histoire racontée

Dimanche 20 décembre 7 20 /12 /Déc 16:30
suite de la 1er épisode "rencontre en forêt" fiction écrite pa Pierrot le vosgien


--------- 

Le lendemain matin, Simon avait décidé d’aller aux champignons. Nous buvions le café tranquillement à poil dans la cuisine, quand le téléphone sonna. J’entendais Simon parler au téléphone dans la salon, puis il revint vers moi.

  •  
    • C’était mon petit-fils, me dit Simon, sa mère n’est pas là de la journée, il voulait savoir s’il pouvait venir aux champignons avec moi.

Ca ne me dérangeait pas bien sur, après tout, je n’étais pas chez moi. Je demandais à Simon s’il fallait que je mette un slip ou une serviette autour de ma taille. Il rigola et me dit que son petit-fils était cool. Ils allaient souvent se balader a poil dans la nature. J’étais rassuré.

Une heure plus tard, j’entendis une mobylette entrer dans la cour. Simon ouvrit la porte. Le jeune homme fit la bise à son grand-père et Simon me fit signe d’approcher.

- Je te présente Pierrot, il est là quelque jours pour m’aider à faire le bois. Je serrais la main au jeune garçon.

- Lui, c’est Mathieu, tu veux du café, il y en a encore tout chaud.

Simon servit un bol dans la cuisine, je m’installais sur le banc. Quelques instants plus tard, Mathieu entra dans la cuisine entièrement à poil. Il s’était déshabillé dans l’entrée. Je me sentais à l’aise.

- Ca y est, nous sommes entre hommes maintenant, dit Simon.

Mathieu était très grand, il avait la peau très blanche, beaucoup de poils autour du sexe et les cheveux coupé court.

- On va où aux champignons, Papy, demanda le jeune garçon qui buvait son café.

- Dans le bois derrière, c’est la bonne saison.

Simon se tenait debout derrière moi. Je sentais son sexe sur mon épaule. Je n’osais pas bouger. Mathieu leva les yeux sur nous. Simon me caressait l’épaule. Je me sentais bien, naturel, Simon était rassurant.

- On y va, demanda Simon, voyant que Mathieu avait fini son bol ?

On se leva et nous dirigions vers la porte. Simon prit un panier en osier au passage et nous sortions tous les trois a poil tranquillement.

- Il fait bon ce matin, dit Simon.

- C’est vrai, répondit Mathieu, on est mieux là qu’en ville.

Nous nous engouffrions dans le sous-bois. Il y avait de jolies clairières. Simon marchait devant. Après une demi-heure de marche, Simon proposa de s’arrêter quelques minutes dans une petite clairière ou l’herbe était verte pour se reposer. On s’allongeait tranquillement sur l’herbe. Simon en profita pour pisser debout devant nous. Je repensais à la veille quand nous avions pissé ensemble. Je commençais à bander.

- T’as vu, dit Simon a son petit-fils, il en a une grosse.

J’ en étais un peu géné.

- T en as pas une si grosse, dit-il a Mathieu.

Le jeune garçon se rebella et écarta les jambes.

- OH ! Papy, elle est pas si petite que ça. f2100_1230.jpg

Simon s’approcha et prit sa bite dans la main.

- Tu t’entraines bien à la branler j’espère…

Simon approcha sa bouche et engloutit entièrement le sexe de Mathieu.

- Elle grossit bien quand on la suce, dit Simon après quelques minutes. Moi je bandais a fond en regardant le grand-père et son petit-fils ensemble. Je commençais à me toucher.

- C’est vrai qu’elle est grosse, me dit Mathieu en regardant ma bite.

- Ben vas-y, suce- lui dit Simon.

Mathieu s’approchait de ma bite et commença a sucer mon gland. Sa langue était chaude et très experte pour un jeune homme de son age.

Simon pelotait mes couilles. Puis il me dit :

- Tu devrais goûter la bite du petit.

Je me redressais et commençais à lécher la bite de Mathieu qui bandait bien dur.

Simon s’allongea dans l’herbe et dit à Mathieu.

- Viens me montrer comment tu te branles bien dans une bouche maintenant.

Mathieu s’assit sur le torse de son grand-père et se mit à se branler. Son gland touchait les lèvres de son grand-père.

- Ca va venir, Papy.

Ils étaient d’une beauté incroyable.

  •  
    • Vas-y petit, dit Simon, j’attends ton jus.

Mathieu se masturbait de plus en plus vite en regardant son grand-père. Simon attendait la bouche grande ouverte et la langue tendue. Tout à coup, un douce rivière de sperme se déversa sur la langue de Simon. Toute blanche, laiteuse, en abondance. Simon attendit la dernière goutte et avala entièrement la délicieuse substance. Il me regarda en souriant.

- C’est divin, dit-il.

Mathieu, posa quelques bisous sur les lèvres encore humides de son grand-père. Je sentais que j’allais jouir à mon tour. Je ne pus me retenir. Simon ouvra à nouveau la bouche et mes jets puissants rentrèrent au fond de sa gorge encore tapissée du sperme de Mathieu.

Mes couilles frémissaient de bonheur. Pour faire plaisir à son grand-père, Mathieu se mit a le sucer.

- Ca vient petit, dit soudain Simon.

Mathieu continuait jusqu’à ce que tout a coup il immobilise sa bouche et toute le sperme de la bite de Simon se déchargeait dans la bouche du petit. Ca dégoulinait le long du sexe de Simon. Je ne pus m’empêcher d’intervenir et de lécher les guelques gouttes restantes. En retirant sa bouche, Mathieu laissa s’échapper le sperme qu’il n’avait pas pu avaler entièrement. J’avais envie de l’embrasser. Nos bouches étaient si près l’une de l’autre. Mais Mathieu dirigea sa tête vers son grand-père et l’embrassa tendrement , j’étais un peu déçu mais c’est normal.

Nous nous reposions un peu avant de reprendre notre marche dans la forêt. Chaque fois que Simon se penchait pour ramasser un champignon, Mathieu et moi nous nous regardions d’un air complice. Mathieu devinait mes envies. Il me souriait.

- Il est temps de rentrer, nous dit Simon, on a assez de girolles pour une bonne poêlée à midi.

Nous regagnions la maison.

Simon faisait très bien la cuisine. Nous nous étions régalé.

Après déjeuner, il suggéra d’aller dans son atelier afin de finir la réparation du vieux tracteur. En effet, celui-ci était tombé en panne et il avait du refaire lui même quelques pièces cassées.

Le nez sous le capot, Simon raccordait des vieux câbles. Mathieu rabotait des pièces de bois dans l’étau de l’établi. Moi je passais les outils à Simon. J’en profitais pour lui toucher le cul de temps en temps. il en bandait comme un cerf.

Mathieu avait besoin d’un coup de main pour tenir une planche.

- Il est beau ton grand-père, dis-je a Mathieu, ça c’est un homme, un vrai.

- Tu l’as déjà enculé, me demanda Mathieu.

- Oui, hier soir.

- Tu dois avoir un bon cul aussi, me dit Mathieu.

- Je suis serré, répondis-je , mais j’aimerais bien.

- Tu veux que je te le travaille un peu avec Papy?

J’acceptais volontiers. Je me mis sur le dos sur l’établi. Simon vit ma rondelle les jambes écartées.

- Il faudrait un peu de salive, dit-il a Mathieu.

Simon se mit à genoux parterre et me lécha le cul. Mathieu commençait a bander et entra deux doigts dans mon trou.

- Enfonce bien , lui dit Simon

- Oui vas-y Mathieu, écarte moi bien le trou, suggérais- je.

Mathieu mit ses doigts dans sa bouche pour les mouiller et enfila 4 doigts. Simon m’embrassa comme pour m’encourager.

- Met lui un manche d’outil, dit-il à Mathieu.

Le petit saisit un manche de marteau, le fit lécher à Simon et commença à me l’introduire. Il bandait bien. Je sentais le manche rentrer a fond dans mon ventre.

- C’est bien, s’exclama Simon. Tu devrais essayer de l’enculer maintenant.

Mathieu retira le manche et pointa sa bite devant mon trou. Il entra facilement. Simon approcha sa bite de mon visage. J’ouvris la bouche et commençait à le sucer. Mathieu limait doucement.

- Ca fait du bien.

- Vas-y petit, jute lui dans le trou.

Mathieu accélérait le rythme et tout a coup, lacha sa délicieuse purée dans mon trou. Au même moment, Simon déchargea dans ma bouche.

- Remplis le bien, dit Simon à son petit fils.

J’avais la bouche pleine de sperme. Simon avait envie de pisser. Il profita que j’avais la bouche ouverte pour envoyer quelques jets de pisse. Tout en étant au fond de mes entrailles , Mathieu approcha sa bouche de la mienne. Nous buvions ensemble la pisse du grand-père lorsque je sentis que Mathieu commençait à pisser dans mon cul.

Je me sentais rempli. La pisse mélangée au sperme dégoulinait parterre. Mathieu se retira de mon cul. Simon le rejoignit et lui dit

-tu as été génial et l’embrassa goulûment .

J’étais vidé. Mon corps enfin s’apaisait. Mais je n’avais pas joui. Simon se mit a quatre pattes.

- Viens, c’est mon tour maintenant.

Je me relevais de l’établi et pointais ma bite vers le trou grand ouvert de Simon.

Mathieu s’était glissé sous lui et lui léchait les couilles. Je rentrais facilement. Nos couilles s’entrechoquaient. Je sentais la langue de Mathieu nous lécher les couilles et la rondelle de son grand-père.

- Je vais cracher.

- Vas-y Pierrot, met tout dedans.

J’inondais de jus le cul de Simon. Mathieu continuait à lécher le trou et nos couilles. Apres quelques minutes, je me retirais doucement. Le jus commençait à sortir du cul de Simon.

Mathieu saisit ma bite en bouche. Il ne perdait rien. Mathieu continua à me lécher le gland. . J’étais vidé

Simon se releva. Du sperme coulait encore sur ses couilles. Il en ramassait le plus possible et se léchait les doigts. Il les introduisait dans son cul et les ressortait plein de sperme. Délicatement, il rentra un doigt dans le cul de son petit fils en faisant bien rentrer le sperme. Mathieu me nettoyait toujours le gland avec sa langue. Simon renouvela l’opération. Le sperme qui sortait de son cul lubrifiait ses doigts qu’il enfonçait dans le cul de Mathieu puis à la fin, écarta les fesses du petit et enfila sa langue. Mathieu semblait aux anges. Il poussait au maximum. Sa rondelle se dilatait, Simon passait sa langue tout autour et dans le trou du petit.

- C’est un délice, dit Simon.

- J’ai hâte de me faire enculer un jour, nous dit Mathieu.

Nous le ferons, répondit Simon. Tu seras un homme ce jour-là.

Nous achevions la réparation du tracteur. Je bandais à chaque fois que je repensais au cul ouvert de Mathieu. Il me branlait un peu de temps en temps et retournait à son étau.

La fin de l’après midi approchait. Mathieu devait repartir.

