histoire racontée

Samedi 5 juillet 6 05 /07 /Juil 08:48
dans le monde entier



















dans toute les langues














l'Amour homme ou femme confondu , il n'y pas un jour
















ou l'Amour est merveilleux














et que se lie la paix
















si tous se passais comme ça le monde en paix serait plus beau






bonnes vacances a tous  , sortez couvert et regallez vous

c trop bon





moi je passe mes vacances chez papy pour l'aider a nettoyer la pelouse


 vu ce que je vois


HUMMMMM!!!


je vais lui faire gonfler son bijou  et l'avaler par tous les bouts
Par simon - Publié dans : histoire racontée
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Vendredi 13 juin 5 13 /06 /Juin 20:40

mon neveu Julien , il y a deja un an
Au lycée, en classe de terminale. En travaux pratiques de chimie, je formais un "binôme" avec un pote de la classe ,Richard  , né le même jour que moi , avec qui je faisais scolarité commune depuis 8ans.
Les comptes-rendus d'expérience devaient se faire le soir, chez soi. Nous avions pris l'habitude de rédiger ces putains de comptes-rendus chez Richard , car moi je résidais une quinzaine de km plus loin  et cela m ‘évitais de faire le trajet deux fois . Ce dernier était de parents portugais, assez costaud, imberbe (comme moi ) timide avec les filles et avait une soeur ( Josette ) de 2a son aînée. Elle était à moitié foldingue, très grosse, m'appelant "mon chéri", me mettant la main au paquet, lorsque je venait chez eux (ce qui faisit marrer tout le monde) et qui n'avait dû avoir qu'une seule relation sexuelle jusqu'alors. (pas pucelle, mais qui "recherchait" beaucoup)..
Deus fois par mois, je mangeais chez ses parents et nous attaquions le TP après le repas. . Il était convenu avec mes parents ,qui etaient absent ce jour là  , que je couche chez lui.

 Sa mère (la "mama" typique) avait la main lourde sur la goutte portugaise dans nos verre en fin de repas. Ca nous tournait un peu la tête et nous mettait en forme pour la soirée. Lorsque ses parents étaient couchés, mon pote sortait une bouteille de porto et nous nous la sifflerons après avoir travaillé . Et ce  là , (je couchais dans son lit 2 places), j'ai attendu qu'il dorme(me semblais-je) et le porto aidant, j'ai commencer à me branler discrètement en prenant le soin de ne pas faire bouger le matelas.
En réalité, un peu ivre, je ne me rendais pas compte que je remuais le lit quand même
Soudain, j'ai sentis une main qui caressait ma cuisse: il s'était rendu compte que je me masturbais. Je m'arrête brusquement et je l'entends chuchoter:" continue! Je bandes aussi! ".
 J'ai posé ma main sur la sienne pour la guider de ma cuisse vers ma queue. J'ai entouré sa main autour de mon sexe et il a commencé ses va-et-viens. Maintenant que j'étais en "pilotage automatique", j'aventurais ma main vers son sexe. Il avait déjà baissé son caleçon! Et sa queue était dure, un peu courbé (le mienne très droite), assez grosse et il n'avait qu'un duvet de petits poils sur la queue et les couilles! Le toucher doux de cette queue chaude m'excita terriblement!
Puis j'ai tenté le tout pour le tout: "Au point où nous en sommes, je t'avoue, j'aimerais bien sucer...".
Il a allumé la lumière pour réorganiser nos positions: nous avons formés une sorte de 69 face à face, tout les deux sur le coté. Lui continuait à me branler d'une main et me massait les couilles de l'autre. Moi, j'attaquais ma première fellation sur une queue qui ne débandait pas ! Je commençais par sucer son gland, qui avait un gout que je reconnaissais bien: le liquide "pré-seminal" (que je goûtes toujours en me branlant c'est génial) !
Ma main droite caressant ses couilles posées sur sa cuisse droite, je plongeais ma main dans son entrejambe pour la placer à plat sur le haut de ses fesses. Je caressais cette paire de fesses douces en me décidant à en avaler un peu plus. Mes lèvres arrivaient à mi-hauteur de son sexe, son gland commençait à me titiller la glotte.
Et nous nous sommes mis à rentrer dans un synchronisme extraordinaire: A chaque aller retour de ma bouche sur sa queue, il faisait un mouvement de bassin pour que je l'avale en entier et, lui me branlant, me déposait un bisou sur le bout de mon gland. J'ai senti les premiers spasmes de son bas-ventre, il m'a dis " attends! " (certainement pour me prevenir) en voulant retirer ma bouche de sa queue.
Excité comme je l'étais et ayant réalisé mon rêve de suçer, je me décidais à allez jusqu'au bout: je goutterais le sperme d'un autre! Surtout lui: un de mes meilleurs pote à l'époque et qui m'avait avoué qu'il était puceau à plusieurs reprises (donc pas de risques).
Ma bouche autour de son gland, je lui fais le signe du " non " de l'index, et pointe mon index vers ma bouche en insistant. Je motive mes mouvements avec de petites claques rapides d'encouragement sur ses fesses (nous sommes face-à-face allongés sur le coté). Le premier jet de sperme dans ma bouche est puissant et les suivants se font moins forts mais plus longs. J'ai la bouche un peu anesthésiée par le porto et l'odeur qui remonte dans mes narines me plaît. Pas d'écœurement: j'avale le tout, tout doucement, je sens la semence couler au fond de ma gorge. J'ai alors un retour de goût salé/iodé qui emplit mes narines et qui m'aurait bien fait avaler une deuxième série de giclées! Un peu catho, il ne doit pas se branler que rarement, ce qui explique tout ce sperme éjaculé.
Richard est anéanti: il est sur le dos, la queue propre (je n'ai pas perdu une goutte!) en phase "demi-molle". Sa queue qui se dégonfle le gland découvert est magnifique.
Dans cet état, je lui propose de se retourner à plat ventre. Je me place au dessus de lui, et je balade ma queue le long de la fente de ses fesses (sans introduire). A partir du bas de son dos, j'éjacules jusqu'à ses omoplates en plusieurs jets puissants.
Je lèche alors son dos pour que rien ne vienne couler sur les draps. Il me chuchote " comment tu fais pour avaler? ".
 Je m'allonges alors sur le ventre à coté de lui et lui fis comprendre , en retenant mon sperme dans ma bouche, " goûtes... " et nous nous roulons une pelle si longue que le sperme se dilue dans la salive et disparaît dans nos bouches respectives.

Nous nous sommes endormi profondément ,dans les bras de l’un et de l’autre , tous les deux a poils.
Au matin , nous fumes réveillé par une voie qui nous disait « pas mal les petits bijoux de famille de ton copain petit frère ». c’était sœur……
« Tu pourrais frapper avant de rentrer »  lui lança Richard rouge écarlate
« bonjour chéri  , oui très mignon ce que tu as entre les jambes » me lança –t-elle.
« merci » répliquais-je mais ne pu ajouter un mot Richard l ‘ayant prié de sortir en gueulant « grosse cone vas te faire foutre »
elle quitta la chambre en roulant les hanches et disait « matcho petit frère et encore puceau ».
Nous primes la douche ensemble et un bon petit déjeuné préparé par sa maman.

Par la suite, nous avons développés cette espèce de sexualité "entre potes" sympa, sans prise de tête. C'était plutôt des parties de plaisirs sans conséquences sur nos vies respectives. Là-dessus, nous nous sommes bien rencontrés!
Puis le mois suivant , nous avons essayé la sodomie lorsque personne n'étais chez lui: j'adorais le prendre, lui allongé sur le ventre, les jambes écartées. J'enduisais mon index et mon majeur de vaseline et j'introduisais un doigt puis deux entre ses fesses et, après ce travail, j'introduisais ma queue dans son doux postérieur en lui léchant la nuque.






Pour moi ,

La position que je préférais pour me faire prendre les fesses était assez élaborée: Il m'enduisait les fesses de vaseline et je me mettais debout face à une vielle armoire équipée d'un grand miroir. Je mettais mes mains au dessus de l'armoire, les jambes légèrement écartées, et le dos cambré. Il posa un autre miroir au sol . Il introduisait alors sa queue entre mes fesses. Le miroir posé au sol me permettait de voir dans le reflet du miroir de l'armoire sa queue et ses couilles presque imberbes s'activer entre mes fesses. Ses bises dans mon coup et ma nuque me faisaient éjaculer sur le miroir de l'armoire et lui se retirait et éjaculait aussi sur le miroir. Nous passions nos langues sur la surface du miroir pour rejoindre nos bouches pour une pelle enduite de nos spermes mélangés.

Cela a duré un an... et aussi en raison d'un "incident"...

Je me pointe un jour chez mon pote, et, comme d'hab, Josette etait seule et m'appelle " mon chéri" . Personne n'était à la maison et elle me propose de rentrer pour attendre le retour de son frère. La voilà qui lance une cassette porno sur le magnétoscope, me passe la main entre les jambes en me disant " Alors! Rougis pas! ".
Je suis un peu gêné et elle dégrafe son chemisier et me présente deux seins énormes, ouvre ma braguette, se lève, soulève sa jupe, enlève sa culotte et se rallonge en long, les jambes écartées sur le canapé. Et me lance "  Alors? viens me baisé cheri"
 ...Et là: je bandes: elle est grosse ,pas très belle, a de gros seins, des grosses cuisses...
Mais sa chatte m'attire... je ne peus resiter......
Vu que le film tournait, nous étions dans l'ambiance, et je me décide à y aller. Au moment où je me déshabilles, elle me dis " personne ne viendra cet après-midi: les parents sont en famille et Richard est parti donner un coup de main à son grand frère pour son déménagement  ".

Nous baisons ainsi dans cette position (moi sur elle) pendant bien 20mn.
 Elle était en sueur et ça dégoulinait entre ses seins. je léchais cette sueur entre, et sous les seins. Elle agrippait ses mains sur mes fesses comme pour que je la pénètre plus loin encore. Je lui roulais des pelles où j'avais bien l'impression qu'elle allait m'étouffer avec sa langue tellement elle l'enfonçais loin dans ma bouche. Nous baisions en jetant un coup d'oeil de temps en tempss au film (une fille qui lèche une autre fille après que la deuxième ai pissé...).
Elle avait ce que l'on appelle une "motte grasse"...ça rentrait comme dans du beurre. Et elle me susurrait des " vas-y", "encore " d'une telle voix suave que j'ai éjaculé sur son ventre. Elle, l'air de rien, a goûté le sperme en passant un doigt sur son ventre en disant "  pas mauvais  " puis essuya son ventre avec sa culotte.
Elle me proposa un café devant le film porno qui tournait toujours...
« bouffe moi la chatte comme la fille » dit elle

je me mis la tête entre les jambes et je me mis a lêcher la chatte , mordillait le clitoris ,

 je me remis a bander dur comme fer , mon excitation était telle que je remontais progressivement vers ses gros seins que je mordillais au passage avant de retrouver sa bouche ,







ma queue raide au contacte de sa chatte y entra a nouveau ,


 elle me claquait ses mains sur mes fesses pour assurer les mouvement de pénétration et ces doigts me dilataient ma rondelle.
Notre excitations était à l’extrême , nous étions tellement pris que nous n’entendions même plus le film , ni aucun bruit.


Richard rentré plus tôt que prévu , nous observait , sans doute , quand soudain je senti entré dans mon cul une bite et une voie qui disait « salop , salop  tu baises ma sœur et bien prend ça pour la dernière fois »
Josette gardait le rytme sans être perturbé par l’arrivée de son frère qui lui me défonçait le cul sans ménagement.
Un coup de rein brusque et je senti couler dans mes entrailles sa semence tièdes et onctueuse.
Ce bienfait fit déclancher en moi la jouissance qui remplie le ventre de sa sœur de nombreux jets .
« Oui oui encore ,  j’en veut encore ». Dit elle
Richard lui enfonça sa queue demi molle dans la bouche en disant « tient prend ça et nettoie  ton puceau de frère »

Sa sœur s’appliquais et Richard se remis a bander , aidé par mon indexe dans son cul , il se mit a gemir , son corps ondulait je lui murmura a l’oreille « baise ta sœur comme ça elle ne pourra plus te dire que tu es puceau »
« bonne idée , elle vas déguster » lança –t-il
« mets toi a quatre pattes , salope de sœur »
elle s’éxcécuta et Richard entra dans sa chatte brullante ,il pénétrait avec puissance , elle hurlait de plaisir , il sortait , puis rentrait encore plus fort les couilles y aurai presque rentrées aussi tellement il etait en furie  , il ressortit a nouveau pris sa bite en main et d’un coup sec pénètra son cul sans préparation
elle hurla si fort que tout le quartier a du entendre .je lui enfourna ma queue dans la bouche pour réduire ces hurlements
Richard gardais la cadence un coup dans le cul , un coup dans la chatte , son corps couvert de transpiration s’écroule  sur le dos de Josette en lâchant sa semence dans sa chatte. pui ressorti et lui enfourna dans la bouche " salope de soeur leche ma queue et quelle soit bien propre "
Josette se mis a l'oeuvre et moi j'en profita pour enculer Richard

Elle remit sa culotte (!!!) cachant sa chatte baveuse de surplus de sperme et se rhabillât en disant « enfin le puceau ma baisé ».

Frôlant l'incident diplomatique, je quittais les lieux et nos changements d'orientations d'études tombaient pile !

 Dans les mois qui suivirent ,il se disait dans le quartier qu'elle se faisait la chien de la famille tellement elle était chaude et que personne n’ arrivait a la contenter!!!
Je suis parti et j'ai su, par la suite, que Richard et sa soeur, avait regretté de m’avoir perdu de vu  car c ‘était grâce a moi qu’il  l'avais sautée. .et  lui avait été dépucelé.
Il y a quelques jours , j'ai été convié au mariage (hétéro) de Richard , qui depuis avait mis en pelote sa copine .
 Lors de ce mariage, nous nous sommes retrouvés à 7H du matin seuls dans la cuisine à tout ranger...Nos regards ce sont dis "  tu te rappelles?  ". ET, pour enterrer ce passé, nous nous sommes branlés mutuellement et rapidement sucés...pour éjaculer dans une tasse dans laquelle nous avons versé un mélange de café-porto-goutte en trinquant à la future vie de chacun !
La jeune marié entra dans la cuisine , accompagné de la sœur de Richard , toute deux a poils aussi , la sœur de Richard se mis a genoux devant sa nouvelle belle sœur  ' Martine "et se mis a lui lécher la chatte en lui disant « pourquoi eux et pas nous »
Martine bien exciter par sa belle soeur Josette si a son mari " Richard nous nous somme marié pour le meilleur et pour le pire , comme tu aimes aussi ton copain Julien alors ce minet vas me baisé "

" Ma cherie , tu oserai me faire ça ? "

" OUi Richard comme ça quand Julien viendra a la maison il viendra pas pour rien.......  "

" alors Julien allez baise là vas y  elle est a toi , elle est a Nous"
 


je m'enfonça dans la chatte bouillante de Martine
,

sous le regard de Richard que sa soeur branlait doucement tout en le sucant









Martie se retourna en me disant " maintenant par dérrière "







dans la chambre  un brouhaha de " HAAAAAAAA....!!  "    "encore oui suce c bon ptite seour "              " OUUUIII "         " plus fort "  

  " continue " " ça viens oh! oui oui oui "
Richard se dressa devant moi et se vida sur mon visage

moi je vida mes couilles dans la bouche de Josette  , elle avala tous et cria 

                  Elle est pas belle la vie ! ! ! ! !

Par simon - Publié dans : histoire racontée
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Dimanche 18 mai 7 18 /05 /Mai 22:35

LE GENDARME
Voilà une histoire qui m'est arrivé voilà maintenant 2 mois.
Je me présente, Mickaêl, un jeune de 22 ans, grand, mince, yeux marrons, bruns, mais bon ça va, au fait j'oubliais  tendance gay;
Beaucoup de monde rêve de se faire mettre par un flic et bien si d'autres ont vu leur rêves se réaliser, et d'autres non, moi je fais partie de ses gens qui ont vu leur rêve se réaliser et du plus incroyable du monde.
Ce jour là, il était 19H00 je revenais des cours et dans ma caisse , musique techno a fond  , jetant un œil   sur un mag porno gay, tout en me branlant la bite, tellement excité j'augmentais la vitesse au rytme du  plaisir.

Arrivé à un carrefour, avec aucune voiture à l'horizon je brulais le feu orange bien  mure ,( bon je sais, c’est pas bien mais dans mon cas j'en suis heureux maintenant de l'avoir fait), alors en brulant le feu je me disais que il y' avait personne, mais, erreur de ma part car à quelques mètres une voiture de gendarmes me suivait avec sa sirène.

"Merde", j'avais le choix essayé de le semer ou m'arrêter !
Bon... je m'arrête et sors de la voiture, bien sur j’ai remit mon outillage en place.
Le mec s'approche et là je tombe des nu devant  moi un flic , un vrais apollon, j'en ai vu des comme ça mais lui il avait quelque chose d'autres, il était là debout dans son uniforme bleue qui soulignait ses pectoraux, mais ce sont ses yeux qui m'ont frappés, de beaux yeux bleu-gris avec une chevelure noir mais on distinguait quelques mèches grises qui faisait tout son charme.

Là il se met à me poser des questions de routine quoi:
- savez-vous que vous avez grillez un feu
- oui
-vos papiers et ceux du véhicule
-oui m’sieur
-en plus jeune chauffeur depuis 6 mois ça vas vous coûter un max…
-Ah ! NON m’sieur SVP
- et pourquoi ça
- je m'excuse mais j'ai vu personne alors je préféré continuer pour gagner quelques minutes.
- personne, et bien j'étais là moi et si il y'avait eu accident ?
- en tout cas avec vous je suis prêt à mourir.

Oups qu'est ce qui m'a prit de dire une chose pareille, je m'excuse mais il ne dit rien du tout et s'approche de la voiture et veut fouiller , oh la vache, la peur me prend , j'avais le magazine porno alors je me mets devant la voiture en disant :
- il y'a rien, je ne fume pas, ni me drogue pas, et je n’ai pas bu
- alors laissez-moi vérifier
- non je ne peux pas
- écoutez, je peux vous arrêter ou vous donner une amende, alors laissez moi verifier !
Là il me pousse sèchemant , ouvre la portière et se met à fouiller.
Je peux vous dire que là j'avais la honte de ma vie, j' avais même envie de m'enfuir et laissez la caisse.
Il ressort de la voiture avec le magazine,2 dvd porno avec des minets et ma boite de préservatif, qu'il met sur le capot et me demande de me retourner pour la fouille habituelle, je lui fais comprendre que je n’ai rien sur moi mais il ne veut rien comprendre.
Là il me retourne brusquement ,m’oblige a poser mes mains sur le capot de la voiture et écarte mes jambes .
Il pose ses mains sur mes épaules, tâte mon torse et les poches de ma chemise, redescend sur ceux du pantalon, j'en avais des frissons merde, je me remets à bander, oh merde qu'il fasse vite, il tâte mes fesses, mes cuisses, mes mollets et remonte sur mes fesses.
Là je sens poser ses mains sur mes hanches et là quelque chose contre mon derrière.
C'est quoi, ça je me suis posé la question, une arme, non par sur un cul quand même et là à ma grande surprise merde se mec se frotte contre moi.
Je n’arrivais pas à y croire, et mais si c'était vrai, oh mon dieu incroyable non.
Là dans se genre de moment vous êtes quand même à dire vraie dérouté, il me  fit retourner , il était là et il me regardait et souriait.
Je souriais mais sans comprendre réellement ce qui se passait.
Je pris mon courage balbutiant
-vous êtes gay?
- non je suis bi
- c’n’est pas vraie mon jour de chance
- si, incroyable, mon premier pd
IL garde mes papiers et me dit
-suis moi jusqu’au parking a 300m pour dégager la route.
-OK chef
On s'est mit à rire et je suis repartit à ma voiture et je l’ai suivi
La voiture de gendarmerie se gara et je fis de même derrière , il descendit du véhicule et vient s ‘ installer près de moi à me parler de sa vie, de son homosexualité.
On a ainsi discuté pendant un moment et j'en pouvais plus, là je saute sur lui et me met à l'embrasser, il n'en fut pas choqué comme je l'aurais pensé.
Au contraire il a répondu à mon baiser et on s'est mis à s'échanger nos langues.
Oh mon dieu se mec embrasse tellement bien, le gout des ses lèvres de sa salive quel bonheur.
J’en étais aux anges.
 En même temps moi sur le lui il me caressait le dos, et les fesses, il savait tellement le faire.
Je m'assois sur ses cuisses et lui déboutonne sa chemise que j'enlève, son t-shirt.
Là je découvre  , putain quel … torse.
Comme je l'aime, ce mec était une réponse à mes fantasmes, un beau torse musclé avec des pectoraux, mais le mieux était ses jolis poils frises sur tout son torse et ses deux bouts de tétons roses qui pointaient, qu'elle bonheur.
Je caressais le torse j'adore cette sensation de la toison, lui pendant ses temps avait ses mains posé sur mes hanches et me regardait calmement.
Je l'embrassais un moment et fit tomber le siège en arrière pour qu'il se couche ; Il se déboutonne pendant que je fais autant, je ne mis pas de temps à me retrouver nu et lui aussi.
Là le coup de grâce ce mec était la perfection en tout cas il possédait des gènes en or, des beaux pecs, de grosses cuisses bien velus, un vraie male, une vraie bête, il dégageait une telle virilité, avec une telle douceur.
Je posais mes mains sur son torse et pris sa queue entre mes mains, que j'admirais un moment, une belle bite d'au moins 19/20 cm, grosse avec des veines, elle était un peu violacée et se gland luisant, un appétit que j'avais envie de combler, ainsi je pris cette belle queue dans ma bouche.
Jamais de ma vie, j'avais ressentie un tel plaisir de faire la pipe à un mec, ce n’était pas une pipe banale, mais j'y ai mit tout mon amour, je voulais lui faire plaisir.
J’engouffrais cette bite entière dans ma bouche, jusqu'à la glotte , ma langue s’ enroulant autour de son gland, je redescendais sur la longueur de la bite, j'englobais les boules que je léchais et remontais pour engloutir une fois de plus le gland, hum quel bonheur et il aimait ça, je l'entendais jouir et crier et ç me faisait plaisir.
Pendant que je lui faisais sa pipe, je sentis son doigt s'insinuer entre ma raie, il me demande
- je peux ?
(Quoi ce mec me demande s’il peut, quel homme!)
- bien sur que tu peux je suis à toi
Il introduit son majeur dans ma rondelle qui s'écartait pour laisser le passage; hum quel sensation il avait l'air de chercher quelque chose, se doigt tournoyait autour de ma queue, son majeur allait plus loin et remontait, rien que ces mouvements de va et vient me faisait rougir et mouiller le cul, j'en haletais.
J'en pouvais plus et je le lui dit, alors il s'arrêtait et me demanda de me coucher sur le siege.
Nous sortimes  de la voiture  a poils les mats dressés , laissant les 2 portières ouverte pour cacher un peu celui qui serai dehors. Lui en l’occurence

Je me couchai  sur le dos et soulevai mes jambes à mon cou pour qu'il se place devant moi.
Je le vis se placer devant moi sa queue à sa main, qu'il posa contre ma rondelle, et introduisit doucement.
Centimètre par centimètre , c’etait douleur mais je ne voulais pas le lui dire, c'était ma douleur mais aussi mon plaisir.
Il me pénétra en douceur jusqu'au bout, je sentis sa toison pubienne contre mes fesses, ouf quel plaisir, je le sentais doucement et tendrement le temps que ma rondelle fasse connaissance, on se regardait et souriait il y avait une tel douceur sur son visage.
Mais au bout de 3 minutes mon cul s'ouvrait facilement et là il se mit à me baiser comme il le savait.
Sa queue entrait et sortait, elle glissa de plus en plus loin, j'en vais chaud au cul, mon derrière brulait, mon cœur bâtait la chamade, tous mes sens était troublés, j'e n'avais jamais ressentit un tel plaisir.
Il savait tellement se servir de nos corps, il ondulait docilement ses reins et moi pareil.
je le voulais plus loin, plus fort, je criais, je pris ses fesses entre mes mains je le poussais vers moi pour le faire comprendre d'aller plus loin , plus fort et il comprenait.
Ses coups devinrent de plus en plus dures mais toujours avec un brin d douceurs, sa queue me remplissait, sentir cette bite en moi c'était le comble.
Je relevai plus encore mes jambes, il était ainsi couché sur moi, son torse contre le mien, chaque partit de son corps me procurait du plaisir. Sa bouche qui me mordait le cou, les oreilles, sa langue qui se mélangeait à la mienne, ses poils qui me donnait de tel frisson sur mon corps imberbe, ses tétons, tout , tout me faisait chavirer.
On changea de position, je me mis à quatre pattes, il se retira un moment et il me regardait, mon cul et là il dit
- " t'es bien ouvert là".
Il revint vers moi et me pénétrai d'un coup que je m'écroulais sur le siège arrière, le cul toujours en l'air.
J'avais cette pose de chienne en chaleur et j'aimais ça, lui a genoux entrain de me pilonner, sa queue qui me frappait brutalement ses mains qui me caressait, me pinçait les tétons.
Il m'insultait
-T’es une vrais pute , une salope
- OUIIIIII encore insulte moi encore plus fort.
Parfois il ressortait et frottait son gland contre mon cul.
Il me baisait ainsi pendant un moment , un fantasme me revint en tête : «  être baiser en plein rue ».
On sortit et me mit contre la voiture, le dos contre le montant central des portes, mes mains agrippé a la barre du toit il vint et souleva mes jambes et me pénétrait ainsi le corps relevé vers le haut.
Dans cette position, je sentais tout son corps, nos transpirations me rendait encore plus en extase, je m'accrochais pour ne pas tomber mais aussi pour le sentir plus en moi.
Et là au moment où on ne se rendit pas compte, une voiture passa et le mec s'arrêta un moment et descendit sa vitre , criant « elle est belle la maréchaussée » et repartis.
Il en fut tout rouge de honte.
J'en avais eu tellement plaisir et honte mais lui il me fit comprendre qu'il avait aime et se remit à me baiser de la sorte.
Nous rentrions dans la voiture ou je me couchai et il vint sur moi et me pénétra une fois de plus.
Il me baisait un moment et là d'un coup je l'entendis gémir plus fort et sa queue se contracter ainsi que tout son corps.
Je sentis glisses sa semence en moi à long jet.
Il resta ainsi un moment et se remit à m'enculer, avec le sperme, un bruit de fluxion se faisait entendre et on en riait.
Il ressort sa queue et se couche sur le siège auto et on se regarde un moment et on sourit, il me déposa un baiser sur ma bouche et se revêtit, moi pareil.
IL me regarda calmement, j'avais peine à partir mais je ne le montrai pas, mais bon c’étais qu'un coup quoi ? Rien d'autres.
Je le suivis jusqu’ a la voiture de gendarmerie , me redonna mes papiers en disant
-bon ça va pour cette fois ci
-merci .c’est mieux que l’amende et le retrait de poins
- tu veux bien me donner ton numéro de tel?
Quel choc ! Je ne pouvais réagir...
- ok laisse tomber si tu ne veux pas
- non ce n’est pas ça, c’est juste que je n’imaginais pas que tu me le demanderais
- et pourquoi ça ?
- ben un coup d'un soir j'en connais , et je ne grillerai plus les feux a l’avenir
- alors donne !
Je lui donnais mon N° et me dirigeais vers ma voiture pour rentrer chez moi, sur la route il était derrière moi, il me suivait.
L’autre nuit, on a parlé pendant près de 2 heurs au téléphone, pour se revoir le lendemain.
Depuis ?
Je le voie toutes les semaines
Mickaël

CONCLUSION : respectez le code de la route des gendarmes comme lui ça courent pas les rues , sinon vous serez bzé mais moins agréablement

Par simon - Publié dans : histoire racontée
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Dimanche 11 mai 7 11 /05 /Mai 18:51

mon oncle Simon , soixante deux mais encore bien foutu pour son age
Je vous raconte cette histoire vraie
Tout d'abord  je suis Pascal , j'ai 26 ans
.




Il y a un mois de cela a quelque chose près, je devais aller aider mon oncle pour son bois (le couper et ranger).




J'arrive chez eux, mais ma tante est pas là, elle est très malade et elle est à l'hosto.
On fait le bois toute la journée, ça avance bien, à 19 h il me dit :
" ben c'est l'heure de l'apéro !"
 
On mange un morceau et on mate la tv ,comme dab il y a rien ,mon oncle me propose de regarder un dvd érotique trés cool.
Bonne douche et au lit.
Mon oncle me dit
- ben tu ne vas pas dormir dans le canapé tu viens avec moi
(à vrai dire j'étais heureux car le canapé est pourri)
Je le suis, il quitte son peignoir de douche et moi j'étais en bas de survêt avec que dale en dessous.
Discrètement je le mate car sous mes aire de matcho grave, je kiffe les mecs, mais personne n'est au courant.
Dans le lit mon oncle tombe direct et moi je tombe de sommeil aussi mais en bandant grave.
La nuit passa d’une vitesse impensable .
Le matin réveil cool.
Mon oncle bouge et ça me réveille, comme chaque matin je trique grave.
Lui d'une voix endormie :
-Ça va t'as bien dormi
-Ouai
Il se retourne de coté et je sens un truc chaud sur ma cuisse
(Putain il bande aussi , car c'est dur)
Je ne bouge pas je suis toujours sur le dos
Il me regarde et me dit
-pas trop courbaturé
-non ça va
-tu te lèves ?
-heu...(avec ma trique je préférerai que ce soit lui) ben j'aime rester au pieu le matin

-heu ……  (il est un peu gène)....
-moi en riant je lui dis : tu triques et t'as honte
-oui et je pense que toi aussi
-oui c'est naturel chez tous les mecs c’est comme ça
Et la il me scotche
-ta déjà eu une relation avec une fille
-moi ben oui quand même j'ai 25 tonton
- et c'est comment
Là je rougis et je suis mal car j'ai juste niqué avec des mecs
-ben cool...
Je trouve que ça à répondre, lui me répond :
- et avec un mec?
- j'suis pas pd tonton
- moi non plus mais j'ai pourtant essayé
- ben t marié
- oui je sais et n'en parle pas à ta tante, elle ne comprendrait pas
Je sentais sa queue frottée sur ma cuisse. Tt la il me caresse très sensuellement et j'en peux plus je pensais pas que ca arriverait j'y pensais même pas !
sa main arrive a ma bite et commence à me branler doucement
moi, je lui dis :
- Tonton tu sais, je suis attiré que par les mecs et personne le sais non plus
- tu veux faire quelque chose avec moi
– oui
-Tu veus baiser ton oncle ?
--oui euhh ! ! mais baise moi avant.
et la il m'embrasse d'abord tendrement et ensuite il prend les chose en main.
il a lâché ma bite et se frotte la tige sur la mienne délicatement il me retourne sur le ventre et commence à se frotter dans ma raie puis passe une main sous mon ventre et me relève un peu
-je vais te baiser
Putain mon oncle je l'imaginais pas comme ça!
Il crache sur mon cul et sur sa tige puis plaque son gland sur mon cul et commence à rentrer mais sa coince.
Il recrache et là me met un putain coup de rein !
– doucement tonton
- avec les mecs il faut être viril
les premiers va et vient me niquent le trou puis je commence à jouir du cul et mon oncle commence à prendre grave son pied. il me prend les hanches rentre a fond puis se met à me branler.
Très rapidement je me mets à jouir en gueulant mon plaisir
Il se met à me relimer en me disant:
-- je vais te faire jouir comme personne
et là j'avais l'impression que j'étais vierge du cul, je prenais un plaisir grave et ça a duré un bon moment.
Un tel plaisir que je ne m'étais même pas rendu compte que je n'avais pas débandé.
Il finit par me jouir dans le cul ,
Mon oncle me reprit la queue et commença à me branler
après qu'il fut sorti de mon trou bien chaud a toi l’honneur dit-il
je fis comme tonton , je crache sur son cul et sur ma tige puis plaque mon gland sur son cul et commence à rentrer.

Je met un putain coup de rein ! c’est rentré comme dans du beurre.

les premiers va et vient en douceur niquent son trou  , mon oncle commence à prendre son pied. je le prend  par les  hanches rentre a fond 

 moi je commence à vider dans son cul ma jouissance très chaude.


On retomba dans le lit après que je  fus sorti de son trou bien chaud.


On parla un peu puis il se leva prit une douche et fit un p'tit dej.


La matinée passa avec le bois

depuis j'ai pourtant revu mon oncle, mais rien ne parait et par moment je pourrais croire que j'ai fantasmé mais pendant certains repas il  me fait des clins d'œil.









Voilà mon histoire en y repensant, je bande et jouis souvent alors je voulais vous en faire profiter bonne branle.
Pascal
Par simon - Publié dans : histoire racontée
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Dimanche 6 avril 7 06 /04 /Avr 17:12

Une affaire de famille raconté par mon petit fils Karim

Un jour d’août 2007

 

--

 

A poil devant l’ ordi de mon pépère (oui j’ai le droit quand je passe le voir) , la queue congestionnée en regardant une vidéo préféré de mon papy. .

Alors je fais ce que je n'ai encore jamais osé faire. Je m'inscris. Un pseudo un peut aguicheur , un pswd et en quelques secondes j’ apparais dans la liste des new inscrits.

Mon premier message est simplet, anodin, lisse comme il n'est pas permis : "Bonjour à tous"

Mon" bonjour à tous" à peine affiché à l'écran, mon beau jeune homme me contacte

Comment sais-je qu'il est beau ? …..Elucubrations !…. Simples élucubrations dopées par des fantasmes d'un jeune qui vit encore dans le monde de Disney et des princes charmants !

 

 

j'ai une folle envie de répondre à ce mec qui dit avoir 21 ans ? ? ?, semble sympa et a une façon de se présenter qui me séduit. Pourquoi ? Je ne saurais le dire mais les mots qu'il emploie, sa manière de faire ses demandes trouvent en moi un écho favorable, émoustillant. Il m'excite avec des mots simples, apparemment innocents.

Soudain il me dit " " Je me caresse sans oser aller plus loin dans la réalisation de mes désirs. Dans le bois de Tilly on de trouve que des vieux, certains même très vieux.

--ah ! bon tu connais c bois ?

--bien sur ,mais toi aussi alors tu habiterai la même ville que moi ?

--non je suis en vacances chez mon papy

--T avec un vieux ,,, Physiquement ils ne m'attirent pas ! Beaucoup me dégoûtent et j'ai bien du mal à comprendre que de vieux machins comme ça courent encore après d'autres mecs ! " "

 

--Ah ! bon tu crois ça . ( je ne suis pas du tout de sont avis malgrés mon jeune age )

 

-- " " Pourquoi faire ? Moi je croyais qu'à cet âge on n'avait plus de besoins, plus d'envies, qu'on était impuissant, les couilles vidées pour toujours, que la bandaison n'était plus qu'un souvenir. A les voir ainsi, je les pense tous, vicieux, pervers.

 " ".

 

--Moi, ce dont je rêve, ce sont des relations amoureuses avec des jeunes de mon âge ou guère plus âgés.

 

 

Sa réponse inattendue, est comme un coup de poing en pleine figure ! "  ça de dis de baizer ".

La bouche subitement sèche, fébrile, tremblant, la sueur coulant le long de ma colonne vertébrale, j'engage la conversation. Bien vite il me pose des questions me demande de me présenter, de lui dire mes goûts, ce que je cherche. Tout ému, je rate les touches du clavier alors qu'il tape tel une mitrailleuse.

J'arrive même à bafouiller sur l’ ordi ! Fortiche non !

Dire si je suis dans un état second ! J'ai l'impression d'être godiche. Cela ne m'empêche pas de dire ce que je n'ai encore jamais dit à personne.

Il me devine, me dévoile, me confesse. Il me trouve sympa, me demande un rendez-vous

Paniqué, la situation m'échappant, je refuse.

Il insiste, me demande de justifier mon refus. Il l'emportera haut la main : j'accepte !

--OK Je t’attend demain à 14 heures au coin de deux routes ,au parking à l’entrée du bois , tu connais ? j’y serai avec mon scouter rouge ,soit a l’heure j’aime pas attendre.

--OUI ,OUI promis ( je m’y promène souvent avec mon pépère).

 

Inutile de dire que ma nuit n'a pas été réparatrice. Masturbations, rêves érotiques l'ont accompagnée.
Au réveil, j'ai la tête dans le cul !
Je fais une toilette approfondie de mon corps. Je ne me lave pas, je me récure. Je choisis les vêtements qui me mettent, à mon avis, en valeur, me laissent à l'aise et me permettront de me déshabiller sans difficulté si…. Mon émoi est tel que ma queue ne débande pratiquement pas de la matinée. Ma liqueur d'amour inonde le bout de ma tige en permanence. Si je ne me calme pas, je vais avoir les burnes asséchées à 14 heures. Il est midi, je n'ai pas faim. Le réveil aussi montre des faiblesse, il n'avance pas !

  Il n'est que 13h30 lorsque j'arrive sur le lieu du rendez-vous.
J'ai l'impression que tous ces gens qui passent sont au parfum de la raison pour laquelle je suis ici. J'ai la bouche sèche, ai du mal à déglutir. Ma tête est en feu. Pourtant ce lieu est bien anodin. Pas un homo en vue ! Des gens tout à fait ordinaires qui vont et viennent. Mais pour moi, ce n'est pas un jour ordinaire ! Enfin un scouter ralentit va se garer sur le parking qui est à environ cent mètres d'ici. Un jeune homme en descend, regarde avec insistance dans ma direction. Le look sportif, plutôt massif, 1,80 mètres environ, il enlève le casque cheveux courts, peignés en brosse, il ressemble assez bien à la description qu'il m'a faite de lui. Il tourne autour, ouvre le coffre, semble y chercher quelque chose , sort un autre casque , puis discrètement fait un signe en ma direction. J'hésite.
 J'hésite car je vais faire le geste qui va me faire pénétrer dans un monde nouveau, un monde que j'ai envie de connaître depuis longtemps, qui va me délivrer une réalité espérée et appréhendée ! Mes peurs m'assaillent, mes doutes me submergent. J'avance comme un automate. C'est dans un brouillard complet, avec l'impression de faire la plus grosse bêtise de ma vie et l'envie irrépressible de la faire que je m'approche

--Mais je te connais toi

--Oui moi aussi je crois

--tu es pas le petit fils de Simon

--si pour quoi tu connais mon pépère

--bien sur je le connais c’est mon tonton

--ton prénom c’est quoi ?

--Robert  21 ans et toi ?

--moi c ‘est Karim 18 ans

--super Karim on vas faire ça en famille

--heuuuu….. oui

--aller met le casque et monte derrière moi

j’ai juste le temps de faire le tour de sa taille qu’il démarre presque aussitôt.

Nous roulons depuis un moment lorsque je sors enfin de mon mutisme pour lui poser la question qui traduit toute mon angoisse du moment.

--Où allons-nous ?

--Dans un coin tranquille où nous ne risquons pas d'être dérangés.
Tu connais le lieu dit "Les Communs" près de la rivière ?

--Non

--C'est un endroit charmant, isolé où seuls les oiseaux viennent troubler la quiétude du lieu. J'y vais souvent m'y faire bronzer quand il fait beau.

--Et t'y amènes tes conquêtes !

--Comme tu y vas ! Tu me sembles bien fébrile. T'as un problème ? T'as peur ?

--Non. Oui. C'est à dire...

--Tu sors souvent avec des mecs ?

--C'est à dire…

--C'est la première fois, pas vrai ?

--Oui !

--Je m'en doutais. Ne crains rien. Je ne te ferai aucun mal. C'est un honneur de dépuceler un jeunot. On ne fera que ce que tu veux. Mais t'as raison d'avoir peur. T'aurais pu tomber sur un vicieux, un salaud. Il y a des malades partout, tu sais !

Tout en conduisant, il avance sa main et la pose sur ma cuisse. Comme je fais un geste de recul, il reprend :

 

--Calme-toi ! Laisse –toi aller ! Tu verras. On va bien s'amuser tous les deux. Je suis certain que tu vas aimer. T'es beau, tu sais ? T'aimes pas les filles ?

--Je sais pas. J'en ai jamais connu. Je veux dire comme meuf.

--Et les mecs ?

--T'es le premier.

--Alors c'est la grande première ! Tu sais ce que tu veux ?

-- .!.!.!.!.!

--Je veux dire qu'est-ce que tu préfères qu'on fasse ?

--Ch'ai pas ! A part m'branler devant des vidéos, je n'ai encore rien fait.

--Même pas avec les copains ?

--Même pas ! J'ai jamais osé ! Et puis il y a tous ceux qui se moquent, cherchent des noises, vous emmerdent…

Pendant tout ce dialogue sa main est restée sur ma cuisse. Je bande comme un fou.

Je garde les yeux fixés sur la route devant moi. Nous roulons encore un moment avant qu'il ne prenne un chemin forestier juste assez large pour le scouter. Nous roulons ainsi un moment jusqu'à ce que le chemin s'arrête .

Il coupe le contact se tourne vers moi me sourit. Sa main reprend possession de ma cuisse qu'il commence à caresser, tandis que sa bouche s'approche dangereusement de la mienne. On avait même pas encore enlevé les casques.

Toutes mes craintes me reprennent. J'ai une folle envie de retourner chez moi en courant.
Mais il est bien tard et d'un autre côté j'ai espéré ce moment depuis si longtemps qu'il serait stupide de partir maintenant ! Je reste là, scotché contre ke scouter. Sa main remonte sur la bosse que fait ma bite le long de ma cuisse et commence à la caresser doucement

tandis que ses lèvres se plaquent sur les miennes. Il a passé un bras  derrière ma tête et c'est avec une grande douceur, une grande fermeté qu'il force mon entrée. C'est la première fois qu'on me roule une pelle !

Je suis surpris, me laisse faire, ne pense même pas à y répondre. Je suis immobile, tétanisé. J'ai depuis un moment fermé les yeux. Passif, je me laisse faire, découvrant par mon corps toutes ces sensations nouvelles qui font courir les hommes les uns vers les autres. C'est bon, je me décontracte un peu sentant que Robert,  ne me brusque pas, qu'il est tendre, doux, sensuel. Sa bouche se fait plus gourmande. Je commence à réagir à cette caresse inconnue que je trouve agréable. Il se recule, me regarde dans les yeux tandis que sa main enserre fermement ma tige.

--Tu aimes ?

--Oui !

--C'est comment ?

--C'est bon !

--Alors laisse toi aller, ce sera encore meilleur !

Là dessus il s'écarte suffisamment de moi pour passer ses mains dans l'élastique de mon pantalon. Devant sa demande non formulée oralement, je frétille mon bassin. Il baisse mon froc jusque sur mes genoux.

Comme dirait ma mère, toute ma marchandise est exposée à l'étalage ! De la belle marchandise je vous jure ! Une queue bien raide, bien droite, émergeant d'une belle touffe triangulaire de poils noirs, bien fournis.

Il prend appui sur le scouter tandis que de sa bouche il gobe mon gland, l'embrasse, le lèche. Je frissonne sous ces attouchements inconnus. Mon bassin répond immédiatement à cette première approche, j'entre, incrédule, dans un nouveau monde. De sa bouche il me pipe, de sa main il me caresse les couilles.

 

--Oh, oui ! J'aime ! Oh, c'est bon ! C'est bon ! J'aurai jamais cru que ce soit si bon ! Parole !

Ces mots sortent de ma bouche sans préméditation, indépendamment de ma volonté. Arc-bouté sur le bord du siège mon bassin se soulève, va au devant de sa bouche, se tortille de droite à gauche. Je ne contrôle plus rien !

Il se relève, se tourne vers moi et avec un sourire d'une grande amabilité, plein de douceur, de gentillesse, me dit me fixant de ses beaux yeux bleus : "Tu es beau tu sais !".

Où suis-je ? Que fais-je ?

Bêtement je réponds : "Oui"

Il sourit un peu plus intensément, devient presque paternel et reprend sa sucette. Moi, je lui prends la tête et commence à la lui caresser. Instinctivement je lui donne un rythme pour que sa succion soit la plus agréable possible. Il se laisse guider. Reprenant lentement mes esprits, devenant plus confiant, je passe une main sous sa chemise grande ouverte et la glisse sur son dos. Je sens alors la douce chaleur de ce corps qui dégage une impression de force lorsqu'il est debout et une impression de douceur infinie lorsque comme en ce moment il s'occupe de moi. Je pourrais jouir s'il me suçait avec plus d'ardeur mais il est à mon écoute et limite la puissance de ses succions, leurs vitesses pour que je puisse me contrôler. Je prends de l'assurance.

Maintenant mes craintes, mes peurs sont en grande partie inhibées. Ma main quitte le haut de son dos pour dégager sa chemise de son pantalon pour que je puisse lui caresser largement le dos.

Qu'il pompe bien ! C'est vraiment meilleur qu'une branlette solitaire ! Ma main cherche maintenant à se glisser sous sa ceinture pour aller lui caresser les fesses, je m'enhardis ! Mais le passage est trop étroit !

C'est le moment qu'il choisit pour se relever et me dire : 

--Viens ! Je vais te montrer mon coin secret.

--Si tu me le dis, il ne sera plus secret.

--Tu es beau, tu es pur, tu es innocent, j'ai confiance en toi. Viens ! On va s'aimer pour de vrai ! Je vais t'apprendre !

*****


Il pris un sac dans le coffre du scouter , mis les casques a la place , mis l’anti-vol et je le suivais.

Je me croyais arrivé mais le chemin dans les fourrés, les fougères, entre le scouter et son petit coin secret est long et compliqué. Au moins dix minutes de marche dans un dédale de sentes dont certaines à peine foulées du pied. Enfin nous arrivons près d'un petit ruisseau. Un lieu solitaire, clame, perdu dans la verdure où il semble qu'aucun homme ne soit encore venu. Il y a là juste assez se place pour nous deux. Il ouvre son sac et en sort une grande couverture qu'il étale sur l'herbe. Il retire ses chaussures, je l'imite.

Depuis que nous avions quitté le scouter , nous n'avions pas échangé un mot. Maintenant il me sourit s'approche, me prend dans ses bras.

--Je suis heureux de t'avoir rencontré, tu sais !

--Ah !

--Oui, parce que des hommes, il est facile d'en rencontrer, mais des mecs biens qui ne soient pas des obsédés, pressés de retrouver bobonne ou qui profitent d'une courte pause pour venir décharger en vitesse, c'est assez rare.

--Ah !

--Que t'es naïf ! C'est un plaisir d'être avec toi ! Tu sembles si pur ! C'est rare d'avoir l'occasion d'initier un puceau. C'est un honneur, une responsabilité.

--Ah, bon !

--Bien sûr ! Si je m'y prends mal, je peux te dégoûter à tout jamais de l'amour, du plaisir de faire l'amour. Tu es si tendre ! On parle de ces choses chez toi ?

--Non… jamais. Jamais , mais avec mon pépère on en a parlé

--Tu le regrettes ?

--…, Je crois. Je ne sais pas. J'aimerais savoir plus.

--Je vais t'apprendre. Laisse toi aller, sans crainte, sans pudeur, oublie tout ce que l'on t'a dit ou vu dans des films porno. Soit toi-même !

Disant ceci il pose sa tête à côté de la mienne, la cale sur mon épaule et commence à me caresser le dos. Il attaque aussi une série de baisers dans mon cou, sur ma nuque. Je suis comme un bébé dans ses bras. Il est d'une douceur, d'une tendresse, d'une prévenance infinies.

Je me sens faible, très faible. J'ai confiance en lui, m'abandonne totalement à ce garçon guère plus âgé que moi mais combien plus expérimenté, plus mature !

Je réalise alors que je suis passé à côté d'une catastrophe ! Si j'avais rencontrer un salopard, un baiseur inculte, une brute épaisse ! Je chasse vite cette idée, m'abandonne encore un peu plus dans les bras de mon initiateur.

Il me caresse le dos relève mon polo. Sa main s'insinue dans mon pantalon tenu par une ceinture élastique qui lui laisse le passage libre. Sa tête se plaque un peu plus à la mienne, son bras s'allonge et c'est à pleines mains maintenant qu'il me pelote les fesses. Il se détache de moi, me contourne, me laissant debout tandis que dans son mouvement tournant il ne quitte pas mon cul qu'il met complètement à l'air. Il est maintenant à genoux derrière moi. J'ai le pantalon sur les chevilles. Il m'a pris la taille. Ses mains me caressent les flans, les cuisses, les mollets, descendent, remontent. Sa langue me lèche les fesses, se glisse dans ma raie. , un doigt semble vouloir entrer mon intimité . Je me penche en avant pour lui permettre une intromission plus profonde.

Ma main se saisit de ma bite qu'il semble ignorée et qui demande qu'on s'occupe d'elle ! Je commence une série de va-et-vient le long de ce manche que j'adore branler.

Voyant ceci, avec sa main, il éloigne la mienne. Toujours sur les genoux, il me retourne. C'est alors sa bouche qui prend la place de ma main et commence une fellation qui me met en transe. Dès qu'il prend ma bite je ressens des sensations jamais connues ! Comme mon polo lui tombe sur le visage je l'enlève et me voilà nu le corps exposé à un petit vent qui ajoute aux sensations très agréables qu'il me procure ! Bien que me pipant, il n'a pas lâché mes fesses auxquelles il s'accroche et pétrit de belle manière. Je suis maintenant excité à mort, ! J'ai terriblement envie, envie de lui.

Alors je me penche, commence à lui caresser le dos mais sa chemise me gêne. Je tente de la lui ôter mais placé comme je le suis, ne le peux. Robert se redresse la défait, l'ôte rapidement, ôte aussi son pantalon, son slip puis reprend ma queue. J'ai son dos à disposition. De la nuque au bas de ses reins je le caresse comme je le sens, comme je le peux. Je suis gauche, je sens que je manque d'expérience. Je me penche de plus en plus et finis par me mettre à genoux, face à lui. Nous nous enlaçons. Nos bouches se plaquent, nous nous embrassons avec passion. Nous restons ainsi un long moment collés l'un à l'autre nous aspirant, nous suçant. Robert a pris nos deux queues et les branle de concert. Puis, me serrant plus fort dans ses bras, il se penche sur le côté, m'entraîne dans sa chute et nous voilà allongés face à face.

Plus à l'aise nous nous caressons mutuellement sur tout le corps. Ma main rencontre sa queue. La saisit. Je suis maintenant en pleine confiance, heureux d'avoir osé, d'avoir franchi le pas et surtout d'avoir rencontrer ce type extraordinaire. Il pourrait me demander n'importe quoi en ce moment je crois que je le ferais sans réfléchir !

Je suis fou comme tous les jeunes chiens, comme tous les amoureux ! C'est la première fois que je prends une queue qui n'est pas la mienne. Je suis surpris par sa chaleur sa dureté et sa douceur. Instinctivement je me déplace sur cette tige et découvre le plaisir de branler un mec. Sensation délicieuse. Plaisir de sentir que mon partenaire apprécie cette caresse. Ses couilles qui battent sur mes mains comme pour me rappeler qu'elles aussi ont besoin d'attentions. C'est une nouvelle découverte des plus agréables. Mais la peur de lui faire mal m'arrête. Je suspends mon geste. Je sais d'expérience qu'on ne peut faire n'importe quoi avec ces bijoux.
Alors Robert comprenant mon hésitation, prend les miennes, me montre comment m'y prendre, me conseille de la voix. Nous voici chacun avec les balloches de l'autre en main. Nos bouches se sont de nouveau réunies et nos langues tiennent un discours sans paroles très agréable.

Nous sommes bien ainsi. Je resterai là des heures il me semble à tripoter ces deux petites boules, en sentir leur volume, les faire glisser l'une contre l'autre, glisser ma main dans son entrecuisse, remonter sur sa toison. Je ne suis qu'un débutant, sans expérience, sans trop d'imagination. Il est beau, costaud, imberbe. Il me cajole, me considère, m'éduque, me respecte. Je voudrais rester ainsi avec lui pour toujours, que le temps s'arrête ! C'est trop bon, trop beau !

C'est pourquoi je suis surpris lorsqu'il se détache de moi, me place sur le dos et se met à quatre pattes au-dessus de moi. Bien vite je comprends. J'ai vu assez de vidéo pour connaître le nom de cette figure et son mode d'emploi ! Je suis naïf mais pas inculte !

Sans attendre, Robert s'empare de ma queue, la pompe. La sienne est placée où il faut. Après une très courte hésitation, je la prends. Je ne sais si vous vous rappeler la première fois que vous avez happé une bite, mais moi je ne sais trop comment faire. Alors de sa bite, à ses burnes, à sa toison, à son entrecuisse, jusqu'à sa raie, je suis Robert dans son parcours, je l'imite.

J'apprends à le pomper, à le lécher, à le sucer et découvre ses zones érogènes comme je lui livre les miennes par mes petits gémissements, mes petites contorsions mes petites contractions. Nous nous découvrons par anatomie comparée, par réactions partagées. Je découvre, bien partiellement encore, son corps, ses zones sensibles, ses réactions, les miennes. Cela dure un bon moment où en élève appliqué, j'essaie de faire de mon mieux, j'apprends les plaisirs d'explorer le corps d'un partenaire.
 Puis quelque chose change. Je perçois une sensation que je connais déjà, mais qui est plus globale, plus diffuse que d'habitude. Robert aussi change. Je sens que lui aussi commence à perdre les pédales, se contrôle moins bien. Subitement tout s'accélère. Nos mouvements s'amplifient, deviennent plus saccadés, nos respirations sont plus profondes. Les sensations deviennent plus fortes. Nous sommes de moins en moins doux. Nous ne nous maîtrisons de moins en moins. Les signes d'une jouissance proche se font nettement sentir. L'un comme l'autre nous savons que nous allons bientôt lâcher, dans une exposition, notre foutre. Explosion jouissive, libératrice.

Il n'y a plus de professeur, il n'y a plus d'élève.

Il n'y a plus de ma part ni peur, ni angoisse, ni crainte. Il n'y a qu'un grand besoin viscéral ! L'attente du plaisir charnel le plus total ! Nous allons jouir ! Nous sommes l'un comme l'autre proches de l'extase, proches de la jouissance, elle arrive ! Elle est là !

Je jouis le premier crachant ma semence principalement sur la poitrine de Robert. Aussitôt je me relâche, me laisse tomber comme lorsque je me masturbe en solitaire. J'abandonne Robert à son sort. Je devrais faire quelque chose pour lui ! J'en ai la vague conscience mais ne sais trop que faire. Alors Robert se redresse et à genoux se prend la queue en main et part dans un branle d'enfer qui ne dure que quelques instants. Toujours allongé sous lui, sur le dos, son cul au-dessus de ma gueule, ma langue lèche sa petite rondelle je sens son foutre tomber en pluie sur mon ventre, mes cuisses. Il pousse des cris puissants laissant tout son plaisir, toute son énergie se libérer dans ce cri sauvage qui retentit dans ce coin de forêt si paisible, si préservé, si loin du monde civilisé.

A peine cette averse terminée, il fait un demi-tour sur lui-même dégage sa jambe et retombe à côté de moi. Il m'entoure de ses bras et nous restons ainsi un long moment immobiles, silencieux. Je suis aux anges partagé entre un bonheur immense et le sentiment d'avoir perdu à tout jamais mon statut d'enfant.

Je ne suis pas encore un homme, mais par ce que je viens de vivre, de découvrir, je sais que mon regard sur moi-même, les autres ne sera plus jamais le même. J'ai entrevu un monde nouveau, un monde de sensations inconnues, un univers à explorer : mon corps ! Je n'ose pas bouger car je sens Robert endormi ou presque. Il a un bras sur ma poitrine qui m'empêche tout mouvement si je ne veux pas le brusquer. Un moment encore, il sort de sa torpeur. Il a récupéré ! Il lève sa tête, tourne son visage vers le mien, se penche, me sourit, me fait plusieurs petits bécots auxquels je réponds. Je suis bien, nous sommes bien ainsi enlacés, satisfaits, infiniment heureux. Moi, de mon professeur d'amour, lui, de son élève qui enfin a une bonne note à un devoir ! C'est que comme devoir, c'est un devoir très agréable, un devoir que j'ai bien envie de refaire et refaire !

--Alors ?

--Alors quoi ?

--T'as aimé ?

--Oui ! J'aurai jamais cru !

--Tu vois l'amour bien fait, c'est formidable !

--Oui !

---Tu recommenceras alors ?

--Oui, avec toi !

--Ne dis pas de bêtise ! J'ai été heureux avec toi mais pour l'instant on en reste là !

--Mais j'ai aimé, j'ai envie de recommencer avec toi. Tu es si gentil ! Tu sais tant de choses !

--Doucement mon grand, il ne faut pas confondre aimer quelqu'un et aimer faire l'amour !

--J'aime faire l'amour !

--Je suis heureux de t'avoir fait découvrir ce plaisir, mais tu as encore beaucoup à apprendre !

--Je veux apprendre avec toi !

--Ca je veux bien, mais pour le reste il n'en est pas question à ce jour.

--J'ai compris mais je t'aime quand même bien, tu sais ! D'ailleurs si je ne t'avais pas aimer dès le premier regard, jamais je ne t'aurais suivi.

Après ces bonnes paroles, paroles qui nous ont unis pour une assez longue période d'apprentissage, nous sommes allés à la rivière nous laver. Le reste de l'après-midi, nous avons profité du soleil encore bien chaud pour nous sécher, nous faire bronzer, se raconter nos vies. Ce n'est qu'assez tard que nous nous somme rhabillés pour rejoindre le pays des hommes.

--tu me déposes chez pépère

--ok ça me permettra de dire bonjour à tonton.

Arrivée devant la maison , Simon mon pépère et son tonton nous dis :

--tiens voila les tourtereaux !

nous avons rougis tous les deux et répondirent

--pourquoi tu dis ça ?

--a voir vos yeux briller , c’est pas au vieux singe que l’on apprend a faire des grimace et puis faut pas oublier de bien ranger la marchandise

on se regarda tous les deux de la tête aux pieds et partirent dans un grand fou rire , Robert n’avait pas remis son slip et omis la fermeture du pantalon ou là ,montrer le bout de son nez (s je peut dire) sa belle bite.

--Tu diras rien pépère , Robert ajouta  non STP tonton ne dis rien

--Bien sure que non les enfants ça sera notre secret entre nous

--Merci pépère , Merci tonton ,on savait que l’on pouvais compter sur toi

--Allez rentrer boire un jus de fruit et raconter moi un peu vos confidences

Voilà pourquoi l’histoire que vous venez de lire je la raconte sur ce blog.

Mon vœu aujourd'hui serait que tous les jeunes aient la chance d'avoir un éducateur expérimenté, de cette maturité, de cette largesse d'esprit, de cette sensibilité. Je pense qu'ainsi bien des déceptions, des malentendus, des drames pourraient être évités.
 Quel plaisir d'apprendre à faire l'amour, à le bien faire !
L'Amour avec un grand "A" est un ART qui se pratique à deux dans un respect mutuel pour le plus grand plaisir, la plus grande satisfaction de chacun ! Puissent les hommes s'aimer d'amour 

comme a dit un poète canadien

 

 QUAND LES HOMMES VIVRONT D'AMOUR
paroles et musique : Raymond Lévesque
Quand les hommes vivront d'amour,
Il n'y aura plus de misère
Et commenceront les beaux jours
Mais nous nous serons morts, mon frère
Quand les hommes vivront d'amour,
Ce sera la paix sur la terre
Les soldats seront troubadours,
Mais nous nous serons morts, mon frère
Dans la grande chaîne de la vie,
Où il fallait que nous passions,
Où il fallait que nous soyons,
Nous aurons eu la mauvaise partie
Quand les hommes vivront d'amour,
Il n'y aura plus de misère
Et commenceront les beaux jours,
Mais nous nous serons morts, mon frère
Mais quand les hommes vivront d'amour,
Qu'il n'y aura plus de misère
Peut-être songeront-ils un jour
À nous qui serons morts, mon frère
Nous qui aurons aux mauvais jours,
Dans la haine et puis dans la guerre
Cherché la paix, cherché l'amour,
Qu'ils connaîtront alors mon frère
Dans la grande chaîne de la vie,
Pour qu'il y ait un meilleur temps
Il faut toujours quelques perdants,
De la sagesse ici-bas c'est le prix
Quand les hommes vivront d'amour,
Il n'y aura plus de misère
Et commenceront les beaux jours,
Mais nous serons morts, mon frère.

 

 

 

Par simon - Publié dans : histoire racontée
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Dimanche 23 mars 7 23 /03 /Mars 12:39

Apres avoir lu l'article précédent ,j'ai demandé a mon pépère le droit de dévoiler mon secret sur son blog ,car lui seul le savait et le partageait .
je sais que lui aussi a mon age avait compté beaucoup de l'aide d'une personne adulte pour dévoilé son homosexualité.ce qui n'empêchera de se marié et d'avoir des enfants et le remercie car je ne serai pas là.
Il avait réussi alors pourquoi pas MOI  donc voici......


 je commence a me poser des questions.

Je sort avec des filles, je suis bien avec elles. On discute de tout mais en copains, je suis pas interessé d'aller plus loin

Par contre les garçons me font un autre effet. Je me met à bander rien qu'en regardant un mec, ses fesses ou sa ptite bosse a travers le jean's.

J'ai compris tres vite que c'etait les mecs qui m'attirent.

Je rêve au grand Amour....

Quelles désillusions.....

Je n'imaginais pas être homosexuel.

La peur que l'on le découvre, que l'on remarque mon regard..., mes émotions...,

et puis toutes les conneries qu'on raconte pour paraître comme les autres...

J'aurai voulu être comme tout le monde...

et puis vient le jour, ou le secret te pèse, alors je me dévoile...

et j’ apprend des autres, ce qu'est la Haine, l'homophobie...

je récolte les injures, les humiliations, les sobriquets,

Les copains se détournent , je deviens la risée de ta classe.

Seules les filles sont la pour prendre ma défense...

L'humiliation fait partie de moi, je chiale en espérant que personne ne le découvre...un "vrai" mec lui ne pleure pas...

On me chahute..., on ne me respecte plus, on m'enlève ma dignité...

et pour finir on me détruis.

Dans le village, ou je vis avec mes parents, personne ne connait mon histoire, d'ailleurs je ne parle avec personne.

Mon amitié je ne peux plus la donner, en tout cas pas pour l'instant...,

je n'ai plus confiance.

Je sais pertinemment que ce n'est pas bien de n'être que derrière son écran d'ordinateur...

Je sais aussi que je dois me faire aider par un psy. mais pas maintenant...

Il faut en attendant que je fasse une thérapie par moi-meme, c'est pour cela que je m'ouvre a vous...

Je sais que je ne suis pas coupable de ce qui m'est arrivé, enfin j'essaye de m'en persuader...

j'en parle avec mon pépère , lui m'a compris

et c'est pour ça que j' en parle aujourd'hui sur son blog

 voici ma chanson préférée je la dédicasse à Firmin_2008.jpg

premier pas

j'ai modifié un peu le texte ...

 

Le premier pas
J'aimerais qu'

il fasse le premier pas
Je sais que cela ne se fait pas
Pourtant j'aimerais
Que ce soit
lui
qui vienne à moi
Car, voyez vous, je n'ose pas
Rechercher la manière
De
le voir, de lui
plaire
L'approcher,
lui
parler
Et ne pas
le
brusquer
Lui
dire des mots d'amour
Sans savoir en retour
Si
il
aimera
Ou refusera
Ce premier pas.

Le premier pas
J'aimerais qu'
il
fasse le premier pas
On peut s'attendre longtemps comme ça

On peut rester
Des années à se contempler
Et vivre chacun de son côté
Je

le rencontrerais
Au bas de l'escalier
Puis comme tous les jours
Je lui dirai bonjour
Seulement cette fois
il
me prendra les bras
Me conduira dans sa maison
Où nous ferons
Le premier pas d'amour
Dans son lit jour après jour
Il
me dévoilera son corps
Me donnera tous les remords
De n'avoir pas dit plus tôt
Le premier mot

Le premier mot
J'aimerais qu'
il
dise le premier mot
Le nuit j'en rêve
Et c'est idiot
Si,
il
voulait
Seulement me faire signe tout bas
Alors je ferais je le crois
Le premier pas

 

Par simon - Publié dans : histoire racontée
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Dimanche 23 mars 7 23 /03 /Mars 12:12

une pensée d'un homme marié ou BI


Etre gay
c'est aimer une personne semblable à soi-même
Physiquement, mais différent pourtant
Sans savoir pourquoi ni comment
Un homme qui aime un autre homme
Une femme qui aime une autre femme

Etre gay c'est comprendre sa différence
S'assumer et s'accepter
Etre conscient qu'il n'y a pas que la "normalité" dans la vie
Etre gay c'est surtout aimer
Aimer l'amour, aimer le corps et l'âme de l'autre


Etre gay c'est avoir une sensibilité que la plupart n'ont pas
Utiliser cette sensibilité pour faire le bien autour de soi
Et ainsi arracher cette étiquette qu'on nous colle sur le front

Mais être gay c'est aussi subir les injustices
Les moqueries et les sarcasmes
C'est affronter des regards surpris
Malveillants ou simplement interrogatifs

Etre gay c'est avoir une grande force intérieure
Celle-là même qui nous amène, parfois
A réagir violemment malgré nous

Etre gay ce n'est pas préférer
Ce n'est pas un choix que l'on fait
Cela fait parti de nous
C'est ce qui nous rend entier

Etre gay c'est appartenir à une communauté
Marcher dans la solidarité

Etre gay en un mot
C'est aimer Etre gay c'est aimer une personne semblable à soi-même
Physiquement, mais différent pourtant
Sans savoir pourquoi ni comment
Un homme qui aime un autre homme
Une femme qui aime une autre femme

Etre gay c'est comprendre sa différence
S'assumer et s'accepter
Etre conscient qu'il n'y a pas que la "normalité" dans la vie
Etre gay c'est surtout aimer
Aimer l'amour, aimer le corps et l'âme de l'autre


Etre gay c'est avoir une sensibilité que la plupart n'ont pas
Utiliser cette sensibilité pour faire le bien autour de soi
Et ainsi arracher cette étiquette qu'on nous colle sur le front

Mais être gay c'est aussi subir les injustices
Les moqueries et les sarcasmes
C'est affronter des regards surpris
Malveillants ou simplement interrogatifs

Etre gay c'est avoir une grande force intérieure
Celle-là même qui nous amène, parfois
A réagir violemment malgré nous

Etre gay ce n'est pas préférer
Ce n'est pas un choix que l'on fait
Cela fait parti de nous
C'est ce qui nous rend entier

Etre gay c'est appartenir à une communauté
Marcher dans la solidarité

Etre gay en un mot
C'est aimer 

Etre un homme BI

C'est aimer 

C'est partager l'amour

Par simon - Publié dans : histoire racontée
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Jeudi 6 mars 4 06 /03 /Mars 12:22

Je suis Louis , 19 ans ,J’etais arrivé chez mon oncle Simon pour la dernière semaine de vacances et remplacais mon cousin  Paul 21 ans qui finissait les siennes.

Le soir se mon arrivée vers 22 h 30

J'étais sur mon lit déjà en pyjama court lorsqu'on frappa à ma porte.

Un peu gêné d'être en tenue de nuit et d'être ainsi surpris dans mon intimité, je le laissai néanmoins entrer.
c'etait mon cousin Paul

Il s'assit dans le fauteuil en face du lit.

quelques instants plus tard, je surpris son regard au niveau de ma ceinture. Baissant les yeux instinctivement, je réalisai que la braguette de mon pyjama, qui ne se ferme pas, était entrouverte et laissait entrevoir mon sexe.

Je me sentis rougir instantanément, horriblement gêné. Maladroitement je tentai de masquer cette ouverture accidentelle.

Paul dit " Tu peux laisser ouvert, tu sais, nous sommes tous faits pareils. Mais je dois dire que ce que j'ai aperçu est tout à fait mignon ".

je ne pouvais m'empêcher de penser à ce qui venait de se passer et totalement malgré moi, je sentis mon sexe commencer à durcir. Comment me dissimuler ?

avec un petit sourire Paul me dit "  j'aimerais bien.... te voir un peu plus et que tu cesses de vouloir me cacher que tu bandes ; c'est une réaction tout à fait normale, mais qui montre que tu es troublé. Il ne faut pas avoir honte ! " 

Je ne savais plus ni où me mettre ni comment réagir, me sentant gauche et ridicule avec mon sexe dressé pointant légèrement hors de ma braguette et je ne pouvais rien faire. Bref, le séisme, la catastrophe..

Se levant, venant s’agenouiller près de moi , rien de plus naturel, sauf  que ...quand très lentement il commença à me caresser le dos, le ventre, les épaules et les seins dont les pointes, sur lesquelles il s'attardait en les titillant et les pinçant légèrement, devinrent dures.

J'étais complètement pétrifié devant sa détermination et dans l'incapacité totale de réagir.

" Tu vas voir, nous avons des pointes de sein presque aussi sensibles que celles des femmes ".

  " Tu vas voir ", disait Paul.

je sentis que ce futur laissait présager une suite qui m'inquiéter , moi qui a 19 ans ne connais rien au niveaux sexuel ma mère seul ne m'ayant jamais  beaucoup interessé a mon éducation .

Je restais là, tel une statue, totalement incapable de réagir, et en même temps mort de honte et de confusion ; mais pas tout à fait de marbre car ses mains qui passaient et repassaient sur mon corps me donnaient la chair de poule et des frissons.

Puis elles descendirent au niveau de ma taille .

je savais bien ce qui allait se passer, et en même temps, je n'y croyais pas, me sentant dans une situation irréelle.

