ma vie

Samedi 26 janvier 6 26 /01 /Jan 14:09

Mon ange
Dimanche 13 janvier 2008 .
Il était près de minuit, et je jetais mon regard sur la froide plaine qui entoure ma petite maison isolée hors de la ville.
Au-delà de la baie vitrée s'étendaient devant moi les lumières allumées d’une ville moitié endormi.

Entièrement nu , ,comme j’adore l'être  , écoutant une musique douce tout en sirotant  un verre, la buée s’accrochant aux vitres à chaque expiration, dans la pré-ombre dont seul l’illumination du sapin de Noêl éclaire le salon ,  j’étais  calme lorsque soudain…….
 j’entendis résonner la sonnette  de la porte d’entrée.
"Mais qui est  celui-là, qui vient me faire chier ? ".
Je me précipitais à la porte et je l’entrouvrais pour voir ce qui été si urgent au point que l’on vienne sonner à ma porte à minuit par un soir d’hiver.
Devant moi se trouvait un type, un jeune homme, tout juste vingt ans, brun et des yeux d’un bleu magnifique. Il se précipite à l’intérieur avec pour seule justification un " ne dites rien! " et  part se cacher dans l’ombre du salon à côté de la baie vitrée.
Deux secondes après on re-sonne  à ma porte, , j’entrouve sans enlever la chaine de sécurité , un policier en uniforme se présente et me demande:
-- Police municipal -vous n’avez pas vu un jeune homme d’une vingtaine d’année, brun?
-non monsieur, pourquoi que se passe-t-il ?"
J’ai du mal à cacher mon appréhension et je sens mon cœur qui frappe comme un malade contre ma poitrine, il fait beaucoup plus chaud tout à coup.
-- nous avons tenté d’appréhender un suspect dans une affaire de vol, mais il s’est échappé et on nous a dit qu’il était rentré dans votre cour . Puis-je entrer pour vérifier s'il n’est pas là ?
-écoutez monsieur, qui aurai pu vous dire ça , il y a personne au alentour a moins de 500m et je suis pas habillé voire carrément pas, de plus s'il était vraiment entré chez moi, croyez-vous l’espace d’une seconde que je vous aurais ouvert ?
--alors vous ne verrez aucun inconvénient à aller vous rhabiller et à me laisser entrer
.
- me rhabiller ,ca vas pas la tête , mais pour rentrer il vous faudra un mandat. Bonsoir."
Lui claquant la porte au nez.
 Je sentais mon anxiété qui commençait à me donner des sueurs froides, je m’en retourne vers mon jeune homme planqué dans un coin.
Et là quelle ne fut pas ma surprise, de le voir en train de tenir à la main un de mes magazines gay, il m’entend arriver et jette le livre. Je fais comme si de rien n’étais.
-- bon alors il va d' abord falloir que l’on soigne la balafre que tu as sur la joue puis que l’on change tes fringues (son t-shirt noir était totalement déchiré dans le dos) ensuite tu me raconteras." lange.jpg
Je m’approchais de lui pour examiner ses blessures  ( ça vas c’est presque rien ) et j’en profitais pour le regarder de plus près, un visage juvénile, des yeux d’un bleu qui avec l’obscurité se teintaient de nuit, des mèches brunes lui tombaient sur le front. Et c’est en le détaillant un peu plus à chaque fois que je me rendis compte que j’étais toujours entièrement nu et que mon érection n’allait pas tarder a venir.
-" Donne moi tes vêtements, je vais t’en donner des miens."
Je l’aidais à enlever son t-shirt découvrant peu à peu un corps svelte légèrement sculpté des pectoraux bien formés et des abdos dessinés par un peu de sport.
Je m' extirpais a cette vision de rêve lorsqu' il planta  comme un éclaire son regard outremer dans mes yeux, une seconde passa qui semblait durer plusieurs minutes, alors il se décida a m' embrasser.
je sentis sa bouche effleurer mes lèvres, puis refermer tendrement leurs prises, je sentais la chaleur monter en moi pour mieux rendre l' instant unique, et je lui rendis ce baiser tout et touchant de mes mains les courbes de son corps, caressant le collier ou pendait un médaillon en forme d' ange  ailé que j' avais vu lorsqu' il avait enlevé son haut.
Mon ange à moi (ce minet) me caressait comme un dieu, il caressa ma poitrine et mon torse pour tourner vers mon dos et descendre le long de mes reins doucement cambrés.
Il cessa de m'embrasser pour me pencher en arrière, il commença a embrasser mon corps passant sur mes seins descendant lentement vers mon ventre, les vitres devenaient de plus en plus embuées, la ville s'effaçait peu a peu et l' on ne discernait que les contours de ce qui semblait être que la cité voisine. Seule restait la lumière du sapin éclairant nos corps enlacés embrassant tendrement mon bas ventre déjà dans une atmosphère très tendue, il ne dit pas un mot et moi je ne faisais que soupirer devant le plaisir qu'il me donnait.
Je me relevais, pour lui rendre de tout mon talent tout ce qu’il m’avait donné jusque-là.
Je pris en main l'objet de ce désir qui montait en moi, je caressais son corps pendant que ses mains se baladaient près de mes fesses rebondies.
Je sentais ce corps et cette chaleur vive au passage de chacune de mes mains, les soupirs qu’il lâchait de temps a autres ne cachaient rien de son plaisir, mon ange transpirait de désir et gémissait de plaisir.
Puis le désir monta en puissance je voulais ne faire qu' un, le sentir en moi, je me retournais face a la ville posant ma tête contre la vitre froide, le contacte me provoqua une onde de satisfaction et de calme tandis qu' une vague de plaisir me submergeait lorsque je sentis son corps transpirant se coller au mien.
Je sentais sa chaleur, j'entendais sa respiration et ses soupirs, ils approchait son sexe près de moi puis il força l'entrée d' un coup, c 'était ce que j' attendais, je sentis la douleur se répandre a travers moi, puis il commença des va et viens la douleur redoubla, la chaleur était intense, mes jambes allaient se dérober sous moi mon corps ne me supportait plus.
Je m'appuyais à la vitre froide, j'y collais mon visage mes mains puis mon corps (ceux qui ont vu Titanic savent ce que cela fait, et ceux qui l'on fait avant moi savent à quel point c'est bon).
La douleur se mua en plaisir, je le sentais en moi, son corps enlaçant mon corps, et la chaleur mêlée de nos âmes.
Soudain je le sentis se contracter, puis je sentis la chaleur se déverser en moi, au même moment le plaisir me renversa tout entier, mon corps se contracta pour annoncer la fin du rêve.
Nos corps s’entrelacèrent l' un l' autre, nous respirions à l’unisson ses yeux bleus plantés dans les miens pour mieux signifier à mon corps que le désir était partagé et bientôt consumé.

Alors la sonnette de la porte retentie,

-putain c’est pas vrais , balance tes fringues sous le lit et couche toi
d’un pas chancelant je me levais pour avancer, et ouvrir.
-encore vous , faite chier ! !
-.police ,je vous somme d’ouvrir !
-oh, allez au diable !"

Deuxième claquage de porte.

La sonnette de la porte retentie de nouveau

--je suis désolé, je ne voudrais pas vous forcer la main mais pour le bien de l’enquête il faudrait vraiment que je rentre
-faite chier je ne suis qu’avec mon frère qui dort et moi je voudrais bien y aller aussi.

--je regarde vite fait si vous n’avez rien a cacher et je vous laisse tranquille..
-bon allez vite entrez.
--vous pourriez cacher votre queue semi-bandante.

-si ma tenue vous plait pas faite comme moi foutez vous a poil comme ça on sera deux.
Le flic fit le tour de la maison et arriva a la chambre .
-vous voyez bien que  mon frère dort.
-je dois contrôler , il souleva le drap et vit je jeune homme a poil (faisant semblant de dormir) et ajoute « beau petit cul le frangin ». bopetitcul.jpg
-comme vous lui dis-je en passant mes main sur ses fesses.
-ah ! bon c’est la première fois que l’on me le dit.
-déshabillez vous et regardez dans le grand miroir.
-vous croyez que je peu ?  lepolicier_22.jpg

En moins de deux notre flic etait a poil , admirant son corps dans le miroir sous mon regard et du jeune mec qui ne manquait rien du spectacle



ah! oui je n'avait jamais regardé que j'etais si sexi !!!! 
-bien sur de toute manière vous avez bien vue que l’intrus  n’est pas chez moi.
--vous avez raison après tout.
.
-whaaa ! un beau paquet là devant lui dis-je
-vous aussi
-je peus toucher ?
--oui mais moi je suis pas PD
-les hétéros adorent se faire sucer

--ah ! bon ben allez pour une fois je vairais la différence
je m’approcha  de lui , un bisous dans le cou , me laissa glisser et mordilla les tétons au passage , puis un coup de langue au nombril et enfin la bite qui s’etait  dressée bien dur , très fine que j’entrepris d’engloutir dans ma bouche.
--aaaahh ! que c’est bon  , oh ! ouiii    disait le flic
me tournant légèrement sur le coté afin de voir le jeune dans la chambre , je lui fis signe de venir participer.
Tout en suçant sa queue je lui massais les fesses et l’effet escompté arriva , le flic se pencha au dessus de moi pour caresser mon cul.
-si vous voulez me sucer ? vous genez pas
-- j’ai jamais fait
- ben c l’occasion on se fait un 69 je vous suce et vous faite de même et vous pourrez caresser mon cul…...

je m’allonge sur le dos et l’invite a venir au dessus de moi  ,il prit ma queue en bouche et moi avec mes jambes j’encercla son torse pour le faire prisonnier.
Je jeune homme sortit de la chambre et arriva en douceur derrière lui, et sans prévenir enfonça son pieu dans le cul du flic.
Un cris de douleur retentit , mais n’arriva pas a se dégager étant  bloquer par ma position.
Le jeune homme se défoulais et l’enculait en profondeur , je ressentait dans la bouche les vibrations de l’excitation du bon flic qui commençait a y trouver du plaisir.
--ouiii ouiiii c bon encore les mecs c’est délicieux
le jeune mec se cabra et envoya sa semence dans les entrailles du flic alors que celui-ci remplissait ma bouche.
Sous l’emprise de sa joissance le flic ne vit pas que le jeune homme avait disparue dans les secondes suivantes.
quand il se rhabilla le flic dit «  putain c’est vachement bon »
-tu vois ,tu as pas le voleur mais lui t’as eu….
--QUOI ? QUOI c’est lui qui ma enculer ?
- OUI  le voleur
--ou il est que je l’embarque ?
-eh t’es pas sympas avec lui , il t’a quand même permis de passer un bon moment
-oui  oui , mais en plus je vais lui coller un viol a ce petit con
-désolé mais il c’est envolé et en plus avec mon camescope ,que j’avais mis en fonction , donc en plus il a la preuve que tu etait consentant.
--a merde merde et merde que je suis con......
-t’inquiète si tu repasses viens me voir pour un extra.
--bon  , mais que ça reste entre nous …..ben au revoir
-au revoir

La première chose que je ressentis en revenant dans le salon ce fut le froid, un froid intense qui me mordait la chair, la fenêtre était ouverte et les rideaux blanc flottaient lentement dans la pièce.
je me précipitais au balcon et regardais dans le vide, rien, absolument rien, la neige avait commencé de tomber, couvrant la plaine d' une ombre pâle, je rentrais en ferment la fenêtre, il ne restait rien, aucun vêtement, a part un éclat d' argent sur le sol, le collier du jeune homme, deux ailes d’ ange graver JM.
mon ange, qui s'était envolé un 13 janvier, reviendra-t-il ? ?.

Deux jours plus tard , je retrouva mon camescope  dans la boite a lettre avec un petit mot
 «  MERCI MONSIEUR ? JE NE SUIS PAS UN VOLEUR ? J’AI JUSTE FAIT UNE COPIE DE LA CASSETTE , SECURITE OBLIGE CAR CE FLIC MINICIPAL ME POURCHASSE CAR JE BAISE SA FEMME »


j’aurai pourtant aimé le revoir pour lui redonner son collier…………..

Par simon - Publié dans : ma vie
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Vendredi 25 janvier 5 25 /01 /Jan 13:46
attaché au radiateur , seul dans la chambre , je me remettais lentement de ce que je venais de subir (voir épisode précèdente) , attendant que le co-locataire rentre de son travail.
mon cul encore ouvert  sans doute voulait-il se rappeler de Mehdi et Alexi.
soudain la porte claqua. c'etait Mohamed .
-- salut Franck alors il est ou le gigolo?
--dans la chambre attaché au radiateur.
--pourquoi attaché tu sais j'aime pas ça.
--oui mais il voulais se barrer.
la porte de la chambre s'ouvri et apparu Mohamed quand nos regard se sont croisé ce mec je le connaissais , il passe tous les jours devant chez moi pour faire son joggin.
-- salut mec me lança -t-il
--salut
-- j'étais loin de penser que tu étais PD
--pas PD juste amateur de bonne bite.
--tu vas te régaler alors , mais comme tu es sympas je vais te faire un cadeau.
--j'y crois pas vus ce que m'a fait endurer ton co-locataire Franck et ses 2 amis.
--Franck vient ici de suite hurla-t-il
Mohamed avait sorti d'un tiroir un collier et des chaines  , que vais -je encore subir?
-- détache moi ce mec et viens a mes pieds.
Franck me libéra et executa l'ordre.
Mohamed pris les menotes et attacha les poignées de Franck dans le dos , lui passa le collier autour du cou et menota ses pieds tout en relieant le collier et les menote des pieds avec la chaine un peu courte qui obligait Franck à avoir la tete maintenu en arrière.
Franck hurlait " NON NON pas ças "
-- ferme ta gueule conard , tu sais bien que j'aime pas que tu ramènes des lascards quand je suis pas là!!!
--mais c'était pour toi qu'ils etaient venu , et entre temps sur le net j'ai trouvé le vieux qui se disait pute , salope ,alors on l'a chauffé avant ton retour.
-- c'est vrais ça mec?
--OUI
Mohamed me fit mettre debout , me couvra de bisous ,s'agenouilla et me suça la bite pour mieu la raidir.
--voila tu es pret alors bourre lui la gueule , défonce lui la bouche a ce conard..
pendant que je limais la bouche de Franck , Mohamed se désappait et se mis sur un fauteuil et donnait les ordes. 2008_mohamed.jpg
-- Putain plus vite , plus fort 
il sorti du meuble voisin un fouet et se mis a me taper comme un taré
mais le fouettage me donnait encore plus de plaisirs.
voyant ça il se plaça devant moi  et hurla " suce  moi ça , et aprés je t"encule "
Quand le morceau se présenta devant ma bouche le gland ne rentrait pas tellemment il était gros.
Il me l'enfonça de force dans le bouche , gueulant "  quand je dis suce on suce compris? " je ne pouvais plus respirer et n'y lui répondre.
Les coups de fouets rytmaient la cadance dans la bouche de Franck ,alors que Mohamed lui faisait de même dans la miene.
Dans un moment de relache , ma bite sortie de sa bouche et celui-ci me mordit les couilles , sous la douleur je lacha la bite de Mohamed  et lui claqua un direct dans la tronche en gueulant  ' ça vas pas espèce de con "
Mohamed pris un autre jeu de menotes et m'acrocha  les mains au dos de Franck , a mon tour j'étais son prisonnier.
Il pris du gel et m'enduit le cul
--NON  , NON ,pas toi elle est trop grosse
--ta gueule tu sera ma pute du jour
--Pitier Non pas ça , pas toi
--Pourquoi je te plais pas?
--Si mais.....
--mais quoi? tu a peur de ma bite ?
--ta queue est superbe mais mon cul vas pas aimer
--vas pas aimer , tu rigoles , tu as pas dis sur le net que tu était une pute?
--Si Si  ,mais c'etait juste de la frime
--tampis pour toi fallait pas
--NON ,NON STP
Mohamed s'excitait en frottant son gland contre mon trou et d'un coup de rein sec sa queue entra dans mon fion.
mon cris de douleurs fut si fort que l'on a du m'entendre   3 étages plus haut
j'en avais perdu mon errection , Franck en profitait pour me re- mordre les couilles.
pris entre mes deux boureaux je ne pouvais plus rien faire que de subir , les couilles de Mohamed tapaient contre mes fesses alors que dans mon ventre je sentais ça matraque allait me ressortir par la bouche tellement ces  coups de beliers étaient puissant.
entre plaoisirs , jouissance ,douleurs je senti monter en moi une chaleur énorme et puis plus rien je me suis évanoui.
Que c'est-il passé apres ....................je ne sais pas ................je reprendrai mes esprits , devant chez moi , dans ma voiture , entièrement nu , mes habilles à coté de mon corps couvert de sperme.
mon cul lui se souvient  et s'en souviendra longtemps d'avoir avalé une bite de cheval 

Mohamed passe  toujours tous les jours devant chez moi pour faire son joggin mais fait semblant de ne pas me connaitre......
mais moi je lui en veus pas dommage pour lui. 2008_suce.jpg



Par simon - Publié dans : ma vie
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Jeudi 24 janvier 4 24 /01 /Jan 17:30

SERGIO Le p'tit con de mon locataire.
Une nouvelle famille a emménagé dans la maison voisine que je loue pour la1ère fois après quelques année de travaux de rénovations. Seul un long couloir sépare les logements ,la porte d’entrée et celle des servitudes et la même pour moi et pour eux.
.