- J’aimerais tellement rester avec vous deux, avoua Mathieu, l’air triste en remettant son jogging. Je reviendrais bientôt Papy, dès que je le peux.

La maison est toujours ouverte, mon petit, répondit Simon.

Mathieu monta sur son mobylette et rentra chez sa mère.

Nous avions passé une superbe journée.

Je devais repartir le lendemain. J’avais promis à la voisine que je récupèrerais mon fils avant le week-end.

Simon me ramena en voiture chez moi au village. Nous étions tristes tous les deux. Durant tout le trajet, nous nous caressions les cuisses, les couilles, la bite. Je lui promettais de revenir bientôt. Il avait encore beaucoup de travail pour moi. Je lui répondais que je pourrais sans doute venir pendant les vacances de Pacques.

En rentrant à la maison, je repensais à tous les merveilleux moments que nous avions passé ensemble.

Jérémy frappa à la porte ; il avait vu que j’étais rentré. Comme d’habitude, il se déshabilla et garda son T-shirt et ses chaussettes ; il avait toujours froid. Il me demanda comment s’était passé mon travail chez Simon. Je lui dit que c’était un Monsieur super, et que je m’étais très bien entendu avec lui. Jérémy à l ‘age de Mathieu ,pas besoin d’expliquer notre amour mais il voyait bien que j’avais une érection dès que j’en parlais. Ca ne le gênait pas, mais il ne me posa pas de questions, même si nous étions très libres l’un envers l’autre. Je lui dis seulement qu’il y avait eu aussi le petit-fils de Simon et qu’il était très sympa.

Le soir, avant de me coucher, je me branlais encore en pensant à Simon.

A SUIVRE

Par simon - Publié dans : histoire racontée
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 13 décembre 7 13 /12 /Déc 15:45

une histoire fiction , avec mon ami Pierrot , dit le vosgien , on avait fait le paris d'écrire chacun un fantasme sur le même thèmes "rencontre en forêt" sans se concerter avant:
voici ma version dans l'article précédent "rencontre en forêt" ( si avez vous lu ) ce que Pierrot a écrit .. les 2 articles ayant été écrite parallèlement en même temps


en forêt

C’était un après midi d’été, j’avais envie de me balader NU, je me suis donc rendu dans la forêt où je me rend de temps en temps qui est en fait un endroit où de drague a la nuit tombante : j’arrive sur les lieux, et vais donc me garer plus loin qui est une impasse et tout près du bois. Il n’y a personne, je coupe le moteur.

Je me suis déssapé dans la voiture, pris mon petit sac a dos (que je prends toujours avec moi où il y a un Plug, un god, du gel, du poppers, un bandeau, une serviette de bain… enfin tout un attirail qui peu servir pour des bon plans…) je sort de la voiture complètement a poil ne gardant que mes baskets en laissant mes affaires a l’intérieur.

Il fait très beau et le fait de sortir de la voiture a poil m’excite, je commence à bander, je m’enfonce lentement dans le bois et me ballade ainsi sur des petits chemins qui part vers toute sorte de direction.

Je ne rencontre personne pendant une bonne 40ene de mn , j ‘avais traversé le bois et arrivais en bordure de la grande nationale il fallait faire demi tour lorsque j’aperçois une silhouette quittant sa voiture et s’avancer vers moi sur le même petit chemin, je m’arrête et me met a pisser contre un arbre, il arrive a ma hauteur, me regarde et ne m’arrête pas .Je fini de pisser et me retourne, le mec avait fait demi-tour et reviens vers moi.

- T’as envie de quoi ? me dit-il
- N’importe… suce et autre…et toi ?
- Ok suce moi alors…

Ni une ni deux je me mets à genoux, le mec sort sa teub, il ne bande pas mais je la fait grossir dans ma bouche, il n’est pas très expressif mais je l’entends quand même gémir, pendant que je le suce je m’amuse avec mon index en le faisant sortir et rentrée dans mon cul en me disant que peut-être il aurais envie de ma baiser mais non le mec se retire de ma bouche, se branle et éjacule sur mon torse, il remballe sa bite et s’en va sans même dire merci.

Je me relève et continu mon chemin laissant le sperm dégouliner le long de mon ventre.

Je quitte le petit chemin et me retrouve face a un endroit plus vaste avec une table de pique nique en bois, avant de sortir du chemin je scrute les alentours ,une voiture immatriculée en Vosges stationne ,il n’y a personne, je m’avance vers cette table et m’imagine que je me fait baiser dessus comme une salope , cette idée me fait tellement tripé que j’en oublie l’espace qu’il y a autour, je sort alors ma serviette et me couche dessus, pour pimenter encore plus mon trip je prend mon god et me bande les yeux, me graisse le cul, relèves mes cuisses et m’enfile le gode, excité a mort, j’en oublie que quelqu’un pouvais me voir ainsi, en train de me faire défoncé le fion couinant comme une salope,

(ce qui arriva car lors d’une petite pose),

je repose mes pieds sur la table en gardant mes cuisses bien écarter tout en continuant a faire aller et venir mon god dans le cul lorsque j’entends du bruit,moi2
je fait mine de ne pas avoir entendu et continu mon godage, une main me stoppa prenant la situation, je me laisse faire, je relève mes cuisses en les bloquants avec mes bras afin de bien m’ouvrir. Putain !!! C’est bon…

Je me fais goder en couinant comme une petite femelle afin de faire comprendre a cet inconnu que j’aime ça.
-
Humm… t’aime ça salope ?...
- Ouiii…humm…c’est bon…
Il me gode pendant un petit moment puis me demande de m’asseoir dessus, je me redresse et m’assois sur la table mes pieds reposant sur le ban, le mec monte sur le banc, je n'entendis pas  le bruit de sa braguette , était-il déja à poils?.
- Ouvre la bouche
J’ouvre et il me fourre sa bite bien raide dedans,une bite de cheval tellement elle était grosse , je le suce comme une chienne en chaleur.
- Humm… ouééééi vas-y… suce salope…ouééé… c’est bon…humm putain c’est bon…t’es une bonne salope toi !...arrêtej’ai envie de t’enculer…rallonge toi
Je me rallonge, il enlève le god et y introduit sa bite à la place, il me défonce comme un taureau en rut.
- Han…han…putain de salope… t’as un bon cul…je vois que t’aime la bite toi…humm ouai… c’est bon…
Il m’encule à fond, accélères ses mouvements puis d’un seul coup s’arrête au fond de mon cul et dans un grand gémissement il se vide dedans.
- Harggggg !!!…. Ouiiiiiii….

Il reste un moment en moi reprenant son souffle et se retire.
Je l’entends repartir......., je reste là dans la même position les cuisses écarté et me caresse l’anus, je sens son sperm sortir de mon cul, j’y rentre un doigt, je suis tellement dilaté que j’en rentre 2 autres d’un coup, je me doigte et mon cul est encore en chaleur, je soulève mon bandeau, cherche mon god et me l’enfonce, je m’accroupis et m’empale dessus comme si c’était une bite en me branlant, je me lime le fion à fond et ne tarde pas a jouir sur la table. Je remballe mes petites affaire dans mon sac pour rejoins ma voiture au départ de bois.

la voiture est toujours garée , mais je ne vois pas si il y a quelqu’un a l’intérieure, peut-être mon inconnu…

Je rejoignis ma voiture , ne pris même pas le temps de le rhabiller et repartis vers chez moi plutôt contents et soulager.

Je remarqua que la voiture du parking ma suivait à distance…. Pour m’en assurer , je tourna à droite…la voiture suivait….je tourna une nouvelle fois a gauche pour contourner le lotissement…la voiture suivait…..

C’est bien ce que je pensais c’était mon inconnu.

Arrivé devant chez moi , je resta quelques instant dans la voiture , regardant dans le rétro ce qu’il allait faire.

Il se gara derrière ma voiture et ne bougea pas.

Bon j’étais à poils certes , si c’est mon inconnu il m’y a déjà vu…. alors je sortis de la voiture et me dirigea vers la sienne.

J’ouvris sa portière ..surprise ….. , lui aussi était a poils

  • Salut tu ch. quoi ?
  • Salut Simon….t’as un bon cul…j’ai apprécié sur la table
  • Merci ,tu as vus le mec qui ma baisé... mais je ne te connais pas ..moi…
  •  ah! le mec oui..(hihihi)..je suis Pierrot le vosgien
  • Putain c’est pas vrais….
  • Je t’avais reconnu quand tu es arrivé au bois ,moi je faisais une pose avant d’aller chez toi , en fantasmant sur toi , je me branlais dans la voiture , quand je t’ai vu t’amuser avec ton god les yeux bandé je n’ai pu résister.. de t'enculer
  • quoi c"était toi?
  • oui t'as aimé?
  • Je regrette pas c’était mieux que le god…..
  • Tu peus m ’héberger une semaine , je sais j’aurai du t’en parler lors de notre dernier dial. Sur le net….
  • Oui…je te dois bien ça…
  • C’est sympa , merci ,je te donnerai un coup de main dans ton boulot …et puis…
  • Et puis quoi ?
  • Je….heu…comme tu aimes la bite et ben tu va en avoir…
  • Allez rentre Pierre…. C’était pas prévu au programme …mais pour me faire défoncer gueule et cul…on vas réaliser nos fantasmes que nous partageons en dial.

Il sortit de sa voiture , tous deux a poils nous rentrions a la maison.

 

A suivre

Par simon - Publié dans : histoire racontée
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Samedi 12 décembre 6 12 /12 /Déc 15:58

une histoire fiction , avec mon ami Pierrot , dit le vosgien , on avait fait le paris d'écrire chacun un fantasme sur le même thèmes "rencontre en forêt" sans se concerter avant:
voici ce que Pierrot à écris et vous aurai ma version dans l'article suivant , les 2 articles ayant été écrite parallèlement en même temps


Voilà son histoire.

Un jour, j’étais sur un sentier près du village ou je me promenais juste avec mes baskets, et je vois arriver une voiture en face moi. Je m’écarte et me cache un peu pour ne pas gêner le conducteur. Je ne veux pas choquer les gens qui ne sont pas adeptes de mon style de vie.

La voiture s’arrête, un homme descend la vitre de sa portière et m’appelle.

  •  
    • Tu fais quoi ici, me demande-t-il en me voyant a poil.
    • Rien, je me ballade.
    • Toujours a poil ?
    • Oui, Monsieur.

Il me fait signe d’approcher, je m’approche sans pudeur mais un peu étonné et je vois que l’homme qui avait un peu plus d’une cinquantaine d’année était entièrement nu dans sa voiture.

- Je m’appelle Simon, me dit-il, et tu vois que moi aussi je suis à poil.

Il avait une barbe blanche comme le père Noël et était assis très décontracté les jambes écartées dans sa voiture. moie1.jpg

  •  
    • Je m’appelle Pierrot.
    • Enchanté, tu n’as pas froid.
    • Jamais Monsieur, je suis un pur et dur.

Il regarde mon sexe au niveau de sa vitre. Je bande facilement et c’est vrai que de voir Simon aussi à l’aise sur le siège de sa voiture commençait à me faire avoir une érection.

