histoire racontée

Dimanche 17 mai 7 17 /05 /Mai 10:55
cette histoire remonte de quelques années en arrière , 2 jeunes ados à l'époque et qui aujourdh'ui vivent ensemble et partage la même femme MIchelle qui leurs a donné a chacun un fils .
raconté par les auteurs et écris en collaboration de   Jordy      avec moi et agrémenté de quelques photo du net
voir l'article précédent (Damien 1ère parie) si vous ne l'avez pas encore lu.
voici la suite

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Ils conclurent leur baiser et s’endormirent dans les bras l’un de l’autre, quelques temps.

Au matin, ils furent réveillés par l’odeur des tartines grillées et du café au lait.

Le soir, les deux jeunes gens avaient remis en état le tandem grâce aux accessoires achetés au village et d’un coup de peinture anti-rouille. C’est devant un dîner de soupe de légumes et d’omelette aux champignons que Louis demanda :

- Mamie Madeleine, est-ce que vous nous autorisez à faire un pique-nique demain ? je voudrais profiter avec Damien un peut de nature sauvage, mais si on doit revenir pour manger

- Bah, oui ! Si vous voulez. Comment irez-vous ?

- Avec le tandem, Mamie, répondit Damien.

-Ah oui ! Le tandem ! Cela me rappelle tout plein de choses, ces vélos. Il nous a tellement servis pendant la Guerre. Dans les années cinquante, j’allais me promener avec Papy Paul dans la campagne avec ce vieux clou. Ensuite, ça a été ton père avec ton oncle Pierre qui allaient draguer les filles. Maintenant c’est toi, mon grand Damien. Comme le temps passe vite ! mais c’est dangereux pour toi qui ne voie pas.

-T’inquiète Mamie , je monte derrière mes yeux seront Louis.

-Dans ce cas , je fais confiance a Louis…

- Merci, Mamie dit Damien prêtant sa joue à sa grand-mère pour qu’elle y dépose une caresse.

- Bien ! Que voulez-vous regarder ce soir à la télé ? Variétés sur la Une ou film avec…Delon sur…Arte ?

- Delon ! Oui, j’adore, cria Louis, c’est quel film ?

- " Quand la femme s’en mêle " d'Yves Allégret !

- 1957 ! Son premier film. Il avait dix-sept ans. Ensuite, il a tourné avec Romy Schneider " Christine " et " la Piscine " plus tard. En 1958. C’est là qu’il l’a connu et ils se sont mariés, l’année d’après

- Non, fiancés seulement ! En mars 59 ! corrigea Madeleine. Mais quelle culture, mon garçon ! Où as-tu appris tout cela ?

- " Les Cahiers du cinéma ", mon père y était abonné et j’adore cet acteur. Je suis fan. Il était si bon acteur

- et si beau, coupa la vieille dame en poussant un soupir.

.

- Ton petit copain est vraiment formidable, Damien ! Je l’aime bien ce petit gars ! Eh bien, c’est d’accord ! On débarrasse la table et on se met devant.

Damien n’avait rien eu à dire mais il aurait donné n’importe quoi pour assister à un spectacle assis à côté de Louis.

Après une heure, les yeux du garçon se fermaient tout seuls Doucement, sa tête glissa sur l’épaule de son copain qui passa son bras autour de ses épaules comme pour le protéger.

Quand le mot " FIN " s’inscrivit en lettres blanches sur l’écran, Louis secoua le garçon pour l’éveiller. Damien lui sourit et bailla.

- Va te coucher Damien, lui dit sa grand-mère.

- Bonne nuit Mamie, répondit le jeune en l’embrassant.

Mais le fait de se lever, de se déshabiller et de se brosser les dents l’avaient réveillé tout à fait.
Louis rentra dans la chambre quelques minutes plus tard, uniquement vêtu de son caleçon et se glissa sous les draps..

- Tu viens pas prêt de moi ce soir ? interrogea Damien à l’adresse du garçon.

- Tu veux de moi ?

Damien ouvrit le drap pour l’y inviter. Louis sauta dedans en se colla contre mon flanc.

- Toi a mes côtés , j’ai plus sommeil? dit-il en souriant à Louis

- Bah, en fait, je n’ai pas sommeil non plus.

- Alors ?

- Est-ce que tu m’aimes, Damien ?

- Bien sûr ! Quelle question !

- Eh bien, je vais t’apprendre quelque chose que tu vas aimer ! Tu me fais confiance ?

- Oui, murmura le jeune dans un souffle.

Il présumait que son camarade allait lui apprendre quelque chose de rare et déjà son membre commençait à prendre de la vigueur.
Louis prit son ami dans ses bras. Il le baisota longuement, sur ses lèvres, sur ses yeux, sur son nez. Il joua longtemps avec sa bouche et ses lèvres, les happant, les suçant, les mordillant, dans le but avoué de mettre le garçon dans un état d’excitation forte.
 Damien répondait en gémissant légèrement. Louis passa rapidement une main sur le sous-vêtement de son jeune amant et constata que sa virilité avait acquis une splendide érection. Il plaqua la main ouverte dessus et le malaxa en même temps qu’il plante sa langue dans sa bouche vorace.

Damien ondula et frémit de plaisir et se soumettait entièrement aux caresses de son merveilleux ami. Les mains de Louis volèrent sur sa peau échauffée et sa bouche le dévora de mille et un baisers légers.
En un rien de temps, mais avec une légèreté calculée, Damien fut nu et offert. Louis se débarrassa de son caleçon et se vautra sur son corps frémissant. Il colla son sexe contre celui du garçon et ondula doucement contre lui. Damien geignait en râlant, Louis glissa jusqu’au membre turgescent et l’aboucha sans délai. Damien se cabrait pour mieux envahir sa bouche gourmande, la tête défaillante, le cœur battant, le corps vibrant.

Après un long moment de cette délicieuse fellation, Damien savait qu’il allait partir au pays du bonheur

- As-tu des capotes ? demanda Louis à son oreille.

- Non, souffla le jeune brisé de désir.

- Ce n’est pas grave, je sais que c’etait pas au programme mais je t’aime assez pour ça.

Louis se redressa, s’assit sur les cuisses chaudes, saisit le sexe distillant une rosée abondante, s’en frotta l’entrée noire et poussa pour accueillir le gland énorme de son futur amant. Il descendit très lentement sur la colonne de chair jusqu’au bout et commença un mouvement ascendant lent et long.

Dix minutes de cette somptueuse chevauchée menèrent les deux amis à l’extase. Leurs gémissements furent plus audibles et Damien prononça une suite de mots incohérents avant de se raidir et d’exploser dans le ventre de son partenaire adoré. La chaleur de la semence montait haut dans le conduit intime et provoqua une contraction du pénis de Louis dont Damien se saisit et serra convulsivement à l’aune de sa jouissance.
Louis crissa en râlant et se répandit en une seule mais longue giclée de sperme clair, maculant la poitrine du jeune garçon.
 Damien ouvrit la bouche pour jeter un dernier cri de plaisir et reçut une lampée de ce lait épais.

Ils tombèrent l’un sur l’autre pendant un long moment et après une rapide toilette dont le tee-shirt de Damien fit les frais, ils se coulèrent l’un contre l’autre pour une nuit de sommeil réparateur.

Damien venait de perdre sa virginité lors du premier rapport sexuel de sa vie d’homme avec la personne qu’il aimait le plus au monde. Damien n’était plus vierge et il était heureux à l’extrême.

Au petit matin,
 Louis alla se soulager discrètement. Il se rallongea doucement pour ne pas éveiller son jeune amant, mais aperçu son petit trésor endormi dans sa couverture de poils noirs. Aussitôt, il en eut envie et se coulant en tête-bêche, engloutit le gros doigt de chair pour en téter le mâle produit. Damien se réveilla en percevant les premières sensations du plaisir.

Un gros quart d’heure plus tard, ils se régalèrent d’un grand bol de café…au lait et de belles tartines de pain grillé

Ils partirent vers dix heures du matin, lestés d’un panier repas dans lequel Mamie Madeleine avait mis un demi-poulet, un gros paquet de chips, du fromage et des fruits. Ils avaient pris une vieille couverture pour s’étendre au cas où.

Le tandem les menèrent à un petit bois à l’orée duquel ils prirent leur repas. Puis, la chaleur de la journée les amena à se mettre nu avant de s’étendre de tout leur long sur la couverture pour une courte sieste. Ils étaient dissimulés du chemin par un beau buisson de baies sauvages et purent, sans crainte, se livrer au sommeil.

Damien, Louis, se rapprochèrent pour se câliner un peu.

Le bien-être ressenti lors de la nuit précédente, l’intense privilège que Damien eut de posséder son ami pour sa première expérience sexuelle, la douce chaleur de cet après-midi de Printemps, tout le poussait contre Louis, le superbe Louis, le merveilleux Louis. Sa tête se colla contre sa poitrine et sa main droite fureta dans l’entrejambes. Louis l’enserra dans son bras et tournant le visage vers lui, demanda :

- Tu cherches quelque chose là?

- Oui, murmura le jeune garçon, l’aventure ou peut-être un trésor.

- Mais, je vous en prie jeune homme, cherchez et…bonne chance ! Mais je vous préviens, je n’ai pas de carte au trésor.

- Vous en faites pas, j’trouverai, conclut Damien en posant un baiser léger sur les lèvres du jeune homme

Quinze secondes plus tard, Louis nu et offert aux caresses de son petit copain. Damien commençait à acquérir une solide expérience en matière de câlins. Trois minutes après, Louis bandait comme un taureau. Huit minutes plus tard, en proie au début de l’extase. il ondulait au bord de l’explosion, le sexe embouché dans le gosier du garçon.

Damien sentait les frissons de plaisir parcourir le corps de son amant, il s’arrêta d’un coup, comprima la racine, déboucha le sexe palpitant et demanda :

- Je voudrais bien savoir ce que tu as ressenti quand…tu…, quand j’ai…quand je t’ai…

- Quand tu m’as pris ?

- Oui, dit-il en rougissant.

- Mais tu n’es pas prêt pour ça !

- Pourquoi, tu l’étais toi ?

- Eh bien…(Louis semblait gêné à son tour, il regarda ailleurs comme pour chercher ses mots) tu le veux vraiment ?

- Oui, souffla Damien.

- Bon ! Je vais y aller doucement.

Il fit mettre le petit sur le dos, écarta ses jambes, roula les vêtements en boule pour élever son bassin.

Après les baisers tendres, les caresses agréables, la langue dure et les doigts fureteurs, l’endroit secret du garçon fut détendu et accueillant. Il geignait en se masturbant lentement. Il ondulait, les yeux révulsés, le cœur palpitant.

- Viens…Louis, s’il…te…plaît, viens…J’en ai …envie !

Louis se positionna, se servit de son précum pour lubrifier la rosette frémissante et embrassant Damien voluptueusement, entra dans la vallée sombre très doucement. Le gland violacé s’introduisit avec un petit floc qui tira une grimace douloureuse du jeune garçon, puis, la hampe glissa lentement, longuement, délicatement à l’intérieur de lui.


- Pousse, mon bébé, pousse et respire rapidement, suggéra Louis qui progressait peu à peu.


Damien obéit en relevant bien haut ses jambes et soufflant comme un petit chien. Quelques secondes plus tard, Louis s’arrêta en poussant un profond et long soupir quand les soies de son pubis caressèrent les fesses satinées du garçon offert.


- Merci…mon…bébé ! Je suis…en toi ! J’aime ça, tu es…Je t’aime mon grand…je t’ai…me !

- Viens ! cria Damien. Viens…vite !

Louis commença à se mouvoir doucement le long de l’intestin accueillant et serré. Damien était, bien entendu, vierge de là aussi. Mais le fait d’accepter le mandrin fort de son camarade était une preuve d’amour magnifique dont Louis apprécia la grandeur. Il voulait que cet instant soit magique pour eux deux. Damien, parce que son amour pour lui devait être récompensé et que sa première fois devait être une apothéose. Lui, parce qu’il était si bien avec ce jeune qu’il aimait aussi depuis un bail - sans se l’avouer – et parce qu’il se souvenait de sa première fois avec son cousin, il y a deux ou trois ans.

Le jeune possédé semblait souffrir de son empalement, mais ses geignements et sa manipulation sur sa propre hampe prouvaient qu’il ne voulait pas cesser cet acte d’amour intense.

Louis fut doux mais plus rapide, sortant presque entièrement de la cavité intime et replongeant jusqu’au rectum. Le frôlement de son gland sur la jeune prostate provoqua vite un écoulement délectable qui lubrifia l’intimité. Damien râlait en étant secoué de spasmes désordonnés. Louis s’activa quelques secondes et se raidit, attendant le déferlement de la jouissance de son amant.

- Lou…ouii, je…viens ! Lou…ouii, je t’ai…aaahhhhh !

Il ne termina pas le mot tendre. Serrant les dents, fermant les yeux, crispant ses muscles, se tendant, l’orgasme le ravagea. Plusieurs jets zébrèrent la poitrine du jeune homme avant de consteller son buisson touffu de poils noirs.

Louis regardait le visage torturé, et apercevant le sourire ravi de l’amant satisfait, souffla en criant :

- Damien, je…viens…je….viens …en toi…lààààà main…te…nant !

Comme à l’accoutumé, Louis éjacula une seule mais très longue et épaisse coulée de son sperme que le garçon ne put contenir entièrement. Louis se crispa pendant toute sa jouissance que Damien accompagna en lui caressant le dos et maintenant ses fesses pour qu’il reste collé à lui.

Leur orgasme dura quelques secondes mais ils restèrent ainsi, plantés l’un dans l’autre, pour que la magie de l’instant fut gravée dans leur mémoire à jamais.

Louis, les yeux clos, reçut le baiser délicat que Damien et tendit ses lèvres pour qu’il l’embrassa plus langoureusement.

Ils roulèrent alors sur le côté et s’octroyèrent un petit temps de repos.

Quand ils s’éveillèrent, le soleil déclinait derrière la petite colline. Il était temps de rentrer.

La nuit suivante, ils allèrent se coucher juste après le film. Ils embrassèrent la mamie gâteau qui leur promit une virée à Guéret au Mac DO, le lendemain.

Leur nuit fut courte. Après un cunnilingus royal, Louis s’offrit à Damien dans un somptueux orgasme. Ils s’endormirent quelques heures.

Au milieu de la nuit, un miaulement terrifiant les réveilla ; le chat des voisins ayant trouvé un intrus dans son domaine. Il était trop tôt pour se lever et trop tard pour se rendormir : c’est Louis qui chercha, et trouva, le chemin du cœur du jeune garçon, désormais expert dans l’art d’aimer et de recevoir.

Au petit matin, une branlée fabuleuse les terrassa un peu plus que prévu : ils ne se levèrent qu’à neuf heures, les yeux un peu " frisés " comme disait Mamie.

Ils passèrent une excellente journée en ville et en achat nombreux pour les trois.

Mamie-Madeleine se déplaçant que rarement dans le cœur de la capitale limousine, la place pour se garer devenant rare et les places de parkings souterrains hors de prix.

Ils prirent leur repas comme prévu. Damien rayonnait entouré de sa grand-mère qu’il adorait et de son amant qu’il dévorait des yeux (sans le voir), il vivait les plus beaux jours de sa vie.

- Ça va, mon petit ? C’est bon ? demanda Mamie inquiète du sourire de ravi de crèche de son petit-fils.

- Oui, oui, mamie, ça va ! répondit-il en rosissant sans lâcher des yeux son ami, j’adore les Chiz burgeur, je me régale !

- Eh bien, qu’est-ce que ce serait si tu étais malade !

Louis le regardait en fronçant les yeux, dit : " Oh, non ! Pas maintenant, quand même ! ", Damien lui répondant sans que Mamie puisse entendre " Toi, tu perds rien pour attendre. Ce soir, tu vas voir ce que tu vas prendre ! " ; il lui tardait de rentrer.

La soirée fut aussi agréable que les autres, Mamie avait mis sur la table quelques cochonnailles et autres salades vertes dont ils firent une ventrée. Pendant le film, affalés sur le canapé, ils partirent rejoindre Morphée, mamie dans le fauteuil et les garçons la tête de l’un dans l’épaule de l’autre, la journée dans la capitale les ayants anéantis de fatigue.

- Allez vous coucher, les enfants, il est tard ! clama Madeleine qui s’extirpa de son fauteuil pour éteindre la télé.