Jamais je n'avais été touché ni même vu nu de cette façon par un autre homme. Ce n'était pas possible, il fallait que je fasse quelque chose. Je sentais une chaleur m'envahir, me donnant le sentiment d'être rouge de honte.

Une main défit lentement les deux boutons de mon caleçon -pyjama et me libérer complètement et c'est ainsi que je me retrouvai complètement nu, sous le regard de ce cousin Paul que je connaissais à peine, appréhendant la suite, avec toutefois un brin de curiosité malsaine que j'éprouvais malgré moi. Mon sexe, resté dur depuis le début, trahissait mon trouble et il ne s'y trompa pas. J'aurais voulu le masquer de mes mains, mais je n'osai pas de peur du ridicule.

Se reculant un peu " attends que je te regarde " dit-il, me demandant de me mettre sur le ventre puis de me retourner lentement face à lui. J'obéissais comme une vraie marionnette, les bras le long du corps, livrant mon sexe complètement découvert à son regard. " Tu es magnifique, vraiment ; pas de poils sur le torse, j'aime quand c'est doux et lisse comme ça ! Tourne-toi encore ".

"Tes petites fesses sont bien fermes et appétissantes " Il ne me touchait que du regard, ce qui était presque plus gênant et humiliant encore qu'avec ses mains, et en même temps très excitant.

 

Après m'avoir demandé de lever mes bras en l'air de manière à faire saillir davantage mon sexe, d'écarter les jambes, et m'ayant examiné sous tous les plans sans me toucher, il me fit mettre à quatre pattes, me regardant par en dessous, m'écartant les fesses pour en examiner le petit trou qu'il effleura d'un doigt. Me laissant dans cette position humiliante, les jambes légèrement écartées, il soupesa mes testicules, les caressant, avant de se saisir de mon sexe dont il décalotta complètement le gland en un seul geste. " Mais c'est que tu mouilles, mon petit cochon ! Tu es tout trempé d'excitation ! Tu vas voir, je vais te branler et te faire jouir comme personne ne te l'a jamais fait et ne te le fera plus jamais ! Mais j'exige que tu te donnes complètement et sans réserve . "

Je répondis " tu veus quoi exactement je ne sais rien , c’est la première fois que je me trouve dans cette situation "

Ben je vais te montrer cher cousin.

Affolé mais excité je répondis " oui "

Il se mit sur son flanc et je vis que lui aussi bandait comme un dingue. Je le fixais droit dans les yeux et on s'embrassa fougueusement pendant longtemps. Je sentais sa queue contre mon bas ventre!

Il commençait à n'en plus pouvoir et me demanda " Louis tu veus sucer une queue de 18cm épaisse ?
Je l'embrassais dans le cou ,longeant son corps musclé je me suis hâté de faire glisser son pantalon tout en lui caressant les cuisses. Son boxer moulait très bien son sexe raidi et je devinais la taille et l'épaisseur de son pieux. Un bel engin que je pris en bouche assez vite. Ma bouche était pleine de chair chaude et humide. undefined L'odeur forte de sa bite me faisait des frissons. Je la prenait totalement en bouche ce qui me surpris vu la taille. Ma langue jouait avec son gland et je sentais que ça ne le rendait pas indifférent. Il commençait à faire des mouvements de reins. Je l'entendais respirer fort et je mis mes doigts sur ses lèvres charnues pour lui faire comprendre qu'il faisait du bruit. Au lieu de s'arrêter il lécha et suça mes doigts ce qui me rendit encore plus raide.




Paul_louis2_m.jpg  

Je lui demanda sans m’en rendre contre "  prend moi Paul " et comme s'il n'attendait que ça, il me pris avec force et me mit mes jambes sur ces épaules. Mon cul était en sueur et fin prêt à le recevoir. Il jouait avec son gland sur mon anus ce qui me fit mouiller. Après avoir mis un préservatif Il entreprit une première pénétration sans réussir tellement je me contractais , j’avais la trouille.

Il gueula " faut savoir ce que tu veus Louis".

J’en veus oui mais je ne l’ai jamais fais cousin Paul.

il explorait mon corps, un doigt dans mon anus, le fouillant au plus profond ; j'étais sa chose,

Il rentra son doigt avec du gel a plusieurs reprise , puis présenta sa queue a l’entrée et là il me donna de toute sa force une claque sur les fesses et rentra entièrement en moi ,je gueulais très fort sous la douleur quelques secondes ensuite je sentais sa bite chaude en moi. Je voulais rester comme ça tout le temps !
Des va-et-vient commençaient et je ne me contrôlais plus. Je voulais qu'il me défonce ! Tout en me pénétrant, Il m'embrassait partout faisant glisser sa langue sur mes épaules, dans mon cou, sur mes oreilles. il me caressait de ses mains moites me faisaient frissonner et comme il voyait que ses caresses ne me laissaient pas de glace, il s’allongea son torse sur moi pour m'enlacer
Je tournais ma tête pour l'embrasser à pleine bouche. Son haleine chaude caressait ma bouche. Nos langues jouaient ensemble.

Il se redressait et massait maintenant son torse, ses tétons puis il commença à me branler tout en continuant à me pénétrer d'une façon régulière, lente et douce. Son corps m'appartenait, je le sentais en moi et sur moi.




Paul_louis1_m.jpg

 Jamais je n'avais été aussi excité ! Il était dans le même état que moi et me dit " je vais venir ".
 Il se retira, enleva la capote et m'éjacula sur le ventre. Il s'allongea à plat ventre et lécha son propre sperme , ensuite , s'allongea sur moi. Sa queue bandait toujours. On s'embrassa, mélangeant le sperme à la salive. J'aspirais les quelques gouttes de sperme qui étaient sur sa langue. Il commençait à branler ma bite en me regardant droit dans les yeux. Il la prit finalement en bouche et me pompa à fond si fort et si bien que !

 

je répondis " oh ! oui c’est bon ,vas y fait moi jouire mais je ne veux pas te pénétrer ".

" Je n'y pensais pas , mais tu changeras peut être d’avis rapidement ", me répondit-il et ajouta "  ce que j'aime avant tout c'est donner du plaisir et sentir la soumission totale au bout de ma main et du plaisir qu'elle prodigue. Tu jouiras quand j'en déciderai, et comme je déciderai, pas avant. "

Ces paroles m'excitaient au plus haut point, et j'imaginais qu'il avait déjà fait cela à d'autres. 
J'avais maintenant hâte de sentir ses mains parcourir mon corps et prendre vraiment possession de mon sexe. Je ne sais combien de temps cela dura, mais il me fit prendre des poses toutes plus humiliantes et excitantes les unes que les autres, me tournant et me retournant sur le lit, mais sans aucune brutalité ; il jouait de mon corps comme d'un instrument, m'arrachant des gémissements et des supplications ; ses mains et sa bouche savaient parfaitement quoi faire pour m'amener tout près de l'orgasme sans jamais le déclencher, se retirant juste à temps et m'abandonnant dans une vague de frustration et de supplication.

Il caressait de manière savante et experte, explorant de son regard, de ses mains, de sa langue et de ses lèvres toutes les parties de mon corps, mais jamais là où je l'attendais.

Lorsqu'il me faisait mettre sur le ventre, il massait longuement mes fesses, les écartant, les tapotant, inspectant et refouillant de manière experte mon petit trou en disant " mignon ce petit et tu pourras dire et fièrement " plus vierge " .

Il examina très longuement mes couilles et mon sexe, semblant prendre un réel plaisir de voyeur, penché juste au-dessus au point que je sentais son souffle court, me branlant, tantôt en faisant saillir complètement et de manière tendue tout mon gland, tantôt le re-calottant et me branlant par-dessus. Il le mettait dans sa bouche presque amoureusement, l'aspirant, le suçant, le léchant à des endroits et d'une manière qui faisait dresser tout mon corps pour me presser davantage vers lui. Je mouillais sans fin, lubrifiant mon sexe et lui permettant des caresses bien coulissantes.

Après un temps qui me sembla infini, il me dit : " maintenant, tu vas pouvoir jouir, je te sens prêt. " toujours allongé sur le dos, lui se tenant à ma droite , en appui sur son coude gauche, il branlait et pinçait mon bout de sein de sa main gauche très dur et entreprit de me branler le sexe à fond de sa main droite, très profond, décalottant complètement le gland qui perlait des première gouttes, passant sa main dessus ce qui m'arrachait des sursauts et des gémissements de plaisir. " Regarde-moi droit dans les yeux, petit cochon, je veux sentir ton plaisir monter en même temps au bout de mes doigts et dans tes yeux ; je veux te posséder ainsi complètement ; tu es à moi, tu sens comme tu es à moi ! Je te possède à travers ton désir et ta folle envie de jouir ; tu aimes ce que je te fais, hein, dis-le ! Tu aimes ça mon petit salaud, mon petit cochon ! Allez, dis-le " et il continuait à me branler " oui, c'est trop bon, jamais on ne m'a fait ça, faites moi jouir, j'en peux plus ", dis-je.

Je ne savais plus ni qui j'étais ni où j'étais, je ne m'appartenais plus, j'accompagnais ses caresses pour tenter de les accentuer, allant au-devant de son mouvement pour tenter de l'accélérer, je rugissais et suppliais comme un damné sans plus aucune pudeur. Son regard accompagné d'un léger sourire, à la fois tendre et ferme, planté dans le mien me faisait sentir toute la domination qu'il exerçait sur moi. Et j'aimais ça ! Il faisait aller et venir sa main le long de mon sexe, accélérant ou ralentissant le rythme simplement pour me soumettre encore davantage et différer le plus possible mon explosion. " Je t’ en prie, laisse moi jouir maintenant, j'en ai tellement envie.. "

" Regarde-moi bien dans les yeux, je te l'ordonne, et jouis ! Maintenant ! ". 

Je partis dans un orgasme fulgurant, sentant ma semence jaillir haut sur mon ventre, dans une longue plainte que je ne pus réprimer, et cabrant tout mon corps ; et le plaisir intense dura, dura longtemps, longtemps, tant  qu'il sut l'accompagner, adoptant le rythme et les gestes parfaits au bon moment.

Quand tout mon corps retomba, apaisé et épuisé, il me dit " allez, je te laisse ; tâche de bien te reposer ". le lendemain, il n’etait plus là et seul sur mon lit je repensais à notre petite soirée ! " en solitaire.



 

Mon cousin Paul était reparti dans sa Bretagne natale , lui qui m’a apprit l’amour du sexe et ma dépucelé , le revérais-je………. Oui certainement mais quand ? ?……..

Par simon - Publié dans : histoire racontée
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Lundi 25 février 1 25 /02 /Fév 17:29

C'est les vacances de fêvier , me promenant malgres le froid dans le bois derrière chez moi ,au détour d'un chemin je rencontre un rebeu comme on dit a la campagne.
je  le connaissais
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il s'appelle Karim, 26ans, bogoss rebeu, bien carré, 1m85 81kg que du muscle (merci la salle de sport), et plutot bien gaté du côté de l'entrejambe si tu vois ce que je veux dire.
tout en finissant  le parcour ,il me racconta sa dernière conquete la voici:

le keum qui m'a skotché....

En juin dernier, Aziz, un collegue a moi, avait réussi a avoir des invitations pour un vernissage dans un bleb un peu paumé mais assez bourge a 1 heure de chez oim. On arrive sur place et y a déjà un people pas possible. Ils aiment l'art par ici...
Putain ca avance pas et déjà que j'étais pas très cho ca commence a m saouler grav.

Aziz commence a se foutre de la gueule des pelos qui arrivent encore et on trip bien.
Au bout d'un moment arrive un ptit keumé, chemise noire, jean, baskets, un sac en bandoulière sur l' épaule style étudiant.
Voyant mon regard de prédateur, mon pote me prévient que c'est pas le bon client, qu'il a vécu un truc pas cool, qu'il est seul depuis et que j'vais perdre mon temps.
Mais j'lécoute plus, j'ai les yeux rivés sur ma future victime. Aziz insiste en me disant que c'est un mec vraiment clean, qu'il l'a souvent aidé en cours (ils étaient en école d'architecture ensemble, attends j fréquente pas n'importe qui...)

Il me connait mon pote. Avec moi pas de sentiments, ma devise: tu m'suces je t'encule.... pas de quartier, tu m'touche pas, et si t'as le malheur de vouloir me bouffer la gueule j'peux te dire que tu recommence pas 2 fois.

Attends j suis pas un dep moi !
Le keum se rapproche et passe devant oim sans un regard, putain j'suis dèg, j'demande a mon collègue si c'est bien un dèp, j'suis pas habitué a laisser mes proies indifférentes.

Le gars passe devant tout le monde et rentre direct dans la galerie.
C'est cool, j'vais avoir droit a un second round et le keumé va être KO tu peux m'croire.

3/4 d'heure après on rentre enfin. On s'est mis sur notre 31, parce qu'avec nos gueules bien bronzées c'était pas gagné qu'on rentre, même avec des invits.
Donc on rentre et je repère ma future victime dans un coin, il parle avec un couple de vieux bourges. J'fais signe à Aziz que je vais tenter ma chance, il fait la grimace mais n'insiste pas plus.

J'attends que les vieux se cassent et je me poste juste derrière le ptit keumé. "tu connais le peintre ?" je lui demande innocemment.
Il se retourne et sursaute un ptit coup, il s'attendait pas a ce que je sois si proche de lui.
Avec un ptit sourire en coin il me répond que oui et se retourne contempler un tableau qui ne m'inspire que dalle.

Toujours innocemment, je lui dis que j'y connais que dalle en art et je lui demande s'il veut me guider un peu. Il se retourne sans sursaut cette fois et me sourit. Il a compris mon p'tit manège mais il joue le jeu et commence la visite.

Putain il en a dans la tête le gars, j'comprend un mot sur 3, mais il est a fond dans son truc donc il calcule pas trop que je plane total.
Ca y est on a fait le tour de la galerie, il me sourit, me souhaite une bonne soirée et me laisse en plan comme un con.
Il va parler avec le peintre. Au bout de quelques minutes ils se dirigent avec un 3° type vers le tableau vers lequel je l'ai accosté.
Le 3° gars décroche le tableau, va l'emballer et le donne à Mickael, mon sexy guide en échange d'un chèque.
Putain le gars il a les moyens de se payer une toile!!!
J'sais pas combien ca coute, c'est vrai que le peintre doit pas etre trop connu mais quand même!...
IL prend son tableau et sort.

aussitot, je le suis et lui propose mon aide.
J suis pas du genre galant mais faut absolument que je le serre celui la y pas moyen. Il refuse mais j'insiste et il accepte. IL me dit qu'il habite pas tres loin et c'est vrai, 10 minutes plus tard on est arrivés.

IL me prend le tableau mais tout de suite je lui dis: "tu veux pas que je te le montes?" " non non ca va j'te remercie..."
Il me sourit il sait ou je veux en venir.
"allez juste un verre?"
"juste un alors..."

IL me redonne le paquet et on monte. On arrive dans un appart de ouf, avec une hauteur sous plafond de guedin.
IL me dit de poser le tableau par terre et me conduit dans un salon qui fait presque la taille de mon studio. "vas-y mets toi a l'aise.
"J'profite qu'il soit parti pour mater un peu, putain une déco de malade, style Valérie damidot mais version pété de tunes.
IL revient avec 2 cocas, moi j'suis assis bien confortablement, les jambes bien écartées histoire de le chauffer un peu.

Impassible, il s'assoit a cote de moi et un putain de silence s'installe. J'suis trop déstabilisé par son regard. Il a l'air super nostalgique et c'est pas mon style mais j'suis grave mal a l'aise.

Il boit un coup et me regarde en me disant: " tu dois te demander comment j'peux avoir un appart comme ca a mon âge?"
Je lui envoie un sourire curieux "c'est l'héritage de mes parents".
Putain, déjà que l'ambiance était pas très réchauffée mais maintenant c'est carrément la banquise.

Et moi j'ai qu'une envie c'est le prendre dans mes bras. Bon allez Karim ressaisis toi! Je ne sais pas ce qu'il me fait ce keum mais j'suis grave en kiff c'est flippant.

Apres quelques minutes, il me regarde en me disant que je suis pas la pour qu'il me raconte sa life et cash il me roule pelle de malade. Ma première pelle depuis je sais pas combien de temps.

J'me recule mais j'en ai grave envie alors tant pis j'lui rend son baiser mortel. J'lui pose la main sur la cuisse et aussitôt il vient a califourchon sur moi et commence a se frotter comme une tepu et il me chauffe a mort le zob.

J'lui caresse le boul et je bénie son jean qui est ultra moulant dans cette position. Toujours en ondulant sur moi, il déboutonne ma chemise et commence a me caresser le torse.
IL ne quitte pas ma bouche et j'adore ca.
Il embrasse comme un dieu et je kiffe. J'ai le ben en alerte.
Il lance des sos de detresse tellement mon zboubi est en folie.
A ce rythme la, j'vais pas tarder de gicler ca craint, il me prendrait pour un sale puceau, pas capable de se contenir.
Mais avant que j'ai pu l'arrêter, j'inonde mon calecon en me contractant et en poussant un râle sourd et rauque.
Putain c'est un truc de ouf, le keumé il a réussi a me faire jouir comme jamais j'ai joui sans même me déshabiller.

Il se redresse en souriant. Putain il m'a grillé, j'suis gêné comme un gosse qui s'est fait prendre en train de faire une connerie.

Il se lève, sort du salon et revient avec une serviette et un gant. Il me dit que la salle de bain est au fond du couloir.

"Tu viens avec moi?" Ba ouais, j'suis grave och, j'voudrai bien voir ses autres talents...
Il me regarde et me lance d'une voix neutre: "quoi t'es pas heureux? j't'ai vidé les couilles c'est pas ce que tu voulais ?".

Putain fait ièch, pour une fois que je voulais donné du kiff a un partenaire il s'en bat la race.
J'vais donc a la salle de bain et laisse la porte entrouverte des fois qu'il change d'avis.

J'me déssape, nettoie comme je peux la sauce dans mon calsif et prend une douche vite fait parce qu'il m'a tellement chauffé qu'il j'suis en sueur.

Un 1/4 d'heure plus tard, j'sors. Il m'attend vers la prote d'entrée.
Putain j'sais pas ce qu'il m'a fait mais j'suis totalement en kiff.

J'arrive devant lui, il ne me regarde pas. J'm'excuse, j'lui avoue qu'Aziz m'avait prévenu mais que je n'avais pas pu résister.
Il relève la tête. Des larmes coulent sur ses joues et il me répond d'une voix toujours aussi neutre que c'est rien, qu'il savait a qui il avait à faire mais que d'avoir quelqu'un chez lui ca lui rappelait plein de choses.

J'lui prend la main en lui demandant si je peux faire quelque chose mais il me répond qu'il ne croit pas que je puisse lui apporter ce dont il a besoin, c'est a dire juste une présence rassurante.

Je lui relève la tête, il pleure vraiment a présent et j lui propose de rester la nuit vers lui, en ajoutant " sans qui se passe rien bien sur".

Il me sourit a travers ses larmes et je le prend dans mes bras et la je me rend compte qu'en fait ca me manque vachement ce genre de rapports.

On reste un long moment comme ca.
J'le serre assez fort pour lui faire sentir que je suis la, qu'il a quelqu un sur qui compter. J suis grave touché par ce keum.

Il a réussi là ou tous les autres se sont plantés.
On est allé se coucher, on a parlé un peu puis il s'est endormi dans mes bras.
Et depuis on s'est pas quitté, ca va faire 8 mois qu'on est ensemble, et j'peux vous dire que c'est grave le kiffe.
Voila comment ce ptit keum, (mon ptit keum) m'a skotché la tête, et comment il m'a changé de serial niqueur en perfect lover.

karim


on avait passé un aprés midi a marché ,lui racontant son histoire , et moi qui pensais à Mehdi

Par simon - Publié dans : histoire racontée
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Dimanche 27 janvier 7 27 /01 /Jan 17:06
cette histoire dessiné par Josmon est en anglais et ça m'a donné de la traduire a ma facon ne connaissant pas cette langue . cette histoire me rappelle mes douzes ans et mon petit fils kevin ma demander de la raconter en se mettant a la place des acteurs 
donc voici UNE NUIT dessin de Josman  2003, écrit par Simon , texte de Kévin.

nuit_11.JPG En vacances chez mon pépère
 Chaque nuit c'est toujours  le même scénario , quand le reste de la famille dort à poings fermés pépère vient dans ma chambre
Ma bite est raide avec l'excitation quand il approche mon lit et repart sans dire mot.
Une nuit vers 1h du matin la porte s’ouvrit en grand et contre le mur se dressait une ombre comme un géant qui me dit « tu dors Kévin »
Je ne sais pour quelle raison ,je me suis mis a bander., ayant reconnu sa voie je répondit « NON pépère »
« Kévin je t’avais promis une gâterie alors me voici »
Là devant moi se trouvais un corps de rêve quand pépère laissa tomber le peignoir.
Je m’écria « Wahaaaaa!!!! Quelle bite pépère whaaaa!! »
ma queue durcit comme la pierre Sous les draps
Dans ses yeux je vois le total désire
La chimie entre nous est incroyable . Aucun pouvoir puissant , ne pourrait arrêter l'attraction de l'un pour l'autre




Il a un corps à  mourir de jalousie
 Je n' ai pas l’habitude de voir un être velu , moi j’y suis juste en bas
La mise au point est presque une religion pour exiber  ses muscles .. il est au fitness  tous les jous
Sans rien lui demander je me jette sur sa bite .
 il me dit combien il aime mon bisou soyeux, J‘en rougis mais  je suis le plus  fière du monde!
Sa bite  non circoncie est stupéfiant ,cela se sent encore mieux dans ma bouche!
Je suppose que vous pourriez dire «  ce gamin  a le bonheur  d’avoir le plus beau  des jouets! » undefined






















. Son odeur est tout simplement incroyable. 
Il a une vraie odeur de mâle dans laquelle je baigne depuis que je suis né. Depuis que je suis jeune, j’associe cette odeur avec un sentiment de sécurité, de protection et de chaleur, comme quand il me prend fort entre ses bras. Maintenant que j’ai grandi, cette odeur a un différent effet sur moi. Son odeur me rend chaud et très excité, et me fait tout simplement bandé

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. En moins de deux, je me retrouve sur le dos et pépère est juste au-dessus de moi, enfonçant son beau morceau dans mon cul serré. 
Il commence à être de plus en plus agressif, me disant des mots cochons.
Il m’appelle sa salope de service. J’adore être son jouet sexuel. sans lui je ne serai pas de ce monde, alors je lui donne le droit de m’utiliser et d’abuser de moi comme il le souhaite. 
Je sens mon bon pépère sur le bord d’exploser.
Je le supplie de venir en dedans de moi. Je peux sentir mon cul se faire remplir par ce jus chaud de mâle. undefined

Des couleurs explosent dans ma tête au moment où je vis mon plus intense orgasme. Je me réveille… Je suis tout recouvert de ma propre semence. Un autre rêve humide en pensant à mon pépère. Mon dieu, j’espère plus que n’importe quoi d’autre qu’un jour mon rêve devienne réalité.

nuit_15.JPG FIN
 ps, dessins extrai  du site jenveuxplus .com

dossier  : photo/galerie membre/Josman-Handjob

Par simon - Publié dans : histoire racontée
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