en arabe que je ne comprenais pas mais suppose être " oui oui , encore , j‘ en veux , que c’est bon ".

Au bout de quelques minutes, on change de position : on est debout, il me sert fort contre lui, m’enfonce sa tige dans le cul en murmurant des insanités dans l’oreille qui me rendent encore plus chienne.

Hmmm, je kiffe grave d’avoir un mec qui me bourre bien le cul, qui me montre qui c’est qui est le mâle. J’écarte un peu le jambes et je me cambre pour bien lui filer mon fion de lope et là il accélère les coups de reins et il me dit :

T’aimes ça, la bite, hein ??? T’aimes sentir une queue qui te lime bien à fond, hein ??? Salope ! "

Je me contrôle plus, je lui appartiens et je prends un pied d’enfer à sentir les va-et-vient de sa queue dans mon cul.
Au bout de quelques minutes, on rechange de position : il est a 4 pattes, je me sert fort contre lui, enfonce ma tige dans son cul en murmurant comme lui des insanités dans l’oreille qui le rendent encore plus chienne. Hmmm, il kiffe grave d’avoir un mec qui lui bourre bien le cul,. là il accélère les coups de reins et je lui dit :
Alors, petite pute, t’as ce que tu veux ??? T’aimes ça, hein ??? T’aimes, hein ??? Salope ! "

Ouiiiii ! Vas-y mec, défonce, défonce, défonce ! "

je résiste encore quelques minutes et enfin, dans un râle et un dernier coup de reins magistral, je lui envoie mon jus de mec, ce qui a pour effet de le faire jouir aussi

Evidemment, Pierrot fut réveillé par ces cris et c’est joint a nous

Djamel dit a Pierrot. "

Putain quel pied j’ai pris ! J’aime vraiment sentir une bonne bite dure et me faire niquer défoncer par un bon mâle viril qui sait devenir pute en échange "

j’ai bien fait de te prendre avec moi "

la fin de nuit fut torride

Depuis ce jour-là, Djamel et Pierrot régulièrement se vident les couilles et se défoncent mutuellement et moi j’attend toujours

qu’ils reviennent ………..plus souvent………

 

Par simon - Publié dans : ma vie
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Dimanche 8 mars 7 08 /03 /Mars 09:00
apres ce long hiver , et comme je vous le disais (voir les articles précédent si vous ne l'avez pas encore fait..) cette nouvelle année semble propice.
pour les vacances de Fevrier j'ai toujours a la maison soit un de mes petits fils ,  neveux ou petits cousins car ils adorent etre chez moi en raison que tous leurs est permis , enfin presque tous.
pour ces vacances c'est Damien qui vient et sera accompagné de son cousin Claude qui  fêtera son anniversaire le jour de la chandeleur.
je connaissais qu' un de mes petits fils  (Joél était gay) mais a ces vacances je compris que mon autre petits fils , Damien l'etait lui aussi et pour moi ce ne fut pas un choc je les comprend et fairait tous pour les conseiller.
C'EST TELLEMENT BEAU 2 MECS QUI  S'AIMENT et etre GAY ou BI C'EST UNE AUTRE FACON D'AIMER
Donc voici leurs histoire: raconté par Damien

MON CHOIX de VIE

Moi, c’est Damien, tout juste 18 ans, je suis de ces garçons qu’on ne remarque pas. Toujours puceau, mais des fantasmes plein la tête. Je ne sais pas encore si je suis gay ou hétéro, mais j’ai envie de sexe.

En vacances de Févier chers mon grand père Simon ,ou je retrouve mon cousin Claude , Parisien , de quelques mois mon aîné , un superbe rouquin , très timide , nous parlons souvent entre nous de sexe en regardant le collection de photos de mecs a poils que mon grand père possède sur son ordi.

Je lui raconta que dans ce petit village , il y a une fille , Martine ,grande rouquine a peut près notre age, et que c’est une vraie salope. Lors d’une soirée, elle a sucé plusieurs garçons dans le vieux hangar de grand père . Je les avais suivi et maté le spectacle discrètement en me branlant, jusqu’à en gicler dans mon slip. Je ne sais pas si c’est de voir les queues bandées de ces garçons, ou de la voir les sucer qui m’avait excité.

Ca fait plusieurs jours qu’on en parle , puceau tous les deux, on a envie et aimerai bien se faire sucer aussi.