Vingt minutes après, nos deux beaux amis étaient vautrés l’un sur l’autre, les lèvres de l’un collées aux lèvres de l’autre, la langue de l’un caressant celle de l’autre.

De nouveau, les corps s’enflammèrent. De nouveau, les esprits s’enflammèrent et le sang battait les tempes. De nouveau, les sentiments atteignirent le paroxysme du bonheur et enfin l’orgasme fut intense

Les jours qui suivirent furent ponctués de sorties dans la verte campagne

Louis adore l’architecture -, en pique-niques champêtres et en siestes coquines où chacun des deux se surpassaient pour le plaisir de l’autre.

Les nuits peuplées d’activités érotiques où chacun des amants recherchait des idées ou des positions improbables pour la plus grande jouissance de l’autre

A SUIVRE....

Par simon - Publié dans : histoire racontée
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Dimanche 17 mai 7 17 /05 /Mai 10:30
cette histoire remonte de quelques années en arrière , 2 jeunes ados à l'époque et qui aujourdh'ui vivent ensemble et partage la même femme MIchelle qui leurs a donné a chacun un fils .
raconté par les auteurs et écris en collaboration de  Jordy    avec moi et agrémenté de quelques photo du net.



Il etait une fois:


Damien est un jeune garçon

En fait, c’est un ado de 15 ans passés, assez grand pour son âge – un mètre soixante dix pour 60 kg , le cheveu noir et l’œil marron clair,
 Il porte des lunettes sombres, ce qui le rend vulnérable, et est d’une timidité presque maladive.

C’est plutôt un bon élève et même s’il ne fait pas des étincelles, ces notes se situent dans la moyenne supérieure.

Bien qu’enfant unique, il n’est pas prétentieux mais reste résolument asocial quand il faut fréquenter les autres.
 Le fait d’avoir peur de mal faire ou de mal dire le rend silencieux et farouche, baissant la tête et regardant le monde par le bas.


Pourtant, Damien a un secret.
Il est amoureux.
Oui, c’est ça, " amoureux " !
Amoureux fou de…Louis.





Il s’en est aperçu, il y a un an déjà. Alors, que pour la première fois de sa vie, il avait été bousculé les garçons peu scrupuleux face a son handicap que ces jeunes connaissaient.

Eh ! oui Damien est non voyant ! et se rend au lycée pour suivre les cours orales , les leçons écrite sont traduite en braille.

La plupart l’accueillit sans débordement, ni enthousiasme particulier. Il n’avait pratiquement pas d’amis. Certains lui souhaitèrent le bonjour et un " comment ça va ? " dont ils n’attendaient pas la réponse.

Seul, Louis vint lui serrer la main avec un sourire radieux et un vrai " je suis ravi de te revoir ! " qui émut le jeune garçon.

- Tu as l’air mieux, j’suis content ! Tu es revenu juste à temps pour les derniers jours avant l’exam blanc. As-tu besoin des cours ?

- Eh bien ! Oui, je crois !

- Ok ! après les cours de ce matin j’ texpliquerai..


Louis avait cette particularité d’être toujours souriant et aimable avec tout le monde, profs et élèves. Il n’était pas une flèche au niveau scolaire mais savait se tirer d’un mauvais pas par une pirouette amusante ou d’une répartie du tac au tac, sans jamais être injurieux, insolent ou désagréable et le faisait chaque fois avec fort bon goût.


Ce jeune homme de seize ans passés avait un charme fou qui attirait la sympathie et l’admiration des filles, qui s’évanouissaient presque, quand le beau brun posait son regard clair sur elles.


La veille des vacances de Pâques, la famille de Damien terminait de dîner quand on sonna à la porte. Sa mère alla ouvrir. Elle revient dans la salle à manger accompagné de…Louis

- Damien, ton ami voudrait te parler.

- Euh ! Enfin, non, Madame ! C’est plutôt à vous que je voudrais parler.

Damien s’était levé précipitamment, renversant sa chaise. Son beau copain était ici, chez lui ! son cœur battit plus vite.

- Que puis-je faire pour vous, euh…Louis ? dit le père de Damien en lui serrant la main.

- Eh bien, voilà, monsieur ! Ma mère part en croisière avec son travail , et ma sœur aînée ne peut me recevoir chez elle. Je…J’avais pensé que…Enfin voilà, Damien et moi on s’entend plutôt bien au Lycée, j’avais pensé que…vous accepteriez que je passe les vacances avec Damien.

- C’est que… Damien part chez sa grand-mère dans la Creuse, demain matin, dit le père.

- Oui, oui, je sais, m’sieur ! J’en ai parlé avec ma mère. elle ne veut pas que je reste seul dans la maison pour aussi longtemps, alors elle m’a demandé de trouver une solution. Bien sûr, elle paiera ma part des frais et puis j’ai de l’argent de poche.

- Euh…eh bien, je ne sais quoi dire ! Qu’en penses-tu Marthe ?

- Ben, si Damien et ta mère veulent bien, je ne dis pas non ! répondit Maman

- Ma mère est d’accord, si vous êtes d ‘accord. Oh, dites oui, Monsieur ! supplia Louis.

Un coup de fil à la grand-mère et l’affaire était faite. " Quand il y en a pour deux, il y en a pour trois ", avait dit la vieille dame.

Le lendemain, les deux garçons se faisaient face dans le train qui les emmenaient à Guéret. Louis, absorbé par les problèmes de Soduku de sa revue de jeux, était presque affalé sur le siège, ses genoux entre ceux de Damien.

Depuis, la veille le jeune garçon s’interrogeait sur le bonheur qu’il était en train de vivre. Son fantasme vivant allait habiter deux grandes semaines avec lui, sous le même toit que lui, à quelques centimètres que lui, peut-être dans…Ne rêves pas, garçon ! se dit-il.

- J’peux te demander quelque chose, Louis ?

- Ouééé ! signala le jeune sans quitter sa BD.

- Pourquoi moi ? Pourquoi passer tes vacances avec un ringard non voyant ? pourquoi viens-tu avec moi chez ma grand-mère ? demanda Damien à voix basse.

- Ça te dérange que je sois là ?

- Bah, non ! Mais…je comprends pas. Alors, pourquoi ?

- Parce que les copains qui n’en sont pas. Parce que les filles qui allument mais qui n’éteignent pas. Parce que rester seul pendant que les autres s’amusent. Parce que toi !

- Quoi moi ?

- Parce toi tu es calme, tu ne demandes jamais rien, tu reste à part et que tu me regarde .heu..… Parce que je te trouve sympa.

- Euh…d’abord, je te vois pas, je sens ta présence!

- Exact ! mais les autres jours, si ! Ne mens pas, je te vois !

Damien rougit et lança un regard apeuré autour de lui..

- Ça te va comme explication, mon grand ? demanda Louis en lui adressant un beau sourire.

- Oui, oui ! répondit Damien en fixant la vitre ou le paysage défilait rapidement.



Une heure après, ils arrivèrent sur place où Mamie Madeleine les attendait.

Elle avait préparé la chambre bleue pour le jeune invité et la chambre du grenier pour son petit-fils.

- Non, non, Mamie ! Ne t’en fais pas ! Je dormirai sur le canapé-lit de la chambre. Tu comprends, Louis ne connaît pas la maison , il serai ma vue , on va discuter le soir et là on pourra le faire sans te déranger et sans mettre le bazar dans deux chambres.

- Très bien, jeune gens ! Alors, on fera comme ça. Maintenant, à table !

Après le déjeuner, Emmitouflés dans leur parka, ils marchèrent à travers champs. Ils se mirent rapidement à leur aise, le soleil de cette mi-avril chauffant plus que prévu.. Ils s’arrêtèrent à l’orée du petit bois assez dense pour s’y cacher ou pour se protéger du soleil. Louis en nota l’emplacement dans un coin de sa tête

Louis fut un guide agréable à Damien, ils parlèrent de tout et de rien : études, passions, avenir. Leur marche les avait bien fatigués.

Damien restait étonné de ce que son idole était là dans son univers. Chez sa grand-mère. Pratiquement seul avec lui. il n’arrêtait pas d’y penser et s’imaginait des choses qui n’auraient jamais lieu que dans ses scénarii les plus fous, mais qui donnait de l’ampleur à son boxer.

- Dommage qu’on ait pas de moyen de locomotion, regretta Louis, on pourrait visiter les villages voisins…et voir ce qu’on peut y trouver…si tu vois c’que j’veux dire ! ajouta-t-il en lui adressant un clin d’œil complice.

- Ah, au fait ! Je crois qu’il y a un vieux clous dans la grange. Viens, on va voir !

Effectivement, ils trouvèrent un vieux tandem rouillées dans la bâtisse en bois. Ils les examinèrent et conclurent qu’une bonne journée de travail le remettrait en état de marche.

L’heure du repas arriva. La grand-mère de Damien était heureuse d’avoir ces charmants garçons à sa table ; elle qui vivait seule dans cette grande maison.

- Excusez-moi, Madame ! intervint Louis. Nous avons trouvé un vieux tandem dans la grange. Est-ce que nous pourrions l’ utiliser pour visiter les alentours ?

- Bah, oui, mais ! Il est vieux et aurait besoin d’une sérieuse remise à neuf ! reprit la mamie.

- Pas de problème, Madame ! J’suis un spécialiste !

- Hé, hé, jeune homme ! Pas de " Madame " ici ! Pour toi, je suis Mamie ou Madeleine. Le Madame ça sent le sapin, non ?

- Très bien, Mad…euh, Madeleine ! Euh, non, c’est trop familier ! Je vous appellerais Mamie Madeleine, si vous êtes d’accord ?

- Va pour Mamie Madeleine ! Et à partir de maintenant, c’est valable pour toi aussi mon petit Damien.

Le repas se termina dans cet accord. Les jeunes allèrent se coucher. Le lever tôt, le trajet en train et la ballade avaient raison de leur résistance.

- Tu as envie de dormir tout de suite ? demanda Louis.

- Bah, non, en fait !

- Alors, je viens dans ton lit qu’on discute un peu

Damien n’en revenait pas. Louis, le beau Louis, le sublime Louis s’invitait à me rejoindre dans mon lit ! Oh, la chance !

Vingt secondes plus tard, j’ étais allongé à côté du plus beau mec du lycée simplement vêtu d’un caleçon bleu marine.

Il n’osait regarder son compagnon. Damien avait tiré la couverture jusque dessous son menton, le regard pointé vers l’avant et espérant que sa virilité, qui tendait son sous-vêtement, ne serait pas remarquée par le bel adolescent

- Alors, qu’est-ce que tu en dis ? interrogea Louis.

- Euh…quoi ?

- Le tandem, on les remet en état demain et après-demain on part en ballade avec. Tu connais un garage ou un vendeur de vélos, dans le bled ?

- Euh…quoi ?

- Un vendeur de vélos, dans le village, y’en a un ?

- Ben, j’sais pas !

- On demandera a Mamie ?.

- Euh…quoi ?

- Ecoute, Damien ! Ça fait trois fois que je te demande quelque chose et ça fait trois fois que t’as pas compris. Y’a un problème ?

- No…non ! bredouilla le pauvre Damien tendu à l’extrême.

Son sexe se mit à battre la mesure sous la courtepointe et cela n’échappa pas à Louis qui rit.

- Oh ! Ce n’est que ça ! dit-il d’un air suffisant, moi aussi, je suis tendu, regardes !

Il poussa la couverture et découvrit son bas-ventre en belle situation. , il prit la main de Damien regardait au touché, exorbité et tremblant, l’appendice de son ami dont il avait si souvent rêvé.

Dix secondes plus tard, Louis était entre ses cuisses et embrassait légèrement son ventre et sa poitrine.
 Damien frissonna en tremblant plus fort.
Les mains de Louis avaient déjà pris possession de ses hanches, de ses tétons et de ses fesses. Damien gémissait en ondulant sur le lit, il s’enfonça davantage sur la couche, en posant ses mains sur la tête de Louis en massant doucement ses cheveux bruns. Le grand garçon rampa sur mon corps et vint se positionner face à mon visage.

Il regarda longuement Damien qui défaillait de plaisir et approcha lentement ses lèvres des miennes. Damien ouvrit un peu la bouche et ferma les yeux. La langue de mon ami passa mes dents et chercha ma propre langue. Il la caressa de la pointe et la lécha très doucement. C ‘était la première fois que je recevais un vrai baiser, mais en plus, je le recevait d’un garçon, et de plus, du garçon que j’ aimais. je soupirai et me donna entièrement laissant mon corps épousé par celui de mon ami très cher.

Le membre fier de Louis - plus imposant que le mien – se cala contre mon sexe palpitant. Damien referma ses bras autour du cou de son partenaire et répondit enfin au baiser tendre qu’il recevait.

Puis, Louis se fit explorateur, glissant entre les cuisses ouvertes du jeune garçon et descendit le caleçon avec les dents. Damien se cabra offrant sa virilité exacerbée au regard de celui qu’il aimait.

Louis agita le beau sucre d’orge quelques secondes et fixant le garçon frissonnant de désir, l’aboucha peu à peu.

Damien ,dans un brouillard vaporeux , sentait , enfouie dans sa bouche la tige sexuelle magnifique de son bel étalon. Une dizaine de succions appuyées eurent raison de la résistance du jeune garçon totalement évanescent. Sa jouissance dura longtemps et bascula à coté de Damien.

Lorsqu’il reprit conscience, Damien était assis sur ses cuisses et se manipulait lentement. Le magnifique sceptre à une dizaine de centimètres du visage de Louis.

Quand il sentit que Damien arrivait au terme de son extase, il remplaça la main par la sienne et décalotta entièrement et fortement le gland vermillon, trois fois de suite. Damien se cabra et ouvrit sa cascade sur la poitrine de Louis, un seul long jet intensément, mais très abondant.

Damien s’écrasa sur le corps de son ami, baisa ses lèvres et s’endormit en se serrant dans les bras du jeune garçon

Au moment où l’aurore griffait de rose le noir de la nuit finissante, Damien se retourna sur le côté, mais le bras de Louis passé autour des ses épaules l’en empêcha.

Il s’éveilla pour observer la situation et vit par le toucher son bel apollon, endormi, beau et rayonnant, son éternel sourire attaché à ses lèvres pourpres. Vraiment, c’était un beau garçon et Damien en eut immédiatement envie. Il approcha ses lèvres des siennes et y posa un très léger bisou. Louis ne bougea pas. Damien roula contre lui et se blottit contre le flanc de Louis. Il embrassa l’aisselle fournie et le sein de l’ami très cher, il plaqua sa main légère sur son torse chaud et y fit glisser la pulpe de ses doigts sur sa vallée, effleura la pointe des tétons brun rosé, et descendit vers le trésor caché.

Louis ressentit la douce caresse et s’étendit sur le dos, se repositionnant à son aise pour la suite d’un sommeil agréable. Damien glissa sous le drap et posa sa tête à la hauteur de sa poitrine Il posa sa main légère sur le ventre soulevé par le souffle lent du beau dormeur, il osa un doigt dans le trou du nombril et longea la petite ligne de poils qui dissimulait à son regard habitué à l’obscurité, le trop bel objet que son ami gardait entre ses jambes soyeuses.

Il le saisit enfin et à force de légères pressions, redonna à ce morceau de chair tendre, la dimension d’un sceptre majestueux. Louis avait gémi un peu, mais regagné les bras de Morphée dans la seconde suivante

Damien maintint alors le tube vivant dans sa main largement ouverte et avançant les lèvres y déposa un baiser léger, puis un deuxième plus appuyé et après un moment, il ouvrit la bouche pour le déguster. Il lécha délicatement le gland chaud et longea la couronne de la pointe ferme de sa langue. Louis ondula en soupirant.

Alors, Damien se risqua à une nouveauté sur l’objet de sa convoitise : une fellation. Il n’avait jamais osé pareille privauté sur aucune créature vivante et ne savait comment réaliser cette prodigieuse caresse que tout homme apprécie et qu’il avait adoré la veille.

Il commença à sucer le sexe raidi comme une sucette, puis joua de la pointe de la langue sur le frein et le méat. Il en fit glisser la largueur sur toute la longueur de la hampe offerte et absorba les deux testicules gonflés de sève juvénile.

Louis ondula encore en frémissant et allongeant les jambes comme pour mieux s’offrir aux merveilleuses sensations qu’il ressentait dans son rêve.

Damien pensant que son camarade accédait au plaisir, crut devoir s’activer davantage sur la tige de chair qui s’agitait seule. Il provoqua une série de succions intenses comme pour décoller le bout rose du reste de la colonne.

Louis se raidit soudain et poussa un long soupir plaintif, il se déversa en une longue et interminable coulée de sa semence chaude dans le gosier de Damien qu’il n’eut pas le temps de prévenir à temps. Le jeune garçon n’eut d’autre choix que de déglutir rapidement, avalant la saveur sucrée de son plaisant ami.

Louis se détendit en maintenant la tête du petit contre son ventre un bref instant. Puis, il le tira doucement jusqu’à ce qu’il atteigne son visage et lui murmurant un " merci ! " lui offrit un baiser passionné, goûtant à son tour l’onctuosité de sa crème.

.Ils conclurent leur baiser et s’endormirent dans les bras l’un de l’autre, quelques temps.

Au matin, ils furent réveillés par l’odeur des tartines grillées et du café au lait.


A SUIVRE .....

Par simon - Publié dans : histoire racontée
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Mercredi 1 avril 3 01 /04 /Avr 10:24

2009

cette histoire est une pure fiction l’age des participants  est volontaire pour corsé l’aventure

cette information vous est donné car certaine personne mal intentioné pourait juger ça pour de la pédophilie et c’est loin d’être le cas

FICTION ou un Rêve

Jules le fils de Louis (le roi) arrivait déjà a ces 17 ans il est venu passer les vacances de pâques .pour quil puisse jouer javais pris un de mes petits fils Axel 18 ans .

Nous avions été au cinéma laprès midi , sur le trajet du retour je leur avait promis de jouer avec eux après leurs avoir fait un gâteau.

Quand des enfants sont a la maison je ne reste pas a poile (comme dhabitude) mais en boxer ,les enfants mavaient imité et sétaient mis en slip.

Axel se mis a poile et voulais que Jules fasse de même

Je les entendais rire aux éclats en observant leurs petites queues.

Jules dit " Axel ... ton père joue -t-il avec ta quéquette ? ".

Non répondit-il " pourquoi ton père joue avec la tienne? ".

Oh! Oui et je lui met dans le cul quand il me le demande et jaime tu veux que je te montre?.

Ça doit faire male dit Axel et toi il te la déjà mise?.

Non il me dit toujours quil faut être un homme , mais tu sais on peut essayer chacun son tour pour devenir des hommes.

Dit grand père tu peux nous aider a devenir des hommes je voudrais des conseilles dit Jules.

Ah !.dis-je " vous êtes a la bonne école ".

Jules avait installé Axel lui maintenant les jambes sa petite bite bien raide prés a pénétrer.

Je dit "stop les enfants ça se prépare!"

Je dis a Jules " il faut mettre un peu de gel avant pour faciliter le passage et travailler lanus avec le doigt.

Bon le temps que tu fait cela je vais te sucer pour que ta bite reste bien raide.

Je mis sa petite bite bien raide dans ma bouche et lenfonce a fond pour pouvoir gober ses petite couilles ,tous était bien rentré dans ma bouche et je me mis a le pomper , il poussa des râles et frémissait puis je me retirais en disant tu y va en douceur car cest la première fois.

Axel grimaçait a la pénétration de la bite de Jules et pris vite plaisir son petit cul venait dêtre dépucelé.

Dit grand père " cest a mon tour "

Normal il ne faut pas de jaloux , alors prépare toi aussi lanus de Jules et je vais te pomper comme je lui ai fait.

Quand tu es prêt tu te met assis

Jules se mettra assis sur ta queue qui devrait rentré lentement.

Jules ainsi empalé gémissait et poussait des aaaaaah! De plaisirs.

Axel avec une main frottait le bas ventre de Jules , celui ci frissonnait et se cabrait.

Je posa une main sur les tétons naissant de Jules ,lautre sur ceux dAxel et je me mis a les pincer.

Tous les deux en cœur criaient " que cest bon grand père continue ".

Dans mon boxer je ressentais le jouissance de mes petits montres , ma queue gonflait et ils sen aperçurent.

Je métais assis sur le canapé ils viennent sasseoir de chaque coté de moi et membrassèrent.

Leurs mains descendaient sur mon torse lentement vers mon boxer , leurs bouches sétaient arrêté sur mes tétons quils mâchonnaient en cœur ,ma queue bandée a bloque ,leurs mains soulevaient lélastique du boxer pour la libérer et sécriaient " ah la vache quelle bête " puis me prirent chacun une couille et la mirent dans la bouche en suçant , je ne résistais pas et malgré mes 64 ans je déversais mon jus et sempressèrent davaler et léchèrent mon gland et ma bite qui ramollissait pour devenir presque la même taille que la leurs.


Dans les semaines qui suivirent…..


Jules veut garder la tradition et aménage un salon réservé a ses nouvelles conquêtes jeunes ,amis ,cousins , copains et de plus en plus de copines …..

Deviendrais-tu hétéro ?..

Non ! Pas du tous dit-il "  il en faut pour tous le monde toi aussi grand père tu baisait les mecs et parfois les filles ".

Bien sur répliquais je !!!!!

Dans les mois qui suivirent je fis la connaissance de Maria-Rosa 18 ans aide a domicile , origine Portugaise ,(un petit cul ! Huuummm!….) et une paire de nichons (bien développés pour son age).

Elle viendra tous les jours 2 heures le matin et l’après midi.

Les premiers jours elle portait un pantalon moulant qui mettait son cul en valeur ,ma queue avait réagit et je lui demanda par la suite de venir en jupe.

Pas de problème ,une mini la jupe ? Dit elle.

Si tu veux ! , mais pas de collant ni bas tes jambes sont si jolies……

Le lendemain ,elle arriva en super mini jupe et corsage de dentelle qui laissait pointer ses miches sans soutien gorges.

Ça vous va comme ça ? Dit elle…

Extra ,je n’en attendais pas tant !…..

Quand elle se baissait pour le ménage ,je pouvais voir sa raie cachée par la ficelle d’un string.

Ce qui déclencha une réaction de ma queue…..

Elle s’en aperçu et se mis a sourire (son visage était merveilleux).

Les jours , les semaines , les mois passaient ,elle était de plus en plus belle et faisait son travail avec cœur.

Un après midi elle dépoussiérait le salon des rendez vous de Jules quand celui ci arriva ,avec le bruit de l’aspirateur elle ne l’avait pas entendu entré . A la vue de sa croupe , il s’approcha en silence et lui passa la main au cul. Elle tressauta et lança sans regarder " mais monsieur Simon si vous désirez , il suffit de demander? ".

Jules éclata de rire très fort , elle se retourna et surprise dit " excuser ,je croyais que……" , mais Jules ne la laissa pas terminer sa phrase.

C’est plutôt moi qui doit s’excuser , mon geste était déplacé.

Peut être dit elle , mais j’aurais aimer que ce soit monsieur Simon.

Grand père ne vous la pas encore fait !….j’en crois pas mes oreilles…..je vais le rappeler a l’ordre ajouta-t-il.

Oh ! Non il est si gentil et vous ……… Vous resterez ce soir ? Dit-elle.

Oui !…. Oui ! Pourquoi ?

Vous n‘y avez pas pensé c‘est ça fête aujourd’ hui …..

Non ! Mais je comprend pourquoi Axel ma dit de venir faire une soirée chez grand père ,il doit arriver vers 18 heures.

Axel arriva comme prévu , Jules s ‘empressa de lui présenter Maria-Rosa .

Les deux garçons viennent me voir et me disent " grand père qu’elle canon, tu dois bander dur avec un joujou comme ça ? ".

Je ne répondis pas , mais mon sourire m’avait trahis .

Quelle age a-t-elle demandèrent-ils.

Votre age mes enfants répondis je.

Le soir venu Maria-Rosa entra ,portant un grand moka, et les garçons le champagne que fut ma surprise de les voire tous les deux en string sans rien d’autre sur le dos et qu’elle ne portait pas le sien , a la lisière de la jupe on pouvait voir sa petite chatte poilue .elle se pencha pour couper le gâteau et nous fit découvrir sa petite rosace bien serrée. Les queues de nos deux garçons sortirent de leurs prisons comme montées sur ressorts. Elle prit le couteau couvert de crème au beurre et tapa sur chaque bite en disant " soyez sage c’est pas encore le moment ! ".

C’était ma fête et cela m’amusait beaucoup , la soirée s’annonçait belle… ….

Vers 23 heures la fête battait son plein ,le champagne et la vodka avaient détendue l’atmosphère

Les deux garçons se suçaient mutuellement ,Maria-Rosa était nue comme moi d’ailleurs et me branlait avec ses seins ma queue qui coulissait entre ces deux mamelons .

Jules et Axel prirent de la crème au beurre(des restes) et badigeonnèrent le cul et le chatte de Maria-Rosa , Axel lécha la chatte ,Jules le cul et y entrait sa langue ,puis un doigt ,elle prit sa main et retira le doigt en disant " soyez pas pressé ,faite plutôt durcir la queue du grand père ".

Ils s’exécutèrent et ce ne fut pas très long.

Elle récupéra de la crème ,se dilata l’anus avec et s’empala sur ma bite , délicatement hurlant de douleurs , Jules et Axel l’encourageaient en suçant ces tétons , ensuite Axel bourra sa bouche avec sa queue tandis que Jules jouait avec la chatte.

La vitesse des vas et vient de Maria-Rosa était a la hauteur de sa jouissance. Ces fesses claquaient sur mes couilles , elle serrait les muscles de l’anus et cela faisait gonfler ma bite je sentait monter en moi le jus bouillonnant .je dit " arrête je vais jouire " , elle se retira et se r’enfourna ma bite dans la chatte cette fois ci ,elle accentua la cadence et je lâchais en elle mon sperme par petite saccades .

Jules avait profité pour l’enculer a nouveau (l’anus n’avait pas eu le temps de se rétracter) et lui envahir ses entrailles de son jus , quand a Axel il lui remplit la bouche du précieux nectar qu’elle avala .

Pour ne pas faire de jaloux elle proposa à Axel son cul que Jules avait bien lubrifié.

Nous avons pris une douche collective et la fête continua toute la nuit.

 

 

 

2010

Cette année j’aurais 65 ans je me sent encore bien dans ma peau .

Le cul aujourd’hui c’est plutôt spectacle mais grâce a mes petits fils je vie encore beaucoup de belle parties.

Ce jour de st Valentin , Jules , Axel ,étaient venu faire une partie de cul .

Maria-Rosa m’annoncera " j’attend un enfant de toi ".

Je faillis avoir un arrêt cardiaque , les deux jeunes coqs sautèrent de joie..

Tu es sur lui demandais je.

Oui tu te souviens le jours de ta fête ,avec Jules et Axel ,tu avais été le seul a dépuceler ma chatte ,j’avais bien pris soin de le faire sans préservatif et j’avais autorisé les garçons uniquement dans mon cul .

La joie repris le dessus et ajoute " a mon age élever un enfant sans être sur de le voir grandir… "…

C’est alors que Jules dit " ne t’inquiète pas grand père , Maria-Rosa me plait et en ce jour ,lui offrant une superbe bague , je l’a demande en mariage , et j’élèverai ton enfant ,je te doit bien ça grand père ".

Axel ajouta en sortant un cadeau de sa poche (un magnifique pendentif de 3 cœurs en lassés) " Oui Maria-Rosa tu sera notre femme ".

Maria-Rosa éclata en sanglots et murmura " merci mes amours ".

Nous avons eu tous les trois a un pompage magistrale de nos bites laissant couler dans sa bouche les jus tièdes et crémeux qu’elle avala avec ferveur .

Ayant une pièce libre je demanda à Maria-Rosa d’habiter chez moi .

Jules viendra partager sa chambre chaque fois que c’est possible ,laissant une place a Axel avec qui il s’était juré de vivre ensemble et que Maria-Rosa accepta volontiers.

Elle faisait son travail comme toujours ,elle ne portait plus de culotte ,ni string ,ni soutien gorge (la liberté disait elle) .

Les mois passaient ,son ventre s’arrondissait, et souvent me le faisait embrasser pour me montrer l’amour qu’elle me portait.

Le 14 juillet elle mit au monde un petit homme de 3kg 800 ,48cm ,comme il est né le jour de la fête national , nous avons décidé (Jules, Axel et moi )de l’appeler Maximilien le prénom d’un grand roi ( le deviendra-t-il ?).

Élevé par le sein d’une grande reine Maria-Rosa ,il n’avait plus qu’a pousser…et grandir…..




Jétais comblé la succession est assuré. , a 65 ans je ne pensais plus mourir mais vivre encore tres longtemps pour assurer a ces jeunes tous ceque l'amour apporte..........

Par simon - Publié dans : histoire racontée
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Dimanche 22 février 7 22 /02 /Fév 09:13
     




































 



























 



































 















































  

(trouvé sur le net) merci a son auteur anonyme
teste : moi Simon
Par simon - Publié dans : histoire racontée
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Vendredi 16 janvier 5 16 /01 /Jan 21:36
  suite ' au domaine "

 

………………………………. apres une bonne nuit......................

En arrivant dans la cuisine pour le petit déjeuner, mon oncle nous dit " vous dormiez profondément car j'ai du taper fort et à plusieurs reprise pour vous réveiller" Cela devait être à cause de la dure journée d’hier.

Déguisé comme touts les jours, nous sommes retrouvés dans nos rangs de vignes à faire le même boulot. Thierry était en face de moi et son sourire me faisait oublier mes courbatures de la veille.

Il me semblait que Thierry bandait dans son fute, je lui dis carrément : " Tu bandes ou je rêve ? "

Il rosit et me dit " je repensais à la nuit dernière, oui tu vois juste ", jetant un coup d’œil à droite et gauche, il déboutonna son pantalon pour me montrer au grand jour son sexe raide comme un bout de bois.






" Ben dis donc mon cousin tu t’es vraiment dévergondé depuis hier ! "



Tu m'as ouvert les verrous qui tenaient mes chaînes "

"

 

Et toi tu ne bandes pas ? "




" Non regarde " et je descendis le haut de mon pantalon pour qu’il vois entièrement que je ne bandais pas, mon sexe bien recouvert de son prépuce, reposant sur mes testicules bien pendantes.

"

 

C’est aussi joli comme ça que raide " me répondit-il.






La journée s’écoulait avec le même rythme, pause, repas, pause de l’après-midi ce qui me permettait de constater que le beau brun remarqué le premier jour était toujours dans l’équipe.

Après nous être changés, comme tous les soirs après le boulot, arrivé dans la cuisine, je dis : " prem’s pour la douche et montais " Thierry dit : " non c’est mon tour aujourd’hui " puis me rattrape dans l’escalier, j’avais déjà ôté mon t-shirt en arrivant presque sur le palier, la main de Thierry m’attrapa par le short qu’il fit descendre, je trébuchais avant de l’enlever entièrement pour ne pas tomber, j’entrais dans la chambre tout nu.

Thierry me suivait de près au point qu’au moment de fermer la porte de la salle de bain, il l’ouvrit brutalement et entra aussi nu que moi.

……………………………

Sans le vouloir j’etais rentré dans le jeux de Thierry………………….. il avait envie de prendre sa douche avec moi en imaginant un plan pour de pas éveiller l’attention de mes parents.

C’est la première fois que je voyais Thierry entièrement nu en pleine lumière, je pouvais admirer son sexe demi mou fin mais long, garni d’une toison presque rousse qui recouvrait aussi ses testicules, il était super bien bâti et pas mal poilu pour son âge.

sous la douche Je prenais du plaisir, je me redressais pour mieux sentir son corps contre le sien.

Excité a mort ,Sentant la jouissance monter en moi, il pris en main mon sexe, le branlais a bon rythme, j’eus l’impression que nous avions joui ensemble, mon sperme se projeta sur la faïence, tandis que le sien se répandait sur mon dos.

Lorsque nous fûmes arrivés au bout de notre plaisir, nous nous sommes serrés l’un contre l’autre, bouche contre bouche pour un long baiser.

Nous avons fini de nous laver, sa mère nous ayant déjà appelés plusieurs fois.

Arrivés pour nous mettre à table, sa mère dit " je suis heureuse de vous voir tous les deux enjoué et gai " .

On se regarda les yeux dans les yeux , rouge tous les deux jusqu’aux oreilles la même question nous traversa l’esprit " connaissait-elle déjà notre secret ?, a-t-elle deviné notre homosexualité ? "

Apres le repas , nous remontions dans notre chambre , ou après quelques caresses et bisous  

 

Sans que je m’y attende il se retourna brusquement se jetant sur moi me faisant basculer sur le dos, je sentais son sexe raide se frotter sur le mien dans un simulacre de lutte. A un moment je le laissais m’immobiliser sur le dos comme si je me rendais, il plaqua sa bouche sur la mienne, sa langue fouillant dans ma bouche, je me laissais faire, je le laissais m’explorer sentant sa nos bites collées l’une contre l’autre.

J’étais à sa merci, je le laissais descendre directement sur ma bite, la lécha, l’engloutit, la suça avec application, puis

Il me fit rouler pour que je me retrouve en dessous de  lui, Thierry quitta mon sexe, écarta mes jambes pour me lécher les boules, puis sa tête remonta vers mes fesses, il léchait mon scrotum, puis m’écarta les fesses pour y enfoncer la tête afin que sa langue atteigne ma rondelle.

j’étais presque à la verticale, J’ était dans la meilleure posture pour écarter largement mes fesses, il avait une vue panoramique sur mon anus. Il l’écarta avec ses doigts pour y faire pénétrer sa langue, il y parvint en y mettant beaucoup de salive. Bien que je sois tendu, il y enfonça son indexe, je me raidis, mais sans douleur il faisait un mouvement de va et vient en mouillant son doigt. Comme je me détendais, il y mit deux doigts, il massait mon sphincter pour le dilater.

A un moment, je sentis le bout de son gland toucher ma rondelle bien mouillée,

Stop lui dis-je

Pourquoi ? je veux faire l’amour avec toi cousin et ensuite toi avec moi

Ok cousin mais faut pas oublier le préservatif

J’en ai pas encore utilisé ,je sais même pas comment ça se met ! ! !

T’inquiète pas j’ai ce qu’il faut

Je pris un préservatif dans mon sac et recouvris son sublime sexe

De nouveau , je sentis le bout de son gland encapuchonné toucher ma rondelle toujours aussi mouillée,

il poussa doucement ,

mais il y allait tellement avec douceur qu’après le passage du gland de Thierry, le reste pénétra sans difficulté. il augmenta ses mouvements ,

je sentis Thierry se crisper, et un liquide chaud envahit le latex dans mon ventre.

S’éffondrant sur moi avec un long baiser langoureux avant d’ajouter

Je suis a toi

Tu crois que je peux ?

Oui je veux perdre ma virginité comme toi la dernière fois a l’hôtel.

Mais cousin tu n’as que 17 ans , j’ai pas le droit…

Tu fais chier c’est aujourd’hui que je te veux , et je serai majeur dans 8 jours et tu sera plus là.

T’énerve pas cousin tu as raison la majorité elle est pas à 8 jours prêt alors enfile moi une capote

Merci cousin prend moi dans la même position que je t’ai pris

Sur le dos , les jambes sur mes épaules , sa rondelle bien travaillée avec du gel , ma bite touchait sa rondelle bien mouillée

je poussa doucement, il se détendait au maximum de peur d’avoir mal, j’ y allais tellement avec douceur qu’après le passage de mon gland , le reste pénétra sans difficulté.

J’allait et venait doucement, sentant qu’ il n’avait pas mal, j ‘augmentais mes mouvements. Au début il ne bandait plus, plus il me faisait jouir, plus il bandais, je le masturbais en même temps que je sentais ses couilles heurter mon bas ventre.

Soudain, je me crispais, et un liquide chaud envahit le latex dans son ventre en même temps que lui éjaculait une nouvelle fois en grande quantité sur son ventre.. m’écroulant sur lui ou nos corps avec l’aide du sperme se collèrent , basculant sur le côté

Nous sommes endormis dans les bras l’un de l’autre et curieusement nous nous sommes réveillés dans la même position.













7H 30 le matin

Nous descendions pour prendre le petit déjeuner

-Ah !vous voilà enfin dit ma tante la fatigue y est sure ment pour quelque chose , mais vous semblez tellement heureux tous les deux


Oui maman
, dit Thierry il devrait venir plus souvent….


-La prochaine fois il reviendra , mais ce soir on fera une petite fête , et Joël pourra voir sa cousine Fanny qui revient pour le WE.


Ma chieuse de sœur j’espère qu’elle vient pas avec son copain Julien ?


-Si fiston faut que tu t’y habitues il fera bientôt parti de la famille
.


T’inquiète Joël on va s’en occuper
me dit-il tous bas

Nous partîmes travailler toute la journée ,Thierry me passer la main sur les fesses de temps a autre avec de grand souris , j’etais heureux de le voir ainsi et lui demanda "  ta sœur elle vient dans ta chambre ? "

Oh ! oui elle rentre quand elle veut

On va pas pouvoir être a poils alors ?

Mais si , mais avant on lui rendra visite dans la sienne voir si elle est a poil comme dab.

Ta sœur vis a poil dans sa chambre ?

Et je pense que Julien le sera aussi , il est naturiste

Tu verras on vas s’éclater maintenant que te m’as fait sauter tous les vérous.

 

Le lendemain après encore une longue journée , aussitôt arrivé ma tante nous dit " tu vas pouvoir rencontrer ta cousine Fanny et son ami Julien ".

Thierry lança " ils sont ou ? "

Dans leur chambre je suppose " dit elle

bon Joël on va prendre notre douche , pour sentir meilleur et après on ira dire bonjour " dit Thierry

Nous montions les escaliers quatre a quatre et pris notre douche ensemble.

Apres , tous deux en boxer , devant la porte de la chambre , il frappa et ouvrit la porte sans attendre la réponse.

Salut grande sœur , voici notre cousin Joël "

Ooooops la boulette , sa sœur était en train de faire une pipe a son petit ami

Heuuu EXCUSEZ NOUS , je ne pensait pas vous déranger "

Fanny retira la bite de Julien ,dit " désolé pour vous mais je pouvais pas attendre " et repris sa suce.

Julien releva la tête pour dire a Thierry " tu vois l’avantage d’avoir une copine "

Thierry répliqua " quand vous aurai fini venez dans ma chambre je vous présenterai le cousin Joël "

Nous faisions demis tour et repartions vers notre chambre ,en nous enlevant mutuellement nos boxer.

il plaqua sa bouche sur la mienne, sa langue fouillant ma bouche, je me laissais faire, je le laissais m’explorer sentant sa nos bites collées l’une contre l’autre.

J’étais à sa merci, je le laissais descendre directement sur ma bite, la lécha, l’engloutit, la suça avec application, puis allonger sur le lit ,il fit demi tour pour me présenter sa bite, nous étions tête bêche s’activant l’un sur l’autre.

 


Nous n’avions pas entendu l’arriver de Fanny et Julien qui nous trouvèrent ainsi , ma position ne permettant pas de les voir entré.


 nous arrêtions brusquement quand Fanny et Julien entièrement nu , lança " SUPER PETIT FRERE TU AS BIEN PROGRESSE "

Heu.. ! ! oui voilà Joël notre cousin

Enchanté cousin ,bien monté en plus dit-elle

Merci cousine je suis ravis de te revoir en bonne compagnie aussi " 

je n’avais jamais vu de sexe de fille , n'ayant  pas de soeur , mes yeux restaient fixé sur le petit triangle de poils ,c’ etait le premier sexe de fille sous mon nez

je fus surpris d’entendre Fanny , qui l’a deviner de suite , dire " cousin Joël en gâge de bienvenue tu peux toucher ? "

oh ! cousine j’ose pas c’est à ton petit ami "

Julien répliqua " vas-y , tu peu même lécher , moi je vais m’occuper de ton petit cul " en passant derrière moi et me pris par les couilles.

Thierry fis de même avec ceux de Julien

Je lêchais la chatte de ma cousine d’ou une chaleur douce et humide m’enivrait ,elle aimait , les jambes écarté , sa chatte criait famine , je bandais tellement dure Julien comprenait mon excitation et dit a Fanny

laisse toi baiser par Joêl il a une queue d’enfer presque le double de moi tu connaîtras un autre plaisir "

j’accepta la proposition avec plaisir ,mis une capote , ce fut sublime quand mon sexe entra dans la caverne humide.





















Thierry se positionna derrière moi , pris une capote , et me sodomisa ,invitant Julien a lui faire de même ce qu’il ne refusa pas (étonnant pour un pur hétéro comme il dit)

Les mouvements de vas et vient de Julien sur Thierry , répercuté sur moi qui aidé par Fanny nous permis de jouîr tous en coeur dans une ambiance de fête ou fusait les gémissements.

Surpris par Fanny qui décida de comparer le contenue des capotes " celui qui aura le moins de jus devra se faire sodomisé par les deux autres le temps que le pomperai ". les trois garçons ayant confirmé par un " YES "

Apres contrôle c’est Julien qui en avait le moins. Il protesta " normal j’avais déjà éjaculé avec toi Fanny ".

Le jeu c’est le jeu , tu as dit " OUI  , mais tu n’as pas tout a fait tors "  

Je suis vierge de ce coté là dit-il je propose un compromis "  je veux bien perde ma virginité , Fanny mais tu dois perdre la tienne aussi "

OK chéri , mon cul est a toi et le tien a mon frère et au cousin "

bon compromis " dit-il " que la fête commence " 

c’est ainsi que TOUS en quelque jours ou quelques heures deviennent BI

Nous primes une douche collective et nous arrivions tous en retard au repas du soir

Ma tante dit " j’ai frappé a la porte plusieurs fois , vous aviez l’aire de vous amuser tous ensemble que j’ai pas insisté , ça ma faisait trop plaisir de vous vous tous ensemble si heureux "

Les jours suivants fut la répétition de ce bonheur et les vacances se terminèrent.

Joël tu crois qu’au prochaine vacances si je viens chez toi on pourra revivre ce bon moment ?

Oui Thierry mais ça sera pas chez moi , c’est trop petit

Ça sera donc pas possible ?

SI je vais demander a mon grand père Simon, il a de la place , il dira pas non

Oui mais tu crois que l’on pourra s’aimer

Tu le garde pour toi , comme un secret entre nous si je te dis

OUI cousin tu as fait de moi un homme responsable en brisant la chaine de ma vie dont j’etais prisonnier.

Alors t’inquiète pas grand père est comme nous et avec lui ça restera aussi un secret

Merci cousin de ces agréables vacances et a bientôt




A suivre…..

La vie est ainsi faites , ces jeunes s’aiment , il faut pas les banir ,être HOMO ou BI c’est une autre façon d’aimer

 

Par simon - Publié dans : histoire racontée
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Jeudi 15 janvier 4 15 /01 /Jan 11:43
voici la suite de : Apres le permis de conduire   (a lire si vous ne l'avait pas encore fait)

                             2ème partie :  A l'hôtel

  3ème partie : AU DOMAINE

Après cette nuit d’hôtel inoubliable, je conduisais le cœur joyeux, d’une humeur particulièrement énergique, chantonnant la fenêtre ouverte laissant entrer les effluves de la mer qui approche.

Vers midi, je m’arrêtais dans un resto rapide pour me goinfrer d’un double hamburger frites, coca, j’étais installé sur la terrasse à l’ombre d’un parasol, mes pensées revenaient toujours vers ce garçon beau comme une statue, tout en douceur et virilité qui m’avait fait connaître le septième ciel pour ma première sodomie. Je regrettais de ne pas lui avoir demandé ses coordonnées.

Tant pis ce serait comme un rêve que je n’oublierai pas.

Plus j’approchais du domaine, plus j’étais entouré de vignobles, des rangs de vignes bien feuillues rangées comme des élèves. Je savais que mon boulot serait dans ses rangs à m’occuper de je ne sais trop quoi

Je cherchais ma route, il approchait les 18 heures, mais tout ce ressemblait, à force de chercher, je finis par demander à un passant où se trouvait le domaine de mon oncle. Il me l’indiqua avec un fort sourire, mais au bout du compte je me trouvais juste devant l’entrée du domaine. J’empruntais une longue allée de terre bordée de chaque coté de rangs de vignes avec des rosiers au début de chacun, j’étais émerveillé, un peu inquiet de tomber dans une famille très riche loin de mon niveau familial.

Au bout d’une allée interminable, j’arrivais dans une cour cernée d’immenses bâtisses, des engins agricoles, puis une superbe maison de pierres avec un étage. Un platane au moins centenaire ombrait la cour, une grande table de ferme, des fauteuils invitaient au farniente et la convivialité.

A peine entré dans la cour qu’un chien aboya pour signaler ma présence, j’arrêtais la voiture, il vint à ma hauteur, une femme d’une quarantaine d’année lui ordonna de se taire en s’approchant, je pouvais la détailler, elle était élégante, un beau sourire chaleureux invitant à l’affection.

-"  Je suis ta tante, tu es Joël, Tu as fait bon voyage ? Pas trop fatigué, range ta voiture et viens boire un coup ".

Je fus surpris de la ressemblance avec ma mère, sa sœur son aînée de deux ans.

Je rangeais ma voiture, dès que je fus sorti, elle m’enserra dans ses bras pour m’embrasser sur les deux joues, un baiser d’une tendresse que j’avais rarement ressentie.

Elle m’invita à pénétrer dans la maison, j’entrais dans une grande cuisine rustique une grande table me fit penser qu’il devait y avoir du monde dans cette demeure. Elle me proposa à boire, je choisis une bière bien fraîche, assis tous les deux, elle m’expliqua que mon oncle et mon cousin étaient encore dans les vignes, qu’ils rentreraient vers 19h que je dormirai dans la chambre de Thierry, qu’elle n’y rentrait jamais dans sa chambre sans sa permission, qu’il m’aiderait à m’installer dès son arrivée. En attendant elle me fit visiter la maison, j’entrais dans une grande salle à manger une grande et belle cheminée ornait un mur de crépis blanc un canapé et deux fauteuils étaient disposés devant comme pour profiter du spectacle magique d’un feu de cheminée. Des photos étaient posées sur un meuble, j’eus du mal à reconnaître les personnes, ma tante s’apercevant de mon interrogation me présenta les personnages. Il y avait mon oncle, un bel homme, frisant la cinquantaine, deux enfants aux alentours des dix ans, c’était ma cousine Fanny et mon cousin Thierry, je me rappelais vaguement de leur visage. Ma tante me dis qu’ils avaient bien grandis depuis que Fanny faisait ses études d’œnologue à Bordeaux pour s’occuper du domaine avec son père, qu’elle avait maintenant 20 ans et que Thierry avait maintenant 17 ans qu’il faisait des études de commerce, elle regrettais qu’il soit comme elle dit " réservé ", un peu trop timide à son avis, qu’il n’avait pas de copine. Mes yeux étaient rivés sur ce garçonnet aux cheveux presque roux aux yeux verts. J’étais admiratif devant ce décor luxueux et de grand goût. Une baignoire d’angle avec jets d’eau et deux lavabos meublait la salle de bain, un salon de télévision avec un écran plat suspendu au mur. Je n’avais encore jamais vu une telle demeure, je craignais de plus en plus d’être tombé dans une maison de bourgeois, pourtant ma tante me semblaient simple dans ses attitudes et ses vêtements.

Cette visite avait écoulé le temps sans que je ne m’en aperçoive, au point que ma tante me fit remarquer le bruit de la voiture de mon oncle qui entrait dans la cour, nous sommes sortis pour les accueillir.

Un superbe 4X4 venait de se garer à coté de ma petite voiture, j’étais presque gêné de ce décalage. Mon oncle descendit accompagné d’un grand et beau jeune homme que je reconnu tout de suite à sa couleur de cheveux. Mon oncle s’avança vers moi son sourire aussi chaleureux que celui de ma tante et sans retenu me serra dans ses bras pour m’embrasser, je sentis à leur accolade quel plaisir et joie ils avaient de me revoir, je me détendis en oubliant la différence de niveau de vie.

Mon cousin s’approcha pour me serrer la main, je sentis sa retenue de me faire la bise, même sa mère fut surprise " Thierry , ben tu n’embrassa pas ton cousin ? " ,se fut donc une bise de convenance que nous nous fîmes.

Ma tante lui dit "  montre lui où il va dormir et y mettre ses affaires puis montre lui la salle de bain il prendra bien une douche avant de souper , ça le détendra du voyage ".

Thierry m’aida à prendre mes différents sacs et me précéda à l’étage pour me montrer sa chambre. Lorsque j’entrai, je fus surpris de voir une grande pièce sous les toits avec deux grands velux au dessus de deux lits d’une personne, il y avait un coin bureau avec tout son matériel informatique, dans un autre coin quelques appareils de musculation. Un immense tapis rouge séparait les deux lits.

Il me dit de prendre le lit de gauche, l’autre étant habituellement le sien, nous posions mes sacs. Il me montra une porte derrière laquelle se trouvait sa salle de bain avec baignoire lavabo et toilettes.

Thierry me montra les serviettes de toilettes et me dit de prendre ma douche en premier, car il devait finir du rangement avec son père.

Il redescendit pendant que je déballais mes affaires, au moment ou je retirai mon baladeur, une petite carte chue je la ramassais pour voir ce qu’il en était. C’était une carte de visite avec le nom de Nicolas Robinet agent commercial d’une société de machines outils, avec une adresse et un numéro de portable écrit à la main.

Je la retournais pour lire ces quelques lignes – "

 

merci pour cette nuit d’hôtel, ma carte de visite avec mon numéro personnel si des fois tu voulais passer un moment en ma compagnie "

Je relus plusieurs fois ces lignes avec une intense émotion qui me mit les larmes aux yeux, il ne m’avait pas oublié tout comme moi et me laissait ses coordonnées.

Je rangeais précieusement comme un trésor sa carte de visite dans mon portefeuille.

Comme j’étais seul dans la chambre je me mis à poil pour aller prendre une douche.

Cette eau tiède qui coulait sur le corps me délassa. Je pensais à Nicolas et notre nuit d’hôtel, tout ce que j’avais appris et ressentis, cela ne tarda pas à me faire bander, mais je n’osais pas me masturber dans la douche de mon cousin surtout le premier jour, je m’astiquai quand même un petit moment pour me calmer à la limite de l’éjaculation, mon excitation retomba.

Cette douche dura plus longtemps que prévu et au moment ou je sortais de la salle de bain pour mettre des vêtements propres, Thierry entra dans sa chambre et me vit  nu, pas eu le temps de mettre mes mains devant mon sexe.

-"  excuse-moi " dit-il rouge comme une fraise des bois "  je croyais que tu avais terminé, et j’ai tellement l’habitude d’être seul dans cette chambre que je n’y ai pas pris garde ".

  

Tout en me dirigeant vers mes habits, je lui répondis "  ce n’était pas grave après tout nous étions deux garçons et qui plus est cousin ".

J’ôtais mes mains de devant mon sexe pour m’habiller, mais je sentais son regard fixé sur mon dos. Après avoir mis mon caleçon je me suis retourné, Thierry était là immobile, le regard figé sur moi, je lui demandais "  ça vas ? ", il se ressaisit encore plus rouge en se dirigeant vers la salle de bain.

Après le souper, confortablement installés dans le salon mon oncle me parla du lendemain, le travail qui m’attendait, qu’il me présenterait les ouvriers, mais qu’il ne ferait pas de différence entre tous comme pour Thierry qui serait mon équipier

Notre travail consistait à éclaicire les pieds de vignes à la main pour laisser pénétrer le soleil afin de finir le mûrissement des grappes à l’intérieur du feuillage.

Décidemment cette famille me plaisait de plus en plus avec un accueil aussi chaleureux, et un cousin aussi mystérieux qu’attirant.

Mon oncle proposa de nous coucher tôt, car demain il fallait se lever de bonne heure pour ne pas cuire au soleil.

Thierry et moi montions dans sa chambre, comme il faisait encore chaud, nous décidions de laisser les velux ouverts, cela empêchait la fermeture des rideaux, mais le clair de lune était parfait pour laisser la chambre dans la pénombre. Je me mis en caleçon pour la nuit, tandis que Thierry mis un pantalon de pyjama par-dessus son boxer.

Je lui en fis la remarque " tu auras pas trop chaud ainsi ? ", sa réponse fut " j’ ai l’habitude de dormir comme ça ".

Je pensais qu’il voulait se protéger d’éventuelles pollutions nocturnes.

Allongés chacun sur notre lit, nous pouvions nous voir l’un et l’autre avec un tel clair de lune, je voulais entamer la discussion " je m’excuse pour ma sortie de douche et surtout de t’avoir mal mis à l’aise en me montrant nu ".

 

j’ai juste été surpris , j’ai pas l’habitude "

Je lui dis "  si tu fais du sport , a la douche les copains sont à poil et toi aussi serait à poil devant eux ".

Il me répondit " 

 

je suis très timide je m’arrange toujours pour prendre ma douche lorsqu’il n’y a presque plus personne, et je garde mon boxer. A chaque fois que je vois un copain tout nu ça me perturbe ".

Puis nous avons discuté du lendemain, comment je devais m’habiller Il me rassura me disant qu’on lui prêterait des vêtements appropriés.

Il me souhaita bonne nuit, le silence se fit. Le sommeil ne venant pas, je restais allongé sur le dos repensant à la carte de Nicolas, puis à ce que m’avait dit Thierry à propos de sa gêne vis-à-vis des copains.

Thierry aussi avait du mal à s’endormir, était-ce la présence d’un garçon couché proche de lui, aussi charmant que son cousin qu’il avait vu nu avec des fesses musclées, un dos qu’il aurait bien voulu caresser, embrasser ?..........................

 

 

 

………………………………chacun dans son lit .........................................................
La nuit de Thierry fut interrompue à plusieurs reprises, il en profita pour aller faire pipi, il n’éclaira pas la chambre, la lune suffisait, lorsqu’il revint des toilettes il me vit allongé sur le dos sans aucune couverture, mais les mains dans son caleçon entrain de me tripoter en gigotant de droite et de gauche, il ne fit pas de bruit, s’essaya sur le bord de son lit contemplant – sans être vu – le spectacle que son cousin lui offrait.

Thierry se mis a faire un rêve érotique " ((Il s’arrêtait de respirer lorsque les mains de Joël s’introduisaient plus profondément dans son caleçon pour aller caresser ses boules, il écartait même les jambes pour plus de plaisir. Dans le boxer bien recouvert de son pyjama ,son sexe devenait de plus en plus raide et dur, cela ne le dérangeait pas puisque personne ne le voyait. A un moment Joël s’agita un peu plus et ses mains écartèrent l’élastique de son caleçon il pu apercevoir le début du sexe de son cousin, qu’il venait de décalotter dans un mouvement de va et vient. Il imagina le pire ou le scénario de rêve, pouvoir tenir ce sexe et le masturber)) "

mais la culpabilité l’envahit, il se recoucha et pu s’endormir jusqu’à la sonnerie du réveil et les tambourinements de son père sur la porte pour les réveiller.

Je m’étira en disant " j’ ai super bien dormi et fait des rêves supers bons, sûrement la fatigue du voyage ".

Thierry lui répondit " j’ai pas beaucoup dormi à cause de la chaleur et peut-être de ta présence presque nu à quelques pas de moi ".

La cuisine embaumait le bon café chaud, et le pain grillé, sur la table quatre bols du beurre, plein de confitures différentes.

Ma tante m’embrassa avec toujours autant de chaleur, elle me dit " 

 

Thierry n’aimait pas ça ", alors elle en profitait avec moi. J’adorai quand elle m’embrassait.

Je me goinfrai de pain enduit de confiture que ma tante précisa qu’elles étaient d’elles. Je serais bien resté plus longtemps mon oncle Pierre vint me chercher pour aller au vignoble.

Affublé d’un pantalon, de chaussures de sécurité, d’un t-shirt à manches longues, le tout orné d’un chapeau – un vrai épouvantail – je montais dans le 4X4 où m’attendaient déjà Pierre (mon oncle)et Thierry dans le même accoutrement. Pierre me précisant en roulant que c’était nécessaire pour le soleil, les piqûres d’insectes ou rarement la rencontre de serpents. – Sympathique ambiance pensai-je !

Arrivé sur les lieux de travail, une quinzaine de personnes nous attendaient pour commencer. Pierre me les présenta, je serrai la main à chacun d’entre eux, je remarquai déjà un superbe mec brun, la peau bronzée un regard profond, mais une alliance à la main gauche.

Nous étions par deux de chaque côté d’un rang, Thierry me montrait comment enlever les bons pampres sans abîmer le pied. C’était un travail harassant pour le dos et les genoux, tantôt assis, tantôt accroupi, parfois plié en deux, je pensais qu’en fin de journée je serai épuisé.

Nous avions une pause de 10 minutes toutes le deux heures pour nous désaltérer et se reposer. Plus nous avancions dans la journée, plus Thierry se sentait à l’aise avec moi, parfois j’avais un large sourire lorsque je souffrais. A plusieurs reprises nos mains s’agrippèrent à la même banche dans un éclat de rire sans que cela ne nous gêne. Pendant la dernière pause, Thierry me proposa de finir mon verre, je le saisis avec un sourire équivoque.

J’étais vanné dans la voiture qui nous ramenait au mas. Mon oncle sourit en me disant que demain ce serait pire, mais qu’une bonne douche me remettra sur pied. A peine arrivé, juste le temps de faire une bise à ma tante et monter dans la chambre me mettre sous la douche. Thierry était déjà monté, attablé devant son ordinateur, il me dit "  prends ta douche pendant que je consulte mes courriels. "

Je rentrais dans la salle de bain tout en laissant la porte ouverte – au cas où il devrait aller aux toilettes – rien ne se passa. Après avoir laissé couler l’eau chaude longuement sur mon corps, je m’essuyais, puis mis la serviette autour de ma taille pour aller mettre du linge propre.

Thierry était toujours devant sa machine, je m’approchais pour lui dire "  la douche était libre ".

-"  j’y vais " me répondit-il, " un instant je finis de vider ma boite de réception ".

- Je peux regarder ?

-Sans problème

Je m’approchais toujours ma serviette autour des hanches

Il jeta un coup d’œil discret vers moi pour constater mon costume.

-" bon j’y vais " dit-il, au moment où il fit pivoter son fauteuil l’accoudoir accrocha ma serviette qui tomba sur le sol. Je me retrouvais entièrement nu face à Thierry qui avait son visage juste à la hauteur de mon ventre, il baissa ses yeux comme gêné – mais je pense qu’il voulait voir ce que je cachais sous ma serviette.




Un court instant nous restâmes figés, puis d’un bond, il entra dans la salle de bain en fermant la porte.






Je mis une tenue légère et descendis au salon. Ma tante me dit " 
ta mère a appelé pour savoir si tu étais bien arrivé, tu dois la rappeler dès que possible ", puis me demanda comment c’était passé cette première journée.

Ereintante répondis-je

Il faut quelques jours pour habituer son corps, un bon repas et une bonne nuit, cela devrait te faire du bien.


Thierry nous avait rejoint, le repas fut gargantuesque, terrine maison, rôti, pommes dauphines, fromage, tarte maison, un vrai festin.

Mon oncle voulu me faire goûter le vin du domaine, je n’y connaissais pas grand-chose, mais je reconnu qu’il était excellent.

Thierry était remonté dans sa chambre sur son ordinateur, pendant que nous discutions dans le salon. Je pris congé pour aller me coucher car demain commençait une nouvelle journée.

Thierry était toujours devant son ordi,
je lui dis "  je vais me coucher ",
il me répondit " j’ en avait pour quelques minutes et j’ irai au lit aussi "

Je me déshabillais à côté de mon lit tout en gardant mon caleçon, je vis un léger mouvement de tête de Thierry pour voir si j’enlevais tout.

J’était allongé sur le dos les mains sous la tête, je regardais la nuque de Thierry en commençant à me faire un cinéma.

Il éteignit son ordi puis commença à se déshabiller pour se coucher, je remarquais qu’il restait en boxer, je lui en fis la remarque " tien tu mets pas le pyjama ?", il me répondit " 

 

la nuit dernière j’ai eu trop chaud ".

La lumière ne resta pas longtemps allumée, je tombais rapidement dans les bras de morphée.

Dans la nuit, je fus réveillé par des gémissements, je vis que le lit de Thierry était vide et la salle de bain allumée, je me levais pour aller voir ce qui se passait, Thierry était devant le lavabo, boxer sur les chevilles en train de se branler, je le surpris en lui demandant "  ça vas bien Thierry ? ".

Il sursauta, sans attendre remonta son boxer et déguerpit dans son lit, se tourna vers le mur.

Il était prostré, je m’approchais de lui pour lui dire " il n’y a pas de honte à se masturber, que tous les mecs le font ".

il ne répondit pas.

je posais , alors ma main sur son épaule.

il ne bronchait toujours pas.

Je restais un long moment dans la pénombre de la chambre éclairée par un clair de lune, agenouillé près de son lit pour le raisonner et dédramatiser cette situation banale, au bout d’un moment il se tourna vers moi les yeux mouillés pour me dire " j’ai honte de m’être fait surprendre, c’est de ta faute si j’ai du le faire ".

Surpris, je lui demande " dis moi ,stp explique pourquoi ? ".

L’angoisse étant retombée, il me dit " 

 

ben…. de t’avoir vu nu la première fois et hier de se retrouver nez à nez avec ton sexe, cela m’avait excité ,j’ avais du mal à m’endormir. alors j’ai attendu que tu dormes pour aller me calmer et tu m ‘as surpris juste à la fin ".

Je lui racontais mon permis de conduire (2) puis ma nuit d’hôtel en descendant chez lui.

Il se redressa vers moi et me demanda " 

 

et toi aussi tu es attiré par les garçons ? "
Je lui répondis " oui cousin " .

J’ajouta "  je t’avais trouvé très attirant dès le premier jour, mais avec un cousin je n’avais pas osé me dévoiler, par rapport à mon oncle et ma tante, je ne savais rien sur ta sexualité ".

A me surprendre, il se blottit contre mon torse m’enserrant le cou de ses bras, je n’osais plus bouger tellement cette situation était empreinte d’affection et de tendresse. Je lui caressais le dos, savourant la douceur de sa peau, il me serra un peu plus pour me donner un baiser sur la joue.

Ce moment de tendresse ne me laissa pas insensible, je commençais à bander dur dans mon caleçon.

Je lui dis "  je dois changer de position, j’ai mal aux genoux ", il relâcha son étreinte pour que je me relève. Il constatât mon érection qui pointait dans mon caleçon,

Maintenant nous n’avons plus rien à nous cacher

lui répondis-je, et d’un geste j’ôtais mon caleçon pour me montrer entièrement nu dans une posture avantageuse.

Il était comme hypnotisé devant ce spectacle, puis il se mit à genou sur son lit pour mieux regarder.

- Tu sais, tu peux toucher si tu veux lui proposais-je

Doucement il approchât ses deux mains pour entourer doucement ma verge tendue au maximum. Puis il décalotta doucement le gland. Je le laissais faire à sa guise, ses mains continuaient à explorer mon anatomie, caressant tantôt mes poils pubiens, tantôt glissant le long de mes cuisses puis remontant vers l’intérieur toucher mes testicules rasés de frais, comme pour profiter de quelque chose qu’il n’avait jamais osé faire.

Je distinguais son boxer éclairé par un rayon de lune, une protubérance ne masquait plus son érection, j’avançais mes mains vers sa bosse pour la caresser, il se raidit mais me laissa faire. Doucement le caressais son sexe, ses fesses à travers le tissus de coton, puis mes mains passèrent sous l’élastique pour sentir la peau de son cul revenant lentement vers son ventre pour constater une toison pubienne conséquente. Je fis glisser son boxer sur ses cuisses. Son sexe jaillit à l’horizontal sous lequel pendaient deux belles boules légèrement poilues.

Il était juste à la bonne dimension, 16 centimètres, bien droit, d’un diamètre plus gros que le mien, un prépuce plus long que le mien.

Il avait arrêté de s’occuper de moi. Je le fis se coucher pour lui enlever son boxer, il était complètement nu allongé sur le dos, les bras derrière sa tête, son sexe toujours aussi raide.

Je craignais qu’il ne retomba à la suite de sa masturbation, mais à son âge cela ne se repose jamais longtemps pour mon plus grand désir.

Il était prêt à pour le plaisir.

Mes mains parcouraient son torse, descendaient vers le ventre, contournaient son sexe, caressaient les cuisses qu’il tenait bien serrées cachant ses boules, je les écartais lentement, il ne résista pas, me laissant câliner, soupeser ces deux joyaux.

Je lui fis des bisous dans le cou, puis sur les tétons, ma langue tournant autour, pour se diriger vers son ventre dur comme de la pierre, tellement il était tendu.

Arrivé près de son pénis, ma main le rabattit en tirant sur le prépuce, ce qui le fit se raidir. Ma bouche ouverte attendait comme un oiseau la béquée.

J’avais accumulé assez de salive pour bien mouiller ce sucre d’orge. Je l’engloutis doucement, au début il avait un goût de sperme qui devait rester de sa branle, je l’enfonçais lentement jusqu’à ce que je touche ses poils avec mon nez, tout cela sentait bon.

Ma langue explora les moindres recoins, glissant sur le membre jusqu’aux couilles, puis remontait pour titiller le frein, enroulant le gland, puis engloutir de nouveau ce sexe neuf. Selon les endroits où je passais, son corps était pris de tremblements.

J’accélérais le va et vient, jusqu’au moment où je sentis Thierry se cabrer et retirer ma tête pour inonder de plusieurs jets son ventre d’un sperme translucide, puis sa queue retomba lentement sur le côté, son corps entièrement détendu. Il Ramassa son boxer pour s’essuyer, direction la salle de bain.

Même si je n’avais pas été au bout de mon plaisir, le fait de lui faire découvrir ce moment intense me satisfait, j’allais me recoucher. Attendant qu’il ait éteint la lumière, je m’étendis les bras sous la tête. La lumière s’éteignit, je vis son ombre se diriger vers mon lit, il déposa un doux baiser sur mes lèvres en soufflant un " merci ". Je m’endormis heureux…………………..

 

 

 

 

 


 


 

 

 

a suivre ......(au domaine 3)

Par simon - Publié dans : histoire racontée
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Mercredi 14 janvier 3 14 /01 /Jan 17:46
voici la suite de : Apres le permis de conduire (a lire si vous ne l'avait pas encore fait)

2ème partie :  A L'HOTEL

J’arrivais à l’hôtel vers21 h, heureusement j’avais le code de la chambre, ce qui me permit d’entrer alors que l’accueil était fermé.

Je posais mon sac et mes affaires, sans attendre je voulais prendre une douche.

Je restais assez longtemps sous cette eau chaude pour me détendre de ce début de voyage.

Une fois pris ce moment de plaisir, je m’étendis à poil sur le lit lorsque le téléphone sonna, c’était ma mère qui s’inquiétait de ne pas avoir de nouvelle, " ha ! c’est toi maman , j’allais t’appeler , oui ça va j’ai juste été retardé par une déviation et qu’en suite je m’étais perdu, ….oui maman tous va bien,….j’ai diner ce que tu avais mis , hummm excellent ,je vais prendre une douche pour me détendre et une bonne nuit me ferait du bien , bisous maman ".

Je finissais de grignoter ce qui me restait de mon pique nique en matant un journal rempli de photos de mecs dans des positions plus suggestives les unes que les autres, je recommençais à bander tout en suçant un tube de lait concentré, lorsqu’une goutte tomba sur ma queue, je ne pouvais pas la lécher – ce n’est pas faute d’essayer, mais il manque quelques centimètres mon doigt essuya donc ce nectar.

D’un seul coup, la porte de ma chambre s’ouvrit, juste le temps de voir la tête d’un jeune mec, qui sans aucun doute m’avait vu à poil sur mon lit la bite recouverte encore de lait concentré, il referma tout de suite, puis ouvrit de nouveau la porte plus lentement, -j’ eus le temps de me recouvrir de couvre lit

–" Excuses moi mais je viens de pendre une chambre au distributeur automatique qui m’a délivré ce ticket ".

Il s’approcha pour me le montrer, en effet, c’était la même chambre mais un code différent.

La réception est fermée à cette heure, il y a un lit au-dessus, si vous voulez l’utiliser, nous verrons demain " , lui dis-je.

Merci " me répondit-il ,je suis Nicolas,25 ans, représentant "

"  enchanté , moi Joël ,18 ans , édudiant "

" j’ai eu une journée fatigante, je peux prendre une douche ? "

Sans problème, je viens juste d’en prendre une ".

Pendant qu’il commençait à de déshabiller, je pus le mater à loisir, les cheveux noirs et frisés comme un mouton, bien sapé, je dirai même assez chic, lorsqu’il enleva sa chemise, son tors recouvert d’une toison

clairsemée, j’attendais qu’il ôte son pantalon, ce qu’il fit pour laisser voir un caleçon impeccable, ce type était soigné.

Je me demandais si il allait enlever son caleçon avant d’entrer dans la minuscule douche.

Sans gêne et face à moi, il enleva l’écrin qui me montrait un sexe long, assez fin avec son prépuce, des testicules pendantes, un vrai modèle de sculpteur, le tout entouré d’une pilosité généreuse et super entretenue.

Il pénétra dans la douche, j’entendais l’eau couler et je l’imaginais se savonnant partout, partout.

Si il avait soulevé le couvre lit il aurait vu mon excitation maximum, d’ailleurs je l’entretenais avec ma main.

D’un seul coup la porte du cabinet de toilette s’ouvrit il me dit
j’ai oublié mon shampoing dans la petite poche ,sur le coté de mon sac de voyage, vous pouvez le passer ? s.v.p
 ".

J’étais mal à l’aise de me lever à poil et bandé comme un arc, et puis je me dis tant pis on ne sait jamais si il apprécierait mon anatomie.

Je retirai le couvre-lit, me dirigeai vers le sac de voyage, pendant qu’il me regardait le visage ruisselant. Au moment où je lui tendis son shampoing, il me dit :
 "
 Merci ….. je vois que la chaleur dilate les corps, j’ai aussi très chaud dans cette douche ",

En effet je pus constater que son sexe était à moitié bandé mais décalotté, superbe objet.

Je retournais sur le lit, mais cette fois je ne remis pas le couvre-lit en continuant de feuilleter mon magazine, certain que cela l’intéresserait.

Il sortit de la douche en finissant de s’essuyer, me tournant le dos, je pus voir ses fesses musclées, la raie poilue, il me fit face m’exhibant son membre dressé, je pouvais constater qu’il était plus long que le mien pourtant aussi raide.

Je vois que nous avons les mêmes lectures, je ne vais pas dormir en haut, il y a de la place pour deux en bas ".

Sans attendre, il se jeta sur moi m’embrassant goulument, nos sexes serrés l’un contre l’autre, il continua de m’embrasser dans le cou, descendant doucement vers mes tétons, je commençais à geindre du plaisir que cela me procurait lorsqu’il les mordillait doucement.

Lorsqu’il descendait, je sentais son ventre frotter sur mon sexe ce qui le décalotta, , puis le calotta de nouveau en remontant, il fallait que je réagisse si je ne voulais pas éjaculer trop tôt.

Je le fis rouler pour le mettre sur le dos et me retrouver sur lui, il se laissa faire, je caressais son torse velu, avec ma joue, cela était doux et sentait bon, je descendis vers son nombril que ma langue explorait, puis ma bouche happa son gland turgescent, je le dégustais, l’enduisant de salive pour qu’il glisse encore mieux dans ma bouche, je voulais aller le plus loin possible, je le sentais se raidir, espérant qu’il n’éjacule pas tout de suite, je quittais ce sucre d’orge pour lui lécher ses couilles, il se laissait faire,

appréciant mes soins. J’écartais ses cuisses pour les butiner jusqu’à l’aine, c’était un vrai régal.

Il attrapa mes jambes pour me faire comprendre qu’il voulait me rendre la pareille, nous somme retrouvés tête bêche, chacun s’appliquant à la besogne.

A un moment, il me souleva le bassin pour aller titiller mon anus, je sentais sa langue explorer cette zone

Hummm ! ! bien serré ce ptit cul ? " dit il

Sans réfléchir je lui dis " encore vierge ", mais devant une telle dextérité, je décidais l’aller jusqu’au bout. Il le devina, puisqu’il me fit mettre à quatre pattes, écartant mes fesses pour aller encore plus loin dans ses investigations, salivant suffisamment pour y enfoncer un doigt, ce qui produisit une sensation de plaisir intense, le deuxième doigt n’eut pas de peine à y entrer tellement il y allait avec douceur. Il massa mon sphyncter pour qu’il se détende.

IL se pencha vers son sac pour y récupérer un préservatif et le mis.

 tu veux rester vierge ou pas ? "

je bredouilla " heuuu.. non "

Je sentis son gland recouvert du préservatif toucher mon anus et doucement me pénétrer pour la première fois.

Il s’enfonça doucement jusqu’à ce que ses poils touchent mes fesses, puis se retira lentement, puis recommença son va et vient de plus en plus rapide, Devant une telle sensation de plaisir, je le laissais faire ce qu’il voulait de moi, parfois une main me saisissait mon sexe toujours aussi dur pour le branler.

Aie ! ! aiieee ça me fait mal……

ne te raidis pas , laisse toi aller …. Oui comme ça …voilà c’est bien"

Ah ! oui c’est mieux hummm ! ! oui vas y tous doux….

 

tu aimes hein tu aimes ? "

Ouiiiii

 Et comme ça?

 

Oh ! ouiiiii je te sens en moi

 

Au bout d’un moment il se bloqua sur mes fesses, je sentis les contractions de son éjaculation.

Lorsqu’il se retira, mon anus était en feu, il le massa pour éteindre de feu du plaisir.

voilà tu n’es plus vierge , ça ta plus hein dis moi ? ".

Extra Nicolas j’aurai jamais cru ça , que c’etait si bon….

 


Un vrai étalon, puisqu’à peine le préservatif plein à ras bord, retiré il rebandait. Quand à moi j’avais toujours les bourses pleines que je voulais vider, je commençais à me branler plus rapidement, il s’en saisit pour le faire à ma place, il avait un sacré mouvement, remontant jusqu’en au du gland, redescendant jusqu’au début des boules, il le sentait de plus en plus dur, sa bouche s’empala dessus, me pompant avec un tel talent que la sève jaillit, je voulus me retirer, mais il me retint en me tenant la tête, je dus lui cracher tout ma liqueur qu’il avala comme du sirop. 

 

Après sous la douche nous être lavés, nous nous sommes endormis dans les bras l’un de l’autre.

Au petit matin, je me suis levé pour aller pisser, j’avais allumé une petite lampe pour ne pas le réveiller, au moment de me recoucher, je voyais son corps nu allongé sur le dos et son sexe dressé, je me suis allongé contre lui, caressant son corps, son sexe, ses couilles, tout me plaisait dans ce mec.

Je ne sais pas si il dormait ou faisait semblant, en tout cas il se laissait faire, je profitais de son corps. A un moment il se mit sur le ventre, je pouvais profiter de son cul que séparait une rangée de poils. J’écartais doucement ses fesses, je voyais sa raie touffue, je la trouvais attirante, j’arrivais jusqu’à sa rondelle rasée juste autour, je me surpris à y mettre ma langue, essayant d’y pénétrer comme il me l’avait fait. Il remonta son bassin, je lubrifiais de ma salive cette rosette, puis mon sexe encapuchonné le pénétra sans difficulté. Je le limais, je l’entendis gémir me laissant faire à ma guise, nos couilles parfois se heurtaient.

Après plusieurs va et vient, je jouis dans ses entrailles, je retirai le préservatif, m’allongeant sur son dos. A ce moment je l’entendis dire :Super merci "

Je restais un moment dans cette position.

Le jour se levait, il se leva le premier investit le cabinet de toilettes en ressortit rasé parfumé, en un mot superbe.

J’investis à mon tour la douche, en ressortant il était habillé, m’attendant pour aller petit déjeuner et régler le problème de la chambre.

A l’accueil on nous expliqua qu’une erreur informatique était la cause de nos désagréments, nous reçûmes des excuses et le remboursement du trop perçu.

Il me donna la somme en me disant
t’inquiète je me ferait rembourser par ma boite ".

Nous nous sommes quittés sur le parking de l’hôtel, j’aurai bien voulu l’embrasser avant de reprendre la route, mais trop de monde.

J’eus juste le temps de lui dire "  ce fut une nuit de conte de fée, que j’aimerais bien te revoir un jour ".

Il me répondit : " qui sait, au hasard ", me fit un beau sourire et un clin d’œil, s’engouffra dans sa voiture et disparu.

J’était à la fois joyeux et triste en reprenant ma route.


A suivre.......
La suite s’appellera : Au domaine

 

 

 

 
Par simon - Publié dans : histoire racontée
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Samedi 10 janvier 6 10 /01 /Jan 15:52
                                                                                                            vers une nouvelle année

a 63 ans , les aventures se font plus rare , et mon petit amant fidele viens me rendre visite tous les 2 mois en raison de son travail , il a du s'éloigner  dans le Nord 500km nous sépare.

si vous avez bien lue mes histoires , j'ai le bonheur de partager mon plaisir avec des cousins , neveux et même un ptit fils (hé oui ,il est majeur) car je ne suis pas un pédofile , loins de là je combatterai toujours ces pervers qui agissent avec les enfants.... cela dit ...mon ptit fils est majeur depuis quelques mois , mais s'avait qu'il avait un grand père BI -homo depuis longtemps et j'etais le seul a savoir que lui aussi était comme moi.
alors dernièrement il ma raconté cette histoire. que j'ai mis en page et avec des photos du net , elle sera en 3 parties

1er partie

Après le permis de conduire

Ayant obtenu mon bac et mon permis de conduire juste avant la fin vacances, je suis descendu dans le Bordelais chez mon oncle et ma tante que je n’avais pas vu depuis au moins cinq ans, pour les aider aux vendanges.

Je savais qu’ils avaient deux enfants une grande fille et un garçon que je me rappelle avoir vus alors qu’ils avaient respectivement dix sept et quatorze ans, je me souviens que mon cousin était roux, qu’il s’appelle Bertrand et ma cousine Marie -Lou était blonde.

Devant traverser la France en diagonale, mes parents m’avaient donné l’autorisation de m’y rendre en voiture à condition que je fasse une halte pour dormir à moitié chemin. Je réservais donc une chambre , à mis chemin , sur Guéret , dans un formule1 pour y passer la nuit. J’étais assez excité de faire ce long voyage seul et de retrouver libre de mes déplacements.

Le jour du départ, ma voiture était prête, le plein, propre comme un sou neuf, je posais mes sacs dans le coffre, je gardais près de moi mes cd, à boire et la bouffe que m’avait préparée ma mère, sandwich, chips, gâteaux et friandises.

Je m’installais au volant, ma mère un peu inquiète me demanda de l’appeler depuis l’hôtel.

Je roulais depuis quelques heures vers le Sud Ouest, le soleil m’accompagnait, ainsi que la musique de mes cd. Je savais que dans mes bagages j’avais emporté quelques revues gays (ma lecture préféré) pour la soirée à l’hôtel.

Midi arrivait et la faim commençait à se faire sentir, je cherchais un coin tranquille pour pique niquer, je remarquai un chemin qui traversait un bosquet d’arbres, je le suivis, au bout d’un kilomètre je trouvais un coin sympa à l’entrée d’un champ en plein soleil pour déjeuner et une petite cabane genre abri de berger pour me protéger du vent un peu frais qui me rappelle que l’automne est proche..

J’entre dans la cabane une petite cheminée garni de brindille et du bois sec qui n’attendait qu ‘à être allumé ,ce que je fit , je pris dans mon sac ma serviette de bain que j’étalais sur sol, mes victuailles à portée de main, j’enlevais mon t-shirt pour exposer mon torse aux rayons de la flambée , c’était super, un air de début de vacances, je me sentais enfin libre sans contrainte.

Je mangeais de bon appétit dans le calme de la campagne.

Me disant qu’à cet endroit personne ne pouvait me voir, j’allais a la voiture prendre une revue, une envie de me dessaper , j’enlevais mon jean, restant un caleçon ( Cela ne m’empêcha pas de caresser mon chibre ) au cas où …quelqu’un viendrait dans les parages, laissant ainsi tous mes vêtement dans la voiture portière ouverte afin d’entendre un CD. De retour sur ma serviette ,tout en feuilletant la revue, je commençais à sentir une excitation montante . qui était assez dur, descendant ma main sur ma verge ,puis vers les couilles ,en décalottant le gland, passant entre mes cuisses remontant mes boules pour investir le début de ma raie.

L’excitation augmentant, je m’assurai d’être seul en regardant par une petite lucarne pour enlever mon caleçon et me retrouver entièrement nu, le feu caressait mon corps, cette sensation que je ne connaissais pas m’enivrait au point de ne plus être attentif au danger d’être vu, je me masturbais de plus en plus fort, je sentais monter la sève, je me suis relevé et couru vers la porte pour éjaculer en longues giclées dehors en plein aire.

Au moment où je terminais, j’entendis une voix proche de moi qui me dit :

- alors on se soulage dans mon champ ?

Je sursautais, en tournant ma tête vers la gauche , je vis un homme d’une soixantaine d’années mal rasé, vêtu d’un polaire semis ouvert , sur un torse extrêmement velu, d’un jean un pas très propre portant à la main un appareil photo avec un grand téléobjectif.

Je voulais chercher mes habits pour cacher ma nudité, mais trop tard , il les avait déjà pris.

 

Il me dit " c’est pas la première fois que des mecs ou des couples viennent s’envoyer en l’air dans ce champ, et j’ habite au dessus du chemin et dès que je vois une voiture s’engager sur mon chemin ,je prend son appareil photos pour prendre les gens en flagrant délit, ça me fait une sacrée collection pour passer les longues soirées d’hiver

 ".

 

Je voulu protester lui disant " vous n’avez pas le droit de faire ça, rendez moi rende mes habits ".

- " Pas avant que je fasses quelques photos de toi, si tu refuses, je garde aussi les clés de ta voiture "

Je commençais à comprendre que j’étais pris dans son piège et que je devais me résoudre à me soumettre.

-

 

d’accord lui répondis-je, mais promettez-moi de me laisser repartir.

-

 

Promis " dit-il, " mais tu dois m’obéir, sinon pas de clés. Tu vas commencer par te mettre debout face à moi les jambes écartées

 ".                                       

Je m exécutais.

-Tien pour rire tu vas prendre la pause des chauves souris.

Comment ça ?

-

 

tu vois cette corde qui relie les deux arbres et bien pends toi la tête en bas

mais j’y arriverai jamais…

IL s’approcha , en mois de deux il m’avais soulevé et m’accrocha sur la corde , pour prendre en gros plan mon appareil génétique qui ne bandait plus, dont le prépuce recouvrait le gland, les testicules pendantes.

Il me dit "  décalottes toi en plusieurs étapes et jusqu’au maximum , lorsque je te dirai stop du t’arrêteras pour que je prenne une photo ".

Je tirais un peu sur la peau montrant le bout du gland, il dit " 

 

stop " et je vis le flash de l’appareil, j’étais à moitié du gland, " stop "et encore un flash, juste arrivé après le gland, " stop

 " encore et flash , le gland était

complètement dégagé, cette manipulation commençait à me refaire bander. Il continuait ses prises de vues en disant whaa.. ça te fait  de l’effet , je vois que tu es docile alors je vais en prendre d’autres, tu vas te mettre à quatre pattes, le cul en l’air".

 

je me mis en position, il s’accroupit, m’écartant les cuisses pour mieux mater l’ensemble, il avait une vue panoramique sur ma raie poilue et mes couilles rasées.

Mets-toi sur le dos, relève les jambes et écartes tes fesses avec les mains, je veux avoir tout de ton intimité ". "  Ecarte encore plus ,je n’en vois pas assez " cria-t-il.

Cette injonction s’accompagna d’une claque sur les fesses qui me fit m’exécuter immédiatement. Maintenant j’étais tellement écarté que je sentais l’air frais me caresser la rondelle ce qui m’excita encore plus, maintenant je bandais dur.

Cette séance de photos m’a aussi excité que toi, aussi avant de partir tu vas me branler, n’oublies pas que j’ai toujours tes clés ".

Il enleva son polair et son jean, je n’avais jamais vu un mec aussi poilu, un vrai ours, sa queue était perdue dans une forêt de poils noirs, il en avait partout sur le corps. Sa bite était en proportion du mec, c'est-à-dire pas très grande mais très épaisse, il bandait comme un âne. Il se mit à quatre pattes et me dit " 

 

branle moi ", je saisis son membre, j’arrivais juste à en faire le tour avec ma main, je commençais mon va et vient, j’avais l’impression de traire une vache, il devait avoir les burnes pleines car en quelques mouvements il cracha sa semence, à chaque jets, il donnait un coup de reins comme pour envoyer le plus loin possible son sperme. J’en avais plein la main.

A la fin il se releva me lança mes frusques et mes clés, ramassa ses habits et disparut dans un petit raidillon que je n’avais pas remarqué dans le bosquet d’arbres.

Je remis aussi mes habits, rangeait mes affaires, pris le volant pour poursuivre ma route.

Cet entracte inattendu dans mon voyage me fit prendre du retard sur mon horaire.

En remontant dans ma voiture, je remarquais que l’herbe était plus verte.

Pendant le restant du chemin à faire pour arriver à l’hôtel, je repensais à mon pique nique et ce paysan et son énorme bite – je me demandais ce qui lui avait donné un membre aussi impressionnant - et dire qu’il se branlerait en matant toutes ses photos, je fantasmais en imaginant un tas de scènes plus érotiques les une que les autres

Et les miennes dont je me rappelai les différentes postures.

A SUIVRE
……….. Prochain épisode qui s’appelle A L’HOTEL

Par simon - Publié dans : histoire racontée
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Mardi 2 décembre 2 02 /12 /Déc 16:07

Bien profonde please

C’est l’histoire de cousinage que l’on ne parle pas souvent ,mais qui est en réalité plus fréquent que l’on ne pense.

il y a une quinzaine d'années

Un jeune garçon , Claude âgé de 16 ans , beau brun ,part en vacances chez sa tante, celle –ci a une jeune fille du même age , Sabine grande brune , bien moulé , une vrais poupée.

Tous les après midi ils sortent ensemble faire une ballade dans la foret voisine , et un jour Sabine lui dit en rigolant

  • c'est vrais que tu es un peu poilu?
  • oui pas trop mais c 'est bien 
  • tu me montreras ?
  • peut être si tu m’embrasses

la jeune fille ne dis mot ,mais son sourire en dis long , mais part en courrant entre les arbres , Claude parti a sa poursuite , et au détour d’un gros chêne il se retrouvèrent les bras dans les bras , Claude ne perdit pas de temps et l’embrassa sur la bouche , Sabine se laissa faire , Claude se mis a la caresser …

tous les jours suivant le même scénario , et Sabine sans s’en rendre compte excite Claude qui devient très très chaud et là lui dit

  • Allez , s’il te plait montre moi tes seins ?
  • Si je te les montre tu enlèves ton polo
  • Oui oui juré

Elle dégrafa son corsage et ne portait pas de soutient gorges Claude vit ces deux superbe mamelons et voulu les toucher

  • non pas touche enlève déjà ton polo

il s’empressa de lui montrer son torse ou quelques poils faisaient leurs apparition au milieu de deux petits tétons
        maintenant tu peus embrasse mes seins

Claude mordillait les tétons , baladait ses mains le long de ces beaux seins doux et très ferme, très excité il pris une main de la jeune fille et la posa sur son pantalon ou son sexe était bandé a mort

  • stop pour aujourd’hui faut renter
  • S'il Te Plais laisse moi allez plus loin
  • NON Claude peut être demain

Le lendemain Claude parti se promener ,comme les jours suivants sans résultat. Alors il lui tendit un piège , il fit tout pour que Sabine devienne un peut jalouse en embrassent la petite voisine de Sabine qui ne manqua pas d’aller le chanter a celle ci. Et depuis Sandrine semble céder du terrain.

Ce matin ,il pleut , ma tante est parti pour la journée , je flâne dans la chambre à poils , soudain on frappe a la porte

  • C’est moi Sandrine ..tu es réveillé Claude puis-je entrée ?
  • une minute je passe mon shorti ……. c’est bon tu peus entréé…
  • bonjour cousin whaaa tu es super comme ça
  • merci
  • eh ! ben je ne pensais pas que tu etait si beau ,c’est marrant de voir ce petit filet de poils roux qui part de ton nombril vers bas , je peus toucher
  • oui bien sure avec plaisir

sa main douce sur mon ventre caressait poils et s’arrêtait a l’élastique.

  • tu sais il descende plus bas ,tu peus toucher ma touffe.
  • J’ose pas
  • Allez fait un effort ça me ferait plaisir , tu as jamais vu ou toucher un sexe de mec ?
  • Non jamais moi j’ai pas de frère ou garçon a la maison.
  • Ben si tu veus voir fait vite le temps que je suis pas encore excité.

Elle plongea sa main dans le shorti

  • Ouéééé quelle douceur , elle est petite et ça c’est quoi ces boules.
  • Mes couilles tu déjà vu dans les livres ou sur des statut
  • Si si mais j’avais jamais touche du rééel

Tout en me parlant elle me masturbais sans s’en rendre compte , je lui avais enlevais sa robe , elle s’était laissé faire , elle était là en slip devant moi ma bite a la main qui devenait de plus en plus raide.

Après avoir mordillé ses tétons je lui glisse a l’oreille

  • Allez , s’il te plait, laisse moi aller plus loin , juste un peu. Laisse moi te caresser ton sexe ?
  • NON , pas question , je suis encore vierge et je veus le rester j’usquau mariage
  • T’es pas sympa moi je te laisse toucher , s’il te plait laisse moi toucher
  • Bon d’accord mais tu touches juste.

Alors Claude glisse la main dans la petite culotte

  • hummmm ! ! c’est doux , ah ! ouiiii c’est humide ça doit être bon lui glisse –t-il a l’oreille et elle répond par des gémissements
  • Allez , s’il te plait , laisse toi faire encore
  • NON , je t’en prie , Non
  • Allez , s’il te plait
  • Non n’insiste pas

Mais Claude à de la suite dans les idées , super excité par Sandrine qui n’arrête pas de le branlé inconsciemment

Je te promets , je ne mettrais que le bout dans l’entée . C’est juré ! .

  • laisse moi te lêcher le sexe au moins .. lui dit il , tout en lui retirant sa petite culotte

elle ne répondit pas , mais écarta les jambes pour me laisser passer ma langue dans sa fente de plus en plus mouillée.

Elle se tortillait , elle aimait , Claude en voulais plus.

  • Je te promets , je ne mettrais que le bout dans l’entée . C’est juré !
  • Non pas question je veus rester vierge jusqu’au mariage.
  • Mais tu sera encore vierge , Je te promets , je ne mettrais que le bout dans l’entée . C’est juré !

A force d’insister , elle fin par céder

  • Bon c’est daccord , tu mets juste le bout , pas plus , et puis tu arrêtes
  • Promis , juste un peu rentré et je fais semblent de faire l’amour

Bon mets toi sur le dos, écartes bien les jambes ,quand mon sexe sera a la hauteur du tien passe tes jambes autour de mes reins et laisse toi aller je t’ai promis " juste le bout "..

Il rente à peine son extrémité turgescente et là le gland au contact des lêvres brulante d’une chatte en chaleur Claude ne parvient pas à ce contrôler , la jouissance précosse monte et HOP ! suivi d’un coup de reins inévitable rentre son engin complétement jusqu’aux couilles et démarre aussitôt le ça-va-ça vient…..

 Sabine gémit , son corps vibre et elle crie

  • Allez continue , c’est d’accord , vas-y , rentre la entièrement maintenant je la veus a fond vas y
  • AH ! NON , pas question , un marché est un marché et puis j’avais pas mis le préservatif
  • Mais je la veus
  • NON T’en pis le marché était " juste le bout " ça sera pour la prochaine fois
  • Alors demain à fond je la veus compris !
  • Je te prend au mots, mais faut que tu me la suce tout de suite
  • Donne …donne ……mais elle est toute molle ?
  • Normal après avoir passé au four ça rétréci        ( hihi )

Elle le suça avec vigueur , il joui de nouveau et les jours suivants, les vacances se terminent.

les cousins n’etait plus vierge et aujourd’hui 10ans plus tard vive ensemble et ont un joli bambin.

Par simon - Publié dans : histoire racontée
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Jeudi 31 juillet 4 31 /07 /Juil 08:15
voila plusieurs mois que pour raison de santé je n'ai pas ecris de nouvelles histoires , mon cousin Romain , 36 ans est venu me rendre visite a l'hospital et ma raconter cette histoire , lui qui se dit Hétéro a 100% , je n'aurai jamis cru qu'il aurait franchi le pas car il a été longtemps a critiquer mes envies d'aimer les hommes , alors je vais vous la raconter.

Ma femme est heureuse, moi, beaucoup moins. Marié depuis dix ans maintenant cela fait bien cinq que je la côtoie, la supporte plus que je ne vis avec, en tant qu'homme je veux dire !

Ceci me pose comme chacun peut le comprendre des problèmes intimes difficiles à gérer. Je pourrais aller aux putes, elles me répugnent. Je pourrais prendre une maîtresse mais cette perspective ne m’ attire pas. Je pourrais aussi demander le divorce mais je ne me sens pas assez fort pour vivre la confrontation, la situation qui s'en suivrait. Et puis, il faut le dire, je ne me sens plus le goût pour chercher une autre femme

Un terrain de camping, un mobil-home, la plage : les vacances enfin ! Depuis huit jours ma femme et moi sommes sur ce petit terrain à ……………. La mer est à côté mais il y a un monde fou. Pour avoir une place pour mettre sa serviette il faut faire un vrai parcours du combattant et encore ! Pour aller de cette place si difficilement acquise à l’ eau, c’est une nouvelle course d’obstacles !. Donc, j’évite les vagues et voilà pourquoi aujourd’hui seul sur cette plage, perdu parmi la foule des estivants, je regarde la mienne se baigner. Elle est heureuse, elle me fout la paix !

Sur le terrain, près de notre mobil-home, il y a un monsieur seul, d’un certain âge, charmant dans ses manières et ses propos dont nous avons fait connaissance. Il n’est pas très grand, un peu bedonnant, le teint clair, un peu dégarni, toujours jovial et souriant. Il plaît énormément à ma femme avec laquelle il a de longues conversations. Moi, bien que je n’aie rien à lui reprocher objectivement, il me met mal à l’aise. Envers lui j’ ai des sentiments très partagés. Si d’un côté il m’ exaspère, d’un autre je suis malgré moi, incompréhensiblement, attiré vers lui. Quelque chose qui ressemble à de l’affectif. Un peu comme s'il était un père encombrant.

Chaque fois qu’il me regarde, il me sourit et ce sourire me déplaît. Et puis Comment dirai-je ? Trop beau pour un homme, très âgé , en petite tenue, négligé, décontracté.

Mais il plaît à ma femme ! Alors il passe beaucoup de temps en notre compagnie, ne rate pas une occasion de venir nous voir. Il faut dire que du matin au soir, il est alongé sur son fauteuil de toile à regarder les gens aller et venir. A croire qu’il ne fait rien d’autre durant ses vacances. Cela fait plus d’un mois qu’il est là ! Il connaît tout le monde, tous les petits cancans qui circulent. Il ne se prive pas de les diffuser !

Le camp est endormi maintenant et moi j’ai envie d’aller pisser. Je me lève sans bruit, enfile un short tout simple et sort pour aller aux toilettes. J’aurai pu pisser dans le mobil-home ; il y a un cabinet. Mais j’ai envie de sortir, de respirer l'air frais, de regarder les étoiles. Je sais d'autre part que je ne me rendormirai pas rapidement. Surprise ! Il est là, sur son fauteuil, vêtu d’une belle robe de chambre bleu ciel avec un parement blanc qu'on croirait de soie tellement elle brille et est légère.

Quelle aubaine pour lui, quelle catastrophe pour moi ! Je ne peux l’esquiver. Il me souhaite le bonsoir, me demande où je vais à une heure si tardive et ajoute, taquin, que c’est gentil de lui rendre visite, qu'il ne va pas me laisser aller seul à une heure pareille. D’ailleurs ça tombe très bien lui aussi a envie de pisser. HORREUR !!!.... Comment refuser sans être le dernier des grossiers personnages !

Nous voici donc déambulant de concert dans ce terrain où tout le monde est endormi. Arrivés aux urinoirs, il se met à côté de moi et ouvre en grand sa robe de chambre. Il ne porte qu'elle !

Mon short est un simple short à élastique. Je n'ai pas mis de slip. Je dois donc passer l'élastique de mon short sous mon sexe pour pouvoir pisser. Il me mate sans aucune gêne. Moi je suis tellement gêné que je ne peux pas pisser et lui pisse me montrant ostensiblement son engin. Il me regarde et me demande pourquoi je ne pisse pas aussi. J’ai envie de lui foutre mon poing sur la gueule et en même temps cette situation imprévue ne me déplaît pas autant que je le prévoyais! Après quelques efforts je pisse enfin et lui me dit sa satisfaction de me voir me débloquer. Il ajoute - pour m'être agréable ?

* bel engin, quelle chance , avec ça vous devez rendre votre femme bien heureuse. ! !

* "Regardez le mien, voyez comme il est petit ! C'est pas drôle, croyez-moi ! "

Comme si rien ne s'était passé, il referme sa robe de chambre et me convie à faire le tour du camp au lieu de rentrer directement me coucher.
Je devrais lui refuser. Mais comment le lui dire ?
Quel prétexte inventer pour ne pas être blessant ? Car je ne veux pas le blesser, alors que je devrais lui mettre ma main sur la figure à ce vieux vicelard !

Nous faisons donc le tour du camp. Nous parlons de choses et d'autres, du ciel surtout, chapitre sur lequel il est à l'aise et dont il a une bonne connaissance. Il est gentil, disert, blagueur. Le temps passe avec lui, comme toujours, agréablement.

Arrivés à nos mobil-homes, je lui souhaite le bonsoir. Il s'offusque et me dit "  nous n'allons pas nous quitter ainsi et vous prendrez bien un petit quelque chose avec moi ? " .

Je ne sais pas dire NON et donc entre dans son mobil-home. Il me fait asseoir et me prépare un tilleul qui va m'aider à me rendormir. Il a bien vu que j'étais nerveux.

Moi je vois un exemplaire du journal "Tétu" sur son buffet. Que dois-je en conclure ?

* Ah ! C'est un journal que j’ai acheté dernièrement , je ne connaissais pas et j ‘ y ai lu des articles intéressants sur les rapports entre hommes.

Il me sert ma tisane et me déclare, ce qui n'est pas faux, "  fait bien chaud dans ce mobil-home ". Comme j'acquiesce, il ôte sa robe de chambre et se retrouve donc en tenue d'Adam. Voyant mon air surpris, il me dit :

  • Je ne vous choque pas au moins
  • Non !
  • Ah, j'ai eu peur ! Mettez-vous aussi à l'aise !
  • Non, ça va, je suis bien.
  • Je ne vous crois pas ! Vous êtes en sueur, je le vois bien !"

Il est vrai que, mal à l'aise comme je suis, je sue par tous mes pores de ma peau. Il s'approche de moi, me passe la main dans le dos et me la présente trempée. Je ne peux que satisfaire à sa demande. Nous voilà nus l'un en face de l'autre, lui toujours à l'aise ; moi toujours coincé. Contrairement à ce que l'on pourrait penser, cette situation ne me déplaît pas vraiment. Je suis intrigué, me demande comment agir, pourquoi j'accepte tout ceci, où cela va me conduire. C'est la première fois que je la vis. Je l'aurais jugée des plus dégradante si j'avais pu la concevoir auparavant. Au lieu de cela, je bois ma tisane me sentant de moins en moins gauche face à cet individu. Il me parle toujours de tout et de rien, me commente les derniers potins, se déplace dans la pièce très naturellement, fait notre petite vaisselle. Puis il vient se placer près de moi :

  • Tu sais que tu es très beau ?
  • Vous exagérez !
  • Non je t'assure. Et puis bien monté !

Joignant le geste à la parole il me prend la bite. Je me contracte immédiatement, me lève spontanément, le regarde d'un air furibard, ai un geste comme si j'allais le gifler, mais n'ose continuer mon geste.

  • Allez rassieds-toi, nous sommes entre hommes ! On peut parler franchement, librement. Nous sommes seuls. Que crains-tu ? Que je te viole ? Tu es bien plus jeune et plus fort que moi ! Ne sois pas bête, je ne te veux aucun mal, simplement parler
  • Oui, mais c'est la première fois que quelqu'un me fait ça !
  • Parce que ta femme ne te branle jamais ? Ca m'étonnerait !
  • Mais ma femme, c'est pas pareil ! C'est une femme !
  • Tu t'entends bien avec ta femme ?
  • Oui bien sûr !
  • Je pensais qu'il y avait comme un problème entre vous. Oh, tu sais, tu ne serais pas le premier ! Vous êtes mariés depuis combien de temps ?
  • Dix ans.
  • Et vous vous aimez comme au premier jour ?
  • Non bien sûr, mais...
  • C'est pour ça que tu va pisser dehors la nuit.
  • …"

Alors une petite discussion argumentée commence au cours de laquelle il reprend les choses en mains, ma bite surtout. Et comme je me mets à bander sérieusement sous ses caresses, il commence une gentille branlette, comme ma femme en effet ne m'en a pas fait depuis bien longtemps.

  • C'est bon, hein !
  • Oui.
  • Je ne vais pas trop vite ?
  • Non !
  • Tu dis si tu veux que j'aille plus vite.
  • Oui.
  • Tu veux ?
  • Oui.

C'est la première fois qu'un homme me caresse et si j'étais rétif au début, je comprends mon trouble en sa présence maintenant que le premier pas est franchi. J'avais envie de faire l'amour et si les femmes ne m'attirent plus (pourquoi en changer ?) les hommes par contre deviennent des partenaires possibles. Où celui-ci va-t-il m'entraîner ?

Je suis bien avec cet homme qui me branle. C'est nouveau pour moi, c'est agréable. Je me laisse faire de plus en plus à l'aise, de plus en plus décontracté. Quelque chose en moi s'écroule. Toute une bande de vieux préjugés vole en éclats. Une autre vision des rapports entre hommes se fait jour dans mon esprit. Une autre forme des plaisirs corporels se dévoile à moi. La morale que l'on m'a enseignée jusqu'alors vacille.

  • Comment t'appelles-tu ?
  • Hein ?
  • Tu dors ?
  • Non !

En fait, je flotte entre deux mondes. L'ancien qui disparaît, le nouveau que j'entrevois. Pour la première fois je vis quelque chose d'inattendu, que je ne pouvais encore envisager sereinement il y a quelques instants et que j'accepte et apprécie maintenant. Je découvre des sensations nouvelles et même ce type qui me branle me fait connaître des sensations que ma femme n'a jamais su réellement me faire ressentir. Il y a branlette et branlette ! Celle-ci est vraiment bonne, faite par un connaisseur, mais les hommes ne sont-ils pas tous des spécialistes de cet art purement masculin ? Je rêve…

  • Comment t'appelles-tu ?
  • Ah oui ! Romain !
  • Tu ne me demande pas mon nom ?
  • Euh, oui ! Comment t'appelles-tu ?
  • Oscar.
  • Comme le petit canard ?
  • Si tu veux.
  • Oh ! excuses–moi, je ne voulais pas te vexer.
  • Alors branle-moi aussi au lieu de dire des bêtises.

Comment le branler ? Comment ne pas être maladroit ? Oh, et puis merde ! Tu veux que je te branle ? Eh bien, je te branle, salopard !

A partir de là, tous mes interdits tombent définitivement. Je lui prends la bite, cette bite déjà à demi érigée et l'emprisonne de ma main la branlant comme je me branle usuellement et le miracle se produit. Je le sens, je le ressens comme si je me branlais moi-même. C'est le pied ! Sans avoir appris, je sais branler un mec.

Tandis que je suis dans ces pensées, je sens une langue s'introduire dans ma bouche. Il me roule un patin. Il s'est approché de moi, tout près. De ses bras m'a enlacé. Ainsi étreint, ainsi baiser, j'entre enfin dans le jeu et lui rends son palot comme aux plus beaux jours où je les roulais, affamé, à mes conquêtes d'un jour. Je lui rends son palot et mes bras malgré moi l'enserrent rendant notre contact plus complet, plus fort, plus intime. C'est lui le meneur, le professeur, le maître et c'est en élève appliqué que je suis et essaie de faire de mon mieux pour apprendre cette leçon qui m'est donnée, que d'emblée j'apprécie, qu'inconsciemment j'attendais.

Nous sommes étroitement enlacés, nous branlant réciproquement, bouche à bouche. J'ai fermé les yeux pour mieux ressentir toutes les sensations que me procure cette union nouvelle. C'est alors qu'il lève son cul de sa chaise et sans me lâcher, quitte ma bouche et commence à me lécher sur les joues, derrière les oreilles, puis me tête leur lobe, avidement les noyant dans un flot de salive. C'est bon, très bon de se sentir aimer, caressé, cajolé. Toujours les yeux fermés je fais réserve de toutes ces caresses nouvelles.

Oui, avec ma femme, j'ai fait l'amour souvent, surtout dans les premiers temps mais jamais elle ne m'a procuré ces sensations voluptueuses, cette sensation d'aimer mon corps comme lui le fait. Elle aimait se satisfaire dans mes bras, mais comment expliquer cela ? Elle prenait son plaisir en utilisant mon corps sans réellement s'occuper de mon plaisir comme lui le fait en ce moment. N'en faisais-je pas autant ?

Lui s'occupe de moi, est attentif à mes réactions, m'écoute réagir, gémir, haleter sous ses caresses, insiste juste ce qu'il faut sur les points sensibles, puis se déplace pour explorer d'autres zones érogènes. Maintenant il est à genou, à mes pieds et explore de sa langue mon abdomen. Sa langue fouille mon nombril. Sa langue y pénètre, en ressort, y revient. Elle tourne autour de ce point central pour y revenir tandis que ses mains descendent le long de mon dos, me caressent les reins et effleurent le haut de mes fesses où elles s'attardent de plus en plus longtemps et activement. Mon bassin comme doué d'une vie indépendante de ma volonté de contracte, ondule. J'ai toujours les yeux fermés goûtant cette série de caresses, de baisers, de coups de langues qui mieux qu'une main sait me faire réagir. Toujours en me léchant, il atteint mon pubis où sa langue s'attarde dans mes poils, déborde sur mes cuisses, effleure mes bourses. La base de ma bite se contracte avec violence, par saccades, de manière totalement incontrôlable. Ma bite est bandée à mort. J'ai la sensation que je vais jouir à tout moment mais rien de tel n'arrive alors que cette envie de jouir devient intenable. C'est alors que je m'entends, dans un souffle, le supplier " sucez moi ".

Oh, que j'ai envie qu'il me suce avec cette bouche experte, qui sait me rendre fou, me faire perdre toute pudeur, toute notion du bien ou du mal ! Doucement il s'en approche, la taquine à petits coups, à la base d'abord puis de plus en plus près de mon gland totalement dénudé, sensible à l'excès.

C'est à ce moment, où plus rien n'existe pour moi autre cette attente du plaisir qu'il se relève et m'invite à venir dans la chambre où nous serons mieux pour continuer à nous aimer. Comme un somnambule je me lève, le suis et m'allonge sur le dos comme il me l'indique du geste et de la voix. Lui s'allonge sur moi, tête bêche et commence à me piper en m'avalant, me lâchant, me léchant, m'aspirant le gland. Tous ceci sans hâte, sans violence. Moi sans qu'il ne m'y invite expressément, j'ai pris sa bite en bouche et à son instar essaie de lui procurer les plaisirs qu'il me donne le suivant dans ses pratiques. Nous n'en sommes pas au même point et bientôt je lâche mon foutre en jets violents.

Ai-je un jour joui aussi violemment, aussi intensément, aussi abondamment ?

Je n'en suis pas convaincu ! Cet homme est un expert à mes yeux, un maître auquel je suis en ce moment plein de reconnaissance. Je suis épuisé, heureux, le monde pourrait s'écrouler en ce moment que cela ne me ferait rien tellement j'ai cette sensation de plénitude que l'on ressent lorsque notre corps est ainsi satisfait. Je suis si bien que plus rien n'existe autre que mon plaisir. Je réalise pourtant que je viens de lâcher sa bite et que lui est loin d'être satisfait.

Petit remord, mais coquette est comme un limaçon et à moins d'un miracle elle n'est pas prête à relever la tête. Sans que j'en sois conscient, il s'est retourné, et couché sur moi, il me couvre de bisous en me demandant comment je vais. Je lui dis que je suis heureux et ajoute :

* "Mais toi ?"

  •  

  • "Rien ne presse." me répond-il. "Attendons que pierrot reprenne vie."
  •  

Moi je doute qu'il reprenne vie de sitôt et suis un peu inquiet de la suite des événements. La suite se passe en discutions sur le lit où côte à côte nous buvons un Coca qu'il est allé chercher au réfrigérateur. Je lui dis ma surprise de l'avoir suivi si facilement, de mes problèmes avec ma femme, du plaisir que j'ai d'être avec lui, de son intensité, de mon étonnement. A tout, il me fait des réponses apaisantes, me déculpabilise, me dit que je ne suis pas seul dans mon cas et que si l'homme n'était pas si contraint, si bloqué par un tas de préjugés, une morale castratrice, il pourrait comme nous satisfaire son corps et vivre pleinement sa sexualité avec des personnes de sexe opposé et du sien.

Tous en discutant, il s'est rapproché de moi, me caresse, me bécote. Peu à peu je lui rends caresses et bécots et en moins d'une demi-heure j'ai le plaisir de voir coquette reprendre vie. Maintenant ma bite est belle, bien dressée, déjà palpitante sous les caresses de mon amant qui la flatte et me dit :

* "Tu vois, dans la vie il ne faut jamais désespérer et ne pas avoir peur de laisser au temps le temps."

Sur ce, je me tourne franchement vers lui, lui offre ma bouche et nous nous roulons un magnifique et long palot qui finit de nous faire revenir toutes nos ardeurs. Nous nous lâchons enfin, nous regardons dans les yeux, nous lançons un regard souriant et complice tandis qu'il prend ma bite et commence à la branler doucement.

Quand je veux lui rendre la pareille il me dit " attend ", se retourne, prend sur la petite étagère au-dessus du lit un petit tube qu'il ouvre et en sort une pommade presque liquide dont il se tartine la raie et l'anus. Puis il se couche en chien de fusil, me présente son dos après m'avoir demandé si l'introduire ne me gêne pas. Cela ne me cause aucun problème car sodomiser une femme est une chose que j'ai pratiqué assez souvent, alors avec un homme cela ne devrait pas être un problème. Effectivement je rentre sans difficulté dans ce trou graissé et qui doit être habitué à ce genre de pénétration vues la grandeur et l'élasticité de sa rondelle. J'avoue que pour moi, le plaisir n'est pas des plus importants. Dès que je me trouve en lui et que je commence à le limer, il manifeste des réactions de plaisir intense. Il vient à ma rencontre pour amplifier mes aller-retour, pousse des gémissements, même des cris de plaisir tandis que la cadence, sous sa demande, augmente. Mes mains l'ont agrippé fermement aux hanche et c'est avec toute ma force, avec une cadence qui devient infernale que je le défonce. Il est relativement vieux, du genre "peine à jouir". Je suis en nage, je m'épuise mais en même temps alors qu'il est maintenant déchaîné, qu'il crie" N'arrête pas, ça vient ! Oh oui ! Je vais jouir" et je sens en moi, qui me croyais vidé un besoin de plus en plus impérieux de jouir. Je dois maintenant me crisper pour ne pas partir alors que lui prétend toujours qu'il va inonder le lit d'un instant à l'autre. Je suis en sueur, j'ai mal dans tous mes muscles à tant me contracter et me déchaîner dans cette enculade qui n'en finit pas. J'ai mal à la tête, je suis comme inconscient, je perds la notion du temps, de ce que je fais. Je vais m'évanouir si cela continue encore longtemps !

Enfin un cri : "Haaaaaa…." Suivi d'un autre 'Ho ! Que c'est bonnnn…" Il jouit enfin ! Moi, sortant de ma demi-inconscience, je me relâche totalemnt et mon foutre retenu à grand peine et si longtemps explose jusqu'à la dernière goutte dans son fion, tout au fond de ses boyaux. La quantité m'en semble extraordinaire et jamais je ne me serais cru capable de jouir si abondamment et intensément en si peu de temps deux fois de suite. Je me relâche et ce n'est qu'au bout d'un certain temps que des baisers et des mots d'amour me réveillent. Je me suis endormi sitôt avoir joui. Jamais je n'avais atteins ce niveau de jouissance, jamais je ne m'étais donné autant avec une partenaire, jamais non plus je ne m'étais senti aussi jeune, aussi fort, aussi puissant. Je suis très fier de moi, je prends comme des marques de reconnaissances toutes les caresses, toutes les manifestations de plaisir que m'offre mon partenaire d'un moment. Je suis heureux, sans complexe, prêt à affronter le monde entier. Je suis un homme nouveau. Avant de nous quitter, il m'offre sa petite salle de bain où nous prenons une douche, puis un café fort avant de nous quitter sur un dernier baiser.

Les jours suivants, il sera très discret, évitera ma femme qui s'en étonnera. A elle, je ferai l'amour comme jamais pour lui montrer ma puissance. Elle criera grâce, mais je ne la lâcherai pas tout en me promettant d'aller voir du côté des garçons pour des plaisirs que seuls eux peuvent donner à un autre garçon. La vie et belle ! Ce vieux  OSCAR 74 ans m'a affranchi !!!…

Par simon - Publié dans : histoire racontée
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