Le fils de la famille locataire un ptit con , jamais de bonjour , pas un mot envers les personne plus âgés  et pourtant  c’ est un super minet, un regard sympas, un petit cul  bien rebondi qu'on voudrait bien comme garage à bite, des lèvres  sensuelles,  rouges qu'on a envie de voir  un collier autour d’un gland qui entre dans une bouche. sergio-02_009l.jpg
 Mais voilà, je lui donne pas plus de 16 ou 17 ans et moi qui en ai 62, je ne veux pas de problème avec un mineur.
Pourtant, ce p'tit con, il est toujours sur mon passage, je le trouve dans mes pattes partout : dans la rue, sur le parking , dans les magasins etc... . .
À chaque fois, il me mate d'un air provocateur qui semble dire : " Si tu veux, tu m'as". 
De mon côté, je fais tout pour l'ignorer, je ne veux pas d'histoire.
 En plus, s'il me disait un mot, un sourire, un bonjour ! Mais non ! rien
----Un vrai p'tit con.
Seulement voilà ! Je me suis rendu compte depuis deux ou trois jours , il conduit  la voiture de papa avec un A sur la vitre arrière.
La barrière de la minorité est tombée.
 Maintenant quand il me mate de son oeil salingue, je lui renvoie un regard qui veut dire " c'est quand tu veux".
 Mais toujours rien, pas un mot, pas un sourire, pas un bonjour.
 ---Quel p'tit con !
Un samedi après midi, je descends à la cave .
 la porte qui donne sur les caves est déjà ouverte et je le vois, là, assis dans l'escalier.
Échange de regards, toujours pas un mot.
Je passe dans le couloir sombre où sont alignées les 2 caves, la mienne est  au fond.
 Je prends ce que j'ai besoin, je referme la porte et je reprends le couloir en sens inverse.
Tiens !!!   la cave du locataire est ouverte et il y a de la lumière.
 En passant devant, je risque un oeil et je vois le p'tit con , en train de se masturber.

Le temps de réagir, j'ai déjà dépassé la porte de quelques mètres , je m'arrête et me retourne.

Il est là, debout, au milieu du couloir, exhibant sa bite sergio-02_116la.jpg et me faisant signe d'entrer dans sa cave.
Y'a pas à hésiter, j'y vais.
A peine entré, il ferme la porte à clé et éteint la lumière. La seul clarté  est de la bouche d’aération .
On est là dans l‘ombre, adossé au mur du fond , j'attends ce qu'il va faire.
 IL avance , il est face à moi, met sa bite dans la main,(tout comme je l'imaginais)   grosse,  chaude et ferme . Je le branle doucement pendant qu'il s'acharne de faire sauter les boutons de mon jeans , il me caresse le sexe à travers mon calbute, je suis déjà en pleine érection.
Le calbute et le jeans atterrissent sur mes mollets, je le défringue à mon tour.
 Après quelques minutes de caresses sur nos zobs, j'attrape sa tête et la penche pour qu'il me suce. Il ne se fait pas prier Il suce bien ce p'tit con  Sergio.
Il y met du coeur, sa langue est une vraie vipère, je la crois à un endroit, elle est ailleurs, il me bouffe les couilles avec ardeur, remonte sa langue le long de ma bite, un vrai plaisir.
Je lui relève la tête, ne voulant pas jouir trop tôt, je le retourne, lui plaque ma bite bien dure contre le bas du dos, je m'occupe de son sexe, le malaxe, le pétrit, je lui claque les fesses, il rugit « oouuuuiiiiiii encore hummm!!! » de contentement, écartant les jambes je risque un doigt dans sa raie ,l’enfonce dans le cul , je le remue, il apprécie, « mets en deuxième » dit-il , il se cambre en disant «  mets en un troisième » , je lui donne satisfaction.
C'est alors qu'il me dit «Mosieur  fout moi ta bite dans le cul! »
« J'en rêve depuis que je t'ai vu, je me branle en pensant à toi » « . Vas-y, défonce moi! Mon cul est à toi, prends moi comme une chienne! J'ai le cul en feu! J'en veux! J'en veux! ».
Moi aussi je voudrais bien l'explorer ce petit cul rebondi . sergio-02_096l.jpg
 « je ne m'attendais pas à ça aujourd'hui   je n'ai pas de capote sur moi »  lui dis-je.
« T’inquiète j‘en ai » , il farfouille dans son jeans et me donne de quoi satisfaire mes envies.
C'est couvert que je présente ma bite à l'entrée de son cul, je n'ai pas beaucoup d'efforts à faire pour l'enfoncer toute entière (c‘est surement pas sa 1ère fois).
 Au début, je lui fais des va et vient assez doux, mais il ne l'entend pas de cette oreille, il veut vraiment se faire défoncer, alors je lui fout de sacrés coups de bite à répétition. Je le branle en même temps et je la sens frétiller dans mes mains, il en demande toujours plus et toujours plus fort
---(il va me crever ce p'tit con!)
Un coup de bite sans doute mieux placé , sur un cri de bête sauvage il crache son sperme, j'en ai plein les mains, je lui enduit la bite avec, ça l'électrise, il serre les fesses, les relâche, les resserre et c'est moi qui gicle à mon tour, remplissant la capote dans ses entrailles.
On reste là sans bouger, savourant le pied qu'on a pris ensemble.
Il récupéra la capote en faisant bien attention de ne pas la vider.
en suite mit la capote remplie de nectar dans une petite éprouvette fermée hermétiquement étiquetée (dates: 23/01/2008 , nom : le vieux Simon)
 pour ma collection dit-il
Plus tard, chacun s'est rhabillé, ouvre la porte, me pousse dans le couloir et se renferme dans sa cave.

Depuis, quand j'ai envie de me vider les couilles, je vais voir à la cave s'il ne rode par là et c'est souvent , presque tous les dimanches qu'il m'attend, assis dans l'escalier.

Je continue à le rencontrer partout, mais jamais un mot, jamais un sourire, jamais un bonjour. 
Je n'entends sa voix que quand il me crie « Bourre moi  le vieux ,bien a fond , plus fort oui encore» .

---Quel p'tit con!
--Mais un BON p’tit con ce Sergio

Par simon - Publié dans : ma vie
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Mercredi 23 janvier 3 23 /01 /Jan 11:51

simon_2008.jpg , j’ai les yeux bleus, je suis  encore assez mignon, corps enrobé  qui fait saliver quelques  mecs.
 Cette fois, 20 janvier 2008 une autre expérience m‘attend..

Minuit passée, je suis sur un chat gay tendance reubeu, lascars. Mon pseudo, situenveu , ma description est accompagnée de la mention, très salope(.
Alors que je parle avec plusieurs mecs sans grand intérêt, un mec de 37 ans ouvre un dialogue avec moi. Son pseudo est bellaiguille37 . Il m’aborde ainsi :
 « Alors tu offres ton cul de lope ? ».
 Excité, je lui réponds direct « oui ».
 Echange d’ adresse MSN et il me rejoint dessus.  Après l’échange de photos/visio par caméra, il me propose un plan chez lui. Il est français, brun, les cheveux très courts, les yeux noisettes/noirs. Il est pas trop musclé du torse et poilu sans exagération. Sa queue mesure 18/5.
Il n’habite pas très loin de chez moi, a ma grande surprise à peine 2km , le plan est tentant surtout qu’il est bandant.
 Je lui demande  «  quel genre de plan, tu  souhaite »  .
Il me dit « viens chez moi et suce  moi direct en entrant puis je te défoncerai ensuite ».
J’accepte pour le lendemain après-midi vers 16 heures. On échange nos numéros de téléphone et il me donne son adresse. Avant de quitter, il me demande « ne porte surtout aucun sous-vêtement quand tu te présenteras chez moi ».
J’acquiesce.
Le lendemain, je me rends au rendez-vous. Je l’appelle lorsque je suis dans sa rue, il m’ouvre et m’indique l’appart. En montant les escaliers, je me rappelle sa directive concernant l’absence de sous-vêtement.
 MERDE…, j’ai mis mon string noir ! Tant pis.
Il ouvre la porte lorsque j’arrive sur son palier , me fait rentrer , referme derrière moi.
Il porte un tee shirt moulant noir et un jean noir.
-salut heuuuu.... je suis Simon
-ok moi c Franck franck_2008.jpg  sa bonne gueule etait loin de se qui m'attend..
Sur un ton décontracté, je lui dit : « J’ai eu du mal à trouver ton… »
- Tais-toi !
Il me caresse les fesses et la bite.
Pas mal tout ça… Tu es excité petite lope ? »
- Oui.
- Tu as bien obéi, j’espère… Sinon.
Il m’ouvre le jean et découvre mon string.
Pourquoi tu as mis un string, je t’avais dit sans sous-vêtement !
- Je…
- La ferme !
Il m’attrape par la barbe et me met à genoux. Là, il me colle une baffe.
Quand je te dis un truc, j’entends être obéi ! Compris ?
- Oui.
- Tu es une lope. Compris ?
- Oui.
- Reste comme ça.
Il me laisse à genoux et pars dans une autre pièce. Il revient avec des ciseaux, me baisse le pantalon et découpe mon string pour me le retirer en lambeau.
Voilà, ça définit mieux ta condition ».
Il me remet le jean et me saisi par la barbe.
Je veux plus de ça, compris salope ?
- Oui.
Bien vielle salope, je voulais un plan cul à la base, mais ta gueule de salope me donne d’autres idées. Tu vas devenir ma lope personnelle. Ok ? ».
- Oui.
- Bien. Mets-toi à poil, salope !
Je me déshabille, commençant par la veste. Je retire ensuite le débardeur et mes pompes. J’ôte mon jean et mes chaussettes, me retrouvant entièrement à poil. Il me matte comme une marchandise, l’air satisfait.
- Te voilà prêt à servir vielle pute !
- Oui
Il me tâte le corps en insistant sur ma raie serrée.
Son portable se met à sonner.
« Oui ? Medhi ? *** ! Comment tu vas ? *** Trankil !*** Vous êtes où ? … *** Bah je suis un peu occupé ***… C’est vrai tu l’as ? ***Ouais venez en profiter !*** Dans cinq  minutes ? ***Ok ! ».
Il raccroche et repose son portable.
- Désolé salope, mais j’ai deux potes qui débarquent avec la nouvelle PS3 ! Donc je te loperai plus tard !
- Ok.
Je me relève, il me matte. Je prends mon jean mais il m’arrête.
- non  , non  , attend ! Reste à poil !
- Mais faut que je me casse si tu as des potes qui arrivent.- Non, j’ai pas envie. Tu vas rester là dans la chambre. Nous on va jouer au rez-de-chaussée. J’ai envie de te dresser plus tard. Donc tu vas m’attendre là.
- Quoi ! Mais combien de…
- La ferme ! deux heures tout au plus !
- Non, c’est mort !
Là, il m’a collé une baffe magistrale !
- Je t’ai demandé de fermer ta gueule, sale chienne. Tu obéis comme une bonne salope et c’est tout.
J’étais soufflé. 
Il a ouvert son placard et en a sorti une paire de menotte et m’a attaché  au radiateur.
- Hé non, tu peux pas me laisser comme ça, si je veux pisser.
- Tu te retiendras, salope. Je monterais te voir qu’une fois.
La sonnette de la porte a retentit et il est parti en me disant «  si tu gueule, tu prendras une raclée dont tu te rappelleras »..
 En bas, j’ai entendu la voix de deux autres types puis ils sont allés dans le salon. J’imagine qu’ils ont branché la console et qu’ils ont commencé à jouer. Au bout d’un demi heure de cri de victoire et de défaite, il y a eu du bruit dans l’escalier.
  Franck  surgit dans la chambre suivi des deux keums. Un rebeu d’environ 25 ans que j’ai tout de suite trouvé beau et un métis qui devait être plus âgé ,  la gueule sympatique  .
- Voilà le  bâtard sur lequel je m’amuse ! Je l’ai contacté en lui faisant croire à un plan cul et ça va me servir de vide-couille et de défouloir.
- wa j’délire ! A commenté le rebeu Medhi.
- Putain, Il me file la trique ce pédé à poil attaché à ton radiateur. Ouah, pourtant je ne suis pas une fiote,  a gueulé Alexi, le metis.
- Moi non plus, mais ça me fait marrer de le traiter comme une merde, répond Franck.
- Hé, on pourrait s’en servir pour se branler ? Avance le beau Medhi et ajoute
-C’est mieux qu’avec une meuf car là tout est open !
- Ouais
Franck m’a détaché et m’a ordonné « ouvre la bouche »  .
 C’est ce que j’ai fait.
 Medhi s’est approché et à ouvert son jean puis baisser son caleçon. Il a sorti une bite déjà raide qu’il m’a mise dans la bouche. J’ai commencé à le sucer en appréciant le fait de sucer un aussi beau mec.
Derrière moi Alexi a demandé un préservatif à franck. Il a retiré son jean et son pull. Il s’est approché de moi en exigeant que je le branle. J’ai baissé son caleçon et je me suis exécuté, même si sa gueule de faut cul me dégoûtait. Il avait une queue énorme. Elle devait faire entre 19 et 21 cm pour une largeur de 5 à 6 cm. La veste de Medhi le gênait pour que je le suce plus loin, il l’a donc retirée avec son tee-shirt. Ce geste m’a permis d’admirer ces  mini tablettes. medhi_2008.jpg
Alexi est devenu bien raide. Il a enfilé le préservatif et a pris mon tube de gel pour m’en déverser une grosse quantité dans le cul. Il s’est mis derrière moi et s’est enfilé d’un coup sec sa queue énorme.
 J’ai gueulé malgrés la queue de Medhi en bouche.
- Tu aimes ça vielle  salope, disait Alexi.
- Il adore,c une pute ! , répondait Franck qui s’était mis à poil et que je branlais. - ---  -

-Grave, répondit Medhi. Il suce comme une salope !
Alexi me défonçait le cul sans ménagement en m’assénant de grosses claques sur les fesses qu’il ponctuait d’insultes. Il me traitait de chienne en chaleur, de tire-jus, de lope et de pute. Mon cul me faisait mal mais je ne pouvais pas gueuler car Medhi me tenait la tête et m’enculait sauvagement la bouche.
Frank les encourageait à se défouler.
 Il rejoignit Medhi et m’ordonna «  prendre également ma queue dans ta bouche » .
Je me retrouvai à sucer ses deux queues en même temps puis à tour de rôle, le nez dans la touffe de poils de Frank où contre ceux coupés courts de Medhi.
- Je vais jouir, dit Medhi
- Te retiens pas, lui conseilla Frank, lui abandonnant ma bouche.
Medhi fit encore deux va-et-vient dans ma bouche puis déchargea son sperme chaud sur ma gueule.
- Tu aurais pu lui donner à boire à cette salope, je suis sûr qu’il attendait que ça, balança Alexi qui me défonçait le cul toujours plus vite.
- C’est clair, approuva Frank pendant qu’il reprenait sa place dans ma bouche.
Alors que Medhi s’essuyait la bite dans mon débardeur,
alexi_2008.jpg Alexi se retira de mon cul bien ouvert, ôta le préservatif et éjacula sur mes fesses blanches avec un long râle ponctué d’un « sale pute » retentissant.
Devant ce spectacle, Frank se vida dans ma bouche m’obligeant à tout avaler.
- Tu es ma salope perso et c’est ma signature ! Compris sale chienne !
- Oui, déglutis-je, en avalant son foutre chaud.
- C’est une bonne salope, approuva Alexi.
-Tu vas avoir un bon vide-couille à dispo ! releva Medhi
- Il est également à votre disposition les mecs, vous avez la priorité quand vous voulez.
-Pour ce soir, je vais le laisser à Mohamed. Ça va le détendre en rentrant du boulot. D’ailleurs il arrive dans une demi-heure !
Mohamed,je le connaissais il passe tous ls jours devant chez moi et me mate grave , et je venais de  comprendre qu’il  était le colocataire de Frank. 
C’était un black de 26 ans plutôt violent, ce qui lui avait valu plusieurs séjours en garde à vu et des vacances de trois mois à  la Centrale de St Mihiel.
Après s’être essuyés la queue dans mes fringues (mon débardeur ), et s’être rhabillés, les trois mecs descendirent. 
J’entendis Medhi et Alexi partir.
 Frank monta alors que je m’essuyais le foutre que j’avais sur le visage. Il me balança une claque.
- Qui t’a demandé de retirer ce sperme avec mes mouchoirs en papier. Prend tes fringues !
Je pris mon débardeur mais il était déjà complètement souillé de sperme. Je trouvai un coin propre sur ma veste pour retirer le foutre sur mon cul et mon visage.
- Tu vas attendre bien sagement Mohamed ! Il va arriver. Je l’ai prévenu qu’un tire-jus allait être à son service. Tâche d’être docile, il a l’air vénère !
- Mais…
- Ta gueule.

-
A SUIVRE…

Par simon - Publié dans : ma vie
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Vendredi 4 janvier 5 04 /01 /Jan 10:56

Il A presque 18 ANS !!!

Moi Simon j'ai 62 ans (déjà !)
Depuis plusieurs mois , je suis un homme marié et déprimé.

.
Un jour Hervé passe chez moi avec un de ses copains.
-Bonjour tonton on peut aller sur le net faire une recherche , papa ma interdit l‘ordi pendant 8jours?

-Bien sur Hervé

-je te présente Fabien un pote qui a le même prob avec ces vieux pour l’ordi.

-enchanté Fabien si tu as besoin de l’ordi tu pourras venir ici

-merci monsieur c’est gentil de votre part.

Je ne sais pas pourquoi, la poignée de main de son copain Fabien est insistante et sensuelle.

Je suis troublé. Sait-il que je suis BI-homo ?
Je détaillais ce petit mec d'un mètre soixante dix, mince, les cheveux noirs bouclés en bataille et une belle gueule de gosse. Il était vêtu d'un survêtement blanc et d'un pull blanc, les deux trop larges pour lui. Son pantalon de survêt descendait sur ses fesses, laissant apparaître le haut de son boxer moulant.
Après avoir était sur le net, plusieurs heures , ils repartent.
On se dit au revoir, et là, pareil, Fabien me serre la main de façon insistante et caressante.
Deux jours plus tard, la sonnette sonne, sans connaître le visiteur, je dit

-entrez c‘est ouvert.

Et là, qu'elle surprise : Fabien venait me rendre visite.

Il me dit «  Hervé m'a donné rendez-vous  chez vous » .

- Ah !
Il s'assoit sur le canapé, proche de moi. Nos jambes se touchent alors qu'il y a largement de place. Nous discutons de choses et d'autres ,. Toujours pas de visite de Hervé. Les heures passent, et l’invite a prendre un petit apéro .

Et là je ne sais pas comment, je me retrouve avec mon bras droit autour de sa taille, et ma main gauche sur son sexe qui durci. Mes mains parcourent son corps, et je le découvre musclé malgré sa minceur. Des bons abdos, des bons mollets.

Je le détaille et le sculpte de mes mains (envahissantes) : ses mollets bien musclés n'ont presque pas de poils, mais des bons petits poils noirs qui se parsèment tout le long de ses jambes. Son visage fin et poupon n'a aucune barbe, qu'un petit duvet parsemés le long de ses joues et un tout petit peu sur son menton.

je me disais dans ma tête : Craquant le gamin. ce gamin ! 
il est beau comme un ange ! 
Mais il ne faut pas ! Même s'il accepte !
Qu'est ce que je fais : il a 17 ans ! il est beau comme un ange, mais bon, je n'ai pas le droit !
 

Le silence était là depuis un grand moment. Mais mon envie et la sienne remplaçaient nos mots. Je ne sais pas comment je me suis retrouvé avec son sexe en bouche . je commence à le sucer et son sexe devient de plus en plus long. Il est de bonne taille, gros et non circoncis (ce que j'adore !).

Je relève la tête le dévisage, et vois mon petit mec qui était aux anges. 
Il tient son survêt et son boxer au bas de ses belles testicules, et remonte son pull. J'embrasse et caresse son torse imberbe, puis replonge ma bouche sur son sexe. Je le suce de plus en plus énergiquement, je sens sa jouissance arriver.

Mais là, pris de remords j'arrête tout. Je remonte ma tête sur son ventre. Lui fait un bisou, et lui dit " faut pas "

Je remonte son survêt pour cacher son sexe et lui applique un dernier bisou sur sa joue.
Le silence se réinstalle de nouveau. 
Tandis que je le garde serré quelques instants dans mes bras.
On regarde la télé comme deux cons, on commence à reparler de choses et d'autres puis après encore une heure, Fabien décide de partir retrouver Hervé.
Je le raccompagne à la porte , je ne peux m'empêcher de le prendre dans mes bras. Il passe aussi ses mains autour de moi et me caresse tendrement le dos.

Il se doute qu'en ce moment je suis malheureux. On reste enlacé plusieurs minutes, je lui refais un bisou dans le cou et lui dit " suis désolé. " Il s'en va.

Je suis seul et très perturbé par ce qui vient de se passer.

Les jours passent, Hervé et Fabien me rendent visite . Tous est normal comme si rien ne s'était passé mais à chaque fois sa poignée de main est toujours insistante et caressante.

3 semaines plus tard, coup de sonnettes, j'ouvre et voilà mon Fabien qui vient tout seul me voir. Il s'installe sur le canapé. Et de nouveau nos jambes se touchent. On discute, on rigole et je ne peux m'empêcher de poser ma main sur sa cuisse. Je le caressais comme si tout cela était naturel. Je vis alors son survêtement tendu au niveau de son sexe.

Je pose ma main dessus. Il passe son bras gauche autour de mes épaules. De sa main droite il baisse son pantalon pour me mettre devant les yeux sa belle queue bien bandée, avec une petite couronne de poils noirs. Je ne peux pas résister et le prend dans ma bouche. Je commence une bonne fellation tout en le branlant de temps en temps. C'est bon, je fais durer le plaisir le plus longtemps possible mélangeant ma sucions et ma main qui le branle doucement. Je relève ma tête, le regarde et lui demande " ça va ".

Il me répond «  oui, oui  vas-y continue ! ».
Je retourne donc à ma besogne, et là j'accélère le mouvement. Je le sens qu'il va jouir, sa respiration s'accélère tout en laissant sortir des petits gémissements. Et sa main se crispe sur mon pull au niveau de mon épaule. Avec un râle retenu, il décharge un flot de son merveilleux sperme que je m'empresse de déglutir.
Je fini de le sucer pour bien nettoyer sa bite, pose ma tête sur ventre pour finir par des baisers, tandis qu'il me tient toujours par les épaules.

Il m'avoua " c'était la première fois et que son « dépucelage » était un beau cadeau a quelques jours de Noël ! "

Et hier (21/12/2007) : mon Fabien arrive tout seul. Il est toujours aussi beau, il s'est rasé les cheveux, il n'a plus ses belles boucles noires.
Mais il à toujours sa belle petite figure d'ange.
Comme d'habitude, il s'assoie à mes côtés. très à mes côtés. Il est gelé, je lui prends les mains pour les réchauffer. Comme d'habitude, on regarde la télé, on parle, on rigole. Et une fois de plus je pose ma main sur sa jambe. Machinalement je la glisse sous son pantalon pour prendre sa bite en main.

Elle est toute petite et toute froide. Je lui dit

- même ta quéquette est gelé.

- « Ben oui » me répond-il, «  fait froid dehors ».
Je m'empresse alors de bien la tenir et la réchauffer. Je l'embrasse sur sa joue, son cou, et lui dit « tu es adorable » . 
Il me répond « tu sais pas ! mais je t’aime ».

-moi aussi murmurais-je car j'ai peur de l'aimer !

Il m'avoue « suis puceau et j’ai jamais eu de relation avec mes copines, tu es le premier à me donner du plaisir ».
Son sexe commence à se réchauffer et à bien grandir !

Je lui demande «  je peux lui faire un bisou » ,
 il me dit «  oui ».

Je lève donc sont pull et embrasse son petit ventre. Il descend son pantalon et me laisse faire des bisous sur son sexe qui gonfle de plus en plus.
 Là elle n'est plus gelée ! Que faire ………….

je la regarde, je l'embrasse . puis enfin je la prend dans ma bouche, doucement, calmement pour continuer a la réchauffer avec ma bouche chaude et humide.

Elle grandit de plus en plus. 18 cm il me dit.

Je vais chercher une règle, je mesure : Et oui ! il a 17 ans, et elle fait 18 cm ! j'y crois pas ! Et elle n'a jamais servie !
Il passe son bras gauche autour de mes épaules.
Je reprends son beau sexe en bouche, tout en caressant son corps, ses couilles. Je le suce doucement et comme la dernière fois ma main le masturbe tout doucement pour lui faire durer son plaisir. Je le suce doucement. Il met sa main sur la mienne pour accompagner le mouvement doux et délicieux. Et là, je le laisse. Je garde son prépuce en bouche, et lui continu les mouvements de sa main faisant sortir son gland, le recouvrant, encore et encore, mais toujours doucement.

Sa jambe gauche est passée entre les miennes. 
Il doit sentir mon érection. Tant pis même si j'ai honte !
Je le suce de plus en plus vite, sa main gauche sert mon épaule. Et d'un coup sa main droite vient se poser sur ma tête, et me guide ! c'est la première fois que sa main se met sur ma tête, j'en suis troublé et heureux. Je le laisse faire, il me dirige, fais aller et venir mes mouvements au rythmes qu'il veut.

Je le suce, j'enfonce ma bouche jusque sa garde, le laissant me tenir la tête, et le laissant caresser mon épaule. Ça dur un long moment.
Je reprends son sexe en main pour accélérer le mouvement tout en le gardant dans ma bouche. J'accélère et lui appuis de plus en plus sur ma tête.
Ça y est il arrive, son sexe se gonfle encore plus, je sens son corps se crisper, frissonner, se cambrer. Il m'empoigne la tête, me sert fort l'épaule et il gicle. Il me fait tout avaler et j'adore sa substance sublime, délicieuse.

Je termine avec plein de tendresse de nettoyer son prépuce, son gland et de ne rien perdre de sa fabuleuse liqueur.
On termine par des bisous. Je lui redis " je l'aime mais que j'ai peur de notre relation ". 
Il me réponds " oui ", mais reste tendre avec moi et me fais comprendre que tout cela lui fait plaisir.

Je ne sais pas comment tout ça va se terminer, mais de plus en plus. Je pense qu'il a des sentiments pour moi.

Je fantasme (( aller plus loin : qu'il me fasse l'amour ! Qu'il me mette son engin entre mes fesses.)) 
Je ne sais pas s'il est prêt à passer à cette étape. Mais moi je ne ferais rien à sa rosette, je ne veux pas abîmer son petit trou du cul. Et de toute façon je ne pourrais pas.

22/12/2007 Il est passé avec Hervé, et je l'ai trouvé un peu distant. Je suis déçu, mais la présence d" Hervé n'arrange pas les choses.

Aujourd'hui samedi, il doit fêter son anniversaire avec ses ami(e)s chez Hervé. Je n'y vais pas, je suis trop vieux !
La date officielle est demain dimanche 23.

Lundi 24 : je n'ai pas le moral. Je suis levé depuis 4h00 du mat' .
..
Et je fatigue. Je m'allonge vers midi, en me disant qu'une petite sieste me fera du bien.
Mais vers 12h30 coup de sonnettes .. (putain, qui viens me faire chier !)
Je réponds et j'ouvre Et là.. Surprise. MON Fabien tout seul !!! (je suis content !).

Sur le canapé, on parle, et lui se met bien à l'aise. Je vois tout de suite que son pantalon (toujours trop large) est descendu jusqu'au niveau de son pubis et que la braguette de son jean est descendue ! Mais bien sur il y a le caleçon qui recouvre toute la beauté que j'ai envie de voir. Ma main a envie de le frôler, de le toucher, mais j’essaye de résister.

Il se lève, se serre un verre et m'en sert un (il est gentil !) et se réinstalle sur le canapé.
Il prends de plus en plus son aise, et soulève le haut de son pull pour me laisser voir son petit ventre. Là je ne peux m'empêcher de lui faire un bisou juste au niveau du nombril. Lui tout de suite me tient la tête ! Je me redresse!
Nous buvons doucement nos verres, et la paume de ma main ne peut s'empêcher de se pauser sur son ventre.

Je descend pour toucher ses petits poils pubiens qui sont lissent et doux, et touche son sexe .. Qui ne demandait que ça ! Il était recourbé sur ses petites testicules, mais déjà ferme. Je le mets en place le long de son ventre pour le laisser suivre son évolution !
Je me penche sur lui, le respire, le sens à pleins poumons. Il remet sa main sur ma tête et me guide comme  pour me dire qu'il faut que je lui fasse plaisir.

Il enlève le bouton qui retenait son jean, Doucement et tendrement je baisse un peu son caleçon et laisse dépasser le bout de son prépuce.

Que c'est beau de découvrir juste un petit bout de ce qui va être un paradis !
Ma main droite caresse le creux de ses reins, effleure le sillon de son dos, je m'arrête sur chaque muscle.

Après plusieurs minutes de tendres baisers, et de caresses, 
Fabien baisse son caleçon pour libérer son sexe bien tendu. Je lui fais des bisous tout le long, sur ses petites testicules, sur son pubis. je le mets dans ma bouche et commence doucement a remuer ma langue. Il aime et s'allonge encore plus sur le canapé.
Cette fois-ci, je veux tout voir ! Tout caresser et pas au travers du tissus. Je prends mes deux mains et descend son pantalon jusqu'au niveau de ses chevilles. (il m'aide en soulevant son bassin). Là enfin je vois son ventre, son sexe très tendu, ses jambes musclées et imberbes, et ses mollets un p'tit peu poilu.

Je contemple et caresse le tout, doucement, tranquillement, tendrement. Je ne veux pas précipiter les choses car je l'aime et lui aussi (un petit peu !). Je pose un baiser sur son prépuce qui laisse découvrir le bout de son gland. J'y pose la langue et la fait tourner tout doucement. Il frétille. Il me prends la tête et « m'oblige » à gober sa longue bite. Je ne me fais pas prier et commence à faire des allées et venues tout le long de cette tige magnifique.
Je le laisse me guider. Avec sa main il me fait aller et venir doucement. Je caresse en même temps ses jambes, son entre cuisses, ses coucougnettes. J'entends des petits gémissements et je sens ses muscles et son corps vibrer.

Par moment j'arrête (10 secondes) et lève la tête : je vois qu'il regarde mon méticuleux travail. 
Mais lorsque mon regard croise le sien, il détourne la tête.
 C'est sûr, il à honte, il aime, il adore même, mais il à honte. Il est comme tout adolescent qui se cherche.
Ses mains m'ordonnent de continuer. Donc je continue .... Il laisse une main sur ma tête et l'autre me caresse la nuque. J'adore !

Et là le mouvement s'accélère, il me prend la main et me guide dans la masturbation qu'il veut que je lui fasse, tout en me faisant garder le bout de son sexe dans la bouche. 
Il me fait accélérer, accélérer ... Je sens sa bite se gonfler encore plus, ses muscles se contracter, son souffle prendre un rythme infernale ... Et il explose et me fait avaler son doux jus de fruit. Je déguste, je savoure jusqu'à la dernière goutte.
Il est content, heureux ( moi aussi !). il se relève pour remettre son pantalon. Je découvre alors pour la première fois son merveilleux fessier . Ce sont deux merveilleux ballons jumelés, très fermes, sans aucun poil ce qui lui confère une douceur extrême qu'il m'autorise à caresser voluptueusement. J'approche mon visage, et il me laisse y déposer un tendre baiser.

Il doit partir rejoindre mon neveu Hervé. Je le raccompagne et là j'ai le droit aussi à lui faire un bisou juste au coin de sa lèvre.

J'attends la suite. Et j'espère que la prochaine fois on s'allongera sur mon lit et que je puisse sentir son sexe à l'entrée de mon petit trou qui n'attend que ça ! Mais bon, il ne faut pas précipiter les choses. Je pense que ça viendra tout seul, car je crois qu'avec moi il essaye de faire son éducation ou sa maturation sexuelle.

 

27/12/2007 13h00, ça sonne, j’ouvre.
Mon Fabuen tout seul ! Comme à l'habitude on se met sur le canapé. Il se met « très » à mes côtés. Aujourd'hui, il n’est pas comme les jours d'avant !
Je pose avec appréhension ma main sur son ventre, ayant peur de sa réaction.

Il me dit " j'ai pas fait ses abdominaux " : 
j'en profite vite pour soulever sa chemise et vérifier son petit ventre, et redécouvrir un fin duvet qui dessine une ligne du nombril au pubis. J'y dépose un bisou. Je lui demande «  je peux faire un bisou à ta queue .… ». Il me répondit « oui » , et baissa son pantalon.

Elle était toute molle, mais adorable ! Je commençais à l'embrasser puis à la mettre en bouche. Elle commençait a grossir pour prendre une dimension impressionnable !
Je la ressorti de ma bouche pour contempler ce merveilleux objet (qui devient mon obsession).

En même temps il avait passait son bras autour de moi et il me caressait un téton. Puis sa main droite , prit ma tête pour la guider sur son sexe qui était devenu énorme. Il me faisait faire des vas et viens tout le long de sa hampe, tandis que sa main gauche me pinçait les tetons. C'est lui qui rythmait la cadence ...

Ma main était descendue en dessous de ses testicules et caressait le petit espace qui sépare ses coucougnettes jusqu'au bord de son anus.

Il accélère la cadence, toujours en me serrant les tétons. Mon Dieu, que c'est bon.
Je veux faire durer le plaisir : j'arrête donc, refais des bisous, l'embrasse sur la joue, puis replonge sur son engin, fais tourner ma langue tout autour de son gland énorme, puis le suce doucement pour lui faire venir son jus du plus loin possible. Je sentais sa jouissance monter le long de sa moelle épinière, le prendre du bout des pieds au sommet du crâne.

Il adorait. J'allais continuer et accélérer pour lui procurer le plaisir qu'il attendait ...quand la sonnette retentie !

ET MERDE, nous sommes restés comme deux cons : lui, remettant son survêt laissant apparaître une bosse terrible, et moi désolé de ne pas avoir pu avaler son jus précieux !

Ce sera peut être pour demain après midi !
28/12/2007 13h00, Mon Fabien vient. De suite il file sur l'ordinateur, graver des musiques et je suis comme un idiot dans le salon tout seul. Au bout d'1/4 heure il vient enfin se mettre à mes côtés. J'admire sa beauté et bien sur ma main va se poser sur son ventre. Il enlève sa chemise et me laisse le caresser et l'embrasser de ses pectoraux à son nombril. Nombril où juste en dessous se présentent des petits poils qui sont semés jusqu'au niveau du pantalon.
Je me relève et passe ma main sous son « jean » pour attraper sa bite au repos. Je la caresse doucement, la pince entre mes doigts. et bien sûr elle réagit ! Elle durcit vite et je suis obligé de la diriger vers son nombril pour ne pas lui faire mal. Nous restons un moment comme ça, ma main tenant son sexe de plus en plus raide. Je sais qu'il a envie et moi aussi !

Je lui demande si je peux faire un bisou sur son bout. Politesse oblige !!!!
 Bien sûr il me réponds que « oui !».

Je déboutonne un à un les boutons de son jean, pour découvrir son sexe bandé à fond, toujours couvert par le tissus de son boxer. Je le caresse au travers mais déjà son prépuce fait une apparition.

Il baisse son caleçon pour enfin libérer cette partie de son corps. Sa main gauche s'est posée sur ma nuque et me dirige pour que je m'empresse d'engloutir. Il me guide, c'est lui qui me fait aller et venir. Et cette fois si, il pousse des gémissements de plus en plus fort. Puis j'entends « continue » mais très bas. 
Je retire sa bite de ma bouche pour lui demander ce qu'il a dit, mais il me répond « rien ». Mais j'ai très bien entendu son « continue » et je vois qu'il apprécie de plus en plus ma fellation.

Ça s'accélère, il me caresse tendrement la nuque tout en me faisant gober, sucer son sexe du haut en bas. Puis je sens sa main se crisper sur ma nuque et sentir jaillir ce délicieux liquide que j'avale avec plaisir, tandis que je l'entends gémir comme il ne l'à jamais fait jusque maintenant. il exprime son plaisir de plus en plus.
Je reste un moment pour nettoyer jusqu'à la dernière goutte, puis remonte son boxer. Il se reboutonne et me dit : « merde elle sort encore ! » Je lui répond « elle a peut être encore envie !».

il réponds « peut être. alors Je reviens demain ! »
Cette fois-ci, la sonnette ne nous a pas dérangés. Et Vivement demain !

29/12/2007 Fabien arrive à 14h30, il a mal au dos. Bien sûr je m'empresse de lui faire un massage tout le long de son dos jusqu'à la raie de ses fesses.

On boit un verre, et comme d'hab', ma main va se poser sur son ventre ! Puis il s'allonge un peu plus sur le canapé, me permettant de mieux caresser son thorax et d'y parsemer des bisous tendres et amoureux.