Il faut qu’on aille voir cette fille et qu’on lui demande de nous sucer. On lui filera un peu de notre argent de poche pour qu’elle accepte.
Alors hier après-midi, on a osé. On était super excité. On a bafouillé mais on lui a demandé. On était flippé, mais elle a accepté.

Elle nous a donné rendez-vous, aujourd’hui à 13h00, dans le vieux hangar , où personne ne va jamais , omis mon grand père ,

-- " ça tombe bien il sera absent cet après-midi. " me dit Claude

-- " T’inquiète ,même s’il avait été là , il est Bi , il comprend "

-- " 

on a de la chance , d’avoir quelqu’un qui nous comprenne "

-- "  c’est claire "

Avec Claude, on a rien bouffé a midi. On n’arrêtait pas de regarder nos montres.

A 12h45, on était déjà devant la porte, à attendre. On ne savait pas trop si elle allait venir.

--" Qu’elle vienne ou pas, il faut que je me vide les couilles ".

-- " 

Ouéééé ça fera du bien "

A 13h00, elle arrive. Elle rentre dans le hangar ,comme si elle était chez elle , monte a l’échelle , soulève la trappe. On la suit. Elle s’installe sur un vieux canapé qui dort derrière un mur de paille. On reste là comme deux cons.

-- "

Alors, vous venez ? Y a de la place ici, on sera plus à l’aise. "
On se regarde. On a l’air vraiment de deux cons.
--: "
Ferme la trappe derrière toi Damien "
Je bredouille un " oui ", et je m’exécute.
Martine dis-je " On a emmené de l’argent si tu veux "
-- "
C’est pas la peine, on va faire ça à ma façon. Alors vous voulez que je vous suce les cousins ?? Vous êtes encore puceaux ? Vous ne vous êtes jamais fait sucé ? "
Nous répondions en cœur : "
heu… "
-- "
Pas la peine de répondre, je sais que j’ai raison. Bon, si vous voulez que je vous suce, vous allez devoir faire tout ce que je vous demande.
---- "
oui "
-- "
Déshabillez vous. "
Alors, je commence à ouvrir ma chemise, Claude, a viré son tee-shirt.
-- "
Stop !! Vous ne m’avez pas bien compris. Déshabillez-vous l’un l’autre. Le sexe c’est un partage. Je vais vous déniaiser. Il n’y a pas que moi qui donne. Vous allez donner aussi, c’est pas juste moi qui vous suce pour votre petit plaisir, je veux m’amuser aussi. On va faire ça à trois, suivant mes règles ".
Je commence à flipper, mais ça m’excite grave, et je vois que Claude aussi. Il se rapproche de moi. Mon cœur bat la chamade. Il commence à déboutonner ma chemise.
-- "
Caressez vous. "

Claude passe ses mains sur mon torse, mes tétons. Il descend vers mon nombril et défait ma ceinture. Je vais exploser. Je suis gêné, ça me fait bizarre mais j’aime ça. Je passe mes mains sous son tee-shirt, lui caresse le dos, le torse, et passe son tee-shirt par-dessus ses épaules.
-- "

Embrassez vous "
Claude ose tout, ses lèvres se rapprochent des miennes. On s’embrasse.

Je reviens pas je suis en train d’embrasser un autre mec !

Martine nous rejoint dans notre duo. Elle commence par embrasser Claude, puis moi.

En l’embrassant, je déboutonne son haut , a la vue des mamelons mon sang fait au moins du 130

. Claude lui caresse les fesses. Je sens une main sur les miennes. C’est Claude, une main sur ses fesses, l’autre sur les miennes. Je commence à lui caresser les seins, puis je descends sur le paquet de Claude. , celui-ci glisse une main dans mon futal et l’autre sous la jupe de Martine. Elle se laisse faire, moi aussi. Elle continue à m’embrasser. Claude s’agenouille, il lui caresse la chatte, et il me palpe le paquet.
--

" C’est bien Claude, tu as tout compris. Mais toi, Damien, tu es trop timide. Claude relève toi, et toi, Damien à genoux, défroque ton pote et suce le. "
---- " Mais … "
-- "
Si tu veux que je te suce, tu obéis. "

Alors, je m’agenouille. Claude me regarde. Je défais sa ceinture, puis les boutons de son froc, qui sont sur le point d’exploser. Je descends son pantalon sur ses chevilles. Son caleçon rouge est déformé. Sa bite n’attend qu’une chose, être libérée. Je glisse mes mains sous l’élastique du caleçon. Je le descends. Sa bite surgit, et me cogne le visage. Une belle bite, au moins 20cm. Il est circoncis, son gland est tout mouillé par l’excitation. Je lève les yeux. Je sens dans son regard qu’il me supplie de le sucer. Je la regarde.
-- "

Alors ..Vas-y, suce ton pote. "
Alors j’ouvre la bouche, je sors la langue, je la passe sur le gland humide de Claude, puis le long de sa queue.
-- "
J’ai dit SUCE, pas Lècher.... ! "

Alors doucement, je mets la bite de Claude dans ma bouche et je commence ma première pipe. Je prends vite de l’assurance. Si au début j’avais les yeux fermés, ils sont maintenant ouverts, et je lui caresse les couilles, les fesses. Je m’applique, et j’aime ça. Lui aussi, je l’entends soupirer. Je la regarde, Martine a ôté sa culotte et se caresse son petit triangle poilu. Elle paraît satisfaite. Je crois qu’elle a compris que j’aime sucer. Je le découvre mais elle le savait.
-- "

Relève toi Damien. "

J’obéis avec regrets. Elle le sait. Claude n’attend pas les nouvelles consignes. Il s’agenouille. Il ouvre mon jeans, et descend mon froc et mon slip blanc en même temps d’un coup sec. Il s’empare de ma bite. Elle est plus petite, 18 cm. Et il l’avale direct. Il m’enserre les couilles de sa main gauche. Je sens son index droit glisser vers mon cul. La transpiration aidant, il le rentre facile. Je gémis.

Elle me sourit et me pince les tétons. Je gémis encore.

Claude fait des va-et-vient dans mon cul avec son doigt. Sa main gauche a lâché mes couilles pour caresser la chatte de notre guide. Je pose une main sur la tête de Claude, et l’autre explore le derrière féminin. C’est le moment qu’elle choisit pour s’agenouiller aux côtés de mon cousin.

Claude arrête sa pipe, mais laisse son doigt dans mon cul. Ils s’embrassent, elle me branle, puis commence à me sucer à son tour. Claude l’accompagne, ils se bagarrent ma queue. Elle fait glisser sa main gauche le long de mes fesses, puis plus prêt de ma raie et je sens un de ses doigts rejoindre celui de Claude dans mon cul. J’adore ça

Claude lui cède ma bite, et se relève. Elle continue à me branler mais suce Claude.

Sans qu’elle ne me dise rien, j’embrasse Claude.

Il me dit : "

Vas-y, doigte moi, toi aussi. "
J’ose une main sur ses fesses.
--: "
Vas-y, Damien j’en ai envie "
Je rentre un doigt sans difficulté. En bas, elle passe d’une bite à l’autre. Toujours un doigt dans mon cul avec celui de mon cousin, et une main sur sa chatte. Puis arrête de sucer, et nous regarde.
-- "
Vous voulez jouir ? "
----- "
Ouééééééééééééééé! "
-- "
J’ai plusieurs solutions à vous proposer. Je veux que vous connaissiez le goût du sperme, alors : soit Claude tu me jouis sur le sein droit en te branlant, et Damien tu me lèches le sein après, puis tu jouis sur le sein gauche, et Claude, ce sera à ton tour de lécher ; soit je continue à vous sucer, jusqu’à ce que vous jouissiez dans ma bouche et je vous embrasse après ; ou la dernière solution ? "
Claude dit : "
La dernière solution ? "
-- "
Soit, Claude tu suces ton pote, il jouit et tu avales. Il en fera autant pour toi après. Cette dernière solution comporte un bonus. "
-- " Quel bonus ? " dis-je
-- "
Vous pourrez me bouffer la chatte après, et on se reverra par la suite, pour que vous sachiez enfin ce que c’est que de pénétrer une femme. "

Alors, j’ai regardé Claude, et je lui ai dit : " je vais te finir à la bouche, tu vas me gicler à la gueule et je vais tout avalé. "
Et je me suis agenouillé de nouveau. Je m’en foutais de pouvoir pénétrer sa chatte par la suite, moi j’avais envie de goûter à la semence de mon cousin. Je savais aussi, que les couilles vides, ce serait plus difficile pour Claude d’en faire autant pour moi, mais ce n’était pas important. Je voulais le faire jouir et sentir sa sève couler dans ma gorge. Alors, je l’ai sucé jusqu’à ce qu’il râle et qu’il jouisse. J’ai tout avalé, j’ai bien nettoyé sa queue, et son gland, j’ai bien passé ma langue sur mes lèvres pour ne pas perdre une goutte de son jus.

En me relevant, il m’a sourit, puis est descendu me rendre la pareille. Je savais que ça lui demandait un effort, l’excitation commençant à retomber. En me suçant, il jouait avec deux doigts dans mon cul. J’ai jouis, et il a tout avalé aussi, puis tout nettoyé. Il bandait toujours. Elle s’est approchée de Claude. Sans rien demander, il a commencé à lui bouffer la chatte, en se branlant. Je les regardais faire. Je la voyais gémir.

Il m’a tiré par le bras pour que je le rejoigne. Je n’en avais pas très envie. Il m’a guidé, et j’ai goûté à sa chatte. Puis je lui ai cédé la place , je préférais une bite…., il a repris sa lèche en se branlant. Alors, j’ai eu envie de le sucer de nouveau. Et pendant qu’elle gueulait de plaisir, Claude se vidait de nouveau dans ma bouche.

Elle s’est agenouillée, on s’est embrassé.
-- "

Voilà les garçons, vous avez tenu parole, j’ai tenu parole. Vous saurez à qui penser en vous branlant la prochaine fois. Une dernière chose, faites moi plaisir, je sais que maintenant, vous avez envie de pisser, je veux vous regarder faire ".
Claude dit : "
Ok, allez Damien. "
Alors, on s’est rapproché de la fenêtre et on a pissé dehors. Quand on a eu fini, elle avait disparu. J’ai vite refermé la trappe. Je me suis rapproché de mon cousin et je l’ai embrassé.
-- "
T’étais pas obligé, elle est partie "
-- " Je sais mais j’en avais envie. "
Après cette aventure, on s’est souvent branlé ensemble avec Claude. Bien sûr, à chaque fois, on se suçait. On a même essayé d’autres choses. Je sais aussi que Claude a revu Martine pour " la pénétrer " comme promis , et cela des le lendemain de notre première rencontre ,il continue a la voir tout en partagenat avec moi quelques bons moments.
Voilà comment j’ai franchis un cap et compris que j’aimais les mecs

Damien

.


prochainement je demanderai a mon grand père de pouvoir vous raconter la suite......Damien

OUI je suis fière de voir que ma succession est assurée , pour moi a mon age les aventures se font plus rare , mais je vous ai promis la suite quand mon ami (le fiston Pirrot dit le Vosgien) est arrivé chez moi  (pour résumer voir la fin de l'histoire 27) à bientôt............

Par simon - Publié dans : ma vie
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Samedi 21 février 6 21 /02 /Fév 18:36

Le retour en TGV :

Il est 21 h ,après une journée à Paris, sur le quai de la gare de l’Est avant de monter dans le TGV

Sur le banc du quai ,je feuillette la revue gay que j’ai acheté pour la soirée chez moi ,à ma gauche un mec assis me regarde , la quarantaine ,je le regarde sans faire plus attention et replonge dans ma lecture, mais je m’aperçois qu’il me fixe avec insistance, je relève donc les yeux sur lui et lui décroche un petit sourire en signe de politesse. De ce fait, le mec me fait un petit clin d’œil en se touchant le paquet d’un air de dire " t’as envie ? " quelle chance, car étant accros au zob je m’empresse de lui répondre en passant ma langue sur mes lèvres, là il se lève me faisant un signe de tête m’invitant à le suivre m’indiquant les toilettes. Je le suis et nous nous enfermons dans les chiottes. À peine la porte refermée il me dit direct.
Suce-moi vieux …
Ni une ni deux je me fou à genoux, dégrafe son pantalon, baisse son slip et avale ça bite en semis érection. Je la sens grossir dans ma bouche qui prend une bonne ampleur (elle n’est pas bien grande, mais bien épaisse) de ma main je l’astique en même temps pour le décalotté et le re-calotté Le mec prend son pied, car il me chuchote :
Humm… ouai vas-y pompe moi bien… c’est bon… hummmm… putain…t’es un expert … ouai…
Le mec prend un putain de pied à se faire sucer, je sens sa sève monter le long de sa bite, il me bloque la tête et m’envoie toute sa purée dans mon gosier ne me donnant pas le choix que de tout avaler. Il se retire de ma bouche, remballe son matos, se penche sur moi et me dit a l’oreille.
Merci, t’es une bonne suceuse.
Puis il sort du chiotte me laissant ainsi sans même avoir pris la peine de s’occuper de savoir si moi aussi j’avais envie de jouir.
 Excité, je décide de me branler, mais le une voie annonce le départ prochain du TGV

Je ne me finis pas, range ma bite et retourne sur le quai.
Le train arrive à une gare, 5 mn d’arrêt, je monte je m’installe a ma place réserver coté couloir, je prends mon bouquin et le voyage commence pour une durée de 1 h 30 , en face le mec que j’avais sucé est rejoint par un beau petit mec , beur ,la vingtaine , ils s’embrassent sur la bouche , apparemment son pote.

Le train redémarre, peut-être, 10minutes après revoilà le mec qui me regarde avec insistance me faisant le même scénario que la 1ere fois, il se touche le paquet, me fait un clin d’œil et me fait un signe de tête en direction des chiottes, sans plus attendre je me lève le 1er et m’enferme dans le chiotte bien décider a prendre ma revanche en me faisant moi aussi sucé. Quelques secondes plut tard j’entends frapper a la porte, j’ouvre et ho ! Surprise… ce n’est pas celui que j’avais sucé qui venait me rejoindre, mais son pote.
Y paraît que t’es une bonne suceuse ?
Ouai…qui t'a dit ça
Alors, vas-y… pompe-moi-la bite…

Il est très excité, car il bande dure, il a lui aussi une bite bien épaisse, mais bien plus longue que son pote, il gémit sous mes coups de langue et après au moins 5 mn de suce il me demande :
Vas-y… baisse ton froc j’ai envie de voir un vieux a poil…
Je me dis, cool… je vais enfin avoir le droit de me faire moi aussi pomper. Le Prob. est que ça ne c’est passé comme je l’avais espéré, car le mec en avait après mon cul et il commença à me doigter, je le repoussais gentiment en lui disant " non mais ça vas pas le tête", mais il se fâchât et me retourna brusquement me plaquant une main sur ma bouche, là il m’enfonça un doigt dans le cul en me disant :
Ferme ta gueule salope… tu vas me donner ton cul sans broncher t’as compris ?

sa main sur ma bouche empêchant mes protestations

--- ta gueule j’ai dit… j’vais te baiser comme une pute ok ? et t’as pas intérêt à gueuler ou j’te fracasse ta petite gueule…

Son doigt me trifouillai le cul et en mis un 2e, là j’ai poussé un petit cri, mais il me flanqua une grosse claque sur les fesses.
Putain… j’tes dis de fermer ta putain de gueule salope…
Et il me remit ses 2 doigts dans mon fion.
Écarte bien ton cul salope… hum… apparemment t’en es pas a ta 1ere bite a ce que je vois…

Avec ma tête je répondis par l’affirmative

---t’aime la queue toi hein ? t’as du déjà t’en prendre plein le fion… t’as un trou on dirait un garage a bites… j’imagine que tu t’es déjà fait saillir a la chaine hein salope ?
Il me re-flanquas une claque sur le cul en me disant :
Hey… réponde quand j’te pose une question salope… t’aimes la bite ?
Oui
Oui quoi ?
Oui j’aime la bite…
Alors t’es une salope ?
NON ..heu….Oui suis une salope…
Et une pute ? me tirant par ma barbe
Aiii Aiii ….Oui suis une pute…pitié…
Et t’aime bien te faire défoncé le fion hein ma salope ? dis-moi que t’aimes ça…
Oui…j’aime me faire enculer…
Putain… tu m’excites grave salope… j’aime les bonnes putes… et casser des culs de PD… j’vais te défoncé et te saillir comme une sale chienne t’as compris ?
Oui …Ouiiii j’ai compris…
Dis-moi que t’as envie de ma queue…
Oui…mec j’ai envie de ta bite d’étalon dans mon trou de pute…
À ces mots il m’enfonça sa bite jusqu’aux couilles dans mon cul et me ramona comme une brute.
Ouai… putain… t’as le cul large ma salope… ça se sent qu’ t’as déjà pris des coups de bites… tien prend moi ça sale pute… han… han…c’est bon ?
Oui c’est bon… vas-y défonce moi…encore plus fort

---Chienne , tiens prend ça

Je me suis fait baiser comme ça pendant 15 bonnes mn j’ai cru ma prostate explosée
avant qu’un coup de rein sec il m’envoie tout son foutre dans mon cul.
Ouaiiiii…. Putain… c’était bon… mon pote avait raison t’es une bonne salope…

Il se rhabilla et reparti.

Epuiser je me suis également rhabillé, reparti a ma place ou les deux compères. rillaient en cœur avant de descendre a la gare de Reims.

Je finis mon voyage en pensant a ces rencontres furtives dans le TGV que prenais pour la 1ere fois .

Arrivée gare TGV-Meuse ,putain pas de navette bus , je suis a 40 km de chez moi

.

 

Taxi Taxi ! !

--- Oui monsieur mon service est terminé mais vus ce qu vous avez entre les jambe je peus faire un extra

Oooops Je m’apercevoir que ma bite pendait , ayant oublié d’avoir remonté la fermeture éclaire

--au point ou j’en suis , si vous voulez j’accepte tous ce que vous voulez….

-Ok monte

le chemin sembla beaucoup plus court que prévu , il me branlait tout en roulant , puis m’invite a la sucer

arrivée a destination , je l’invita a la maison

après quelque bières

Bon, pour cette nuit je peux vous trouver une chambre ici, mais ne vous attendez pas à du tout confort. Vous repartirez demain matin.
- Merci beaucoup ! C’est très gentil de votre part ! "

. Arrivé au premier étage, J ouvre la porte d’une petite chambre.
- " Voilà, c’est là. Il y a une salle de bain derrière la porte à côté, à droite. Si vous voulez prendre une douche. Vous me direz combien je vous dois pour la course ".
- Entendu ! Encore merci ! "

En me couchant ce soir-là, je suis resté à poil et j’ai défait mes draps pour être entièrement découvert.

Quand la porte s’est ouverte ,il est entré, j’étais allongé sur le ventre, le cul cambré, le visage tourné vers lui, les yeux fermés évidemment. il s’est caressé juste au-dessus de mon visage. J’ai senti sa main gauche sur mes reins, puis sur mes fesses, j’ai légèrement écarté les cuisses, et ai repris mes murmures de plaisirs et mes "… Oui… Encore… ". Il a alors été jusqu’à enfoncer un doigt entre mes fesses, puis deux, puis me chevaucha ,je sentais son gland approcher de la cible, retira ses doigts et senti sa bite entrer en moi ou il se branla avec force , je sentais ses spames monter , se retira , présenta sa bite a ma bouche j’ai doucement sorti ma langue et il s’est branlé dessus, tout en me re-doigtant avec deux, puis trois doigts, un coup de rein il a enfoncé sa bite dans ma bouche jusqu ‘a la glotte et a soudain joui, m’inondant la gorge de son jus que j ‘avala., a mon grand plaisir.

Il est parti le plus silencieusement possible.

Quand je me reveilla au petit matin , au bruit du moteur

Il était parti laissant sur la table une facture " voyage gratuit ,trop bien rémunéré , merci ,son tel 06.1...., sa photo  et rappelle moi quand tu as besoin de te déplacer , bisous sur ton petit cul si acceuillant"

a poil dans ma cuisine je me préparai mon café , repensant à ma journée d'hier ,a mon age (63 ans) je ne pouvais m'imginer  que mon corps pouvait plaire encore autant.
soudain la sonnerie du  téléphone ma rappela a la réalite.
--Allo!!
--Salut papa c'est Pierrot
--Salut fiston quel surprise si matinal?
--oui j'avais envie de toi alors comme je suis de passage par chez toi...
--Ah! bon et tu es ou ?
--La.....juste derrière ta porte , tu n'as qu'a ouvrir....
-- tu me fait marché.....la
--non  papa ouvre
quand j'ouvri la porte il était bien la....avec un grand sourir il me sauta dessus , m'embrassa goulument et me dit
"j'adore te voir comme ça a poils , déssappe moi vite je veus etre à toi et vivre une journée d'enfer avec toi"

a suivre.......



Par simon - Publié dans : ma vie
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