- Bienvenu au club des vrais hommes, me dit-il. Appelle-moi Simon, y a pas de gène entre nous. Tu veux t asseoir dans la voiture qu’on discute un peu…

Je m’installais a coté de Simon. Je voyais qu’il bandait bien.

- Tu fais quoi dans la vie, mon garçon, me demanda-il ?

- Je suis horticulteur, je bosse dans les jardins, les parcs et les espaces verts. J’ai un C A P.

- Je vois que tu es un homme de la nature.

Il mit sa main sur ma cuisse. J’avais une super envie de l’embrasser mais je n’osais pas.

  •  
    • T’as un bel engin, me dit-il en tenant ma bite, on ne doit pas s’ennuyer avec ça. Ca te gêne pas que je te touche ?
    • Non, pas du tout.

Je commençais à toucher sa bite aussi. Il avait de superbes couilles qui lui donnaient l’air viril d’un homme sans complexe et fier de les montrer.

- J’ai du boulot pour toi dans ma grange, me dit Simon, plusieurs stères de bois a rentrer. Si tu veux, je t héberge quelques jours et tu pourras faire le travail. 30 euros de la journée, ça te va ?

J’étais super content. Mais je lui dis qu il fallait que je m’organise, que je laisse mon fils à la voisine qui habitait une maison à 800 mètres de chez nous. Pour 2 ou 3 jours, elle était d’accord.,

  •  
    • Pas de problème, je viens te chercher demain matin au même endroit.

Le lendemain matin, à 8 heures, j’arrivais sur le chemin a poil avec mon sac à dos. J’avais peur que Simon ne vienne pas, on sait jamais, un beau parleur qui m’avait promis du boulot.

Sa voiture m’attendait. Simon était bien sur a poil dans la voiture. J’étais rassuré et super content.

Pendant tout le trajet, il me racontait sa vie et moi la mienne. Il avait 55 ans et était déjà grand-père ; il vivait dans un chalet perdu dans la campagne, seul et a poil. Il était venu dans ma région pour chercher du bois à acheter.

Dans la voiture, on se regardait souvent nos bites et se les caressaient quand on avait envie, naturellement. J’avais envie de le sucer, mais je trouvais ça dangereux en voiture. Il me branlait un peu de temps en temps tout en regardant la route. Pour la première fois, je me sentais totalement à l’aise avec un homme même plus âgé que moi, il n’y avait pas de barrière.

On arrive dans son chalet. Un beau terrain avec pas mal de boulot. On descend de voiture et me fait visiter chez lui. On boit un café dans la cuisine. On était bien.

Je bandais un peu. Tu peux te branler, me dit Simon. J’avais en effet très envie.

  •  
    • Tu sais, c’est la maison de la liberté ici ; tu te branles quand tu veux, si tu veux me sucer, ne te gène pas, moi j’aime sucer, me faire enculer… on est entre nous.

Il se mit a genoux parterre et commença à me lécher le gland. Elle est bonne ta queue, me dit-il. Je bandais comme un âne. Je me laissais faire. Il bandait bien. Je peux goûter, je lui demande ? Bien sur. Il se lève, j’avale sa bite. Elle avait un bon goût de naturel, pas de savon, ni d’eau de toilette.

  •  
    • Tu t y prends bien, me dit Simon.

Ca faisait tellement longtemps que je n’avais pas sucé. Je me branlais.

  •  
    • Putain, elle est grosse me dit Simon ; tu dois bien gicler. Tu veux bien me mettre un peu de crème dans le café.

Il me tendit son bol de café et je me mis a me branler plus fort. Apres quelques minutes, 3 bonnes giclées atterrissaient dans le café. Il reprit le bol et avalait son café jusqu’à la dernière goutte.

  •  
    • C’est bon, me dit Simon, j’ai mon plein de vitamines, on peut commencer a se mettre au boulot.

J’avais aussi envie qu’il éjacule, mais j’étais là pour travailler. Je me levais avec lui et nous allions dans la grange.

Il y avait beaucoup de bois en tas à ranger. D’autres bûches à couper.

Nous étions bien tous les deux dans le hangar a poil, comme si nous nous connaissions depuis des années.

Je commençais a fendre les plus grosses bûches. Simon ramassait et empilait du bois. Quand il se baissait, je voyais son cul devant moi. J’essayais de ne pas être troublé et je redoublais d’effort à fendre les bûches. Une heure après, je suais.

  •  
    • J’ai envie de pisser, je dis à Simon, je sors dehors.
    • Tu peux pisser là, me dit Simon, t’inquiète pas.

Je lâchais ma hache et commençais à pisser debout dans les sciures.

- Je vais en faire autant, me dit Simon.

Il s’approcha de moi et commença a pisser parterre, puis sur ma queue. Nous commencions à rire. On s’arrosait de nos jets de pisse. Elle était bien chaude. Simon en recueillit dans sa main et lécha. Elle est bonne. Je goûtais dans sa main et je re-pissais dans le creux de sa main que nous partagions dans nos bouches.

  •  
    • La vie est belle avec toi, je dis a Simon, on ne se prend pas la tête, on fait ce qu’on a envie sans problème.

L’après midi passa très vite. Je l’avais aidé a réparer un vieux moteur de tondeuse a gazon. On s’était sucé, branlé, joui, on rigolait, parfois on s’embrassait, on s’était roulé une superbe pelle avec son sperme dans la bouche. De temps en temps, je lui mettais un doigt dans le cul, ça lui faisait plaisir, moi, je bandais sans arrêt. Il avait vu que j’étais serré du cul mais lui avais demandé d’essayer quand même de rentrer des doigts s’il avait envie. Le bonheur.

Le soir, on avait mangé tranquillement dans la cuisine. Simon avait préparé une délicieuse omelette. En le voyant nu devant les fourneaux, je me disais que c’était les plus beaux moments de ma vie. Je me caressais les couilles, je mouillais un ou deux doigts que j’entrais profondément dans le cul de Simon. Il continuait a surveiller la poêle. Son trou était un délice, ça glissait tout seul. Son omelette était divine.

Apres dîner, il avait fait un feu de cheminée. On s’installait sur le canapé et profitait de la chaleur du feu. Simon nous avait servi deux digestifs. En voyant que ça me chauffait le gosier, Simon se leva et me pissa un peu dans la gorge. J’allais mieux. Je rebus une rasade de digestif.

Nous étions cote a cote allongés sur le canapé a regarder les flammes. Simon s’enfilait des doigts dans le cul, j’avais la bite toute raide. Puis il se leva et approcha son cul de mon gland. Je mouillais. Son trou devenait luisant. Lentement la moitié de ma bite rentra.

  •  
    • elle est vraiment grosse, me dit Simon, puis il s’enfonça entièrement jusqu’aux couilles, mais ç’est trop bon.

J’aurai pu rester des heures dans son cul. En faisant des petits mouvements de va et vient et en me caressant les couilles, je sentais mon sperme monter. Mes deux mains enlaçaient Simon ; Je lui pinçais un peu les seins. Ma sève montait et tout a coup, sans pouvoir me contrôler, mon sperme sortit comme un geyser dans le ventre de Simon. Il ne bougeait plus. Il savourait les giclées qu’il sentait envahir ses intestins. Nous sommes restés longtemps comme ça. Je débandais un peu mais nous étions l’un dans l’autre, en osmose. Je me mis à branler Simon. Il bandait dur. Puis il mit sa main devant son gland et de magnifiques jets de sperme rem plissèrent le creux de sa main. Il goûta d’abord, puis m’en offrit. Son nectar était délicieux. Il en reprit un peu, puis m’en redonna. J’achevais de lécher le reste de sperme. Je lui mis mes doigts dans sa bouche. Il se retourna légèrement et nous nous embrassions goulûment en entremêlant nos langues.

Puis Simon sortit de ma bite qui était encore dans son cul. De son trou bien dilaté, coulait mon jus en abondance. Je ne pus m’empêcher de lui lécher la rondelle et de récupérer un maximum de liqueur dans ma bouche. A nouveau, nous nous embrassions.

Nous sommes allés nous coucher. Serrés l’un contre l’autre dans son lit, je m’endormais très vite, heureux.

le lendemain matin

A suivre

Par simon - Publié dans : histoire racontée
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 16 novembre 1 16 /11 /Nov 14:54

40 ans aprés

TU
oxygène toujours mon coeur
comme le destin ignorait mon chagrin

je t'ai laissé partir
sans te retenir

et même si tu es parti plus loin que l'infini
je savais que tu rejoindrais mes nuits 
tous les jours
pour virtuellement faire l'amour

TON
image est toujours aussi vive

TU
es partout où je respire
 
TOI Gérome mon 1ere amour
simon






















Ton sourire était une fleur
Ton coeur une source de chaleur


Ta bouche était si joilie
Ton rire aussi
C 'était comme un arc-en-ciel
Qui brillait comme le soleil
Allez reviens , je t'attends
Je t'avais promis de vivre ma vie 
comme tu le souhaitais tant
voila c'est fait
 il est temps Aujourd'hui ,
A présent de te rejoindre
Mon coeur si impatient
De te revoir enfin
dans tes bras tendrement
en me reveillant
Un matin
auprès de TOI
et reprendre notre amour
là ou tu l'avais laissé
car je t'aime toujours

simon                                                      

mais voilà tu m'as envoyé un ANGE  lui donneras tu la force de franchir le pas?


Mon choux adoré
tu as quitté la Lorraine
pour réfléchir sur ton avenir
là-bas , sur tes rochers
loin de toutes terres habitées
rien que TOI et la mer
livrant un face à face sans merci
 Que te dit-elle?

rien , elle se tait...

d'ailleurs , c'est pour cela qu'elle te plait
elle pour être calme
agitée , mais toujours silencieuse
est-ce  là ta seule confidence ?
oui
  , vraiment , je te crois
lui as tu parlé de moi ?
de l'amour que j'ai pour TOI ?
NON surement , elle serait trop jalouse
mais un jour , n'oublie pas
tu devras faire un choix

et ce jour là , choisis MOI !
simon

Par simon - Publié dans : histoire racontée
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 13 novembre 5 13 /11 /Nov 08:41


mai 2006

Je ne sais pas.......                                        
Peut être qu'un jour je t'ai blessé
sans le vouloirr , sans y penser.
Je ne sais pas !
Peut être que ce WE , j'aurai dû éviter
Cette conversation , qui aurai pu mal tourner
Je ne sais pas !
Parfois il faut du temps pour réaliser
que ce qu l'on vit n'est pas banalité
Pourquoi?
Je ne sais pas !
Par contre , je sais une chose:
je n'aurai jamais dû refuser
Ton amour
Je tiens à TOI
et pour me pardonner
je m'offre à TOI

Stéphane


septembre 2006

Tu m'as mis en confiance
je me suis laissé tenter
Certe avec prudence
Mais je t'ai amié
Tu ne m'as pas laissé aucun espoir
de vouloir TE revoir
Tu m'as tout repris
Tu m'as fait souffrir
aujourd'hui je t'aime encore plus fort
J'ai peut être tort
J'ose toujours espèrer
et je ne peux t'oublier

 je t'aime
David






juillet 2008

Simon
TU es mon étoile
Chaque soir je pens à TOI
ET ça me fait mal
De savoir que des mecs comme moi
T'on dèja embrassé
alors que moi , TU m'as seulement fait rêver
Je voudrais pouvoir te serrer dans mes bras
Ne T'avoir rien que pour moi
Hélas ! l'impossibilite de mon jeune age est là
Et je ne sais comment TE dire
A quel point , TU m'attires
TU as des yeux revolver
Un sourir de rêve
Qui me fon craquer
Qui me font même pleurer..
.........
Quand je rêve de Toi
Je ne fais que bander
Et de Ta main
Tu me fais fondre de joie.
 Dans ta bouche pleine de tendresse......

PAUL







novembre 2009

extrait des mots doux que mon jeune amant Maxime me fait parvenir presque tous les jours depuis que son travail la éloigné de moi

Depuis mon départ,
J'ai croisé tant de regards,
Frôlé tant de mains,
Mais tous cela en vain.
Le jour comme la nuit,
Tu es dans ma vie,
Je ressens un sentiment de nostalgie,
Je revois dans le reflet de tes yeux,
La magie de nos moments heureux.
Pourtant le temps ne s'écoule pas,
La flamme de mon coeur ne s'éteindra pas
Demain encore , elle brillera plus fort
Quand dans mes bras je te serrerai tres fort
Et cela juste pour TOI
nos corps soudés en aimant que TOI



Maxime 












































ma réponse:
j'attend ton retour proche , mon corps a besoin de te sentir en moi
reviens vite amour de ma vie
Simon



avril 2009

mots doux  du jeune Pierre



Simon
Tu es entré dans ma vie
Sans y être invité
Moi , j"étais nouveaux dans ton village
Et TOI ,surement un ancien vu ton age
Dans le bois  , ou je courrais , je t'ai croisé
C'était un samedi aprés-midi
Toi tu étais avec un jeune minet
Peut être ton ptit fils?
Et moi avec une fille
Ton regard ,ton superbe sourir
J'ai eu le coup de foudre
La semaine suivante j'etais seul
Sur le chemin , une poignée de main
pour une raison pas très claire,
tu m'a embrassé ,
je t'ai massé ton entre jambes
depuis je vis dans le désespoir
j'aimerais que la prochaine fois
tu viennes allumer la  flamme qui brûle en moi
Comment te faire comprendre
que j'ai envie de TOI

PIERRE




Par simon - Publié dans : histoire racontée
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 8 novembre 7 08 /11 /Nov 17:41
bientôt une nouvelle épisode de ma vie , mais pour vous faire patienter je vous ai ecrit ce roman photos ,
Merci pour vos messages d'encouragements
donc il etait une fois , en Lorraine.....
























































































































































































































































































































































































































FIN
c'était ma manière a MOI  de vous dire combien j'AIME me faire défoncer par de jeunes minets adultes  (+ de 18 ans)
bien membrés , surtout pas rasés , et tres tres juteux
Par simon - Publié dans : histoire racontée
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Jeudi 15 octobre 4 15 /10 /Oct 22:56
voici une petite histoire en images que j'ai trouvé sur le net (merci a l'auteur)

  

- Que puis-je pour vous?
- Excusez moi, je pensais que Loïc Matoumi était là, je repasserai.

- Non ne vous inquiétez pas, il m'a demandé de le remplacer au pied levé. Je
vais vous recevoir à sa place.

Tu parles recevoir à sa place, il ne sait pas ce que je suis venu chercher

- Asseyez vous, monsieur!

Je lui donne mon nom, il le frappe sur le clavier d'ordinateur pour faire
apparaître ma fiche. Il fait défiler ma fiche, un léger sourire passe sur ses
lèvres, qu'y a-t-il sur cette maudite fiche! , il a vu ma fiche et a souri, le coup de fermer et de
couper la sonnette comme Loïc. Putain j'ai mis mon jock en pensant à Loïc, et me voilà
devant un mec que je ne connais pas, c'est tout moi ça. Enfin au point où j'en
suis.

je lui explique que j'ai consulté Loïc

Il soupèse mes couilles . Il dit

-je dois regarder votre prostate
- Ah bon ?
- Oui, oui, penchez vous en avant.

Je me penche et je sens qu'il me fout un doigt dans le cul. Humm j'ai adoré ça.c'était une 1ere pour moi

J'écarte mes fesses avec mes deux mains.

Avec son autre main il me masse la bite raide. Il fait un va et vient dans mon cul.

- je ne sens pas votre prostate monsieur
- ah bon,

Il sort son doigt et va vers une petit table, je vois qu'il enduit sa main avec du gel. Il revient et m'enfile trois doigts dans le fion, sans aucune précaution. Je lâche un gémissement de satisfaction. Il reprend ma pine avec son autre main et continue son va et vient.

- ca y est je la sens, vous la sentez aussi ?
- oui monsieur, je sens vos doigts dans mon cul.
- ca va , ca fait pas mal?
- non, non.

- ok

Il ressort ses doigts et comme ça ?.
aaaahhhhhh! ça fait mal ,c'est quoi ce truc dur ,c'est chaud , puis fit des vas et viens ,j'éprouvais du bonheur , coninue Loïc oh oui continue.
-quoi Loïc vous avait baiser?
-c'est ça docteur.......  

 

-tres bien ..,
bon... je vais vous osculter..












OU là là c'est beaucoup trop élevé
-vous faites pas erreur j'ai jamais eu ça

- Bon, vous pouvez vous déshabiller

Je me dessape donc. Quand il lève enfin les yeux je suis en slip devant lui. Il reste bouche béé.

- eh bien ... vous on peut dire que vous êtes musclé !!

Je le remercie du compliment.

 Il m'osculte. Il me fait tousser.

Je tousse.

 Il me tâte les bras.

- C'est du solide tout ça

- Oui docteur
- toussez

Je tousse.

 -hum hum

Je m'inquiète.

- J’ai quoi ?





- Oh pas grand chose,tournez vous

je me retourne

mais permettez moi de vous posez une question.
- Oui?
- Vous vous masturbez souvent ?
- Oui docteur, souvent quand je le peus et qu'elle veut bien bander
- Et vous avez beaucoup de sperme?
- Oui, enfin je pense que je suis normal
- ok , otez votre slip





Je l'ôte, je suis nu comme un ver. Il soupèse mes burnes. Il tire dessus. 
 Il se baisse et regarde ma queue de tout près.

Je ne bande pas.
 Il me dit :

- Je vais vous aider, tenez cette revue…

Il me tend une revue de mecs  et de filles à poil.

- Ca me fera pas bander docteur !
- Ok je vois, vous voulez que je vous aide?
- Oui docteur



















Il me dit :
- inclinez vous s'il vous plait.

Je le fais
. Il me fou un doigt dans le cul.

- Hum hum
- Qu'y a t il docteur ?
- Vous vous faites sodomiser ?
- Non, heu.. oui 1fois si je compte Loïc , moi je suis hétéro  

.



































Il soupèse mes couilles et tire dessus comme un taré











- monsieur, je suis médecin. Mais je suis tout de même un homme. Vous permettez que je suce votre queue ?

Je dis :
-faites votre métier monsieur, si il faut que vous suciez mon sexe, faite-le



il s'accroupi, ouvre sa bouche et englouti ma pine chaude.
 Il suce bien ce salopard de toubib.

 Il me masse les couilles en me suçant la queue,

 il tire dessus comme un malade.

 Je grogne de plaisir.


-ouai vas y doc, fait moi jouir, tu suce bien putain de doc.

- Ça ne vous ennuie pas si j'enlève ma blouse, mais je commence à avoir chaud!
- Non pas du tout.

Il se plaça derrière moi et commença à me doigter
- J’ai envie de t’enculer salope…donne moi ton cul…
. La chaleur me faisant transpirer mon cul s’ouvrais bien, il n’eu donc aucun mal à m’enculer,
- Humm putain… t’as une bonne chate ma salope…

Il se déchaina dans mon trou tout en m’insultant, me claquant les fesses, me demandant ce qu’il voulait entendre.
- T’aime ça hein salope…han…han…
- Oui j’aime
  J'ouvre les yeux, son pantalon de toile blanche sur les pieds, et si je vois bien, une belle bite fine mais courte Sa peau est laiteuse, un peu de poils
roux autour des seins, puis un mince filet de poils qui partent du nombril pour disparaître sous la ceinture du pantalon
.

Alors il se dessape et continue a me sucer la pine

-oui oui continue

il y va de bon coeur , sens ma bite gonfler dans sa bouche

-encore encore

il se fait des gorges profondes , mon glan coincé dans ses

amygdales durci

-whaa super  docteur je bande

-enfin du résultat


-je bande vous avez réussi a me faire rebander

-allez perds pas de temps baise moi ..... 
Il se tourne et me présente son anus.
                                             

- encule-moi beau mec, je veux te sentir au fond de moi. Ramone-moi le fion avec ta pine d'ours.


Je m'enfile dedans et je le baise. Mes couilles tapent contre ses fesses. Il dit

- ouai je suis ta salope, encule moi, pine moi, je te veux, je suis ta pute, défonce moi la rondelle, casse moi l'pot. vide toi en moi je veux ton jus de mâle en rut, donne moi ta sauce de couilles ! jouiuiiiis sale pd de merde, jouis dans mon fion ouvert

 t’en es pas a ta 1ere enculade a ce que je vois…t’aime la bite toi hein ?
- OUIIIIIII…
- t’aime te faire enculer ?...
- oui j’aime me faire enculer… me faire défoncer le cul, OUI !!!…..
- j’aime les petites putes, t’as envie d’être une petite pute pour moi salope ?...
- oui… j’ai envie…je le veux…j’veux d’la bite…vas-y… défonce moi… prend ton pied mec…bourre moi le fion comme une chienne…
Je me déchainais à l’enculer de plus en plus vite, son cul s’ouvrait tellement bien que je sortais ma bite pour mieux l’enfoncé aussitôt jusqu’aux couilles.
je lui  laboura le fion ainsi pendant une 10ene de Mn avant d’y décharger tout mon foutre.
- Harrrrg…… putain de salope… j’vais jouir…
Je lui remplis les intestins de ma semence et resta bloquer dans son cul jusqu'à ce que je débande. Ma bite redevenu molle je me  retira


je lui avait fait la totale
en le laissant avec sur le visage, le sourire niai du mec heureux de s'être enfin pris une bonne grosse pine de vrai mâle dans le cul



il me fixa un RDV dans 4 semaines afin d'effectuer un contrôle (voir si mes érections redevenaient normalement)

il n'avait rien a crainte j'étais guerri et pour cause , un aprés midi rentrant de mon boulot , je trouva ma femme se faisant niquer par le docteur Matoumi ,je les observa un moment par la porte entrebaillé , je bandais comme un cerf , enleva mon fut et sj franchi la porte , bite en avant , le docteur occupé a baiser ma femme , le cul bien offert , je le pénétra a sec il hurla de douleur
wwwwhhhhhhhaaaaaaaaaaa !!! NONNNNN!!! Pas ça
-trop tard , tu vois je suis guerri.....

 j'avais compris ça l'arangeais bien que je bande plus ,il pouvait ainsi contenter ma femme en manque et me baiser en plus

 
Par simon - Publié dans : histoire racontée
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 14 juin 7 14 /06 /Juin 14:02
cette histoire remonte de quelques années en arrière , 2 jeunes ados à l'époque et qui aujourdh'ui vivent ensemble et partage la même femme MIchelle qui leurs a donné a chacun un fils .
raconté par les auteurs et écris en collaboration de         avec moi et agrémenté de quelques photo du net
voir les articles précédents (Damien 1ère partie) - (Damien 2ème partie) - (Damien 3ème partie) et (Damien 4ème partie) si vous ne les avez pas encore lu.
voici la suite

Le soir venus

Après une bonne douche, je me suis allongé sur le canapé quand retentit la sonnette.

je mis ma robe de chambre et ouvris la porte

Karim attendait. Et dit

- bonsoir mec j’ai aucun endroit pour dormir tu peux m'héberger.

Il y a qu'une chambre si tu veux tu dors avec moi ?
 Riant il me dit:
-- t'en as pas eu assez hier ?
je lui dis : NON
t'es vraiment une putain toi t'es insatiable, ta faim de queue et de foutre ?
oui Karim j'ai faim

Il retira ma robe de chambre et vit que je bandais il me regarde et souris

hum en effet t'en a encore envie salope

je lui caresse les couilles à travers son survêt et il banda de suite

-t'es en chaleur toi, viens ont passe dans ta chambre

 

On passe donc dans la chambre et lui se met habillé sur le lit
désap moi me dit il
ouiii

Je prends un malin plaisir à le déshabiller
Il avait une queue puissante et super belle
Une fois tout nu il se met à califourchon sur moi et moi tjs sur le dos
Il me prend la tète et me baise la gueule avec sa queue
putain tu as une bonne petite gueule ma pute ,comme ton p'tit cul c'est aussi bon
Tout en me faisant bouffer sa queue il me doigte le cul sans ménagement
Il se retire de ma gueule et me relève les jambes sur ses épaules et s'enduit la queue de gel
Je sens son gland forcer mon trou et dans un cri de plaisir il commence à me baiser assez violemment pensant qu'a son plaisir
Je prenais mon pied quand la porte s'ouvrit et Louis entre
Karim continuait à me baiser et d'un coup il accéléra et prit son pied en moi et dit

--c’est qui ce mec ?
houai c'est mon chéri
ah!!!!!!!
t'inquiète pas

Karim pu voir qu’il n’y avait pas que lui qui avais une grosse bite.

--- je comprend maintenant pour quoi tu a un cul bien dilaté

Et la il se met à lui dire
entre, t’en veux aussi ?
Louis entre et moi je lui dis
baise le chéri
ça vas pas la tête je suis pas une pute moi…..

--- Et bien ce soir tu seras la notre ......

Louis pris les cordes placées dans l’armoire et attacha Karim par les chevilles au lit et lui ficela les poignets dans le dos ensuite les couilles , le tous fortement puis attaché au bois de lit , Karim ne pouvais plus se défendre.

---non , non pas ça mon cul est vierge et le restera

---tu te trompes , fallait pas violer mon copain dans le bus avec tes potes et en plus l’obliger a niquer la fille de force

--- oui mais il a pris son pied , il a aimé

---peut être mais sur la contrainte ,mon copain malvoyant ne pouvais pas se défendre contre vous 3.

--- je m’excuse je savais pas..
--menteur.....

Il me regarda et commença à me branler la queue et vint me prendre la bouche pour un baiser viril
mon chéri était debout en train de nous regarder et sa queue était belle et bien tendue
Karim dis en me regardant
tu vas pas me faire baiser par ton chéri
— SI ,SI c’est le seul moyen de t’excuser
Sans répondre il prit ma queue dans la bouche et avant de pouvoir dire ouf mon chéri défonça Karim a sec

Des mots incompréhensibles sortaient de la bouche de karim entre deux va et vient de ma bite

-va-y Damien baise lui la gueule pour l’empêcher de crier

-il a un bon cul chéri ?

*oui bien serré , je vais élargire ça , son cul va devenir un garage a bite

Louis décula ,sorti de la pièce et revint avec une bouteille style " kro 1864 " , il enfonça le goulot dans le cul de Karim et força au maximum

Karim hurlait de douleur , Louis faisait toujours pression sur la bouteille qui entrait lentement

---pitié non pas ça , tous mais pas ça ......arrêtez je vous en supplie.

--- ah ! tu veux tous …..Ta voiture est garé ou ?

--- a 500 m au bout de la rue sur la petite place

---ok ok , bon en attendant Damien continue a lu baiser la bouche et avec tes mains maintient la bouteille pour qu’elle reste bien dans son cul.

Louis pris les clefs de la voiture et les fringues de Karim et partit quelques minutes.
Mon chéri de retour vint derrière moi , pris sa queue et la guida vers mon trou
Et d'un coup il entra moi
Je jouissais ,voulais arrêter, mais pas possible mon chéri me baisait et je commençait a jouir et fini par juter dans la bouche de Karim qui n’eu pas le choix que d’avaler. Quand a Louis arriva a sa jouissance il retira la bouteille et remplit les entrailles de karim.

--- voilà mec tu au même niveau que Damien une bonne salope. ,
--putain je n'aurai jamais cru que c'était si bon
--t'es comme moi tu as aimé
-- c 'est clair mec
--Tes potes pourront  baiser sans forcer ,une vrai pute  toi qui jouais au caïde , le patron du clan  avec  ton cul est bien ouvert , ils vont bien rire
--la honte pour moi PD moi PD j'y crois pas
--moi aussi allez encore un ptit coup , a toi Damien
--ouééé ça rentre comme dans du beurre , tu as le cul bien ouvert allez Louis remet lui ça bien a fond
--OUI OUI et toi Damien viens que je te suce
Louis le défonçait violament , sous les coups de butoir je n'avais rien a faire Karim me branlais avec sa bouche ,je lui juta dans la bouche Karim avala et dit entre deux gorgées
--hug ....oui encore.... pff .......aahhhh!! putain que c'est bon ....encore les mecs....
 -- tiens prend le mien et que je ne te revoie pas
-- je pourrai revenir ?
--On te faira signe allez file d’ici PD voici tes clefs de voiture.. dégage....

---mes fringues ils sont ou ?

---dans ta voiture

---je vais pas traverser toute la rue a poils il y a plein de monde dans cette grande avenue.

--- c’est pas notre problème allez dégage….

Karim avait du mal a marcher , de son cul bien ouvert s’échappait le sperme de Louis , rejoignit sa voiture sous les regard des passants surpris de voir un tel spectacle.


la semaine suivante de retour chez moi , Michelle me téléphona comme prévu
-allo Damien je peus passez chez toi
--tu es qui?
--
ben Michelle la fille du bus que tu a sauter
--Ah ! oui bien sure viens je t'attend , ma mère est là ne sois pas surprise c'est elle qui te recevra
--
ta mère est la?
--
t'inquiète apres on passe dans ma chambre , elle me laisse libre de recevoir qui je veus
-- j'arrive.....

Une demi heure plus tard...

La porte s’ouvrit, ma mère dit

-bonjour mademoiselle , c’est pourquoi ?

-bonjour madame , je viens voir Damien

-une fille qui viens voir mon Damien ! j’en reviens pas…il m’a jamais parlé de vous…..

-heuuu ! !ben ça fait pas longtemps….

Mais elle eu pas le temps de terminer sa phrase que ça mère cria de joie

-Damien … mon chéri tu as de la visite….une jolie fille

-fait la monter à ma chambre , je fini ma douche…..

-je suis contente pour lui ,j’avais tellement peur qu’il reste seul….

-n’ allez pas trop vite madame ………

ma mère l’accompagna a la chambre et lui dit

-entrez mademoiselle , il vas pas tarder.

Sortant de la douche et ayant toujours l’habitude d’être a poils dans la maison , je rentra dans ma chambre ainsi dévêtu .

-bonjour Damien ,Whaaaa !!  tu es encore plus beau nu

-bonjour Michelle , merci pour le compliment , mais excuse moi de m’avoir présenté nu devant toi

elle me dit : J'aime ta queue depuis qui tu m’as ramone la chatte dans le bus

Elle pris ma queue  en main et avant de la mettre dans sa bouche  dit :

- ne te gêna pas pour me la mettre jusqu'aux couilles

sa bouche  me massait le glan et je bandais encore plus
--Oh oui....hummmm c'est bon ouiiiiii ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii

-mais…Michelle arrête toi j’aime les mecs

-y a pas de mal a ça moi j’aime les fille et ce pas avec une fille que j’aurai un enfant

-Quoi…. Tu veux juste un enfant , c’est quoi ce délire

-oui et c’est toi que j’ai choisi

-Mais j’aime Louis faut que je lui en parle

-pas de soucis , parle lui , c’est signe que tu ne refuserai pas

-j’ en ai envie aussi c’est une bonne idée , mais je voudrais que cet enfant soit a moi aussi.

--Je resterai avec toi même si tu es gay et que Louis veux bien partager notre vie.

Au même moment la discution fut interrompu par un toc toc a la porte

-oui une seconde

-c’ est Louis , je peux entrer STP , je sais que tu es en compagnie , ta maman me la dit

-oui j’arrive

Devant la porte, je prit mon temps pour ouvrir la porte , a poil il voyait que je bandais à mort.

Il regarda ensuite la fille et d'un air complice ,et ajoute, j'avais qu'une envie c'est de te branlé et te faire jouir

-hummmm!!!! ouéé....
-Alors sale pute tu te fait caresser la queue par une fille ?

J'étais aux anges, je bandais plus ferme en sentant les doigts de Louis me ramoné le fion.

-Alors chienne tu gémis pas ?
-je veux que tu gémisses Damien ou je baise avec lui
dit Michelle

-Alors salope gémis …..

sans réponse Louis défonce mon cul de pute et Michelle me mord les couilles

.Oh oui j'aime....hummmmmmmm,
-oui continue c'est bon encore sale pute tu va me faire jouir...
--ohhhhhhhhhh ouiiiiiiiiiiiiiii vas y jute dans mon cul de lope

ce qu'il fit au bout de quelque mn avec un flot de sperme dans mon cul

--hummmmm oui c'est bon
--T'aime la bite aussi femelle ?tu en auras après si çate dit....

-oh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiii et repris sa suce.

Elle me parla et me dit : t'aime ?
Louis répondit a ma place : ohhhhhhh ouiiiiiiiiiiiiiiiiii voyant qu'il ne pourrait rien tiré de plus de moi car pris par le plaisir il continua satisfait  de regarder en se disant la meuf ont se là fera .......

--je viens ,je viens

--Stop dit Michelle donne moi ta semence je veus la sentir couler en moi en jetant sur le dos jambes écarté

--Vas y donne lui tous dit Louis

Mon sexe entra dans sa chatte et dans la seconde sécoué par de violents spam je me vidais en elle.

Elle croisa ces jambes autour de mes reins pour que je reste en elle jusqu'à ce que ma bite ressorte d’elle même bien molle

Louis maintenait son érection grâce a ma bouche.

Vingt minute plus tard , Michelle qui par sa bouche m’avait rebandé dit a Louis

-viens en moi et libère toi de ta semence comme Damien , j’en veux encore

il ne se fit pas prier sa bite entra jusqu’aux couilles dans la chatte en chaleur et donnant des coups de butoir comme il savais faire

Michelle hurlait de plaisir des " ohhhhhhh ouiiiiiiiiiiiiiiiiii…..vas y encore plus fort .. oh ! ouiiiiiiiiiiiiiiiiii " , a joutant "  Damien baise moi en même temps "

Je l'enculais et finit par jouir a nouveau dans son cul alors que lui remplissait Michelle l’empêchant a mon tour de se retirer

Il ne me dit rien car il savait que c'était inutile voyant le plaisir que je prenais.

Depuis ce jour j’avais 2 amours Louis et Michelle


3 mois plus tard….


Michelle nous annonça "je suis en ceinte qui est l’heureux père a votre avis ? "

Louis et moi se regardèrent et répondirent en un seul et même mot " MOI" "MOI"

Voyant les 2 hommes heureux de la nouvelle elle nous dit " je resterai avec vous , je serais votre pute "


6 mois plus tard…


Michelle mis au monde des jumeaux ,2 beaux mâles (Matthias,2kg8 et Mathis ,2kg6 et en plus rouquin)

.Depuis ce jour, nous vivons ensemble et ne me considère plus comme leur pute mais comme une bonne mère de famille qui se fait toujours baiser deux fois pour ne pas faire de jaloux.

Louis et moi continuons a  partager notre amour gay sous le regard de Michelle qui ne s'en lasse pas et alla même a  nous offir son frère

Nous nous aimons...en cœur et ma mère est comblé avec un seul fils , de plus est  " GAY ", se retrouver avec des petits enfants

elle est pas belle la vie.......

Par simon - Publié dans : histoire racontée
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 31 mai 7 31 /05 /Mai 09:16
cette histoire remonte de quelques années en arrière , 2 jeunes ados à l'époque et qui aujourdh'ui vivent ensemble et partage la même femme MIchelle qui leurs a donné a chacun un fils .
raconté par les auteurs et écris en collaboration de         avec moi et agrémenté de quelques photo du net
voir les articles précédents (Damien 1ère partie) - (Damien 2ème partie) et (Damien 3ème partie)si vous ne les avez pas encore lu.
voici la suite

Après en dernière année de lycée Louis rentra à l’université de Médecine de Nancy , moi avec mon handicap de malvoyant je me dirigea vers un institut pour aider des gens comme moi.

L’absence de Louis me pesait .

Un jour, je pris le bus pour allez chez lui, comme les bus sont peu nombreux je décidais de prendre le plutôt celui de 6h30 ce qui me faisait arrivé a 8h en gare de Nancy ,ou Louis devait venir me chercher pour aller chez lui avant ces cours..

A mon réveille, toilette/douche + lavement de mon cul.
Je choisis mes affaires et décida d'y aller sans slip sous le survêt
avec l’aide de ma mère ,je me rendis à l'arrêt des bus et attendis qu'il arrive

Je monte, présente mon ticket au chauffeur. Je m'assis au milieu et le bus part, puis un mecs vient me voir et me dit

--Salut

--salut

--je peus m’installer près de toi ?

--oui pas de soucis

--tu gardes toujours tes lunettes sombre sur le nez ?

--Oui je suis malvoyant

--Désolé , excuse moi mec

--Tu es excusé , tu pouvais pas savoir..

--t'es PD ?

À cette question , surpris machinalement , je le regardais sans le voir en disant " NON " et me reposa la question ?

- t'es pas PD toi ?
- non !

Alors, il prit ma main et la posa sur son paquet et attendait de voir ma réaction. Je ne pus m'empêcher et me mis a bander sous mon survêt.

N'ayant pas de slip ça se vit de suite et le mec s'en aperçut.

- Alors toi , pas PD et ça t'excite rien que de me caresser ? Viens avec moi au fond du bus , il y a plus de place j’ai une belle queue pour toi !

Voyant mon refus il me prit de force et m'emmena au fond du bus et pendant le petit trajet je sentais qu'il se collait à moi et me fit sentir sa queue bien raide

Il me fit assoir entre ses potes et là je ne pouvais pas bougé, lui était resté debout face a moi.
Il dit à ses potes:

- j'amène une bonne pédale en chaleur, ça l'a excité quand je lui ai fait caressé ma queue ça l'a fait bander, il doit être en manque alors ont va lui donner ce qu'il désire.

- ouais, tu vas t'en prendre plein le fion pédale, en attendant suce mon pote.

Étant assis, j'étais à la bonne hauteur pour sucer. Celui qui était resté debout, sortit sa queue et me la présenta en semi-érection.

Voyant que je refusais, il fit un signe à ses potes qui me força à la sucer, ce que je fis.

- Ouais suce...continue sale pédale t'aimes la queue toi...hum ouais continue. Putain les mecs sortez vos queues, car c'est un bon suceur de bite.

Ce qu'ils firent, ils sortaient leur queue et ils bandaient de plus belle.

- ouais salope, vas-y tu vas avaler mon foutre... hum ouiiii vas y putain

Sur ses mots il me maintenait la tête pour que j'évite de la retirer, ses potes qui me maintenaient de plus belle, je ne pus qu'avaler tout son jus. Après avoir joui il retira sa queue et m'ordonna de sucer ses potes

Alors, je me penchais de gauche à droite afin de sucer ses potes.

-putain t'es une bonne suceuse toi tu va t'en prendre plein la gueule et avale ou je défonce ta petite gueule de pute que t'es !

Son pote me maintenait la tête et me jouit dans la gueule et j'ai du de nouveau avaler, idem pour le troisième qui a mis quelques minutes pour me remplir le gosier.

-bien, retourne-toi putain et montre ton cul de lope

-ça va pas la tête , pas question

-exécute ..sinon on te fou a poils et on confisque tes frigues.

-J’vais m'occuper de ton cul et le bourrer et laisse toi faire ou je te serre les couilles.

Je me retournais et présentai mon cul.

- non attends je vais te retiré ton survêt j'veux voir ton cul de lope

Il enleva mon survêt et découvrit un cul poilu, mais, bien ouvert. Il entra deux doigts dans mon fion et me dit

- t'aimes sa salope, tu te fais bien enculer souvent a en juger par la largeur de ton trou, t'es un garage a bite t'aimes te faire défoncer sans capote toi.

Il regarda ses potes retira ses doigts et mis d'un coup sec sa belle queue.

Il entendit mes gémissements, il voyait que je kiffais grave sa bite dans mon cul.

- Putain il aime ça les mecs, tu vas te la prendre entière et après tu te prendras ceux de mes potes sale putain
- ouais, en attendant suce-moi ,me dit un des deux mecs qui regardait la scène

- Hum trop top ton cul sa ce prends facile deux bites dedans ?

Il regardait son pote et se retira de mon cul, il fit lever celui que je suçais afin de s'allonger sur la banquette. machinalement je venais moi-même m'asseoir sur sa queue

- t'aimes ma queue putain et pendant que tu te fais enculer tu suces mon pote compris
- compris
répondis-je.

Il approcha sa queue bien raide et me pénétra la bouche,

- vas y suce le bien et n'oublie pas d'avaler comme t'aimes ça.
- ouais son cul aime la bonne teub en tout cas fit mon enculeur.
-
c'est une bonne putain, un trou a bite !
- un garage a bite qui aime se faire défoncer.
- vas-y putain suce le et je veux que tu jouisses de toi même
.

Le mec qui m'enculait finit par me remplir le cul de sa semence toute chaude, le sucé en fit autant dans ma gueule en maintenant ma tête. Celui qui m'avait dragué, m'encula encore quelques minutes et déchargea son foutre dans mon cul.

- ça c'est une bonne lope un trou a bite.
- maintenant que tu t'es bien fait enculer, branle-toi
- mais un de ses potes dit non j'ai une meilleure idée

L'autre le regardait interloqué il s'approcha de son pote pendant que le dernier me tenait et lui dit

-tu as vu la meuf au centre du bus , elle nous regarde depuis le début ,

-oui et alors !

-on bande encore j'ai idée

L'un deux alla a l'avant voir la fille et la trouva en train de se caressé sa chatte

-tu t’es bien rincé l’œil alors suit moi au fond du bus et discute pas

toute tremblante ,elle se dirigea vers le fond

-on pourrait l'enculer debout en branlant la pute elle doit aimer ça

-ouais, une bonne humiliation, ça va le faire jouir

-éh ! la meuf vire moi ta petite culotte

-Non

-Vire là ou si c’est moi qui l’enlève ton ptit cul vas s’en rappeler

-Ok ok je l’enlève

- met toi a genou ,sans commentaire et suce sa belle queue bien raide prêt a juter.

Elle l'avais à peine sucé que je jouis dans sa bouche pendant un certain temps.

-eh ! connasse avale tous sinon ton petit cul vas être dépucelé

la queue en bouche , pleine de jus , elle fit signe " Non NON " avec la tête

-j’ai dis avale tous , en lui enfonçant un doigt dans le cul
surprise elle avala tous
Mais, l'un d'eux remarqua que je bandais toujours et ils me firent lever, retournant la jeune fille et la maintenant de force son cul tourné vers moi
- OK, vas-y, encule la meuf
-
Pitie pitie pas ça
- Ta gueule conasse ,l’un d’eux dit-il en lui mettant s queue dans la bouche pour la faire taire.
- ouais je vais te faire jouir mec pendant que tu encule la meuf
- non pas elle
- toi ta gueule et donne-moi ton cul...mais… putain il a du foutre qui lui dégouline du cul
- Ça servira de lubrifiant !
 ils riaient tous
Sur ses mots il m'encula, ma queue dans la chatte de la fille ou je me branlais sur le regard attentif et curieux des autres. Je ne mis pas longtemps à jouir à nouveau et l'enculeur non plus. et a la fin j'avais les couilles vides et eux aussi.
On arriva en gare de Nancy, me suis rhabillé avec le foutre qui dégoulinais de mon cul et l'un d'eux s'approcha de moi et me fila sont tel portable.
- tiens te file mon tel si jamais tu veux recommencer , appelle moi je suis Karim.
- en tout cas t'est une bonne pute toi, un conseil ne va pas voir les keufs ou là je te défonce avec tous mes potes sans boire, ni mangé
.
Il me redoigta le cul et vit que j'étais bien ouvert et me regarde en souriant.
- t'as aimé en tout cas, non ?
- je lui répondis OH OUI karim
- t'es une vraie chienne, un garage a bite petite pute
la jeune fille etait sur le siège , tout en larmes , je lui dit
-désolé je ne voulais pas vous faire de mal

-pas grave j’en avais envie de toute façon , tu es super beau et je t’avais maté quand tu étais monté et il n'y avait que toi qui m'interessait et je suis ravis que c'est  que ta queue qui est entré en moi

-Merci c'est gentil ,mais je sais pas comment vous êtes car je suis malvoyant
-vous habitez à Metz ?
-oui et vous

-moi aussi on peut se revoir heuu….comment c’est votre prénom moi c Michelle

-Damien

-Ok donnez moi votre portable je vous appelle a notre retour la semaine prochaine 
 J'avais du mal a marcher, car mon cul me faisait mal, de plus ça dégoulinait pendant que je marchais.
Louis etait sur le quai , il me dit
-ben qu’est-ce qu’il t’arrive tu es bizard ?

-cheri j’ai été pris à parti par un groupe de mecs qui m’ont baisé sans merci et obliger à baiser une meuf

-une meuf ? t’as aimé….

-Je peus pas te dire mais elle veut me revoir….

-Ok !…OK !…tu montes a l'arrière vus l’état de ton joggin il y a une serviette pour ne pas tacher les sieges

et je lui répondis

-merci chéri je suis ravis de te retrouver j’ai une seul envie ‘baiser avec toi’

-moi aussi mon ange

le long du trajet , je racontai a Louis ce qui m’étais arrivée.

-j’ai même le tel du mec et de la fille

-pas vrais le tel du mec !

-ouéé tiens regarde..

-chéri j’ai une idée

-dit voir ?

-on l’appelle demain et on se venge pour qu’il s’en souvienne longtemps

-génial chéri je suis ok !

Arrivée a l’appartement Louis me fit couler un bon bain et me lava tout en me faisant plein de câlins et nous fîmes l’amour a tour de rôle dans la mousse , après un petit repas nous allions nous coucher.

Le matin nous prîmes un petit déjeuné copieux et mis au point notre vengeance.

Louis fit le numéro du portable et me dit :

-allez chéri attire la proie

--allo Karim
-oui c’est qui
-celui que tu a fait baiser hier , j’en ai encore envie , tu peux venir ce soir au 20 allée d’alsace

-j’y serai je suis a trois rue de là , je viens avec mes potes ?

-Non ….non je te veux seul

-Ok ! je vois que tu aimes ma grosse bite

-C’est clair j’en reveux , à ce soir

-Ok ! a ce soir

A suivre

Par simon - Publié dans : histoire racontée
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Jeudi 21 mai 4 21 /05 /Mai 08:59
cette histoire remonte de quelques années en arrière , 2 jeunes ados à l'époque et qui aujourdh'ui vivent ensemble et partage la même femme MIchelle qui leurs a donné a chacun un fils .
raconté par les auteurs et écris en collaboration de         avec moi et agrémenté de quelques photo du net
voir les articles précédents (Damien 1ère partie) er (Damien 2ème partie)si vous ne les avez pas encore lu.
voici la suite

.....................

Les nuits peuplées d’activités érotiques où chacun des amants recherchait des idées ou des positions improbables pour la plus grande jouissance de l’autre.

Mais les jours passent vite..

L’avant-veille du retour, Damien prit un air sombre et renfrogné dès le matin au réveil. Mamie s’en inquiéta :

- Qu’est-ce qu’il y a, mon chéri ?

- Rien, rien ! minauda le garçon.

- Si, si, intervint Louis, depuis ce matin tu fais la gueule ! Qu’est-ce que t’as ?

- Dis-le, chéri ! renchérit Madeleine en lui caressant les cheveux.

- Ben, c’est que…demain on rentre à la maison et…ce s’ra fini tout ça ! … Louis…

Il eut un sanglot et une larme perla à son œil. Il se cacha dans ses mains et ajouta dans un souffle :

- J’ai jamais passé de si bonnes vacances, ici. J’ai…j’ai eu de si bons moments avec vous deux et…demain c’est terminé !

- Mais pourquoi ça ? demanda Madeleine. Vous reviendrez aux grandes vacances !

- Oui, moi, mais pas mon copain Louis ! continua le jeune homme en sanglotant.

- T’es mignon, mon bébé ! Mais si, je reviendrai…si Mamie Madeleine veut bien de moi !

- Mais bien sûr, mes mignons ! Vous serez toujours les bienvenus et quand vous le voudrez !

- Merci, merci, à vous deux ! souffla encore Damien en entourant ses bras autour de sa grand mère et en embrassant la joue de Louis, attendri.

- En attendant, le pique-nique est prêt pour votre dernière virée dans les bois. Allez ! ouste, mauvaise troupe.

Les garçons foncèrent à la salle de bain pour s’habiller et une heure après, ils étaient sur la route du bois. Ils voulaient passer leur dernière journée de vacances, seuls et proches l’un de l’autre.

Ils roulèrent en silence, pendant une grosse heure,. Puis, ils profitèrent d’une halte-pipi pour manger quelques fruits secs avec une banane. Puis, Louis se rapprocha de Damien et le prit dans ses bras.

- C’est vrai que tu es malheureux de rentrer ?

- Oui, parce que je sais que lundi, tu seras repris par ta cour et que je reprendrais ma place dans ton ombre.
-Ma cour ? Monsieur me flatte ! Si tu parles de ces personnages qui m’entourent au lycée… Ma cour !! ça fait bien, mais…je peux me passer de cette cour. Bref, il est vrai que je devrai donner le change à notre relation.

En attendant, c’est toi qui es dans mes bras et c’est toi qui fait mon bonheur depuis treize jours.

Louis se pencha sur lui et le câlina quelques secondes avant de baiser ses lèvres fraîches. Il le caressa et doucement le cajolait. Ses mains descendirent sous le pull puis sous le tee-shirt pour agacer ses seins et caresser son ventre.
 Puis, il passa derrière lui, ôta le pull et le tee-shirt, et le plaquant sur son torse et sa tête sur son épaule, attaqua le zip du jeans et glissa ses mains dans le sous-vêtement bien rempli.
Damien se livra entièrement aux tendresses de son merveilleux amant, sachant qu’encore, il allait trouver le chemin de la félicité. Il ôta lui-même son jeans et son slip et écarta ses jambes pour faciliter les manipulations voluptueuses d’un Louis qui voulait faire connaître un bonheur certain à son jeune amoureux.
Tout en masturbant lentement et généreusement le membre viril fortement déployé du jeune garçon offert et déjà gémissant,
 il l’avait étalé sur son propre corps, se moulant sous lui, l’épousant entièrement.

Lorsqu’il ressentit le garçon exalté, Louis se délesta rapidement de ses vêtements et l’empalant sur lui, recommença à le flatter jusqu’à l’épanouissement total de ses sens. Damien pris par ses deux côtés sensibles, se contractait et se crispait dans un état proche du délire. Il tourna son visage vers celui de son possesseur et planta sa langue dans la bouche entrouverte du jeune homme.

-Prends…moi, Lou…ouiii j’aime…ça ! Tu es…en moi ! Prends-moi, mon…amour ! Aaaahhhh !

Il se contracta très fortement sur la racine de Louis et laissa son geyser éclater en jets furieux qui retombèrent littéralement en pluie sur leurs corps échauffés. Il fut secoué longuement par son extase sexuelle et s’effondra dans une espèce de coma jouissif. Le beau Louis transporté par la jouissance de Damien, cria en marmonnant :

- Damien, je…viens! Mon…bébé…je t’ai…me ! Damien ouiiiiiiii…je …v.iens en toi!

De nouveau, une seule et même coulée longue et forte que le garçon sentit monter très haut dans ses entrailles. Louis fut dévasté un bon moment en râlant la bouche grande ouverte. Puis, ils se regardèrent en souriant et s’octroyèrent quelques minutes de repos, les bras de Louis entourant le corps alangui de son trop bel amant.

Ils reprirent leur route vers l’objectif de leur ballade et visitèrent la ville, la main dans la main au vu de tous et sans en prendre ombrage. Après tout, ils pouvaient être frères !

Ils rentrèrent le soir à la nuit tombante, juste avant que Madeleine ne s’inquiète.

La dernière soirée. Le dîner terminé, ils restèrent avec Madeleine lui tenant compagnie pour le dernier soir de leurs vacances limousines, tenant à repousser le plus longtemps possible le temps de la séparation.

Puis, ce fut le temps d’aller se coucher. Ils embrassèrent tendrement la grand-mère émue et montèrent dans leur chambre.

La dernière nuit. Ils ne furent pas longs à faire leurs ablutions et s’étendirent sur le lit. Damien se tourna vers Louis et se roulant contre lui, commença à le couvrir de petits baisers légers.

Avant que Louis n’ait pu faire aucun mouvement, Damien était entre ses jambes pour lui offrir une vigoureuse fellation avec des trésors de caresses qui mit le beau brun dans un état de transes avancé. Au moment, où il se sentit partir, Louis s’écarta et vint flatter le pieu de chair de son jeune suceur pour lui assurer le même bonheur.

A son tour, le jeune garçon se sentit dans la forme nécessaire pour honorer son amant de belle façon. Il leva les jambes de Louis , caressant la rosette qui produisit de grand gémissant au bout de quelques minutes.

Alors, posant les talons du bel adolescent sur ses épaules, Damien se glissa lentement en lui en baisotant son front et sa bouche, titillant ses pointes de seins pour l’ouvrir encore. Une fois rendu au fond de l’intimité du ravissant jeune homme, il s’attarda en un long et profond va-et-vient qui mit Louis dans une émotion proche du délire, prononçant des mots sans suite, les yeux clos.

 Il caressa spasmodiquement les hanches et le dos de Damien en geignant plus fort. Il saisit son sexe turgescent et le secoua énergiquement.

Alors, Damien qui garda tous ses esprits et se contrôlant au mieux, le lui interdit en plaquant ses mains à côté de sa tête en murmurant :

- Non, mon chéri, ce soir est le mien ! Je suis le maître de ton plaisir ! Tu ne jouiras que quand je le voudrais......

Il continua un long moment à s’enfoncer dans le sombre endroit de Louis et enfin sentant la brûlure monter dans sa hampe et la crampe triturer son bas-ventre, il se contracta en cabrant ses reins, se planta au plus profond de son amant, fixa ses yeux fripés et dit :

- Maintenant, je vais…venir…en toi ! Je vais jouir…en toi, mon amour, maintenant ! Je t’aime, mon amour !

Il serra ses dents, crispa ses yeux et raidissant son corps laissa son flux jaillir intensément, se déversant comme un torrent dans la vallée intime de Louis qui le reçut entièrement en ondulant sur les draps fripés. Il s’effondra un moment sur lui dans un souffle de mourant.

Louis avait noué ses jambes autour de sa taille et continuait de caresser machinalement son dos et ses fesses. Il glissa sa main entre leurs corps enflammés et caressa leurs pubis, mélangeant leurs poils noirs délicatement.


Cette légère douceur éveilla Damien. Il se retira du secret endroit qui restituait sa semence en coulées, et s’allongeant sur le lit, badigeonna son œillet intime de sa crème anti-acné.
 Puis, se tournant vers Louis, il lui redonna une forme fabuleuse à l’aide de sa bouche et de ses lèvres fermes et douces. Quand, de nouveau, il ressentit l’âcreté du précum sur sa langue, Damien se rallongea sur le lit les jambes écartées et ouvrant ses bras à Louis, l’invita à un nouveau pas de deux. Le jeune homme s’étendit sur le corps offert et se réfugia dans les bras accueillants.
Il baisa les yeux, le nez, la bouche et le cou de Damien pendant qu’il glissait lentement en lui.

Enfoui au tréfonds du garçon, il commença à aller et venir en douceur durant un long moment, puis, avec plus de rapidité, voulant se donner davantage au jeune garçon qui prenait une place énorme dans sa vie.
 Damien se crispa pour recevoir son jus de mâle dans tout son intérieur, et râlant, dit :

- Viens, amour, viens…je t’attends ! Fécondes-moi !

Un jet long, intense, fort, épais. Un cri long, intense, mourant.

Puis, alors qu’il s’en étonnait lui-même, un deuxième jet aussi long que le premier qui inonda le fondement envahi ; enfin, un troisième tout aussi important. Il perdit l’esprit et s’écroula sur l’ado accroché à lui des bras et des jambes, inondé de semence, transi de désir et soudé à son corps. Louis s’endormit d’un coup, foudroyé par l’orgasme, anéanti de bonheur.

Ils s’éveillèrent après quelques heures de sommeil. Il était tard, déjà, mais pas assez pour se lever encore. Alors Damien se tourna vers Louis encore ensuqué, et lui baisant les lèvres, lui dit :

- C’est la dernière, garçon ! A Metz, on ne pourra plus, alors laisses-moi faire !

Louis s’extirpa des bras de Morphée pour tomber dans ceux de Eros. Les doigts, les mains, les lèvres, les cuisses, le sexe de Damien le conduisaient inexorablement vers le Nirvana des amants.

Quand il fut prêt, tremblant et frissonnant, Damien s’allongea et ouvrit ses bras pour l’inviter au voyage, il le fit asseoir sur son bas-ventre et l’enduisit de la crème médicale. Alors, il souleva les fesses de son ami en le fixant intensément et l’empala sur lui.
 Louis gémit un peu durant la sodomie et se posa à la hauteur du ventre du garçon. Damien s’enfouit au plus profond de son amour et manipula le sexe bandé à quelques centimètres de sa bouche.

Alors, une idée lui vint. Il glissa l’oreiller de Louis sous sa tête et tendant un peu le cou, absorba le sceptre de chair virile et frémissante pour le sucer avidement. Louis tressaillit en feulant d’un plaisir nouveau. A la fois, possédé et abouché, il n’avait jamais ressenti autant de béatitude. Une euphorie véritable l’habitait. Il savait qu’il allait jouir d’une façon inouïe. Il se posa sur ses genoux pour donner à Damien une aisance nécessaire à sa pénétration et se rapprochant du visage pénétra plus profondément la bouche de son possesseur.

La sensation le faisait grelotter de désir. Il se tint droit accroché au plaisir du garçon, étant à la fois, donneur et receveur d’une énorme jouissance. Il pinça les tétons durcis de Damien qui se cabra.

Damien s’accrochait à ses hanches et donnait de longs et puissants coups de son boutoir sexuel dans les profondeurs de sa chair et absorbant et mordillant le mandrin de son amant.

Alors, le soupir de Louis annonça la crispation des muscles intimes et la brûlure dans les hampes.

- Damien i, oh, mon Damien …Je viens…je…viens ! Damien …ji !

Aucune minute ne fut plus précieuse pour les deux jeunes gens : la contraction de son anneau provoqua immédiatement les puissantes coulées de Damien.
De son côté, la tiédeur de son lait et la force de son éjaculation ouvrirent les vannes de son fleuve crémeux dans le gosier de Damien.

Ce que l’un offrait d’un côté, l’autre le restituait de l’autre. Un cycle s’établit pendant plusieurs secondes entre eux.

Louis s’ôtant pour embrasser voluptueusement son amour d’enfant, sa laitance les nourrissant copieusement.

- Je t’aime vraiment, Damien. Tu viens de me donner le meilleur de toi, tu viens de me donner un moment de bonheur si…intense…si rare. Je…J’ai…Restes toujours mon ami, je t’en prie ! Moi aussi, je suis fécondé par ta sève. Je porte ta vie en moi. Je veux…Je t’aime pour de vrai !

- Je t’aime aussi, mon ange, mon amour, mon chéri. Viens !

Il le serra dans ses bras et le câlina longuement, toujours fiché dans l’intimité de son amant.

Quand soudain retenti :

- Vous venez les garçons, il est l’heure de se lever. Le petit déjeuner vous attend ! cria Mamie Madeleine, en bas des escaliers.

Les garçons descendirent de l’escalier comme à regret. Non de répondre à l’invitation de la grand-mère mais de quitter l’endroit où ils avaient connu de tels moments de bonheur intense. Louis avait posé sa main sur l’épaule de Damien et l’accompagnait à sa chaise, l’œil aussi morne que celui de son copain. Ils prirent le petit-déjeuner en silence, adressant quelques mots évasifs à Madeleine qui ressentait le malaise des enfants.

- Bon, les enfants ! Je ne voudrais pas vous presser, mais le car part dans une demi-heure. Avez-vous préparé vos valises ?

- Oui, oui, Mamie Madeleine, répondit Louis, nous les avons terminés hier soir avant de se coucher.

- Il ne reste plus qu’à mettre nos vêtements de nuit et la trousse de toilette. Y’en a pour trois minutes, ajouta Damien, le nez dans son bol.

Vingt minutes plus tard, ils attendaient tous les trois sur la place. Damien tenait sa grand-mère embrassée, son visage dans son cou en sanglotant un peu.

- Eh bien, eh bien, mon chéri ! Ne pleures pas, voyons ! Tu reviendras aux vacances d’Automne, comme d’habitude.

- Oui, mais…pas avec lui, chuchota Damien à l’oreille de sa mamie.

- Et pourquoi donc ? Bien sûr qu’il pourra revenir, quand il voudra. Allons, allons, sèches ces larmes ou tu vas me faire pleurer aussi !

- Au revoir, Mamie Madeleine ! dit Louis en se jetant à son tour dans les bras de la vieille dame. J’ai été très content de venir. Je vous remercie pour tout.

- A bientôt, mon petit ! Tu peux revenir quand tu le voudras.

- Merci, merci beaucoup !

Ils montèrent dans le car qui les ramena à la gare de Guéret en faisant de grands signes d’adieu à Madeleine jusqu’à sa disparition au premier virage.

Ils gagnèrent leurs places au fond du wagon 17 du train qui partit vers Metz à 10 h 32. Damien n’arrivait à se départir d’une tristesse bien réelle que Louis ne supporta qu’un temps.

- As-tu l’intention de ma faire la gueule jusqu’à Metz, Damien ?

- Je…j’ai…Oui ! Ou plutôt non, mais je suis…tellement…

- …triste de me quitter ?

- Te moques pas. Oui, j’ai passé les meilleures vacances de printemps depuis 15 ans. Grâce…

- …à moi, je sais ! et tu penses que ce sont les dernières qu’on passera ensemble…et que c’est fini entre nous, parce que…

- parce que…à partir de lundi, tu retrouves TA cour et moi l’ombre, gémit encore Damien une larme au coin de l’œil.

- MA cour…Tu sais que je t’aime, mon bébé ? Bien, puisque tu mets le problème sur le tapis, nous devons mettre un stratagème en place pour nous deux…

Louis expliqua son plan et parla longtemps de la façon dont il envisageait l’avenir pour leur couple.

Damien reprit des couleurs et des sourires sur son visage. Il lança un regard circulaire pour savoir qui pouvait les voir et s’assurant de la discrétion du lieu posa un baiser furtif sur les lèvres de Louis. Ils se quittèrent sur le trottoir de la maison de Damien, se serrant fort dans les bras l’un de l’autre et s’octroyant un dernier baiser tendre.

Les retrouvailles du lundi furent à la hauteur des espérances de Damien.

Comme prévu, Louis fut entouré de ses fans et accueillit par les gloussements de ses groupies, alors qu’il restait dans un coin de la cour. Néanmoins, sans voir son copain adulé, entouré, flatté, ne le perturbait pas plus que cela.

A quelques jours de là, Louis fut absent des cours. Damien téléphona pour prendre des nouvelles : le jeune homme était alité avec une bonne gastro-entérite, une des dernières de l’année.

- Tu peux m’apporter les cours, ce soir ? demanda-t-il, je ne voudrais pas prendre de retard dans mes cours…j’ai déjà pas mal de problèmes. Et puis…je voudrais te revoir !

- Pas de problème, mon chéri, reprit le jeune trop content de visiter son bel amour. A ce soir !

Vers dix-huit heures, il sonnait à la porte et après avoir salué la mère de Louis, qui le guida pour monter dans la chambre de l’ami très cher.

- Eh bien, mon pauvre amour !

- J’suis malade, mais pas mourant, quand même ! Viens là que je te dise bonjour correctement, mon bébé.

Damien se pencha sur son camarade et lui offrit ses lèvres qu’il prit en un baiser passionné.
Quinze minutes après, Damien avait remis ses cours sur le bureau et son corps nu dans les bras de Louis.

Vingt minutes après, ils s’étaient donnés mutuellement dans un orgasme fort agréable.

- Quand reviens-tu en classe ? demanda Damien en remettant son pantalon.

- Dans deux ou trois jours ! Tu sais, c’est la première fois que je…porte l’enfant d’un copain.

Damien surpris , éclata de rire en même temps que son bel ami.

Quelques jours plus tard, c’est Damien qui attrapa une vilaine grippe et son ami intime lui rendit le service des cours et une agréable branlée.

- A mon tour de porter notre enfant, décréta-t-il en l’embrassant.

Le même rire les gondola pendant plusieurs minutes.

Les deux garçons partirent ensemble chez grand-maman Alice en Vendée pour les vacances d’été et chez Mamie Madeleine pour celles d’Automne. où dans la forêt il se retrouvèrent tous les jours
 Inutile de préciser qu’ils ne se sont quittés d’une minute pendant tous leurs congés et plus jamais depuis cette année merveilleuse.


Au lycée, ils doivent encore composer avec les " copains " - qui ne comprendraient pas et qui n’ont pas à savoir - mais ils savent que leur amour est inaltérable, du moins pour les années de lycée.



Après…
c’est après, on verra !

















 En attendant Damien est heureux. Pour lui, Louis est et restera son amant. Encore pour longtemps.



A SUIVRE…

Par simon - Publié dans : histoire racontée
Ecrire un commentaire - Voir les 2 commentaires

Pages

Présentation

Créer un Blog

Recherche

Calendrier

Mai 2024
L M M J V S D
    1 2 3 4 5
6 7 8 9 10 11 12
13 14 15 16 17 18 19
20 21 22 23 24 25 26
27 28 29 30 31    
<< < > >>
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés