Samedi 15 août 6 15 /08 /Août 15:27

Quelques jours apres le mariage

(voir  ma vie 30 -épisode précédente)


Sur la route du retour

Faisant escale a l’hötel à Dresden en Allemagne , après une bonne douche , suivi d’un diné bien arrosé

,de retour dans la chambre…..je fus surpris…quand le plus jeune me claqua les fesses

 

 

 oooh Papy  dit Fréderic

... Laisse-nous te caresser les poils de ton torse s'il te plaît...
- Oh oui, Papy ! Fais-nous plaisir !  dit Jérémy
- Jérémy va se faire un plaisir de t'embrasser... Pas vrai ?
- Mmmmh ! Puis-je te caresser ton torse en même temps, Papy ?
- Bien sûr ptit ! Toi et ton frère, ne vous gênez pas ! Je suis là pour vous satisfaire... "
-papy c 'est juste pour te remercier de nous avoir fait vivre ce mariage en Pologne ou l'on gardera un bon souvenir.

-Vous savez bien que je ne peux rien vous refuser, mes petitsx anges ! Je vous demanderai juste en échange de tendres baisers...

 

La petite séance de baise commençait sous les meilleurs hospices ! Comme d'habitude, mes deux fils aimants excellaient dans l'art de m'échauffer. J'étais assis confortablement entre mes deux garnements qui me prodiguaient les caresses les plus sensuelles et les plus entreprenantes.
À ma droite, j'avais donc Jérémy, mon plus jeune petit fils , que j'embrassais à présent. Son aîné âgé de dix neuf ans, à ma gauche, s'affairait pour le moment à me titiller mes tétons perdus dans ma toison grisonante.

Jéremy donna, le premier, des signes de grande excitation :
Papy ! Je dois absolument sortir ma bite de mon boxer... Je... Je n'en peux plus !
- Déjà ? Regarde donc ton frère ... Lui sait conserver son calme...
Son frère prit la parole à son tour :
_Plus vieux, oui ! Mais de quelques mois seulement ! Moi au moins, je ne suis pas un petit pisseux qui ne pense qu'à son plaisir personnel... Je pense à notre papy, figure toi
- Mais moi aussi, j'aime Papy ! Hein Papy , tu sais que je t'aime fort ?
- Oui, ptit ! Toi et ton frère m'aimez très fortement, je le sais bien !

- Ben oui, je sais mais Frédo a toujours su garder son self control...Moi pas ! Et puis, il est plus vieux que moi ! "

 Donc, ce n'est pas faire preuve d'égoïsme de ma part d'avoir envie de sortir ma queue pour me caresser un peu ?
- Non, ptit ! C'est même moi qui vais t'enlever ton boxer qui te serre de trop, je le vois bien ! "
 
Joignant le geste à la parole, je retirai prestement le petit boxer noir de mon rejeton. Une belle bite rosée et délicate fit alors son apparition. Maintenant soulagé, mon plus jeune ptit fils me regarda d'un air malicieux

Je devinais, à son air, ce qu'il avait en tête. Incapable de résister à son sourire enjôleur, j'acquiesçais.

_Tu veux téter la bite à Papy, on dirait...
- Oh Papy ,oh ! oui !
- Fais comme il te plaira, mon chéri ! Pendant ce temps, je vais m'occuper de ton frangin ! "
En signe d'assentiment, je posai ma main sur la tête de Jérémy. Ce dernier enleva mon boxer à son tour (identique, en tout point au sien à l'exception de la taille) et s'attaqua à ma verge. Je sentais sa langue remonter le long de ma hampe jusqu'au gland et s'arrêter sournoisement juste avant celui-ci

Pendant ce temps, ma langue et celle de Frédéric, mon ptit fils aîné, se livraient à un échange salivaire des plus savoureux.

Quel bonheur d'être ainsi le centre de toutes ces attentions !
Je ne savais ce qui me faisait le plus plaisir... Le contact de la langue de Jérémy sur mon gland ou bien le baiser passionné que je partageais avec Frédéric.
À dire vrai, peu m'importait ! Peut-être la conjugaison des deux ?

Tel un sultan dans son palais, mes deux mignons s'attachaient à me rendre mon statut de grand père des plus agréables. Quel grand père n'a pas rêvé d'avoir deux tendres éphèbes, prêts à toutes les folies, pour lui procurer un maximum de plaisir ?

Quel amour pouvait surpasser celui que nous partagions, tous les trois, dans le secret le plus absolu ?

Vraiment, j'étais un grand père comblé ! Je laissais ainsi faire mes deux ptits fils, sûr de leur tendresse et de leur amour infini.
" Oooh ! Mes amours..."
murmurai-je lorsque Frédéric, à son tour, vint prendre en bouche mon gland dégoulinant de flot d'argent...

