Dimanche 4 novembre 7 04 /11 /Nov 13:45

2003

Un après midi de juillet je rentrais a la maison avec un jour d’avance sur la date prévue.

Tous le long de la route , j’avais une envie de baiser Anita (ma femme) , car mes réserves étaient a ras bord , donc une vidange s’impose.

Quand j’arriva a la maison les volets étaient baissés (normal il faisait chaud) , j‘entrais , il semblait y avoir personne tant le silence régné.

Mon idée fut « elle est sûrement sortie chez les enfants ».

Je décida de me mettre a l’aise par cette chaleur , donc je me dirigea vers la chambre pour me mettre a poil.

Arrivant devant la porte entrebâillé j’entendis des chuchotements et des gémissements.

Je passa dans la salle de bain , me mis a poil ,et je reviens devant la porte de la chambre.

Ma queue avait réagit elle se mis a bander dur comme fer , je compris que la derrière la porte il se passait quelque chose.

Poussant légèrement la porte juste pour passer la tête et jeter un coup d’œil.

Que vois-je ?

Anita les jambes écartées se faisant baiser….

Je ne voyais que le cul du mec son anus bien exposé.

Je décidais de m’approcher sans faire de bruit pour ne pas les déranger , et de passer ma langue sur sa rosette , quand ma langue le toucha il tourna la tête , je fit « Chut.. » en mettant un doigt sur ma bouge.

Le mec compris et continua a limer ma femme qui ne sait aperçu de rien , lui par contre appréciait mes coups de langues. Son cul bien salivé je le travaillais avec un doigt , puis deux ,il ne dit rien seule les coups de butoir dans la chattes s’intensifiaient.

J’étais au bord de l’explosion il fallait faire quelque chose.

Je présenta ma bite devant son anus qui était légèrement dilaté par mes doigts et d’un coup brusque je défonçais son cul .

Il hurla comme un diable et Anita s’aperçu de ma présence , elle attrapa sa tête et lui roula une pelle pour le calmer.

Il continua a la limer et ses va et viens se répercutaient sur moi et je lui balança tous mon jus en plusieurs jets dans ses entrailles.

Lui remplissait le préservatif.

Lui comme moi la teub ramollie se dégagea et je vis que le mec qui baisait ma femme et que j’avais sodomisé , c’était Marc le mari de la meilleur copine de ma femme.
2003-marc.JPG

Il avait 51 ans et dit « ta femme baise comme un dieu ,mais se faire dépuceler le cul a cet age la il faut être con d’avoir attendu aussi longtemps pour se faire défoncer le cul ,, je croyais que c‘était réservé au pédé , pour moi hétéro j’ai aimé car c’est sublime  ».

Tu as aimé lui dis-je l‘air surpris!.

Prêt a recommencer dit -il

Quand tu veux je suis a ton service…….et en prime Anita

 

 

 

 

 

Il me pris au mot et deux mois plus tard.

On sonne a la porte vers 17 heures, j’ouvre et la devant moi Marc une bouteille de champagne a la main ,vêtu d’un simple jogging .

Moi j’étais simplement vêtu d’un thy short long sans rien en dessous.

Tu es seul ? me dit il

Non répondis je Anita est sous la douche.

Entre , mets toi a ton aise .

Tu permet que j’aille lui frotter le dos ? me dit il

Vas y monte les escaliers ,et a droite.

J’entendis un hurlement ,il lui avait fait peur car elle ne s’attendait pas a lui.

Je monta une demi heure après , sur le sol gisait son jogging , il était dans la salla de bain allongé a même le sol sur une serviette, Anita la pine de Marc dans la bouche , elle le suçait avec amour alors qu’ avec moi elle ne voulait jamais. Elle arrêta un moment pour me dire « excuse moi ,mais la sienne et plus fine et je n’ai pas résisté ».

Tu a raison profites en pour une fois lui dis je.

Je passa ma main entre les jambes de Marc , attrapa ces couilles et mis mon pouce dans son cul , ça lui procurait du plaisir et se mis a faire des va et vient dans la bouche d’Anita.

J’embrassa Marc sur la bouche et lui murmure dans l’oreille « continu comme ça et donne ton jus , elle ne veux jamais du mien alors essaie!

Marc lui pris la tête et accentua les mouvements moi j’activais toujours et sentais ses frissons de plus en plus rapprochés, et d’un coup Marc gémissait avec rage et éjaculait dans sa bouche qu’elle ne pouvais bouger vu la pression des mains de Marc sur sa tête.

Elle avala le précieux nectar .

Elle nous gifla tous les deux en criant « vous êtes des salops » et ajouta " c‘est pas si mauvais que ça après tous j‘ai peut être perdu de bonne occasions ".

Nous allâmes dans la chambre et je m’allongea sur le lit , je bandais a mort alors Marc lu dit « Anita baise avec ton mari , je vous regarde ».

Elle me chevaucha et enfonça au plus profond ma bite dans sa chatte, je posais sur ces fesses mes mains et tout en les massant j’écartais pour faire découvrir sa rosette a Marc.

Il compris le message , s’approcha et commença a lui passer la langue dessus.

En principe quand je touchait cet endroit elle gueulait « NON pas ça » et la elle ne dit rien , elle semblait même apprécier.

Marc avait retrouvé son érection maximum et dit « je peux ».

Elle ne répondit pas , mais moi j’esquissais de le tête que « Oui ».

Je lui donnais le tube de gel (toujours dans le tiroir de la table de chevet) il lui badigeonne l’anus , elle ne dit pas mots ses petits coups de reins me disent qu’elle en a envie.

Et Marc présente sa bite , frotte le gland sur l’entrée ,elle se cabre , je vois sur son visage que cette queue qui pénètre est un peu douloureux , elle se mit a gémire , au fur et a mesure que cette queue rentrait en elle , elle m’enfonçait ses ongles dans ma poitrine a en faire péter le sang.

Elle entra en trans. Elle se soulevait gueulant « Non ..Non » , faisant presque sortir ma bite puis c’était des « Oui ..OUI encore plus fort » en se renfonçant sur mon mat. 1fille-5.jpg

Plus d’une demi heure ce fut ainsi , je jouissait un flot de jus dans son vagin et Marc fit de même dans son cul.

Nous avons bu la bouteille de champagne et Marc repartit sans avoir eu ce qu‘il venait chercher (une pine dans le cul) mais il n‘avait perdu au change..

Elle venait a 49 ans de vivre en 3 heures (sucer, avaler, enculer) ce qu’elle m’avait toujours refusé en 34 ans de mariage.

Je lui posa la question « ça ta plus  ? »

Elle répondit « J’aurais aimé le faire plus tôt avec toi si tu avais une bite fine comme Marc car toi elle est trop volumineuse » .

Excuse moi lui dis je , ma mère ma faite comme ça et je suis heureux avec toi , je te laisse la liberté de ton corps.

Si elle a envie d’un autre mec qu’elle fasse comme moi …….

2004

Mes voisins avaient deux fils. André, 22 ans, passionné de moto et de foot, et Serge, 18 ans, plutôt artiste, passionné de littérature. André était très bien bâti, musclé, une haute stature. Serge était plus frêle, mais non moins dénué de charme, en particulier dans le regard que lançaient ses yeux bleu acier et dans la clarté de son teint. Tous deux plaisaient énormément aux filles.

André était un de mes meilleurs amis, mais nous avions une relation un peu particulière depuis ce jour où nous nous étions retrouvés seuls dans les douches de la salle de sport du quartier. Mon voisin m'avait alors fait goûter une queue épaisse et vigoureuse. J'avais ainsi découvert le plaisir de sucer et de me faire sodomiser par un jeune qui pouvait être mon fils. Dès lors, nos entrevues avec André prirent une tournure tout à fait différente. Estimant que les filles ne satisfaisaient pas toutes ses envies, André me recevait régulièrement dans l'intimité pour me rappeler qu'il était l'homme et que j'étais sa pute.

Un samedi après-midi, nous étions seuls dans la chambre d'André.

2004-le-baiseur.JPG Je recevais mon lot de coups de queue hebdomadaire.

J'étais à quatre pattes sur la moquette, le dos fortement cambré. André était accroupi derrière moi et faisait glisser son sexe dans mes entrailles lubrifiées. 
Soudain, nous entendîmes un bruit.
 Serge était planté sur le seuil de la porte.
 Il semblait horrifié par le spectacle qui s'offrait à lui.
 André ralentit brusquement son va-et-vient dans les profondeurs de mon anus. « Allez, frérot, ne t'effraie pas d'un rien, faut au moins essayer ça une fois dans sa vie ! »
 André se mit alors à nouveau à me labourer le cul tandis que Serge s'empressa de baisser son jean puis son slip pour se branler.
 La queue de André était très épaisse à la base et légèrement courbée vers le haut. Celle de Serge était très longue, fine et droite. Je me demandais ce que cela pouvait faire de voir son frère en train de sodomiser un mec plus âgé . « Tu vois, notre voisin, c'est une vraie pute ! », lança André, ce qui eut l'effet de me faire bander encore plus.

Serge, n'en tenant plus, s'approcha de moi et introduisit sa longue verge jusqu'au fond de ma gorge. Au moment où j'allais éjaculer sans même me toucher, André se retira pour souffler.

Visiblement, la capote était pleine. Serge imita son frère. Nous nous assîmes pour discuter

-Hé, frérot, t'aurais jamais cru ça de moi ! fit André.
-Ben non, répliqua Serge.
-Il aime ma bite, notre voisin.
Je ne pouvais qu'acquiescer discrètement.
-Je n'ai jamais osé te le dire, répondit Serge, mais si nous n'étions pas frères, il y a longtemps que je te l'aurais sucée pendant ton sommeil.
ben tu aurai du!

L'aîné commença alors à se malaxer le pénis et les couilles, se tourna vers moi et me dit : « Vas-y, lèche ! ». Je m'exécutai tandis qu'il continuait à se caresser et à me guider la tête de l'autre main.
 Le cadet s'approcha et se mit lui aussi à lécher son frère, tandis que nos deux langues prenaient un malin plaisir à entrer en contact l'une avec l'autre. J'étais terriblement excité par cette idée que deux frères si bien bâtis puissent se satisfaire mutuellement sans aucune gêne apparente. Les premières inquiétudes de Serge semblaient déjà surmontées. 
André me repoussa violemment puis prit entre ses deux mains la tête de son frère, l'entraînant à le sucer plus profondément encore. « J'ai envie de te la mettre, frérot ! ».

Pendant ce temps-là, je suçais Serge sans retenue. Ce dernier ne tarda pas à interrompre sa fellation et à se mettre à quatre pattes en tournant le dos à son frère. André plongea un index humide dans le cul de son frère.
-Aïiiiiiieeeeee ! Serge souffrait, visiblement.
-Ta gueule, où je dis à Maman que tu lui as piqué cinquante euros !
-Salaud !

André enfila une autre capote et introduisit sans détours sa grosse verge dans l'anus maintenant dilaté de Serge. Je n'avais jamais vu deux frères baiser entre eux et je crois bien que j'aurais pu atteindre le 7e ciel rien qu'en les regardant.
 Je me faisais sucer par Serge tandis que l'aîné labourait cul de son frère comme il n'avait jamais osé le faire avec moi.
 Serge gémissait d'une façon qui aurait sûrement fait douté un observateur étranger. Plaisir intense et douleur semblaient se mêler au cours de cet acte sauvage qui avait la saveur exquise d'un tabou transgressé. « Toi aussi, t'es une vraie pute, frérot ! ».

A ces mots, je sentis Serge sursauter et gémir encore plus fort, comme si l'insulte de son frère était la cause d'un regain d'excitation.

 Mon sexe frappait régulièrement le fond de la gueule de Serge.

 André explosa soudain dans un râle prolongé et saccadé tandis que son corps se secouait de spasmes violents. En se retirant, il vida le préservatif d’une crème épaisse sur le dos de son frère en lui frappant les fesses avec un bruit sec.
 Je ne tardai pas à jouir en envoyant dans la gorge de Serge une quantité impressionnante de sperme ,que mon jeune voisin avala presque entièrement, avant de nettoyer ma bite à grands coups de langue avides et pressés. Serge nous remercia. Son frère ajouta : « Un seul mot à Maman, et je te ridiculise devant tous tes potes ! ».

 le jour suivant Je me rend  chez mon médecin généraliste
2004-georges.JPG
Après son touché anal (avec sa queue) c’est quand même mieux……

George me recommande son ami

 

Jeanot 55ans pharmacien marie 4 enfants Hétéro ?
 
2004-jeanot.JPG
 




















par la grande chaleur du mois d"aout le fils de mon voisin  Julien se désaltère 2004-julien.JPG  et a la salle de sport on parlerai plutot dopage 2004-bertrand.JPG




En fin de soirée du 5 novembre , les pompiers passent proposer leur calendrier.

Il était déjà tard ce soir là, et, après une journée de travail bien remplie.

Je sortais de la douche et, comme je n'attendais personne, j'étais resté avec une serviette autour de la taille .

C'est au moment où je choisissais mon film que la sonnette retentit.

Un rapide coup d’œil par la fenêtre ,surprise ! un magnifique pompier se postait devant ma porte !

J'ouvre et reçois ce bel étalon avec mon plus beau sourire.

Surpris par ma tenue, il se confond en excuses et me propose de passer un autre jour. 
Je vois cependant que mon accoutrement ne le laisse pas indifférent étant donné la bosse qui apparaît entre ses jambes, bien moulée dans son treillis bleu foncé.
Je lui réponds " cela ne me dérange pas ", lui propose d'entrer pour ne pas prendre froid

Poussé par ce que je viens de voir gonfler dans son pantalon, j'en remets une couche, précisant que, n'attendant personne ce soir-là, surtout pas un si vaillant soldat du feu, courageux et bien foutu, je me suis laissé aller dans cette tenue légère.
Il me répond " cela ne me choque pas du tout, j'ai l'habitude d'en voir bien d'autres tous les jours à la caserne dans la même position, et parfois pire ".

Je lui demande " tu veus dire quoi par pire ".

Il s'approche alors de moi, tire sur ma serviette : je me retrouve entièrement nu devant lui, la queue déjà bien raide, presque au garde à vous...

Il me dit alors :
"C'est dans cette tenue que je vois la plupart de mes collègues ! Et avec certains, j'explore bien plus que l'épiderme..."
Sans attendre, je plaque ma main sur son sexe raidi par l'excitation de la situation, je constate sans tarder que le volume et la longueur de celui-ci dépasse de loin ce que j'ai déjà pu expérimenter jusqu'alors...
En déballant son matériel, je constate en fait qu'il ne s'agissait que d'un début d'érection : le plus impressionnant était donc à venir !

Le beau gaillard est plutôt entreprenant :

Il se met à genoux face à moi et gobe d'emblée ma bite qu'il lèche et aspire dans un mouvement lent et ample. 
Je me laisse aller au rythme de sa respiration ; ce mec est fait pour ça : pomper des queues ! Il se relève ensuite, se met devant moi, de dos, et se travaille la rondelle pour mon plus grand plaisir. Rapidement, deux puis trois de ses doigts sont enfournés dans son anus ;

Je me lève et lui fait comprendre que ma main aussi a envie de visiter ce lieu exquis. Je n'ai aucun mal à pénétrer son trou du cul dilaté.

C'est sans aucune résistance que mon sexe s'installe en lui. Il commence alors sa danse du bassin jusqu'au moment où je le préviens que mon foutre est prêt à inonder son rectum.

Il se retire lentement, se remet à 4 pattes et recommence sa fellation : il ne lui faut que quelques secondes pour me faire cracher mon jus. De longs jets bien fournis viennent envahir sa bouche, et, pas avare, il vient partager cette semence avec ma langue, me roulant une pelle mémorable.

Il se relève ensuite, se place au-dessus de moi et entame une masturbation langoureuse qui aboutit à une pluie de sperme sur mon visage et sur mon torse. Nous nous embrassons longuement, mêlant ainsi son laitage à nos deux torses.
Après une douche bien chaude (et pas que sur le plan de la température de l'eau...), je l'aide à remettre son beau costume de pompier, en lui faisant promettre de m'inviter dans sa caserne, à la rencontre de ses amis pompiers.

Il a tenu sa promesse

Mon "pompier" clement.jpg

Par simon - Publié dans : ma vie
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