Je glisse ma main délicatement sous son jean pour toucher ce magnifique objet. Il répond vite à mes caresses, il se durcit et se raidit de plus en plus. Il faut le libérer !
Excité je n’y arrive pas, donc c'est Fabien qui dégrafe son jean, et se met intégralement a poil . 
Ça y est,  « la bête » est libre et se dresse comme un poteau venu de nulle part avec un peu de pelouse a son pied.

Je le caresse, je commence des petits bisous ... Puis avale ce gros calibre. Je fais des vas et viens doucement, par moment j'accélère, puis je ralenti .il faut que ça dure !

Il prend sa main pour la poser sur ma bite (une première) et me masturbe lentement, tandis que ma langue continue à titiller son gland, à l'avaler. De l’autre il se branle doucement, il est heureux et commence à pousser des petits gémissements.

Ma main droite était passée sous ses fesses, et je pouvais sentir son petit cul, et j'arrivais à remonter jusqu'à ses petites testicules . Je le suce à fond, j'accélère le mouvement , et lui gémit de plus en plus. Son sexe se durci encore plus, je sais qu'il va arriver au plaisir suprême. J'arrête un moment, mais il me dit 
«  continue ». . Je reprends donc pompage expert, tout en gardant son gland dans ma bouche. Ça s'accélère, j'ai l'impression que son pénis prends encore du volume, il m'appuie sur la tête, j'accélère mon mouvement et là .... Le jus suprême sort ! 

J’en ai plein la bouche, j'avale. Puis il me tient toujours la tête tout en faisant sortir le restant de son nectar. Je termine le nettoyage, refais des bisous partout. Nous restons un moment comme ça, moi contemplant cet objet qui vient de me procurer une grande joie. Puis il se lève pour se rhabiller me permettant de faire un gros baiser sur ses fesses.
Je voulais l'emmener dans ma chambre, pour sentir son corps sur le mien, et essayer de me faire pénétrer par cet étalon. Mais il est encore trop tôt je crois !

30/12/2007 : vers 13h30 Fabien arrive à la maison . Il fonce sur l'ordinateur ! Au bout d'un petit moment, je me met derrière lui, lui caresse le ventre, passe ma main sous son jean pour caresser son sexe. Je le malaxe, mais il ne réagit pas.

Je lui dit « quéquette est fatiguée ? »

il me répond «  oui ».

Je lui demande «  qui ? »,

il me dit « moi tout seul ! »

Je le laisse donc et retourne dans le salon, déçu !

31/12/2007 :
Comme hier, il fonce sur l'ordinateur pour graver un CD. Comme hier, au bout d'un moment, je me mets derrière lui et commence à lui caresser le ventre pour sentir ses beaux petits abdos. Puis, comme hier, je glisse ma main sous son jean, pour prendre son sexe au repos entre mes doigts.

Ah ! Il réagit, il commence à grossir sous mon tripotage. Fabien ne dit rien, il se laisse faire, et laisse son pénis prendre toute sa tension.

Je lui demande si « je peux faire un bisou quéquette »,

il me répond que « oui ».

Je suis heureux, je vais chercher le pouf du salon pour m'asseoir à ses côtés. Je commence à déboucler sa ceinture, puis à déboutonner son jean.

Il tourne la chaise vers moi, se lève et se met a poil pour me laisser découvrir son corps ,son sexe, qui aujourd'hui est en pleine forme !

Je commence à lui faire des bisous, puis le prends en bouche pour commencer une pipe en douceur. J'y vais doucement, je le suce a fond tendrement puis le branle en même temps, mais lentement, pour faire durer le plaisir.

De ses deux mains, il agrippe ma tête et la fait aller et venir à son rythme. Alors j'accélère le mouvement. J'augmente la cadence de ma branlette bucal , tout en gardant son prépuce dans ma bouche. Il me tiens la tête de plus en plus fort, il oscille du bassin et commence à pousser des petits gémissements. La cadence s'accélère encore, puis il m'empoigne la tête encore plus fort pour me décharger son jus dans la bouche. J'avale avec délectation mais il n’y a pas grand chose aujourd'hui, on voit qu'il s'est branlé hier ou ce matin !

Je déguste jusque la dernière goutte, puis le garde en bouche, le temps qu'il se remette au repos. Je l'embrasse, lui dit des mots tendres. Puis il se rhabille. Je suis heureux et lui aussi !

02/01/2008 : mercredi, midi … ça frappe à la porte … c’est Fabien ! et semble énervé !

L’année commence mal!!!!…

Je ne sais plus pour quelle raison, on commence à s’engueuler… Je le laisse dans la chambre à l’ordinateur et moi sur le canapé ! On s’engueule encore, . Et toujours en gueulant, il me dit « j’ai veillé sa mère toute la nuit, et elle est à l’hôpital … »

Je ne dis plus rien, et je laisse retomber la pression. Je le laisse faire ce qu’il veut.
Ça fait un petit bout de temps que je ne l’entends plus… Je vais quand même voir dans la chambre, et je le vois endormi sur mon lit.

Mon pauvre Doudou… tant de soucis à son âgeet le jour de l’An ! Il dort, il est beau !

Une heure plus tard, moi aussi fatigué

je décide de m’allonger à ses côtés. Je pose ma main sur ses cotes et regarde la télé (allumé doucement pour ne pas le réveiller).
Je suis désolé que l’on ce soit disputé, et me demande comment le réconforter : le mieux est de le laisser dormir !

Mais il se réveille, se retourne sur le dos. Comme s’il m’attendait ! Je m’approche de lui, passe ma main sous sa chemise pour lui caresser le ventre, je lui fais un bisou sur sa joue, et lui dis " je suis désolé pour sa mère, que je ne pouvais pas deviner !  ".

Il est calme ….......

il me laisse l’embrasser, caresser son torse et je veus passer ma main sous son jean …il dit « déssappe moi chéri » et là à ma grande surprise j’enlève tous ses vêtements . Il bande ! Je met son sexe droit, raide comme un poteau électrique. undefined

Il guide ma tête et je ne peux pas faire autrement que d’embrasser son sexe. Il me force avec ses main à le gober en entier. Mais je ne veux pas le brusquer. Je me relève, lui refais des bisous sur sa joue, tandis que ma main caresse doucement son sexe si magnifique. Mais il repousse ma tête vers son membre et me permettre de mieux observer, embrasser et caresser ses jambes, son sexe.

Je suis allongé entre ses jambes, ma tête à hauteur de sa bite qu’il me force à sucer (enfin …. Il ne me force pas !). Je prends le temps de bien sucer son gland. L’odeur de son sexe m’enivre ! Je descend vers ses couilles, rondes, un peu poilues.
Et puis je ne sais pas pourquoi, je lui demande «  veus-tu me faire l’amour ? ».

Et contre toute attente, il me répond «  OUI !  oh! OUI !»

Tu es sûr ? 

Il me répond «  OUI ! » Je retire donc mon pantalon de survêtement, mais garde mon caleçon (je ne veux pas le choquer). Car je suis le premier à l’avoir sucé, et je suis le premier avec qui il va faire l’amour !
Je me mets donc sur lui, baisse le derrière de mon caleçon et guide sa bite après lui avoir mis un préservative , vers mon anus qui n’attend que ça depuis longtemps ! 
Elle commence à rentrer, mais il n’a pas l’habitude (c’est sa première fois). 
J’y vais doucement, son gland commence à me pénétrer et il commence à remuer son bassin.

Malheureusement il est 16h30 et il doit partir ! Il doit passer chez sa tante …
Nous arrêtons donc là …
 Mais je garde en mémoire la présence de son gland dans mon anus ! 
Malheureusement seul son gland est rentré… j’aurais voulu tout avoir !
Avant qu’il parte, bien sûr, je le prends dans mes bras, l’embrasse et lui demande " on réessayera ? maintenant que tu as 18 ans

Il me dit «OUI promis et BONNE ANNEE Simon excuse j’avais oublié »

Je crois qu’il veut vraiment et qu’il a des sentiments pour moi.

Moi je l’aime, il me fait oublier mes problèmes. Et même s’il y a du sexe entre nous, je crois qu’il y a aussi beaucoup de tendresse qu’il n’a pas ailleurs, et qu’il aime que je prenne soin de lui.

 

 

A SUIVRE ..............











2008  une année qui commance a merveille

Par simon - Publié dans : ma vie
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Vendredi 28 décembre 5 28 /12 /Déc 17:33

J’ai 62 ans, marié et heureux.

Bisexuel accepté  ou toléré par mon épouse six ans apres notre mariage, il y a trente sept ans. 
je suis a la retraite depuis quelques années (si vous avez lu les épisodes précedentes, vous le saviez déja) , Je suis attiré ponctuellement par des hommes entres trenet at quarante ans ,mais alors  HUMMMM!! les minets que je rencontre aux grés de mes déplacements. a de nombreuses occasions , des jeunes  généralement , imberbe et pas sots.
 Par contre, en aout 2007 un événement majeur est intervenu dans ma vie qui a des conséquences aujourd’hui et me place dans une situation compliquée.
Je vous raconte.

La première semaine de aout  j’étais invité à un  week-end de pêche à la perche en mer. Tôt le matin, je me pointais à l’embarcadère pour monter sur le bateau habitable de mon ex gendre. J’étais heureux de passer un week-end avec Martin, le père de trois de mes petits enfants 
Martin était grand, rouquin athlétique mince et à l’époque il était champion cantonal de décathlon. 
Je l’avais suivie à plusieurs reprises dans ses déplacements en compétition et nous avions même eu plusieurs plans cul ensemble. Je me souviens qu’il me disait « je suis amoureux de ta queue. » 
Alors, il frottait son cul contre ma bitte raide.
 Après que je l’ai extraite par la braguette, il me suçais frénétiquement puis, me déshabillait lentement. Tout les deux à poil, nous nous rendions sous la douche . Je l’enduisais de mousse , le dessous des bras, la bitte, le cul, les mollets, et doucement,   il se lavait en se frottant doucement pendant que je le regardais. Nous avions généralement éclusé quelques bières et l’envie de pisser me torturait. Martin se mettait à genoux dans la douche et je l’arrosais de pisse.
Je lui pissais sur le torse, sur la raie du cul, sur les cheveux. 
Ensuite Martin et moi nous lavions copieusement, nous parfumions et nous glissions sous les draps pour de langoureuses caresses. Plusieurs fois dans la nuit, je pressentais ma queue à l’entrée de son fion et il s’empalait sur mon dard. Quant je lui signifiais que j’allais jouir, je retirais ma queue et lui remplissais la bouche de mon sperme qu’il avalait complètement. Ce rituel était immuable et nous l’avons pratiqué pendant de nombreuses années sans nous lasser.
 Assi, en attendant  pres d'un  bateau je pensais à cette période révolue depuis une bonne dizaine d’année. Naturellement personne ne se doutait d’ou venait notre complicité, mais nous nous savions que rien de nos corps ni de nos plaisirs ne nous était étranger.

Un appel vif me surpris « alors Simon encore dans tes rêves ? »
 je me retournais et découvrais Martin tout en sourire toujours aussi grand, roux et svelte même si le temps avait creusé quelques rides sur son beau visage et autour de ses yeux d’un  bleu toujours aussi profond. Nous nous embrassâmes sur les joues comme nous le faisions toujours.
« Salut Martin, en effet j’étais en avance .C’est bien ton bateau celui ci nous pouvons monter ? »

Martin me confirma que c’était bien son embarcation mais que nous attendions deux autres personnes qui viendrait à la pêche avec nous. Nous étions sur le pont en train de charger nos bagages quant deux jeunes minets ( la vingtaine ) nous interpelles. 

L’un était châtain clair, 1m 80 mince, de longue mains blanches au bout de deux bras fins recouvert de petits poils frisés. Son visage était fin, ses yeux marron encadré par de longs cheveux attachés en queue de cheval. L’autre Kévin mon ptit fils ,18ans ,1m 70  aussi, blond comme les blés cheveux rasé à la tondeuse, un visage  au teint halé et des yeux d’un bleu profond qui illuminaient ce beau visage. 
« Nous voilà nous n’avons pas trop de retard ? »leurs visages ,illuminés d’un sourire éclatant sur des dents blanches de rêve.

Martin s’avança et embrassa les deux jeunes qui me seraient la main. Martin fit les présentations «  voilà, lui le beau blond  tu connais ,c’est Kévin ton petit fils en vacances et à son bronzage tu vois que c’est un fana de voile et la c’est Serge étudiant en sciences Eco copain de ma nouvelle femme». 
Dés que le bateau fut au large, Kévin ôtait son tee shirt découvrant un corps lisse, musculeux,tres beau pour son  age , avec deux superbes tétons bruns posés sur des pectoraux dessinés par de nombreuses heures de sport. Je détaillais cette plastique superbe qui se confirma lorsqu’il enleva son jean pour se mettre en maillot de bain.

Il avait un shorty noir qui lui moulait la  bitte qui semblait respectable. Ses jambes étaient musclés et recouvertes de petits poils blonds frisés. 
Quelques instants après Serge se dévêtait aussi présentant un corps mince et longiligne recouvert de poils soyeux entre les deux pectoraux assez bien dessiné. Sa bite moulée dans son slip de bain semblait plus ,beaucoup plus grosse que celle de Kévin.
 Pendant toute la journée, chacun péchait dans une ambiance survoltée alternant blagues, et jeux d’eau.

Vers 19 h , apres avoir amaré sur un petit ilot pour la nuit ,Martin nous invita à nous changer car nous étions mouillés comme des rats, afin de pouvoir passer à table sur le pont supérieur. Je descendais dans ma cabine pour chercher des vêtements secs.
 Je commençais à enlever mon tee shirt quant Kevin rentra. 
« Excuse moi papy Simon mais nous partageons la même cabine !  Le bateau de mon père n’a que deux lits doubles. Ce n’est pas un paquebot mais les lits sont confortables.  »
A ce moment je compris que j’allais passer la nuit avec Kevin;

Je me mis à poil pour enlever mes affaires mouillées en tournant le dos à mon petit mec. Lorsque je me retournais, Kévin était nu en train de fouiller dans son sac pour sortir des vêtements secs. Je pouvais détailler ses deux valseuses sans poils peut être rasées ?  Et sa bitte fine non circoncise entourée d’une couronne de poil blond. Il ne semblait pas gêné du tout d’être en tenue d’Adam.

La soirée se déroula dans un délire complet les deux compères racontaient leur frasques de potache ,la bière coulait a flot, en vers minuit je commençais à avoir la tête qui tournait. 
« Martin, je crois que j’ai abusé de la bière  encore une fois je ne suis pas sortable. »
 face à moi, je vis Kévin, les yeux rougis qui me dit « si toi tu as abusé moi j’ai dépassé ma dose ! » 
Martin conclu «  les mecs il est temps de se reposer mais attention que personne ne vienne gerber sur le bateau !  Si vous avez un problème dégueulez par dessus bord. ! »

Je rentrais dans la cabine et garda mon boxer pour me glisser dans les draps. J’entendais Kévin pisser par dessus bord juste au dessus de notre hublot.
Quelques instants après il s’engouffrait dans la cabine se dépoila et complètement nu se glissa sous les draps. 
« Laisse moi une place papy Simon ne prend pas tout le lit ! » dit il en se plaquant sur moi.
Je sentais sa bite variant de volume à travers mon caleçon. Et j’avais peur de bander mais rien ne se passa. (pour l'instant) Je coupais la lumière et couché sur le dos je sentais le corps chaud de mon petit minou plaqué sur mon coté. 
Je fantasmais comme un fou en revoyant cette beauté que j’avais détaillé toute la journée. Mais je ne pouvais pas toucher a mon petit fils .

Je cherchais le sommeil sans véritablement le trouver et bientôt, j’entendais la respiration régulière de Kévin, il dormait. 
J’étais toujours sur le dos, les bras sous la tête cherchant désespérément à trouver un sommeil qui ne venait pas et bandais comme un âne en rupt. Environ une heure après nous être couché, Kévin remuait dans le lit et se collait à moi en respirant doucement. Je sentais sa bitte contre ma cuisse.

Dans un mouvement, il posait sa main sur mon ventre sans autre geste. Je ne bougeais pas mais il me semblait que sa queue devenait dure. 
Je déplaçais ma main droite pour la placer le long de mon corps. Je rencontrais la cuisse douce et chaude de Kévin plaquée contre la mienne .Puis je rentrais en contact avec sa bitte en effet en pleine érection. Kévin respirait toujours doucement comme un dormeur calme. Je sentais les petits poils de sa queue me chatouiller le dessus de la main ; pour ma part j’avais le sexe douloureux depuis le temps qu’il était en érection .
Dans un mouvement de dormeur, la main de Kévin se posa cette fois sur ma queue puis ne bougeait plus.

 

Cette fois, doucement je remuais ma main droite pour pousser sa bitte et je constatais qu’il mouillait. Je pris mon courage et je posais mes doigts sur son gland humide. 
Sa réaction ne se fit pas attendre
 il resserra ses doigt sur ma queue et commença à me frotter. Cette fois j’en étais sur, il ne dormait pas. Nous nous plotions tendrement. Lui 18 ans moi 62 nous partagions une tendresse d'étudiant.

Au bout de quelques minutes, Kévin se souleva et déposa un baiser sur mon épaule. Je saisi l’occasion, approcha mes lèvres des siennes et nous nous sommes embrassé goulûment.
 « Tu ne dormais pas Kévin ? Tu me cherchais ? Pourquoi est tu dans mon lit au lieu d’être avec ton père ? »
 Et mon minou me répondit. « Je sais que tu a été l’amant de mon père il me la raconté, maintenant Martin est amoureux de Serge depuis un an Il vient régulièrement  coucher chez nous. Comme nous n’avons qu’un lit nous faisons souvent une baise à trois. Mon père est toujours super passif, serge super actif, moi c’est suivant ,l'apprenissage quoi........ »

Souvent mon père nous a parlé de tes performances, Simon c’est pourquoi nous avons monté ce coup et c'est moi qui veus etre avec toi , toi seul papy car a la manière que tu me regardais cet apres-midi je suis persuadé que dans ta tête tu te disais."je me fairais bien son cul"
C'est vrai repondis-je
 
Si tu veux nous pouvons appeler Serge et mon père pour une partie à quatre. »
 Moins d’une ½ heure plus tard nous étions tous dans le même lit Martin me suçait la bitte comme aux belles heures de nos amours. Serge me léchait le cul faisant pénétré sa langue pointue dans mon fion. Quant à Kévin il m’embrassait goulûment et de temps en temps me présentait son gland humide pour me faire goûter sa.bite  C’était le rêve !

Bientôt, Martin se mis en levrette et m’invita à l’enculer. Kévin suçait Serge. Au bout d’u  temps j’enculais toujours Martin de plus en plus profond et celui ci avait pris la queue de Serge après lui avoir demandé de lui jouir dans la bouche, je reconnaissais bien les fantasmes de Martin. Mais ce qui m’intéressait c’était aussi de remplir le petit cul de Serge pour lui prouver qu'il n'etait pas qu'actif..
 Martin se doutait de mon fantasme car il se dégagea de ma queue et me laissa approché la rondelle de son amant qui ne s’attendait pas a ça.je le défonça brusquement et son cri de douleur fut étouffé par la queue de Kevin
Kévin se plaça a quatre patte pret de Serge et me dit "papy Simon a moi maintenant"

Mais je pénétra pas le fion  de Kévin. je jouais seulement a frotter mon gland contre sa petite rosette. Celui ci  bougeais ses reins pour essayer de faire rentrer ma queue en lui , voyant que je voulais pas et lui prenait visiblement son pied en me demandait " vas y joui dans mon cul ,remplis moi  les tripes". 
Je me branlais  de plus en plus vite. Kévin au bord de la jouissance se mit à sucer la queue Serge tandis que Martin m’embrassait et finit par me foutre sa queue dans la bouche. Je ne sais plus qui à commencé mais j’ai joui sur le cul de Kévin et je sentais mon sperme descendre sur son fion et me couler sur les cuisses.

Kévin déchargea son  sperme dans la bouche de Serge et Martin vida ses couilles sur mon visage. Epuisés, c’est dans un rire collectif que nous regagnions nos lits respectifs. 
Kévin comme un enfant était collé à moi la tête sur mon épaule et sa main sur ma bitte en disant "je regrette que tu as pas défoncé mon ptit cul , j'aurai aimé etre dépuceler par toi".




je repondis pas et  caressais doucement sa peau douce et fine et ainsi nous nous sommes endormie. Depuis, au moins une fois par mois je revois Kevin et nous nous faisons des plans d’enfer pour l'avenir. Voilà finalement j’ai changé mes fantasmes " en secret " à venir pour le fils après avoir aimé le père.

12901.jpg




















J’ai envie de m'exhiber.
J'ai envie que des mecs me regardent.
J’ai envie de me faire admirer.
J'ai envie de montrer ma queue raide.
J'ai trop envie.

Il est deux heures du matin et je me tourne dans mon lit. 2007-simon.jpg
Je bande, je mouille, je me suis déjà fait jouir deux fois depuis minuit. Mais j'ai envie de vrais garçons qui me mâtent, qui frôlent mon torse poilu.

J’ai envie de sentir une bouche humide gober ma pine chaude.
Je me lève.
J’enfile un fut serré et j'enfile un blouson à même la peau.
Je sors.
Je roule jusqu'a la ville voisine.
Je me gare  dans une rue déserte, seul l'enseigne  du bar "le lapin qui fume" éclaire la rue.
je marche. Il n'y a personne.
Je marche la queue tendue de désirs.
J'arrive devant le bar.
Je pousse la porte
Il y a des gens en couple ,noyés dans la fumée .
Je vois soudain un mec dans la trentaine qui viens en face de moi.
Mon blouson est largement ouvert. Le mec a ses yeux fixés sur la ligne qui sépare mes pecs .
Il a la bouche ouverte. Je le croise, il regard uniquement mon blouson échancré.
Je marche jusqu'au bar et je me retourne.
Il s'est arrêté. J'enfile ma main sur ma peau nue, sous mon blouson.
Je fais un léger signe de la tête.
Je m'assois , j'espère qu'il va venir.
Il se décide.
Je sens mon coeur qui bat.
Il s'approche

- bonsoir monsieur
- bonsoir jeune homme
- vous venez souvent là?
- non c'est la 1ere fois.
Il ne sait plus que dire. Je le laisse se dépatouiller.
Il parle seul presque a haute voie il se dit "interessant ce vieux ,la soixantaine , les vieux savent caresser ,et  lèchent partout goulûment" ..

Il me regarde avidement. Il a envie, il se lèche les lèvres. 
Je dis

- jeune homme !!...
- oui?
- vous voulez quoi?
- je n'ose pas vous le dire monsieu
- Allez-y
- ok... j'ai envie de toucher votre torse poilu.

Je sors mes mains de mes poches et je fais glisser la fermeture éclaire de mon blouson, je l'ouvre.

- monsieur, vous êtes magnifique
- merci  jeune homme
- je peux passer ma main sur vos pectoraux?
- oui jeune homme je suis à vous, je suis votre chose, faites moi ce que vous voulez.

Il s'approche et dépose un baiser chaud sur mon téton gauche, je sens ma pine secouée de plaisir. Il pose ses mains sur moi, il a la peau douce; il caresse à merveille.
-vous buvez quoi jeune homme ?
-wisky
-alors 2 wisky barman.
le patron du bar annonça la fermeture dans 10 minutes.
-barman vous remettez ça.
la salle se vidait lentement ,le patron dit au barman "Ludowig tu donnera a nos deux dernier clients , la tournée de la maison et tu fermera aussitot , moi je rentre chez moi". 2007-ludowig.JPG
-OK patron
Ludowig ajouta "Fabien ,on se le paie le grand père?"
l'alcool commençait a me chauffer etje me mis a dire:

- que vous êtres beaux jeune homme, j'ai envie de vous. Voulez-vous venir chez moi?
- je ne sais pas monsieur, vous habitez loin d'ici?
- j'habite en banlieue sud, malheureusement
- jeune homme, déshabillez-moi et faites moi ce que vous voulez.
- Merci monsieur, ça fait tellement longtemps que je n'ai pas vu un si beau vieux...

Fabien défait ma ceinture. Je l'aide car il est si nerveux qu'il n'y arrive pas. Je descends mon fut sur mes chevilles. Je suis entièrement nu, offert. Il se baisse et me suce délicieusement, je sens sa langue faire le tour de mon gland.
C’est bon, je lui prends la tête et je donne un mouvement de va et vient sur mon sexe tendu.
Il malaxe mes couilles pleines d'envie de cracher ma jute épaisse.
Ludowig me pince les tétons avec douceur, il m'enfile un doigt dans le trou du cul, je gémis, j'avais tellement envie de cela.
Des jeunes hommes, des expert en caresses, que j' ai rencontré  là , ils me touchent  partout, 
Fabien me bouffe la queue. Il se relève

- me permets-tu de mettre ma langue dans ta bouche ?

Je m'approche de son visage et j'entre ouvre mes lèvres, il y glisse sa grosse langue de mâle.
Je sens sa langue me fouiller la bouche.
J'aime ça. Ludowig sort du poppers de sa poche ,me le met en main et je snif un bon coup,je me tourne.

- Enculez moi jeunes hommes, j'ai envie de me faire mettre par vous. Baisez-moi le fion, pinez moi

Fabien sort sa queue  très raide et essaie de me la foutre au cul mais il 'y arrive pas il est trop énervé.

- ce n'est pas grave recommance tu y arriveras

Je me penche en avant et il me fout son visage dans la raie des fesses et je sens son menton râpeux dans la marge anale. Il enfile sa langue dans mon trou du cul. Il se retire et dit dans un murmure

- Pète moi dans la figure

Je pousse et je lui large un pet en pleine tronche. Il soupir "mieux que le poppers"

- Avilis moi, fait moi ce que tu veux.

Je me retourne et je lui pisse dessus
il se masturbe furieusement.

- insulte moi

Je le traite de sale pd ,de pute,ect ect... 

Il grogne de plaisir. Il se relève et me dit

- on a envie de toi,  si tu veux, on va chez toi Ludowig. J'ai ma voiture pas loin
- ok je vous suis apres avoir fermé la boutique.
- Rhabille-toi vieux
- non je préfère être nu

On sort dans la rue, il porte mes fringues. On croise un mec genre loubard reubeu qui lance

- salle fiote de merde

Je le regarde et fais mine de lui claquer la gueule, il se tire en courant.

On arrive à sa bagnole. Je suis nu à côté de Fabien. On roule.
 Soudain, il met sa main sur ma pine et me regarde. 
Il ne fait pas gaffe et l'on entend un sifflet. 
Il a grillé un feu et un flic arrive derrière nous. 
Je suis nu, je m'en fous.
 Le flic arrive et me voit à poils.

- qu'est-ce que vous faites tout nu dans cette voiture monsieur ?

- je me suis fait tabasser et ce jeune homme m'a aidé à m'en sortir et comme ils ont piqué mes fringues ce jeune homme me recondut chez moi.....

Le flic félicite Fabien et on s'en tire avec tous les honneurs
On arrive a l'appart de Ludowig et monte les excaliers.
Ludowig n'est pas encore arrivé.
Je me mets contre la ramparde regardant vers le basvoir s'il arrive. 
Je  sens  Fabien derrière moi, il me masse les pecs et je sens sa pine dure contre mon cul et soudain il me l'enfonce sans ménagement.
AAHHHHH !! tu vois tu y es arrivé
Je sens enfin un gros-bout dur dans le cul ahhhh quel bonheur!
Il me ramone, j'ai gardais en main le poppers, je snif. Il me pine il me pine j'aime ça être piner.

IL vide ses couilles sur mon dos et lèche son jus. 
Ludowig arrive avec sa voiture.monte les excaliers quatre a quatre ,se penche sur ma pine raide et me la pompe à fond. Je vais jouir. Je lui dis

- Attention je vais jouir

Il sort ma pine de sa gueule et dit

- je veux ton jus

Et il remet ma queue dans sa bouche.

Il va et vient sur ma colonne de viande dure. Il me pompe en me massant les muscles du torse. Je sens ma sève qui monte, je la largue dans sa bouche, 
il aval ma jute 
il pompe encore il est goulu,
 il veux tout jusqu'a la dernière goûte de ma liqueur. 
Il se relève, me sourit et dis;

- merci monsieur c'était délicieux.

Je suis exténué.
Il me reconduit dans ma voiture  Il me donne son N° de tél et je repart me coucher.
J'arrive dans mon lit et je me jette dessus.
Le lendemain il est en bas de mon immeuble.
Je me rends compte alors qu’il est vraiment  beau ce Dieu

Il est super bien pour me faire jouir.
Et je suis devenu un client regulier.
Fabien passe de temps en temps normal un bon père de famille. 2007-fabien.JPG
Ludowig échange volontier un wisky contre mon sperme.

Par simon - Publié dans : ma vie
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Dimanche 16 décembre 7 16 /12 /Déc 09:17
2006-vincent.jpg en ma compagnie il l'a démontré en me disant 
" je baise ta fille si elle est d'accord "
demande lui toi même?
__Alice ton père veux me sucer ?
elle repondit " et toi tu en pense quoi ?
__je veus bien mais a une condition
laquelle?
__te baiser ma belle...
Ok  mais j'y met aussi une condition

__vas y tous ce que tu veus ma belle
OK alors viens me défoncer la chatte comme tu sais bien le faire.
elle se mit a poil , sur le dos ,écarta les jambes et lui dit " allez vient en moi "
il s"allongea dessus , sa belle bite , s'engloutit entièrement,elle leva les jambes et les bloqua autour
des reins de Vincent en criant " Papa , Papa encule le c pd c'est ma condition "
__NON  NON  pas ça criait Vincent
désolé tu as dit "tous c que je veus alors papa vas y il est a toi aussi"
j'entra en lui ,et Vincent baisait ma fille comme un dieu  ,en pleine jouissance me dit  " je veus épouser votre fille ".
ce fut le cas et je le regrette pas........


**** 2006-les2freres.jpg
******mon amant Sebastien c'est pris au piege en me présentant Léon qui en un clein d'oeil devenait un amant  " un poulet de 24 ans " avec qui je négossierai pour ne pas perdre Sébastien



Quand je m'endors
Contre ton corps
Je sais que je n'ai plus de doute
Et si la solitude que je redoute,
Me guette au bout de la route
Je la metterai dehors
Pour t'AIMER une fois pour toute
Car Léon, n'en tient qu'à nous
De nous AIMER plus
fort..... 2007-lieon.jpg











Touché comme un éclair
Mon coeur s'est affolé
Aveuglé par cette lueur
Quelle eétaut cette ardeur?
Oh! oui cette flamme qui brûle
Une passion hors du commun
Qui ne connaitra jamais de fin
Plus rien n'existe au monde
Quand cette union est partagée
Elle est soudée dans ma vie
D'un AMOUR à n'en plus finir
Ton amour , ta passion
C'est un volcan en éruption
Rien , ni personne , ne ferait mur
La puissance de ta flamme
les metteraient à genoux
Seulement moi je t'aime 
nos corps soudés ou coule
au fond de mes entrailles
la lave bouillonante de ton amour

lors d"un petit sejour a l"hospital  Lèon et Sébastien , venus me rendre viste me dirent ensemble 

__ Cheri , tu as de la chance d'être dans c service

AH! BON  je devrais etre comptant !

__
OUI Simon tu vas etre aux  anges avec l'infirmier de nuit

BOFF il y a que des femelles

__
Ecoute on en repallera demain

OK mes amours

Sébastien  et Lèon m'embrassa longuement , Lèon semblais pas vouloir me quitter

Sébastien le prit par le bras en disant " je sais que tu as besoin d"amour et de vider tes couilles , alors viens je vais le remplacer ton euhh notre papy d'amour "

tres bonne innitiative amusez vous bien mes petits

Lèon une larme a l'oeil se retourna et dit " t'inquiete je le baiserai comme tu me l'as appris "

et Sebastien répliqua " ça sera réciproque et attention a 22h mon cousin infirmier te stimulera "
 ils avaient dit juste 2007-Damien.jpg

geoffroy-NB2006.jpg



















Les vacances commençaient bien. un séjour en Auvergne avec mes 2 filles , ma femme étant sur l’Ile d’Oléron avec le fils.

Les mois de Juillet et d'Août passèrent sans que je ne m'en aperçoive.

J'étais resté au soleil, un cocktail dans une main,. Je sortais souvent, presque tous les soirs en fait, et à chaque fois, je m’y rendais avec mes filles. Elles passaient leur temps sur la piste des boîtes à la mode Clermont Ferrant, pendant que moi je restais accoudé timidement au bar.

Certes je ne passais pas inaperçu avec mon regard amusé.

Mais les filles faciles n’étaient pas vraiment ma cible favorite. Je préférais attendre de trouver un petit brun perdu plutôt que d’aller courir les blondes en jupon.

Si l’occasion s’était présentée, je me serais jeté sur un de ces espagnols, toujours souriants et toujours charmeurs. Je remarquais quelques jolies garçons...

Et même en étant à l’écart de toute cette agitation, je pouvais entendre les premières messes-basses entre copines, les premières analyses des filles qui se voyaient déjà au bras d’un de ce bellâtre en chemise ou il y était inscrit " l’amour c pas cochon ".

J’en riais sans gêne. Quand soudain.

__Qu’est-ce qui te fait rire?

Surpris, je me retournais pour voir qui me posais une telle question.

-Eh bien...

__Quoi? Tu penses faire une partie de plaisir avec des minets?

-Non, bien sûr que non. C’est juste que...

__Oui, oui.tous les même ces vieux Tu ferais bien de surveiller tes arrières à partir du maintenant.

Il me disait cela sans une once d’énervement, mais toujours avec ce sourire charmeur sur les lèvres.

Je ne savais pas tellement comment réagir, alors je me contentais d’afficher un sourire niais et timide. Quel idiot je devais faire..

 Mais j’étais toujours en train de le regarder.

Une voie l’interpelle " Natham tu dragues les vieux ? "

Il s’était retourné et avait rejoins sa bande d’amis. Je le vis alors leur parler discrètement, et tous se retournèrent vers moi pour me scruter.

J’avais honte d’être ainsi observé et je préférais consommer un nouveau coktail.tout en me disant " je me le fairais bien ce Nathan "

je fis la connaissance de plusieurs garçons (tous juste 18 ans). Parmi ceux-ci, un en particulier retint mon attention. Il s'appelait Morgan, mais était bâti dans la pierre. Il avait ce qu'on appelle un corps de rêve. Il m’avait remarqué

 Moi je restais stoïque face à ce corps qui me faisait rougir quand il était venu me voir juste pour parler gonzesses..

.

Peut-être que j'avais définitivement la gueule et l'allure d'un hétéro, et c'était tant mieux. Alors je feignais de m'intéresser à son bavardage. 
Depuis je ne le lâchais plus des yeux. A chaque fois que Morgan me regardait, il m'accordait un sourire à tomber. Chaque fois qu'on se croisait, il me passait une main dans le dos. Cela avait pour effet de me faire trembler. Je n'espérais alors qu'une chose, qu'il  s'en aperçoive .

La soirée resta très calme. Lorsque l’orchestre annonça "  demain 22h soirée spéciale , la salle sera surchauffée venez le moins vêtu possible et la seule règle à respecter, portez un loup (un masque de velours) ".

On nous parlait d'une salle surchauffée... Allez savoir pourquoi. ? ?

Mes filles me dirent " papa on y revient demain avec toi "

-J’ai pas trop envie mes enfants c’est une soirée pour jeunes.

Tu es encore jeune papa et puis trop tard on t’a pris un loup.

Dans ce cas c’est OK

Le lendemain , Passé 22h00 ,nous entrâmes dans la disco , aux vestière on me proposa de laisser là manteaux et autres objets personnels tels que le portable et le portefeuille .Les filles partirent vers la salle de danse , quand a moi je fut diriger vers l'endroit où se tiendrait une réunion des mecs. Alors je me précipitais sans oublier de nouer le loup derrière ma tête.

L'endroit n'avait rien de glauque. Il y avait en fait une pièce centrale fortement éclairée et plusieurs petits salons privés autour. Les salons étaient séparés du reste par de grandes voilures pourpres et ils semblaient assez spacieux pour contenir 5 ou 6 personnes tout au plus. Je m’avança au centre de la pièce et constata avec satisfaction qu’il devait bien y avoir plus de cent personnes. Tous des hommes qui plus est.

Une main se glissa derrière moi, c’était Morgan qui me saluait, un verre à la main, et plusieurs autres déjà engloutis.

__Hey Simon... Comment tu vas? oooops j'étais déja reconu.....

Il me fait la bise et laisse toujours sans aucune gêne sa main sur mes hanches.

-Bien bien. Dis moi tu as déjà bu quelques verres toi non?

__Ai-je la tête de quelqu’un qui a bu plusieurs verres? Honnêtement?

Je lui réponds " oué "

mais la musique qui se lance au même instant a dû l’empêcher de m’entendre.

Il me sourit une dernière fois et s’en va rejoindre d’autres potes. Les minutes passent, la première heure s’envole, et chacun ne supportant plus la chaleur finit par enlever progressivement chemises et jeans.

Moi, comme quelques autres, rechignons à retirer nos pantalons pour finir en caleçon.

Dans cette ambiance étouffante, et survoltée, où chacun danse et boit sans pudeur, les corps se frôlent, les esprits s’adoucissent, et on voit parfois quelques gestes étranges naîtrent entre ces mecs.

Moi je m’en amuse, j’en profite un peu. Je me laisse surtout faire, et j’attends que Morgan revienne à la charge. D’un seul coup, la musique s’arrête, un musicien prend la parole et nous annonce "  le Tribunal va ouvrir ses portes et que le procès des bizuts va commencer ".

Là je commence à comprendre le pourquoi d’une telle cérémonie.

Je m’en réjouis d’avance, et m’installe comme tous les autres autour d’une scène centrale où se tiennent plusieurs jeunes en caleçon.

Je crois reconnaître Nathan. Je lui fais signe mais il n’a pas l’air de m’avoir bien reconnu.

Alors je me laisse porter par les grammes d’alcool qui coulent dans mes veines, et je ne me lasse pas de voir mes pairs être condamnés à avaler du blanc d’oeuf, à se tartiner les cheveux de farine, et à subir les quolibets de nos bourreaux.

Je me réjouis de ne pas m’être fait remarqué. J’avais visiblement parlé trop vite puisqu’au tour suivant "  Morgan et Simon rejoignaient la scène ".

Je ne jetais pas un regard à mes voisins, j’étais simplement pétrifié à l’idée d’avoir tous ces regards posés en même temps sur moi. J’arriva le premier en face des juges (pas possible mes filles) , et celles-ci attendirent que Morgan soit à mes côtés pour lui ordonner " allonge toi Morgan ".

Il le fit sans broncher... il en rigolait même. Je pensais alors qu’il devait être bien saoul pour rire ainsi alors que tout le monde nous regardait. Un de nos tortionnaires s’approcha de lui et entrepris de lui verser de la crème chantilly sur le ventre. Moi je ne savais à quoi m’attendre. Un autre tortionnaire me prit par le poignet et m’emmena à côté de Morgan.

Il me posa une main sur l’épaule et m’indiqua qu’il était temps que je me mette au boulot. Je n’étais pas bien sûr de comprendre ce que j’avais à faire, mais je pensais que les choses devenaient plus sérieuses. Alors je me penchais au dessus de Morgan, et je passais une première fois ma langue sur la crème qui tapissait son ventre. Mes coups de langue le faisaient rire, et c'était des abdominaux merveilleusement dessinés que j’avais maintenant à lécher. Je ne boudais pas mon plaisir et je défiais mes tortionnaires d’aller plus loin. Ils étaient tous là, tous ces mecs, ameutés autour de la scène entrain de me regarder finir les abdos de Morgan. Un autre tortionnaire s’approcha. Il agita sa bombonne de crème chantilly et en versa une bonne partie sur les cuisses de celui qui prenait en fait le plus de plaisir dans l’histoire.

Je regardais Morgan droit dans les yeux, et je voyais malgré le loup qu’il portait, qu’il n’attendait qu’une chose: que je poursuive le " boulot ". Alors je m’exécutais. Je me baissais et glissais ma langue le long de ses cuisses. Il était un peu poilu, ce qui me laissait deviner ce que son entre jambe devait être. Il me donnait vraiment envie d'aller plus loin et je commençais à être trop à l’étroit dans mon boxer.

Je croyais d’ailleurs que, comme moi, il ne tarderait pas à être gêné par un détail: je l’excitais. Il posait une main sur son caleçon comme pour retenir quelque chose qu’il ne voulait reconnaître, pendant que moi je glissais ma langue toujours plus haut sur sa cuisse. Le tortionnaire m’arrêta et me fit reculer. Je le laissa s’avancer pour le voir recouvrire avec malice le caleçon de Morgan. J’hésita un instant, car je ne voulais pas qu’il m’en veuille de faire quelque chose d’humiliant pour lui, et finalement d’humiliant pour moi.

Je pensais alors qu’il convenait de rechigner à entreprendre ce nettoyage, afin d'éviter qu’on me colle l’étiquette de l’homo. Et c’est ce que je fis. Je reculais et leur criait haut au dessus de la musique 
" je ne ferai rien de plus". 
Mais c’est la main de Morgan qui vint trouver la mienne pour me ramener à lui et me lancer l’ordre 
__"  finis ce que tu as commencé ".
 Je fus évidemment très étonné, mais je me réjouis de ce retournement de situation. Et sans attendre, je me lança à l’assaut de la bête. Très délicatement je lécha la toile du caleçon en espérant bientôt sentir le membre qui se cachait en dessous.

Je m’amusais de ces caresses buccales et je traçais de plusieurs coups de langue la queue qu’il avait du mal à calmer. Je la sentais se lever petit à petit, pour finalement se dresser fièrement comme un piquet. Morgan n’avait pas l’air d’en rougir, mais il semblait au contraire plutôt fier d'exhiber ses bons 18cm. Le regard de ses potes ne le retenait plus et il dégagea négligemment l’élastique de son caleçon pour laisser apparaître sa queue.sous un tonnerre d"applaudissements 
Je le regarda un instant...

J’admirais son corps de rêve recouvert en plusieurs endroits de dernières traces de chantilly et je souriais toujours plus. Un de mes tortionnaires s’approcha pour mettre un peu de crème sur l’engin de mon amant, mais je lui indiqua que cela était inutile. Je me jetais sur le dard qui pointait droit en dessous de moi, et je bavais comme pouvait le faire un enfant qui ne se lassait pas d’avoir en bouche son jouet préféré sous le regard amusé de mes filles (les juges).

Je dégustais l’objet en passant délicatement ma langue sur son gland gonflé à bloc et en m’amusant avec son frein. Je prenais soin de faire toute la longueur de cette bite dressée pour moi et je lui promettais déjà d’aller jusqu’au bout. Je m'aperçus qu'autour de nous les mecs s'étaient agglutinés. Ils s'étaient levés , se bralaient et criaient désormais nos noms d’une même voix. Ils n’attendaient qu’une chose : que j’obtienne ma récompense. Alors je le suçais toujours plus avidement et je ne cessais de jouer avec ses poils pubiens. morgan semblait aimer et il en vint même à me poser une main sur les fesses t a me doigter.

Il me caressait avec toujours plus d’envie, comme s’il avait saisit que je rêvais de recevoir quelques coups dans les reins. Mais mes lèvres eurent raison d’elles et elles parvinrent les premières à leur fin. Je le sentis se contracter, et il eut à peine le temps de me glisser une main derrière la nuque, pour m’empêcher de me redresser. Je reçus gracieusement une série de giclée au fond de la gorge, et ce ne fut qu’à la fin de son éjaculation que je pus enfin savourer la semence de mon amant. J'entrepris de le nettoyer avec application et lui me remercia en m’embrassant sur la joue.

Morgan me garda un instant dans ses bras. J'étais toujours à ses côtés lorsque je sentis une autre main se poser sur mon épaule et me retourne avec force. Son propriétaire Nathan me dévoila sans gêne une bite dressée n’attendant visiblement que de pouvoir se vider entre mes lèvres

puis j’entendis la musique repartir et  interrompu rapidement par les juges

__Nathan a quatre pattes stp.

Il s’exécuta

Un tortionnaire lui injecta la crème chantilly dans le cul

__Simon baise le

ces mots venant de la bouche de mes filles je ne pouvait le croire et du signe de la tête répondit négativement.

__ C’est un ordre ! allez exécution.

-Non et NON

une de mes filles (juge qui donnait les ordres) descendit de son podium et s ‘approcha de moi et me fouetta en disant

__baise moi se cul et tous de suite sinon c’est ton cul qui vas s’en souvenir.

_pitié pas ça

__ Encule se mec criait elle tous en me fouettant le cul dont les lagnières claquaient sur mes couilles.

Je céda et défonça le cul tendu de Nathan

La juge ‘ma fille)m’enfonça le manche du fouet dans le cul sans aucune préparation, sous la douleur je bourrais Nathan , et elle lança

__Morgan a ton tour défonce moi Simon et vous les autres préparez vous a en faire autant au fur et a mesure il ne faut plus aucune bite inoccupée.

Quand la boucle serra faite je me glisserai sous Nathan pour qu ‘il défonce ma chatte et bouffe celle de la 2ème juge
l'un apres l'autre les mecs enculaient le précédant

Et tous en mouvement bande de PD

Je vous dis pas le bordelle plein le cul tous ensemble sauf les tortionnaires  toutes les filles présente a cette soirée  étaient chargé de nous faire boire et se faisait sucer le clito et la chatte en même temps.
pour entretenir la pression et se faire baiser tous en coeur en fin de nuit.

j'en conclue " les femmes de vrais saloppe quand c'est eux qui commande
et vous vous en pensez quoi? "

De superbe vacances , vous pouvez nous rejoindre au prochaines hummmmmmmm ! ! ! ! !

Par simon - Publié dans : ma vie
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Dimanche 9 décembre 7 09 /12 /Déc 17:30

2005-maxime.jpg                       finir l'année sur un ptit clein d'oeil en faisant une partie de billard ,Oh! la gourmande elle bouffe les boulles avec sa chatte 6-a.gif  acceptera-t-elle la queue de Ludowig 2005-ludowig-copie-1.jpg



2006 l'année demarre sur les chapeaux de roue 2006-bertrand.jpg ma belle soeur Yvette semble trouver le bonheur avec mon copain Bertrand


2006-christoph.jpg ou les jumeaux 2006-lesjumeaux.jpg  courtisent ma deuxième fille  lequel vas-t-elle choisir?
( je vous le dirai bientôt! )


 A LA CHANDELEUR

Olivier et Cedric fêtent leurs 28ans


2006-oliv-cedric.jpg

Je suis allongé sur le dos, il est couché sur moi, il m’embrasse avec fougue le cou, la bouche. Je ne vois pas son visage. Il glisse une main dans mon boxer, il prend mon sexe en érection. Tout en continuant à m’embrasser il me masturbe doucement. Puis de baisers en baisers, dans le cou, sur mes seins, sur mon ventre, sur mon sexe, il engloutit mon pénis dans sa bouche. Après une courte fellation, il me lèche l’anus, c’est bon, je gémis. Il se met en position pour me pénétrer, d’une main je prends son sexe pour le guider. Son sexe est énorme, démesuré, je n’ai jamais vu un pénis aussi gros, j’ai peur, jamais il ne rentrera, il va me faire mal, moi qui suis pas vierge. Je le repousse, il ne tient pas compte de mon rejet, il positionne son sexe à l’entrée de mon anus, je veux protester, crier, aucun son ne parvient à sortir de ma bouche. Au moment où il donne un coup de rein pour m’enculer, je me réveille brutalement.

Je ne suis pas seul dans mon lit, ma femme dort à coté, mon sexe est en érection. Malgré ce quasi cauchemar, mon excitation sexuelle est intacte, je me masturbe. Je me suce un doigt avant de l’introduire dans l’anus et je continue un lent mouvement masturbatoire, je fais durer le plaisir, jusqu’à ce que mon sperme s’éjecte en trois longs jets successifs sur mon ventre.

J’ai soixante et un ans, je suis marié depuis trente six ans, mais je fais souvent des rêves érotiques où je me retrouve à faire l’amour avec un homme. L’acte à chaque fois reste inachevé.
Je suis indiscutablement attiré par les hommes et ma femme en particulier mais la vue de quelques beaux gosses n’est pas sans me titiller.

Normal j’ai toujours eu des expériences homo depuis l’age de 15 ans.

Il est 9 heures du matin quand je me lève, pour ôter les traces de mon plaisir solitaire par une douche rapide.

 










VACANCES DE PÂQUES
chez Magali ma cousine Polonaise.

Il est 10 heures du matin quand , un nouvelle fois un rêve d’homo m’ avait fait faire une bonne masturbation et je me lève ce 15 avril 2006 pour ôter les traces de mon plaisir solitaire par une douche rapide

Je me dirige ensuite vers la cuisine, un mot est posé sur la table

: " Je te souhaite un heureux premier jour de vacances. Détends-toi bien cousin . Je te rappelle que Raphael doit arriver aujourd’hui autour de midi, il y a de quoi manger dans le frigo. Je rentrerais tard ce soir autour de 22H. Je t’embrasse. – Magali ".

Ce petit mot ne me ravit pas, non pas que Raphael, un copain de ma cousine, soit antipathique mais je le trouve insignifiant.

Je ne l’ai pas vu depuis leur mariage, il y a maintenant deux ans. Il n’est ni beau ni laid, il n’a rien de sexy, il traine ses guêtres dans des petits boulots successifs. Il ne s’intéresse à rien, il est plus ou moins dépressif" Non, mais c’est vrai que je vais mieux depuis deux ans. "

" tu me raconteras ce que tu deviens. "

Je prend d’abord une douche

" Bien sûr "

Il monte à la salle de bain, revient, à poil, me dire

lui dis-je,." j’en ai pour cinq minutes ".

il entre dans la cabine de douche. J’entends l’eau de la douche couler, et quelques minutes s’écoulent quand il m’appelle

" Simon, tu peux venir s’il te plait ".

J’entre alors dans la salle de bain, il ouvre le rideau de douche et me dévoile un beau corps ruisselant, une musculature naturelle assez fine, un sexe de 18 cm environ bandé à son maximum.

" Nous pourrions prendre la douche ensemble, si tu le veux " me déclare-t-il.

On bavarde ainsi agréablement, il me raconte qu’il a trouvé un boulot intéressant, il me raconte ses dernières vacances, ses sorties ciné, on parle de ses amis, un peut de tous.

Il s’instaure rapidement entre nous une sympathie réciproque. On se met à table, la conversation continue, mais plus intime, le sexe s’immisce progressivement. Il m’avoue son homosexualité désormais assumée qui explique son changement. On parle de ses aventures sexuelles, je lui confie mes rêves érotiques.

On n’a pas vu le temps passé, il est 18 H. Il me propose de boire un coup dans un bistrot du centre ville. J’ acquiesce sa demande par un OUI

Bref je redoute de devoir l’affronter seul, et je crains fortement de peiner à trouver un sujet de conversation.
Il est 11H.30, on sonne. Quand j’ouvre la porte, Raphael apparait. Je vois de suite qu’il y a quelque chose de changée en lui. Il me serre la main avec un franc sourire loin de son triste rictus habituel, sa tenue vestimentaire n’a rien de particulier, un jean moulant une chemise blanche, mais loin de ses vêtements habituels et sans âge que son père auraient pu tout aussi bien porter. Son sourire, ses vêtements, son allure générale me le font, pour la première fois, trouver beau.

Je le félicite aussitôt de son changement, " tu m’a l’air en pleine forme, c’est la première fois que je te vois aussi rayonnant.Dis-je mi-plaisantant mi-indiscret.

Es-tu amoureux ? " " Non, mais c’est vrai que je vais mieux depuis deux ans. "

" tu me raconteras ce que tu deviens. "

Je prend d’abord une douche

" Bien sûr "

Il monte à la salle de bain, revient, à poil, me dire

lui dis-je,." j’en ai pour cinq minutes ".

il entre dans la cabine de douche. J’entends l’eau de la douche couler, et quelques minutes s’écoulent quand il m’appelle

" Simon, tu peux venir s’il te plait ".

J’entre alors dans la salle de bain, il ouvre le rideau de douche et me dévoile un beau corps ruisselant, une musculature naturelle assez fine, un sexe de 18 cm environ bandé à son maximum.

" Nous pourrions prendre la douche ensemble, si tu le veux " me déclare-t-il.

 

On bavarde ainsi agréablement, il me raconte qu’il a trouvé un boulot intéressant, il me raconte ses dernières vacances, ses sorties ciné, on parle de ses amis, un peut de tous.

Il s’instaure rapidement entre nous une sympathie réciproque. On se met à table, la conversation continue, mais plus intime, le sexe s’immisce progressivement. Il m’avoue son homosexualité désormais assumée qui explique son changement. On parle de ses aventures sexuelles, je lui confie mes rêves érotiques.

On n’a pas vu le temps passé, il est 18 H. Il me propose de boire un coup dans un bistrot du centre ville. J’ acquiesce sa demande par un OUI .

Je prend d’abord une douche

" Bien sûr " lui dis-je,

Il monte à la salle de bain, revient, à poil, me dire





" j’en ai pour cinq minutes ". 2006-raphael.JPG

il entre dans la cabine de douche. J’entends l’eau de la douche couler, et quelques minutes s’écoulent quand il m’appelle

" Simon, tu peux venir s’il te plait ".

J’entre alors dans la salle de bain, il ouvre le rideau de douche et me dévoile un beau corps ruisselant, une musculature naturelle assez fine, un sexe de 18 cm environ bandé à son maximum.
" Nous pourrions prendre la douche ensemble, si tu le veux "
me déclare-t-il

J’avale ma salive, et pour toute réponse je me déshabille, et le rejoins.

Il me prend dans ses bras et nous nous embrassons longuement avec fougue. Il quitte ma bouche et descends sur mon sexe qu’il suce avec génie. " Oui Raphael , c’est bon ! Continue ! ".
." Laisse toi aller " me répond-il, 



il continue sa délicieuse fellation et dans un dernier râle je jouis dans sa bouche.
 Il avale mon sperme et me fait partager les restes par un langoureux baiser.
" Allons sur le lit, si tu veux bien ? ".

A ce rythme je ne tiendrais pas longtemps,

" je vais jouir " lui dis-je.

 

 

On se sèche et nous nous dirigeons vers sa chambre. Il n’a pas encore joui et je veux lui donner, à mon tour, du plaisir. A peine allongés j’entame comme une première fois de ma vie , une fellation.

Il me bourre littéralement la gueule et je sens son pénis frapper le fond de ma gorge, je m’étouffe parfois mais je sens son plaisir et ce plaisir me comble. Après quelques derniers coups de rein, il crie et son sperme gicle dans ma bouche. J’aime tellement sa jouissance que j’ai presque la sensation d’en avoir une deuxième. J’avale avec délectation son sperme, mon sexe est à nouveau tendu.

Je le laisse reprendre ses esprits. Je couvre de caresses, son visage, son torse, son ventre, son sexe maintenant débandé. Je le retourne, je poursuis sur son dos, ses fesses ses cuisses, son anus. Il se laisse aller, ses muscles sont totalement détendus par la jouissance passée. Puis j’entreprends de le lécher, ma langue finit par s’insinuer dans son anus, il recommence à réagir, à gémir. Je dépose tant et tant de salive sur son orifice que sans peine je lui introduis deux puis trois doigts. Il gémit encore plus fort et soulève son cul comme un appel à la pénétration. J’introduis mon pénis dans son rectum. Je commence un va et viens d’abord doucement puis de plus en plus fort. Il crie son plaisir, moi aussi. Je le bourre ainsi de longues minutes puis je sens mon sexe se tendre encore plus, la jouissance approche, j’accélère encore et j’explose. Complètement vidé, Je m’écroule sur lui et l’embrasse dans le cou.

Après quelques minutes, on rejoue la même scène à rôles inversés.

Excité par mon "enculage", son sexe a retrouvé sa vigueur, moi je suis comblé mais épuisé, je m’endors presque sous ses caresses et ses baisers. Il m’écarte les cuisses, il me lèche l’anus. Je lui dis " tu le veus, tu sais je ne suis vierge pas de ce côté-là. "

" Ah ! BON ! ! ! je ne pensais pas ça de toi ,Ne t’inquiètes pas je serais très doux, si tu as mal j’arrêterais. "

En même temps qu’il prononce ces paroles, il se lève prendre dans la table de nuit du gel lubrifiant. Il me dépose délicatement et abondamment du gel sur la rondelle, puis il me réintroduit un doigt, puis deux, il travaille mon anus pour le dilater. La sensation est douce agréable, je me détends progressivement. Il finit par poser son gland muni de son préservatif à l’entrée de mon anus et commence la pénétration , il arrête, puis à nouveau détendu il poursuit la pénétration jusqu’à ce que je sente sa touffe de poils au contact de mes fesses.

La mini- douleur du début fait place au plaisir qui se fait plus intense quand il accélère le mouvement. " Oh oui encules moi, vas y, c’est bon, je veux que tu jouisses "

 

Trente minutes, une heure plus tard, je ne sais plus, nous sommes réveillés par un bruit, nous ouvrons les yeux et voyons sa femme dans l’entrebâillement de la porte…

" Oui, c’est bon, je t’aime, je t’aime " et il me bourre de plus en plus fort jusqu’à ce que je sente le sperme couler ,tiède gonfler le préservatif dans mes entrailles.
Nous nous embrassons, et nous assoupissons dans les bras l’un de l’autre.

"  je vois ,je vois , vous avez sympatisé et moi alors ? ".

 

Mais là c’est une autre histoire…............... 2006-nicolas.JPG

Un jour de septembre, à la piscine municipale. Bizarrement il y avait peu monde, ce jour là. Après quelques longueurs de bassin et quelques jeux aquatiques, avec deux jeunes minets qui m’ excitaient , sans doutes par les contacts physiques de jeux de bagarres sous l’eau, je ne pus contrôler une franche érection . J’étais gêné, car même en maillot, il était difficile de cacher l’état de mon membre viril.

je me suis dirigé vers les douches communes.

Je ne tardais pas à voir que les deux minets m’avaient suivi et étaient dans le même état que moi.

Sans doute m’avaient-ils observé quand l’un d’eux déclara tout en glissant sa main dans le maillot " putain je bande, je me taperai bien une petite branlette "

" tu en penses quoi Frédérique ? " 2006-frederique.JPG celui-ci répondit et ajouta avec un sourire " tout a fait Félix et toi papy? " tandis qu’il matait sans honte mon entrejambe.

Je répondis " vu l’état de nos bites , nous avons plus qu’a s’amuser mes petits "

Nous quittâmes la douche, pour les vestiaires.

Frédérique ôta son maillot , se retrouvant complètement à poil , me colla contre son placard et commença à se masturber lentement.

Gêné, j’hésitais un peu, mais il ajouta " allez, ne soit pas gêné, y a pas de mal à se faire du bien papy ", Félix se leva, mit un genou à terre et m’enleva le maillot ; je ne résistais pas.

Il se plaça plus prés de moi, nos corps maintenant se touchaient, nous commençâmes notre masturbation. Je jetais de temps à autre un regard sur leurs sexes, eux ne quittaient pas le mien des yeux.

Félix interrompit sa branlette, m’incita à faire de même et déclara " ton sexe est un peu plus gros que le mien, me semble-t-il ", puis comme pour le mesurer il entoura mon pénis avec le pouce et l’index et annonça :
 " effectivement il est moins gros ". 2006-felix.jpg Simple prétexte bien sûr, sa main ne quitta plus mon sexe et il commença à me masturber, je me laissais faire, je fermais les yeux. Frédérique me caressait les seins, le ventre. J’étais bien, je me laissais aller.

Félix accéléra la vitesse de son geste sur mon pénis et je ne tardais pas à jouir.

" C’était bon ? " me demanda-t-il.

"Oui " répondis-je, j’étais troublé, honteux de ne pas avoir tenu plus longtemps devant ces jeunes.

Mets-toi a genoux m’ordonna Frédérique.

Je m’exécuta

Les deux compères s’activant sur leur sexe jusqu’à ce que les jets de sperme atterrissent au fond de ma bouche.

Ils se sont ensuite rhabillés.
Percevant sans doute mon trouble, ils se sont approché de moi, " ne fais pas cette tête papy, on est là tous les mercredi ! ", puis m’ont posé un furtif baiser sur la joue en ajoutant " ça restera entre nous ".

Bien sur les petits j’aurai aimé que ça soit un peu plus long

" Reçu dix sur dix pour la prochaine " lançèrent-ils en coeur.

 

 Mon nouvel Amour 2006-sebastien.jpg
Par simon - Publié dans : ma vie
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Dimanche 2 décembre 7 02 /12 /Déc 17:55
les vacances prennent fin apres ce chaud mois d'août. 




Comme chaque année , début septembre , je vais passer une visite médical ( la routine ).

J'arrive dans le local et je la vois ,la même conne que l'année passée , en train de trier des papiers .
. Je me dis:
-cette salope de gouine, je vais la choquer.

 je vais m'arranger pour bander comme un porc en arrivant devant elle, juste pour la faire chier, cette morue.
je m'inscris a l'acceuil pour signaler mon arrivée , la secrétaire  me dit " allez dans la cabine 2 et mettez vous en slip ".

J'entre dans la cabine et je me fous entièrement nu, alors que je sais qu'on doit garder le slip. 
Je me masse bien la teub un moment. Elle se met à prendre de bonnes proportions. Quand je suis bien en érection , j'entend "c'est a votre tour monsieur ",
 je quitte la cabine pour me présenter devant elle, triomphant.

 Elle a la bouche ouverte en regardant mon allure. 
Elle  me dit "  allongez vous sur la table  " et commence à m'occulter. Elle est visiblement intéressé par ma pine raide.
qui  repose de tout son poids sur mes abdos.
 Elle soulève et dit "  beau morceau ! "

Je laisse faire, elle tire sur la peau et mon gland est lisse,  et une goute de pré foutre sort au bout.
 Elle me dit " Vous êtes naturiste monsieur ? "

 Oui madame

Elle soupèse mes couilles en me demandant "  toussez  ".
 Je tousse.
 Elle  me dit " levez vous je dois regarder votre prostate "
- Ah bon ?
- Oui, oui, penchez vous en avant.

Je me penche et je sens qu'elle me fout un doigt dans le cul. Humm j'aime ça.
Whaaaa!! une entrée bien distandue  , vous aimez vous faire prendre , dit-elle
Oh! OUI madame et vous?
sans répondre elle continua a me questioner.
quand la dernière fois?
il y a une heure avec   Narcisse   un jeune étalon de 20 ans   2005-narcisse-copie-1.jpg      et lui hummmmmm!!! une bite courte mais le calibre super encore plus gros que moi. 
" vous mettez des préservatifs ,pour vos rapports , au moins "
Ben oui  sauf  avec Narcisse pas sa taille!

J'écarte mes fesses avec mes deux mains.

Avec son autre main elle me masse la bite raide. elle fait un va et vient dans mon cul.

- je ne sens pas votre prostate monsieur

- ah bon,(hihiii)  allez un peu plus au fond, à droite, au fond du couloir

Elle sort son doigt et va vers une petit table, je vois qu'elle enduit sa main avec du gel ,  revient et me l'enfile dans le fion, sans aucune précaution. Je lâche un gémissement de satisfaction. Elle reprend ma pine avec son autre main et continue son va et vient.

- ca y est je la sens, vous la sentez aussi ?
- oui madame, je sens votre main pleine de doigts dans mon cul.
- ca va , ca fait pas mal?
- non, non bien au contraire ,ouuiii continuez madame.
- ok

Elle ressort  sa main et me dit de me mettre sur la table  , de  coté face à elle.
 et ajoute " monsieur, je suis médecin, mais  une  femme. Vous permettez que je suce votre queue ? "

__faites votre métier madame, si il faut que vous suciez mon sexe, faite-le

Elle se penche , ouvre la bouche et englouti ma pine chaude. 
Elle suce bien cette salope de toubib ,  me masse les couilles en me suçant la queue, tire dessus comme une malade. 
Je grogne de plaisir  ,et je glisse une main entre ses cuisses , qu'elle s'empresse d'écarter
Oh ! la salope ,elle ne porte rien sous la blouse.
- ouai vas y doc, faite moi jouir, tu suce bien putain et en plus ta chatte est bien lubrifiée par ta mouille salope , continue et je vais te baisser apres.

Elle  me dit " taisez vous mes collègues  sont juste à côté ".
Elle masse mes pecs  tout en me suçant la queue. 
Je sens que je vais larguer ma purée .
Soudain:
Elle se lève et enlève sa blouse et me dit:

" encule-moi beau mec " 
( hummm j'adore que l'on me dise ça ,moi qui ai 60 balais )
je veux te sentir au fond de moi. Ramone-moi le fion avec ta pine d'ours
".

Elle se tourne et me présente son anus.
 J'ai pas de préservatif , madame
Tanpis je la veus de suite et vous le fait bien sans  , de temps en temps

Je m'enfile dedans et je la baise. Mes couilles tapent contre ses fesses.
 Elle se mit a gémire en disant  "  ouai je suis ta salope, encule moi, Ouiiiii , pine moi, je te veux, je suis ta pute, défonce moi la rondelle "
j'entrais , resortait un coup dans la chatte , un coup dans le cul
Elle adorai " OUIII casse moi l'pot. vide toi en moi je veux ton jus de mâle en rut, donne moi ta sauce de couilles ! jouiuiiiis sale pd de merde, jouis dans mon fion ouvert "

je lui ai fait la totale et je suis ressorti de là visite en le laissant  madame avec sur le visage, le sourire niai d'une pute  heureuse de s'être enfin pris une bonne grosse pine de vrai mâle dans le cul. 

Je reviendrai l'année prochaine dommage qu'elle n'est pas mon médecin traitant!!. 

Les jours qui suivirent  , plus calmes , je commençais a faire les préparatives en vue des fêtes de fin d'année qui approchaient a grand pas , je me rendis à Metz afin de trouver quelques cadeaux.
En cours de route ,Je ne vois pas de parking, je roule, je roule ; soudain un panneau : parking a 1km, je roule, j'arrive vers le parking, je ralentis, je vois 2 voitures arrêtées. Je m'arrête

Je descends de ma bagnole, je rentre dans le bois pour pisser contre un arbre.
 Quelques mêtre plus bas Il y a un mec qui se branle en regardant une pouf blonde qui se fait enculer par un minet. et il lui ramone bien le cul à cette salope.
 Le  mec , la trentaine ,regarde  et se masturbe ,sans doute hétéro car il s'occupe que de sa queue en regardant que le cul de la meuf.

Je sors ma pine , pisse sans me cacher vers lui et  me branle doucement,soudain  j'ai envie de me faire défoncer le cul.
 Le minet baise toujours la fille à fond, elle couine, je vois la queue du  mec mateur , dure , longue  et raide.
 J'en ai envie, putain que j'en ai envie.

Le minet sort du cul de la pouf et jouis. Le  mec remet sa pine dans son froque et se tire.

Je reste seul dans ce bois, la queue tendue, le cul entre ouverte et moite. J'attends comme un con et si personne ne vient je me casse.

Au bout d'un moment, je décide de me foutre à poils. Je suis nu,   J'aime ça etre nu en nature.

Soudain j'entends un truc qui craque derrière moi, je me retourne et je vois un mec tous juste 22/25 ans. Putain le mec ! Il est mignon , en basquette ,juste un short. Des biceps puissants des pecs globuleux une taille fine et une gueule sortie d'une bande dessinée. Il me regarde. On se regarde. On s'approche.

 Je  lui dis " vous avez vu ce que le minet lui a mis à la pute "

- putain elle m'a excité cette pute en se faisant enculé comme ça.
- ouai mec moi aussi je suis excité
- mais ya pas de pute ici en ce moment
- non pas en vu
- on est comme des cons avec la queue raide et les couilles pleines

Il rigole. Il lève sa main et se pince un téton en me regardant et en souriant .

- t'as envie de quoi petit,
- de jouir papy
- OK Ok mais tu es pd ou pas ?
- non je suis normal , hétéro quoi
- moi je m'en fous si c'est une fille ou un mec pourvu que je jouisse
- ah bon ? Tu jouis avec des gars ?
- ouai et je fais tout ce qu'ils veulent
- tout ?
- ouai petit
-arretez de me dire petit ,jai 22 ans et je m'appelle Alex
-OK ben le papy à 60 ans et s'appelle Simon
-enchanté

- tu veux essayer ? Te vider les couilles avec moi ?
- putain, je n'ai jamais essayé ça

Je baisse la tête comme si j'étais timide

- ben... je sais pas ? On commence comment ?

Approche Alex,  prend ma pine dans ta bouche , et suce là , j'aime ca.
  il s"exécute tout en pensant

- putain je fais quoi ? Je suis dingue ou quoi ?
Il sort ma queue de sa bouche et je profite pour lui dire
- tourne toi je vais m'occuper de ton cul

- je me fais pas enculer, eh je ne suis pas pd moi !
- je ne vais pas t'enculer, je veux te bouffer la rondelle.

Je le retourne et je l'appuie contre un arbre , écarte ses fesses et passe ma langue dans la raie, je sens mon menton barbu qui lui fait du bien sur la rondelle, je ronge littéralement son anus, il n'en peux plus, Alex 'écarte lui même ses fesses et me dit
- encule-moi,avec ta grosse queue raide, vas y avant que je change d'avis.
laisse toi aller , ne te raidis pas , je vais dépucler ton ptit cul
je pris un preservatifdans la poche du pantalon gissant sur le sol ,lubrifa la pastille , et lentement ma queue entra dans son univer
ah! c'est bon gemissait-il ouiii continue
 les deux mecs qui se masturbaient devant la pute , nous regardent et  se masturbent. Je me marre.et Alex se laisse défoncer je me retiens pour ne pas jouîr.
je dit a Alex

-Maintenant encule-moi, je te veux dans moi, mec. Baise moi le fion avec ta belle queue raide .

Il se place derrière moi , me caresse le torse , se penche a mon oreille et dit

Je vais t'enculer papy, tu vas me sentir dans tes tripailles chaudes et humides.

Il crache sur mon trou , présente son gland devant mon entrée.
 Il entre dedans comme dans du beurre tellement j'en ai envie, je veux me faire baiser, je veux de la pine dans le cul, je suis une pute à mec, j'aime la bite.

Il m'encule et je vois devant moi, un des 2 mecs qui  me tends du poppers, je snif et soudain je me sens salope comme pas possible je veux que tous ces mecs me souillent, je veux qu'ils me crachent dessus, me pisse dessus, et éjacule sur mon corps nu et offert dans ce bois.

je snif une nouvelle fois du poppers et le mec me bourre sa pine dans ma bouche. Il me l'enfonce jusqu'au fond de la gorge. J'ai des hauts le cœur.
Ma salive devient épaisse, je grogne. Je snif encore. Je me fais enculer, je suce et le troisième me pompe la queue qui est au bord de la jouïssance.

 Je me laisse piner et défoncer par tous les trous quand a Alex il ne pensait plus hétéro. C'est bon d'être la chose de mecs virils.
Soudain Alex enleva son preservatif  , enfile sa pine dans ma bouche  , lachait ses multiples jets de nectar crêmeux que je  senti descendre dans mon estomac.
L'autre mec  jouit dedans et me rempli de ventre,puis Alex accepta ,ma gelée royal  qui déborde de sa bouche,avant de me rouller un pelle mémorable 

Alex et moi  ,effondré sur le sol,  gisant dans le foutre . Alex se penche vers moi et me dit

Viens,  là bas dans la voiture.
Ludowig attend , depuis le temps qu'il espère que je l'encule, tu seras mon témoin , je suis apte
.

je n'ai pas acheté de cadeaux mais j'ai fait deux heureux...et depuis Alex et Ludowig vivent le grand amour.
l'année se termina encore mieux ma femme Anita c'etait enfin laisé prendre par le voisin .sous le regard de mon neveu Joêl qui lui demanda 2005-06-anita.jpg  "ma tante puis-je vous baiser"
elle repondit " viens ça sera tes etrennes "

et pendant ce temps là Beatrice la femme de voisin en profitait
Par simon - Publié dans : ma vie
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Samedi 1 décembre 6 01 /12 /Déc 16:17

g--rome-1966a.JPG

 

 

En debut de ce mois d ‘août 2005 et comme tous les ans a la même époque le cafard entre en moi je ne peu oublier mon amour Gérome qui ma quitté accidentellement depuis 35 ans

La douleur de mon cœur me pousse a revivre de bon moment avec lui

Les yeux fermés je revis une nuit de 1968 ( voici mon reve)

" " " " " " " " " " " " " " A MON AMOUR " " " " " " " " " " " " " " " " " " " " " "

 Je rentre du boulot, il est un peu tard.
Gérome à cette heure doit déjà être sous la couette.
Il a du avoir comme moi une dure journée.

Ses effluves me rendent dingues.
Ma langue le fouille, le lèche, essayant d'aller de plus en plus profond dans cet orifice chaud, nacré et parfumé.

Je me suis pas trompé, sur la table de la cuisine, les restes de son souper. Chouette ! Il m'a quand même laissé un morceau de pain. Je réchauffe le reste de potage qu'il n'a pas fini.

Dans le fond j'ai pas grand faim.
Je raconte des conneries, pas faim ? Siiiiiiiii faim de lui.

Une petite douche sommaire et hop sur la pointe des pieds, je rejoins Gérome dans la chambre.

Il n'a éteint la lampe de chevet qui diffuse une lumière douce et sensuelle tout autour d'elle.
Il est là dans le lit couché sur le ventre le drap a glissé et ne cache pas grand chose de son corps superbe.

Quelle merveille cet homme !
Le nombre de fois que je me suis murmuré ces mots.

Si les yeux en caressant trop souvent un être risquent d'en provoquer l'usure, toi mon amant, longtemps tu ne serais plus que poussière, tellement de fois je me suis rassasié de ton image.

Je me glisse subrepticement sur le lit tout à côté de ce corps merveilleux.
Ma main ne résiste pas à l'envie de le frôler, de le toucher sans qu'il ne s'éveille.
Le creux de ses reins je l'effleure de mes lèvres.

La paume de ma main suit le sillon en creux de son dos, je m'arrête sur chaque muscle pour finir vers le cou à la naissance de ses cheveux qu'il porte très courts.

Une odeur de mâle émane de lui, il n'a pas eut la force de prendre une douche, il s'est écroulé direct après avoir soupé.

Les effluves qui émanent de lui devraient pouvoir être mises en conserve et servir d'aphrodisiaques très coûteux.

Dans son sommeil il replie une jambe sous lui.
Son merveilleux fessier est ainsi encore plus mis en valeur.
Ce sont deux merveilleux ballons jumelés, légèrement duveteux, ce qui lui confère une douceur extrême bien que très ferme de plus à caresser voluptueusement.

Ah ces fesses, ces merveilleux fruits qui quand il marche que ce soit ici à la maison ou dehors dans la rue attirent des regards d'envie et de jalousie.

Et pour exciter encore un peu plus le monde, il exagère des fois son déhanchement, ce qui a pour effet de presque faire tomber de leurs orbites les yeux le regardant.

Quand je suis avec lui dans ces moments là dehors, je ne peux pas faire autrement que me marrer intérieurement et me dire " Regardez, mais ne touchez pas, ne rêvez pas il est à moi ce morceau de Roi "

Ouais ce soir il est à moi il est à côté de moi assoupi et livré à tous mes désirs.
Je me penche sur lui, le respire, le sens à pleins poumons.
Je lui écarte délicatement ses deux globes.
Niché dans cet écrin merveilleux, sa rosette.
J'approche mon visage, l'enfoui délicieusement dans ce puits de félicité.

Mon coeur bat très vite, c'est trop beau c'est trop bon.

Mon sexe déjà partiellement raide à la pensée de te retrouver Gérome, s'est complètement gorgé de sang, je suis dressé et raide comme pas possible.

Je te prends doucement par la hanche pour te mettre sur le côté. Tu pousses un soupir mais te laisse faire.

Je me colle à ton dos.

Ma queue entre tes cuisses, mes genoux dans le creux de tes jambes, mes abdos collés contre tes lombaires.

Je te lèche le cou ta peau est un peu salée.

Je détache un peu mon bassin de ton corps pour que ma tige puisse venir se poser sur ta rondelle.

J'y vais doucement. Millimètres par millimètres j'investis ta grotte d'amour. Je reste dur un max.
J'avance toujours, je viens en toi.
Tu te cambres un peu pour que ma pénétration t'atteigne plus profondément. Là c'est bon je suis à fond.

C'est bon c'est serré, c'est chaud.
Ma main passe sur le devant de ton ventre, je frôle ton sexe, il est tendu.
Je l'encercle de mes doigts.
Chaque pression sur ton gland provoque un resserrement instinctif et musculaire de ta rondelle autour de ma queue.

Je déguste, je fais durer le plaisir, je ne bouge pas, le monde peut s'écrouler je m'en fous je suis bien dans toi.
Je me décide au bout de je ne sais combien de temps à entreprendre un tempo de va et vient entre tes reins.
Rien de brutal, non, un tempo doux mais à chaque fois très profond.
Je ne veux pas cracher la béchamel tout de suite.

Une heure peut-être deux que je me retiens, mais là ça part !!!!
Un feu d'artifice dans ma tête, des comètes de partout.
J'ai l'impression que tout mon être toute la matière dont je suis constitué passe par ma queue et t'investi.
Je reprends mon souffle, mon sexe dégonfle et s'échappe de ton orifice brûlant.

Tu te retournes brutalement " Espèce de salaud me dis-tu, tu m'as violé, tu ne perds rien pour attendre à ton tour maintenant de te faire farcir "

- Chic !!! me dis-je, mais ça sera pas un viol, je te désires tellement, et de n'importe quelle façon...




pour les vacances j'ai retrouvé un neveu 2005-Joel.jpg  Joël 19 ans il venu me voir lors d'une recherche généalogique afin de mettre un visage sur un des maillons manquand de son arbre , il comprit tres vite mon amour pour les mecs et me dit " je comprend mieux pourquoi ta soeur ne voulais pas me donner de renseignements sur toi "
Ah! bon et toi qu'en pense -tu?
C super chouette , bien au contraire je me sens pas seul dans la famille a aimer les mecs.
tu sais Joël  faut  pas avoir honte dans la famille il y a aussi quelques cousins a toi comme Julien ou Romuald , si tu veus viens le 15 août il seront a la maison
AH! tonton je savais qu'avec toi on avait un point commun
,je reste passer les vacances si tu veus

 

 

avec joie mon petit Joël
seul Anita ma femme et sa tante a fait la grimace car elle voyait d'un mauvais oeil tous ce petit monde s'installé dans notre grande maison et de qui plus est pratiquement toujours a poils .
Joël qui la rencontrait pour le 1ère fois eu le culot de lui demander " madame , euhh , ma tante ça vous fait quoi toute ces bites a l'aire?  "
moi rien du tous , le principal c'est que Simon soit heureux!
C est tres gentil ma tante , je voudrais etre initié avec une femme , vous pouvez?
écoute Joël ma soeur Arlette vient dans 2 jours je lui demandera si elle veus bien le faire.

j'aurai aimé que ça soit vous ma tante
bon ça vas fini avec ça , c'est déja bien que j'accepte toutes ces corps nus dans ma maison.
ne vous fachez pas ma tante , mais j'aurai quand même que ça soit vous vous etes si jolie encore a votre age.
merci mon petit t'es un choux 
dans l'euphorie du compliment Anita enbrassa son neveu sur la bouche tout en ayant pris sa petite bite dans sa main .
le lendemain , arriva les neveux Julien , Romuald, quelques copains dont un accompagné de sa jeune soeur
Quand a ma belle soeur Arlette arriva avec son mari.
avec tous ce beau monde , la fête annoncée comme un feu d'atifice se mettait en place.
Comme il y avait du monde la distribution des chambres se fit par tirage au sort pour corser ce fameu WE
Anita pendant l'apèro explica à Arlette que son neveu Joël désirait se faire initier par elle.
Alette répliqua " whaaaa , du poulet et tu refuses "
__ c'est pas que je ne veus pas , j'ose pas c'est tout.
Ah! toi avec tes préjugés , bon je vais lui montrer a ce petit mais je t'averti mon mari m'a dit " ma belle soeur Anita je vais lui mettre le feu au cul "
__je sais ça serai pas sa 1ère tentative lacha Anita
tu aurai tord de lui refuser , moi , je n'ai pas hésite de baiser avec Simon aux  dernières
vacances
  .
__ ton mari le sait?
bien sur ils baisent bien entre eux alors pourquoi ne pas se faire un peu plaisir
__ ça je ne le savais pas , eh! bien je vais moi aussi m'amuser maintenant
ils faisait tres beau cette soirée du 14 août , j'avais inviter a la soirée brochettes mon voisin et son fils qui partage avec moi la passion du naturisme. Dans le grand jardin tous le monde a poils s'echauffait avec les coktails bien dosés.
Pour une première c'etait une première a mes yeux mes neveux avait convaincu ma femme Anita a etre a poil parmi nous. 
Dans la soirée mon neveu Joël s'occupait de la chatte de ma belle soeur Arlette 2005-arlette.jpg .dans la pièce voisine les copains de Romuad s'occupaient de leur soeur Paule qui trés excité voulait gouter a tous les invités , et surtout le jeune Joël du même age qu'elle , mais celui-ci n'etant pas libre ( formation oblige ) 06.jpg
Dans tous les coins pas une bite , une bouche , un cul restait innactive , ça forniquait partout ou c'etait possible.
Mon voisin me dit " formidable la soirée , je peus te reserver pour la soirée de la st sylvestre et ta femme aussi "
OUIIII je pesnse qu'il n'y a pas de problème.
Anita ma fait une pipe comme j'en ai jamais eu et j'aimerai bien .... la ....tu comprend?
ben pourquoi tu le fait pas de suite
elle voudrais bien mais pas devant ces neveux
je comprend mais tu ne sais pas , mes neveux c 'est cette nuit qu'ils ont décidé  de la baiser et elle ne s'y attend pas , je suis le seul dans la confidence et puis toi maintenant , ne lache surtout pas le morceau.
OK je dirai rien.
bon Alors OK pour la st sylvestre , tu crois que ton fils voudra m'enculer ce soir là?
je pense que OUI ça fait longtemps qu'il me dit " le vieux son cul je me le payerai bien "
Ah! le ptit salot , moi le vieux je vais le baiser tous de suite
oui vas y il n'attend que ça.
je vais te le dépuceler moi ce blanc bec.
ça je l'ai deja fait.........

un grand rire éclata entre nous, le fils l"ayant entendu s"approcha et son père lui dit " fiston vas te faire enculer par le vieux "
Whaaa !! super aller papy vient mon cul est a toi et apres c'est moi qui te défonce
Ok Ok mais moi pas de capote je veus que tu me remplisses
Dans ce cas je veus pareil
ce fut le cas si moi je lui remplis le cul de mon sperme tiede , lui fit de même et la deuxième fois dans la bouche j'avala ce nectar
par contre Arlette continua l'apprentissage de Joël par une mise en pratique 2005-arlette1.jpg

la soirée dura 2 jours , personne ne voulais plus se séparer.


le lundi vers 11h du matin tous ce petit monde dormait toujours, j'étais le premier levé et me mis a faire un peu de ménage tout en etant nu comme un vers ( j'avais pas de mal a y etre , en plus c'est mon habitude) .

le carillon de la porte sonna
Entrez c'est ouvert  , sans même savoir qui avait sonné!
la porte s'ouvrit et

Je découvrais un tout jeune mec de 19 ans. Blond sans barbe avec des traits fins et des yeux gris à faire craquer un n’importe qui. " Je m’appel Mickaêl et j’ai commencé ma tournée hier matin,,je viens de chuter  sur le gravier , c'est pas de chance je pourrais nettoyer mes plaies avant de vous remettre votre recommandée " 

Sous le choque il n'avait même pas remarqué ma nudité.
Je lui ôtais son blouson car ses mains étaient en sang et le pantalon déchiré montrait le genou bien rappé..

Une fois en pull, je découvrais le corps très mince de ce petit mec tout au plus 50 kg pour 1m70. Ses cheveux blonds,  lui tombaient  sur les yeux et il les remettait en place pour un mouvement de tête charmant. " Et bien Mickaêl je vais d’abord laver tes mains ensuite nous nous occuperons de ton genou.
avec de l’eau oxygénée j’enlevais les gravillons incrustés dans la paume de ses mains. Mickaêl de temps en temps grimaçait de douleur.

J’avais mon visage face au sien et sentais son odeur. Vraisemblablement son eau de toilette devait être du axamen.
 Je le lui dis et me confirma en souriant " vous êtes sympa monsieur de me détendre".
 Je te serre un café ,ensuite je te soigne le genou. 
Pour ce faire il devait enlever son pantalon mais ne pouvait pas défaire ses boutons avec ses mains blessés. Je lui proposais de l’aider à se désaper .Il se mit à rougir me fixa dans les yeux et me dit " je veux bien que vous m’aidiez car mes mains sont douloureuse, mais vous êtes tout seul ici ? car sous mon pantalon je ne porte qu’un string . "
 je comprenais sa gêne mais l’idée de voir ce petit mec en string me provoquait une érection qui  d’un coup d’œil , l’avait aussi remarqué, mais ne dit mot sur ma nudité . 
Après le café, je commençais à lui défaire sa ceinture, puis le boutons du haut en entrant la main dans la ceinture du pantalon me trouvant en contact avec sa peau d’une douceur extrême. Puis vient pour moi le plus difficile défaire les boutons de sa braguette..

Mickaêl avait la tête baisse pour regarder mes mouvements . Tout en déboutonnant son fut j’entrais naturellement en contact à travers le tissu avec sa bite qui me semblait développer doucement une érection.
 Dés que je commençais à faire glisser le pantalon sur ses jambes je découvrais un ventre plat sans poil à la musculature bien dessiné. Enfin je vis le mini string blanc qui avait beaucoup de peine à contenir sa bite en début érection. Mickaêl me dit " excusez moi, mais mettez vous à ma place, cela fait dix minutes que vous me débraguettez,en plus vous etes nu alors  je ne suis pas de bois et  vous savez bien ce que c’est qu’une bite. "
 je plongea mes yeux dans les siens et compris que la partie était jouable.

En faisant glissé son pantalon le long de ses jambes je les caressais de haut en bas sentant mon petit facteur frémir. Puis lui fis lever les pieds pour l'enlever complètement . Je détaillais ses jambes blanches et peu poilues et  je fixais son string tendu a craqué qui commençais à laisser poindre une petite tache de mouille.
 Je détournais le regard pour m’intéresser à sa blessure. En faisant pivoter son corps, la paume de ma main droite vient en contact avec la pointe de sa bite. Alors, Mickaêl posa sa main sur la mienne et me la fit glisser sur sa queue tendue.

J’approchais la bouche et commençais à lui mordiller la bite à travers son string. Mes mains plotaient ses fesses nues et mon doigt suivait la mince bande de tissus qui lui entrait dans la raie du cul.
 Mickaêl gémissais de plaisir même si de temps en temps sa blessure le rappelait à l’ordre.
 "mon genou me fait mal , mais il peut attendre un peu" dit-il
couche toi sur le canapé pour que je puisse ôter son string.

Maintenant j’avais devant moi sa queue d’environ 16/17 cm non circoncise entourée de poils blonds frisés. Je continuais à sucer avidement ce jeune dard et glissais mon index dans sa rondelle qui se dilatait. Tout à coup Mickaêl  m’avertit " je jouis !
Je ne me retirais pas et avalais cette semence acre et chaude. Puis je lui roulais un patin profond  pour partager avec lui son jus de mec.

Sa langue me fouillait la bouche et il buvait son sperme additionné de ma salive. Pour le laisser reprendre ses esprits je continuais à lui caresser ses tétons fermes et bandés. Avec beaucoup de précaution en raison de sa blessure, je tentais de glisser ma langue dans le cul du petit facteur. IL se coucha alors sur le coté pour que je puise accéder à sa rondelle rose.

Je faisais glisser un doigt dans ses entrailles puis deux et je commençais à préparer le troisième lorsqu’il me dit " j’ai envie de votre bite. " J’enfilais un préservatif, l’enduisis de gel et doucement j’approchais mon gland de ce fion qui n’attendait que ça.
Je pénétrais doucement, et je sentais Mickaêl réprimer un petit cri de douleur , puis je le sentis se détendre et commencer à trouver son plaisir.

Je le limais maintenant bien à fond et ses couilles battaient su ses jambes alors que les miennes lui frappaient le cul . En même temps, je l’embrassais et il me caressait la tête avec amour. Sentant mon jus venir je l’avertis.
 " Jouis moi dessus " me dit il. Je me retirais de sa rosette, enlevais mon préservatif et tout en m’astiquant la queue, je crachais le foutre crémeux et blanc sur son beau visage .

Doucement, je m’approchais et lécha le nectar de  la gueule de mon petit postier .
Soudain nous fumes dérangé pas des aplaudissements.
Mickaêl sous la surprise dit " Ah! zute ils nous ont vu "
T'inquiète ces mes neveux et ils sont comme toi ,ils adore la bite
et eux ( Romuald,Joël,Julien ) lancèrent tous les trois   en coeur
__bravo tonton et felicitation facteur du tres beau baisage et si tu es libre reviens ce soir , nous aussi on voudrait bien !!
 Après avoir soigné  son genou et rhabillé, et repartit sans même me donner le commandée .
 Et  vers 20 h 2005-micka--l.jpg ma sonnette retentie, Mickaêl, tout sourire  dit "  tes neveux mon invité alors nous allons baisé toute la nuit…demain je suis en repos "

.

Par simon - Publié dans : ma vie
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