Plus expérimenté dans l'art de la fellation, Frédéric avait en effet tout pour me faire parvenir rapidement au septième ciel. Je ne faisais cependant pas paraître trop mon émoi, afin de ne pas peiner Jérémy.

Mais, discrètement, je caressais la nuque de l'aîné pour prolonger la pipe. Instruit de cette soudaine connivence, Frédéric accentua la sensation de succion en refermant ses lèvres tout autour de mon gland. Par instant, sa langue glissait sur mon frein, m'arrachant, à chaque fois, des soupirs d'extase.

Il allait et venait de la sorte et descendait parfois jusqu'à mes lourdes couilles remplies de jus. Ses mains me caressaient mes jambes poilues et bronzées. Parfois même, l'une d'entre elles s'aventurait entre mes cuisses, dans les replis de mon cul. Je frémis au contact de ses doigts juste au bord de mon antre duveteuse.

" Oh ptit !, pensai-je avec bonheur, tu sais si bien y faire avec ton grand père... "

Je décidais, moi aussi, de prendre un peu les choses en...bouche.

Abandonnant mon sexe à l'appétit vorace de Jérémy, je goûtais à la pine de son frère. Tout en la prenant au fond de ma gorge, je ne pouvais m'empêcher de comparer la bite de Frédéric à la mienne. Bien que plus jeune que moi, mon ptit fils aîné avait une queue plus grosse que la mienne. Blanche et rosée, comme son frère, mais nettement plus imposante. Je n'avais de cesse de lui flatter ses bourses pleines ce qui lui arrachait des gémissements excitants.

" Comme cela, oui... Continue Papy ... Je... Je t'aime... "

Je le regardais un instant tout en continuant à m'activer sur son sexe. Il gardait les yeux fermés, tressautant au moindre mouvement de langue que j'intensifiais. Je conservais néanmoins un oeil attentif sur Jérémy. Ce dernier prenait visiblement son pied à me pomper le noeud.


Véritable trait d'union entre mes deux ptits fils, je constatais, avec un amusement certain, qu'ils gardaient bien de se frôler. J'en déduisais donc qu'ils ne l'avaient jamais fait ensemble, leur attirance étant exclusivement dirigée vers moi. pour m'exciter
Du coup, j'étais partagé entre le bonheur immense d'être le centre de leur désir et de  pouvoir assister à un ébat fraternel.







Les voir, tous les deux, en train de se baiser  mutuellement... Quel spectacle, tout de mêmeMais mes ptits fils semblaient préférer visiblement partager leur papy plutôt que de se livrer à un corps à corps entre eux.

Allongé sur le canapé, je ramenais mes jambes vers moi tout en pompant à fond Frédéric. Sa queue droite et épaisse me déformait la bouche tant il me ramonait la gueule. Jérémy prenait, pour sa part, de plus en plus d'assurance et commençait à me faire mouiller sérieusement du gland.
Je n'osais imaginer une fellation pratiquée par ces deux jeunes gars en même temps.

Comme si ce n'était pas suffisant, Jérémy me branla soudainement. Un véritable expert de la masturbation, me semblait-il ! Entre son frère doué pour les pipes et lui, maître en branlettes, que d'orgasmes en perspective !

Je me laissais faire, redevenant, à nouveau, dépendant de leur bon vouloir. Je sentais au fond de moi que ma relative passivité n'était pas sans leur déplaire. J'étais un peu comme un jouet entre leurs mains.

Frédéric me pinait consciencieusement la bouche et ne se privait pas pour me dire combien il appréciait mes coups de langue :
" Continue à bien me lécher, Papy ... As tu remarqué combien ma pine, dans ta bouche, était si grosse ? C'est parce qu'il n'y a qu'un Papy pour faire autant de bien à son ptit fils... "

Aussitôt ces mots prononcés, Jérémy suspendit la masturbation :
" Papy ? Moi aussi j'aimerai bien mettre ma bite en toi ! C'est pas juste que Frédo soit le seul à en profiter... "

Soucieux de lui faire plaisir, à lui aussi, je décidais de lui abandonner mon second orifice.
" Encule-moi, ptit ! "

À l'instant même où je donnais mon autorisation à Jérémy, je sentis Frédéric me lâcher une petite salve de foutre. Je craignis un instant qu'il allait jouir mais ce n'était qu'une fausse alerte, heureusement !
Une fois encore, je m'amusais de la compétition à laquelle se livraient mes deux ptits fils. À croire que c'était à celui qui serait le plus imaginatif, le plus aimant, le plus pervers aussi...

Au moment où Jérémy approcha sa bite de mon cul, j'entendis alors, non sans une certaine appréhension, des mots dont je n'aurai jamais cru Frédéric capable de dire :

" Vas-y mon frérot ! Commence à bien l'enculer... Puis ce sera mon tour... Et là, je vais bien le faire crier, cette pute !...
- Oui, Frédo, on va lui déchirer le cul !
- Tu entends, salope ? Tu as beau être notre Papy, on va t'éclater la rondelle ! "

Jérémy, avec toute la fougue de la jeunesse, violenta mon anus et entra en moi brutalement.
Ce fut à cet instant que je jetais mon premier cri de douleur" Aaah ! "
hurlai-je tandis que Jérémy me forçait l'anus brutalement.

Ce petit salaud n'y alla pas par quatre chemins ! Il enfonça dans mon cul sa tige fine mais assez longue tout de même pour me faire amplement mal.

Je me décrispais cependant. Pendant ce temps, Frédéric revint à la charge de son côté et exigea de moi une totale docilité :
Suce-moi sale pédé ! "

Surpris une nouvelle fois par la véhémence de ses propos, je laissais Jérémy m'enculer de façon fort peu délicate. Je voulus me redresser pour l'écarter mais il pesa de tout son poids sur moi, aidé en ce sens par son frère aîné. En représailles, je fut sauvagement ramoné par la bouche et par le cul.
" Bouge-pas, Papy ! Tu ne voudrais tout de même pas que tes deux ptits fils ne prennent pas leur pied, n'est-ce-pas Papy?
- Mmmmmh !
- On dirait qu'il veut nous dire quelque chose...
- Lâchez-moi ! Ça suffit maintenant !
- Ta gueule ! Tu croyais peut-être que tu étais le centre de nos vies, pas vrai ? Quelle incroyable suffisance de ta part... "

Je compris alors mon erreur. Bien loin de me considérer avec toute la bienveillance et la bonté dont je les croyait capable, ces deux-là ne me voyaient que comme un objet sexuel, un joujou tout juste bon à épancher leur soif de jouissance.
Ils m'avaient bien leurré, moi qui croyais qu'ils ne faisaient rien en mon absence... Que de parties fines, ils devaient s'être rendus coupables !
La pine paternelle ne leur suffisait plus, c'était évident ! Déjà, Frédéric me surpassait en longueur de queue. Expert en pipe, il devait rendre fou son plus jeune frère. Et Jérémy, moins bien monté, en avait une assez longue tout de même, suffisamment pour exciter son frangin.

J'essayais de nouveau de me relever mais peine perdue ! Mes deux ptits fils , dans la pleine force de leur âge. Ma position allongée ne facilitait pas les choses non plus. Bref, j'étais coincé entre eux deux !

Je décidais, provisoirement, de ne pas lutter et de me laisser faire. Je changeais de position et me fit prendre en levrette par Jérémy, de plus en plus outrancier dans ses propos :
_As-tu vu, Frédo, comme je le pine bien ? Il en avait envie, non ?


- Sûrement ! Vois avec quelle avidité il avale ma bite ! Maintenant que nous le supplantons en tout, il doit se sentir bien diminué ! "

Diminué, rabaissé, je l'étais en effet !
Je me sentais dans la position peu enviable d'un vieux lion qui voit les prétendants au trône se liguer contre lui. Frédéric avait parfaitement raison ! J'étais totalement dépassé par mes deux ptits fils, véritables mâles en devenir... Mais, s'ils prenaient ma place, qu'allais-je bien pouvoir devenir, au sein de notre trio ?
Frédéric sembla lire dans mes pensées et me dit, fort à propos :
_Tu te demandes quelle est ta place à présent, hein ? Je vais te le dire, Papy ! Tu vas devenir notre vide-couilles, à mon frère et à moi ! Pourquoi crois tu que nous ne nous touchons pas en ta présence ? Tout simplement parce que nous ambitionnons tous les deux la place de mâle dominant... Toi, tu ne l'es plus ! Nous allons nous servir de toi, de tes deux orifices, pour savoir qui de mon frère ou de moi est le véritable mâle de la famille... Tu peux donc crier, tes souffrances ne nous serviront, au mieux, que comme des indicateurs sur la fougue que nous ferons preuve tous les deux.. Sens tu les coups de boutoirs que Jérémy inflige à ton cul ? Ou bien plies tu sous la douleur de ma pine qui te ramone la gorge ? "

Baisé de la sorte, je ne pouvais répondre à la double interrogation.
Je ressentais de la douleur par les deux trous mais, je dois bien l'avouer, une extraordinaire jouissance interne.
En effet, le petit discours de Frédéric provoqua en moi, à ma grande honte, une gaule du tonnerre !
Dans ce double viol, j'accomplissais pleinement mon rôle de Papy : celui de transmettre à mes ptits fils des choses aussi essentielles que la virilité, l'autorité et la vigueur.
Je me dépossédais, certes bien involontairement, de tous ces attributs mais c'était pour le bonheur de mes ptits fils chéris.
Alors, oui, j'allais supporter sans coup férir le double assaut !

Les deux bites me fourrageaient de part en part. Soumis, je glissais une main sous les grosses couilles de mon ptit fils adoré. Plus je recevais des insultes, plus je me faisais délicat dans la manière d'ouvrir la bouche et de serrer tendrement mes lèvres autour du gland rougissant. Plus ils me faisaient mal et davantage j'écartais mes cuisses pour faire entrer un peu plus profondément cette fine tige indécente d'orgueil.

" Suce-t'il bien au moins ? s'enquit Jérémy derrière moi.
- C'est selon..., répondit Frédéric.
- Comment cela ?
- C'est bien simple : Plus tu lui pilonnes le cul et plus il me pompe bien ! C'est à croire que mon plaisir dépend de la vigueur avec laquelle tu lui bourres le cul !
- Si ce n'est que ça, compte sur moi pour t'amener jusqu'à l'orgasme ! Je vais le piner à fond ! "

Leur échange verbal, bien loin de me faire débander, m'excitait énormément. Je n'étais plus leur Papy mais leur "pute", leur "pédé", leur "vieux salaud."
J'en rajoutais aussi en me cambrant de façon outrageuse...

" Bon, maintenant, à moi de l'enculer à sec ! "

Je frémis. Comment ! Voilà donc que Frédéric, mon ptit fils à la bite si imposante désirait me prendre...

_Oh, vas-y mon chéri... Papy va se laisser enculer pour ton bon plaisir...

Jérémy se retira de moi. Il comprit à ce moment qu'il ne pourrait pas rivaliser avec son frère aîné. Du moins pas encore. Pas aujourd'hui.
Le rôle de mâle dominant était attribué, à l'unanimité à Frédéric.

Ce dernier vint se place de façon victorieuse derrière moi et, sans coup férir, m'encula d'un coup sec

Les larmes embuèrent mes yeux. Pour la seconde fois, je lâchais un cri de douleur.
Mais celle-ci était combinée à un véritable plaisir... Celui de l'outrage, de la domination et du viol.
Mon trou allait être baisé, fouillé en profondeur, saccagé.

Tout cela pour le bien être de mes ptits fils...

Jérémy se positionna à mes pieds et pris en bouche ma verge entière.


De sa main gauche, il vérifia que la bite de son frère coulissait parfaitement dans mon anus dilaté.
Quant à moi, j'essayais de contenir, tant bien que mal, l'assaut de Frédéric.

Je gémissais à présent de bonheur. J'étais humilié mais qu'importe ! Je sentais la verge de Frédéric dure comme de l'acier, prête à exploser dans mon fondement...
Pourquoi essayer d'échapper à ma nouvelle condition de vide couilles ?
Pourquoi me révolter contre l'inévitable ?

Comment ne pourrai-je pas accepter que le règne de mes ptits fils commençait dès aujourd'hui ?
Moi aussi, j'avais été comme eux, il y a longtemps de cela.
Moi aussi, j'avais soumis mon oncle de la sorte. Palier incompressible menant au statut d'homme que je revendiquais encore il y a de cela une heure à peine...

Je n'avais donc plus qu'à ravaler ma fierté et jouir dans la bouche de celui des deux qui me considérait, provisoirement, comme un Papy... Mais pour combien de temps encore ?

Combien de temps lui faudrait-il, lui aussi, pour me déclasser, comme venait de le faire Frédéric ?

Prêt à jouir dans mon cul, Frédéric gémit à l'attention de son frère :
_Fasse que tu deviennes toi aussi un homme, mon frère, pour que nous puissions enculer notre Papy en même temps... "

À l'idée d'une prochaine double pénétration, pratiquée par les deux êtres que je chérissais le plus au monde, je déchargeais à grands jets de foutre dans la petite gueule du benjamin.

Baisé ! J'allais l'être doublement !
Quel bonheur en perspective !
jérémy me suçait a merveille et dans un sursaut je gigla mon jus dans sa bouche en lui disant
_Bois mon sperme, avale mon ptit! Que cela te fortifie et fasse de toi un bel étalon comme ton frère aîné...
Qu'il me tarde d'être pénétré par vous deux
!

...avant de mourir….de plaisirs
[FIN]

Par simon - Publié dans : ma vie
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Retour à l'accueil

Pages

Présentation

Créer un Blog

Recherche

Calendrier

Mai 2024
L M M J V S D
    1 2 3 4 5
6 7 8 9 10 11 12
13 14 15 16 17 18 19
20 21 22 23 24 25 26
27 28 29 30 31    
<< < > >>
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés